Plusieurs pays européens, dont la France, appellent à la réouverture des frontières intérieurs de l’Union européenne ainsi que celles de l’espace Schengen. En effet, le président de l’Assemblée nationale française et son homologue allemand ont appelé, ce mardi, à une réouverture « la plus vite possible » des frontières entre pays européens, rapporte l’Agence France-Presse (AFP), sur […]
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Kühle Getränke, Popcorn, Freunde und schon kann der Filmabend eigentlich beginnen. Was man noch braucht sind ein paar coole Spielfilme. Wir schaffen Abhilfe und verlosen ein Package mit drei Topfilmen. Mitmachen und bald einen unvergesslichen Filmabend geniessen.
Terroir Journal - Pour moderniser la seule chambre funéraire existante dans le cimetière de Boghé, un (bienfaiteur de la ville a pris...
Scientists have tracked a cuckoo's migratory flight from Africa to its breeding ground in Mongolia.
US-Präsident Donald Trump sieht die Zukunft des Finanzstandorts durch Chinas Pläne für ein Sicherheitsgesetz in der Sonderverwaltungszone gefährdet. Dies erklärte eine Sprecherin des Weissen Hauses bei einer Pressekonferenz am Dienstag.
Le doute ne doit plus être permis aujourd'hui et les parents doivent encore multiplier leur contrôle sur leur progéniture. L'homosexualité se développe actuellement chez nous au Bénin avec une vitesse qui donne l'effroi.Les Béninois ont toujours pensé que cette déviance morale est une maladie des seuls Blancs et que cela ne pourra jamais franchir nos frontières. La réalité, malheureusement, est tout autre car se développent depuis longtemps au Bénin, de petits groupes d'extravertis qui ont déjà pris goût à cette pratique célébrée chez les Occidentaux. Il est vrai que certains pays africains comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal ont connu la naissance de leurs associations d'homosexuels il y a de nombreuses années. Il est également connu que cette pratique sexuelle se commet chez nous depuis fort longtemps. On dénombre près de 3000 homosexuels sur tout le territoire. Au début de 2013, il existait au moins neuf associations pour les homosexuels à Cotonou, Porto Novo, et Parakou. Il s'agit de Bénin Synergie Plus (BESYP), l'Union pour la Solidarité, l'Entraide et le Développement (USED), les Amis de Sans Voix, Hirondelle Club Bénin, et Tous Nés Libres et Egaux. Le quatrième recensement général de la population et de l'habitat RGPH4 a permis de dénombrer 9.982.884 de Béninois. Le traitement des données issues des enquêtes sur les conditions de vie des ménages, révèle que 76% des informaticiens béninois sont Homosexuels. Selon les données consolidées de l'Institut National de la Statistique et de l'Analyse Économique (INSAE) plus de 80% des informaticiens se déclarent favorables au mariage pour tous et 76% affirment avoir des mœurs "différentes". Le phénomène est aussi répandu dans les villes qu'en milieu rural. Ces résultats sont très étonnants au regard des valeurs traditionnelles africaines.Une pratique sans tabouLes ‘'homosexuels'' s'affichent désormais de plus en plus au Bénin. Sans tambours ni trompettes, on les rencontre dans les coins les plus chauds du pays flairant désirs et convictions sentimentaux. Leur vœu, vivre en harmonie avec une société béninoise visiblement allergique à la chose. Un tour dans leur jardin intime pour percer le mystère d'un phénomène en vogue dans les grandes villes du Bénin.Sous l'œil des normes socialesL'homosexualité érigée en principe de vie est une anomalie, un rejet de sa qualité d'homme raisonnable. Les grandes religions monothéistes, le christianisme et l'islam, considèrent cette pratique comme un péché. "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination " disent les Saintes Ecritures (Lévitique : 18-22). Malheureusement, il y a de ces mécréants qui s'amusent à défier les normes et à verser dans l'insensé. Des femmes lesbiennes, qui se frottent sans vergogne et des hommes en pleins ébats dits amoureux avec les yeux mouillés de désir pour l'acte scabreux. Les pseudos roucoulements de cette espèce investie dans des démonstrations salaces et la pollution sonore qui en découle, dégradent bien nos mœurs.Dans la peau des homosexuelsNous avons réussi à avoir un témoignage d'un homosexuel. Freud, jeune étudiant béninois en 3ème année d'Anglais à l'UAC, est un homosexuel depuis 8ans. Il a manifesté le désir de se confier à nous à une seule condition : taire son nom dans nos commentaires et analyses. Partant de cette clause, il nous a expliqué que cette passion s'est développée depuis son internat dans un Lycée. Ces parents ont piqué une crise de nerfs en apprenant la nouvelle. Depuis lors, la relation est restée tendue avec ses parents qui l'ont presque renié. Bras-dessus bras-dessous, Freud apparaît sur ces photos en compagnie d'Eli, son ‘'amant''. Aussitôt un lien fort s'est établi entre eux. « Pas un jour où nous ne nous croisons. Nous sommes devenus tellement proches l'un de l'autre, tellement liés que très tôt nous avons décidé d'écouter nos cœurs et de donner une chance à cette relation naissante », nous a-t-il confié. Et depuis, le couple ne cesse d'essuyer des injures de la part de leurs amis homophobes qui trouvent cette pratique barbare et ruineuse ; il en est de même pour le jeune Pierre qui fréquente depuis peu Laurent, tous Béninois homosexuels. Discrètement, ils font le jeu. Sans très grande prétention sentimentale, ils se rencontrent une fois par semaine pour « échanger, se distraire et s'amuser ». « Actuellement, je ne me suis pas encore engagé avec lui. Mais cela ne saura tarder », a lâché Laurent, plein de confiance. Dans le jardin intime de ces jeunes homosexuels rencontrés à l'Université d'Abomey Calavi et à Cotonou et environs, il y a le spectre du déshonneur qui plane sur leurs têtes. Déshonneur à eux infligé par la société dans laquelle ils vivent.Une activité lucrative de la jeunesseIl se trouve effectivement qu'aujourd'hui, la pratique de l'homosexualité donne à manger à des dizaines de nos compatriotes des deux sexes qui satisfont une clientèle particulière. De nombreuses confidences ne laissent plus la place au doute puisque les écoles secondaires sont déjà devenues des lieux où certains dépravés viennent chercher des proies faciles.Ils sont donc innombrables ces enfants qui ont découvert et s'adonnent librement à cette pratique dans l'ignorance absolue de leurs géniteurs qui continuent de croire avoir donné la bonne éducation à leur progéniture. Erreur ou naïveté ? La responsabilité semble partagée dans la mesure où on dénombre des parents qui sacrifient le suivi de l'éducation de leurs propres enfants au profit de la recherche sans cesse effrénée de l'argent ou de la promotion sociale. Alors, ils doivent comprendre que des réseaux organisés sillonnent les établissements scolaires, singulièrement ceux du secondaire, à la recherche de chaire fraîche afin d'assouvir leur passion et leur vice. Mais il paraît que le Bénin serait un véritable paradis sexuel pour ces messieurs car aucune loi n'existerait, pour l'heure, mettant hors la loi les auteurs voire complices de cette nouvelle forme d'esclavage. D'où la floraison des proxénètes qui en font leur commerce. Voilà qui au lieu de réarmer moralement la jeunesse, lui offre par contre des possibilités de tomber dans la pratique de l'homosexualité. Les stigmatisés de la société béninoiseOn les pointe du doigt à partir de leur démarche féline, faits et gestes discrets et efféminés. On rumine, on crache à chaque passage de leur silhouette. Devenus la cible à abattre par les homophobes, les lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres du Bénin arpentent, bon gré mal gré, les couloirs des universités et établissements scolaires de notre pays. Ils sont « les nouveaux envahisseurs ». Plus « indésirables » encore au Bénin, les homosexuels portent des stigmates. Malgré cela, leur nombre grimpe et laisse perplexe cette même société qui les repousse. Méfiance, amertume au cœur, désolation, pudibondes et timides caractérisent les homosexuels béninois. Ils confirment la grande stigmatisation dont ils sont victimes ainsi que les nombreuses « déviances médiatiques » qui les clouent au pilori. Sous le choc de l'insémination homosexuelle, la société béninoise -la leur- ne les ménage point. « On nous brandit la malédiction, la mort, l'extermination et le feu de l'enfer depuis que cette loi a été votée en France », nous a confié le jeune Steve qui affirme vivre son homosexualité depuis une décennie.Une confrérie entre homosexuelsLes homosexuels s'épanouissent un peu partout au Bénin. Il existe des boîtes de nuit, des Karaoké, des buvettes, des bars spécialement réservés aux homosexuels. Les manifestations gay, sorte d'hérésie, organisées entre eux s'accompagnent de véritable retrouvaille. La morale prend ici l'ascenseur de la crise et on est sous la menace du pire. A cette allure, les ratures immorales du gay vont tout pervertir. Le gouvernement de la Refondation a du pain sur la planche dans un pays trop ouvert à toute chose. Il faut éloigner ces pédés et lesbiennes des enfants. Une sensibilisation contre le phénomène homosexuel devient une nécessité. Le ciel est en train de tomber sur nos têtes.Des sanctions divines sur le Bénin ?Un dignitaire religieux du dieu Sakpata rencontré dans un couvent à HOUTO dans la commune de Djidja s'est indigné de l'ampleur du fléau au Bénin. Souvent pris comme l'apanage des sociétés occidentales, l'homosexualité s'est installée peu à peu dans les pratiques sexuelles des Béninois, depuis quelques années. Chose contre laquelle s'offusque le chef dignitaire de culte Sakpata, qui rappelle les interdits de ce dieu et les conséquences qu'il afflige aux praticiens. L'homosexualité est strictement interdite par le dieu Sakpata. L'impuissance sexuelle, les maladies du corps, la mort, la sècheresse prolongée, les drames populaires, les accidents de circulation sont les retombées de l'homosexualité au Bénin. Les valeurs sociales endogènes doivent être priorisées et le respect des interdits des dieux est un idéal à atteindre. Les relations humaines doivent rester saines au Bénin. Le sexe est le lien qui unit les hommes aux dieux. Il faut donc faire preuve de vigilance. Le Bénin ne mérite pas ce genre d'intrusion érosive et ces vagues lascives d'individus de même sexe. Madou Gabin HOUNSA/Le Grand Matin
Le doute ne doit plus être permis aujourd'hui et les parents doivent encore multiplier leur contrôle sur leur progéniture. L'homosexualité se développe actuellement chez nous au Bénin avec une vitesse qui donne l'effroi.Les Béninois ont toujours pensé que cette déviance morale est une maladie des seuls Blancs et que cela ne pourra jamais franchir nos frontières. La réalité, malheureusement, est tout autre car se développent depuis longtemps au Bénin, de petits groupes d'extravertis qui ont déjà pris goût à cette pratique célébrée chez les Occidentaux. Il est vrai que certains pays africains comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal ont connu la naissance de leurs associations d'homosexuels il y a de nombreuses années. Il est également connu que cette pratique sexuelle se commet chez nous depuis fort longtemps. On dénombre près de 3000 homosexuels sur tout le territoire. Au début de 2013, il existait au moins neuf associations pour les homosexuels à Cotonou, Porto Novo, et Parakou. Il s'agit de Bénin Synergie Plus (BESYP), l'Union pour la Solidarité, l'Entraide et le Développement (USED), les Amis de Sans Voix, Hirondelle Club Bénin, et Tous Nés Libres et Egaux. Le quatrième recensement général de la population et de l'habitat RGPH4 a permis de dénombrer 9.982.884 de Béninois. Le traitement des données issues des enquêtes sur les conditions de vie des ménages, révèle que 76% des informaticiens béninois sont Homosexuels. Selon les données consolidées de l'Institut National de la Statistique et de l'Analyse Économique (INSAE) plus de 80% des informaticiens se déclarent favorables au mariage pour tous et 76% affirment avoir des mœurs "différentes". Le phénomène est aussi répandu dans les villes qu'en milieu rural. Ces résultats sont très étonnants au regard des valeurs traditionnelles africaines.Une pratique sans tabouLes ‘'homosexuels'' s'affichent désormais de plus en plus au Bénin. Sans tambours ni trompettes, on les rencontre dans les coins les plus chauds du pays flairant désirs et convictions sentimentaux. Leur vœu, vivre en harmonie avec une société béninoise visiblement allergique à la chose. Un tour dans leur jardin intime pour percer le mystère d'un phénomène en vogue dans les grandes villes du Bénin.Sous l'œil des normes socialesL'homosexualité érigée en principe de vie est une anomalie, un rejet de sa qualité d'homme raisonnable. Les grandes religions monothéistes, le christianisme et l'islam, considèrent cette pratique comme un péché. "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination " disent les Saintes Ecritures (Lévitique : 18-22). Malheureusement, il y a de ces mécréants qui s'amusent à défier les normes et à verser dans l'insensé. Des femmes lesbiennes, qui se frottent sans vergogne et des hommes en pleins ébats dits amoureux avec les yeux mouillés de désir pour l'acte scabreux. Les pseudos roucoulements de cette espèce investie dans des démonstrations salaces et la pollution sonore qui en découle, dégradent bien nos mœurs.Dans la peau des homosexuelsNous avons réussi à avoir un témoignage d'un homosexuel. Freud, jeune étudiant béninois en 3ème année d'Anglais à l'UAC, est un homosexuel depuis 8ans. Il a manifesté le désir de se confier à nous à une seule condition : taire son nom dans nos commentaires et analyses. Partant de cette clause, il nous a expliqué que cette passion s'est développée depuis son internat dans un Lycée. Ces parents ont piqué une crise de nerfs en apprenant la nouvelle. Depuis lors, la relation est restée tendue avec ses parents qui l'ont presque renié. Bras-dessus bras-dessous, Freud apparaît sur ces photos en compagnie d'Eli, son ‘'amant''. Aussitôt un lien fort s'est établi entre eux. « Pas un jour où nous ne nous croisons. Nous sommes devenus tellement proches l'un de l'autre, tellement liés que très tôt nous avons décidé d'écouter nos cœurs et de donner une chance à cette relation naissante », nous a-t-il confié. Et depuis, le couple ne cesse d'essuyer des injures de la part de leurs amis homophobes qui trouvent cette pratique barbare et ruineuse ; il en est de même pour le jeune Pierre qui fréquente depuis peu Laurent, tous Béninois homosexuels. Discrètement, ils font le jeu. Sans très grande prétention sentimentale, ils se rencontrent une fois par semaine pour « échanger, se distraire et s'amuser ». « Actuellement, je ne me suis pas encore engagé avec lui. Mais cela ne saura tarder », a lâché Laurent, plein de confiance. Dans le jardin intime de ces jeunes homosexuels rencontrés à l'Université d'Abomey Calavi et à Cotonou et environs, il y a le spectre du déshonneur qui plane sur leurs têtes. Déshonneur à eux infligé par la société dans laquelle ils vivent.Une activité lucrative de la jeunesseIl se trouve effectivement qu'aujourd'hui, la pratique de l'homosexualité donne à manger à des dizaines de nos compatriotes des deux sexes qui satisfont une clientèle particulière. De nombreuses confidences ne laissent plus la place au doute puisque les écoles secondaires sont déjà devenues des lieux où certains dépravés viennent chercher des proies faciles.Ils sont donc innombrables ces enfants qui ont découvert et s'adonnent librement à cette pratique dans l'ignorance absolue de leurs géniteurs qui continuent de croire avoir donné la bonne éducation à leur progéniture. Erreur ou naïveté ? La responsabilité semble partagée dans la mesure où on dénombre des parents qui sacrifient le suivi de l'éducation de leurs propres enfants au profit de la recherche sans cesse effrénée de l'argent ou de la promotion sociale. Alors, ils doivent comprendre que des réseaux organisés sillonnent les établissements scolaires, singulièrement ceux du secondaire, à la recherche de chaire fraîche afin d'assouvir leur passion et leur vice. Mais il paraît que le Bénin serait un véritable paradis sexuel pour ces messieurs car aucune loi n'existerait, pour l'heure, mettant hors la loi les auteurs voire complices de cette nouvelle forme d'esclavage. D'où la floraison des proxénètes qui en font leur commerce. Voilà qui au lieu de réarmer moralement la jeunesse, lui offre par contre des possibilités de tomber dans la pratique de l'homosexualité. Les stigmatisés de la société béninoiseOn les pointe du doigt à partir de leur démarche féline, faits et gestes discrets et efféminés. On rumine, on crache à chaque passage de leur silhouette. Devenus la cible à abattre par les homophobes, les lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres du Bénin arpentent, bon gré mal gré, les couloirs des universités et établissements scolaires de notre pays. Ils sont « les nouveaux envahisseurs ». Plus « indésirables » encore au Bénin, les homosexuels portent des stigmates. Malgré cela, leur nombre grimpe et laisse perplexe cette même société qui les repousse. Méfiance, amertume au cœur, désolation, pudibondes et timides caractérisent les homosexuels béninois. Ils confirment la grande stigmatisation dont ils sont victimes ainsi que les nombreuses « déviances médiatiques » qui les clouent au pilori. Sous le choc de l'insémination homosexuelle, la société béninoise -la leur- ne les ménage point. « On nous brandit la malédiction, la mort, l'extermination et le feu de l'enfer depuis que cette loi a été votée en France », nous a confié le jeune Steve qui affirme vivre son homosexualité depuis une décennie.Une confrérie entre homosexuelsLes homosexuels s'épanouissent un peu partout au Bénin. Il existe des boîtes de nuit, des Karaoké, des buvettes, des bars spécialement réservés aux homosexuels. Les manifestations gay, sorte d'hérésie, organisées entre eux s'accompagnent de véritable retrouvaille. La morale prend ici l'ascenseur de la crise et on est sous la menace du pire. A cette allure, les ratures immorales du gay vont tout pervertir. Le gouvernement de la Refondation a du pain sur la planche dans un pays trop ouvert à toute chose. Il faut éloigner ces pédés et lesbiennes des enfants. Une sensibilisation contre le phénomène homosexuel devient une nécessité. Le ciel est en train de tomber sur nos têtes.Des sanctions divines sur le Bénin ?Un dignitaire religieux du dieu Sakpata rencontré dans un couvent à HOUTO dans la commune de Djidja s'est indigné de l'ampleur du fléau au Bénin. Souvent pris comme l'apanage des sociétés occidentales, l'homosexualité s'est installée peu à peu dans les pratiques sexuelles des Béninois, depuis quelques années. Chose contre laquelle s'offusque le chef dignitaire de culte Sakpata, qui rappelle les interdits de ce dieu et les conséquences qu'il afflige aux praticiens. L'homosexualité est strictement interdite par le dieu Sakpata. L'impuissance sexuelle, les maladies du corps, la mort, la sècheresse prolongée, les drames populaires, les accidents de circulation sont les retombées de l'homosexualité au Bénin. Les valeurs sociales endogènes doivent être priorisées et le respect des interdits des dieux est un idéal à atteindre. Les relations humaines doivent rester saines au Bénin. Le sexe est le lien qui unit les hommes aux dieux. Il faut donc faire preuve de vigilance. Le Bénin ne mérite pas ce genre d'intrusion érosive et ces vagues lascives d'individus de même sexe. Madou Gabin HOUNSA/Le Grand Matin
Wirtschaftslobbys versuchen die Klimaziele aufzuweichen. Airlines werden infolge der Corona-Krise mit staatlichen Milliarden ohne ökologische Auflagen gerettet. Dabei zeigt eine Studie, dass grüne Konjunkturpakete die Wirtschaft am meisten fördern.
Die Experten an der ETH Zürich haben nie etwas Vergleichbares gesehen: 1,9 Millionen Schweizer sind auf Kurzarbeit. Die Corona-Krise versetzt den Stellenmarkt in Schockstarre, wie eine Datenanalyse der Plattform jobs.ch zeigt.
Die amerikanische Investorengruppe KKR räumt massiv auf beim Verkaufsautomaten-Betreiber Selecta. Mit einem rigorosen Sparprogramm soll der ehemalige IPO-Kandidat fit gemacht werden.
Betrunken pöbelte Stefan S. (39) in einer Bar Robert F. (44) an. Dieser läuft ihm nach, stellt ihn zur Rede. Obwohl der 39-Jährige bei der Auseinandersetzung schwer verletzt wird, kommt der mutmassliche Angreifer ohne Strafe davon.
Als Stabschef der Regierung ist Bundeskanzler Walter Thurnherr (56) nah am Bundesrat wie niemand. Im ersten Interview seit Ausbruch der Corona-Krise erzählt er, wie der Bundesrat im Krisenmodus funktioniert – und welche Lehren zu ziehen sind.
Es ist hell, kühl und macht Lust auf Sommer: Das neue Blond der Stars erinnert an perlenden Champagner – Sophia Thomalla versprüht damit die Lebensfreude, die nach dem Lockdown wieder aufkommt.
Trotz Erfahrung und solider Ausbildung wird Stephanie Zehetleitner (25) nicht zu Vorstellungsgesprächen eingeladen. Sie arbeitete im Office eines Hotels, verlor dann aber wegen Corona ihre Stelle. Nun will sie wieder arbeiten. Doch niemand stellt Leute ein.
Bei Auto-Pfandhaus.ch in Büsingen herrscht ein eifriges Kommen und Gehen. Die Schuldner haben dank billigen Corona-Krediten plötzlich Geld. Sie holen sich ihre Luxuskarossen zurück.
Von der Kinoleinwand in den Kleiderladen: Joel Basman (30) muss wieder jobben gehen, weil er keine Corona-Erwerbsersatzentschädigung bekommt.
Saharamédias -
Le directeur général de la société nationale d’eau (SNDE), Mohamed Lemine El Beniya, a déclaré, dans un entretien avec...
Mohamed Bekkat Berkani, Président du Conseil national de l’Ordre des Médecins et membre de la Commission de suivi de l’évolution du Coronavirus, a dévoilé les conditions qui doit être satisfaites pour entamer le déconfinement en Algérie. La première condition, selon docteur Berkani, est le respect des mesures de protections dont le port du masque. Quant […]
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Le Groupe Ecobank et Google collaborent pour proposer des solutions digitales adaptées aux clients PME de Ecobank
Le Groupe Ecobank, la banque panafricaine, en collaboration avec Google apporte son appui aux Petites et Moyennes Entreprises (PME) africaines afin de les doter des compétences numériques nécessaires à leur développement dans un monde des affaires en rapide évolution. Cette initiative vise à soutenir les entreprises africaines, afin qu'elles conservent leur pertinence sur les marchés et réalisent leur potentiel grâce à l'adoption des solutions digitales.
Josephine Anan-Ankomah, Directrice Exécutive Groupe en charge du pôle de la Banque Commerciale a déclaré : « En tant que pionnier de longue date dans la fourniture des solutions digitales de pointe aux entreprises africaines, nous sommes heureux de collaborer avec Google pour mettre à disposition des facilités adéquates et pratiques, notamment, Google My Business et Google Ad. Ces produits sont spécifiquement mis au point pour répondre aux besoins de nos clients PME ».
« Notre objectif est d'être le partenaire de choix des PME et leur apporter l'appui qui leur permettra de réussir et de s'agrandir. C'est donc logique que nous nous soyons associé à Google pour aider à développer les capacités de nos clients PME. Nous cherchons fondamentalement à les aider à devenir prospères en adoptant la voie de la technologie, devenue aujourd'hui indispensable à la pérennité des entreprises » a ajouté Josephine Anan- Ankomah.
La gamme de produits digitaux proposée par Ecobank est devenue d'autant plus pertinente que le confinement et la distanciation physique ont été imposés par la pandémie du COVID- 19. La plateforme technologique robuste de Ecobank lui permet d'offrir à ses clients, 24h/24, des solutions pratiques qui répondent aux besoins de plus en plus sophistiqués des entreprises en matière de gestion de trésorerie, de paiements et d'encaissement. Il est fondamental que les PME africaines tirent pleinement profit des avantages commerciaux du numérique, notamment une approche relationnelle holistique à l'égard de leurs clients existants et potentiels. L'offre de produits bancaires digitaux de Ecobank couplée à cette collaboration avec Google se présente comme un catalyseur de succès pour les PME.
Cette gamme de produits digitaux sera accessible aux clients PME de Ecobank dans toute l'Afrique subsaharienne, dès le mois de mai 2020.
Contact Média
Christiane Bossom
Group Communications Manager
Email : groupcorporatecomms@ecobank.com Tel : +228 22 21 03 03
A propos d'Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI' ou ‘Le Groupe')
Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI') est la maison-mère du Groupe Ecobank, le principal groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 15 000 employés et sert plus de 20 millions de clients à travers ses pôles services bancaires aux particuliers, aux PMI-PMEs et aux grandes entreprises dans 33 pays africains. Le Groupe a une licence bancaire en France et des bureaux de représentation à Addis Abéba en Ethiopie, Johannesburg en Afrique du Sud, Pékin en Chine, Londres au Royaume-Uni et Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires par le biais de comptes de dépôt, prêts, trésorerie, conseil, financement du commerce, titres et gestion d'actifs. ETI est cotée à la Nigerian Stock Exchanges à Lagos, à la Ghana Stock Exchange à Accra, et à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan
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