Quatre vingt dix neuf (99) personnes ont été infectées par le coronavirus en Algérie, dont Dix (10) décès ont été recensés lors des derniers 24 heures , a annoncé, mercredi le 22 avril 2020, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. En effet, lors du point de presse quotidien […]
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La France a appelé, hier mardi 21 avril, au respect de la liberté de la presse en Algérie après la censure de plusieurs médias en ligne du pays actifs dans la couverture du mouvement populaire antirégime “Hirak”. « La France défend le respect de la liberté de la presse et d’opinion partout dans le monde […]
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Audience plénière ce jeudi 23 avril 2020 à la Cour Constitutionnelle sous la présidence du Professeur Joseph Djogbénou.
Selon le service de presse de la Cour Constitutionnelle, 06 dossiers seront examinés lors de cette audience plénière. Il s'agit de :
1-Le Directeur Général de l'Agence nationale du domaine et du foncier, M. Victorien Kougblénou forme un recours en inconstitutionnalité de ventes immobilières opérées par Madame Chantal de Souza épouse Idohou.
2- Michel Ahohou forme un recours en annulation de décisions rendues par la Cour de justice de la CEDEAO contre le Bénin,
3- M. Prosper Allagbé forme une recours en inconstitutionnalité de l'examen du certificat d'aptitude à la profession d'avocat de mars-avril 2019.
4- Les sieurs Adam Moussa, Abou Zato et Ignace Malonwe forment des recours en inconstitutionnalité d'une détention provisoire et de demande de mise en liberté d'office
5- M. Marc Gletton Quenum forme un recours en inconstitutionnalité de menaces proférées
6- Mme Lydie Kouchico forme un recours pour violation de la constitution.
A. A. A.
Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, a présidé ce mardi 21 avril 2020, l'audience solennelle d'installation du président de la Chambre des appels de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Cyriaque Dossa, également président de la CRIET, et nommé par décret n°2020-206 du 11 mars 2020, a été officiellement installé dans ses fonctions.
Prenant les réquisitions, le procureur général près la Cour suprême, Onésime Madodé a félicité le président de la Chambre des appels pour la confiance renouvelée placée en lui. Cette nomination selon lui, n'est pas le fruit du hasard, elle est plutôt celui du mérite. Cyriaque Dossa, fait-il savoir, est titulaire d'un doctorat en droit privé en sciences criminelles. C'est un « expert dans la quasi-totalité des matières relevant de la compétence de la CRIET », a ajouté le procureur général près la Cour suprême avant de saluer son engagement au service d'une justice de qualité.
Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko a félicité le chef de l'Etat Patrice Talon pour son sens d'écoute. Le président de la République à l'en croire, a été sensible aux critiques et autres observations portées par certaines personnes et même des acteurs de la famille judiciaire contre la loi sur la CRIET dans son ancienne formule avec impossibilité d'appel de ses jugements pour les parties. Fier de ce que l'idéal du double degré de juridiction soit consacré avec l'avènement de la loi n°2020-07 du 17 février 2020 sur la CRIET qui crée désormais une chambre de jugement et une chambre des appels, il a souligné que c'est une nouvelle ère qui s'ouvre pour la CRIET, bien qu'il s'agisse de la même personne dans la même juridiction, le personnage, le cadre et le contexte juridique ont totalement changé. Ce qui, selon lui, appelle forcément à de nouveaux défis.
Pour cela, le président de la Cour suprême a exhorté le président de la Chambre des appels de la CRIET à avoir de la science, de la sagesse et du courage. En tant que président de la chambre des appels et président de la CRIET, Cyriaque Dossa doit relever plusieurs défis, dont celui de corriger les erreurs judiciaires des juges de la chambre de jugement, a-t-il précisé. L'impartialité et la crédibilité qui caractérisent l'office du juge n'ont pas été occultées dans le discours de Ousmane Batoko. Il a invité le président de la chambre des appels à ne jamais perdre cela de vue afin de rendre des décisions exemptes de tout préjugé où ne doit être suspecté ni le juge ni le politique.
La crédibilité et la prévisibilité dans l'office du juge en général et du juge d'appel en particulier doivent être de mise, a rappelé le président de la Cour suprême.
Juste après la cérémonie d'installation, le président de la Chambre des appels de la CRIET a présidé l'audience d'installation des conseillers assesseurs de la chambre des appels, du président de la chambre de jugement de la CRIET, du président de la commission d'instruction et ses conseillers assesseurs puis des 2e et 3e substituts du procureur spécial près la juridiction spéciale.
F. A. A.
Candidat titulaire sur la liste du parti Bloc Républicain (BR) dans la commune de Bohicon, Me Rufino d'Almeida était l'invité ce mardi 14 avril 2020 de la rubrique « Sous l'Arbre à Palabre », du journal ‘'L'Evénement Précis''. Evoquant sa candidature aux communales du 17 mai, le leader de la liste du cheval blanc cabré confie que l'objectif du parti BR est de rafler le maximum de sièges.
Premier suppléant sur la liste du Bloc Républicain dans la 23ème circonscription électorale du Bénin (Abomey, Djidja, Agbangnizoun et Bohicon) lors des élections législatives du 28 avril 2019, Me Rufino d'Almeida est positionné en tête de liste à Bohicon pour les communales du 17 mai prochain.
Selon le Directeur de Cabinet du ministre d'Etat chargé du plan et du développement, l'objectif du Bloc Républicain est « non seulement de remporter la mairie de Bohicon, mais aussi les trois autres mairies de la circonscription électorale, et plus généralement toutes les mairies du Bénin ».
« Nous n'allons pas au combat battus d'avance. L'instruction donnée par notre Secrétaire général national (Abdoulaye Bio Tchané, ndlr) à tous les candidats, c'est de remporter le maximum de sièges, afin de sortir de ces élections communales avec un Bloc Républicain premier parti du Bénin », a déclaré le Directeur de cabinet du Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement. A Me Rufino d'Almeida, le Bloc Républicain prend toutes les dispositions afin d'avoir le maximum de sièges sur les 29 attribués à la commune de Bohicon, sans sous-estimer quel que parti que ce soit.
Grâce au leadership de Me Rufino d'Almeida, la famille politique du Bloc Républicain s'agrandit dans la commune de Bohicon. Plusieurs membres du parti FCBE ont adhéré au Bloc Républicain. « (...) avec opiniâtreté, avec méthode, avec détermination, nous avons commencé tout doucement à convertir beaucoup qui étaient anciennement RB et aujourd'hui UP, FCBE. Et si vous observez bien cette région, vous verrez que tous les jours, il y a un leader influent de l'UP ou des FCBE ou d'autres partis éliminés de la course, qui nous rejoint », a affirmé Me Rufino d'Almeida.
« La 4ème commune de notre pays doit être en couleur blanche et verte, la couleur du Bloc Républicain », ajoute-t-il. « Je pense que Bohicon est l'une des communes dont le budget oscille entre 2,5 milliards et 3 milliards FCFA. On peut faire beaucoup de choses avec. On peut développer la coopération avec les communes étrangères, notamment les pays européens ou américains. Je ne vois pas ça. C'est une ville dont la propreté laisse à désirer. (...). », confie-t-il.
Maintien des communales au 17 mai
Concernant les prochaines élections, Me Rufino d'Almeida estime qu'il s'agit d'un jeu transparent et le gouvernement a maintenu la date du 17 mai en dépit de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus dans le souci de respecter le calendrier électoral.
« Le gouvernement a évalué la pandémie et pense que nous pouvons aller aux élections en prenant certaines mesures afin de respecter le calendrier électoral et aussi pour ne pas alourdir les finances de l'État. Parce que plus on reporte, plus on alourdit les finances de l'État », a-t-il expliqué.
Si d'aventure, poursuit Me Rufino d'Almeida, « la situation, je ne le souhaite pas bien évidemment, venait à prendre d'autres tournures, le gouvernement prendra ses responsabilités, comme il l'a toujours fait ». Il souligne que toutes les mesures prises par le gouvernement sont des mesures dynamiques qui s'adaptent au périmètre de sécurité sanitaire tel que constaté dans le pays.
A. A. A.
Article published at openDemocracy by Doris Barnett (MP, Germany)
When an unidentified pulmonary disease broke out in the metropolis of Wuhan in Central China, most of our countries showed little concern that they would be personally affected. Few of us imagined that this outbreak would grow first into an epidemic and then quickly into a world-encompassing pandemic – and our haphazard approach to developing a coordinated international response is evidence of that initial attitude of indifference.
While most of us are now quarantining and practicing social distancing, this crisis gives us an opportunity to pause and reflect, rethink old habits and prejudices, and adjust them appropriately. As Chair of the economic and environmental committee of the OSCE Parliamentary Assembly – a 323-member body of parliamentarians from North America, Europe and Central Asia, spanning Vancouver to Vladivostok – I hope that principles of solidarity, co-operation and comprehensive security prevail during this period. This means first of all that world leaders should refrain from finger-pointing and blaming the pandemic on one country or another.
After World War II, the international community came together to build multilateral institutions to prevent another global conflagration and in the subsequent decades we saw a rapidly accelerating process of integration between the world’s economies. In the détente era of the 1970s, the East and West came together to establish the OSCE as a forum for dialogue and confidence-building, much of which was based on economic and scientific co-operation. But economic integration and globalization was not without risks and challenges, and the COVID-19 pandemic is revealing this in all its clarity. Delocalized supply chains and dependence on single suppliers have served well to reduce production costs, but have proved to be high-risk and vulnerable in times of crisis.
Now is the time for us to exert all of our efforts toward ensuring that our countries emerge from this crisis stronger and more effective than before, just as our predecessors did in the aftermath of World War II and during the Cold War. Only together can we limit the spread of the virus and remedy its effects, thereby enhancing security for us all. Regression into national parochialism would be a painful setback for the OSCE participating states and an existential threat to our own organization. Only together will we preserve freedom and prosperity from Vancouver to Vladivostok!
Essential workers
The crisis has also shown us who the essential workers are during troubled times such as these: the common men and women who provide our healthcare, who supply our foodstuffs, who ensure our mobility, who keep our cities and neighborhoods clean, who ensure we have water, electricity and gas – and security on the streets. Once this crisis has passed, we must realize just how valuable they all have been to us, and we must do what we can to ensure significant improvements to their working conditions.
We should already start thinking about what comes after the Great Lockdown, once the pandemic-induced restrictions are lifted. What this might look like for society and the economy no one can yet foresee.
Nevertheless, we OSCE parliamentarians should at least attempt to sketch out our vision of what will need to be done in the coming weeks and months, and articulate a set of principles to follow in our legislative and policy responses:
OSCE Catastrophe Planning Team
Beyond these general principles, we should also think about how to adjust our protocols and improve international coordination mechanisms to respond effectively and quickly to crisis situations. The OSCE, which is founded on the principle of comprehensive security encompassing political-military, economic-environmental and humanitarian dimensions, should consider setting up its own Catastrophe Planning Team, similar to the EU’s European Cluster Collaboration Programme. Periodic exercises and practices involving the responsible individuals would enhance our mutual security. Response plans could be written and periodically tested for validity. Finally, enhancing mutual assistance and support would also serve the causes of peace preservation and security.
Additionally, we must ensure that democratic political structures in our countries are protected and strengthened. We must see to it that our local communities, towns and cities – where government impacts individuals most immediately – are viable and effective.
The people of our countries deserve thanks for their discipline and forbearance during these times. Generosity, solidarity and humanity have distinguished us in this crisis, and we should work to preserve those qualities. We should set about the necessary groundwork, immediately beginning with the unresolved conflicts with which the OSCE still contends. Our first goal should be to bring about an immediate end to all armed conflicts.
Doris Barnett is a member of parliament from Germany and serves as Chair of the OSCE Parliamentary Assembly’s Committee on Economic Affairs, Science, Technology and Environment. Barnett is the Head of the German Delegation to the OSCE PA.
Tune in to an OSCE PA webinar on the economic security fallout of the COVID-19 crisis today at 15:00 CET.
Lachemi Siagh Expert en stratégies et financements internationaux, estime que Les conséquences de la chute historique que connait les prix du pétrole sont désastreuses pour les pays producteurs. En effet, dans un entretien accordé au quotidien Liberté, l’expert indique que « tous les pays producteurs fragiles, comme l’Algérie, qui n’a plus de capacités à exporter, vont […]
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On 21 and 22 April, members of the armed formations again denied SMM attempts to cross into non-government-controlled areas along official crossing routes: twice in Donetsk region and once in Luhansk region, while further attempts to cross into government-controlled areas were also denied, once in Donetsk region and once in Luhansk region.
On 21 and 22 April, at the checkpoint of the armed formations south of Stanytsia Luhanska bridge (15km north-east of Luhansk), members of the armed formations denied SMM patrols passage towards non-government-controlled areas on one occasion, and passage towards government-controlled areas on another occasion, referring to the closure of the checkpoint due to COVID-19.
On 22 April, at a checkpoint near Horlivka (non-government-controlled, 39km north-east of Donetsk), an SMM patrol was unable to proceed towards non-government-controlled areas due to the presence of spikes across the road and the presence of a mine sign in the middle of the road. The SMM saw no members of the armed formations present at the checkpoint.
On 21 April, at a checkpoint near Olenivka (non-government-controlled, 23km south-west of Donetsk), members of the armed formations denied SMM patrols passage towards government-controlled areas on one occasion, and passage towards non-government-controlled areas on another occasion, citing the “need to obtain permission from senior members of the armed formations”, and quarantine restrictions due to COVID-19, respectively.
The Mission began facing repeated denials when attempting to cross into non-government-controlled areas at checkpoints of the armed formations in Donetsk region on 21 March, and Luhansk region on 23 March (see SMM Spot Reports 2/2020, 3/2020, 4/2020, 5/2020, 6/2020, 7/2020, 8/2020, 9/2020, 10/2020, 11/2020, 13/2020, 14/2020, 15/2020). They restrict the SMM’s freedom of movement across the contact line, thus impeding the implementation of its Mandate throughout the country.
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With regard to COVID-19, the SMM has introduced a number of stringent mitigation measures into its operational procedures. These include strict adherence to social distancing rules both internally and with external interlocutors, daily temperature checks, use of PPE, and minimizing the number of personnel in vehicles.«Même si on trouve toujours des gens qui chouinent face au côté «bonapartiste» d’Emmanuel Macron, presque tout le monde à Bruxelles reconnaît que sans lui, l’Union se serait fracassée sur le coronavirus», analyse un haut fonctionnaire européen. De fait, après quelques jours de flottement, début mars, au moment où les autorités françaises prenaient conscience de l’importance de la pandémie et multipliaient les mesures unilatérales (comme la réquisition des masques et des respirateurs), le chef de l’Etat a ensuite résolument joué européen. Dès sa première allocution télévisée consacrée à la crise du Covid-19, le 12 mars, il met ainsi en garde contre «le repli nationaliste», le virus n’ayant «pas de passeport», et appelle à prendre des mesures «en Européens, à l’échelle européenne». Par contraste, le 18 mars, la chancelière Angela Merkel, pour son premier discours sur le sujet, ne prononce même pas le mot «Europe»…
Cette absence allemande a d’ailleurs contribué à mettre en valeur l’activisme de la France sur la scène européenne. Tout commence le lundi 9 mars, lorsqu’Emmanuel Macron appelle Charles Michel, le président du Conseil européen, qui s’activait déjà de son côté pour essayer de convaincre les Vingt-Sept de se coordonner davantage. Il lui suggère de réunir par visioconférence dès le lendemain les chefs d’Etat et de gouvernement. Ce sommet est le premier acte du retour d’une UE jusque-là totalement apathique.
Tabou
Le moment ne doit rien au hasard, le week-end des 7 et 8 mars ayant changé la perception de la crise. D’une part, tous les Etats membres sont désormais touchés, ce qui fait du Covid-19 un problème commun. D’autre part, l’Italie vient de décider de confiner le nord du pays avant d’étendre la mesure au sud, ce qui rend urgente la coordination de la réponse sanitaire, mais aussi économique. Toutefois, en dépit de ce sommet du 10 mars appelant à une «réponse commune», les Etats continuent, dans l’affolement, à prendre des mesures unilatérales : fermeture de certaines frontières intérieures, mesures sanitaires désordonnées, plans de soutien à l’économie non coordonnés. Il faudra un second Conseil européen de rang, le 17 mars, pour mettre enfin de l’ordre tant dans la gestion des frontières que dans les réponses sanitaire et économique.
Mais la solidarité entre riches et pauvres reste tabou. Pour le nord de l’Europe, chacun devra se débrouiller pour faire face aux coûts immenses de la reconstruction. «Dès la mi-mars, nous commençons à préparer l’après pour éviter qu’un pays comme l’Italie ne se retrouve seul, incapable de se financer sur les marchés et finalement tombe entre les mains des populistes», commente un conseiller de l’Elysée. Mais l’Italie n’est pas le seul problème : l’Espagne, le Portugal ou encore la Grèce rencontreront beaucoup de difficultés aussi, ce qui risque d’accroître encore les divergences existantes entre le Nord et le Sud. Il faut donc aller vers plus de solidarité financière y compris, comme le demande Giuseppe Conte, le Premier ministre italien, en lançant des «coronabonds», ce qui reviendra à mutualiser les dettes liées à la crise du Covid-19.
Noms d’oiseaux
Emmanuel Macron sait qu’il ne peut pas compter sur le gouvernement allemand, totalement engoncé dans ses vieux a priori économiques. Pour faire avancer la fédéralisation de la zone euro, puisque c’est de cela qu’il s’agit, le chef de l’Etat s’appuie donc sur Giuseppe Conte et Antonio Costa, son homologue portugais, deux hommes qui se sont révélés dans la crise et qui ne sont pas du genre à se soumettre sans combattre. «Nous cherchons toujours le franco-allemand, mais nous assumons désormais nos désaccords avec l’Allemagne», reconnait-on à l’Elysée. Ainsi, le 25 mars, Paris cosigne avec huit partenaires, mais sans Berlin, une lettre appelant à la création d’un «instrument de dette commun». Le sommet du 26 mars se termine sans surprise sur un échec, le «club des radins» (Allemagne, Autriche, Finlande et Pays-Bas) n’entendant rien céder. Mais cet affrontement violent, les noms d’oiseaux ayant même volé entre les dirigeants européens, contribue à faire bouger les lignes, comme l’espérait le Président français.
Le 9 avril, les ministres des Finances se mettent finalement d’accord sur une réponse budgétaire commune qui pourra atteindre 500 milliards d’euros. Désormais, la pression est maximale pour faire tomber le dernier bastion, celui des «coronabonds». Le sommet du 23 avril s’annonce donc dramatique, mais Macron est décidé à ne rien lâcher. Il sait que mégoter sur la solidarité européenne dans une crise de cette ampleur, c’est condamner l’Union à une mort lente.
Photo: Stéphane Lemouton. Sipa
Mounir Berrah installé par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Chemseddine Chitour, dans ses fonctions de Secrétaire général (SG) du ministère de l’Enseignement supérieur. En effet, Mounir Berrah remplacera le Pr Mohamed Tahar Abadlia,appelé à d’autres fonctions, indique un communiqué du ministère l’Enseignement supérieur. Par ailleurs, Chamessedine Chitour a remercié l’ex-SG […]
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