Le Maroc travaille sur la réalisation de 50 projets en matière d'énergies renouvelables d'une puissance installée de 3.950 MW, a déclaré mardi le premier-ministre du pays Aziz Akhannouch s'exprimant lors de la 26 Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP26) qui se tient à Glasgow. Il a participe à la rencontre sur l'accélération des innovations et l'adoption des technologies vertes.
"Le Maroc réalise 50 projets en matière d'énergies renouvelables d'une puissance installée de 3.950 MW et plus de 60 autres projets sont en train d'être élaborés ou réalisés", a-t-il affirmé.
"L'attachement du Maroc à la dynamique de la transition énergétique est un choix politique délibéré, a souligné le chef de l'exécutive. Ce processus a entamé il y a dix ans par la réalisation d'une stratégie énergétique ambitieuse qui se base sur le développement d'énergies renouvelables, l'efficacité énergétique et l'intégration régionale".
Le COP26 a débuté ses travaux le 31 octobre et prendra fin le 12 novembre. Les délégations représentants presque 200 pays y prend part.
Source : TASS
Nouvelle saisie de stupéfiants au Bénin.
750 kg de cocaïnes ont été découvertes dans le magasin d'un Libanais à Cotonou. Les stupéfiants ont été saisis. La cocaïne a été découverte par la Police républicaine en collaboration avec les services spécialisés dans la lutte contre les stupéfiants.
Le propriétaire du magasin dans lequel a été retrouvée la cocaïne est un riche commerçant de produits laitiers au Bénin. Il s'agit d'un Libanais qui exerce au Bénin depuis des décennies.
Une enquête complémentaire a été ouverte.
M. M.
Le gouvernement avait lancé le 23 septembre dernier un appel aux opérateurs privé pour investir dans le secteur du transport aérien et maritime. Jugé très stratégique et important, ce projet paraissait en effet dans le plan d’action du gouvernement.
« L’investissement est désormais ouvert, notamment pour certains secteurs, jusque-là interdits, dont le secteur du transport maritime et le transport aérien. Ces derniers sont actuellement autorisés officiellement », avait déclaré le premier ministre Aïmene Benabderrahmane.
À cet effet, de nombreux dossiers d’investissement ont été déposés au niveau du ministère des Transports qui vient de donner le feu vert pour 16 projets. C’est ce qui a été annoncé ce mardi 2 novembre 2021, par le premier responsable du secteur aérien.
Aissa Bekkai a en effet déclaré lors de son intervention sur la chaine de télévision privée Echorouk que sur les 28 dossiers étudiés par son département, seulement 16 ont été retenus.
Il s’agit de 9 accords de principe accordés en faveurs de projets dans le domaine de l’aviation civile et 7 autres dans le domaine du transport maritime des personnes et des marchandises. Ainsi, les différents investisseurs algériens, étrangers ou mixtes peuvent passer à l’action dès l’obtention de l’accord de principe.
« Les prix pratiqués par Air Algérie sont exagérés »Par ailleurs, le ministre n’a pas manqué de s’exprimer sur Air Algérie dont la situation financière se dégrade de plus en plus. Ainsi, la compagnie aérienne nationale ne cesse de s’attirer les foudres des Algériens.
Que cela soit pour les vols internationaux ou intérieurs, les prix demeurent excessivement chers et « ne conviennent pas au pouvoir d’achat du citoyen », estime le ministre du Transport.
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Le Conseil Electoral tient sa session extraordinaire au titre de l'année 2021 du mardi 2 novembre au lundi 15 novembre 2021. Les travaux ont été lancés au siège de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) à Cotonou.
La première session extraordinaire du Conseil Electoral s'est ouverte ce mardi 2novembre 2021 en présence du Président du CE Sacca Lafia.
Les travaux qui dureront 15 jours permettront aux membres d'adopter l'avant-projet de budget de fonctionnement de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA), gestion 2022.
Les membres du Conseil Electoral procéderont également à l'examen et à l'adoption du compte rendu de la mission de la CENA effectuée au siège des différentes formations politiques dans le cadre du suivi de la gestion du financement public des partis politiques au titre des deux premiers trimestres de l'année 2021 ; du projet de termes de référence relatifs au recrutement du Directeur Général des Elections, des directeurs techniques et de la Personne Responsable des Marchés Publics.
M. M.
Les députés de la 8e législature ont adopté, ce mardi 02 novembre 2021, à l'unanimité le 5e rapport d'activités du président Louis Vlavonou, au cours de la deuxième session ordinaire de l'année 2021.
Louis Vlavonou a présenté pour la cinquième fois son rapport d'activités couvrant la période allant du 1er Avril au 30 septembre 2021 conformément aux dispositions du Règlement intérieur de l'Assemblée.
Il y a eu au total 12 séances plénières au cours de la période indiquée. Le rapport a été adopté à l'unanimité des députés.
« Je reste convaincu que nous sommes sur la bonne voie et je peux, une fois encore, compter sur mes chers collègues, honorables Députés de la huitième législature pour hisser notre parlement au rang des institutions modernes et respectable », a écrit Louis Vlavonou dans une publication sur a page Facebook.
A.A.A
Le Bénin est représenté au Tournoi de lutte africaine de la Cedeao (Tolac) qui se tient à Dakar (Sénégal) du 4 au 6 novembre 2021.
Nafiou Ayamoudou (66 kg), Fard Moukaila (76 kg), Fridaousse Assanti (86 kg), Nicolas Cakpo (100 kg) et Bertin Tossou Madou (100 Kg et +) sont les cinq (05) lutteurs qui représentent le Bénin à Dakar les 4, 5 et 6 novembre 2021, dans le cadre du Tournoi de Lutte Africaine de la Cedeao (Tolac).
Les ambassadeurs du Bénin conduits par le président de la Fédération Béninoise de Lutte (Fébélutte), Yves Azifan, l'entraîneur Prosper M'betti et le médecin-soignant, Nadège Boni, ont pris départ de Cotonou ce mardi 2 novembre 2021.
Les représentants du Bénin promettent de faire bonne impression au Tournoi de Lutte Africaine de la Cedeao (Tolac).
M. M.
L'entraîneur béninois, Michel Dussuyer, a publié la liste des 25 joueurs qui affronteront le Madagascar et la RDC dans le cadre des 5ème et 6èmes journées des éliminatoires du Mondial Qatar 2022. Sur ladite liste, figure Jodel Dossou, milieu de terrain des Écureuils sanctionné à l'occasion du match retour contre la Tanzanie.
Le technicien français, au cours de la conférence de presse ce mardi au stade de l'amitié Général Mathieu Kérékou, s'est prononcé sur le retour du joueur de Clermont Foot sur sa liste. Selon Michel Dussuyer, il s'agit d'une « décision importante » qui permet au joueur de « se réhabiliter avec le public béninois ». Le comportement et l'attitude du joueur ne sont pas forcément bons, a fait savoir le technicien français, qui espère que le joueur en cause saura tirer les leçons que « désormais, toute sortie nocturne est bannie quels que soient les motifs ».
Michel Dussuyer a souligné que la décision de réhabilitation de Jodel Dossou n'est motivée par aucune pression extérieure. « On m'a pas forcé la main pour rappeler Jodel Dossou », a-t-il précisé.
A la veille du match retour contre la Tanzanie, Jodel Dossou a quitté le campement des joueurs sans autorisation préalable de l'encadrement technique. Ce qui lui a valu son exclusion pour le match de la 4ème journée contre la Tanzanie.
F. A. A.
Petrofac a fait un don de 220 concentrateurs d’oxygène importés d’une valeur de 225 000 $ US environ. 180 unités ont été mises à la disposition du ministère de la santé à Alger et 40 autres unités ont été réservées à la direction de la Santé de la wilaya d’Illizi.
Ce don s’inscrit dans le cadre de la seconde campagne de solidarité menée par Petrofac, dans la lutte contre la pandémie Covid-19 en Algérie. À travers ce nouveau don, Petrofac réitère son soutien indéfectible aux Algériens.
En effet, Petrofac reste toujours soucieuse d’apporter sa contribution au bien-être des populations qui résident et travaillent dans les zones où elle opère.
Rappelons qu’en 2020, Petrofac a fait un don d’une valeur de 100 000 $ US aux fonds du ministère algérien de la santé. Elle a également fait un don de matériel médical composé, notamment de défibrillateurs, à l’hôpital voisin d’In Amenas. En outre, l’entreprise a fait récemment plusieurs dons au village de Tin Fouy, situé à proximité de son projet à Ain Tsila, et ce en collaboration avec la commune de Bordj Omar Driss.
A ce propos, Manish Bhojwani, Directeur Général de Petrofac en Algérie, a déclaré : « Nous voulons aider à contribuer dans la lutte contre les effets de la pandémie, cela aura un impact positif pour nombre de personnes à rester en bonne santé. Ce fut un privilège de travailler avec le ministère de la Santé à Alger et la direction de la Santé de la wilaya d’Illizi à la réussite de cette opération. »
Présente en Algérie depuis l’ouverture de son bureau en 1999, après conclusion du premier contrat majeur à travers le projet à Ohanet, Petrofac a continué depuis cette date à accroître fortement sa présence en Algérie.
Petrofac continuera à soutenir et à assoir des liens de solidarité avec la population algérienne, comme elle veillera à renforcer la formation qualitative de son personnel, constitué actuellement de plus de 85 % de travailleurs algériens.
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Depuis sa création en 2009, le bitcoin est assez controversé. Et c’est également le cas de toutes les autres cryptomonnaies qui ont vu le jour par la suite. Largement critiqué pour sa volatilité, son utilisation dans des transactions potentiellement malhonnêtes et la consommation exorbitante d’électricité nécessaire à son extraction, le BTC est considéré par certains utilisateurs comme une valeur refuge en cas de difficultés économiques. On observe notamment ce phénomène dans les pays en développement, dont la monnaie fiduciaire est faible et plutôt instable.
Puisque de plus en plus de personnes se tournent vers les monnaies virtuelles, aussi bien comme investissement qu’en tant que valeur refuge, plusieurs gouvernements ont alors mis en place diverses restrictions sur leur utilisation. C’est entre autres le cas de l’Algérie.
Bitcoin en Algérie : que dit la loi ?Le statut juridique du bitcoin et des autres altcoins (monnaies virtuelles alternatives au BTC) varie considérablement d’un pays à l’autre. Dans certains, le cadre juridique est particulièrement strict ; dans d’autres, il s’avère encore flou ou évolue constamment.
Si la majorité des pays ne rendent pas l’utilisation des cryptomonnaies illégale en soi, son statut de moyen de paiement ou de marchandise diffère, avec des implications réglementaires variables.
Certains États imposent des limites à l’usage : les banques interdisent alors à leurs clients d’effectuer des transactions en monnaies virtuelles. D’autres interdisent purement et simplement l’utilisation du bitcoin et de toute autre cryptomonnaie. Pour s’assurer du respect de cette restriction par leurs citoyens, ils ont alors mis en place de lourdes sanctions à l’encontre de toute personne effectuant des transactions en devises virtuelles.
L’Algérie fait partie de ces pays ayant un rapport particulièrement tendu avec le BTC et les altcoins. En effet, elle interdit actuellement l’utilisation des monnaies virtuelles, par le biais de sa loi financière de 2018 (Loi n° 17-11 du 8 Rabie Ethani 1439 correspondant au 27 décembre 2017 portant loi de finances pour 2018). Celle-ci rend illégal l’achat, la vente, l’utilisation ou la détention de cryptomonnaies. Toute violation est sanctionnée conformément aux lois et règlements en vigueur.
Les raisons de cette interdictionCette interdiction découle de plusieurs raisons majeures. La première est qu’une cryptomonnaie est indépendante de tout gouvernement ou institution. Elle n’a aucun statut légal et n’est pas encadrée par une Banque Centrale, ce qui retire toute possibilité de contrôle par le pays. Le risque de blanchiment est notamment un point d’inquiétude pour l’Algérie.
La seconde raison est la protection des citoyens. En effet, si les Algériens voient une valeur refuge dans le bitcoin, ils se soumettent à ses importants aléas. Depuis sa création, sa valeur a en effet subi de grosses fluctuations, avec des hausses impressionnantes, mais aussi d’énormes diminutions.
Troisièmement, l’utilisation de bitcoins et autres devises virtuelles crée un marché monétaire parallèle qui nuit au marché officiel. Cette tendance est néfaste pour l’ensemble du système financier algérien, déjà pénalisé par le contexte économique actuel.
Est-il possible d’utiliser des bitcoins en Algérie ?Ainsi, les banques ne supportent pas les devises virtuelles en Algérie. De même, le domaine du e-commerce algérien ne peut pas exploiter ces monnaies. D’ailleurs, cette restriction légale a une conséquence plus large : il n’y a pas de réelle économie numérique/électronique en Algérie, à l’exception de quelques sites de vente.
De ce fait, vous ne pouvez pas faire des transactions en bitcoins directement. En revanche, il est possible d’utiliser une carte de débit ordinaire qui les convertit en monnaie fiduciaire. Il suffit ensuite de retirer les fonds à un guichet automatique. Pensez à cette alternative lorsque vous obtenez des BTC sur un site comme https://bitcasino.io/fr. En effectuant la conversion à chaque transaction, vous pourrez alors jouer à vos jeux de casino préférés, tout en respectant la législation en vigueur.
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