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Diplomacy & Defense Think Tank News

Enemigo de conveniencia: la lucha de Irán contra Daesh

Fride - Wed, 13/01/2016 - 14:49

Durante el pasado año, Oriente Medio ha sido testigo del florecimiento de un nuevo conflicto: el de la República Islámica de Irán contra Daesh. La campaña iraní para luchar contra Daesh se ha convertido en un instrumento con el que fortalecer su posición en Oriente Medio. Más que destruir al Daesh, lo que Teherán desea es debilitarlo, ya que esto permite defender a sus aliados en el Gobierno de Siria e Irak, a la vez que mantiene su influencia sobre ellos. Las medidas tomadas por Irán y los escasos resultados en el campo de batalla de sus milicias aliadas, plantean un gran dilema político para la coalición internacional contra Daesh.

En busca de una nueva identidad: la diplomacia de potencia media de Corea del Sur

Fride - Wed, 13/01/2016 - 14:49

Corea del Sur está llevando a cabo una diplomacia de potencia media en un contexto regional cada vez más difícil, marcado por las tensiones entre China y Estados Unidos. El factor clave que conforma la identidad de Corea del Sur como potencia media es su relación con su aliado más importante, Estados Unidos. Durante la última década, la diplomacia de Corea del Sur ha evolucionado, al centrar su atención en los problemas globales en lugar de los regionales. Sin embargo, el compromiso global y el enfoque regional no pueden ser una alternativa en la política exterior de Corea del Sur. El desafío para el país es ayudar a dar forma a una arquitectura regional estable, procurando desempeñar al mismo tiempo un papel proactivo en marcos multilaterales.

Dr Eleni Panagiotarea discusses the Greek economic policy in Kathimerini, 12/01/2016

ELIAMEP - Wed, 13/01/2016 - 12:06

Dr Eleni Panagiotarea wrote an article in Kathimerini discussing the Greek economic policy. The article was published on 12 January 2016 and is available here .

Abschied von Wildbad Kreuth: "Die Zeit eilt, teilt und heilt"

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 13/01/2016 - 11:19
Nach nunmehr 40 Jahren endet die Ära der Hanns-Seidel-Stiftung als Betreiber des Bildungszentrums Wildbad Kreuth. In einem festlichen und würdigen Rahmen sind sich deshalb nochmals die Belegschaften aus Kreuth und der Zentrale München begegnet, um gemeinsam vom Bildungszentrum Abschied zu nehmen.

Kinderbild in Erziehung und Bildung: Das selbständige Kind

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 13/01/2016 - 00:00
Das Leitbild des angepassten Kindes ist nicht mehr in Mode. Die heutige partnerschaftliche Erziehung berücksichtigt die Interessen und Bedürfnisse des Kindes.

Vor 25 Jahren: Der "Blutsonntag von Vilnius" – Anfang vom Ende der Sowjetunion

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 13/01/2016 - 00:00
Hier in Vilnius begann der Zusammenbruch der Sowjetunion. Am Ende des Jahres, am 31. Dezember 1991, wurde die rote Fahne über dem Kreml eingeholt.

Weltweit für den Rechtsstaat

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 13/01/2016 - 00:00
Die weltweite Rechtsstaatsarbeit der Konrad-Adenauer-Stiftung einer breiteren Öffentlichkeit vorzustellen ist Ziel der vorliegenden Broschüre.

La crise au Burundi peut-elle dériver vers un génocide ?

IRIS - Tue, 12/01/2016 - 17:21

Après le signalement de nouveaux crimes ce weekend à Bujumbura, la situation sécuritaire reste préoccupante au Burundi, certains craignant même une dérive génocidaire. Quels sont les éléments de tension ?
Un rapport confidentiel présenté au Conseil de sécurité des Nations unies indique qu’il y a différents scénarios possibles, dont celui, tout à fait envisageable, d’un génocide. Nous sommes dans une situation qui s’est profondément aggravée au fil du temps. Cela remonte à la décision d’avril 2015 du président burundais Pierre Nkurunziza de se présenter aux élections présidentielles et de faire, si ce n’est un coup d’Etat constitutionnel, une manipulation constitutionnelle dans le but de briguer un troisième mandat. Il y a depuis eu une extension des mouvements d’opposition, des répressions extrêmement violentes, une tentative ratée de coup d’Etat et des attaques de bastions militaires à Bujumbura au mois de décembre, fortement réprimées. Nous sommes donc dans un engrenage.
Jusqu’à présent, le conflit n’était pas réellement ethnicisé, même s’il y avait en mémoire ce qui s’est passé entre 1993 et 2005 où il y a eu environ 300.000 morts. On était dans une situation où le jeu paraissait essentiellement politique. Or, aujourd’hui, entre cinq et sept factions armées sont à la fois présentes au Burundi et dans les deux pays voisins, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, et sont toujours capables de mobiliser des jeunes désœuvrés. De très nombreuses armes circulent et sont disponibles. Il existe un risque réel de dérive pouvant conduire à une augmentation des assassinats et des déplacés que l’on estime déjà à plus de 200.000 personnes. Les risques que cette grave crise dérive vers un génocide sont réels.

La communauté internationale s’est-elle saisie de l’ampleur de la crise ?
La communauté internationale s’en est saisie, mais le Burundi ne représente pas un réel enjeu stratégique sur le plan international. Il ne concerne pas les problématiques liées au djihadisme, au terrorisme et à l’islamisme radical, qui préoccupent actuellement le monde occidental. C’est un petit pays enclavé qui n’est pas non plus stratégique du point de vue de ses ressources. Toutefois, la communauté internationale a en tête le génocide de 1994 au Rwanda, où sa responsabilité est grande. Elle est consciente que l’histoire ne doit pas se répéter dans le pays jumeau qu’est le Burundi.
La France a, au niveau des Nations unies, fait des propositions d’intervention. Une intervention des Nations unies est bien entendu envisageable si le scénario pré-génocidaire est retenu. Ceci étant, tous les pays membres du Conseil de sécurité n’ont pas la même position du cas burundais puisque Nkurunziza est notamment défendu par la Russie et la Chine, ce qui est susceptible d’entraîner un veto au niveau du Conseil de sécurité.
L’Union européenne se mobilise comme elle le fait d’habitude, c’est-à-dire par des sanctions, en affirmant que l’aide ne doit pas non plus nuire aux populations burundaises. Il faut en effet savoir que l’aide est fondamentale pour assurer l’équilibre budgétaire du Burundi. L’Europe n’est ainsi pas très mobilisée, si ce n’est au nom de la défense des droits de l’homme.
Quant à l’Union africaine (UA), elle a avancé des propositions d’intervention militaire qui ont été récusées par le pouvoir burundais. Il faut savoir que l’UA est un syndicat de chefs d’Etats et qu’elle peut, en vertu de ses accords constitutifs, intervenir malgré la volonté d’un pays. Mais en réalité, la plupart d’entre eux n’en ont pas envie. Pour ce faire, il faudrait une majorité des deux-tiers, ce qui semble peu probable. Beaucoup de pays dont les chefs d’Etats ont eux aussi manipulé la constitution ne souhaitent pas adopter une position forte vis-à-vis du Burundi. C’est notamment le cas de la RDC, de la Tanzanie, de l’Angola ou encore du Zimbabwe. La négociation lancée sous l’égide de l’Ouganda entre les représentants du pouvoir en place et le regroupement des différentes forces de l’opposition, eux-mêmes très divisés, a échoué. Pour l’instant, l’UA est largement défaillante.

Le Burundi accuse notamment le Rwanda d’entraîner des Burundais sur son sol et les renseignements de la RDC s’inquiètent d’infiltrations à l’Est de rebelles burundais. Quels sont les risques d’un embrasement régional ?
Les risques d’un embrasement régional sont très grands. Il s’agit d’une configuration où les différentes factions armées sont localisées en RDC, au Rwanda et en même temps au Burundi. Le recrutement de jeunes ne pouvant s’effectuer sur une base religieuse, se fera naturellement sur une base ethnique (entre hutu et tutsi). Ainsi, le problème va s’ethniciser. Il est facile de mobiliser des jeunes désœuvrés sur cette base, dès lors qu’on leur fournit des armes et qu’on les paye. Il est évident que le conflit du Burundi deviendra un conflit régional. Le président rwandais Paul Kagamé a affirmé qu’il soutiendra jusqu’au bout les tutsis. La RDC soutiendra quant à elle les mouvements hutus. Les affrontements entre milices hutus et tutsis ayant cours dans la province du Kivu depuis 1994 s’accentueront au niveau régional. Cela n’est pas réjouissant et doit être à tout prix évité. Il y a de ce point de vue une responsabilité de la part de la communauté internationale, qui doit impérativement être présente sur le dossier burundais.

Public event: “Maritime Security: Differences between Europe and Asia”

ELIAMEP - Tue, 12/01/2016 - 13:19

The Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) and the Embassy of Japan in Greece would like to cordially invite you to a public event on the theme of: “Maritime Security – Difference between Europe and Asia”.

Welcoming Remarks:
H.E Amb. Masuo Nishibayashi, Embassy of Japan, Athens

Speaker:
Prof. Satoshi Morimoto, National Security and Defense Policy Specialist & former Minister of Defense, Tokyo

Chair:
Dr. Thanos Dokos, Director General, ELIAMEP, Athens

The event will be held in English, on Friday 15 January 2016, at 11:00, at the Basil and Marina Theocharakis Foundation for the Fine Arts and Music (9, Vassilissis Sofias Avenue & 1, Merlin Street, 106 71 Athens).

You are kindly requested to confirm your participation to Ms. Anastasia Chatzopoulou by 13 January 2016 (Tel. 2107257124, E-mail:activities@eliamep.gr).

Va-t-on vers une restructuration du système politique espagnol ?

IRIS - Tue, 12/01/2016 - 12:33

Les élections du 20 décembre 2015 ont laissé un Parlement espagnol très fragmenté. Comment analysez-vous la situation politique actuelle ? Est-ce un bouleversement sans précédent du système politique espagnol et quelle issue est envisageable ?
Il y a une apparence de rupture, créée par l’émergence de nouveaux partis politiques, Podemos et Ciudadanos. Mais le système politique reste ce qu’il est, qu’il s’agisse de la Constitution ou du système de partis, avec des formations de droite, de gauche, nationales espagnoles et nationalistes périphériques. Ce qui est nouveau, c’est la situation créée par le résultat de l’élection. Traditionnellement, il y avait à chaque élection un parti très majoritaire, donc il y avait soit l’alternance d’un parti à un autre, soit une continuité. Dans le cas de figure actuel, les électeurs ont dispersé leurs voix et le parlement s’est ainsi retrouvé très fragmenté. Il y a une nécessité pour les uns et pour les autres d’ouvrir un dialogue en vue de voir s’il est possible de constituer une majorité, ce qui s’avère extrêmement difficile compte tenu du résultat d’une part, et de l’absence d’autre part d’une culture de dialogue et de compromis pour composer des majorités entre des forces politiques différentes. Depuis le 20 décembre 2015, le jeu est ouvert. Les propositions sont sur la table, mais on ne voit pas très bien quelle pourrait être l’issue de ces éventuelles négociations avant l’ouverture des travaux parlementaires. Nous verrons le 13 janvier 2016 si, pour la composition du bureau du parlement, les députés arrivent à se mettre d’accord sur l’élection d’un président et ensuite d’un bureau représentatif de la diversité du congrès des députés.

Carles Puigdemont a été élu à la présidence de la Catalogne, qu’il promet de mener vers l’indépendance en 2017. Peut-il accélérer le processus de sécession ? Comment l’exécutif national répond-il à ce défi ?
Carles Puigdemont ne peut manifestement pas accélérer le processus de sécession car la Constitution ne le permet pas. Il paraît difficile d’aller vers une décision de ce type sans qu’il y ait une négociation avec le pouvoir central. À partir du moment où le président du parlement catalan, avec sa majorité, refuse ce type de dialogue, le gouvernement central à Madrid va saisir le tribunal constitutionnel qui va invalider toutes les décisions prises comme hors la loi, même s’il s’agit d’un hors la loi assumé par une partie de la collectivité nationale, celle des partis indépendantistes catalans, majoritaires dans leur assemblée. Ce cas de figure s’est déjà manifesté au Pays basque. Les initiateurs de ces décisions doivent donc savoir qu’ils ne pourront pas aller au bout de leur démarche, ce qui pose un certain nombre d’interrogations et de problèmes, d’autant plus qu’un rapport de force aurait pu être créé si les partisans de l’indépendance de la Catalogne disposaient d’une très large majorité, ce qui n’est pas le cas. Il faut rappeler qu’aux élections du mois de septembre 2015, le parlement catalan ayant été dissous cette dissolution avait été présentée comme étant à caractère plébiscitaire. Une majorité parlementaire, petite mais réelle, en était sortie pour les partis indépendantistes. En revanche, ces partis étaient loin du compte en termes de voix puisqu’ils n’avaient obtenu qu’un petit peu moins de 48% des votes exprimés, ce qui ne leur donne manifestement pas le poids et la légitimité suffisante pour aller au bout de leur démarche.

L’Espagne est l’un des pays les plus impactés par la crise économique en Europe. La situation est-elle en train de s’améliorer ?
La situation est en train de s’améliorer du point de vue macroéconomique. Il y a une reprise effective, avec des créations d’emplois, mais le trou dans lequel était tombée l’économie espagnole était si grand et les effets négatifs sur la population si importants que le redressement de la courbe de ces derniers mois n’est pas encore perçu par la majorité de la population, ce qui explique le vote sanction du 20 décembre 2015. Il s’agit en effet d’un vote de sanction. Le parti populaire est arrivé en tête, mais il a perdu 63 députés. L’interprétation qu’on doit donner au vote exprimé est donc sans équivoque. Les électeurs ont considéré qu’en dépit d’une reprise économique qui peut se lire statistiquement, ils n’en voient pas la couleur dans leur quotidien, y compris dans la création d’emploi. La diminution du chômage est due autant aux créations d’emplois qu’au retour des immigrés dans leur pays d’origine et à la reprise d’une immigration espagnole en direction des pays étrangers, ce qui fait nécessairement chuter le pourcentage des personnes en quête de travail.

Announcement on ‘MIGR_11f.15′ position

ELIAMEP - Tue, 12/01/2016 - 12:29

The content is available in Greek.

Veränderte Prioritäten am Golf

SWP - Tue, 12/01/2016 - 11:25

Saudi-Arabien und die Vereinigten Arabischen Emirate (VAE) dürften ihre Geldgeschenke an Ägypten unter Präsident Abdel Fattah al-Sisi in Zukunft deutlich weniger großzügig ausfallen lassen. Denn Saudi-Arabien hat sich unter dem seit einem Jahr amtierenden König Salman der Muslimbruderschaft angenähert, die vom ägyptischen Regime als Ursache allen Übels dargestellt wird. Riads übergeordnete Priorität ist heute, den regionalen Einfluss Irans, vor allem im Jemen und in Syrien, einzudämmen. Doch gerade in Syrien weicht Sisis Position von der Saudi-Arabiens ab. Darüber hinaus ist man in Riad wie auch in Abu Dhabi frustriert, weil Erfolge bei der Verbesserung von Ägyptens Wirtschafts- und Sicherheitslage ausbleiben. Niedrige Ölpreise sorgen zudem für eine restriktivere Ausgabenpolitik am Golf. Für Deutschland und die EU bietet sich damit erstmals seit dem Sturz von Präsident Mohammed Mursi die Gelegenheit, in Ägypten mittels konditionierter finanzieller Unterstützung auf mehr politische Teilhabe und bessere Regierungsführung zu drängen.

"Par manque de courage et de vision, notre pays décroche" : Henri de Castries

Institut Montaigne - Tue, 12/01/2016 - 10:23
Date de parution: Vendredi 08 Janvier 2016Auteur: Bertille Bayart et Jacques-Olivier MartinNom de l'editeur: Le FigaroImage de l'editeur: Description: Le PDG d'Axa, Henri de Castries, juge que notre époque est pleine de dangers mais aussi d'opportunités. Le manque de réformes en France l'inquiète énormément.Type de parution: L'institut est citéType de média: PresseLien: http://premium.lefigaro.fr/societes/2016/01/08/20005-20160108ARTFIG00308-par-manque-de-courage-et-de-vision-notre-pays-decroche.php

L'Institut Montaigne préconise de transférer la politique d'emploi aux régions

Institut Montaigne - Tue, 12/01/2016 - 10:19
Date de parution: Mardi 12 Janvier 2016Auteur: Marie ThéobaldNom de l'editeur: Le FigaroImage de l'editeur: Description: Pour le think-tank, la création d'un opérateur public régional unique permettrait d'appliquer de manière plus efficace la politique de l'emploi.Type de parution: L'institut est citéType de média: PresseLien: http://premium.lefigaro.fr/emploi/2016/01/12/09005-20160112ARTFIG00013-l-institut-montaigne-preconise-de-transferer-la-politique-d-emploi-aux-regions.php

21/01/16 : Petit-déjeuner de la science et de l’innovation sur le thème : « Principe d’innovation versus principe de précaution »

Fondapol / Général - Tue, 12/01/2016 - 09:52

La Fondation pour l’innovation politique souhaite relayer le prochain petit-déjeuner de la science et de l’innovation, qui aura lieu le jeudi 21 janvier 2016 de 8h30 à 10h à l’Hôtel de l’Industrie, 4 place Saint-Germain-des-Prés, Paris 6e.

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