Der Rat hat die Anwendung der restriktiven Maßnahmen der EU, die wegen Handlungen gegen die territoriale Unversehrtheit, die Souveränität und die Unabhängigkeit der Ukraine verhängt worden waren, um sechs Monate verlängert.
Das Einfrieren der Vermögenswerte und die Reiseverbote, die 149 Personen und 37 Organisationen betreffen, wurden bis zum 15. März 2016 verlängert.
Die Überprüfung der Situation ließ keine Änderung der Sanktionsregelung oder der Liste von Personen und Organisationen, die unter die restriktiven Maßnahmen fallen, zu. Der Name eines Verstorbenen wurde von der Liste gestrichen.
Die betreffenden Rechtsakte werden am 15. September 2015 im Amtsblatt der EU veröffentlicht.
A Tanács hat hónappal meghosszabbította az Ukrajna területi integritása, szuverenitása és függetlensége ellen irányuló lépések miatt bevezetett uniós korlátozó intézkedések alkalmazását.
Emellett 2016. március 15-ig meghosszabbította a pénzügyi eszközök befagyasztását és az utazási tilalmat, amely 149 személyt és 37 szervezetet érint.
A helyzet értékelését követően a Tanács nem tartotta indokoltnak sem a szankciórendszernek, sem a korlátozó intézkedések hatálya alá tartozó személyek és szervezetek listájának módosítását. A listáról egy elhunyt személyt töröltek.
A jogi aktusok az EU Hivatalos Lapjának 2015. szeptember 15-i számában olvashatók.
La Fondation pour l’innovation politique souhaite relayer le prochain Petit-déjeuner de la science et de l’innovation, coorganisé par l’Association française pour l’avancement des sciences, l’Association des anciens et amis du CNRS et la Société d’encouragement pour l’industrie nationale. Il aura lieu le jeudi 15 octobre 2015 de 8h30 à 10h à l’Hôtel de l’Industrie, 4 place Saint-Germain-des-Prés, Paris 6e.
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La Fondation pour l’innovation politique souhaite relayer le 5ème colloque des biotechnologies végétales organisé par l’AFBV en collaboration avec saf agr'iDées.
Cet article 6/10/15 : 5ème colloque des biotechnologies végétales organisé par l’AFBV en collaboration avec saf agr’iDées est apparu en premier sur Fondapol.
Place: Justus Lipsius building, Brussels
Chair: Jean Asselborn, Minister for Foreign and European Affairs of Luxembourg
All times are approximate and subject to change
+/- 08.00
Arrivals
+/- 09.10
Doorstep by Minister Asselborn
+/- 09.30
Beginning of Council meeting
Presentation of the working programme - Luxembourg Presidency (in public session)
+/- 09.50
Approval of A items (in public session)
from 10.00
Preparation of the European Council (15-16 October 2015)
Commission Working programme 2016
Place: Justus Lipsius building, Brussels
Chair: Jean Asselborn, Minister for Foreign and European Affairs of Luxembourg
All times are approximate and subject to change
+/- 08.00 Arrivals
+/- 09.10 Doorstep by Minister Asselborn
+/- 09.30 Beginning of Council meeting
+/- 09.30 Presentation of the working programme - Luxembourg Presidency (in public session)
+/- 09.50 Approval of legislative A items (in public session)
from 10.00 Preparation of the European Council (15-16 October 2015)
Commission working programme 2016
Place: Justus Lipsius building, Brussels
Chair: Jean Asselborn, Minister for Foreign and European Affairs of Luxembourg
All times are approximate and subject to change
+/- 08.00 Arrivals
+/- 09.10 Doorstep by Minister Asselborn
+/- 09.30 Beginning of Council meeting
+/- 09.30 Presentation of the working programme - Luxembourg Presidency (in public session)
+/- 09.50 Approval of legislative A items (in public session)
from 10.00 Preparation of the European Council (15-16 October 2015)
Commission working programme 2016
le Scan Eagle sur le pont du Galicia (crédit : marine espagnole)
(B2) Les marins espagnols ont mis en oeuvre un drone Scan Eagle sur le navire amphibie Galicia (1) qui opère dans l’Océan indien et sert de navire amiral à l’opération EUNAVFOR Atalanta. Une première pour la marine espagnole qui n’avait pas testé ce drone dans une opération maritime (2).
Scan Eagle est « devenu l’un des moyens de produire des renseignements plus précieux » pour la Force navale de l’Union européenne (EUNAVFOR) dans l’opération Atalanta, qui opère dans les eaux de l’océan Indien, souligne-t-on à l’état-major de l’armée espagnole. Spécialement conçu pour l’acquisition des données, de l’imagerie et de la vidéo, de jour comme de nuit, il fournit « des images en temps réel, en toute discrétion, et durant une longue période (il peut voler en continu pendant plus de 18 heures). Ce qui aide grandement à la prise de décision ».
Début septembre, le «Scan Eagle» a déjà effectué 175 heures de vol « sans dommage notable ». Il a ainsi effectué en juin des missions de reconnaissance sur la côte Nord de la Somalie, et plus récemment sur la côte Est de la Somalie afin de « identifier et localiser d’éventuelles activités illégales dans la bande côtière, liées à la piraterie ».
Le système se compose de quatre appareils, dont l’un est spécialement conçu pour l’acquisition des images et le vol de nuit. Les drones sont lancés à partir d’une catapulte du pont du navire. La collecte des informations est effectuée au moyen d’une caméra, située dans l’aile du drone. Des antennes assurent l’échange des informations entre la station de commande, et le drone. La station de pilotage est située dans le vol du hangar du navire où se trouvent les opérateurs du 11e escadron nouvellement formé, au sein de l’aéronautique navale espagnole. Cette unité aérienne embarquée (UNAEMB), dédiée entièrement au «Scan Eagle», se compose de 3 officiers pilotes, ainsi que de 3 sous-officiers et 1 marin pour les travaux d’entretien et de préparation pour le vol
(NGV)
(1) Le navire d’assaut amphibie Galicia » est le navire amiral pour l’opération EUNAVFOR Atalanta pour cette période été-automne jusqu’au 6 octobre prochain, date du passage de commandement.
(2) Ce système a déjà été déployé en Afghanistan, sur la base d’appui avancée (FSB) de Qala i Naw jusqu’au retrait du contingent espagnol en 2013.
La capitale de la Hongrie pourrait accueillir le plus vaste centre islamique d’Europe centrale. L’information remonte à plusieurs semaines, mais la crise migratoire qui secoue la Hongrie comme le reste de l’Europe apporte un éclairage nouveau.
– Parce que le Fidesz au pouvoir assimile ouvertement l’arrivée actuelle de migrants à l’invasion ottomane au 16 siècle et qu’il développe un discours teinté d’islamophobie, la lune de miel entre les nationalistes hongrois (du Fidesz et du Jobbik) et l’AKP turc pourrait tourner court. Zoltan Bolek, leader le la Communauté islamique hongroise (Magyar Iszlám Közösség) a décrété un boycott de la coalition gouvernementale.
– Sous l’effet de la crise actuelle, le Jobbik est en train de perdre son particularisme (plusieurs de ses leaders sont réputés islamophiles, lire cet article du « Monde Diplomatique« ) pour muter en un parti d’extrême-droite anti-immigrationniste et islamophobe, plus classique en Europe. Ses liens serrés avec les autorités turques pourraient aussi subir des dommages.
Ce qui suit est un article publié le 9 août dans le quotidien « La Libre Belgique » (payant).
Le sultan Soliman le Magnifique lui-même n’aurait pas rêvé plus grand et le poète Gül Baba doit se retourner de plaisir dans son tombeau sur la colline aux Roses de Buda ! Car si le projet est mené à bien, la mosquée appelée à voir le jour dans la capitale hongroise sera grandiose : quatre minarets, des annexes, des patios, des jardins ornés de fontaines… Un édifice plus immense même que ceux édifiés par l’Empire ottoman lors de l’occupation du pays aux XVIe et XVIIe siècles.
De prime abord, la nouvelle peut surprendre, car l’islam est marginal en Hongrie : six mille personnes se sont déclarées de religion musulmane au recensement de 2011 (ils seraient en réalité quelques dizaines de milliers). Qui plus est, le Premier ministre hongrois n’en finit pas de tonner contre l’arrivée massive de migrants issus de pays musulmans, qu’il désigne comme une invasion de grande ampleur menaçant l’Europe chrétienne.
Malgré cela, les relations sont excellentes entre les nationalistes-conservateurs au pouvoir à Budapest et Ankara. « Orban et Erdogan s’apprécient, le Fidesz (hongrois) et l’AKP (turc) sont deux partis avec des vues très similaires, explique Emel Akcali, chercheuse turque en sciences politiques à l’Université d’Europe centrale. Ils bâtissent leur pouvoir sur le nationalisme, sur la personnalité d’un leader proche du peuple et sur un discours d’indépendance par rapport à l’Ouest. »
Le tropisme oriental de Viktor Orban suscite l’incompréhension et la méfiance à l’Ouest, mais on ne peut réduire les relations turco-hongroises à la proximité de deux autocrates, insiste cependant Mme Akcali : « Il y a une sorte de relation positive héritée du passé et, contrairement à ce que l’on observe en Europe de l’Ouest, la population hongroise a une image positive de la Turquie et la Hongrie est très favorable à son entrée dans l’Union européenne. »
Il est vrai que, bien que des générations d’écoliers hongrois continuent d’apprendre la comptine « Coccinelle, envole-toi ! Les Turcs arrivent, ils vont bientôt venir te tuer ! », la Turquie jouit d’un certain prestige dans le pays.
Des liens qui découlent du passé ottomanCe projet de mosquée illustre-t-il le « néo-ottomanisme » souvent reproché à la Turquie d’Erdogan ? « C’est plutôt un signe de l’émergence d’un soft-power qui va de pair avec l’émergence économique du pays, estime Emel Akcali. En Hongrie comme dans les autres pays d’Europe centrale et du sud-est, les soap operas turcs sont par exemple très à la mode, il y a aussi les bourses pour étudiants, etc. La Turquie n’a pas de ressources naturelles comme la Russie, mais elle a son passé ottoman et les liens culturels qui en découlent. »
Pour la Turquie, la Hongrie est une porte d’accès à l’Union européenne et une alliée favorable à son adhésion. Budapest soutient notamment le projet de gazoduc « Turkish Stream » qui pourrait acheminer du gaz russe vers l’Europe via la Turquie.
Une priorité diplomatiquePour la Hongrie, l’émergence économique turque offre de nouvelles perspectives dans le cadre de « l’ouverture vers l’Est » par laquelle le Fidesz souhaite réduire la dépendance économique aux pays de l’UE. Au mois de mars dernier, le Premier ministre hongrois a fixé à ses ambassadeurs comme priorité diplomatique les relations avec « les trois grandes puissances qui ont déterminé ce qui nous est arrivé au cours des mille dernières années » : l’Allemagne, la Russie et la Turquie. Un discours qui rejoint les aspirations de Gabor Vona, le leader du second parti de Hongrie, le Jobbik (extrême droite), qui entretient des liens solides avec la Turquie.
Les Hongrois ont intensifié ces relations diplomatiques ces dernières années, qui ont culminé en 2013 avec les visites croisées de M. Orban et de M. Erdogan. L’occasion d’inaugurer chacun un centre culturel, de signer des accords de coopération économique et culturelle et d’obtenir la levée des visas pour les Hongrois en Turquie en échange de la levée des visas pour les hommes d’affaires turcs.
Une stratégie qui rencontre un certain succès : depuis le retour du Fidesz au pouvoir en 2010, le volume des échanges commerciaux hungaro-turcs a augmenté de 40 %, pour s’établir à 2,8 milliards de dollars en 2014. L’objectif a été porté à 5 milliards pour cette année.
La mosquée ferait donc office de cerise sur le gâteau. Depuis que ses plans ont été dévoilés au printemps – dans une vidéo diffusée par une fondation liée au ministère turc des Affaires religieuses -, la municipalité de Budapest et les autorités turques cherchent un emplacement qui satisfasse les deux parties. Les négociations portent sur le quartier de Köbanya-Kispest, une ancienne banlieue ouvrière dans la périphérie sud-est de la capitale. L’édifice ne devrait donc pas avoir le privilège de trôner dans le centre-ville, aux côtés de la Basilique Saint-Étienne et de la Grande Synagogue, la plus grande d’Europe.