La fête du nouvel 2020 a été marquée à Bohicon, dans le département du Zou, par un fait inédit. Une femme a été mordue à la joue ce 1er janvier 2020 par son mari. Et pour cause, elle aurait accusé de retard pour la cuisson du repas.
Des sources concordantes renseignent que le mari après une promenade dans la ville est rentré aux environs de midi. Ayant constaté que son épouse n'avait pas encore apprêté le repas pour la fête, il lui a administré des pairs de gifle, puis ressorti.
Révoltée par le comportement de son époux ce premier jour de l'an, elle décide de se venger.
Alors qu'elle cherchait à administrer à son tour des pairs de gifle à son mari, celui-ci l'a saisie puis lui mord la joue.
Il a fallu l'intervention du voisinage pour que le calme revienne dans le foyer.
F. A. A.
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Le 28 décembre, une cinquantaine d'éminents chefs religieux sud-coréens ont publié une déclaration commune déclarant le pasteur presbytérien, le révérend Jun Kwang-hoon, "ennemi public " avec des sacrilèges et des activités criminelles, car ses discours haineux et ses activités antigouvernementales suscitent l'inquiétude et la controverse.
L'événement a été organisé par la Fédération chrétienne de lutte contre la corruption et parrainé par l'Association pan-régionale. Dans la déclaration, les chefs religieux "dénoncent le révérend Jun pour les péchés qui ont provoqué des conflits et des divisions sociales" en raison de ses remarques, notamment "Dieu, si tu fais des bêtises, je te tuerai", "l'islam et l'homosexualité sont des maladies" et "les femmes disent les paroles de Satan".
"Dites à une jeune croyante d'enlever sa culotte et de dire : "Je veux coucher avec toi. Si elle accepte, elle est croyante. Si elle refuse, c'est une merde", a dit le révérend Jun dans un programme de formation pour les pasteurs pour expliquer une façon de distinguer un "vrai" adepte de l'église.
La critique du monde religieux contre le révérend Jun a été déclenchée quand il a dit : "Ceux qui croient au bouddhisme devraient aller en prison ou sur une île inhabitée." Dans son discours inaugural en tant que Président du CCK en février, il a déclaré que sa tâche principale était de " bloquer l'homosexualité, l'Islam et la loi anti-discrimination ". (révérend Jun)
En octobre 2019, qualifiant le président sud-coréen Moon Jae-In de "fils de p***e", le révérend Jun a mené une manifestation anti-gouvernementale et a insisté sur le fait que le président Moon est un espion et qu'il y a 500 000 adeptes de la Corée du Nord pour "conduire le pays à la ruine" en le prenant aux Etats-Unis. Après la manifestation, il a ajouté : "Alléluia. Le moment le plus agréable est arrivé. Le temps de collecter les offrandes."
Massimo Introvigne, un sociologue italien et directeur du Centre d'études sur les nouvelles religions (CESNUR), la plus grande organisation internationale d'étude des nouveaux mouvements religieux, a noté que "les activités du CCK et du révérend Jun Kwang-hoon suscitent des préoccupations internationales. En plus de leurs activités politiques radicales, le CCK et le révérend Jun propagent l'intolérance religieuse en Corée et à l'étranger par des discours de haine et de discrimination contre les groupes qu'ils qualifient d'hérétiques".
"L'inquiétude croissante du CCK et du Révérend Jun vient de la question de la Constitution de la Corée du Sud qui impose la séparation de la religion et de l'Etat. Au-delà de l'activisme politique que les médias occidentaux ont souligné, les remarques et les comportements antisociaux, antireligieux et antinationaux du pasteur Jun sont quelque chose qu'on peut appeler un "ennemi public", a déclaré le représentant sud-coréen du Sommet bouddhiste mondial, le pasteur Hyewon.
Le Bénin a enregistré de bonnes performances dans le secteur de l'agriculture ces dernières années. Grâce aux réformes entreprises par le gouvernement Talon, le Bénin est devenu le premier producteur africain de coton devant le Mali et le Burkina Faso. Ce qui insuffle un nouveau souffle à l'économie béninoise.
La filière coton depuis l'avènement du ‘'Nouveau départ'' a changé de visage et ne s'est jamais aussi bien portée.
La filière sous le gouvernement de la Rupture a ressuscité suite aux nombreuses réformes engagées par le gouvernement béninois qui a à sa tête un ancien opérateur du coton.
Du quatrième rang de producteur africain en 2016-2017, le Bénin a rapidement adopté une nouvelle approche qui lui a permis de devenir le numéro 1 de l'or blanc du continent.
Au cours de la campagne 2018-2019, le Bénin s'en sort avec une production de 678.000 tonnes et se positionne à la première place devant le Mali et le Burkina-Faso.
Au Mali, les conditions climatiques n'ont pas favorisé la production du coton (660 000 tonnes). Par contre au Burkina Faso à cause des problèmes sécuritaires dans l'est du pays, les cotonculteurs ont abandonné leurs champs et récoltes. La production en coton a connu une baisse de 30 % (440.000 tonnes), au moment où la Côte d'Ivoire produit près de 460.000 tonnes.
Si le Bénin est devenu champion du coton en Afrique ce n'est pas un hasard. C'est plutôt le fruit des réformes menées dans le secteur.
La filière étant l'une des priorités du gouvernement Talon, dès la campagne 2016-2017, des réformes ont été mises en œuvre telles que : la mise en place à temps des intrants et des semences de qualité et en quantité suffisante ; la pluviométrie favorable, la réfection des pistes rurales pour faciliter la commercialisation du produit et l'homologation des prix de cession des intrants et des prix d'achat de coton graine aux producteurs.
Pour la campagne 2019-2020, le Bénin attend une production cotonnière de 850 000 tonnes. Le Mali envisage dépasser les prévisions des 800.000 tonnes si la pluviométrie est bonne. Quant au Burkina-Faso, il mène des efforts pour booster la filière coton en 2020.
La production du coton en Afrique a donc de beaux jours devant elle.
La République du Bénin qui a déjà pris toutes les mesures pour la prochaine campagne peut réaliser les prévisions des performances avec les 850.000 tonnes pour la campagne 2019/2020.
L'or blanc au Bénin représente 40% des entrées de devises et fournit 12 à 13% du produit intérieur brut (PIB).
La fibre blanche assure un revenu à plus d'un tiers de la population.
Akpédjé AYOSSO
Le chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, a nommé, ce jeudi soir, les membres du nouveau gouvernement que dirige le Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Et la surprise, le nouveau gouvernement ne compte pas de vice-ministre de la Défense nationale, un poste qu’occupait le général Ahmed Gaïd Salah depuis 2013 jusqu’à son décès le 23 décembre dernier. […]
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