Du 15 juillet au 15 septembre 2020, les audiences ordinaires de la Cour constitutionnelle n'auront pas lieu. Et pour cause, les 07 sages de la haute juridiction seront en vacances pendant cette période.
Selon une note du service de communication de la Cour, la haute juridiction tiendra une audience de mise en état le 04 août prochain, et une seule audience plénière le 30 juillet. Les audiences ordinaires ne pourront reprendre que dès la rentrée judiciaire prévue pour 1er octobre 2020.
F. A. A.
Le XXIe siècle est une ère d'innovation et de mondialisation universelle. Des relations d'import/export développées, des projets transnationaux, un échange actif d'informations dans le domaine de la science et de la technologie sont la norme acceptée. Pour maintenir les processus commerciaux, une énorme quantité de documentation technique doit être traduite quotidiennement. En particulier, il est le plus souvent nécessaire de traduire un document pdf.
Quels types de documents sont le plus souvent requis pour travailler :
les articles scientifiques, de recherche ;
les fiches techniques ;
les manuels, les instructions de maintenance et d'utilisation ;
diverses spécifications, normes ;
les propositions commerciales, les contrats, leurs annexes ;
les dessins, les dossiers du projet ;
la documentation sur les brevets, les certificats de conformité ;
les catalogues de produits, les brochures, les sites web ;
d'autres documents ;
Qu'est-ce que la traduction technique, ses caractéristiques.
La traduction de documentation technique d'une langue à une autre aux fins d'échange d'informations entre des locuteurs de langues différentes est communément appelée traduction technique.
L'une de ses principales caractéristiques est le respect rigoureux du style formel et logique de présentation du matériel adopté dans ce domaine. Le style formel et logique implique la précision, l'absence d'émotion et l'impersonnalité, ainsi que la présence d'un grand nombre de termes latins, grecs, d'expressions établies.
Problèmes de traduction technique.
Le principal problème dans ce domaine d'activité est la nécessité de combiner d'excellentes compétences linguistiques et des connaissances spécialisées approfondies dans différents domaines de la science ou de la technologie en une seule personne. Comme il est difficile de mettre cette tâche en pratique, il y a deux façons de résoudre le problème. Une option consiste à faire appel à des traducteurs spécialisés dans des domaines spécifiques pour différentes tâches. La deuxième option consiste à ce que les traducteurs universels travaillent avec des rédacteurs techniques ou des consultants ayant une excellente connaissance des domaines scientifiques ou technologiques requis. Pour les projets complexes, des locuteurs natifs peuvent également être impliqués pour la relecture et l'édition.
Un autre aspect obligatoire de la traduction technique est l'excellente maîtrise et l'utilisation obligatoire d'un grand nombre de dictionnaires linguistiques et orthographiques spécifiques à l'industrie. Il s'agit de travailler avec des sources d'information hautement spécialisées. Les traducteurs expérimentés de spécialisation technique ont souvent des développements thématiques d'auteur.
Voilà les exigences auxquelles doit répondre un traducteur technique :
· une bonne maîtrise de la paire de langues ;
· de bonnes compétences dans l'utilisation des sources d'information de travail (dictionnaires de profils, ouvrages de référence) ;
· une excellente maîtrise de la terminologie dans les deux langues ;
· la connaissance des abréviations, des symboles ;
· une bonne connaissance théorique dans le domaine requis ;
· un avantage supplémentaire est la seconde éducation ;
Il faut comprendre qu'une traduction incorrecte, imprécise ou non qualifiée de certains textes peut directement nuire à la vie et à la santé d'un grand nombre de personnes. Cela s'applique en particulier aux diverses instructions, règles de sécurité et autres documents similaires.
Afin d'obtenir une traduction précise et fiable tout en préservant le contenu intellectuel, il est nécessaire de recourir aux services de sociétés ou de personnes spécialisées dans ce type de traduction.
La Galerie Cécile Fakhoury présente à Abidjan en Côte d'Ivoire du 18 septembre 2020 au 28 novembre 2020, la première exposition personnelle de l'artiste béninois Roméo Mivekannin. Il s'agit d'une dizaine d'œuvres grand format jamais montrées au public.
L'artiste béninois Roméo Mivekannin puise son inspiration dans des fonds d'archives photographiques ou des toiles iconiques emblématiques de l'histoire de l'art occidentale. Il se concentre particulièrement sur « les représentations ambigües des figures noires, sources tant de fascinations que de craintes, tantôt anonymisées, érotisées ou objectivées et destinées à l'œil quasi exclusif d'un spectateur masculin et euro-centré ».
Les œuvres de l'artiste, peintures à « l'acrylique noire sur des toiles teintées par des bains répétés d'élixir, se font alors le lieu de la remise en question d'une iconographie marquée héritée des systèmes de trafic humain et de domination qu'ont été l'esclavage et la colonisation ».
Roméo Mivekannin choisit de reprendre les faits de ces représentations historiques et d'en subvertir leur narration première afin de construire, non sans ironie, sa propre vision des récits communs.
L'artiste s'insère dans ces régimes de représentation
L'artiste béninois qui est à sa première exposition personnelle en Afrique déploie à cette occasion un procédé de citation plastique éloquent. Les compositions des toiles dialoguent avec une « histoire visuelle complexe faite de références directes à la peinture classique et aux images d'Épinal qui ont défini la représentation des noirs dans l'Europe du 19ème siècle ».
Confronté à l'incapacité de « s'identifier lui-même à ces images et à tisser une filiation avec ces récits de l'histoire, Roméo Mivekannin s'insère dans ces régimes de représentation, substituant son propre portrait à ceux des personnages noirs originaux ». Le visage de l'artiste apparaît plusieurs fois « tantôt au premier plan, tantôt dissimulé dans les foules de figurants ».
Les toiles sont plongées à plusieurs reprises dans des bains d'élixir dont seul l'artiste connaît la composition, et qui leur donne leur coloration unique. Vient ensuite le temps de la peinture. « Dans la tradition vaudou chaque dieu correspond à un ancêtre décédé. Quand on porte le masque de l'un de ces dieux, d'une personne qui a vécu, c'est un acte de libération », explique l'artiste.
Dans ses œuvres, Roméo Mivekannin interroge ainsi l'invisible et le caché. Il met à jour les rouages de la représentation qui portent les systèmes de domination et y introduit une critique subtile, à la frontière entre réécriture d'une mémoire collective et réparation d'une fracture identitaire personnelle.
Encadré
Qui est Roméo Mivekannin ?
Né à Bouaké (Côte d'Ivoire) en 1986, Roméo Mivekannin vit et travaille entre Toulouse (France) et Cotonou (Bénin). Après une formation en ébénisterie puis des études d'Histoire de l'art, Roméo Mivekannin choisit d'intégrer l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Toulouse. Il développe parallèlement à ses études, un travail personnel de création plastique, et expérimente plusieurs médium, de la sculpture à la peinture.
A la fin de ses études, l'artiste se consacre à son activité de plasticien tout en commençant une thèse entre histoire de l'art, sociologie et architecture. Au croisement de la tradition héritée et du monde contemporain, Roméo Mivekannin intègre ses créations au sein d'une temporalité ancestrale, fabriquant ses propres rituels, en écho à la cosmologie vaudou, très présente au Bénin.
À l'image d'un rite initiatique, l'artiste plonge les draps qui composeront le fond de ses œuvres dans différents bains de solutions rituelles, des bains d'élixir, quelques-unes d'entre elles ayant été enterrées à certains endroits du monde, en lien avec l'histoire de la colonisation. Le temps propre de ces draps, eux-mêmes hérités et usés, vient alors se mêler aux temporalités évoquées par les sujets de ses toiles. La mémoire et le temps deviennent ainsi la matière même de ses œuvres, leur technique.
Le travail de Roméo Mivekannin a fait partie de la sélection de la Biennale de Dakar en 2020. Il a également fait partie de plusieurs expositions collectives en France, notamment au sein de la Chapelle de Velmatier. En 2018, il publie aussi un roman, La Malédiction des Orishas, aux éditions Les Indés.
A.A.A
La ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Éléonore Yayi Ladekan et son collègue des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle Mahougnon Kakpo ont procédé ce lundi 20 juillet 2020, au lancement officiel de la phase écrite de l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020. C'est le Collège d'Enseignement Général Houéyogbé dans le département du Mono qui a servi de cadre à ce lancement.
95.404 candidats dont 35.049 filles répartis dans 137 centres composent pour l'obtention du premier diplôme universitaire sur le territoire national. Les examens se déroulant dans un contexte de coronavirus, les ministres ont mis l'accent sur l'observance des mesures sanitaires.
Les surveillants de salle, superviseurs et parents d'élèves doivent veiller au respect strict des gestes barrières. Chaque candidat doit porter le masque et désinfecter ses mains avant l'entrée et la sortie de salle.
Les ministres ont prodigué de conseils aux candidats. « Le BAC n'est pas un concours, c'est un examen. C'est comme le devoir surveillé auquel vous êtes habitués en classe », a notifié le ministre Mahougnon Kakpo aux candidats.
La ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Éléonore Yayi Ladekan a invité les candidats à traiter les épreuves dans la sérénité et sans pression.
Les deux ministres ont aussi constaté le bon déroulement de l'examen dans les centres de compositions CEG Bopa, Comè dans le département du Mono et Houèto dans la commune d'Abomey-Calavi.
Le nombre de candidat à l'examen du Baccalauréat 2020 à connu une baisse de 4.620 par rapport à l'année dernière dont l'effectif était de 100.024.
A.A.A
Les candidats à l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020 seront fixés sur leur sort le 12 août prochain. Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Yayi Ladékan l'a annoncé ce lundi 20 juillet lors du lancement officiel des épreuves écrites au CEG de Houéyogbé dans le département du Mono.
Ces résultats selon le ministre de l'enseignement supérieur, seront proclamés via la plateforme E-résultat. A cet effet, les dispositions ont été prises par le ministre de l'économie numérique et de la digitalisation pour rendre fonctionnel et disponible ladite plateforme, a rassuré Eléonore Yayi Ladékan.
95.404 candidats dont 35.049 filles affrontent depuis ce lundi 20 juillet, les épreuves écrites de l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020.
F. A. A.
Le préfet du département du Borgou, Djibril Mama Cissé a lancé ce lundi les épreuves écrites de l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020 au centre du CEG Hubert Maga de Parakou.
Avant de procéder au lancement des épreuves, le préfet du Borgou a adressé quelques mots de soutien et d'encouragement aux candidats.
Présent à la cérémonie de lancement, le maire de la ville de Parakou, Aboubacar Yaya après avoir dopé le moral des candidats, s'est réjoui du choix porté sur sa municipalité pour abriter le lancement au plan départemental. Le maire a par ailleurs formulé le vœu que la commune de Parakou enregistre le plus fort taux de réussite.
Le chef du centre du CEG Hubert Maga, Abdou Ganiou Massioudou, a rassuré pour sa part que les dispositions nécessaires ont été prises afin que tout se passe dans le strict respect des règles barrières de la Covid-19.
F. A. A.
Le Baccalauréat session de juillet 2020 a démarré ce lundi sur toute l'étendue du territoire national. Au total, 95.404 candidats dont 35.049 filles affrontent les épreuves écrites de cet examen qui ouvre aux apprenants les portes des universités. Cette année, c'est le CEG de Houéyogbé dans le département du Mono qui abrite le lancement officiel sur le plan national.
Au niveau des départements, les épreuves seront lancées au CEG1 d'Aplahoué dans le Couffo ; au Lycée militaire Général Mathieu KÉRÉKOU de Natitingou dans l'Atacora ; au CEG1 Djougou dans la Donga ; au CEG Hubert Koutoucou MAGA de Parakou pour le compte du département du Borgou, et au CEG de Malanville dans l'Alibori.
Dans l'Ouémé, les épreuves seront lancées au CEG de Davié, et au CEG1 de Kétou pour le compte du département du Plateau. Dans le Littoral, c'est le CEG Sègbèya qui est retenu tandis que dans l'Atlantique, les épreuves seront lancées au CEG de Houèto à Abomey-Calavi.
Dans le département du Zou, les épreuves seront lancées au CEG Agbangnizoun, et le CEG2 de Dassa va abriter le lancement officiel pour le compte du département des Collines.
Le directeur de l'Office du Bac (DOB), Alphonse da Silva a rassuré que toutes les dispositions prises pour le bon déroulement de l'examen dans le contexte de la Covid-19.
En raison de la crise sanitaire, le gel hydro alcoolique sera disponible afin que les candidats puissent se désinfecter régulièrement les mains à l'entrée comme à la sortie des salles. Des dispositifs de lavage de mains seront également disposés de par et d'autres de chaque centre de composition. La distance de sécurité sanitaire sera respectée avec un candidat par table, a rassuré Alphonse da Silva.
F. A. A.
Accident mortel ce samedi 18 juillet 2020 sur le tronçon Ayélawadjè- Sénandé à Cotonou.
Le conducteur d'une voiture avec des personnes se trouvant à bord a heurté un arbre en plein milieu de la route sur un terre-plein central. Selon Frissons Radio, le bilan fait état de deux morts et trois blessés. L'une des passagères, jeune étudiante, est morte dans cet accident.
Quatre autres passagers du véhicule ont été évacués à l'hôpital. L'un des passagers a succombé à ses blessures peu de temps après. À en croire la même source, il s'agit des jeunes qui reviendraient d'une fête nocturne.
A.A.A
Une jeune femme a tenté de se suicider ce samedi 18 juillet 2020 à Kpassè dans la commune de Ouidah en buvant de l'eau de javel.
Âgée de 29 ans, la jeune femme voulait mettre fin à ses jours pour une raison qui reste encore inconnue. Selon Frissons Radio, elle a été évacuée à l'hôpital de zone par les sapeurs-pompiers alertés à temps. Aux dernières nouvelles, la jeune femme a pu s'en sortir.
A.A.A
Le président de la Cour constitutionnelle, Joseph Djogbénou était sur le chantier de construction du siège de la haute juridiction la semaine écoulée. Objectif, apprécier le niveau d'avancement des travaux et s'assurer du respect des cahiers de charge.
Cette visite a été également l'occasion pour le professeur Djogbénou d'être au parfum des difficultés auxquelles l'entreprise MAPOLO en charge des travaux, et le maître d'ouvrage qu'est le ministère du cadre de vie sont confrontés, et qui entravant le bon déroulement du chantier.
Avec le responsable de l'entreprise MAPOLO, le président de la Cour constitutionnelle a eu des réponses aux préoccupations ayant trait à la présentation des ouvrages, la nature et le choix de certains matériaux, la méthode utilisé, etc.
Le directeur général de l'entreprise MAPOLO, Apollinaire MATRO a rassuré les autorités de l'exécution des travaux dans les délais contractuels. Le taux d'exécution physique à la date du 15 juillet dernier, est de 30%, a-t-il informé rassurant de la livraison du site le 31 décembre 2020.
Les travaux de réhabilitation du siège de la Cour constitutionnelle sont prévus pour durer 12 mois.
Le président de la Cour constitutionnelle était accompagné de son vice-président, Razaky Amouda Issifou, du conseiller Rigobert Azon, des membres de son cabinet et du secrétariat général.
F. A. A.
Informé de son implication dans la création du parti "Les démocrates", l'ex président de la République, Nicéphore Soglo à travers son cabinet, a apporté un démenti formel.
Selon l'ancien président de la République, il s'agit de fausses allégations et de mensonges grotesques visant à distraire le peuple béninois face à l'impasse de plus en plus épaisse dans laquelle le pays est plongé sous le régime de la ‘'Rupture'' qui a bafoué les fondamentaux de la démocratie béninoise.
Le président Nicéphore Soglo tout en s'insurgeant contre l'utilisation de son nom à des fins de marchandisation politique, met en garde les auteurs de ces manigances. Il les invite à mettre immédiatement fin à leur forfait.
Depuis quelques jours, une information faisant état de la création d'un parti d'opposition dénommé "Les démocrates" a agité l'opinion publique. Outre le président Soglo, l'ancien président Boni Yayi est également cité dans la création du nouveau parti.
F. A. A.
Nous sommes les membres bénévoles de Culture céleste, Paix mondiale et Restauration de la Lumière (HWPL) et les membres de la famille dans la foi de l'Association missionnaire de Shincheonji Église de Jésus. Ces deux organisations sont agréées par les autorités, et HWPL est une organisation enregistrée auprès des Nations Unies. Les deux organisations se sont développées rapidement.
Le Conseil Chrétien de Corée (CCK, protestant) a adoré et loué des divinités païennes (divinités japonaises) comme Salomon (1 Rois 11). Leurs pasteurs ont été reconnus coupables de plus de 12 000 crimes au cours de la dernière décennie. Ces actes sont antiétatiques, anti-société et anti-religion. Nous leur avons donc demandé de se repentir et de naître de nouveau. Cependant, ils ne se sont pas repentis et ont travaillé avec le président et d'autres dirigeants politiques (maire de Séoul, préfet de la province de Gyeonggi, ministre, etc.) pour nous retirer notre licence en tant qu'organisation pour la paix et organisation religieuse. Cependant l'article 20, paragraphes 1 et 2 de la Constitution coréenne stipule que la religion est libre et que la religion et la politique sont séparées.
Membres de la famille de la paix du monde entier, les messagers de paix d'HWPL ont parcouru le monde 31 fois et ont exhorté à la cessation des guerres et à la paix dans le monde. Était-ce mal ? Vous êtes témoins. Nos messagers de paix transcendent les frontières, les races et les religions et ont promis devant Dieu et les peuples du monde de mettre fin à la guerre et d'instaurer la paix dans le monde afin que cette dernière devienne un héritage éternel pour les générations futures (lors du Sommet pour la paix mondiale d'HWPL en septembre 2014).
De plus, les messagers d'HWPL ont réussi à résoudre un conflit que n'avaient pas réussi à résoudre le gouvernement, ni l'armée, ni la loi, même si quelque 120 000 personnes avaient été sacrifiées après 40 ans de conflits religieux à Mindanao, aux Philippines. HWPL est intervenue directement dans ce conflit et y a mis fin grâce à un arbitrage de paix. En commémoration, deux monuments pour la paix ont été édifiés et le même jour, le 24 janvier a été déclaré « Journée HWPL ». Et nous avons promis de travailler pour la paix ensemble.
Faut-il dissoudre une telle organisation pour la paix ?
Membres de la famille de la paix du monde entier, messagers de paix, vous souvenez-vous du « We are one » que nous avons fait dans chacun de nos pays pour la paix mondiale ?
Chères organisations pour la paix, chères organisations religieuses, veuillez joindre vos forces pour mettre fin aux actes de détention, de perquisition et de confiscation que nous subissons. Le Covid-19 est-il un préjudice ou un péché ? (Jn 8:3-11, Mt 6:14-15). Nous n'avons pas créé le Covid-19, nous ne sommes pas allés en Chine et nous ne l'avons pas ramené de Chine non plus. Malgré cela, les hommes politiques coréens veulent révoquer et supprimer nos licences en tant qu'organisation pour la paix et en tant qu'organisation religieuse dans le but d'obtenir plus de votes aux élections. Ils ont rejeté la faute sur les victimes du Covid-19 et en ont fait des boucs émissaires. C'est pour cacher leurs crimes.
De plus, la conversion forcée a causé le décès de deux membres de l'église de Shincheonji, de leurs maris et de leurs parents, et en relation avec le Covid-19 deux personnes qui ont déclaré être des croyants de l'église de Shincheonji ont été persécutées par leurs maris et sont décédées. Donc quatre membres de l'église ont été tuées. La Corée du Sud doit cesser de s'opposer aux organisations pour la paix, aux organisations religieuses et de violer les droits de l'homme.
Chers membres du Conseil consultatif pour la paix, ambassadeurs pour la paix, membres du Comité de droit international pour la paix d'HWPL, parlementaires internationaux, partenaires de MOU et de MOA, artisans de la paix du village planétaire « We are one », nous avons maintenant besoin de votre force, de votre pouvoir et de vos paroles. Journalistes du monde entier, les communiqués de presse sont essentiels. Jusqu'à ce que la vérité soit révélée, luttez pour la justice. Pour les peuples qui sont faibles, pour les droits de l'homme, pour la paix, pour les générations futures, pour l'histoire, votre cri sera le remède pour sauver les droits de l'homme. Nous sommes le no 1 mondial en matière de connaissance biblique, de travail pour la paix et de bénévolat. Voyez par vous-mêmes. Nous croyons en vous. Merci.
Les messagers de paix d'HWPL
Le président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou à travers une publication sur sa page Facebook a adressé ses vœux de succès et de réussite aux candidats à l'examen du Baccalauréat session de juillet 2020.
Au regard du contexte de la crise sanitaire de Coronavirus dans lequel l'examen a lieu, le chef du parlement béninois a invité chaque candidat à « garder à l'esprit l'observance des gestes barrières tout en restant concentrés sur chacune des épreuves auxquelles il sera soumis ».
« Puisse le Père céleste faire de cette année, votre année de réussite », a prié Louis Vlavonou exhortant les candidats au courage.
95.404 candidats dont 35.049 filles affrontent les épreuves écrites du Bac dès ce lundi 20 juillet 2020.
F. A. A.
A travers une déclaration rendue publique la semaine écoulée, le collectif des syndicats de la santé a dénoncé les mauvais traitements dont les agents de santé font l'objet dans le contexte actuel de la pandémie du Coronavirus.
Dans leur déclaration, les syndicats de santé après avoir dénoncé la mise à rude épreuve des libertés syndicale et d'opinion, ont fustigé les menaces tendant à faire taire toutes les voies discordantes. Ils ont également condamné les poursuites policières et judiciaires lancées contre leur camarade, Adolphe Houssou.
Face au tableau sombre qui mine le secteur de la santé, les syndicats exigent la publication des chiffres des travailleurs de la santé atteints de la Covid-19 ; la publication du nombre de masques et de gels hydroalcooliques mis à la disposition de chaque formation sanitaire par mois depui avril ; la satisfaction intégrale de leurs revendications ; l'arrêt de toutes les poursuites et tracasseries à l'endroit de tous les responsables syndicaux dans l'exercice de leur fonctions.
Les syndicats de la santé tout en décidant de la suspension de leur participation à toutes les activités avec l'administration au plan national, départemental, et dans les hôpitaux jusqu'à nouvel ordre, invitent les travailleurs à se tenir prêts et mobilisés pour suivre les directives adéquates si le bras de fer doit perdurer.
F. A. A.
Accusés de détournement de deniers publics, le chef du premier arrondissement de Cotonou, Arlette Saïzonou Bello, et le chef quartier de Finagnon, Gratien Zanhounkpévi, étaient devant le procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou jeudi 16 juillet dernier. Au terme de l'interrogatoire, les mis en cause sont poursuivis sans mandat de dépôt.
Les deux élus locaux sont poursuivis pour avoir détourné une somme estimée à 6.901.400 FCFA issus de la collecte effectuée au niveau des barrières érigées dans les quartiers Finagnon et Tokplégbé de Cotonou. Des sous plutôt destinés à implanter d'autres barrières, au reprofilage des voies, et à réguler la circulation des camions poids-lourds dans ces quartiers.
Face au procureur, le chef quartier de Finagnon, Gratien Zanhounkpévi a reconnu les faits mis à sa charge. Il en est de même pour le chef du premier arrondissement, Arlette Saïzonou Bello, qui dans sa déposition, a remis en cause le montant querelé. Il s'agirait d'une somme de 900.000 FCFA que le chef quartier lui aurait remis.
Après avoir écouté les deux inculpés, le procureur de la République a ouvert un dossier en requalifiant les faits en abus de confiance, et concussion. Il a également décidé de les poursuivre sans mandat de dépôt. Les inculpés sont convoqués pour le 20 octobre prochain devant le juge ; date à laquelle ils seront certainement fixés sur leur sort.
Avant le procureur de la République, les deux accusés étaient à la Brigade économique et financière (BEF) où le porte-parole des conseillers frondeurs, Pierre Djoï, a expliqué les faits devant les officiers de la BEF.
Ce dossier de malversation est survenu au terme d'une réunion tenue le 04 novembre 2019, au siège du 1er arrondissement à Cotonou, où il a été constaté que le chef quartier Finagnon détiendrait indûment la somme d'argent.
F. A. A.
Le Chef d'Etat Boni Yayi a pris part ce dimanche 19 juillet 2020 à la célébration du culte de l'église des Assemblées de Dieu Temple Salem Jéricho.
Lors du culte, Boni Yayi a partagé quelques mots avec les fidèles. Né dans une famille musulmane à Tchaourou, Boni Yayi est devenu chrétien évangélique en 1994. L'ancien Chef de l'État est pasteur dans une église des Assemblées de Dieu au quartier de Gbèdjromédé, à Cotonou.
A.A.A
La 3ème session extraordinaire de l'année 2020 s'ouvre lundi 20 juillet 2020 au palais des gouverneurs à Porto-Novo.
Sur les 12 points inscrits à l'ordre du jour de cette session, figure le projet de loi portant autorisation de la ratification de l'accord relatif à la dissolution de l'Organisation commune Bénin-Niger des chemins de fer et des transports (OCBN), signé à Cotonou le 19 mars 2015.
Longtemps convoitée par les groupes Bolloré et Petrolin, la gestion de la ligne ferroviaire Bénin-Niger a été finalement confiée à une entreprise chinoise.
Le sort de l'OCBN pourrait être définitivement scellé lors de cette session extraordinaire à l'Assemblée nationale.
F. A. A.
Six centrales et confédérations syndicales du Bénin viennent d'entrer dans un creuset en signant une charte d'unité d'action syndicale. Mais la CSTB, qui ne partage pas les mêmes idéaux que ses camarades préfère faire cavalier seul. Invité de Crystal News, le 16 juillet 2020, le porte-voix de ce cadre de collaboration et de concertation, Noël Chadaré, donne quelques explications.
Le vendredi 03 juillet dernier, 06 centrales et confédérations syndicales ont signé une charte d'unité d'action syndicale. Il s'agit de CGTB, Cosi-Bénin, Untb, Csub, Cespib et Csa-Bénin. Selon le Secrétaire général de la Confédération des organisations syndicales indépendantes du Bénin (Cosi-Bénin) Noël Chadaré, l'objectif de l'installation de ce cadre d'unité est l'efficacité de l'action syndicale. « Ce sont des confédérations qui partagent presque les mêmes valeurs, même idéaux donc des confédérations qui ont dit ensemble on sera plus fort », a-t-il expliqué.
A en croire le porte-voix de ce creuset, l'installation de ce cadre d'unité d'action est une renaissance du syndicalisme puisque les centrales et confédérations sont sorties divisées de la dernière grève de 2018. Aussi, notifie Noël Chadaré, les partenaires des institutions internationales à savoir la CSI Afrique, la CSI monde, l'Organisation internationale du travail ont-ils préconisé ce creuset pour plus d'efficacité dans l'action syndicale.
« Il faut se mettre ensemble pour éviter de diviser les forces et réduire à néant les chances d'obtenir quelque chose pour les travailleurs. On a mis sur pied le bureau exécutif national dont je suis le porte-parole pour une année. Ça va se faire de façon rotative pour une année renouvelable une fois », a-t-il ajouté.
Les actions de ce creuset se feront sur la base d'une feuille de route. Il y a aura les exécutifs dans les douze départements et ensuite la formation de responsables départementaux.
Plusieurs défis sont à relever. Il faut selon Noël Chadaré redorer le blason, « inverser le rapport de forces en notre faveur pour que le pouvoir nous prenne beaucoup plus au sérieux parce que le pouvoir décide du sort du travailleur sans prendre l'avis des confédérations ». Sans oublier l'augmentation du salaire des travailleurs en tenant compte du coût de la vie et la demande de la relecture des différents textes qui empêchent l'expression de la liberté des travailleurs.
La CSTB justifie son refus d'adhésion au cadre
La Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB) n'a pas adhéré à la charte d'unité d'actions signée par les six autres centrales. D'après le porte-voix du cadre de collaboration et de concertation des six syndicats, la CSTB a eu copie de la charte mais n'a pas voulu s'enfermer en signant la charte pour avoir un peu d'autonomie. Elle est tout de même prête à mener des actions avec les six centrales pour le bien-être de tous les travailleurs, a indiqué Noël Chadaré.
Pour la secrétaire générale adjointe de la CSTB Mathurine Sossoukpè, au micro de Crystal News, la confédération n'a jamais été contre l'idée de l'action syndicale. « Qu'il vous souvienne que par le passé, nous avons organisé même des manifestations, des marches et grèves avec toutes les autres centrales. (....) nous disons que si unité d'action syndicale devrait y avoir lieu, il faudra qu'on s'entende autour de quoi nous allons faire l'unité d'action syndicale (...) s'entendre autour des revendications à défendre pour que l'unité d'action syndicale soit une réalité », a expliqué Mathurine Sossoukpè.
Au lendemain d'un séminaire où la CSTB a affiché clairement sa position, aucun débat n'a été fait sur les revendications des travailleurs avant la sortie d'un projet de charte.
« Si c'est leur unité qui va donner satisfaction aux revendications des travailleurs, la CSTB ne veut que ça. Mais tel que je vois, ça ne peut pas conduire les travailleurs à la satisfaction des revendications. Au contraire, ça renforce le pouvoir de Patrice Talon contre les travailleurs parce que cette unité d'action syndicale cautionne toutes les réformes », a affirmé la secrétaire générale adjointe de la CSTB.
Pour la CSTB, la solution c'est la remobilisation totale des travailleurs. « Il faut toujours aviser pour que les travailleurs soient debout. Ce n'est pas la somme des chefs au sommet qui donne la force aux travailleurs. L'idéale aurait été que les chefs s'entendent au sommet mais si les chefs s'entendent contre vous, il vaut mieux qu'à la base les gens se mobilisent et se battent autour de leurs revendications », a notifié Mathurine Sossoukpè.
A.A.A
Le maire Rufino d'Almeida a rencontré ce jeudi 16 juillet 2020 à l'hôtel de ville de Bohicon les chefs quartier pour partager sa vision de développement. Il a échangé avec les chefs quartiers et sollicité le soutien de ces derniers.
Face aux chefs quartiers, le maire de Bohicon a énuméré ses premiers chantiers. Il s'agit entre autres de l'ouverture des voies, de l'identification des réserves administratives, de l'éclairage public et de la sécurité.
« Vous serez au cœur de tout », a-t-il déclaré.
Suivant les lois de la décentralisation, le maire a rappelé aux chefs quartier leurs rôles.
« Le premier policier dans un quartier, c'est le chef quartier. Pour la sécurité des biens et des personnes, vous devez signaler la présence de tout suspect », a affirmé Rufino d'Almeida.
Il a recommandé aux chefs quartier de tenir des conseils extraordinaires chaque mois en dehors des conseils ordinaires.
Le maire de Bohicon a aussi abordé la crise sanitaire du coronavirus au Bénin. Les chefs quartier sont appelés à sensibiliser les populations sur le respect des gestes barrières.
A.A.A