Après cinq longues années d’existence, le journal satirique El-Manchar a cessé de publier. Cette décision a été annoncée mercredi 13 mai. Ce média parodique avait été créé par Nazim Baya et son titre signifie en arabe classique « la scie », et « la médisance », en dialecte algérien. Le responsable précise que la suppression […]
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Le ministre des Télécommunications, Brahim Boumzar, a annoncé, ce samedi, le versement par l’État d’une prime exceptionnelle aux employés d’Algérie Poste qui sont en contact direct avec le citoyen durant la crise du coronavirus. « Une prime exceptionnelle sera octroyée aux agents des guichets et aux autres employés qui sont en contact direct avec le citoyen […]
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Le Sénégal a enregistré deux nouveaux cas de décès lié au Covid-19, ce qui porte à vingt-cinq le nombre de décès lié au Coronavirus. A ce Jour, 2 429 cas ont été déclarés positifs, dont 949 guéris, 25 décédés et 1 454 malades encore sous traitement. Ce Vendredi 15 mai 2020, le ministère sénégalais de […]
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Le bilan quotidien des nouveaux décès au Coronavirus s’est stabilisé ces derniers jours en Algérie, enregistrant entre 5 et 8 morts par jour. Pour le bilan de ce samedi, le ministère de la santé a fait état samedi de 6 morts supplémentaires dus au Covid-19, contre 7 la veille, soit un total de 542 morts […]
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Le Dr Vincent Biruta, ministre rwandais des Affaires étrangères, a déclaré que les relations entre son pays et l’Ouganda ne cessent de s’améliorer, malgré la présence de la pandémie et la détention de certains citoyens rwandais en Ouganda. Il l’a fait savoir; ce 15 mai, lors d’une réunion consultative de la Communauté des Etats d’Afrique […]
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La Cour constitutionnelle allemande veut-elle la peau de l’euro et de l’Union européenne ? En effet, son arrêt du 5 mai, marqué du sceau d’un souverainisme obtus, sape le pilier sur lequel repose l’Union, la supériorité du droit européen sur les droits nationaux, et met en doute la légalité du rachat des dettes publiques par la Banque centrale européenne (BCE) qui a soutenu la croissance.
Ce faisant, les juges de Karlsruhe ont provoqué un tsunami qui menace les fondations d’une Union déjà fortement meurtrie par la crise du coronavirus. Si l’Allemagne se désengage d’une aventure européenne perçue par la Cour constitutionnelle comme une menace pour les intérêts allemands, l’UE et donc l’euro n’y survivraient pas, sa solidarité financière étant indispensable pour espérer surmonter la profonde récession qui s’annonce.
Car les conséquences économiques du «Grand Confinement»,comme l’appelle désormais le Fonds monétaire international, en référence à la Grande Dépression de 1929, vont être terrifiantes. Alors qu’en novembre, Bruxelles anticipait une croissance de 1,1 % en 2020 dans la zone euro, c’est désormais une récession historique qui va s’abattre sur le continent (7,4 % dans l’UE et 7,7 % dans la zone euro). La BCE, elle, n’exclut pas un recul de l’activité pouvant atteindre 12 %. Du jamais-vu en période de paix.
Intenable
Or, pour faire face à cette crise, les Etats se sont déjà fortement endettés et vont devoir le faire davantage dans les années qui viennent. Le risque ? Que ceux qui sont en moins bonne santé financière, le Sud, pour le dire clairement (Italie, Espagne, Portugal, Grèce, mais aussi France), ne puissent faire face aux dépenses de reconstruction, ce qui accroîtra les écarts de compétitivité entre les pays. A terme, cela rendra intenable la survie de la monnaie unique et du marché intérieur, ceux-ci supposant une convergence économique et non un accroissement des divergences. Sans compter que les populistes pourront tirer argument de l’absence de solidarité pour se hisser au pouvoir et ensuite quitter l’Union.
C’est pour cela que la France, soutenue par une dizaine de pays (et pas seulement du Sud), a proposé de créer un «fonds de relance» doté de 1 000 à 1 500 milliards d’euros qui serait alimenté par des emprunts émis par la Commission avec la garantie commune des Vingt-Sept, ce qui permettrait d’obtenir des taux d’intérêt défiant toute concurrence. Cet argent financerait des dépenses de reconstruction, mais aussi d’investissement, les Etats n’ayant pas les moyens d’être sur tous les fronts en même temps. Il s’agirait de subventions et non de prêts et la dette serait remboursée par le budget européen, c’est-à-dire au prorata non pas de ce qu’un pays a reçu, mais de sa richesse relative. Une vraie solidarité, donc.
Berlin s’y est d’abord opposé avant de bouger : l’idée d’un fonds de relance alimenté par de la dette est désormais acceptée, «mais à condition qu’il soit logé dans le budget communautaire», dit-on à Paris. «Mais pour l’instant, il n’y a pas d’accord sur son montant et sur le fait de savoir s’il doit s’agir de simples prêts, ce qui accroîtrait la dette des Etats, ou de subventions.» Or il y a urgence. A trop tergiverser, au risque de répéter les erreurs de la crise de 2008, ce sont à nouveau des pays comme l’Italie, l’Espagne, la Grèce, le Portugal… et finalement, par effet de dominos, des pays réputés plus solides qui tomberont à tour de rôle. «Pour l’instant, l’édifice Europe semble tenir, prévient l’économiste Thomas Piketty. Mais tout le monde attend l’heure de vérité, celui de l’annonce du plan de relance que la Commission a été chargée de préparer» et qui doit être annoncé d’ici une quinzaine de jours.
Voie périlleuse
Et c’est là que l’arrêt de Karlsruhe tombe comme un boulet dans la soupe. En s’opposant à la véritable mutualisation des dettes que pratique de facto la BCE depuis 2015 en rachetant à tour de bras les bons d’Etat, les juges s’opposent aussi à l’idée même de la mutualisation des dettes générées par les futures dépenses dues à la crise du coronavirus. C’est ainsi que l’ont compris tous les opposants allemands à toute union de transfert. Résultat, Ursula von der Leyen, la présidente allemande de la Commission, pourrait hésiter à s’engager dans cette voie politiquement périlleuse. Tout comme Angela Merkel, contrainte de faire un choix, ce dont elle a horreur : soit elle affronte ses juges en soutenant la mutualisation des dettes, ce qui déclenchera une crise politique et institutionnelle interne, soit elle se couche en refusant toute solidarité, ce qui condamnerait l’Europe à terme…
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Lundi, la chancelière s’est logiquement montrée «inquiète» des effets destructeurs de cette «bombe juridique», comme la qualifie l’économiste de la banque d’investissement Berenberg Holger Schmieding. Autant dire que l’avenir de l’Europe se joue plus à Berlin et à Karlsruhe qu’à Bruxelles ou à Paris. C’est à l’Allemagne de répondre à une question simple : pour rebondir après la crise du coronavirus, vaut-il mieux une Union unie ou une Europe du chacun pour soi ?
Photo: Michael Kappeler | AFP | Getty Images
192 nouvelles contamination au Covid-19, dont 06 décès au bilan du 16 mai, présenté ce samedi par le comité scientifique de suivi de l’évolution de l’épidémie. Ainsi, le total des cas confirmés passe désormais à 6821 cas repartis sur les 48 wilaya, dont au total 542 décès indique Djamel Fourar, le porte-parole du comité scientifique. […]
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