Le prince héritier Saoudien, Mohamed Ben Salmane est arrivé ce mardi 27 novembre en Tunisie dans le cadre d’une visite dans plusieurs pays arabes.
Le président Tunisien, Béji Caid Essebsi, a indiqué dans une déclaration à la presse, l’existence d’une relation distinguée entre l’Arabie Saoudite et la Tunisie ainsi qu’une stabilité assurée et sauvegardée de génération en génération, à travers l’histoire.
The post MBS arrive en Tunisie appeared first on .
ALGER – Vingt-cinq (25) artisans de différentes wilayas du pays prennent part à la Semaine de l’artisanat algérien, organisée par le ministère du Tourisme et de l’Artisanat au niveau du Musée d’art moderne de la capitale koweitienne, en vue de faire connaître la diversité de l’artisanat national, a indiqué, mardi, un communiqué du ministère.
Cette toute première manifestation, lancée officiellement dimanche passé, est « l’occasion pour les artisans de mettre en avant leurs créations et de chercher de nouvelles opportunités commerciales et de nouveaux clients à l’étranger », a précisé le communiqué.
Cette manifestation qui s’étalera sur cinq (5) jours s’inscrit dans le cadre de « la consolidation des liens de coopération entre l’Algérie et le Koweït, notamment dans le domaine de l’Artisanat », a ajouté la même source.
Plusieurs produits d’artisanat, confectionnés par des créateurs doués, seront exposés notamment des objets en céramique, des tenues traditionnelles, des bijoux, de la vannerie, de la décoration sur bois et de la broderie traditionnelle », indique-t-on de même source.
Encadrée par l’Agence nationale de l’artisanat traditionnel (ANART) et organisée en coordination avec le Conseil national koweitien de la culture, des arts et des lettres, en collaboration avec l’ambassade d’Algérie au Koweït, l’ouverture de la Semaine de l’artisanat a été rehaussée par la présence de plusieurs représentations diplomatiques au Koweït notamment du Qatar, Egypte, Djibouti, Corée du Sud, Soudan, Niger, Tunisie et Turquie, ainsi que par des cadres relevant du ministère koweitien de l’Information, de la Maison de l’archéologie islamique et du Conseil national koweitien de la culture, des arts et des lettres.
L’exposition a vu, à son premier jour, l’affluence d’un grand nombre de visiteurs parmi la Communauté algérienne établie au Koweït et quelque 250 personnalités officielles, qui se sont réjouies de la qualité et de la diversité des produits artisanaux algériens exposés, a conclu le communiqué.
The post 25 artisans à la Semaine de l’artisanat algérien au Koweït appeared first on .
PARIS – Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a déposé plainte contre l’Etat français pour « déni de justice » suite à la perdition par la justice, il y a deux ans, d’une plainte contre une élue de Compiègne (Oise, Hauts-de-France), pour « provocation à la haine raciale », a-t-on appris mardi d’un responsable.
« Le Conseil français du culte musulman vient de saisir le tribunal de grande instance de Paris, par le truchement de l’avocate Khadidja Aoudia, et assigné au civil l’Etat pour déni de justice », a indiqué à l’APS Abdallah Zekri, délégué général du CFCM et président de l’Observatoire national contre l’islamophobie.
Le CFCM, rappelle-t-on, avait déposé une plainte le 3 août 2016 contre Arielle François, adjointe au maire de Compiègne (Oise, Hauts-de-France), pour « provocation à la haine raciale » suite au tweet d’un moine bouddhiste anti-islam qu’elle a relayé dans lequel il traitait les musulmans « chiens enragés ».
Cette plainte n’a pas reçu de suite jusqu’à aujourd’hui et le CFCM a été informé, en juin dernier, par le parquet de Compiègne qu’elle a été « perdue pendant la vacance du parquet ». Ce qui a poussé le délégué général du conseil à saisir officiellement la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui « n’a pas daigné répondre », d’après Abdellah Zekri.
Dans une correspondance, la procureure de la République, Virginie Girard, avait indiqué « qu’il n’a pas été retrouvé trace de la procédure visé en objet à mon parquet et que celle-ci, n’ayant pas été transmise à un service d’enquête, doit manifestement être considérée comme perdue », ajoutant que les faits objets de la plainte, « qualifiés de diffamation et provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale, et d’apologie de crime de guerre, sont dès lors manifestement prescrits ».
Dans une lettre envoyée à la ministre de la Justice, Abdallah Zekri s’est dit « indigné », déplorant « le peu de considération » réservé à ce type de procédure.
« Une manifestation explicite de la justice qui dénigre les actions menées par le CFCM. Il sera forcé de constater que l’institution judiciaire est défaillante lorsque les victimes sont supposées ou avérées musulmanes (alors) qu’à l’inverse, lorsque les auteurs sont de confession musulmane, la réponse est toujours immédiate », a-t-il écrit.
The post Le CFCM dépose plainte contre l’Etat français pour « déni de justice » appeared first on .
ALGER- Cinquante-huit (58) nouveaux cas de SIDA ont été enregistré, lors du premier semestre 2018, a indiqué Mme Bourkiche Zekagh Nadia, Chef de service des activités sanitaires et des produits pharmaceutiques à la Direction de la Santé.
« 58 nouveaux cas de séropositifs de différents âges, dont 14 cas de nationalité étrangère ont été enregistré lors du premier semestre 2018, contre 82 cas recensés durant la même période de l’année passée », a affirmé mardi, à l’APS, Dr Bourkiche dans le cadre des préparatifs de la journée internationale de lutte contre le SIDA, coïncidant avec le 1er décembre.
Selon la même responsable, la majorité des malades sont traités au niveau des services des maladies infectieuses, sachant que ces services centraux ont été dotés de différents produits pharmaceutiques et sont encadrés par un personnel médical et paramédical spécialisé.
Plus de 5000 personnes se sont rendues de façon volontaire aux trois centres de référence, ouverts au niveau de la wilaya d’Alger, destinés à la prise en charge des séropositifs, afin de procéder aux analyses nécessaires pour le dépistage de cette maladie, a-t-elle fait savoir.
Plus précise, la responsable a cité les différents services et laboratoires médicaux relevant des établissements hospitaliers publics de la wilaya (EPH), assurant les analyses permettant de procéder au dépistage de ce virus, ainsi que le contrôle des dons de sang.
Outre le dépistage tardif de cette maladie, considérée toujours comme étant un tabou au sein de la société, Dr Bourkiche a estimé que de garder secrète cette maladie notamment chez les homosexuels et les toxicomanes pose de réels problèmes aux médecins pour la prise en charge de ces patients, rappelant à ce titre que le taux enregistré ne reflète pas la véritable situation épidémiologique.
Elle a mis l’accent, par ailleurs, sur la gratuité des prestations sanitaires, y compris les médicaments antiviraux et les soins, au profit de tous les séropositifs, sans distinction aucune entre citoyen Algérien ou étranger, et ce dans le cadre du programme du plan national stratégique anti-sida (2016-2020), ainsi que le renforcement des efforts visant à éradiquer cette épidémie, faisant état, à ce titre, de l’enregistrement, au cours de 2017, de 206 nouveaux cas de Sida à Alger.
Elle a rappelé, en outre, que la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, célébrée le 1er décembre, se voulait une occasion pour tout un chacun d’atteindre ensemble le principal objectif, à savoir un monde sans VIH/SIDA. Cette journée permet également de faire connaître davantage cette maladie et ses risques, a-t-elle ajouté.
La même responsable a relevé, à ce propos, l’engagement de l’Algérie à lutter contre l’épidémie et à préserver les priorités tracées dans le programme national de lutte contre le VIH/SIDA et le plan national stratégique.
Par ailleurs, la direction de la Santé et de la Population d’Alger (DSP) participera, le 2 décembre prochain, à l’Hôtel Sofitel, à la journée d’étude, organisée par les services du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, en collaboration avec le représentant du programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONU SIDA) à Alger, sous le slogan « Moi, j’ai fait le dépistage et toi ? », et ce dans le cadre d’une série d’ateliers et de rencontres de sensibilisation aux risques de cette maladie, a-t-elle conclu.
The post SIDA: 58 nouveaux cas enregistrés à Alger au premier semestre 2018 appeared first on .
TEBESSA- Une « importante » quantité de plantes médicinales et aromatiques de l’ordre de 9.500 quintaux a été exploitée dans la wilaya de Tébessa, depuis l’année 2014, pour l’extraction des huiles naturelles et l’eau distillée, a-t-on appris mardi auprès de la conservation locale des forêts.
Depuis qu’elle supervise, à partir de 2014, l’exploitation des plantes médicinales et aromatiques et l’extraction des huiles essentielles naturelles, la conservation des forêts de Tébessa a enregistré l’utilisation de 9.500 quintaux de plantes dont 3.600 quintaux en 2018, a révélé, à l’APS, le chargé de communication de cette direction, Fouad Saad.
Cette filière de l’investissement industrielle et de transformation dans le domaine forestier a engendré la création de 123 postes d’emploi, a fait savoir le même responsable, au profit des saisonniers qui s’occupent de la collecte des herbes, des plantes et de l’extraction des huiles essentielles ainsi que la production de l’eau distillée utilisée dans le domaine de la phytothérapie.
Il a aussi ajouté que 4 quintaux des plantes comme le romarin, de roses et autres plantes permettent d’extraire 1 litre d’huile naturelle, ainsi que 10 à 20 litres d’eau distillée.
Par ailleurs, cette filière a été renforcée dans la wilaya de Tébessa par l’installation du conseil local professionnel des plantes médicinales et aromatiques, qui vise à organiser cette activité et la contrôler en soutenant les investisseurs et en les accompagnant, a déclaré son responsable, Ahmed Chergui.
Il a souligné, en outre, l’importance de soutenir les investisseurs à s’orienter vers le domaine forestier, afin de promouvoir cette filière dans la wilaya de Tébessa, qui totalise d’importantes superficies de plantes et d’herbes.
La même source a rappelé, en ce sens, l’importance d’organiser des formations dans le domaine de l’extraction des plantes et des herbes médicinales et aromatiques et la production de l’eau distillée, en plus de faciliter l’octroi des crédits de financement aux micro-entreprises, dans le but d’améliorer les conditions de vie des citoyens et de contribuer à la création de nouveaux emplois, ajoutant que la wilaya de Tébessa compte 25 investisseurs dans ce domaine.
The post Tébessa: exploitation de 9.500 qx de plantes médicinales et aromatiques appeared first on .