September 15, 2015 (NEW YORK) – In a letter addressed to the South Sudan's former vice president, Riek Machar, the United Nations secretary general, Ban Ki Moon, has commended the opposition's leadership for signing the peace agreement to end the 20-month long civil war in the country, assuring that the world body will work closely with the parties in implementing the deal.
The top UN chief, in the letter's copy extended to Sudan Tribune from New York on Monday, also confirmed invitation of the armed opposition leader, Machar, to a high-level meeting of heads of state at the UN's General Assembly.
“Excellency, I wish to commend you for the leadership you have demonstrated in signing the Agreement on the Resolution of the Conflict in the Republic of South Sudan…The United Nations stands ready to work in close partnership with you, the other signatories, and the future Transitional Government of National Unity, to ensure the successful implementation of the Agreement and consolidate peace in South Sudan,” partly reads the letter, dated 10 September, addressed to Machar and signed by the UN secretary general.
“In this connection, I have the honour to invite you to a High-level meeting on South Sudan, to be held on 29 September 2015 from 9 a.m. to 12 p.m., in the margins of the seventieth session of the General Assembly. The meeting will be held at the Heads of State level with the aim of galvanizing the international community's support for the implementation of the peace agreement,” it reads.
The summit is expected to discuss needs of the would-be formed transitional government and pressure and support the world leaders and governments should provide in implementing the deal.
South Sudan's armed opposition has acknowledge receipt of the invitation, adding that Machar will lead a high-level delegation to the summit.
President Kiir's government also revealed that the head of state may not be leading the delegation and will instead delegate his deputy, James Wani Igga, to represent the government in the meeting.
The two warring parties signed the deal on 17 and 26 August to end the war which erupted on 15 December 2013, when internal political debates within the leadership of the ruling SPLM party over reforms turned violent.
Tens of thousands of people have died so far, hundreds of thousands forced to seek shelter under protection of the United Nations Mission in South Sudan (UNMISS) and millions more displaced internally and to the neighbouring countries of Sudan, Ethiopia, Kenya and Uganda.
United Nations warned it will impose arms embargo and targeted sanctions on individuals or parties that will be seen to be spoiling the implementation of the agreement.
(ST)
GORAN PETROVIC // ATLAS DES REFLETS CÉLESTES
MARDI 15 SEPTEMBRE 2015 - 19H00
Rencontre animée par Sophie Quetteville
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Goran Petrović, né en 1961, est l'un des écrivains serbes (...)
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A terrorizmus elleni küzdelemben félre kell tenni a geopolitikai ambíciókat és a kettős mérce alkalmazását - jelentette ki kedden Vlagyimir Putyin orosz elnök. Hangoztatta, hogy a nemzetközi közösségnek egyesítenie kell erőfeszítéseit a terrorizmus jelentette fenyegetéssel szemben.
L’équipage espagnol sur la base de Sigonella en Sicile (crédit : MOD espagnol)
(B2) Un avion P3 Orion de l’armée de l’air espagnole s’est posé à Sigonella, en Sicile dimanche (13 septembre). Cet avion de patrouille maritime va participer à l’opération européenne de lutte contre les trafiquants en Méditerranée (EUNAVFOR Med), à compter de la mi-septembre. Objectif : surveiller la zone, recueillir du renseignement.. Le détachement espagnol comprend 45 militaires. A noter que l’état-major espagnol compte également envoyer une frégate qui devrait arriver pour la seconde phase de l’opération. Lire aussi : Les Européens passent la deuxième en Méditerranée
(NGV)
« Le principal objectif de ce rapport est d’intensifier la stratégie globale européenne afin d’atteindre une égalité universelle entre hommes et femmes dans leur carrière respective, dans le domaine de la science, de l’éducation et des technologies » a déclaré la députée grecque Elissavet Vozemberg, dans son rapport d’initiative sur les carrières scientifiques et académiques des femmes qui a été adopté à 550 voix pour, 97 contre et 41 abstentions le dernier 9 septembre.
La résolution souligne qu’en dépit des avancées des dernières années, l’égalité hommes-femmes dans le domaine scientifique et le monde universitaire n’a pas encore été réalisée. Les estimations chiffrées du plafond de verre reflètent la difficulté que rencontrent les femmes à progresser dans leur carrière à des niveaux similaires à leurs collègues masculins. Ainsi, les femmes sont largement sous-représentées dans les filières et carrières des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM), ne représentant que 24% des professionnels des sciences et technologie. Selon la publication «She Figures» pour 2012, bien que 59% des diplômées universitaires dans les 28 États soient des femmes, elles ne représentent que 10% des recteurs d’université.
Ce constat l’amène à déplorer l’existence dans notre société d’un modèle patriarcal érigé en norme qui légitime des formes de ségrégation professionnelle fondée sur le genre de nature horizontale et verticale.
Les députés ont donc lancé un appel à la Commission et aux États membres à « mettre en place des mesures ciblées pour briser ce plafond de verre et lutter contre tous les stéréotypes sexués qui enferment l’un et l’autre sexe dans des rôles convenus ».
La résolution :
– Abolir les stéréotypes sexués et renforcer la confiance en soi
De manière générale les choix d’orientation professionnelle sont souvent déterminés par la prégnance des stéréotypes fondés sur le genre, qui représentent les plus grands obstacles à l’égalité homme-femme. Les emplois occupés principalement par les femmes se rattachent à des fonctions considérées comme relevant « naturellement » des femmes : métiers de l’éducation, de la santé, du social en général. C’est contre cette autolimitation implicite des filles que les députés ont mis l’accent. « Il faut encourager le changement de mentalité dans les familles, chez les parents et les jeunes filles elles mêmes qui trop souvent ont peur de ces univers techniques, technologiques, le chemin traditionnelle qui veut que les garçons soient plus attirés par les calculs, la rationalité et les filles par les matières plus littéraires là où elles sont capables de faire preuve de leurs empathies traditionnellement féminins ». Cela doit être contrebattu, car existe bel et bien un potentiel féminin important, énorme même qu’il nous faut exploiter pour le progrès de tous et de toutes, a déclaré la députée Le Grip Constance du PPE.
À cette fin, les députés ont invité les États membres à faire participer les médias et le secteur privé à l’élimination des stéréotypes sexistes et clichés promouvant de façon proactive des modèles positifs des femmes.
– Appliquer les dispositions juridiques pour assurer une égalité de traitement.
Afin de faire respecter l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes dans tous les États membres, il faut que tous les Pays analysent les dispositions juridiques existantes dans le but de les mettre en oeuvre adéquatement. « Il ne suffit pas seulement de se doter de lois, il faut qu’elles soient appliquée », déclare Tibor Navracsics , membre de la Commission européenne. Notamment dans la recherche, il s’agit de couvrir les spécificités du secteur par des actions concrètes tant au niveau de l’UE qu’au niveau nationale. En mai 2015 le Conseil a adopté la feuille de route relative à « l’espace européen de la recherche pour la période 2015-2020 » et a appelé les États membres ainsi que la Commission européenne à mettre en oeuvre les actions prioritaires par des plans d’actions et des stratégies pour traduire en actions effectives la législation nationale en matière d’égalité homme- femme. Par contre, la résolution montre, qu’à ce moment-là, des lacunes dans la législation au niveau européen et nationale existent encore et elle prie la Commission et les États membres à les comblérs.
– Changements et projets institutionnels :
Pour lutter contre la ségrégation professionnelle verticale et donner une visibilité aux femmes dans les organes décisionnels, la Commission a été invitée à proposer une recommandation aux États membres comportant des lignes directrices communes en matière de changement institutionnel pour promouvoir l’égalité des sexes dans les universités et les centres de recherche.
Les députés ont salué le fait que la Commission a financé la création de plans en matière d’égalité des genres par l’intermédiaire de projets dans le cadre du 7e programme-cadre et d’Horizon 2020, mais ils demandent toutefois à la Commission d’intensifier son rôle de coordination en ce qui concerne les initiatives d’intégration du genre au sein de l’Espace européen de la recherche.
Les États membres sont invités à :
-. conclure des partenariats avec les organismes de recherche et les universités afin d’encourager les changements culturels et institutionnels en matière de genre;
-. travailler avec les établissements universitaires pour offrir une aide et des possibilités d’avancement lors de transitions clés, comme la transition entre doctorat, post-doctorat et postes de maître assistant;
-. collaborer avec les établissements universitaires pour prendre des initiatives incitant les femmes à se porter candidates aux postes à pourvoir et assurer, dans la mesure du possible, une représentation féminine dans les jurys d’entretien.
Le rapport insiste sur la nécessité de systématiser les données disponibles sur la répartition par genre et le suivi de la position des femmes scientifiques au niveau des États membres.
Conciliation vie professionnelle et vie privée.
Bien que l’Union européenne ait adopté de nombreux textes contraignants en matière de conciliation entre la vie privée et professionnelle (1), ceci représente encore souvent l’obstacle majeure qui entrave l’avancement des femmes dans leurs carrières scientifiques et académiques.
« Si la femme doit assumer toutes les tâches domestiques, le plafond de verre ne pourra jamais disparaitre », dit le député Gericke Arne du groupe ECR
Les députés ont ainsi demandé que les conditions de travail des chercheurs, tant masculins que féminins, offrent une plus grande souplesse afin de leur permettre de combiner le travail et la vie familiale.
Particulièrement la Commission et les États membres ont été appelés à :
-. concevoir des programmes visant à encourager les femmes à poursuivre leur carrière après un congé de maternité ou un congé parental;
-. financer des programmes de réinsertion englobant des formations sur les dernières avancées scientifiques, tout en offrant aux femmes qui viennent de mettre au monde ou d’adopter un enfant une plus grande flexibilité en ce qui concerne leur production scientifique et des services de garde d’enfants adéquats;
-. reconnaître la nécessité d’un véritable congé de paternité, accompagné d’une rémunération adéquate.
(1) Il s’agit de l’art. 33 de la Charte des droits fondamentaux. La Directive refonte 2006/54 concerne la mise en oeuvre du principe d’égalité des chances et d’égalité de traitement entre hommes-femmes en matière d’emploi et de travail. La Directive de 2010 sur le congé parental qui prévoit un droit individuel au congé.
Cristina De Martino
Pour en savoir plus :
-. Texte adopté http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+TA+P8-TA-2015-0311+0+DOC+XML+V0//FR&language=FR
-. Vidéo des débats en session Plénière du 8 septembre 15 http://www.europarl.europa.eu/ep-live/fr/plenary/video?debate=1441745645581
-. Résultat des votes http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=%2f%2fEP%2f%2fNONSGML%2bPV%220150909%2bRES-RCV%2bDOC%2bPDF%2bV0%2f%2fFR&language=FR
-. Projet de conclusions du Conseil concernant la feuille de route de l’Espace européen de la recherche pour la période 2015-2020 http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8975-2015-INIT/fr/pdf
Szeptember 20-án tartják meg Moszkvában a „Nemzetek dialógusa. A népek önrendelkezési joga és a sokpólusú világ építése”című konferenciát.
On Tuesday, September 15th, IPI together with the Organisation of Islamic Cooperation (OIC) cohosted a policy forum event to discuss the policy and practical implications of the recommendation on unarmed approaches to the protection of civilians made in the report of the High-Level Independent Panel on UN Peace Operations.
Click here to view the event video on YouTube>>
This event provided an opportunity to discuss emerging unarmed approaches to effectively protect civilians under threat of violent conflict, using field examples from Palestine and South Sudan. The panelists also discussed the policy implications of such practices, including how they can be both supported by and integrated into peace operations.
Speakers:
Opening remarks: H.E. Ufuk Gokcen, Permanent Observer of the Organisation of Islamic Cooperation to the United Nations
Tiffany Easthom, Nonviolent Peaceforce, Country Director, South Sudan
Rudelmar Bueno de Faria, UN Representative, World Council of Churches
Eiko Ikegaya, Deputy Chief, Policy and Best Practices Service, United Nations Department of Peacekeeping Operations (DPKO)
Moderator:
Youssef Mahmoud, IPI Senior Adviser and member of the High-Level Independent Panel on UN Peace Operations