Bonne nouvelle pour les étudiants inscrits dans un programme universitaire en environnement ou les spécialistes ou chercheurs s'intéressant au processus d'évaluation des projets de développement. Quatre éminents professeurs de grandes universités viennent de faire paraître la 4ème édition de l'ouvrage intitulé « L'évaluation des impacts sur l'environnement : Processus, acteurs et pratique pour un développement durable ».
La 4ème édition de l'ouvrage « L'évaluation des impacts sur l'environnement : Processus, acteurs et pratique pour un développement durable », collection Cursus édité par les ‘'Presses Internationales Polytechnique'' est destiné aux étudiants inscrits dans un programme universitaire en environnement ou en développement durable.
Paru en janvier 2020, l'ouvrage est d'un intérêt indéniable aussi pour toute personne intéressée ou impliquée dans le processus d'évaluation des projets, programmes et politiques de développement. L'ouvrage renforce leurs capacités en évaluation des impacts sur l'environnement (ÉIE), en évaluation environnementale stratégique (ÉES) et en développement durable dans une perspective interdisciplinaire et résolument francophone.
D'un volume de 605 pages, l'ouvrage « décrit et approfondit le processus et la pratique de l'ÉIE, situant la démarche dans un contexte sociopolitique où les acteurs sont en constante interaction et en apprentissage ». Sans oublier « les méthodes et les outils de réalisation et d'examen d'une ÉIE que de ceux requis pour l'exercice de la participation publique et pour l'introduction de l'analyse ‘'développement durable'' dans l'ÉIE, y compris la prise en compte des changements climatiques et de la biodiversité ».
Abordant le sujet en 12 chapitres, le livre offre également « un site Web d'accompagnement, collige des études de cas et fournit un carnet de liens Internet vers les sites, principalement francophones, les plus pertinents à l'exercice de la profession ».
L'ouvrage de référence dans les cours d'évaluation environnementale et de développement durable est l'œuvre d'éminents universitaires et chercheurs : Pierre André, Professeur retraité en environnement humain du Département de géographie de l'Université de Montréal ; Georges Lanmafankpotin, Professeur associé au Département de sciences fondamentales et professionnel à la Chaire en éco-conseil à l'Université du Québec à Chicoutimi ; Jean-Pierre Revéret, Expert en gestion et économie des ressources naturelles et de l'environnement, professeur retraité et maintenant associé au Département de stratégie responsabilité sociale et environnementale de l'Université du Québec à Montréal et Samuel Yonkeu, Maître de conférences, consultant international en évaluations environnementales, et professeur associé dans les Universités Senghor d'Alexandrie et Aube Nouvelle, Ouagadougou.
Ouvrage de référence dans les cours d'évaluation environnementale et développement durable, le livre, très en demande est déjà livré aux librairies universitaires de l'École Polytechnique de Montréal et à celles des universités francophones canadiennes qui l'ont déjà commandé en vue de la rentrée d'hiver. Un lot est aussi déjà expédié à Lavoisier, le distributeur des Presses Internationales Polytechnique pour l'Europe et disponible pour la vente sur Amazon.
Akpédjé AYOSSO
Encadré
Georges Lanmafankpotin honore le Bénin au Canada et dans le monde francophone
Georges Lanmafankpotin, titulaire d'un Ph.D. en géographie de l'Université de Montréal est le deuxième auteur de l'ouvrage « L'évaluation des impacts sur l'environnement : Processus, acteurs et pratique pour un développement durable ». Professeur associé au Département des sciences fondamentales de l'Université du Québec à Chicoutimi, il exerce aussi comme professionnel de la recherche à la Chaire en éco-conseil depuis 2015. Consultant en évaluation environnementale et développement durable depuis 1996, Georges Lanmafankpotin est depuis 2010, chargé de cours d'étude d'impacts au Département de géographie de l'Université de Montréal.
Il intervient depuis 2016 comme commissaire, membre additionnel à temps partiel au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement, un organisme gouvernemental qui œuvre à la démocratie participative au Québec où il agit comme commissaire enquêteur dans plusieurs dossiers dont les mines, les bassins de rétention et les lieux d'enfouissement. Menant ses recherches sur des sujets culturels qui construisent et font avancer les modèles de prise de décision publique, Georges Lanmafankpotin durant ces dernières années a travaillé sur l'évaluation des politiques et l'opérationnalisation des outils de gestion de l'environnement et de l'analyse systémique de durabilité. Il est auteur de plusieurs ouvrages collectifs et d'articles scientifiques.
Le Consultant en évaluation environnementale et développement durable est l'auteur principal de ‘'La participation publique dans l'évaluation environnementale en Afrique francophone (2013)''. Georges Lanmafankpotin a collaboré à la définition de la participation citoyenne dans le Dictionnaire encyclopédique de l'administration publique (2012). Il est également co-auteur de l'ouvrage ‘'Le développement soutenable - Évaluation simplifiée dans un contexte Nord-Sud (2007).
Détenteur de plusieurs parchemins universitaires, Georges Lanmafankpotin est titulaire d'un Master of Arts en journalisme de l'Université d'Etat de Varonej (Russie). Il fut Directeur de publication et consultant de plusieurs agences ou organismes nationaux et internationaux.
07 localités des départements du Mono et du Couffo désormais dans l'ère de la modernité avec la mise en service des ouvrages d'électrification rurale. Il s'agit de Ahogbéya dans la commune de Klouekanmè, Ahomadégbé et Ahodjinanko dans la commune de Lalo, Atchanou et Dédékpoè à Athiémé, Gbakpodji à Bopa et Avlo dans la commune de Grand-Popo.
Cette réalité, résultat de « L'électrification hors-réseau est un programme spécial décidé par le gouvernement du Président Patrice Talon, qui voudrait que désormais les localités situées au-delà de sept kilomètres du réseau conventionnel ou non pris en compte par la planification en 2035, soient électrifiées par le système solaire photovoltaïque ». La mise en service officielle des ouvrages réalisés par l'Agence Béninoise d'Electrification Rurale et de Maîtrise d'Energie (ABERME) a été conduite par Armand Dakehoun, Directeur de cabinet du Ministre de l'énergie a conduit la délégation du ministère. C'était les 07, 08 et 09 janvier 2020.
Le coût global des travaux est de 1.180.213.198 FCFA sur l'ensemble des sites
Florent Orou Fico, Directeur Général Adjoint de l'ABERME a rappelé que la mission assignée à sa structure par le gouvernement est d'apporter l'énergie électrique à toutes les populations des zones rurales sur toute l'étendue du territoire nationale. Ces différentes localités sillonnées ont été raccordées au réseau conventionnel de la Société Béninoise d'Energie Électrique (SBEE) et les autres ont bénéficié de l'électrification hors réseau, c'est-à-dire qu'elles ont été dotées chacune d'une micro-centrale solaire photovoltaïque. Ce raccordement a réjoui les différentes autorités préfectorales. Christophe Mègbédji et Komlan Zinsou, ont salué le gouvernement pour ces réalisations au profit des populations. Ils ont invité les populations à s'abonner massivement.
La mise en service de ces ouvrages permet d'impacter en moyenne 1.000 personnes par village.
Armand Dakehoun a réaffirmé l'engagement du gouvernement d'apporter l'énergie électrique à toutes les populations du Bénin. Il appelle à ce que bon usage soit fait des ouvrages. Le coût d'abonnement du compteur fixé par le gouvernement est de 50 000 FCFA. En plus des ouvrages de production de l'énergie électrique, des lampadaires ont été posés pour l'éclairage public dans toutes les localités.
G.A.
Suite à sa visite en décembre 2019 à la prison civile de Cotonou où elle a eu l'occasion d'échanger avec les enfants et les femmes détenus, la ministre des affaires sociales et de la microfinance a rencontré ce dimanche quelques personnalités pour une séance d'échange. Véronique Tognifodé a rencontré le président de la fondation Vallet, M. Odilon Vallet, le président de l'Ong Bénin Excellence, Expéran Kpadonou et Jules Sedro Yekpe, directeur général de l'agence pénitentiaire du Bénin. Tenue à Golden Tulip Le Diplomate de Cotonou, ladite rencontre a porté sur les conditions générales de détention des femmes, des mères nourrices, des adolescents et des jeunes dans les prisons civiles du Bénin.
Il a été retenu au cours de la séance que des psychologues cliniciens seront affectés dans les prisons civiles de Cotonou et d'Abomey-Calavi pour une phase expérimentale qui pourra être étendue aux autres régions si elle est concluante.
G. A.
Le projet Asphaltage évolue à grands pas dans la ville de Parakou. La métamorphose annoncée pour la cité des Kobourou lors du lancement du projet en octobre 2018, prend corps, et les populations, émerveillées par les transformations en cours, ne cessent d'exprimer leur satisfaction, réclamant la 2nde phase du projet.
« On ne peut que dire merci pour tout ce travail qui a été fait. A l'époque avant d'arriver à ce niveau où nous sommes, vraiment, on a toutes les difficultés. Je suis à côté, mais avant de rentrer chez moi, c'est tout un tas de problèmes, de difficultés. Mais aujourd'hui, Dieu merci, c'est fantastique, c'est vraiment beau. Quand quelque chose est beau, il faut dire que c'est beau. Si ce n'est pas bon, il faut dire que ce n'est pas bon », a confié un riverain joint par Fraternité FM.
« La circulation est aisée dans la rue », s'est réjoui un autre convaincu qu'avec les travaux de commodités (l'aménagement, l'embellissement, l'éclairage et jardins publics), l'image de la ville sera encore plus attrayante.
« Le relief de Parakou est vraiment accidentel et il est vraiment difficile de circuler dans toutes les rues. C'est ce qui fait que nous ne voyons pas l'effort des autorités par rapport à l'assainissement de la ville », a déclaré un habitant du 3ème arrondissement. Il indique qu'avec le projet Asphaltage, la circulation est plus aisée dans la ville.
Un autre citoyen de la cité émerveillé par les transformations en cours dans les 1er et 3ème arrondissements, a émis le vœu que la 2ème phase du projet prenne en compte la voie Albarika-Kpéro Guèra, le 2ème arrondissement et les autres quartiers de la ville pour que la satisfaction soit totale au niveau de tous les citoyens.
Pas d'éléphants blancs
Du côté des élus locaux, c'est le même son de cloche. « C'est un bon projet. Quand on voit le visage de la ville, c'est attrayant, c'est la preuve que Parakou est le carrefour, la capitale du Nord », s'est félicité le chef du 1er arrondissement. Il formule le vœu du « gros lot » avec la 2ème phase.
Pour le chef du 3ème arrondissement, le gouvernement du président Patrice Talon a vu juste par rapport au projet d'Asphaltage dans la ville de Parakou. Il sollicite l'indulgence du gouvernement pour qu'après cette phase, qu'une autre de près de 150 km pour la ville leur soit accordée.
« Patrice Talon est un président qui ne fait pas des éléphants blancs. Il faut l'encourager pour qu'il fasse plus », a souligné un autre élu local.
Pour cette première phase du projet, l'entreprise Syno Hydro a en charge le lot 7A qui fait plus de 8 km de voirie secondaire et de déserte, dont plus de la moitié est bitumée. Cette entreprise a entamé depuis quelques semaines, une phase importante dans l'achèvement des travaux de pavage et de bitumage dans les 3 arrondissements de la ville. Ce qui a transformé radicalement l'image de la ville de Parakou dont les populations expriment leur satisfaction.
F. A. A.
55 milliards de FCFA, c'est le montant obtenu par le Bénin auprès des investisseurs du marché financiers de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) pour sa première émission au titre de l'année 2020.
Le jeudi 9 janvier 2020, l'Agence UMOA-Titres (AUT), en collaboration avec la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), a organisé à la demande de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique de la République du Bénin, l'émission d'Obligations Assimilables du Trésor respectivement à 3 ans et 5 ans pour un montant de 50 milliards de FCFA.
Pour cette première émission, le Bénin décroche 55 milliards FCFA auprès des investisseurs. Selon les résultats de l'émission, le montant global des soumissions (FCFA) est de 142, 680 milliards FCFA et le taux de couverture est de 285,36%. Ils sont 23 investisseurs à prendre part à cette première émission du Bénin.
Cette opération s'inscrit dans le cadre de l'exécution du programme d'émissions de titres publics du Bénin en accord avec la stratégie à moyen et long terme de gestion de la dette.
L'Agence UMOA-Titres (« AUT ») a vocation à apporter son concours aux États membres pour mobiliser sur les marchés de capitaux, les ressources nécessaires au financement de leurs politiques de développement économique, à des coûts maîtrisés.
Akpédjé AYOSSO
55 milliards de FCFA, c'est le montant obtenu par le Bénin auprès des investisseurs du marché financiers de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) pour sa première émission au titre de l'année 2020.
Le jeudi 9 janvier 2020, l'Agence UMOA-Titres (AUT), en collaboration avec la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), a organisé à la demande de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique de la République du Bénin, l'émission d'Obligations Assimilables du Trésor respectivement à 3 ans et 5 ans pour un montant de 50 milliards de FCFA.
Pour cette première émission, le Bénin décroche 55 milliards FCFA auprès des investisseurs. Selon les résultats de l'émission, le montant global des soumissions (FCFA) est de 142, 680 milliards FCFA et le taux de couverture est de 285,36%. Ils sont 23 investisseurs à prendre part à cette première émission du Bénin.
Cette opération s'inscrit dans le cadre de l'exécution du programme d'émissions de titres publics du Bénin en accord avec la stratégie à moyen et long terme de gestion de la dette.
L'Agence UMOA-Titres (« AUT ») a vocation à apporter son concours aux États membres pour mobiliser sur les marchés de capitaux, les ressources nécessaires au financement de leurs politiques de développement économique, à des coûts maîtrisés.
Akpédjé AYOSSO
Le calme est revenu dans la commune de Savè après les affrontements survenus la semaine passée.
« Jeudi dans l'après-midi, un groupuscule de jeunes a barré la route, et les forces de l'ordre sont intervenues pour enlever les barricades », a confié le maire Timothée Biaou à l'Abp. Un affrontement survenu suite à l'arrestation d'un jeune homme à Kaboa. Ce dernier serait ‘'un fauteur de trouble''. Des groupes de jeunes ont protesté en barricadant la route inter- États Cotonou-Parakou.
Selon le maire, « ces agissements n'honorent pas Savè et assombrissent l'image de la commune ». « Pas de perte en vie humaine mais des blessés et plusieurs dégâts matériels sont enregistrés à Kaboa et à Savè. Le maire Timothée Biaou invite la population au calme et à la compréhension.
Akpédjé AYOSSO
Le dossier Ignace Sossou a défrayé la chronique à Cotonou suite à l'arrestation de ce journaliste, qui a participé à un des ateliers organisés par CFI, pour une série de tweets citant les propos tenus, dans le cadre de ce séminaire, par le procureur de la République du Bénin. L'arrestation est survenue le 20 décembre et notre confrère a depuis été condamné à 18 mois de prison. CFI a donné le sentiment de varier dans ses déclarations depuis le début de cette affaire. Tantôt en expliquant que le journaliste avait sorti les déclarations de leur contexte, et tantôt, comme dans votre communiqué du 8 janvier 2020, pour réclamer la libération dans les plus brefs délais de M. Sossou. Aujourd'hui, qu'en est-il de la position de CFI ? Pouvez-vous clarifier les choses ?
Vous avez lu nos dernières déclarations du 8 janvier, qui sont les seules qui valent aujourd'hui, les seules qui expriment la position officielle de CFI. Ces tweets n'ont aucun caractère diffamatoire, il faut le souligner. Ils ne justifient certainement pas une arrestation, ni a fortiori une condamnation à une peine aussi disproportionnée. Tout ce qui a pu être dit ou suggéré par le passé n'était que le fruit d'erreurs d'appréciations et de jugement, qui sont la marque d'un grave dysfonctionnement interne. Nous le regrettons et nous présentons encore une fois nos excuses. Nous en avons tiré les leçons pour que cela ne se reproduise plus. La seule parole qui vaille aujourd'hui, et la seule parole que la justice béninoise doit prendre en compte, c'est ce que nous disons aujourd'hui : à savoir que les tweets d'Ignace Sossou n'étaient pas diffamatoires et ne méritaient pas la moindre minute de prison. On ne va pas en prison pour tweet !
Néanmoins, ce journaliste est aujourd'hui en prison. Il a été lourdement frappé par les lois de la République du Bénin et beaucoup de gens estiment que CFI porte une part de responsabilité dans son incarcération. Qu'avez-vous à répondre aux gens qui pensent cela ?
Je leur dis que toute notre maison est blessée, profondément blessée, et même meurtrie, par l'amalgame entre cette arrestation injuste, et cette lettre, qui n'aurait jamais dû être écrite et signée par quelqu'un de CFI. Depuis 30 ans, CFI s'implique dans la promotion des médias et de la liberté de la presse au bénéfice de ses partenaires de la communauté des journalistes et des médias sur le continent. CFI prend des risques en essayant de faciliter le dialogue entre les professionnels des médias et les différentes autorités nationales, ce qui était précisément le but du séminaire organisé en décembre à Cotonou. Mais CFI, à aucun moment, ne peut accepter d'être associé à une décision de justice que nous estimons totalement inacceptable au regard des principes et des valeurs que nous défendons. On ne met pas un journaliste en prison pour un tweet ! La lettre à laquelle vous faites référence n'avait absolument aucune valeur juridique. Cette lettre a fuité sur les réseaux sociaux dès le jour de l'arrestation d'Ignace Sossou, et ce n'est certainement pas innocent. Cette lettre était totalement inappropriée et n'engage que les personnes qui l'ont rédigée et signée. Il s'agissait d'une démarche inconcevable, doublée d'une défaillance de nos propres mécanismes de contrôle. Une procédure disciplinaire a été engagée à l'encontre des deux salariés qui ont produit ce courrier. Mais derrière, le fuitage sur les réseaux sociaux et l'utilisation de ce courrier pendant le procès est un procédé tout à fait choquant, pour nous, pour notre communauté, pour tout le monde.
Que pensez-vous pouvoir faire pour qu'Ignace Sossou retrouve sa liberté ? Est-ce que la direction générale de CFI envisage de venir au Bénin pour plaider sa cause auprès des autorités ou de la justice béninoise ?
Vous me donnez une occasion importante de faire passer un message. CFI fera tout ce qui est en son pouvoir pour faciliter la libération d'Ignace . Pour nous, c'est la seule chose qui compte. L'image de CFI, ce n'est pas le sujet. Le sujet, c'est la libération d'Ignace. Je lance un appel à l'entourage d'Ignace, à ses défenseurs, que nous essayons de joindre, et à ses employeurs : nous sommes à leur disposition pour envisager tout ce qui pourrait aider à la libération d'Ignace et faciliter la période très dure qu'il vit, que vit sa famille et que vit son entourage. Nous voulons leur dire toute notre solidarité.
Le dossier Ignace Sossou sera bientôt porté en appel. Que compte faire CFI concrètement ?
Il est difficile pour nous de dire ce qui est souhaitable pour Ignace, nous nous en remettons à ses avocats, à sa famille. Nous sommes prêts à envisager tout ce qui pourrait favoriser sa défense, mais il faut peut-être garder une certaine forme de discrétion. Nous sommes entièrement à la disposition de ses avocats, ainsi qu'à celle de la famille d'Ignace, pour leur faciliter les choses.
Avez-vous un dernier message à faire passer ?
Je souhaite redire, au nom de CFI, nos plus sincères excuses pour ce courrier qui n'aurait jamais dû exister. Personne, aujourd'hui, à CFI, ne comprend comment ce courrier a pu être rédigé en ces termes et envoyé au ministère de la Justice. Mais tout ce qui compte, maintenant, c'est la libération d'Ignace. Nous espérons qu'elle surviendra très vite et que les autorités comprendront qu'il n'est pas concevable qu'Ignace soit maintenu en prison aujourd'hui.
Propos recueillis par A.A
L'ancien maire de la commune de Zogbodomey, Zéphirin Kindjanhoundé, n'est plus membre de l'Union sociale libérale (USL) de Sébastien Ajavon. Il l'a fait savoir jeudi 11 janvier 2020 à travers une correspondance adressée au 1er délégué général du parti.
Selon ladite correspondance, c'est pour « convenance personnelle » que l'ex maire de Zogbodomey et ancien député à l'Assemblée nationale a rendu sa démission.
La prochaine destination du démissionnaire n'est pas encore connue. Mais il n'est pas exclu qu'il se rapproche d'un parti proche du pouvoir.
F. A. A.
Arrivé à Bangui le vendredi 10 janvier 2020 à bord d'un avion en provenance de Cotonou, l'ancien chef du mouvement rebelle de la Seleka, Michel Djotodia, a eu un court séjour dans son pays. Il s'est envolé ce dimanche 12 janvier pour Cotonou où il vit en exil depuis 2014.
Chef d'Etat après la chute de l'ex-président François Bozizé en 2013, Michel Djotodia a été contraint par la Communauté internationale à la démission en 2014.Pour l'instant, personne ne connaît les motifs de cet aller-retour de l'ex Homme fort de Bangui. Selon certains analystes, ce voyage entre dans le cadre des tractations en vue des prochaines élections présidentielles en Centrafrique.
A suivre
Les partis opposés au régime du président Patrice Talon enregistrent déjà en leur sein des défections à quelques mois des élections communales.
Ce samedi 11 janvier 2020, le secrétaire général chargé de l'organisation et de la logistique du parti Dynamique unitaire pour le développement (DUD), Blaise Salanon, a officiellement annoncé son départ du DUD. C'était à l'occasion de la fête annuelle des artistes du Zou et des Collines à Abomey.
« Nous tournons définitivement dos à la DUD », a déclaré Toussaint Agbozo, coordonnateur du parti présidé par Blaise Salanon témoignant de leur soutien « sans faille » aux actions du chef de l'Etat patrice Talon.
Blaise Salanon et les siens font ainsi dos à Valentin Houdé et entendent œuvrer aux côtés de la mouvance présidentielle lors des prochaines joutes électorales.
F. A. A.
Le parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) de l'ancien président Boni Yayi n'est pas encore au bout de ses peines. Quelques jours seulement après la réconciliation des deux ailes, la formation politique a enregistré ce samedi 11 janvier 2020 à Bantè, plusieurs démissions.
Selon les informations rapportées par La Nouvelle Tribune, le coordonnateur du parti dans la commune de Bantè, fief de l'ex-ministre des Finances Komi Koutché, Alphonse Djembou, a fait défection. En plus du coordonnateur, plusieurs élus communaux des FCBE ont également démissionné de la formation politique de l'ancien chef d'Etat Boni Yayi. Il s'agit entre autres, des chefs d'arrondissement de Bobè, Augustin Atchoui, de Akpassi, Victorien Tchalla, des anciens chefs d'arrondissement de Gouka, Koffi Kpolihoué, et d'Atokolibé.
Pour l'heure, aucune précision sur leur destination. Ces démissionnaires selon certaines indiscrétions, pourraient rallier l'un des blocs pro-Talon.
F. A. A.
« L'État ne fait pas du commerce. Laissons le commerce aux commerçants », c'est la position exprimée par les députés de la 8ème législature face à la crise que connaît la Société nationale de commercialisation de produits pétroliers (SONACOP). Cette proposition a été formulée lors de la plénière du jeudi 09 janvier dernier consacrée aux questions au gouvernement. Après les explications du ministre de l''industrie et du commerce, Shadiya Alimatou Assouman sur la crise que traverse la cette société, les parlementaires ont déploré la gabegie et l'impunité constatées à la SONACOP. Pour eux, la seule solution pour sortir cette société d'Etat en proie à des crises depuis plusieurs mois, reste la privatisation. « Des structures de l'État et même des collectivités voulant s'approvisionner en carburant ont payé des tickets de la SONACOP contre de la liquidité. Après, le produit n'est plus disponible au niveau des stations-services. Que vont devenir ces tickets valeurs ? Où est passé l'argent ? Et qui va prendre les tickets et payer aux structures concernées », se sont interrogés les députés.
Au regard de cette position de la représentation nationale, le gouvernement pourra désormais lancer un appel d'offres en vue de la sélection d'un privé pour la gestion de la SONACOP.
F. A. A.
La première édition de la soirée de distinction, ‘'Benin CEO AWARDS'' s'est tenue ce samedi 11 Janvier 2020 à l'hôtel Novotel de Cotonou. Une dizaine de meilleurs dirigeants d'entreprise du Bénin dans divers secteurs d'activités ont été honorés.
La cérémonie a réuni des dirigeants, des chefs d'entreprises, des membres de la société civile, des leaders économiques et des hommes de média. Elle a également connu la présence du ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi, Modeste T. Kérékou, son homologue de l'industrie et du commerce Mme Shadiya Alimatou Assouman et des députés.
La prestigieuse cérémonie de distinction ‘'Bénin CEO Awards'' a honoré les meilleurs dirigeants qui font bouger les lignes en République du Bénin.
Selon le président du comité d'organisation de la cérémonie, Ulrich Adjovi, « les lauréats sont distingués parmi leurs pairs par la réalisation d'opérations majeures, leur impact notable sur les activités de leur entreprise et sur le paysage entrepreneurial béninois de même qu'à travers leur leadership et leur réputation ».
Les modèles de managers ont été jaugés sur des critères d'évaluation incluant aussi bien le contribuable que les rendements et la visibilité des structures pilotées par ces derniers. C'est le Cabinet PVRM spécialisé dans les études de marchés et sondages qui a été sollicité pour l'identification des lauréats ‘'Bénin CEO Awards''. D'après le consultant principal M. Odilon Gbaguidi, la sélection des lauréats a respecté une démarche scientifique. Il y a eu la phase qualitative qui a permis de « relever les différents critères possibles de choix des meilleurs dirigeants de chaque catégorie » et la phase quantitative au cours de laquelle ces critères ont été utilisés dans un questionnaire adressé à la population. Tout ceci avec l'appui de AVIS+, premier et plus fiable panel consommateur en Afrique.
« PVRM a veillé à la qualité et aux traitements des données d'étude de façon indépendante en respectant les normes en vigueur en termes d'étude de marchés », a-t-il certifié.
10 trophées et 03 prix d'excellence managériale
10 chefs d'entreprises ont reçu des trophées dans leur catégorie en tant que meilleurs modèles de managers. Il s'agit de Charlemagne Andoche Amoussou, créateur de Lolo Andoche (Best CEO Impact Culture et Mode) ; Stephen Blewett de MTN Bénin (Best CEO Entreprise privée pourvoyeuse d'emplois et œuvrant au Bien-Etre du personnel) ; Abdel Hakim Amzat de Laha Production (Best CEO Production Audiovisuelle et Cinéma) ; Komi L. Noulekou de Ecobank (Best CEO Banque œuvrant pour l'inclusion financière) et Sébastien Y. Manager, de la Sobebra (Best CEO Compagnie industrielle et éco citoyenne).
Dans la catégorie ‘'Best CEO Transport et automobile'', c'est Valéry Alapini de Les Bagnoles Motors qui a reçu le trophée. Virgile Toffodji de la société MTN Mobile Money a été honoré dans la catégorie ‘'Best CEO Solutions de paiement électronique''. Hervé Zongo de CMA-CGM Bénin a reçu la distinction pour la catégorie ‘'Best CEO Entreprise de consignation maritime''. Tony Chagoury de La Roche et Elim Name de Mikem Technologie ont été les lauréats dans la catégorie ‘'Best CEO Entreprise fournisseur de matériaux de construction'' et celle de ‘'Best CEO Solutions technologiques et meilleurs services numériques''.
Les entreprises d'excellence
Trois parmi ces dirigeants d'entreprises ayant fortement contribué au développement du pays, à travers une croissance remarquable, la mise en œuvre de projets inclusifs, des initiatives à fort impact économique social et sociétal ont été récompensés.
Le premier prix de l'excellence managériale a été discerné à Sébastien Y. Manager de la Société Béninoise de Brasseries (Sobreba), le deuxième au directeur général du groupe Ecobank Komi Noulekou et le dernier à Stephen Blewett, directeur général de de Spacetel-Benin-Sa (Mtn).
Se réjouissant de cette noble initiative, le ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi a félicité les lauréats de la première édition de ‘'Benin CEO Award''. A en croire Modeste Kérékou, sous le leadership du président Patrice Talon, « le Bénin vit une accélération, une transformation avec pour objectif de le positionner comme un pays phare où il plait aux chefs d'entreprises d'ici et d'ailleurs d'investir ».
Dans le cadre des réformes entamées pour l'amélioration du climat des affaires, le ministre Kérékou a annoncé l'adoption du nouveau code de l'investissement et une loi relative à la promotion et le développement des moyennes et petites entreprises au cours du premier trimestre de l'année 2020.
Le ministre de l'industrie et du commerce Mme Shadiya Alimatou Assouman a assuré que le gouvernement béninois donne le meilleur de lui-même pour que le monde des affaires soit plus fructueux pour les chefs d'entreprises.
La soirée a été également marquée par des présentations d'éminents speakers sur des thèmes tels que : « La Banque 2.0 – La Digitalisation : un enjeu stratégique pour le secteur bancaire en Afrique » et « Banque et cyber sécurité ».
Les thèmes ont été présentés respectivement par Laurence Do Rego, directrice de la réglementation et de la conformité du groupe bancaire Ecobank et Ouanilo Medegan, directeur général ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information ».
Le président du comité d'organisation de la cérémonie, Ulrich Adjovi a remercié les différents partenaires qui ont fait de cette première édition de ‘'Benin CEO Awards'' un succès. Il invite les lauréats à considérer le trophée « pas juste comme un matériel mais un encouragement à aller plus loin ».
Akpédjé AYOSSO
Les leaders du parti Union Progressiste (UP) ont fait le point des activités, un an après la création du parti.
Le bilan a été fait lors d'une conférence de presse samedi 11 janvier 2020 à Abomey-Calavi.
Les responsables de l'UP ont également réfléchi aux prochaines élections communales et locales annoncées pour mai 2020.
Selon le bilan présenté par l'ex ministre de l'industrie et du commerce, Lazare Sèhouéto, le parti au cours des douze derniers mois a enregistré des adhésions de militants. Le nombre de militants identifiés à la date d'aujourd'hui est de 400.000, a-t-il précisé. A en croire M. Sèhouéto, le défi de la formation politique est de transformer ces 400.000 militants en soldats pour qu'aux prochaines élections, le parti puisse avoir de meilleurs résultats. « Nous avons posé les bases pour que nos structures de base au niveau de chaque village puisse être installé. Il s'agit pour nous de faire en sorte que chacun des militants du parti ait le sentiment d'appartenir à un même corps et que ce corps puisse aller à la conquête non seulement de l'électorat, mais à la conquête de l'ensemble de ce qu'il faut faire pour alléger les souffrances de ce pays, pour mériter de l'espoir que place en nous notre peuple », a expliqué l'ex ministre.
Le président de l'Union Progressiste, Bruno Amoussou, a mis l'accent sur l'esprit du groupe qui doit animer les militantes et militants du parti. « Ce qui est important, c'est pas chacun de nous aussi prestigieux que cela soit. Ce qui est important, c'est le groupe que nous voulons former. C'est la confiance en ce que nous sommes entrain de faire, c'est la certitude que nous allons vaincre, c'est aussi l'engagement à y participer », a-t-il souligné. Bruno Amoussou a exhorté les militants UP à s'investir davantage dans la vie du parti pour que la formation politique puisse jouer « un rôle de plus en plus déterminant dans la conduite des affaires politiques et dans l'évolution économique et sociale du pays ».
F. A. A.
L'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a célébré ce vendredi 10 janvier 2020 ses 26 ans d'existence. A cette occasion, le président de la commission de l'UEMOA, Abdallah Bouréima a animé une conférence de presse au siège de l'institution à Ouagadougou, Burkina Faso. Réunissant les journalistes et représentants du réseau des médias de l'UEMOA, la séance a permis au président de la commission de faire le bilan des 25 ans de l'institution.
« 25 ans de progrès vers l'intégration régionale, ensemble pour relever le défi de la libre circulation des personnes et des biens›› ; c'est le thème des 25 années d'existence de l'UEMOA.
La célébration a été faite dans tous les pays membres de l'institution, suivie de plusieurs activités durant l'année 2019.
De la revue annuelle des réformes sectorielles, la lutte contre le terrorisme dans la sous-région à l'avènement de la monnaie unique Eco dans l'espace CEDEAO, le président de la commission a fait un bilan satisfaisant.
En matière de paix et de sécurité,
Abdallah Bouréima a mentionné la contribution de l'UEMOA au financement de la lutte contre le terrorisme dans l'espace communautaire avec une un montant de 100 millions de dollars US, soit environ 55 milliards de FCFA pour les trois pays membres de la ligne de front du G5 Sahel (Burkina, Mali, Niger). Une annonce faite au terme de la session extraordinaire des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'UEMOA, tenue le 3 décembre 2019 à Dakar, au Sénégal.
Selon Abdallah Bouréima, cette contribution « s'inscrit dans le cadre de l'engagement pris par l'UEMOA pour participer à hauteur de 500 millions de dollars US au financement du plan d'actions de la CEDEAO pour lutter contre le terrorisme dans ladite zone ».
« Notre espace est pris en otage par les terroristes qui empêchent la réalisation de la libre circulation des personnes et des biens », a affirmé Abdallah Bouréima.
Pour parvenir aux objectifs de l'institution, il faut d'après lui contribuer à la lutte contre le terrorisme.
S'agissant de la revue annuelle des réformes sectorielles, le président de la commission informe que 99 programmes ont été réalisés dans les 08 pays de l'UEMOA en 2019 pour un montant global de 310 milliards FCFA. Ledit montant a été financé par la commission de l'UEMOA.
Les réformes sectorielles des pays de l'Union ont atteint le taux de 76% en 2019.
Quant à la transition du franc CFA en monnaie unique de la CEDEAO ‘'Eco'', Abdallah Bouréima a souligné que le projet a connu une avancée majeure avec l'annonce officielle du président Alassane Ouattara.
Pour la création de la monnaie unique de la CEDEAO, trois décisions ont été prises. Il s'agit du changement du nom de la monnaie Franc CFA en Eco, l'arrêt de la centralisation des réserves de change au Trésor français, la fermeture du compte d'opérations et le retrait de tous les représentants français dans les organes de décision et de gestion de l'UMOA (Conseil d'Administration de la BCEAO, Commission bancaire et Comité de Politique Monétaire).
Akpédjé AYOSSO
Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon a effectué une visite samedi 11 janvier 2020 sur quelques chantiers d'Asphaltage de la ville de Cotonou.
Première étape de la sortie du chef de l'Etat, le tronçon carrefour La Roche - Ministère de la santé à Akpakpa. A ce niveau, il s'est enquis de l'effectivité des instructions qu'il a données il y a quelques jours pour que soit dégagé le parking gros-porteurs installé par une entreprise privée sur cette voie.
Le chef de l'État a eu quelques échanges avec certains riverains de la zone.
Patrice Talon s'est ensuite rendu dans la zone derrière le stade René Pleven, non loin du Centre Paraïzo.
Le constat fait à ce niveau est qu'un citoyen a transformé la rue en un garage mécanique. De façon courtoise, le président s'est rapproché de l'intéressé pour des échanges au cours desquels il a invité le citoyen à libérer la rue pour faciliter la circulation, et maintenir la propreté dans la zone.
Après les échanges avec le président de la République, l'intéressé a reconnu que son acte pouvait constituer un blocage aux travaux d'aménagement sur le terrain. Il a aussitôt pris l'engagement de transférer ses camions qui encombrent la rue dans la journée.
Le compatriote a par ailleurs a remercié le chef de l'Etat et son gouvernement pour toutes les actions d'amélioration du cadre de vie dans la ville de Cotonou, et qui doivent selon lui, être soutenues par les populations.
« Le temps où il n'y a pas d'ordre, de règle est révolu », a martelé le chef de l'Etat.
Le président Talon était accompagné pour la circonstance, du ministre du cadre de vie et du développement durable, José Tonato, et du préfet du Littoral, Jean-Claude Codjia.
F. A. A.
Agé de 70 ans, l'ancien journaliste de l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (ORTB) Fernand Azokpota a tiré sa révérence ce vendredi 10 janvier 2020 à Avogbana, un arrondissement du Zou.
Le défunt a servi à la direction de la station régionale de radio Parakou. Outre son poste de rédacteur en chef à la radio nationale du Bénin, Fernand Azokpota fut aussi conseiller à la deuxième mandature de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC). Enseignant du journalisme dans plusieurs universités du Bénin, Fernand Azokpota est auteur de quelques ouvrages dont : « L'audiovisuel public au Bénin, de radio Cotonou à l'ORTB » en 2013.
Akpédjé AYOSSO