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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Réhabilitation des espaces verts: La pépinière d’El Hartoun renaît de ses cendres

Tue, 03/19/2019 - 15:27

Qui aurait cru un jour à la renaissance de cet espace vert, laissé à l’abandon, depuis des décennies? C’est aujourd’hui chose faite, il a fallu attendre l’année 2018 pour que des initiatives audacieuses soient prises, afin de réhabiliter les espaces verts du Grand Tlemcen.

Revenons un peu à l’histoire d’el Hartoun, qui a fait rêver toute une génération dans les années 60 et 70. Construit à la fin du 19e siècle (en 1884) par le Génie militaire de l’armée coloniale, cet espace était la chasse gardée des notables français, on organisait à l’époque beaucoup de cérémonies et de bals, lors des fêtes du calendrier grégorien.
La pépinière est restée intacte et bien entretenue au lendemain de l’indépendance, de même que le jardin public, qui surplombe le Grand Bassin.

Tous les lycéens des années post-indépendance se souviennent, avec une certaine émotion, de ce jardin, on se mettait en groupe pour préparer les examens du BEPC et des deux parties du bac, à l’ombre des platanes, qui s’élevaient haut dans le ciel de ce quartier Est de la ville. On peut avancer sans exagérer que la réhabilitation de la pépinière relève d’un vrai miracle et pour cause, lors de ces dernières décennies l’endroit était devenu un terrain vague, où tous les aventuriers se donnaient rendez-vous pour s’adonner à des beuveries et à des agressions en plein jour. Les choses se sont aggravées durant la décennie noire et des citoyens avaient même l’intention de vendre leurs maisons avoisinantes.

La récupération de cet espace public a redonné le sourire aux riverains et a même boosté la valeur de l’immobilier dans ce quartier résidentiel. La remise en valeur de ce «green lab», qui s’étend sur 5 hectares, a nécessité une enveloppe de 75 milliards de DA et abrite plus de 150 espèces de plantes et arbustes ; la municipalité de Tlemcen envisage de rénover aussi le laboratoire botanique pour le mettre à la disposition des étudiants pour la préservation du patrimoine floralies. A noter que l’irrigation se fait de manière automatique et fonctionne à l’énergie solaire.
Il reste bien entendu à préserver ce nouveau patrimoine pour les générations futures. Beaucoup de nostalgiques ont exprimé leur joie de redécouvrir l’endroit de leur jeunesse à Tlemcen, c’est le cas de Mehdi, résidant au canada, qui par la magie d’internet a pu «revisiter» ce qu’il comparait à l’époque à la «Promenade de Letang» d’Oran.

Beaucoup d’artistes, de poètes, de Medahhate sont passés par la pépinière, mais, s’il y a quelqu’un que les tulipes d’el Hartoun ont inspiré c’est bien le grand maître de la chanson oranaise, le défunt et inoubliable Ahmed Wahbi, qui avait un faible pour la capitale des Zianides : il suffit d’écouter l’une de ses chef-d’œuvre L’Ourit…l’Ourit.
Quand les premiers frissons commencent à déshabiller la nature, du côté d’El hartoun, c’est encore le printemps, tout est encore vert. ceux qui ont pris l’initiative de redonner une seconde vie aux espaces verts de Tlemcen ont eu la main heureuse. «Heureux, celui qui a planté un arbre avant de partir.» (V. Hugo).

M. Zenasni

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Le foncier agricole: L’avancée du béton, un phénomène qui prend de l’ampleur à Jijel

Tue, 03/19/2019 - 15:25

La wilaya de Jijel a perdu 1/3 de ses terres agricoles ces dernières années à cause d’un certain nombre de facteurs dont entre autres l’expansion urbanistique, l’exode rural des années 1990 et la prolifération des constructions illicites qui poussent comme des champignons sur des terres agricoles face au laxisme des services concernés, notamment les présidents de certaines Assemblées populaires communales qui voient en ces nouveaux occupants de ces terres comme un réservoir électoral pour leur réélection.

En effet, la superficie des terres agricoles de l’ensemble de la wilaya a enregistré une grande régression de 21 000 hectares en passant de 65 000 hectares durant la fin des années 1980 à 44 000 hectares actuellement, a-t-on appris auprès de certaines sources proches de la Direction des services agricoles . A cet effet, en dépit des instructions décrétées par les pouvoirs publics pour la protection et la sauvegarde du foncier agricole en vue de satisfaire les besoins alimentaires de la population, force est de constater que l’avancée du béton se poursuit toujours sur les plaines les plus fertiles de la wilaya. A cet effet, une simple virée dans les communes de Taher, Kaous, El Kennar, Djemaâ Beni Hebibi, nous renseigne de ce phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur.

Certains observateurs au fait de ce dossier, estiment que l’exode des populations des régions montagneuses au milieu des années 1990 est un facteur qui a contribué au rétrécissement des terres agricoles car ces personnes ont érigé leurs constructions illicites sur des terres agricoles limitrophes des centres urbains et aux communes côtières, fuyant la menace terroriste et l’isolement dont ils souffraient dans leurs hameaux d’origine dépourvus de nombreuses commodités vitales. C’est le cas des localités de Bazol, Djimar qui furent jadis de riches plaines de vignoble, Faza, Beni Ahmed qui comptaient un important nombre d’exploitations agricoles collectives et individuelles.
Actuellement, ces EAC et EAI font partie du passé car leurs terres sont envahies par une nuée de constructions illicites qui se poursuivent toujours, comme c’est le cas dans la localité côtière de Bazol relevant de la commune de Taher.

D’autre part, les pouvoirs publics au niveau local ont été contraints d’amputer des centaines d’hectares de terres agricoles pour l’implantation des équipements publics, des programmes de logements toutes formules confondues , notamment dans les communes côtières. A cet effet et en vertu du décret exécutif numéro 03/313 fixant les conditions et les modalités de restitutions des terres agricoles intégrées dans le tissu urbain et l’instruction numéro 15 datée du 6 décembre 2005 décrétée par le chef de gouvernement et portant l’extraction des terres agricoles situées en dehors du domaine urbain, l’instruction n° 2 du 12 mai 2013 du Premier ministre stipulant le déclassement des terres agricoles en vue de satisfaire les besoins nécessaires concernant la réalisation des projets publics de développement.

Ces actions ont permis l’exploitation de centaines d’hectares du foncier agricole pour la réalisation des équipements publics dont 400 hectares suite à une délibération de l’Assemblée populaire de wilaya et l’accord de la commission interministérielle chargée de l’extraction des terres agricoles.
A cet effet, la ferme pilote Adouane-Ali située à l’entrée de la ville de Jijel est un modèle type de ces extractions ces dernières années et dont 120 hectares ont été affectés pour la réalisation d’un nouveau pôle administratif abritant plusieurs directions de l’exécutif. Il convient de souligner par ailleurs que de nombreuses exploitations agricoles collectives et individuelles ont été détournées de leur vocation. Elles se sont transformées en parcs de matériaux de construction à l’image de celles se trouvant en bordure du chemin de wilaya D135 reliant Taher à Chekfa .

Selon certaines indiscrétions, un nombre non négligeable de ces exploitations ont été vendues par ces exploitants qui ont un droit de jouissance et non un acte de propriété. il y a lieu de souligner également que l’avancée du béton a amputé le périmètre destiné à l’irrigation des plaines de Kaous, Emir Abdelkader, Taher, El Kennar de plus de 700 hectares qui ont été affectés pour abriter le pôle universitaire de Tassout , une partie de la pénétrante autoroutière reliant Jijel à la ville d’El Eulma, à Zhun de Tassifet et la ferme Adouane-Ali.

Bouhali Mohammed Cherif

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Ali Haddad : « une réunion programmée pour fin mars au sein du FCE. »

Tue, 03/19/2019 - 15:17

 En guise de réponse à la demande de certains membres une rencontre s’est tenue aujourd’hui , mardi, au siège du FCE, d’après ce que indiqué sur le communiqué signé par Ali Haddad . Décidée par le président, une autre réunion concernant le conseil exécutif sera convoquée pour fin mars pour but d’approfondir le débat sur la conjecture que traverse le pays actuellement.


Par ailleurs, plusieurs sources indiquent que l’homme d’affaires dément toute rumeur parlant de sa démission de la tête du FCE, il dément ainsi les rumeurs faisant état de sa démission.

M.A.Y

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Vidéo : les étudiants de nouveau dans les rues d’Alger pour dire non au système

Tue, 03/19/2019 - 10:37

« Libérez l’Algérie », slogan principal des étudiants algériens qui poursuivent comme chaque mardi leur mobilisation nationale #Alger pic.twitter.com/J64B9zLtk5

— Khaled Drareni (@khaleddrareni) March 19, 2019

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Boxe/Championnat arabe (seniors messieurs): trois Algériens en demi-finale

Tue, 03/19/2019 - 10:36

KHARTOUM – Trois boxeurs algériens ont composté lundi leurs billets pour les demi-finales du championnat arabe des nations (seniors messieurs) qui se déroule du 18 au 23 mars à Khartoum au Soudan.

Il s’agit de Mordjane Oussama (56 Kg) qui a battu le Libyen Abdulmajid Mohamed et Kramou Chemsedine (69 kg), vainqueur face au Syrien Mothlej Laith, alors que Nemouchi Younes (75 kg) a pris le dessus sur le Libyen, Fatih Saad.

En revanche, Tarzoult Walid (60 kg) a été battu par le Marocain Adrar Reda, alors que  Benbaaziz Reda (64 kg) n’a pu continuer son combat devant le Soudanis, Tia Mohamed, suite à une blessure à l’arcade.

Mardi, Mohamed Flissi (52 kg) fera son entrée en lice face au Soudanais, Mohamed Ahmed,  Houmri Mohamed (81 Kg) sera opposé au Marocain, Maani Aypoub, alors que Chouaib Bouloudinats affrontera le Syrien, Mohamed Melias, pour le compte des demi-finales.

Les boxeurs Soltani Mohamed (49 kg) et Hamani Mohand-Saïd (91 kg) sont qualifiés directement en finale.

Dix boxeurs de la sélection algérienne seniors (messiers) prennent part au rendez-vous de Khartoum sous la  conduite du staff technique national, composé des entraîneurs Ahmed Dine, Boubekri Abdelhafid et Slimane Belounis.

La sélection algérienne avait décroché la première place aux Championnats arabes 2018 à Khartoum avec un total de sept médailles (5 or, 1 argent et 1 bronze).

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Argentine: Cordoba accueille le 8ème Congrès international de la langue espagnole

Tue, 03/19/2019 - 10:34

BUENOS AIRES- La ville argentine de Cordoba accueillera le 8ème Congrès international de la langue espagnole du 27 au 30 mars, avec la participation de plus de 200 écrivains, universitaires et experts du monde entier.

Ce conclave, qui aura pour thème « l’Amérique et l’avenir de la langue espagnole: culture, éducation et entrepreneuriat », fait partie d’une série de conférences internationales organisées par l’Institut Cervantes, l’Académie royale espagnole et l’Association des Académies de langue espagnole.

Ce congrès, dont l’ouverture sera marquée par la présence du président argentin Mauricio Macri et du Roi d’Espagne Felipe VI, enregistrera la participation de spécialistes du monde hispanophone, ainsi que de membres d’académies espagnoles, de présidents d’universités, de professeurs universitaires, d’éditeurs, de professionnels des médias, de traducteurs et d’hommes d’affaires.

Les participants à la conférence débattront de divers thématiques dont « L’espagnol, langue mondiale », « langue et littérature », « défis de la langue espagnole dans l’éducation au XXIe siècle », « l’espagnol et la révolution numérique » et « la compétitivité de l’espagnol en tant que langue de l’innovation et de l’entrepreneuriat ».

D’autres sujets seront au menu de ce conclave mondial tels que l’avenir de l’espagnol dans le monde ibéro-américain, la valeur économique de l’espagnol, les défis des industries culturelles, le tourisme linguistique, la traduction et l’enseignement de la langue et de la littérature espagnole.

Au programme de cette 8ème Conférence de la langue espagnole figurent également des hommages à Victor Garcia de la Concha, ancien directeur de l’Académie royale espagnole (1998-2010) et de l’Instituto Cervantes (2012-2017), du musicien espagnol Manuel de Falla en plus de tables-rondes sur les relations culturelles entre l’Amérique et l’Espagne lors du dernier siècle et d’autres activités culturelles et sociales.

Les précédentes éditions versions de la conférence avaient été organisées à Valladolid (Espagne, 2001), Rozario (Argentine, 2004), Carthagène des Indes (Colombie, 2007), Valparaiso (Chile, 2010), Panama City (2013) et San Juan (Porto Rico, 2016).

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Vidéo : les médecins manifestent devant le CHU Mustapha Bacha contre le système

Tue, 03/19/2019 - 10:24

Rassemblement des médecins prés du CHU Mustapha Bacha Alger. pic.twitter.com/yiIANUw4sU

— Info Trafic Algerie (@infotraficalg) 19 mars 2019

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Constantine – Début de distribution de 4.254 logements

Tue, 03/19/2019 - 10:18

A. E. A.

Les autorités de la wilaya entameront dès aujourd’hui, 19 mars, journée coïncidant avec la célébration de la Journée nationale de la victoire, la distribution de 4.254 logements de différents types, social et promotionnel aidé (LPA), et ce, au niveau de l’extension de l’UV n° 20 Ali Mendjeli, le pôle urbain Massinissa et aussi le pôle urbain Aïn Nahass.

Au programme aussi, l’attribution de 100 aides à l’habitat rural, localisées dans près de huit communes de la wilaya. Selon une déclaration du wali de Constantine, A. Saidoune, faite à la radio régionale, hier, «pour ce qui concerne le logement social, nous avons 1.460 logements destinés aux habitants de la commune de Constantine, dont la liste a été arrêtée le mois de mai dernier, en plus de 624 logements réservés à la commune d’El Khroub».

Il reste, fait-il savoir, une 3ème liste de 403 bénéficiaires, destinée aux habitants de cette commune (El Khroub), dont les travaux d’aménagements extérieurs et autres VRD ont connu des retards suite à un glissement de terrain, «mais je rassure les concernés qu’ils auront leurs clés après la finition des travaux», relève-t-il. Et d’affirmer, «nous avons décidé d’octroyer à ces derniers des décisions de pré-affectation et ce, à l’effet de rassurer davantage ces citoyens.

Il s’agira, enfin, en ce jour de la fête nationale de la victoire de ne pas non plus oublier la remise des clés de 20 logements, qui représentent la dernière tranche des 480 appartements, programme de logements de fonction dont a bénéficié le secteur de l’enseignement supérieur et des universités de la wilaya», conclut-il.

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ROHO la nouvelle chanson de Gnawa diffusion contre le pouvoir.

Tue, 03/19/2019 - 10:17

Après Soolking, L’Algérino, Amel Zen et plusieurs autres artistes Algériens qui n’ont pas hésité a exprimer leurs sentiments et même ressentiments envers la situation nationale actuelle et les événements qui  ont suivi la déclaration de candidature à un cinquième mandat. La liste s’élargit et le dernier a avoir usé de ses talents pour exprimer son soutien envers les manifestants c’est le groupe Gnawa Diffusion avec leur chanson « ROHO » une chanson qui demande tout simplement au pouvoir de partir.

Le clip en vidéo.

M.A.Y

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Cité Kouhil Lakhdar: Saisie de kif, deux arrestations

Tue, 03/19/2019 - 10:17

A. Z.

  Les éléments de la brigade de recherche et d’intervention ont arrêté ces derniers jours deux dealers au niveau de la cité Kouhil Lakhdar en possession d’une quantité de kif traité. Lors d’une ronde au niveau de ce quartier populaire, l’attention a été attirée par la présence d’un véhicule, stationné, à bord duquel se trouvaient deux individus, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya. Immédiatement, ajoute la même source, les policiers se sont rapprochés du véhicule suspect pour opérer un contrôle préventif, c’est alors que l’un des occupants a tenté de se débarrasser de la quantité de drogue qui était en sa possession. Laquelle quantité a été récupérée et la fouille des deux suspects permettra de découvrir des sommes d’argent et deux téléphones portables qui seront saisis.

Ainsi, près de 100 gr de kif traité ont été saisis, une somme d’argent évaluée à 44.000 dinars et deux téléphones portables.

Après l’accomplissement des procédures, les deux mis en cause, âgés de 25 et 30 ans, ont été présentés devant le procureur de la République territorialement compétent, indique le communiqué de la police.

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Plus de 8 milliards pour la réfection de 29 salles de soins

Tue, 03/19/2019 - 10:15

A.El Abci

A l’effet d’améliorer et humaniser les services de santé de proximité, à travers les mechtas et douars de la wilaya, plus de 8,5 milliards de centimes ont été dégagés pour réhabiliter 29 salles de soins, dont 5 situées dans la commune de Constantine et 3 dans celle d’El Khroub.

Selon le chef du service ‘Population’ à la direction de la Santé de la wilaya, Mohamed Daas, les travaux de réfection ont été lancés dans leur majorité et le reste sera touché très prochainement, les marchés ayant déjà été attribués à des entreprises spécialisées. La programmation des travaux a été faite de façon précise et détaillée, en fonction de ce que nécessite chaque salle de soins de la réparation des terrasses, l’étanchéité à la peinture et le ravalement des façades, la menuiserie, la vitrerie et la réfection de portes, etc.

Notre interlocuteur fera savoir également que ces 29 salles de soins ne font pas partie du patrimoine du secteur de la Santé, mais appartiennent plutôt aux APC, «même si nous aidons à leur exploitation et pas plus. Ainsi et à titre d’exemple nous ne pouvons pas y procéder à des investissements, et pour les réhabilitations actuelles, nous avons attendu que leur financement soit supporté par le budget de wilaya, en partie et des Plans communaux de développement (PCD) des différentes APC concernées.

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El-Tarf: Chute mortelle d’un ouvrier

Tue, 03/19/2019 - 10:14

A.Ouélaa

  Selon la Protection civile, un ouvrier en bâtiment, âgé de 45 ans, a trouvé la mort dans des circonstances tragiques hier vers 09h. Il a été victime d’une chute du 7ème étage d’un hôtel en construction à Sidi Belgacem, distante de trois kilomètres du chef-lieu de wilaya. La dépouille de la victime a été transportée vers l’EPH Hadi Bendjedid et une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du drame.

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Burkina Faso : 5 soldats tués dans deux explosions et un prêtre enlevé

Tue, 03/19/2019 - 10:14

Par Armel BAILY

A nouveau ciblé par les djihadistes, le Burkina Faso a été endeuillé au cours du week-end par la mort de cinq membres des forces de sécurité dans deux explosions à Kompienga, dans l’est du pays, et est sans nouvelles d’un prêtre burkinabè enlevé dimanche près de Djibo dans le Nord.

Le Burkina Faso, pays sahélien pauvre, est confronté depuis quatre ans à des attaques de plus en plus fréquentes et meurtrières, attribuées à des groupes djihadistes, dont Ansarul Islam, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (Gsim) et l’Etat islamique au grand Sahara (Eigs). D’abord concentrées dans le nord du pays, elles ont ensuite visé la capitale et d’autres régions, notamment l’Est. Ces attaques ont fait depuis 2015 plus de 300 morts, selon un comptage de l’AFP. Dimanche soir, «un véhicule militaire du CGA (Groupement central des armées), a sauté (sur une mine artisanale) dans la zone de Kompienga, tuant trois soldats», a déclaré à l’AFP une source sécuritaire.

Une autre source sécuritaire, jointe à Ouagadougou, a confirmé cette attaque, précisant que «la veille (samedi), un autre véhicule avait aussi sauté sur un engin explosif improvisé lors d’un ratissage». «Un gendarme et un militaire ont perdu la vie» lors de cette attaque, a indiqué cet officier, rappelant que «depuis début mars, l’armée mène une opération de sécurisation dans les régions de l’est et du centre». Baptisée Otapuanu (coup de foudre, en langue gulmacéma, parlée dans la région de l’Est), cette opération toujours en cours a conduit à «des neutralisations de terroristes et à la destruction de cachettes dans les forêts de la région», a indiqué la même source.

Un prêtre enlevé
Dans le nord du pays, un prêtre burkinabè a été enlevé dimanche près de Djibo. «L’abbé Joël Yougbaré, curé de Djibo, parti à Bottogui, hier dimanche 17 mars 2019, pour la messe, n’est pas rentré à Djibo jusqu’à cette heure. L’alerte a été donnée dès hier (dimanche) vers 20h30 (locales et GMT) mais nous restons sans nouvelles», a annoncé lundi l’évêque de Dori, Mgr Laurent Dabiré, dans un communiqué. «Il a vraisemblablement été enlevé par des individus armés aux environs de Sergosoma, vers 15H00, selon les témoignages des habitants», a indiqué une source sécuritaire jointe par l’AFP. «Des opérations de ratissage ont été menées» dès l’alerte mais «aucune trace de lui ou de son véhicule» n’ont été retrouvés.

Mi-février, un prêtre espagnol et quatre douaniers avaient été tués dans une attaque djihadiste dans l’est du Burkina, alors qu’au Niger voisin un missionnaire italien a été enlevé dans le Tillaberi en septembre 2018.
Deux enseignants, enlevés début mars sur l’axe Kongoussi-Djibo au Burkina, sont toujours portés disparus.

Etat d’urgence
Depuis le 1er janvier, l’état d’urgence a été décrété dans 14 provinces sur 45, accordant des pouvoirs supplémentaires aux forces de sécurité, dont celui de procéder à des perquisitions à domicile, de jour et de nuit. Le 24 février, l’armée burkinabè a assuré avoir tué une trentaine de «terroristes» lors d’une «opération terrestre et aérienne» contre des groupes djihadistes dans la région de l’est du pays. Début février, en riposte à une attaque qui avait tué 14 civils dans le nord, l’armée avait mené des raids terrestres et aériens dans trois provinces du nord, au cours desquels elle a affirmé avoir tué 146 djihadistes. Mais selon le Mouvement burkinabè des droits de l’Homme et du peuple, au moins 60 civils ont été exécutés sommairement en février par l’armée lors de ces opérations antiterroristes.

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Un jeune retrouvé pendu

Tue, 03/19/2019 - 10:13

Par A.O.

Dimanche vers 22h la ville de Besbès a été secouée par une tragique nouvelle. En effet, un jeune de 35 ans a été retrouvé pendu à une corde, dans le domicile familial, selon la Protection civile. La dépouille a été transférée vers l’EPH de Besbès et une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du drame.

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Rencontre avec Ammar Bouras et Adlène Meddi autour du Beau-livre «1990-1995 -Algérie, chronique photographique» Mémoire de décennie noire et résonnances actuelles

Tue, 03/19/2019 - 10:08

Sara Kharfi

«Que reste-t-il de la mémoire visuelle des années 1990 ?»  a été la question centrale de la rencontre de samedi dernier à la librairie L’Arbre à dires de Sidi-Yahia (Alger), animée par le plasticien et photographe Ammar Bouras et le journaliste et écrivain Adlène Meddi. Réunis pour évoquer le Beau-livre «1990-1995 -Algérie, chronique photographique», paru récemment aux éditions Barzakh,  et articulé autour de 144 photographies agencées chronologiquement, les deux compères ont évoqué le projet du livre, celui du retour en images sur une période où le cœur de la société n’a jamais cessé de battre.

Le retour du corps dans l’espace public à travers les manifestations et les marches qui se déroulent actuellement en l’Algérie apporte une autre dimension au beau-livre «1990-1995 -Algérie, chronique photographique» d’Ammar Bouras, qui a été présenté, samedi dernier à Alger, au cours d’une rencontre animée par le photographe et plasticien, et Adlène Meddi (qui a mené un entretien avec Ammar Bouras et signé un texte dans le livre). En effet, l’ouvrage en question, présentant des photographies réalisées avec un appareil argentique, évoque une période sur laquelle nous avons peu d’images, durant laquelle la société et ses individus ont continué à vivre et à espérer : des marches, des meetings politiques, des sit-in, mais aussi des rencontres culturelles et sportives et des scènes de la vie quotidienne «peuplent» cet ouvrage, qui dessine le portrait d’un monde qui n’existe plus… ou du moins, le croyait-on !

Ce monde-là est celui du mouvement, du «foisonnement», du mélange, de l’expression, de la «Khalouta» («dans le bon sens du terme», comme le confie Ammar Bouras à son ami Adlène Meddi dans l’entretien contenu dans le livre). Se voulant «un livre-document incontournable pour la mémoire et l’histoire», et qui devient un repère pour le temps présent, le beau-livre est né lorsque Adlène Meddi, comme il l’a raconté lors de la rencontre, «voulai[t] illustrer» son roman «1994» (éditions Barzakh) par «une des photographies de Bouras sur les années 1990». «Quand j’ai vu les photos d’Ammar dans son studio à Alger, poursuit-il, c’était un choc. Car il y a une chose qui est ressortie et qui frappe, c’est le dévoilement interne».

Les images ont installé chez l’auteur de «La Prière du Maure» «des sentiments contradictoires, une certaine nostalgie bizarre. Elles représentent [la période] du juste-avant, avant le basculement de ce monde qui avait totalement disparu». Adlène Meddi a également estimé que ces photographies sont «un support incroyable quand on pense aux conditions dans lesquelles elles ont été prises». En effet, pour lui, «aujourd’hui, il y a une facilité à prendre des photos, alors qu’avant, il fallait capter un moment dans le sens le plus profond du terme, c’est-à-dire ‘‘emprisonner’’ sur une pellicule rare et difficile à trouver», un instant, «un moment historique», des visages et des postures… De son côté, Ammar Bouras, a abordé des détails techniques, notamment le fait qu’«avant, la pellicule n’était pas accessible» et qu’il fallait faire preuve de «maîtrise».

Et d’évoquer sa démarche singulière sinon inédite de conserver ses négatifs, à partir du moment où il a commencé à travailler dans la presse (à «Alger républicain» notamment) alors qu’il était étudiant à l’Ecole supérieure des beaux-arts d’Alger. Un remarquable travail d’archives, sur la mémoire. Ammar Bouras a confié avoir scanné quelque «18 000 photos», et pour son livre, il a procédé à une sélection. Animé par «l’amour de la photographie» et par une recherche de la vérité des personnes et de l’instant, le plasticien a repris son appareil pour «photographier [le] moment historique» qui est en train de s’écrire aujourd’hui. Au présent.

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Rencontre-débat, aujourd’hui, à la librairie Chihab de Bab El Oued / «Travailler !», un ouvrage sur la situation socio-économique et politique du pays

Tue, 03/19/2019 - 10:06

Nadir Kadi

Les éditions Chihab convient le grand public à la rencontre-débat, organisée aujourd’hui à 14h30 à la librairie Chihab de Bab El Oued, pour la présentation de leur nouvelle publication à caractère social, économique et politique, intitulée «Travailler !».

Cet ouvrage collectif réunit, sous la conduite d’Amir Khan, les contributions de chercheurs, universitaires ou essayistes, dont Nassima Metahri, Nedjib Sidi Moussa ou encore Tin Hinan El Kadi et Ahmed Maiddi, et devrait également être l’occasion, nous précisent les organisateurs, d’aborder la situation que traverse le pays, marqué depuis un mois par une large contestation populaire du système politique en place.

Il nous rappelle que cet ouvrage collectif est publié dans le cadre de la collection «Nous autres, éléments pour un manifeste de l’Algérie heureuse», lancé voilà deux ans par la maison d’édition en faisant à chaque fois réagir des experts ou des personnalités nationales sur des questions touchant au présent et au devenir du pays. A ce propos, le directeur des éditions Chihab, Azzedine Guerfi, nous confie que la rencontre, programmée aujourd’hui, revêt un caractère particulier étant donné la situation du pays où «actuellement, le contexte est bien sûr particulier». Et «c’est bien le moment de se projeter dans l’avenir, de se poser la question de comment changer les choses, de s’interroger également sur ce qui ne va pas, sur ce qui n’a pas marché et pourquoi nous sommes bloqués».

Réflexion pour un manifeste de l’Algérie heureuse
Azzedine Guerfi souligne que cette période particulière est une opportunité d’échanger des points de vue sur l’avenir : «Aujourd’hui, cela fait un mois que tout le monde demande un changement et cette symbiose que l’on constate est extraordinaire, elle réunit toutes les tendances sans que ces différentes idéologies ne séparent les Algériens.»
Il nous explique en substance que, l’ouvrage collectif, intitulé, «Travailler !» entre dans le cadre d’une série d’ouvrages dont l’objectif est resté le même depuis deux ans, en précisant : «Nous avions ouvert une collection intitulée ‘Nous autres, éléments pour un manifeste de l’Algérie heureuse’ qui réunit des contributions de plusieurs intellectuels. Il s’agit de réflexions, de propositions d’idées sur les voies à suivre pour faire avancer l’Algérie.»

A propos de cette série, ayant déjà abordé la situation du pays au travers de plusieurs angles, il souligne que «nous sommes, aujourd’hui, au quatrième numéro. Le premier avait été une explication de la démarche, puis à chaque fois, nous avons abordé des thèmes réunis sous les titres ‘Penser’, ‘Aimer’ et maintenant ‘Travailler’». Quant au contenu de ce quatrième volume, que le public pourra découvrir cette après-midi, aux côtés des trois premiers numéros de la collection, il réunit, entre autres, précise la présentation faite par l’éditeur, les contributions de Tin Hinan El Kadi, qui «nous montre, de façon claire et documentée, la fabrication de mythologies culturalistes qui essentialisent les cultures des peuples au profit de la vision des dominants de l’heure», d’Amin Khan, qui revient plus spécialement sur l’aspect économique, ou encore de la regrettée Fatima Zohra Oufriha, dont le texte aborde notamment la place des femmes algériennes dans les sphères de l’économie et de la société».

Rencontre devant ainsi être animée par l’ensemble des contributeurs de l’ouvrage, qui rendront également hommage à leur consœur Fatima Zohra Oufriha, le directeur des éditions Chihab nous a, par ailleurs, précisé, hier, que le travail sur le cinquième volume était déjà lancé. «Nous allons également parler de la suite de la collection. Nous avons généralement deux numéros par an. Actuellement, nous travaillons sur plusieurs thèmes, le prochain pourrait être l’écologie, mais il sera également possible que nous parlerons de cette situation que vit le pays, en réunissant des contributions pouvant éclairer le public (…) Cela est, à mon sens, nécessaire, le système a tout fait pour que la jeunesse ne soit pas politisée.»

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Cinq ans après l’annexion : Poutine vante la «sécurité énergétique» apportée à la Crimée

Tue, 03/19/2019 - 10:02

Par Maria PANINA

Vladimir Poutine a inauguré, lundi, deux centrales électriques construites par la Russie en Crimée afin d’apporter la «sécurité énergétique» à cette péninsule ukrainienne, cinq ans après son annexion alors saluée par une majorité de Russes mais que Kiev et les Occidentaux continuent de dénoncer.

A Sébastopol, le grand port de Crimée sur la mer Noire, le président russe a assisté à une cérémonie pour le lancement d’une centrale et donné le coup d’envoi par visioconférence de celui d’une autre centrale à Simféropol, la capitale de la région. Les deux structures, dont les premiers blocs énergétiques ont été lancés en 2018, vont désormais «fonctionner à pleine puissance», s’est-il félicité, saluant «un pas important» vers le renforcement de «la sécurité énergétique de la péninsule». La Crimée était presque totalement dépendante du reste de l’Ukraine avant son annexion, et des coupures de courant attribuées par Moscou à des actes de sabotage ont poussé la Russie à investir massivement pour moderniser les infrastructures.

M. Poutine avait d’abord inauguré en grande pompe en mai dernier, au volant d’un camion, un pont de 19 km construit à grands frais pour relier la péninsule au territoire russe via le détroit de Kertch. «Le 18 mars est un jour remarquable pour Sébastopol, pour la Crimée et pour tout le pays», a souligné M. Poutine, qui doit prononcer un discours lors d’un concert à Simféropol dans la soirée. Des célébrations sont organisées dans toute la Russie pour l’anniversaire de l’annexion, conduite après l’intervention des forces spéciales russes suivie d’un référendum contesté par la communauté internationale. Elle répondait à l’arrivée au pouvoir à Kiev d’un gouvernement pro-occidental après le soulèvement du Maïdan. Le passage de la Crimée sous contrôle russe, acté le 18 mars 2014, est considéré comme un «rattachement» en Russie et dénoncé comme une «annexion illégale» par l’Ukraine et la majeure partie de la communauté internationale.

Cette décision a entraîné de lourdes sanctions européennes et américaines qui ont durement frappé l’économie russe. «La Crimée sera rendue à l’Ukraine. Nous ferons de notre mieux pour nous assurer que cela se fasse le plus rapidement possible, immédiatement après l’élection» présidentielle du 31 mars, a déclaré lundi le président ukrainien Petro Porochenko. En 2017 et 2018, les Etats-Unis et l’Union européenne avaient notamment décidé de nouvelles sanctions contre Moscou pour l’envoi en Crimée de turbines à gaz achetées par la Russie à l’entreprise allemande Siemens, un détournement «illégal» selon les Occidentaux. Ces sanctions «finiront par causer des dommages à tous», a commenté M. Poutine lundi.

«Sentiment de fraîcheur»
«Il y a un sentiment de fraîcheur, d’indépendance et de liberté», a affirmé à l’AFP Valentina Dorojko, une enseignante à la retraite de Simféropol. «Rien que ces cinq dernières années, la situation s’est largement améliorée», a renchéri une autre habitante, Marina Tichtchenko. Oleg Ivanov, un quadragénaire, regrette pour sa part les sanctions imposées par les Occidentaux sur la Crimée : «Il faut s’assoir, négocier et changer les choses». Vendredi, les Etats-Unis, en accord avec l’Union européenne, l’Australie et le Canada, ont infligé de nouvelles sanctions contre des responsables russes pour «la poursuite de leur agression en Ukraine».

A Bruxelles, l’Otan a dénoncé le renforcement «en cours» du dispositif militaire russe en Crimée et dans la région de la mer Noire. «Ces cinq dernières années ont été marquées par une ambiance de terreur, ouverte ou dissimulée, contre ceux qui habitent en Crimée, en violation du droit international», a affirmé à l’AFP le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Pavlo Klimkine. Les Tatars de Crimée, communauté musulmane locale majoritairement opposée à l’annexion de la péninsule, subissent notamment une forte pression de la part des autorités russes. Leur assemblée a été interdite et qualifiée d’»organisation terroriste», et la chaîne de télévision de cette minorité a été fermée par les autorités.

Vladimir Poutine, dont la popularité en Russie s’était envolée après l’annexion de la Crimée avant de retomber récemment, a écarté à maintes reprises toute restitution de la péninsule à l’Ukraine. Selon un sondage du Centre d’opinion publique (FOM) effectué début mars, seuls 39% des Russes estiment désormais que l’annexion a apporté à la Russie «plus de bien que de mal», contre 67% en 2014. Néanmoins, 49% des personnes interrogées jugent l’annexion «sans doute positive» et seuls 9% font part d’une appréciation négative.

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Soudan / Nouvelles manifestations à la veille des trois mois de contestation

Tue, 03/19/2019 - 09:52

Des Soudanais ont manifesté lundi dans la capitale Khartoum, selon des témoins, afin de poursuivre le mouvement de contestation enclenché le 19 décembre contre le régime du président Omar el-Béchir. «Liberté, paix, justice», ont scandé des foules de protestataires qui réclament depuis bientôt trois mois le départ de M. Béchir, l’accusant notamment de mauvaise gestion économique.

Ce dernier dirige le pays d’une main de fer depuis son arrivée au pouvoir par un coup d’Etat en 1989. Lundi, des manifestants ont protesté dans le quartier Bahari, dans le nord de la capitale, et dans la rue 60 à Khartoum, selon des témoins. La police a tiré des gaz lacrymogènes sur les contestataires défilant dans la rue 60, d’après les mêmes sources. Des étudiants ont également manifesté dans une université d’un quartier huppé de Khartoum, ont rapporté des témoins. «Qui a tué nos martyrs?», ont clamé les protestataires en se rassemblant dans la rue 60, a indiqué à l’AFP un témoin. Selon un bilan officiel, 31 personnes sont mortes depuis le 19 décembre. L’ONG Human Rights Watch (HRW) évoque le chiffre d’au moins 51 morts.

Le puissant Service national du renseignement et de la sécurité (NISS) mène la répression et a arrêté depuis décembre des centaines de manifestants, leaders de l’opposition, militants et journalistes, d’après des ONG. Déclenchées par la décision du gouvernement de tripler le prix du pain, les manifestations sont quasi quotidiennes depuis près de trois mois. Face à une contestation qui perdure, le président Béchir, 75 ans, a décrété le 22 février l’état d’urgence dans tout le pays. Depuis, les manifestations se sont raréfiées. Il a également instauré des tribunaux d’exception pour juger toute personne ayant violé l’état d’urgence.

«Le nombre de manifestants n’est pas très important ces derniers jours», a déclaré Sawsan Mohamed, 25 ans, qui a été condamné à deux semaines d’emprisonnement par un tribunal d’exception pour avoir participé à un rassemblement à Khartoum. «Je crois que la violence des forces de sécurité et l’absence de leaders sur le terrain tiennent à l’écart de nombreux protestataires», a-t-il poursuivi. Les manifestations s’étaient initialement répandues dans tout le pays.

Considérée comme le plus grand défi posé au pouvoir de M. Béchir depuis 30 ans, la contestation a pris ces derniers temps la forme de rassemblements hebdomadaires principalement à Khartoum et dans la ville voisine d’Omdourman. Le Soudan, amputé des trois quarts de ses réserves de pétrole depuis l’indépendance du Soudan du Sud en 2011, est confronté à une inflation de près de 70% par an et fait face à un grave déficit en devises étrangères.

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Ramtane Lamamra quitte ses fonctions de l’ONG International Crisis Group

Tue, 03/19/2019 - 09:52

Ramtane Lamamra fraîchement mis en fonction de vice premier ministre, démissionne de son poste de membre d’administration de l’ONG International Crisis Group (ICG) qu’il avait rejoint en juillet 2018, ceci d’après l’interview accordé du président de l’ICG, Robert Malley au journal Algérien Electronique TSA.

La cause principale de la démission, indique Robert Malley, sont les fonctions officielles du nouveau vice-président. Cependant le président de Crisis group n’a pas précisé quand M.Lamamra a exactement interrompu sa participation auprès du conseil d’administration de L’ICG.

Selon TSA, Lamamra n’aurait toute fois pas quitté les fonctions qui lui ont été accordés au sein de L’ONU et de l’union africaine.

M.A.Y

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