Le ministre des sports, Oswald Homéky accompagné des responsables de ADO FM et ADO TV a été reçu au cabinet du président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), Rémi Prosper Moretti, lundi 20 janvier 2020. Au menu des échanges entre les deux personnalités, les nouvelles exigences de la régulation des médias au Bénin. Le ministre Homéky a souhaité au cours de cette rencontre avec le président de la HAAC, une meilleure implication de l'institution de régulation des médias au Bénin dans le suivi des activités de ces deux organes qui relèvent du ministère des sports.
La création d'une chaîne de télé dédiée au sport était aussi au menu des échanges entre les deux personnalités.
F. A. A.
Les membres du Conseil National de l'Education (CNE) seront installés ce mardi 21 janvier 2020.
La cérémonie d'installation en cours à la salle bleue du Palais des Congrès de Cotonou.
Elle rassemble les membres du CNE, les membres du Cabinet du chef de l'Etat et du gouvernement, les responsables des institutions de la République, les membres du corps diplomatique et des organisations internationales et autres personnalités.
Selon le décret n°2018-395 du 29 août 2018, le Conseil National de l'Education a pour mission de veiller au respect des grandes options éducatives de l'État, à la mise en œuvre de la loi portant orientation de l'Éducation nationale et à la coordination de tout le système éducatif en République du Bénin.
Akpédjé AYOSSO
Quelques images
Des vœux de santé, de prospérité, de joie ; c'est qu'a souhaité le ministre Abdoulaye Bio Tchané à ses collaborateurs ce lundi 20 janvier 2020, lors de la cérémonie des couleurs au Ministère du Plan et du Développement.
« Que l'année 2020 soit pour chacun une année de robuste santé à tous égards, de prospérité, de joie dans vos familles et d'heureux accomplissements de vos perspectives », a souhaité le ministre d'Etat chargé du Plan et du développement.
Pour Abdoulaye Bio Tchané, 2019 a été l'année de nombreuses réalisations. Il cite notamment : le rebasage des comptes nationaux, le repositionnement du Bénin par rapport à la traite des personnes, l'amélioration de la qualité des portefeuilles du Bénin auprès des Partenaires Techniques et Financiers.
A cela s'ajoutent la négociation au titre de l'année 2019, de plus de 20 accords de financement pour un montant global d'environ 841,4 milliards FCFA au 31 août 2019, dépassant le taux des prévisions de mobilisation et l'élaboration du programme spécial des ODD, « Ne laissez personne de côté », a-t-il conseillé tout en saluant les efforts du personnel.
« Chacun de vous, peu importe la position qu'il occupe dans ce Ministère, a grandement contribué à l'atteinte de ces résultats. J'ai eu souvent l'occasion de féliciter vos responsables. Aujourd'hui, c'est à votre tour de recevoir directement mes vives et sincères félicitations. J'apprécie sincèrement les efforts constants de chacun de vous depuis le chemin que nous parcourons ensemble depuis avril 2016 », a-t-il ajouté.
Le Ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané a invité tout le personnel à l'unité dans l'action.
Akpédjé AYOSSO
Eric TCHIAKPE, Directeur de KIKA Digital qui organise le Bénin Digital Round 2020, nous parle de l'événement.
Question : Qu'est-ce que le Bénin Digital Round ?
E.T : C'est une sorte de marché, un salon au cours duquel les acteurs importants de l'économie numérique au Bénin vont à la rencontre du public. C'est une occasion annuelle au cours de laquelle, on peut rencontrer régulateur, concepteur, fournisseurs de service et public, et où sont débattus les enjeux de la digitalisation au Bénin. Un espace où on recherche les meilleurs moyens de rendre efficace son activité grâce aux nouvelles technologies.
Vous avez dit salon ? Chaque semaine, il y en a un qui parle de Numérique et de Digital. En quoi votre événement sera différent de tout qui s'est fait jusqu'ici ?
Déjà, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose qu'on en parle chaque semaine. Je pense même qu'on devrait en parler tous les jours, compte tenu de l'importance de ce secteur, de notre position et des enjeux. Ce qu'il faut peut-être que je rappelle, le numérique est un secteur transversal à tous les autres secteurs, je veux dire de toutes activités humaines allant de la santé à l'agriculture en passant par l'administration, il n'existe pas de domaine où le numérique et la digitalisation ne soient concernés. C'est d'ailleurs pour cela que l'on parle aujourd'hui de transformation numérique, nous sommes à l'ère du numérique. Pour vous répondre, le Bénin Digital Round ne ressemble en rien à ce qui s'est fait jusqu'ici. Nous avons une approche différente. Nous voulons intégrer dans le processus de transformation en cours ceux qui sont principalement concernés, c'est-à-dire vous et moi. Le citoyen lambda.
Comment vous pouvez y arriver ?
Par l'approche. Ce qu'il faut savoir, c'est que le DIGITAL et le NUMERIQUE, font déjà partie de notre quotidien. Tout ce que nous faisons est numérisé ou susceptible de l'être selon l'étape d'intégration de nos usages, donc selon notre degré d'évolution technologique. Des secteurs entiers de notre vie de tous les jours ont déjà migré ou vont migrer dans l'économie virtuelle. L'ère du tout analogique est derrière nous et en voie de disparition. Cette réalité est si prégnante que de mon point de vue, les questions liées au domaine ne devraient pas être l'unique attribut des spécialistes et du régulateur. Cela devrait aussi être, et peut être principalement, l'affaire de tous.
Les fois où j'ai assisté à des rencontres sur le Numérique, je n'y ai vu que des spécialistes, des connaisseurs et dans des endroits si sélects que je me suis posé la question de savoir quand viendra le moment de vrais échanges sur ces questions et solutions qui nous concernent tous ?
À vous entendre les questions liées au digital sont débattus uniquement par les spécialistes. N'est-ce pas normal ?
C'est vrai qu'il faut que les spécialistes se rencontrent, établissent le cadre d'évolution juridique et administratif du secteur, c'est vrai et il est normal que les fournisseurs d'accès internet, les concepteurs de solutions et les régulateurs se rencontrent, abordent les grandes problématiques du domaine, ou les thématiques qui leur paraissent stratégiques. C'est normal tout ça. Seulement, nous ne pouvons et ne devons pas concentrer tous nos efforts à ce niveau-là, parce qu'en réalité, quand on a fini de tout régler en hauteur, les vrais usagers sont les citoyens ordinaires, c'est eux qui dynamisent l'écosystème. Et comment peut-on concevoir une architecture idéale sans que ceux qui doivent en bénéficier ne soient conviés à son élaboration. Le digital et le numérique, ce n'est pas l'abstrait, même si c'est virtuel, c'est un ensemble de solutions et d'outils dont l'objectif est d'optimiser nos usages habituels et nouveaux. Dans l'entendement de certains, c'est peut-être de nouvelles applications et solutions qui révolutionnent nos usages, mais ce n'est pas tout. C'est aussi la mise à jour et l'optimisation de ce qui existe. C'est surtout une migration de nos activités traditionnelles vers des supports technologiques différents de ce qui les a toujours caractérisés. Des lors, l'avis des usagers, leurs préférences comptent également.
Le Bénin Digital Round vise à créer une osmose entre les différents groupes cibles de l'écosystème numérique et digital, valoriser leur interdépendance aider à accroitre le taux de pénétration de l'internet.
Pour cette première édition, on veut déjà exposer ce qui se fait dans le DIGITAL au Bénin, montrer les différents agents de l'économie numérique et inviter le public à s'y intéresser.
Faire comprendre à ceux qui ne le savent pas encore, qu'ils y sont de plain-pied. Mettre en évidence les avantages qu'ils peuvent tirer des avancées et technologies à leurs dispositions.
Comment va se dérouler le salon ?
E.T : Nous avons prévu qu'il se tienne en 3 jours. On devrait avoir sur place, la fine fleur des prestataires, des entreprises bien avancées dans le processus de digitalisation, on y verrait également les développeurs confirmés et en devenir, certaines structures de l'Etat incontournables dans l'écosystème numérique au Bénin, des fournisseurs d'accès internet. Les avancés en matière de digitalisation au Bénin et de service que ce soit en matière de santé, d'agriculture, de finances et banques, de logistique…
Naturellement, il y aura des échanges sur les questions de l'heure en matière du numérique.
Cette année, la thématique principale est : Optimiser les activités du citoyen grâce au Digital.
Au-delà des débats autour de ce thème principal, on pourra voir et envisager les possibilités qui s'offrent aux citoyens qui aspire à être efficace dans tous les domaines de son quotidien.
La date et le lieu ?
Ce sera du 11 au 13 Février 2020, à Cotonou. Le lieu sera confirmé sur les affiches et autres supports de communication prévus à cet effet.
Avez-vous un dernier mot ?
Pour le public, la campagne sera lancée d'ici quelques jours sur les médias, réseaux sociaux compris. En attendant, je les invite à se déplacer nombreux, car c'est peut-être un salon, mais c'est le public qui est le challenge. S'ils ont des problèmes de compréhension, de modélisation de leurs activités, ils pourront sur place consulter des spécialistes et avoir des réponses. Quant aux professionnels qui souhaiteraient avoir de la visibilité il y encore quelques places disponibles : Les personnes intéressées peuvent nous joindre au 60 27 37 37 ou envoyer un mail au dg@kikagroupe.com ou au wxenafa@gmail.com. Compte tenu du nombre limité de places, seuls les premiers seront servis.
Je vous remercie de m'avoir offert l'opportunité de parler de cet événement.
Propos recueillis par Paul Tonon
L'obligation de déclaration d'existence est supprimée pour les entreprises nouvellement créées. Ceci conformément à la circulaire n° 154-e/MEF/DC/SGM/DGI/CSC du 24 janvier 2019 et la loi des finances pour la gestion 2020.
Le Directeur général des Impôts Nicolas Yenoussi dans une correspondance adressée aux directeurs départementaux des Impôts le 13 janvier 2020 indique par ailleurs que le relevé d'adressage se fait sur la base des informations contenues dans le dossier de création. En conséquence, les visites de terrain visant à confirmer l'adressage des entreprises nouvellement créées sont strictement interdites à tout agent.
Akpédjé AYOSSO
Plus de doute au sujet de l'appartenance ou non des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) au mouvement des forces politiques de l'opposition dit de la ‘'Résistance''. Le secrétaire exécutif nationale du parti, Paul Hounkpè dans un entretien accordé à L'évènement précis a été clair. « Le parti FCBE n'est plus dans la Résistance. Il y a longtemps que nous avons quitté la Résistance. Il faut que les gens retiennent cela une fois pour de bon », a-t-il déclaré.
Le débat est donc tranché.
L'ex président Nicéphore Soglo, chef de file de la ‘'Résistance'', qui affirmait il y a quelques jours n'avoir reçu aucune démission des FCBE du mouvement, a désormais la réponse à sa préoccupation, et ne devra plus compter sur la formation politique dirigée par l'ex chef d'Etat, Boni Yayi.
F. A. A.
Le tribunal de première instance de deuxième classe de Djougou a rendu son premier verdict dans les 13 dossiers inscrits au rôle de la session criminelle ouverte lundi 20 janvier 2020. Accusé d'assassinat, le sieur Ibrahim Séïdou a été condamné à 15 ans de réclusion criminelle au terme de l'audience présidée par le juge Wilfried Guèdègbé.
Selon le récit des faits, dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 août 2012 à Bodi dans l'arrondissement de Pénéssoulou, commune de Bassila, le sieur Ibrahim Séïdou s'est introduit dans la chambre de sa femme, Soumanou Mariam. Alors que celle-ci dormait profondément, il a profité de son état de sommeil pour lui soutirer le bébé, Arouna Maïmounatou, âgée de 8 jours, qu'il a jeté par la suite dans un puits situé non loin de la concession.
Après son forfait, Ibrahim Séïdou est allé se coucher dans la chambre de son cousin, Titi Motalibi. Ce n'est qu'au petit matin que dame Soumanou Mariam, réveillée par les cris du Muezzin, constata la disparition de son enfant puis, éclata en sanglot. Les différentes fouilles ont permis de découvrir le bébé dans le puits à la surface de l'eau. Interpellé, Ibrahim a reconnu les faits mis à sa charge.
Le parquet a demandé la requalification des faits d'assassinat, en infanticide.
Après avoir plaidé coupable pour le crime, Me Maxime Codo, avocat de la défense, a imploré l'indulgence de la Cour.
Dans sa réquisition, le ministère public a requis 10 ans de réclusion criminelle contre l'accusé.
Dans sa délibération, le juge Wilfried Guèdègbé a condamné Ibrahim Séïdou à 15 ans de réclusion criminelle.
F. A. A.
Un homme en tenue des Zémidjans a été retrouvé mort sur le lac qui longe le village d'Agbedranfo dans l'arrondissement d'Ayomi, commune de Dogbo. Le corps sans vie de l'homme découvert par les pêcheurs le dimanche 19 janvier 2020 n'est pas connu des riverains. Selon le journal l'Investigateur, sur instructions du procureur du tribunal de deuxième instance de deuxième classe de Lokossa, il a été déposé à la morgue de l'hôpital de la ville.
Une enquête est ouverte par la Police.
G. A.
Dans le cadre de la double confrontation contre le Lesotho comptant pour la troisième et quatrième journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations Cameroun 2021, le sélectionneur des Écureuils du Bénin, Michel Dussuyer nous a accordé un entretien exclusif.
Lisez plutôt !!!!
La CAF a décidé d'organiser la prochaine Coupe d'Afrique en janvier et février 2021 au Cameroun, du coup le calendrier des éliminatoires change, à votre niveau, comment vous vous préparez pour pouvoir affronter les différentes rencontres ?
On avait déjà eu vent que la situation était évolutive. Elle s'est matérialisée avec cette décision qui a été prise officiellement cette fois-ci. Maintenant on va déjà travailler à se qualifier parce que c'est la première étape. Pour nous, cela ne change rien. Après dans la continuité bien-sûr cela va réduire un peu le temps de préparation, vu qu'on va commencer très tôt cette CAN, le 9 janvier. Autant on a eu un peu plus de temps à travailler au mois de juin 2019 pour se préparer à la dernière CAN qui s'est déroulée en Egypte, autant on aura beaucoup moins de temps pour travailler cette fois-ci. C'est le seul problème que j'entrevois.
A partir du mois de mars, vous jouez contre l'équipe du Lesotho, je crois que c'est un tournant important ?
Oui même si pour le moment c'est officieux, donc pas encore officiel. C'est vrai qu'on s'attend à ce changement de date et qu'on ait une double confrontation en mars contre le Lesotho. Déjà c'est un rendez-vous très important pour nous parce que c'est un tournant dans la course à la qualification. Si on négocie bien ces deux rencontres, on sera dans une très bonne posture pour se qualifier. Donc Il faut les préparer avec le plus grand sérieux. C'est pour cela qu'il faut se mettre à pied d'œuvre pour travailler aussi bien sur le match aller qui aura lieu à Porto-Novo que sur le match retour. Un déplacement qui ne sera pas facile. Car le Lesotho, est dans l'Afrique australe et le laps de temps entre ces deux rencontres est toujours très court, trois ou quatre jours. Il faut d'ores et déjà travailler pour mettre l'équipe dans les meilleures conditions pour ces deux matchs qui sont très importants.
Au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo, la pelouse est pour le moment complètement jaune alors qu' en mars prochain contre Lesotho, vous aviez besoin d'une bonne pelouse. Aussi si vous avez la possibilité de jouer à 17h ou 20h, je crois que vous serez très content ?
Exactement ce sont les doléances que j'ai exposées. Concernant l'état de la pelouse, je sais que depuis notre dernière rencontre contre la Sierra Leone, elle est de moins bonne qualité. Maintenant on a un peu de temps quand même pour rattraper le coup à condition de se mettre à la tâche pour qu'on puisse bénéficier d'une bonne pelouse. Parce qu'une mauvaise pelouse servirait plutôt les intérêts du Lesotho que les nôtres. Il faut mettre toutes les chances de notre côté parce qu'avoir une bonne pelouse c'est important pour nous. Parlant de l'horaire, effectivement, c'est encore trop juste pour qu'on puisse jouer à une heure plus tardive. Concernant la sécurité autour de l'éclairage, je pense que les dispositions doivent être aussi prises si rapidement pour qu'on s'assure qu'on a la possibilité de jouer un peu plus tard 17h tout de moins.
Les deux premières journées des éliminatoires de la Can, Cameroun 2021 ont été vraiment difficiles. Le temps était très court. Idem pour le temps de vol en aller et retour. La troisième et la quatrième journée pourraient être similaires. Dans ces conditions, est-ce que vous anticipez ?
Oui c'est ce que je vous ai dit. Lorsque j'ai appris la nouvelle officieuse du changement de calendrier, j'ai déjà demandé aux autorités de façon à ce que l'on puisse se mettre rapidement à la tâche. Comme je voulais souligner, c'est un rendez-vous très important. Du point de vue logistique et organisationnel, c'est vraiment compliqué de gérer ces deux matchs. Il faut vraiment se mettre au travail de façon à résoudre tous les problèmes qui nous ont été posés lors des échéances dernières contre le Nigeria et la Sierra Leone pour qu'on soit encore meilleur à ce niveau là, lors de la prochaine étape
Vos attaquants Steve Mounié et Rudy Gestede depuis quelques journées ont retrouvé la direction des filets, est-ce qu'on va retrouver Rudy en sélection très prochainement s'il n'était pas blessé ?
En tout cas, je suis avec beaucoup d'attention son retour à la compétition. C'est une bonne nouvelle quand on a les joueurs beninois qui retrouvent le chemin du terrain et qui évoluent à un très bon niveau. C'est une bonne nouvelle pour la sélection. Maintenant il y a encore un peu de temps avant le mois de mars. Parce que Rudy aussi a besoin du temps de jeu, une autre forme de continuité. On verra bien dans les prochaines semaines.
On est à fond dans le mercato et qui tire progressivement vers sa fin, Moïse Adilehoun qui retrouve un club. Il y a d'autres joueurs tels que Seydou Barazé et Khaled Adenon qui sont toujours sans club. Est-ce que vous suivez tout ceci. Et quel serait votre souhait ?
Bien-sûr je suis avec beaucoup d'attention le parcours de tous les joueurs qui sont éligibles pour la sélection. Je me préoccupe à chaque fois de leur sort. Que ce soit, Khaled et Seydou pour l'instant n'ont pas trouvé de point de chute même si Seydou, sa situation est différente. Car il a pris une licence dans son ancien club Moulins Yzeure FC. Mais le club avait déjà engagé un autre défenseur central. Ce qui fait qu'aujourd'hui, il se trouve plutôt dans une situation d'attente et il a la possibilité de pouvoir partir à tout moment. Mais il faut qu'il trouve un club pour l'accueillir. Pour Khaled c'est presque la même chose. Au niveau de sa blessure, cela va mieux. Il a repris l'entraînement individuel. Il reste qu'il trouve lui aussi un point de chute d'ici la fin du mois ou peut-être un peu plus tard.
Votre mot de la fin ?
On est là. On travaille. On est toujours dans cette logique de continuer à se rendre meilleur et atteindre des objectifs. C'est un objectif important pour nous de nous qualifier à la CAN 2021 et être à nouveau présent sur cette compétition. C'est aussi une autre forme de continuité. A ce titre là, il ne s'agit pas d'improviser, il faut préparer les matchs avec le plus grand soin. Je dis toujours une qualification, c'est six matchs à jouer. Chaque match compte énormément. C'est ce à quoi on s'attelle.
Propos recueillis par Damien TOLOMISSI
Alors que les acteurs de la Coopérative d'aménagement rural (CAR) de Grand Hinvi tenaient leur assemblée générale élective le week-end écoulé, des individus mal intentionnés se sont introduits dans les périmètres de la coopérative récoltant plusieurs régimes de noix de palme.
Selon les informations rapportées par l'ABP, plus de 02 tonnes de noix de palme ont été récoltées. Il a fallu la vigilance des éléments du commissariat spécial de Hinvi pour pouvoir les arrêter. Les mis en cause seront présentés au procureur de la République près le tribunal de première instance de 2ème classe d'Allada dans les prochains jours.
F. A. A.
Le ministre du cadre de vie et du développement durable José Tonato a procédé les 16 et 17 janvier derniers à la remise des sites pour la construction des marchés urbains et régionaux de Parakou, de Djougou et de Natitingou.
La cérémonie a connu la présence des autorités communales et départementales de chaque ville.
La construction des marchés de Guéma à Parakou, central de Djougou et de Natitingou est l'un des projets phare du Programme d'Actions du gouvernement. Outre la remise des sites, les travaux de construction d'une station de traitement de boues de vidange à Parakou ont été lancés.
Les travaux de construction du marché de Parakou et ceux de la station de boues de vidange sont évalués à 4 milliards de FCFA.
Par ailleurs, 4 milliards et 6 milliards de FCFA seront investis respectivement à Djougou et à Natitingou.
Ces marchés seront reconstruits et bénéficieront de toutes les commodités dignes des marchés modernes.
Se réjouissant de la mise en œuvre de ces projets, le maire de Parakou Charles Toko a souligné que la station de traitement de boues de vidange est un « os dur que le gouvernement vient d'enlever de la gorge de la municipalité de Parakou ».
« La construction du marché central de Djougou va davantage conférer à la ville son statut de chef-lieu de département », a déclaré Issa Moussa Yaya, chargé de mission du Préfet du département de la Donga.
Selon la présidente du marché de Natitingou Fatouma d'Almeilda, la construction du marché moderne fera le bonheur des usagers.
Le ministre José Tonato a souligné les nombreux avantages issus des marchés modernes.
Le délai d'exécution des travaux de construction est de 15 mois.
Le ministre a insisté sur le respect du délai et a invité les populations à coopérer avec les entreprises pour une bonne éxécution des travaux.
Selon José Tonato ‹‹ ces chantiers témoignent de l'engagement du gouvernement à améliorer le cadre de vie des populations sur toute l'étendue du territoire national››.
Les usagers des marchés seront relogés sur des sites aménagés avant le démarrage des travaux.
Akpédjé AYOSSO
Après les discussions menées avec les différentes parties impliquées dans les affrontements survenus à Savè la ministre de l'enseignement supérieur Eléonore Yayi Ladékan va présenter ce lundi 20 janvier 2020 un rapport au président Patrice Talon.
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique Eléonore Yayi Ladékan, orignaire de Savè s'est rendue jeudi 16 janvier 2020 dans la commune pour entamer une médiation en vue d'un retour total à la paix. A la tête d'un comité de médiation, elle a échangé avec les autorités communales, les sages ainsi que les jeunes de la commune.
Le jeudi 09 janvier 2020 à Savè des affrontements sont survenus entre les populations et les forces de sécurité. Des groupes de jeunes ont barricadé la route inter-Etat Cotonou-Parakou. Les forces de l'ordre sont intervenues pour enlever les barricades et des individus ont ouvert le feu.
Le bilan fait état de 02 civils décédés et 06 agents des forces de sécurité et de défense blessés.
Akpédjé AYOSSO
Dans le but de toucher du doigt les difficultés auxquelles les formations sanitaires sont confrontées, une délégation parlementaire était, samedi 18 janvier dernier, à Parakou, où elle a visité l'Hôpital d'instruction des armées (Hia) et le Centre hospitalier et universitaire départemental (Chud) du Borgou.
Comment sont gérées les formations sanitaires ? Quelles sont les difficultés auxquelles elles sont confrontées ? Telles sont les inquiétudes qui ont conduit les parlementaires dans quelques centres dans le Borgou. Cette mission vise à permettre à l'Assemblée nationale d'interpeller, au besoin, le gouvernement pour des actions urgentes en faveur des populations. Ils étaient six députés à se rendre à l'Hôpital d'instruction des armées (Hia) et au Centre hospitalier et universitaire départemental (Chud) du Borgou, à Parakou.
« J'ai vu à travers les uns et les autres, quel que soit leur statut, une certaine fierté dans le travail qu'ils font », a déclaré la première vice-présidente de l'Assemblée nationale. « Nous n'écoutons pas pour oublier. Nous écoutons pour interpeller. C'est notre rôle », a ajouté l'Honorable Mariam Chabi Talata Zimé.
Le Directeur de l'Hôpital d'instruction des armées (Hia), lieutenant-colonel Roger Kinkpézo, a expliqué que l'HIA n'a rien de différent en ce qui concerne son fonctionnement et son organisation par rapport aux autres hôpitaux militaires du Bénin. Il priorise la rigueur, la discipline de tous les instants, la disponibilité permanente, la discrétion et la courtoisie du personnel. Le respect du secret professionnel et la sécurité des malades sont indispensables selon lui au niveau de l'HIA.
G. A.
Une mère et 04 enfants ont été percutés par un véhicule le week-end écoulé à Dassa dans le département des Collines. Ces 04 piétons ont été ramassés par le chauffeur qui a perdu le contrôle de sa voiture.
Sous le choc, l'enfant âgé de 04 ans environ est décédé. Les deux autres, âgés de 08 et 14 ans ainsi que leur mère ont été grièvement blessés et conduits à l'hôpital de zone de Dassa, rapporte Frissons Radio.
Informé du drame qui a frappé sa famille, le père a déjà retiré le corps l'enfant décédé.
F. A. A.
Le directeur départemental de la Police républicaine du département des Collines, le Commissaire principal de police Aurélien Ahitchémè est démis de ses fonctions. Son limogeage a été décidé par le directeur général de la Police républicaine, le Contrôleur général de police Soumaïla Yaya, par une décision en date du vendredi 17 janvier 2020.
Selon Frissons radio, le désormais ex directeur du département des Collines a été aussitôt remplacé par Gérard Houngninou. Nommé par intérim, ce dernier est entré dans ses fonctions le samedi 18 janvier 2020.
Les raisons du limogeage du Commissaire principal de police Aurélien Ahitchémè ne sont pas officiellement connues. D'après la même source, cette décision du Contrôleur général de police Soumaïla Yaya serait liée aux affrontements entre forces de sécurité et populations survenus récemment dans la commune de Savè et le braquage perpétré sur l'axe Ouèssè -Ansêkè le vendredi 17 janvier 2020.
Akpédjé AYOSSO
Le parti Union Progressiste (UP) a enregistré une adhésion ce samedi 18 janvier 2020. L'ex maire de la commune de Sèmè-Kpodji, Mathias Gbedan a officiellement marqué son appartenance à cette formation politique de la mouvance présidentielle à l'occasion d'une cérémonie qui s'est déroulée en son domicile à Ekpè.
L'ancien maire de la commune de Sèmè-Kpodji a souligné que c'est pour répondre à l'appel des populations qu'il fait son comeback sur l'échiquier politique. « Depuis des mois, les gens viennent me prier de venir les sauver », a-t-il confié.
Les acteurs politiques présents à la cérémonie d'adhésion tout en saluant le retour sur la scène politique de Mathias Gbèdan, l'ont rassuré de leur soutien pour une écrasante victoire de l'UP aux prochaines élections dans la commune de Sèmè-Kpodji.
La cérémonie a connu la présence de Epiphane Gbèdo et Sylvestre Zinsou, respectivement coordonnateurs du parti à Ekpè et Agblangandan. Des jeunes, des sages et notables ainsi que des femmes de l'arrondissement étaient fortement représentés.
F. A. A.
Le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou a assisté ce dimanche 19 janvier 2020 avec son épouse à une messe organisée par le Mouvement Catholique des Cadres et Personnalités Politiques (MCCPP) du Diocèse de Porto-Novo à la cathédrale Notre-Dame.
Les membres de son cabinet, des responsables de l'Administration parlementaire et autres ont également pris part à cette messe.
La messe a été organisée pour confier toutes les institutions de la République, les responsables ainsi que le personnel à Dieu en ce début de l'année 2020. Ernest Gbèdan, Vicaire général de la cathédrale Notre-Dame de Porto-Novo, a célébré ladite messe en insistant sur la politique en tant qu'une forme de charité.
Satisfait de l'homélie prononcée, le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou a relevé que l'organisation de cette messe prouve que l'église ‹‹ nous porte dans ses prières››.
‹‹ A notre place, nous devons être la lumière et j'ajouterais le sel du monde››, a déclaré le père Ernest Gbèdan
‹‹ Cela veut dire que nous devons être des Apôtres du Christ dans la charité. Il l'a exprimé et il a insisté sur le fait que la politique est le sommet même de la charité. Cela voudrait tout simplement dire que nous devons en qualité d'hommes politiques partager avec tout le monde et ce, dans la justice et dans la transparence››, a affirmé le président de l'Assemblée nationale Louis Vlavonou.
Akpédjé AYOSSO
Pour avoir violé une fille âgée de 10 ans, un aspirant au métier d'enseignant exerçant à l'école primaire publique de Tanguiéta est dans les mains de la police républicaine depuis ce samedi 18 janvier 2020.
Encadrant les écoliers du Cours élémentaire deuxième année (CE2), l'aspirant a invité des filles de sa classe pour le ménage dans sa maison. Il a profité de cette occasion pour violer une écolière à la fin des travaux.
Des jours après le viol, la filette qui sentait des douleurs s'est confiée à un autre enseignant. Un rapport a été fait au chef de région pédagogique et la mère de la victime a saisi la Police. La fillette a subi un examen qui révèle un cas de viol.
L'aspirant affecté à l'EPP Tanguiéta, il y a trois mois, a reconnu les faits lors de son interpellation. Il va répondre de ses actes devant la justice.
Akpédjé AYOSSO
La présidente de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a présenté ce dimanche les vœux de nouvel de son parti à la presse en présence des membres de son bureau exécutif national et des responsables des femmes et des jeunes. Au cours d'un déjeûner organisé à la place des fêtes Le Chapiteau à Cotonou, l'Honorable Claudine Prudencio a salué le soutien inlassable de la presse à sa formation politique. L'Amazone de la politique nationale a profité de l'occasion pour annoncer que l'UDBN participera bel et bien aux prochaines élections communales et municipales. ''Nous nous préparons bien pour relever le défi d'enlever beaucoup de sièges, dans toutes les communes du pays'', a déclaré Mme Claudine Prudencio. Elle n'a pas manqué de réaffirmer le soutien de l'UDBN au Programme d'actions du Gouverment de Son Excellence Patrice Talon.
Lire l'intégralité de sa déclaration
*MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE DE L'UDBN AU DÉJEUNER DE PRESSE*
Mes très chers amis de la presse. Vous êtes pour l'essentiel, des patrons de presse. Donc Bonjour les grands patrons !
Je salue aussi les amis éminents Web activistes. Vous êtes de grands influenceurs de l'opinion. Nous le savons et reconnaissons votre place.
Je salue les responsables de vos organisations professionnelles : l'UPMB, l'ODEM, le CNPA, le PADEM, le RÉSEAU DES MÉDIAS EN LIGNE.
Je salue également tous les membres de l'UDBN ici présents.
Des membres du Bureau Exécutif National jusqu'aux autres structures techniques du parti. Sans oublier les représentants des coordonnateurs.
A vous, nos partenaires-médias, je redis un bonjour spécial.
Bonne et heureuse année 2020. Mes vœux de bonne santé, de succès et de promotion pour vous tous.
Au nom du parti Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) et en mon nom, je tiens à vous dire merci du fond du coeur.
Merci d'avoir répondu à notre invitation.
Merci du témoignage de votre amour à l'UDBN, notre parti. C'est vrai que vous êtes assez jaloux de votre indépendance, mais je suis tentée de dire, << votre parti, UDBN>> ; tellement je suis marquée, tellement les autres responsables et militants du parti sont aussi marqués par la bonne qualité et le sérieux de l'accompagnement que vous faites à cette formation politique.
Vous le faites avec du cœur, depuis longtemps.
Ah oui ! Il y a très peu parmi vous que je ne connais pas ou que je n'ai pas tout au moins croisé sur mon chemin au détour des activités politiques. Il y a tout de même plus de deux décennies que je suis dedans.
Nous sommes des compagnons d'infortunes, des partenaires privilégiés, il y a donc beaucoup d'années.
Mais à l'UDBN, nous comptons 2019 parmi les années où nous avons été particulièrement touchés par votre accompagnement. Une année qui a été assez douloureuse pour notre parti. Une série de difficultés qui ont été heureusement surmontées, et nous avons pu finir l'année en beauté.
Vous étiez là pour nous aider à nous faire entendre. Tantôt pour réclamer nos droits, tantôt et surtout pour appeler à la paix et à la non-violence. Notre attachement à la paix n'est en effet, plus à démontrer. Il est non négociable. Et en la matière, aucun sacrifice n'est de trop. Nous l'avons démontré en 2019 et c'est grâce à vous, en dehors de notre diplomatie politique, que nos appels ont été entendus. Aussi bien les chaînes de télé, les radios, les journaux et les réseaux sociaux...eh bien, vous avez su utiliser tous ces canaux de communication pour porter très loin les échos de l'UDBN.
Tout au long du difficile processus ayant abouti à l'obtention de notre récépissé définitif, vous étiez encore là ! C'est vrai, nous avons subi aussi des critiques, certaines, objectives, d'autres exagérées. Mais nous les avons digérés. Mais globalement, votre accompagnement a été très positif pour nous.
Le rendez-vous de cet après-midi vise, juste à vous dire merci. Merci pour tout. C'est aussi pour vous dire que nous ne devons pas nous arrêter en si bon chemin.
Nous vous avons invités autour d'un verre d'eau que nous allons partager ensemble.
Pendant qu'on y est, ce sera toujours possible de continuer à échanger. Surtout autour de nos perspectives. Déjà à court terme, (nous l'avons martelé), l'UDBN participera bel et bien aux prochaines élections communales et municipales. Nous nous préparons bien pour relever le défi d'enlever beaucoup de sièges, dans toutes les communes du pays.
Nous renforçons également nos actions de sensibilisation autour des prouesses que réalise le Président Patrice Talon pour le développement de notre pays.
Notre ambition est d'accompagner le Président Patrice Talon dans les courageuses et pertinentes actions de développement qu'il a entreprises depuis bientôt 4 ans. Et la meilleure manière de le faire, c'est de placer des jeunes et des femmes de qualité à la tête de nos communes. Des jeunes et des femmes de qualité qui vont comme le Président Patrice Talon, travailler avec courage, intelligence et abnégation pour relever les défis du développement local et révélé nos communes.
Notre Challenge est un challenge pour le développement local, un challenge pour rassembler et valoriser tous les jeunes et femmes crédibles de nos communes. Ceci nous paraît en effet essentiel pour renforcer et donner de l'envergure et de la profondeur aux nombreuses prouesses que réalisent le Président Patrice Talon pour le développement de notre pays.
Chers amis,
Les cadres du parti sont là, à votre disposition : les femmes sont là. Les braves Amazones de l'UDBN. Les vaillants soldats sont aussi là ! L'UDBN a des cadres valeureux !
Comme je le disais, on peut continuer à échanger. Les membres de la cellule de communication sont là pour noter vos préoccupations.
Je vous réitère mes vœux de bonne et heureuse 2020 à vous toutes et à vous tous.
Soyez bénis. Et bon appétit !