Le Forum EPA 2021 a eu lieu les 02 et 03 décembre 2021 à l'hôtel Golden Tulip de Cotonou. Initié par le réseau EPA et cordonné par le Centre d'Actions pour l'environnement et le développement durable (ACED), le forum a réuni pendant deux jours en ligne et en présentiel, les chercheurs, les pa,,,rtenaires au développement, les organisations internationales, les organisations à but non lucratif, les acteurs du secteur privé, et les organisations de producteurs du secteur agricole.
« Connecter les données et la recherche aux politiques pour transformer le secteur agricole », c'est le thème du forum EPA 2021 (Evidences-Politiques-Actions). Il s'agit d'une initiative de l'EPA, un réseau d'acteurs et d'organisations qui promeuvent l'utilisation des données probantes dans la formulation et la mise en œuvre des politiques et des interventions. Selon le directeur exécutif de ACED, Fréjus Thoto, le forum EPA est « né du constat général qu'il existe un déficit de cadre d'interaction entre les chercheurs (universités, cabinets, instituts, etc.), les politiques (Gouvernement central et municipalités) et les praticiens du développement (Organisations non gouvernementales, partenaires au développement, secteur privé, etc.). « Pourtant cette interaction reste indispensable pour orienter les chercheurs sur les questions d'intérêt ; informer le secteur privé sur les innovations et ouvrir la voie pour leur valorisation ; et fournir aux politiques les intrants nécessaires à la formulation de politiques », a relevé Fréjus Thoto.
L'objectif du Forum EPA poursuit-il, est de créer un cadre de dialogue et de partage de connaissances entre les acteurs de la recherche, les décideurs politiques et les praticiens sur l'utilisation des données probantes dans la formulation et la mise en œuvre des politiques et des interventions dans l'agriculture, la sécurité alimentaire et la nutrition. L'ambition est de renforcer l'écosystème de production et d'utilisation des données probantes.
Mettre la recherche agricole au service du développement
Selon le directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Josué Azandégbé, le gouvernement à travers le ministère s'inscrit dans la dynamique de réformes structurelles pour pouvoir apporter le type de gouvernance nécessaire au sous-secteur de la recherche et de l'innovation.
L'interaction entre les différents acteurs de la recherche et de l'innovation permet de mettre la recherche au service du développement, a-t-il ajouté.
« Nos institutions de recherche regorgent d'innovations et de résultats de recherche qui proposent des solutions aux problèmes de développement dans plusieurs secteurs. Il s'agit de nous assurer que les résultats de recherche et d'innovations technologiques sont valorisés par les principaux utilisateurs que sont les acteurs », a affirmé le représentant du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Il a salué les organisations non gouvernementales, notamment le centre ACED et les structures privées qui œuvrent inlassablement au développement de cette interaction entre les différents acteurs.
Procédant au lancement officiel du forum EPA, le directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Agriculture de l'Élevage et de la pêche, Abdoulaye Toko a indiqué que le volet « Agriculture » du Programme d'Actions du Gouvernement accorde un intérêt particulier à la recherche agricole comme levier de développement des innovations agricoles. Face aux défis du secteur agricole, le gouvernement mène plusieurs actions. Il y a entre autres la conduite du Recensement National de l'Agriculture (RNA), les récentes réformes au niveau de l'Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) et la mise en place du Système National de Recherche Agricole (SNRA). Abdoulaye Toko a exhorté les participants à mener des échanges fructueux devant aboutir à des actions concrètes à mettre en œuvre pour accompagner le développement de l'agriculture au Bénin.
La société civile dans la promotion de l'utilisation des données probantes
Trois sessions ont marqué la première journée de ce forum. Le président du Réseau national des ONG actives dans l'agriculture durable (RENOVA), Patrice Sewade et les secrétaires permanents Ernest Pedro et Bernadin Toto, respectivement de la Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB) et de la Plateforme Nationale des Organisations Paysannes et de Producteurs Agricoles du Bénin (PNOPPA) ont relevé le rôle de la société civile dans la promotion de l'utilisation des données probantes. Chercheuse dans le domaine agricole, Dr Laure Tall, directrice de recherche à IPAR Sénégal a partagé son expérience.
Lors de la deuxième session, le directeur de la recherche et de l'apprentissage du Centre ACED, Castro Gbedomon, a présenté les activités et services de l'organisation et du réseau EPA sur l'utilisation des données probantes dans le secteur agricole. Le secteur agricole n'a pas échappé aux conséquences de la crise sanitaire Covid-19. La troisième session a permis d'échanger sur l'utilisation des données et la recherche pour faire face à la crise sanitaire de la Covid-19. Elle a été animée par Massaoud Williams du Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), Donald Houessou de ACED et Donald Tchaou de Tic Agro Business Center.
Les participants ont poursuivi les échanges le vendredi 03 décembre 2021 autour de l'écosystème de l'utilisation des données probantes pour le développement agricole, la digitalisation de l'agriculture et les questions de production de données probantes.
Le Forum EPA 2021 a été également l'occasion de lancer l'initiative « des 100 questions de recherche critiques et actuelles sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle ». Il s'agit d'une initiative de ACED qui vise à élaborer 100 questions de recherche critiques et actuelles dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Ces questions de recherche seront définies avec tous les acteurs et devront répondre aux besoins réels du Bénin suivant les défis et réalités des populations.
Akpédjé A. Ayosso
A propos du Centre ACED
Le Centre d'Actions pour l'environnement et le développement durable (ACED) est une organisation à but non lucratif créée le 16 juin 2009 et reconnue officiellement le 07 avril 2010. ACED travaille sur les défis de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Bénin en combinant la recherche, les politiques et les actions locales dans le but de réduire la pauvreté et la faim, dans les communautés les plus vulnérables. Elle coordonne l'organisation du Forum EPA pour le compte du réseau EPA.
ACED dans toutes ses activités, fait l'effort de collaborer avec les acteurs de la recherche, les décideurs politiques et les praticiens du secteur agricole. Le Centre d'Actions pour l'Environnement et le Développement durable s'assure que les résultats de recherche et les données probantes sont intégrés dans la prise des décisions. Son statut lui permet d'utiliser les différents résultats de recherche directement dans ses actions au profit des communautés à la base.
Les dernières instructions émises hier par le président de la République concernant l’importation automobile sont-elles un début pour le dénouement tant attendu ? Des spécialistes affichent déjà leur optimisme quant à déblocage imminent.
Lors du Conseil des ministres tenu hier, le chef de l’État a ordonné la révision « immédiate » du cahier des charges fixant les conditions d’importation des véhicules et l’accélération de l’annonce des concessionnaires agréés.
Dans le même sillage, Tebboune a insisté sur l’impératif de fournir un réseau de services après-vente, au niveau régional et dans les grandes villes, en tant que condition pour accepter les dossiers des concessionnaires. Il a également a rappelé que la loi n’interdisait pas l’importation individuelle des voitures.
Suite à ces instructions, des spécialistes dans le domaine automobile et des défenseurs des droits du consommateur affichent déjà leur optimisme quant à l’amélioration de la situation du marché et une baisse imminente des prix qui se trouve actuellement à des niveaux exorbitants.
« Les responsables n’ont qu’à les appliquer les instructions »Pour Youcef Nebbache, le président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (ACAM), « les instructions du président à ce propos sont claires et l’anarchie que vit l’est également. Ainsi, les responsables n’ont qu’à appliquer les instructions du président ».
Dans une déclaration rapportée par Ennahar, l’intervenant prévoit une baisse des prix dès le début de l’importation et la stabilité du marché. Il a également noté que « le président aborde à chaque fois ce problème et donne des instructions, par conséquent, les responsables n’ont qu’à les appliquer ».
Ainsi, il estime que « les services concernés doivent accorder les agréments aux concessionnaires qui remplissent les conditions afin d’entamer l’importation et régler le problème de l’automobile en Algérie.
Le président de l’ACAM prévoit que « les prix des voitures devront baisser de 20% avec le début de l’importation ». En outre, il reconnait que, certes « le problème de l’automobile est international, mais le marché algérien devra se stabiliser avec le retour de l’importation ».
« On s’attend au dénouement après l’intervention du président »Pour sa part, le président de l’Organisation Apoce pour la protection des consommateurs, rapporté par le même média affirme que « le feuilleton de l’importation automobile prend une tout autre dimension ». Or, il s’attend à « un dénouement après l’intervention du président ».
D’ailleurs, l’intervenant a insisté sur l’urgence de ce dénouement, d’autant que le véhicule est devenu désormais une nécessité et les prix appliqués actuellement dépassent toutes les bornes. Pour Mustapha Zebdi, libérer la situation par des mesures exceptionnelles est le seul moyen pour satisfaire le marché et répondre aux besoins des citoyens.
Dans le même sillage, il explique que l’allègement des conditions du cahier des charges d’importation de véhicules neufs permettra aux concessionnaires agréés de bénéficier de plus grandes opportunités lors de la prochaine étape de l’opération.
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La commission chargée de contrôle des structures de prestation de soins médicaux au cours d'un point de presse vendredi 03 décembre dernier a alerté sur l'existence de cabinets illégaux de soin sur le territoire national. Sur 20 cabinets visités dans les départements du Borgou et de l'Alibori, seulement 02 étaient en règle.
Selon le point présenté, 08 cabinets ont été fermés, et 10 par leurs promoteurs ». Le coordonnateur, Blaise Ayivi et son équipe a émis le vœu que les cabinets fermés aient « la bonne foi de se mettre en règle. Dans tous les cas, la veille est maintenue, a-t-il averti.
F. A. A.
L’économie est au cœur des défis auxquels l’Algérie fait face aujourd’hui. Entre l’incertitude qui caractérise le marché des hydrocarbures et la détérioration du pouvoir d’achat du citoyen, le gouvernement est sommé, en urgence, de trouver des sorties de crises afin d’éviter une explosion sociale dont les prémices se dessinent clairement.
Dans le cadre de la conclusion des travaux de la Conférence nationale sur la relance industrielle, le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benaberrahmane a assuré aujourd’hui, lundi 06 décembre 2021, l’engagement du gouvernement à revoir sa politique d’investissement.
10 milliards de dollars en vainAujourd’hui donc, au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, dans la capitale Alger, le premier ministre et ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane a déclaré que « l‘État a fourni un montant de 10 milliards de dollars aux investisseurs, mais sans que ces derniers ne créent de la richesse ou des emplois ».
C’est pour cela que le ministre a ensuite affirmé qu’il « est temps de changer de politique de soutien afin de l’orienter vers les vrais investisseurs qui le méritent ». Benabderrahmane a également déclaré que « l’État a décidé de reprendre tout l’immobilier industriel aux investisseurs fictifs et de le redistribuer sur les véritables investisseurs ».
En outre, le premier ministre a indiqué que « les prêts à l’investissement s’élevaient à 142 mille dossiers au niveau des banques en septembre 2021″ et que « les exportations hors hydrocarbures ont pu atteindre les 4 milliards de dollars au cours des 10 premiers mois de l’année en cours ».
Recenser les projets paralysésLe ministre a également confié que le gouvernement va tenter de « réviser les accords internationaux pour les mettre au service de l’économie nationale sans pour autant porter préjudice aux relations avec les pays partenaires, conformément aux instructions du Président de la République ».
Benabderrahmane a assuré qu’un comité national va être mis en place afin de « fournir des chiffres sur les projets paralysés, les noms des entreprises et leurs activités, et ce, pour évaluer les pertes économiques dues à la bureaucratie ».
Le haut responsable ajoute qu’« il y a plusieurs propriétés industrielles qui ont été concédées il y a plusieurs années et qui n’ont pas été exploitées ». Le premier homme indique que « seul un petit pourcentage de ces propriétés n’a pas été encore connecté aux réseaux d’électricité et de gaz ».
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Le Canada, qui a ouvert grand ses portes cette année pour l’immigration professionnelle et estudiantine, s’est vu épinglé récemment suite à des chiffres révélant une discrimination envers les étudiants francophones africains.
En effet, la proportion de refus de permis d’étudiant a atteint 90 % pour les Guinéens, 77 % pour les Algériens. En 5 ans, 16 000 étudiants algériens ont été refusés. Suite à quoi, plusieurs responsables ont réagi dont le ministre fédéral de l’immigration, Sean Fraser, qui a dénoncé cette situation discriminatoire, s’est montré favorable à l’augmentation de la proportion d’étudiants de l’Afrique francophone.
Raison pour laquelle le gouvernement de Justin Trudeau est pointé de doigt notamment pour les demandes destinées au Québec qui connaissent le taux de refus le plus élevé soit 80% et plus.
Trudeau réagit à la « discrimination estudiantine »Après les exhortations et les dénonciations de plusieurs responsables, le Premier ministre Canadien Justin Trudeau, connu pour ses initiatives et ses positions anti-discrimination, a reconnu la gravité de la situation inquiétante concernant le refus considérable des étudiants africains francophones, il envisage également de procéder à « un examen détaillé » pour étudier, identifier et remédier aux retombées des critères des programmes fédéraux sur la composition de l’immigration.
Reconnaissant une discrimination qui existe dans plusieurs institutions du pays, Trudeau a tenu à rappeler « nous n’allons tolérer aucune discrimination systémique », affirmant que ces dossiers et ces demandes doivent impérativement être traitées de façon équitable.
Le Canada va-t-il réussir à identifier et éliminer cette « discrimination estudiantine » ? Les étudiants algériens auront-ils plus de chance suite à cet « examen détaillé » ?
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À la veille de la finale du groupe D de la Coupe Arabe qui opposera l’équipe nationale A’ et son homologue égyptienne, les Verts sont déterminés et motivé plus que jamais.
Présent en conférence de presse à cet effet, le sélectionneur national Madjid Bougherra, a abordé plusieurs sujets et a traité plusieurs points.
En effet, ledit entraineur a tout d’abord commencé à parler des précédentes confrontations, où il a déclaré : » nous sommes satisfaits de notre parcours jusque-là « .
» Il nous reste désormais un match de haut niveau pour terminer premiers face à l’Égypte. Tout est là pour continuer à progresser « , poursuive-t-il.
» Les évènements de 2009 font désormais du passé » (Bougherra)Dans le même chapitre, Bougherra s’est exprimé conscient quant à l’importance de la rencontre de demain soir, dont le coup d’envoi est prévu à 20 heures (heure algérienne) : » on a toujours affronté l’équipe égyptienne dans des matchs décisifs, il y a une rivalité sportive importante. C’est un match qui doit se jouer sur l’état d’esprit avant tout, nous devrons faire preuve d’une solidarité extrême même si l’aspect tactique reste bien-sûr important « .
Lors de la même conférence de presse, le coach a également abordé le sujet relatif aux évènements de 2009, où il a souligné que ces derniers ne font plus partie de son présent : » pour moi, ce qui s’est passé en 2009, c’est définitivement du passé « .
Par ailleurs, Bougherra a précisé : » la rivalité sportive entre les deux équipes reste, bien sûr, mais ça reste et ça doit se limiter au domaine sportif. L’Algérie a récemment joué en Égypte sans problème et avec même un trophée au bout « .
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L'arbitre béninoise Rosalie Ndah Tempa est représentée au sein de la Commission des arbitres de la Confédération africaine de football (CAF). Elle fait partie des officiels béninois à la CAN Cameroun 2021.
Grâce à son parcours brillant, la Béninoise Rosalie Ndah Tempa a été nommée au sein de la Commission des arbitres la CAF. Maîtresse coiffeuse et formatrice en coiffure, l'arbitre de football béninoise est âgée de 48 ans. Elle a retenu l'attention des responsables de la Commission centrale des arbitres de la Fédération béninoise de football lors d'un programme de formation de jeunes arbitres dans l'Atacora. Intervenue en première division au Bénin, Rosalie Ndah Tempa officie dans un match international pour la première fois en 2003. Elle a arbitré la finale de football des Jeux africains, au Nigéria.
L'arbitre béninoise a pris part notamment aux Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes, à la Coupe d'Afrique des Nations féminine de football 2004 en Afrique du Sud, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2006 en Russie, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2006, à la Coupe d'Afrique des nations féminine de football 2008 en Guinée équatoriale.
Rosalie Ndah Tempa a également participé à la finale dame aux Jeux olympiques d'été de 2008 à Pékin, puis aux Jeux olympiques d'été de 2012. Lors de la Coupe du monde féminine de football 2007 en Chine, elle a été arbitre assistant. Elle était aussi à la Coupe du monde féminine de football 2011, à la Coupe du monde féminine de football des moins de 20 ans 2014 au Canada. En 2017, Ndah Tempa a été désignée comme l'un des meilleurs arbitres assistants du Bénin.
Coordonnatrice de l'équipe de football féminine Natitingou, elle est aussi directrice d'un Centre de formation en Coiffure.
A.A.A
Dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'', trois (03) hors-la-loi ont été neutralisés à Akpakpa (Cotonou).
Les agents du commissariat de Tokplégbé ont intercepté une motocyclette qui remorquait trois individus aux environs de 22 heures le vendredi 03 décembre 2021. Les passagers ont pris la fuite à la vue des policiers. Les policiers se lancent à leur poursuite mais les individus suspects ouvrent le feu. Les trois suspects sont mortellement atteints lors de la riposte des policiers. Sur les corps sans vie des trois malfrats, il a été retrouvé un pistolet de fabrication artisanale, une cartouche, une machette et une clé passe partout. La motocyclette Bajaj qui remorquait les trois malfrats est sans immatriculation. Les corps des trois malfrats ont été déposés à la morgue du Centre National Hospitalier Universitaire (Cnhu). La police a ouvert des enquêtes complémentaires.
Selon les informations, les trois individus abattus appartiennent à un réseau spécialisé de vols à mains armées au quartier Akpakpa. La bande se remorque à trois sur une motocyclette pour identifier leur victime potentielle. Le réseau s'attaque ensuite à leur cible, s'empare de sa moto et/ou la dépouille de ses biens.
La mise hors d'état de nuire de trois membres du réseau fait suite aux renseignements obtenus dans le cadre de l'opération sécuritaire ‘'Gbowélé'' déclenchée par le commissariat central de Cotonou.
M. M.