On 4 February, an SMM patrol consisting of five members and two armoured vehicles was positioned near a checkpoint of the Ukrainian Armed Forces, approximately 300m north of the disengagement area near Zolote (government-controlled, 60km west of Luhansk), to monitor the security situation.
Between 10:25 and 10:30, two patrol members, who were standing next to the vehicles, heard five undetermined explosions at an assessed range of 2-3km east and south-south-east. At 10:30, having just entered the vehicles, the SMM patrol members heard three explosions assessed as impacts, and saw flames, smoke, soot and snow 70-100m east-south-east.
The SMM patrol immediately moved about 5km north to the eastern edge of Zolote-2/Karbonit (government-controlled, 62km west of Luhansk), where between 10:40 and 10:50, it heard an increasing number of ceasefire violations. The patrol left the area, and returned safely to its base in Sievierodonetsk (government-controlled, 74km north-west of Luhansk). SMM notified the Ukrainian Armed Forces side of the Joint Centre for Control and Co-ordination and the armed formations about the incident.
Le ministre de l'économie et des finances, Romuald Wadagni et le président de la Commission de l'Union économique et monétaire Ouest-Africaine(Uemoa), Abdallah Boureima, ont tenu ce lundi 4 février 2019, à l'hôtel Golden Tulip de Cotonou, la 4ème revue annuelle des réformes, politiques, projets et programmes communautaires de l'Uemoa au Bénin.
Selon le président de la Commission de l'Uemoa, « à l'issue de l'évaluation, il ressort qu'en 2018, le Bénin affiche un taux de mise en œuvre des réformes de 80,2% contre 63,7% en 2017 ». « Un record de performance jamais égalé dans aucun autre pays de l'Union depuis l'institution de la revue en 2013 », a-t-il notifié. Abdallah Boureima a précisé que conformément aux dispositions pertinentes de la Décision du Conseil des ministres du 19 décembre 2013, la revue 2018 a été précédée d'une revue technique, sanctionnée par un mémorandum adopté par consensus et que les participants vont examiner afin d'en rendre compte au président de la République.
Au cours de cette revue technique, les équipes du Bénin et de la Commission de l'Uemoa, souligne-t-il, ont travaillé dans une ambiance empreinte de de franche collaboration, de professionnalisme et d'objectivité. Après ses civilités au président de la Commission et aux commissaires de l'Uemoa, le ministre de l'économie et des finances, Romuald Wadagni a informé qu'étant de l'Union, le Bénin a deux grandes familles d'engagements. « Nous avons des engagements qui sont liés aux textes que ce soient des règlements, des directives pris au niveau de l'Uemoa que nous devons internaliser, mettre en œuvre », a-t-il précisé. Ces différents textes et directives selon lui, visent à créer les conditions d'une meilleure intégration économique des pays.
Le 2ème niveau d'engagement, poursuit-il, concerne tous les projets/programmes et soutiens obtenus au niveau de la Commission. Pour le ministre de l'économie et des finances, aujourd'hui, le Bénin bénéficie d'un portefeuille d'à peu près une quarantaine de milliards de francs CFA, qui concerne aussi bien les secteurs du cadre de vie, le secteur des infrastructures et des transports. Le 2ème volet de l'engagement du Bénin concerne tous ces projets et programmes qui sont soutenus par la Commission et permettent d'améliorer les conditions de vie des populations, le cadre de vie et les infrastructures.
Romuald Wadagni a exprimé ses remerciements à la Commission pour tout le soutien et tous les travaux effectués ensemble depuis plusieurs années. L'objectif de cette revue annuelle, conclut le ministre, c'est de faire le point de ces deux aspects.
Cette revue annuelle a connu la présence des ministres José Didier Tonato du cadre de vie et du développement durable, de Alassane Seïdou des infrastructures et des transports, de Marie-Odile Attanasso de l'enseignement supérieur et de Aurélie Adam Soulé Zoumarou de l'économie numérique et de la communication.
Les travaux de cette revue s'achevent ce mardi 05 février 2019 par la remise officiel des résultats de l'évaluation consignés dans le mémorandum consensuel, au chef de l'Etat Patrice Talon.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales.
Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales. Pour les syndicats affiliés à l’intersyndicale, la tutelle temporise et n’a aucunement l’intention de s’asseoir à la table de dialogue.Il est utile de rappeler que le collectif des syndicats autonomes a accordé à la tutelle un ultimatum, afin de prendre en charge leurs revendications à travers des réponses écrites, qui expirera le 15 de ce mois.
Par ailleurs, les partenaires sociaux ont décidé de ne pas prendre part à la réunion qu’a convoquée ce lundi la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, soutenant que le point portant sur les œuvres sociales n’a rien d’urgent, eux qui ont proposé jadis d’organiser un “référendum national” auquel participeront tous les syndicats.
En outre, ils devront bouder également la rencontre de mercredi où il sera question d’examiner les dysfonctionnements du statut particulier des professionnels du secteur.
A ce propos, Boualem Amoura, président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) a indiqué à Echorouk que la tutelle a convoqué les syndicats de l’intersyndicale pour prendre part à des réunions successives consacrées à débattre du dossier des œuvres sociales dont la ministre a tranché ,à elle seule, sans impliquer les partenaires sociaux.
Le président de Satef a fait savoir que le deuxième dossier étant celui du “statut particulier des professionnels du secteur” – est actuellement en étude- après avoir été transféré à la commission intersectorielle regroupant le ministère de l’Education, les Finances, l’Enseignement supérieur et la Direction générale de la Fonction publique qui sont appelés à revoir ses lacunes.
Pour lui, la tutelle joue la montre car sa démarche visant à associer les syndicats signifie que les dossiers en question seraient déjà tranchés ou en étude, qualifiant ainsi ces réunions de conjoncturelles.
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Le Forum des chefs d’entreprises se transforme officiellement en syndicat. Le FCE a annoncé aujourd’hui avoir obtenu auprès du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, en ce 4 février l’agrément portant création du syndicat FCE sous le nom de « Confédération Forum des Chefs d’Entreprise ». Le Forum s’est d’ailleurs félicité « de l’aboutissement du processus de création du syndicat des Chefs d’entreprise, lancé en juin dernier, processus mené dans le respect de la réglementation et des lois de la République, en étroite collaboration avec les services du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale ». Pour rappel, le processus de transformation du FCE en syndicat a été entamé en janvier 2018, lors d’une Assemblée générale extraordinaire de l’organisation patronale. Le dossier de demande d’agrément a été déposé le 14 juin dernier, laissant supposer une dissolution du Forum en tant qu’association professionnelle, chose qui a été démentie par la suite, avant que la transformation du Forum en syndicat ne soit confirmée lors de l’assemblée générale ordinaire du FCE tenu le 15 décembre dernier.
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ALGER – Le directeur des Transports de la wilaya d’Alger, Rachid Ouezzane a fait état, lundi, de l’entrée en service, fin février en cours, de 25 carrefours pilotes « intelligents » dans la wilaya d’Alger, dans le cadre de l’exécution de la première phase du projet algéro-espagnol portant mise en place d’un nouveau système de régulation du trafic routier et d’éclairage public.
Vingt-cinq (25) carrefours équipés de système de régulation du trafic routier seront opérationnels à la fin du mois de février à travers les communes de Belouizdad et Sidi M’hamed (étape pilote), et ce, dans le cadre de la concrétisation du projet algéro-espagnol visant à améliorer et fluidifier la circulation routière et régler le problème des embouteillages, a indiqué à l’APS M. Ouezzane.
Doté d’une enveloppe de 19 Mds DA, ce projet dont la réalisation, en 3 phases, est prévue sur 55 mois, est confié à la société mixte algéro-espagnole mobilité et éclairage d’Alger (MOBEAL), composée de l’Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), de l’Etablissement de réalisation et de maintenance de l’éclairage public de la wilaya d’Alger ainsi que de deux entreprises espagnoles spécialisées, a-t-il précisé, ajoutant que c’est là un projet « ambitieux » qui permettra de connaitre le trafic routier en temps réel, d’améliorer les conditions de déplacement, réduire la durée des voyages et tenir informé les usagers de la route via Internet.
Soulignant que la réception et la mise en marche des feux tricolores intelligents sur l’axe Place du 1er mai (Sidi M’hamed) – Belouizdad constituent la première phase, M. Ouezzane a expliqué que la zone pilote sera raccordée « temporairement » à un mini centre pilote au niveau de l’unité ETUSA de la Place du 1er mai afin de bien s’imprégner des particularités de ce système intelligent et de l’utilisation de nouveaux outils technologiques.
Cette première phase, concrétisée à hauteur de 40%, enregistre un retard dû à la topographie des sites, a-t-il ajouté. Le directeur des Transports d’Alger a évoqué la réception, d’ici octobre prochain, de 200 carrefours intelligents, dans le cadre de la première phase, à travers les communes d’Alger, notamment à El Biar, Alger centre et Kouba.
Il a fait état, dans ce sens, de l’achèvement des travaux de réalisation d’un centre de régulation à Kouba, devant entrer en service en octobre prochain après son aménagement et son équipement pour la gestion intelligente du trafic routier, la collecte des informations sur les flux de circulation grâce à des caméras de détection de véhicules. Des données analysées, par la suite, pour l’amélioration du trafic routier, a-t-il dit.
Concernant la deuxième phase, M. Ouezzane a fait savoir que le lancement est prévu début septembre prochain avec un délai de réalisation de 25 mois, déclarant qu’elle concerne la mise en place de 300 autres carrefours intelligents dans les communes d’Alger-est et d’Alger-ouest, outre la création d’un mini-centre de régulation du trafic routier de secours au niveau de la Cité des sciences (Alger), auquel il sera fait appel uniquement en cas de panne du centre de Kouba.
Quant à la troisième phase, devant être concrétisée en 18 mois, elle porte sur la gestion des moyens de transport commun, des parkings, tunnels et les accès, a-t-il ajouté soulignant que les données collectées via les caméras seront analysées pour tenir informés les conducteurs à travers un site électronique exclusivement destiné à l’information routière.
Ces carrefours « intelligents » et les trottoirs adjacents ont été aménagés pour être accessibles aux personnes aux besoins spécifiques et équipés d’un système sonore destiné aux non-voyants, et ce en coordination avec diverses associations, dans le cadre de la prise en charge de cette catégorie de la société, a-t-il conclu.
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AIN TEMOUCHENT- Le législateur algérien a uniformisé, à travers les réformes introduites au Code de la famille, les droits et devoirs communs entre conjoints et permis à la femme une égalité avec l’homme, ont affirmé lundi à Ain Témouchent, des universitaires qui ont animé une journée d’étude sur la situation de la femme dans le système juridique national.
L’enseignante à la faculté de droit de l’université de Tlemcen, Sanae Cheikh, a fait remarquer que « le Code de la famille algérienne stipule que l’âge du mariage est fixé à 19 ans pour l’homme comme pour la femme et exige une autorisation du juge concernant les mineurs », précisant, par ailleurs que l’article 37 du Code de la famille reconnaît aux femmes la pleine liberté de disposer de leurs biens.
L’universitaire de Tlemcen, Mourad Benaouda Haskar, a mis l’accent, dans sa communication abordant les mécanismes permettant à la femme fonctionnaire d’assumer son rôle dans le développement durable, sur la nécessité de définir les postes ne permettant pas aux femmes d’exercer un métier vu sa pénibilité et les risques qu’elles peuvent encourir d’où le refus de l’employeur à recruter des femmes.
La présidente de la rencontre, Nassima Cheikh, de la faculté de Droit du centre universitaire « Belhadj Bouchaib » d’Ain Témouchent, a mis l’accent sur le principe d’équité entre les deux sexes, signalant que le législateur algérien a tenté, par le biais de réformes, de mettre en place des mécanismes à même de promouvoir la participation politique de la femme dans la prise de décision et la contribution au développement national durable.
« La consécration de cette équité permet à la femme d’être un élément efficace dans la société » et de préserver sa place et ses caractéristiques de femme et de mère partant des constantes et des valeurs de la nation.
Un débat ouvert entre conférenciers, étudiants et représentants d’associations locales a eu lieu au terme des communications présentées au cours de cette journée d’étude, organisée par la faculté de Droit du CU ‘Belhadj Bouchaib’ avec la participation d’universitaires des wilayas d’Oran, de Tlemcen, de Sidi Bel-Abbès et d’Ain Témouchent.
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ALGER – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé lundi, à Alger, les présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles à fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils, a indiqué un communiqué du ministère.
Au cours d’une réunion de travail consacrée à l’évaluation périodique de la mise en œuvre de l’activité des Conseils interprofessionnels des filières, qu’il a présidée au siège de son département ministériel, M. Bouazghi a recommandé aux présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles de consolider l’encrage des différents conseils au niveau local et de fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils.
Dans ce cadre, « il leur a également recommandé de procéder à la construction d’une base de données permettant de dresser un état exhaustif de leur filières, tout en veillant au recours aux moyens modernes de collection d’information », a ajouté le communiqué.
La même source a indiqué par ailleurs que, le ministre a sollicité les présidents des conseils de communiquer d’avantage sur leurs conseils et les objectifs assignées aux filières agricoles par les différents voies de communication afin de renforcer d’une part la composante des conseils et faire adhérer, d’autres part, les différents acteurs à la stratégie entreprise par le secteur pour la redynamisation et le renforcement des filières agricoles.
Lors de cette rencontre à laquelle ont assisté les présidents des conseils des filières agricoles, les chefs de file et les cadres centraux du ministère, M. Bouazghi « a exhorté les présidents des conseils à redoubler d’effort afin de relever le défi de la diversification économique et du renforcement de la sécurité alimentaire du pays, à travers la concertation régulière entre les acteurs des filières », lit-on dans le communiqué.
Le ministre a par ailleurs rappelé le rôle stratégique que devraient jouer ces conseils afin d’atteindre les objectifs qui leur ont été assignés, notamment la mise en place d’un cadre efficace et cohérent permettant de soutenir la dynamique de croissance enregistrée dans les différentes filières agricole.
Il a enfin souligné que les efforts fournis en matière de développement des filières devraient être renforcés à travers l’accompagnement de tous les acteurs agissant tout au long des différents segments des filières depuis la fourniture des intrants jusqu’au produit final en passant par la production , la commercialisation et la transformation.
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ALGER – Trois (3) personnes ont trouvé la mort et 80 autres ont été blessées dans 69 accidents de la route survenus en zones urbaines le week-end dernier, ont indiqué lundi les services de la Sûreté nationale.
Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents en sus d’autres facteurs, selon ces mêmes services.
A cet effet, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) appelle les usagers de la route à faire preuve de prudence et de vigilance et à respecter le code de la route, sans oublier de soumettre les véhicules à un contrôle régulier, particulièrement en cette période marquée par les intempéries affectant certaines régions du pays, et ce pour la préservation de la vie et l’intégrité des usagers de la voie publique.
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