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Tunisie/élections: un collectif politique et citoyen « Qadiroun », appel à l’unification des forces politique

Mon, 03/18/2019 - 14:02

TUNIS – Une nouvelle initiative politique, progressiste et sociétale, baptisée « Collectif Qadiroun » a été lancée, dimanche, à Tunis, regroupant des partis politiques, des associations et des personnalités nationales, alors que les forces politiques ont été appelées à se réunir autour d’un « front électoral unifié » en prévision des prochaines échéances électorales, a rapporté l’agence de presse TAP.

Selon ses fondateurs, ce collectif se distingue de « l’aspect statique » des partis politiques, qui ont opté pour la centralisation du pouvoir.

D’après sa charte, Qadiroun est une initiative qui cible toutes les régions du pays et vise à former une large coalition politique et démocratique », apte à réussir les prochaines échéances électorales » en misant sur une action différente au sein de ses structures.

« La prise de décisions sera exercée d’une manière démocratique, loin des tractations politiques, sur la base d’un pouvoir décentralisé afin de permettre à chaque région de choisir son propre candidat aux législatives » selon cette charte.

Mohamed Ben Romdhane, coordinateur général du collectif, a indiqué que cette initiative a pour objectif de faire sortir le pays de la crise actuelle, précisant que « hormis le mouvement Ennahdha, le seul parti politique organisé et structuré, toutes les forces démocratiques sont dispersées ».

« Il faut admettre que le paysage politique actuel se caractérise par un déséquilibre », a-t-il lancé, ajoutant que ce collectif se présente comme une nouvelle alternative qui pourrait faire sortir la Tunisie d’une crise qu’elle n’a jamais connue au fil de l’histoire.

Ben Romdhane a affirmé que cette initiative regroupe actuellement entre 150 et 200 fondateurs, dont le parti Al Mostakbal (l’Avenir) présidé par Tahar Ben Hassine et le Mouvement démocratique conduit par Néjib Chebbi. Le parti Al Massar décidera de son intégration à cette coalition, après la tenue de son congrès prévu le 6 avril prochain, a-t-il ajouté.

Dans une déclaration à la presse, Néjib Chebbi a indiqué que « les partis politiques ne sont pas capables d’opérer un changement de manière individuelle », appelant « les partis politiques et sociétés civiles à se regrouper pour rééquilibrer la scène politique ».

M. Chebbi a en outre indiqué que le choix du candidat du collectif à l’élection présidentielle sera effectué à travers l’organisation d’élections préliminaires au sein de ses structures de l’initiative.

De son coté, Fathia Saidi, représentante du parti Al Massar dans le collectif a souligné, que cette initiative, contrairement aux précédentes, telles que l’Union pour la Tunisie et le Front du salut, a été élaborée dans le cadre d’une approche participative dont l’action émerge des bases.

Les forces politiques appelées à se réunir autour d’un « front électoral unifié »

D’autre part, le président du parti El Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa a exhorté « les forces politiques modernistes et progressistes à se réunir autour d’un front électoral unifié, qui constitue une alternative à la dispersion actuelle des partis ».

Lors d’un meeting populaire organisé dimanche à Sidi Bouzid, M. Jomâa a fait porter la responsabilité, aux parties concernées, n’ayant pas réussi à établir des consensus sérieux et rapides pouvant les regrouper autour d’une vision, d’un programme et d’une équipe de travail, afin de permettre à la majorité dans la société de devenir une majorité au pouvoir.

Il a indiqué que « la dégradation de la situation économique et sociale requiert d’un nouveau contrat national qui prend en compte la corrélation entre les dimensions juridiques, économiques et les droits sociaux outre la préservation des libertés et des acquis d’un état civil et démocratique ».

Jomâa a insisté sur le besoin de cette région de développer l’agriculture, le tissu industriel et les industries de transformation pour trouver des solutions au chômage des jeunes et renforcer les mécanismes de formation et d’encadrement selon les spécificités de développement de la région.

Le président du parti a évoqué, à cette occasion, « la dégradation des indicateurs économiques, et l’échec du gouvernement actuel à tenir ses promesses, notamment en matière des grandes réformes », soulignant que « la Tunisie a besoin aujourd’hui d’une alternative pour la reconstruction et la réforme ».

Il a, dans le même sillage, mis l’accent sur l’importance de s’appuyer sur des politiques susceptibles de mobiliser les investisseurs dans le secteur privé à travers la résolution des problèmes fonciers, la modernisation de l’infrastructure de base et le développement des services, pour faire de la région une locomotive de développement agricole en Tunisie.

Il a enfin appelé le gouvernement à « favoriser le bon déroulement des élections dans un climat de liberté et de transparence et garantir la neutralité de l’administration et l’indépendance des médias ».

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1e édition du court-métrage de la ville d’Ain Kebira: 28 œuvres créatives en lice

Mon, 03/18/2019 - 14:00

SETIF – La première édition du court métrage de la ville d’Ain Kebira (Nord de Sétif), placée sous le slogan « Jeunesse-éthique-créativité » s’est ouverte dimanche avec la participation de 28 œuvres créatives de jeunes amateurs venus de plusieurs wilayas du pays.

S’exprimant en marge de la cérémonie d’ouverture de cet événement culturel, dans la salle de cinéma Rabah Bitat de la même ville, Driss Kadideh, directeur artistique de ces journées nationales du court métrage et également directeur de l’Institut national de l’audiovisuel, a affirmé que cette édition, s’étalant sur trois jours, verra la participation de 28 jeunes amateurs d’audiovisuel, dont les quatre premiers lauréats recevront des prix oscillant entre 40 000 à 100 000 DA.

Ce même responsable a souligné, à ce propos, que cet événement a été organisé par l’Office des établissements de jeunes (ODEJ) et la Ligue des activités scientifiques et culturelles de la wilaya de Sétif, en coordination avec l’association locale « Maison de jeunes », et ce, dans le cadre des célébrations commémorant la fête de la victoire (19 mars).

Il a ajouté que les œuvres participant à cette édition sont des courts métrages de fiction d’une durée variant de 2 à 24 minutes, consacrés à divers sujets en rapport avec la jeunesse et la société, à l’instar des deux œuvres projetées à l’ouverture de cette première édition et qui traitent notamment des droits de l’enfant bafoués durant la guerre.

Il s’agit de « Zamen Erramed » (le temps des cendres) du réalisateur Farid Saifi de Biskra, d’une durée de 5 minutes, et « Essajine » (le prisonnier) du réalisateur Djamel Eddine Zerari de Bouira, dont le court métrage se penche sur la vision négative de la société à travers le mariage d’un jeune homme aux besoins spécifiques.

Selon M. Kadideh, l’événement compte également deux ateliers de formation, le premier ouvert au grand public, encadré par un spécialiste qui abordera les principes préliminaires d’une œuvre audiovisuelle, alors que le second, dédié aux participants et encadré également par un spécialiste, vise à « corriger les idées préconçues du travail cinématographiques ».

Dans un court métrage de 20 minutes, l’un des plus longs de cette manifestation, intitulé « Essiraâ » (le conflit),Houssam-Eddine Ossmani de Sétif, a traité, pour sa part, de la déviance de la jeunesse à travers l’histoire d’un jeune homme jouant au football, en tant que gardien dans un club populaire et qui se retrouve exposé durant une période de passage à vide, à la pression des supporters.

Contraint d’arrêter le sport, il sombre dans les abîmes de la déviance avant d’en être extrait par certains des personnes bienveillantes.

De son côté, le directeur de la jeunesse et des sports de la wilaya, Aziz Tahir, a estimé que cet événement, qui constitue une occasion pour les jeunes amateurs de mettre en valeur leurs compétences dans le domaine, a pour objectif de les encadrer et les former, en sus de créer une atmosphère compétitive parmi les participants et de développer leurs talents en les accompagnants dans la production audiovisuelle et cinématographique, mais aussi en encourageant les échanges d’expériences.

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Coupe d’Algérie Handi-basket (Dames): 13e trophée pour Ouargla, une suprématie nationale confirmée

Mon, 03/18/2019 - 14:00
L’équipe féminine de handi-basket de la wilaya de Ouargla a confirmé sa suprématie nationale en décrochant sa 13e Coupe d’Algérie consécutive en battant Nadi El-Eulma (49/34) jeudi à Staouéli (Alger). «Cet exploit confirme une fois de plus la disposition des joueuses de s’imposer à l’échelle nationale et leurs capacités de relever les défis auxquels elles font face, dont l’infirmité et spécificités sociales marquant les régions du sud du pays», a indiqué l’entraîneuse, Djamila Khamgani. «L’équipe détient un riche palmarès orné de grands exploits nationaux et internationaux depuis sa première participation en 2005 pour s’installer, à la faveur du travail et de la persévérance, pendant dix ans en haut du podium, sacrée championne d’Algérie, championne d’Afrique à deux reprises, 2016-2017, et une qualification au championnat du monde de 2018 en Allemagne», a rappelé la même responsable.

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Cyclisme – Tour de Mauritanie sur route: Nos juniors en lice

Mon, 03/18/2019 - 13:57

La sélection algérienne de cyclisme, juniors, est depuis samedi à Nouakchott pour prendre part au Tour de Mauritanie de cyclisme sur route qui se déroulera du 19 au 24 mars.

Encadrée par le coach national, M. Abdenour, qui a retenu six cyclistes pour défendre les couleurs nationales, notre sélection ambitionne de réaliser de bons résultats devant les huit nations et quatre clubs locaux participants. Notre sélection nationale juniors est composée de Seddik Benganif, Ayoub Sahiri, Youcef Boukhari, Youcef Boudhar, Zaki Farsadou et Hamza Amari. Ce Tour de Mauritanie se déroulera en cinq étapes.

Ah. A.

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Tennis: Federer espère que «ce n’était pas (sa) dernière chance de jouer contre Nadal»

Mon, 03/18/2019 - 13:55

Roger Federer a fait part samedi à Indian Wells de sa déception de ne pas avoir pu affronter son grand rival Rafael Nadal en demi-finale: «J’espère vraiment que ce n’était pas notre dernière chance de jouer l’un contre l’autre», a-t-il confié. «C’est un drôle de sentiment, je suis bien sûr content d’être en finale, mais je ne voulais pas arriver en finale comme ça, sur un forfait de Rafa», a déclaré Federer, qualifié pour sa cinquième finale de suite dans le tournoi californien.

La demi-finale du Masters 1000 d’Indian Wells aurait dû être le 39e affrontement entre deux des meilleurs joueurs de l’histoire. Mais Nadal, qui mène 23 victoires à 15 au bilan de leurs confrontations, a déclaré forfait en fin de matinée à cause d’une blessure au genou droit. «On m’avait dit qu’il s’était bien échauffé et qu’il frappait super fort. Mais il m’a envoyé un SMS pour me dire qu’il ne pourrait pas jouer (…) C’est vraiment décevant, car je joue bien, il jouait bien lui aussi, sans doute son meilleur tennis depuis longtemps, mais il connaît bien les douleurs au genou et s’il avait pu jouer, il l’aurait fait», a souligné le n°4 mondial.

«On a tellement eu de matchs épiques, je suis conscient que chacun de nos duels pourrait être le dernier. J’espère vraiment que ce n’était pas notre dernière chance de jouer l’un contre l’autre», a reconnu le vainqueur de vingt tournois du Grand Chelem. Federer, 37 ans, et Nadal, 32 ans, ne se sont plus retrouvés face à face depuis la finale du Masters 1000 de Shanghai en octobre 2017. Le Suisse a remporté leurs cinq derniers affrontements.

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Tebboune, le retour ?

Mon, 03/18/2019 - 13:53

Le renforcement de l’équipe chargée de la sécurité de l’ancien Premier ministre Tebboune a très vite fait réagir les internautes à travers les réseaux sociaux.
Pour de nombreux internautes, le renforcement de sa protection rapprochée est synonyme de son retour aux affaires.

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Gestion des affaires courantes dans les ministères: Allô, il y a quelqu’un ?

Mon, 03/18/2019 - 13:51

Le dernier gouvernement Ouyahia restera sans doute dans les mémoires, mais pas pour les plus glorieuses des raisons. Un exécutif bien parti, en effet, pour figurer dans l’Histoire pour avoir été celui des discours plus que des actes concrets pour le bien public.

Tout compte fait, l’acte majeur dont se remémorera le commun des Algériens restera cette trouvaille dont les effets pourraient lourdement impacter le quotidien des ménages dans les tout prochains mois : le recours à la planche à billets. En attendant, tout donne l’impression que la vie dans les institutions s’est arrêtée, la gestion des affaires courantes se résume à sa plus simple expression tellement l’état des lieux que l’on brosse de l’activité, par exemple, au sein des ministères interpelle. Si l’on doit se fier à des sources, depuis la signification de sa fin de mission à Ahmed Ouyahia, une situation pour le moins bizarre, pour ne pas dire surréaliste, a lieu.

Des ministres sont ainsi donnés certes pour présents mais, comme qui dirait, perdus et donnant l’impression qu’ils ne sont sur les lieux juste parce qu’ils sont «obligés», parce qu’ils sont encore chefs de départements ministériels jusqu’à suivre le même destin que celui réservé à Ahmed Ouyahia. Plus de sorties sur le terrain pour louer le bilan du Président, plus d’assurances en veux-tu en voilà, comme on en a été servi depuis des mois.

Plus encore, selon d’autres sources, des ministres ne sont même plus sollicités par leurs proches collaborateurs, désormais condamnés à assurer la gestion des affaires courantes. Une situation inédite que l’on doit sans doute à cette certitude, à une ou deux exceptions près comme on le spécule ici et là, qu’aucun des ministres d’Ouyahia ne sera reconduit ni sera reconduit à son poste ni dans un autre. Encore faudrait-il que l’un d’eux accepte de repartir au charbon dans ces moments où il ne fait pas très bon être proche des «décideurs».

Il y a tout lieu de craindre que la décision du président de la République de «sacrifier» Ouyahia et son équipe, pour amortir autant que faire se peut la colère du peuple, aboutisse à une situation qui ne ferait qu’ajouter à la confusion au sommet de l’Etat. Parce qu’elle se fait de plus en plus insistante cette information faisant état de l’indisponibilité d’un tas de potentiels ministrables en d’autres temps, autrement plus sereins, à prendre le risque de répondre aux sollicitations du tout frais Premier ministre.

Azedine Maktour

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Consultation avec Bedoui: Les praticiens de santé publique rejettent l’invitation

Mon, 03/18/2019 - 13:49

Le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP) a également rejeté l’invitation du Premier ministre à des consultations.

« Nous ne pouvons pas répondre à cette invitation car elle est en contradiction absolue avec l’appel du peuple. Nous voulons une rupture complète avec cette gestion qui a caractérisé ce gouvernement depuis des décennies. Nous disons oui pour un renouveau et ça doit passer impérativement par des personnes de confiance qui vont mener à une période de transition », a déclaré Lyes Merabet, président du SNPSP.

La corporation, dit-il, ne peut pas oublier ce qu’elle a vécu comme entraves et répression, du temps de monsieur Bedoui à la tête du ministère de l’Intérieur. Selon lui, « du sang a coulé et des médecins, notamment avec la grève des résidents, ont été matraqués et embarqués, nous ne pouvons pas tourner le dos à cette réalité et aller à ces consultations ».

S. A.

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La rue réclamant sa mise au musée: Le FLN face à ses vieux démons

Mon, 03/18/2019 - 13:47

L’insurrection citoyenne née le 22 février dernier révèle, entre autres, un parti du Front de libération nationale qui n’est, finalement, que l’ombre de lui-même ; un appareil complètement coupé de sa base militante.

M. Kebci – Alger (Le Soir) – Triste sort que celui du parti FLN dont le dernier secrétaire général en date prenait plaisir à narguer, presque quotidiennement, tout le monde, affirmant à tue-tête et fièrement que l’ex-parti unique se confondait avec l’Etat et qu’il sortira vainqueur dans les élections y compris à l’horizon 2034. Et son successeur, en manque d’arguments pour appuyer l’option du 5e mandat présidentiel à l’origine de la révolution tranquille née le 22 février dernier, fera «mieux» puisqu’il a été jusqu’à comparer le désormais ex-Président-candidat à sa propre succession au dernier des prophètes.

Un parti FLN qui est en train d’endurer certainement la plus sombre page de son histoire avec une rue qui ne cesse de réclamer son placement au musée. Avec également une base qui ne cesse de manifester ouvertement son hostilité à la direction et des démissions en cascade de militants, de cadres et d’élus nationaux et locaux. Alors que les militants de base sont nombreux à être des manifestations hebdomadaires récusant la prolongation du mandat présidentiel et exigeant clairement le départ du système en place et dont leur parti sert de principale vitrine politique, la direction du FLN s’entête à s’agripper à la feuille de route du cercle présidentiel. Un «écart» de conduite qui, s’il venait à persister, aggraverait davantage la crise au sein d’un parti étêté du sommet à la base avec la dissolution du bureau politique, du comité central et des structures intermédiaires.

Ce qui rend inconfortable la position du coordinateur national du parti dont la tête semble être désormais en jeu avec des velléités de nombre d’anciens membres du bureau politique et du comité central de le débarquer de son poste. Pas plus loin qu’hier dimanche, des mouhafedhs se sont retrouvés à Bouira avec comme objectif la convocation d’une session extraordinaire du comité central pour élire un nouveau secrétaire général du parti. Il se serait agi également de se démarquer de la position du parti à l’égard du mouvement populaire du 22 février dernier.

Tout ce beau monde accuse Moad Bouchareb de vouloir préparer un congrès extraordinaire sur mesure en mai prochain dans le but de redonner un second souffle à l’ex-parti unique et prendre part à la conférence nationale inclusive que propose le Président sortant et que récusent totalement la rue et l’opposition dans tous ses compartiments.
Cette perspective de redonner une autre vie au parti à travers un autre habillage semble ardue, comme ce fut le cas au lendemain des événements d’Octobre 1988 à l’origine de la «brèche démocratique» de février 1989. Mais les deux contextes sont totalement différents avec l’émergence, cette fois-ci, de nouvelles générations à l’origine de l’insurrection en cours, qui récusent la légitimité historique dont se réclament encore les caciques de l’ex-parti unique dont les promesses de renouvellement et d’adaptation à ces nouvelles donnes ne convainquent plus personne, ou presque.

M. K.

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Vidéo : les travailleurs du secteur de la formation professionnelle protestent « dégage Nacer »

Mon, 03/18/2019 - 12:38

12h06 Grande-Poste d’#Alger
Les travailleurs du secteur de la Formation professionnelle crient « Dégage Nacer », allusion au frère du président qui occupe les fonctions de Secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle pic.twitter.com/atJvN0HKO2

— Khaled Drareni (@khaleddrareni) 18 mars 2019

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Plusieurs appels à marcher sont lancés – 19 Mars : le peuple va s’approprier la “Fête de la Victoire”

Mon, 03/18/2019 - 12:03

La journée de demain, 19 Mars, date hautement symbolique, représentant la Fête de la Victoire, jour du cessez-le-feu, en 1962, de la Guerre d’Algérie, s’annonce riche en manifestations contre le système. Si les étudiants ont déjà pris l’habitude de battre le pavé chaque mardi, depuis le début des grandes marches des vendredis, demain, ils seront rejoints par d’autres catégories de la société.

Parmi celles-ci, il y aura, entre autres, les corporations des praticiens de la santé publique et des médecins résidents. Dans un communiqué rendu public, le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) a, en effet, appelé l’ensemble des résidents à se joindre aux marches des étudiants, demain,
à travers tout le territoire national. “L’ensemble des résidents est invité à se joindre, en blouse blanche, à leurs confrères étudiants en médecine pour participer à la marche du mardi 19 Mars, qui représente une date fortement symbolique”, a écrit le Camra, se réclamant, cette fois-ci, plutôt du front populaire opposé à la prolongation du mandat du président Bouteflika et contre le système en général.

Le collectif laisse, ainsi, de côté les revendications corporatistes. Idem pour la corporation des médecins qui appelle à des rassemblements dans les CHU des grandes villes et les hôpitaux des chefs-lieux des wilayas. Dans la capitale, le grand rassemblement est annoncé au CHU Mustapha-Pacha. Dans un communiqué signé par le Conseil national de l’ordre des médecins et le Syndicat national des praticiens de santé publique (Snpsp), rendu public hier, la corporation des médecins précise qu’elle ne sortira pas pour des droits socioprofessionnels, mais plutôt pour apporter son appui et son soutien aux revendications “légitimes” portées par la voix du peuple.

Autrement dit, rappelle-t-on, pour dire “non à la prolongation du 4e mandat présidentiel”, “oui pour une rupture avec le mode de gestion actuelle des affaires du pays”, ou encore “oui pour la concrétisation des aspirations du peuple algérien et de la jeunesse pour un État souverain, libre et démocratique”. Les signataires du communiqué, qui exigent le port de la blouse blanche à l’ensemble des manifestants, précisent que les rassemblements sont prévus à partir de 10h dans les établissements hospitaliers d’où, d’éventuelles marches pourraient s’ébranler. L’itinéraire de ces dernières, souligne-t-on dans le même communiqué, est laissé à l’appréciation des organisateurs de chaque établissement. Plusieurs autres appels anonymes sont, par ailleurs, lancés, à ce titre, via les réseaux sociaux.

Ce qui devra inciter à la mobilisation de bien d’autres catégories de la société. La prise de conscience des citoyens est aujourd’hui telle qu’il faudra s’attendre à une large mobilisation à travers toutes les wilayas du pays. La date symbolique célébrant la Fête de la Victoire devra, sans doute, encourager davantage de citoyens à battre le pavé pour
se libérer, cette fois, du joug du système en place. En effet, il s’agit bien d’une seconde autodétermination pour la fondation d’une deuxième République.

Farid Abdeladim

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Ils étaient encore des milliers hier à la place de la république: Les Algériens de France veulent le changement maintenant

Mon, 03/18/2019 - 12:01

Les manifestants ont également ciblé le président français lui reprochant son soutien à Bouteflika.

“Abdelaziz Macron soutient un coup d’État constitutionnel contre le peuple algérien.” La pancarte est bien mise en évidence sur le monument éponyme qui surplombe la Place de la République, à Paris, où des milliers d’Algériens — plus de 10 000 selon les organisateurs — se sont rassemblés.

Le message est clair. Il est adressé au président français qui a promptement “salué”, la semaine dernière, la décision de son homologue algérien de reporter l’élection présidentielle et de se maintenir au pouvoir pour gérer la transition.
“Macron agit selon une logique coloniale. Il cautionne un pouvoir inféodé qui sert les intérêts de la France et asservit les Algériens”, dénonce Rachid, au milieu d’une foule immense.

C’est la quatrième fois depuis le 19 février dernier, que le jeune ingénieur manifeste à République. “Je reviendrai s’il le faut cent fois, jusqu’à ce que ce régime tombe”, fait-il savoir, résolu.
La même détermination transparaît dans une belle brochette de post-it, collés sur un panneau. “Le gang qui a fait main basse sur la République algérienne va partir. Il partira”, “Nous demandons un changement radical”, “Le peuple est plus fort que le pouvoir”, ont écrit des mains anonymes en français, en arabe et en tifinagh. De grandes feuilles blanches alignées sur le sol ont également servi à transcrire les revendications des manifestants.

Contrairement aux rassemblements précédents, les protestataires ne se sont pas contentés, cette fois, de scander des slogans. Ils ont aussi exprimé des propositions sur l’organisation de la transition politique en Algérie. Des stands installés notamment par Jil Jadid Europe ont servi de lieux de discussion et d’échanges. “Nous ne devons pas nous faire voler notre victoire sur le régime. Il faut nous organiser pour entériner le changement”, souligne Salima, militante associative. Après avoir quitté l’Algérie dans les années 90, forcée à l’exil par le terrorisme, elle s’imagine aujourd’hui de retour.

“Je voudrais prendre part à la reconstruction du pays, à la réalisation de tous les rêves qui nous ont été confisqués, voir les femmes et les jeunes libres de prendre leurs destin en main”, se projette la manifestante.
Mouloud souhaite voir ses enfants qui l’ont accompagné, renouer un jour avec la terre de leurs aïeux, y vivre et y apporter, une fois grands, leur savoir et leur expertise. “L’Algérie m’a formé, mais elle ne m’a pas donné, à moi, la chance de construire un avenir. Eux le feront peut-être”, espère notre interlocuteur.
Jamais sans doute, le lien des Algériens — expatriés en France — avec leur pays n’a été aussi perceptible. À République, les clameurs et les chants ont fait vibrer la fibre patriotique des manifestants qui, tard dans l’après-midi, avaient encore du mal à quitter la place.

Comme d’habitude, le rassemblement s’est distingué par une organisation infaillible. Il a été un modèle de civisme dans la capitale française, marquée la veille par les manifestations violentes des Gilets jaunes.
Des jeunes avec des brassards ont veillé au grain, empêchant les manifestants de déborder sur la chaussée. Certains portant des gilets ont été placés au milieu de la rue pour faire la circulation, à la place des agents de l’ordre.
“Macron, ne t’occupe pas de l’Algérie, occupe-toi des Champs-Élysées”, se sont d’ailleurs moqués des Algériens sur une pancarte. Il est à noter qu’une délégation de binationaux doit rencontrer, aujourd’hui à l’Élysée, des conseillers du président français. Elle souhaite aussi s’entretenir avec lui pour lui demander d’arrêter de cautionner le régime algérien et d’être plus attentif aux revendications du peuple.

À Paris, ces revendications seront de nouveau exprimées dimanche prochain, au cours d’un énième rassemblement. Le comité d’organisation formé d’une dizaine d’associations de l’émigration devra se réunir, demain, mardi, pour esquisser les contours du prochain rassemblement.

S. L.-K.

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Pays-Bas: Plusieurs blessés dans une fusillade à Utrecht

Mon, 03/18/2019 - 11:57

Plusieurs personnes ont été blessées ce lundi dans une fusillade dans un tramway dans la ville néerlandaise d’Utrecht, a annoncé la police. Les autorités ont déployé une unité antiterroriste sur les lieux, selon les médias locaux.

A shooting occurred on the #24oktoberplein in #Utrecht. The incident has been reported at 10.45 hour. Multiple people have been injured. The surrounding area has been cordoned off and we are investigating the matter.

— Politie Utrecht (@PolitieUtrecht) 18 mars 2019


« Fusillade sur la place du 24 octobre. Plusieurs blessés signalés. Une opération de secours est en cours », a déclaré la police dans un tweet. Selon les premières constatations, il s’agit « d’une fusillade dans un tramway » et que plusieurs hélicoptères médicaux ont été déployés.

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Libye : l’armée libère des otages dans le sud du pays

Mon, 03/18/2019 - 09:57

L’armée libyenne a annoncé avoir libéré plusieurs otages kidnappés par des hommes armés dimanche dans le sud du pays, ont rapporté lundi des médias locaux.   

« Une mission de combat a permis de tuer trois mercenaires, d’en capturer deux autres, et de libérer un certain nombre d’otages », a déclaré Miloud al-Zwai, porte-parole des forces spéciales de l’armée libyenne, ont ajouté les mêmes sources.

« Les hommes armées en question étaient impliqués dans des meurtres et des vols à main armée dans la région », ont poursuivi les mêmes sources.

Les forces armées, sous contrôle du maréchal Khalifa Haftar, a réussi à reprendre le contrôle de la majeure partie du sud de la Libye depuis le lancement d’une opération de lutte contre la criminalité à la mi-janvier.

Samedi, un policier libyen a été tué et un autre blessé dans une attaque dans la ville de Sabha, au sud de la Libye, a déclaré une source proche des forces de sécurité.

Des hommes armés à bord d’un véhicule ont tiré aveuglément sur le commissariat de police de la ville, tuant immédiatement le policier, a déclaré la source citée par des médias locaux.

Deux des quatre hommes armés ont été arrêtés. Le mobile de l’attaque n’est pas encore connu, selon la même source.

L’armée libyenne a pris en janvier dernier le contrôle de Sabha, la plus grande ville au sud de la Libye.

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Saisie de plus de trois quintaux de kif traité à Béchar

Mon, 03/18/2019 - 09:55

 Une importante quantité s’élevant à 315 kg de kif traité a été saisie dimanche par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), lors d’une opération menée dans la localité frontalière de Béni Ouenif, dans la wilaya de Béchar, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).  

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et lors d’une opération de qualité menée dans la localité frontalière de Béni Ouenif, wilaya de Béchar (3e RM), un détachement de l’Armée nationale populaire a saisi, aujourd’hui 17 mars 2019, une quantité considérable de kif traité s’élevant à trois (3) quintaux et quinze (15) kilogrammes de kif traité chargée à bord d’un véhicule tout-terrain, ainsi qu’une paire de jumelles », précise le communiqué.

« Cette opération de qualité vient s’ajouter à l’ensemble des opérations ayant permis de mettre en échec des tentatives d’introduction de ces poisons dans notre pays, et dénote de la permanente vigilance et l’entière disposition des Forces de l’ANP mobilisées le long des frontières nationales », souligne la même source.

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Sa participation à la CAN-2019 n’est pas remise en cause: M’bolhi absent un mois et demi

Mon, 03/18/2019 - 09:53

Par Mohamed BENHAMLA

Au moment où les spéculations allaient bon train concernant la participation du portier algérien en phase finale de la CAN-2019 en Egypte, la presse saoudienne est venue mettre un terme aux rumeurs.

Sorti sur blessure lors de la rencontre de son équipe, Al Ittifaq, face à Al Shabab (1-1) dans le championnat saoudien, le gardien de but algérien, Raïs M’bolhi, souffre d’une fracture du doigt. Une situation qui a forcé le sélectionneur algérien, Djamel Belmadi, à se passer des services de son portier pour les deux matchs face à la Gambie, le 22 mars prochain, en éliminatoires de la CAN-2019, et pour le match amical face à la Tunisie, quatre jours plus tard. Au moment où les spéculations allaient bon train concernant sa participation en phase finale de la CAN-2019 en Egypte, la presse saoudienne est venue mettre un terme aux rumeurs.

Hier, l’on apprend que M’bolhi sera absent pour «seulement» un mois et demi, ce qui ne compromet, donc, pas sa participation au tournoi continental. Il devrait, de ce fait, reprendre la compétition avec Al Ittifaq avant même la fin de la saison en cours. Des informations qui ont soulagé au plus haut point Belmadi, lequel mise sur son expérimenté dernier rempart en Egypte, là où il (Belmadi) veut atteindre au moins le dernier carré. Certes, d’autres gardiens se trouvent en pleine forme actuellement avec leurs équipes respectives, à l’image des trois retenus pour le prochain stage, à savoir Azzedine Doukha, Mustapha Zeghba et Alexandre Oukidja, mais toujours est-il que M’bolhi reste le numéro un par excellence et sa présence en Egypte sera d’un apport considérable pour les Verts.

Belmadi espère, dans le même sillage, avoir de bonnes nouvelles concernant un autre élément blessé de son équipe, à savoir le défenseur central du RC Lens, Mehdi Tahrat. Victime d’une grave blessure au ligament latéral interne du genou droit, le joueur en question est toujours en convalescence et rien n’est encore communiqué d’une manière officielle concernant la date de son retour. Lors des deux prochaines rencontres, Belmadi devrait essayer de nouvelles variantes dans l’axe défensif pour parer à toute mauvaise nouvelle. Dans le cas d’un forfait confirmé de Tahrat pour la prochaine CAN, Belmadi devrait compter sur la paire Mandi – Bensebaïni. A trois mois du tournoi continental, tout peut arriver et le driver des Verts ne va pas se précipiter, voulant prendre le temps qu’il faut pour ne regretter aucun choix.

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Ligue des champions d’Afrique – en dépit de l’élimination en phase des poules: La JS Saoura sort la tête haute

Mon, 03/18/2019 - 09:51

Par Mohamed BENHAMLA

Le travail réalisé jusque-là sous la direction de Mohamed Zerouati doit continuer et tout le monde est unanime à dire qu’il faudra réitérer la confiance en l’entraîneur Karim Zaoui.

La JS Saoura n’a pu emboîter le pas au CS Constantine pour se qualifier en quarts de finale de la Ligue des Champions d’Afrique. Avant la 6e et dernière journée du groupe D de la phase des poules, les Sudistes occupaient la première place et n’avaient besoin que d’un point en déplacement chez Al Ahly pour valider leur billet. Mais loin s’en faut, ils ont été sévèrement corrigés au stade Borg Al Arabe à Alexandrie (0-3) au moment où les Tanzaniens du FC Simba ont pris le meilleur sur les Congolais de l’AS Vita club (2-1). Egyptiens et Tanzaniens sont les deux heureux qualifiés de ce groupe.

Dans ce derby nord-africain, l’attaquant d’Al Ahly, Marouane Mohsen, a donné le ton dès la première mi-temps, en signant un doublé (30′ et 45’+2) avant que Hussein Al Shahat ne signe un troisième but à la 81′. Malgré cela, l’espoir de qualification pour les Algériens avait persisté jusqu’à la 90′, car le résultat dans l’autre match leur était encore favorable. Il faut savoir que même en cas de défaite au Caire, le plus important pour les Algériens était qu’aucun des deux autres concurrents ne l’emporte et c’est ce qui fut le cas jusqu’à la 89′, puisque les Tanzaniens de Simba étaient toujours tenus en échec par l’AS Vita Club (1-1). Ce dernier avait ouvert le score par Kassongo (13′) et Simba avait attendu la 36′ pour égaliser, grâce à Mohamed Husseini (36′).

Jusque-là, tout allait bien pour la JSS, jusqu’à ce but assassin de Shama Junior, ayant réussi à donner l’avantage aux Tanzaniens (2-1), à quelques minutes du coup de sifflet final. Un retournement de situation fatal aux Algériens, puisqu’à la faveur de ce résultat, ce sont les Egyptiens d’Al Ahly et les Tanzaniens de Simba qui se qualifient en quarts. En dépit d’une élimination amère, les gars de la JSS doivent prendre le bon côté des choses. Pour sa seconde participation en cette prestigieuse compétition continentale, le club algérien, créé en 2008, a réussi à entrer dans l’histoire. Il s’est qualifié pour la première fois en phase des poules et a tenu la dragée haute à plusieurs écuries habituées à ce genre de compétitions.

Le travail réalisé jusque-là par la direction de Mohamed Zerouati doit continuer et tout le monde est unanime à dire, aussi, qu’il faudra réitérer la confiance en l’entraîneur Karim Zaoui. Ce dernier, qui a pris le relais après le départ de Nabil Neghiz, a réalisé un travail gigantesque, en témoignent les résultats réalisés sous sa houlette. Pour cette dernière ligne droite de la saison, l’ambition des gars de la Saoura est de terminer sur le podium pour assurer une nouvelle participation africaine la saison prochaine. Mathématiquement, tout reste jouable, mais sur le terrain, dure sera la mission puisque le 3e au classement général, le Paradou AC, se distance de 8 points, avec un match en moins pour la JSS.

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Mohamed Lakhdar Maougal, vice-président du CS de l’académie des langues africaines, à l’expression: « Le mouvement a été soigneusement préparé »

Mon, 03/18/2019 - 09:49

Par Kamel LAKHDAR-CHAOUCHE

Conférencier international, il s’intéresse aux questions de linguistique et de sociologie des élites. Mohamed Lakhdar Maougal est l’auteur de plusieurs ouvrages. Il est également professeur émérite à l’école nationale supérieure de journalisme et des sciences de l’informations(Ensjsi). En sa qualité de spécialiste en philosophie du langage et de sociolinguistique, il nous livre avec beaucoup de lucidité, sa vision des évènements qui secouent la rue algérienne.

L’Expression: L’absence des partis politiques et des organisations de masses, dans l’encadrement de ce mouvement populaire, cela signifie quoi?

Mohamed Lakhdar Maougal: Ceci, à mon humble avis, n’est qu’une apparence. Le mouvement populaire de la rue suivi sur les chaînes de TV n’est pas spontané. Il résulte, sans doute, d’une longue préparation aussi discrète qu’efficace, eu égard à la pratique totalitaire des maffieux qui ont pris l’Etat en otage et se sont servis des institutions en délitement pour s’imposer comme force de gestion autoritaire et exclusive. Le temps de préparation aura été long, intentionnellement long, si l’on considère le degré de mobilisation nationale et totale, jamais réalisée dans le monde depuis les Grandes Révolutions du XVIIIe, du XIXe et du XXe siècle, qui avaient inventé les structures organiques appropriées (Conventions, états généraux, Comités révolutionnaires de salut public, Communes, associations diverses, partis, soviets, etc…)
La stratégie qui apparaît dans les formes de mobilisation est, elle aussi, le résultat d’un long et minutieux travail de préparation et d’organisation. Plusieurs noyaux de recrutement et de mobilisation avec des disciplines concertées et assumées auront contribué efficacement et sans tapage.
Il y aurait eu à mon humble avis plusieurs sphères de cristallisation, politiques, organiques, économiques, sociales, institutionnelles, associatives, philanthropiques, caritatives, médicales, qui semblent avoir suivi une trajectoire patiemment tracée et empruntée de manière discrète et programmée pour finir par converger.

A ce titre, il faut dire que les stades de football et les mosquées ont joué un grand rôle?
Au départ, les mobilisations sportives impossibles à contenir ni à encadrer de très près ont été encadrées progressivement et mises en perspective d’agitation programmée. Le stade de football en premier lieu fut suivi par la «mosquée» parallèle et non le lieu officiel du culte. Le mouvement associatif et caritatif aussitôt a pris la relève avec un début de cristallisation partisane, malgré les contrôles draconiens du pouvoir. Puis, sont apparues les mobilisations catégorielles et revendicatives (médecins, enseignants, étudiants, retraités de l’armée, etc…). Ces organisations semi-clandestines ont travaillé sans précipitation, surtout depuis 2009, suite au premier viol de la Constitution de 1996 qui avait vu les premières initiatives d’opposition radicale, groupes d’intellectuels signataires d’appel à boycott, premières assises des journalistes contre le viol de la Constitution, premiers frémissements d’humeur chez les avocats, rassemblements de demandeurs de logements, d’emploi, de protestations environnementales comme à In Salah, etc…

Les Algériens n’étaient pas donc tous tétanisés comme le pensaient certains…
Face aux comportements totalitaires du pouvoir et aux pressions sur les citoyens, le travail oppositionnel s’est réfugié dans une pratique semi-clandestine sans manifestations apparentes pour laisser l’illusion de la soumission générale à l’ordre dictatorial. Cette stratégie de clandestinité s’est renforcée avec le coup d’éclat du printemps dit arabe, que le pouvoir a pu contenir et non pas comme l’a prétendu quelqu’un, que les Algériens avaient été tétanisés par la décennie noire.
Première conclusion évidente: les citoyens et citoyennes algériens se sont repliés et non pas démobilisés ni encore moins écrasés.

A partir de 2009, la stratégie de reprise d’initiative s’est imposé une discrétion maxima. Le printemps arabe ayant de près, suivi le printemps amazigh et la révolte des Aârouch (2002-2003), la confiscation de l’Etat, de l’économie nationale et l’encadrement serré de nombre d’institutions mises en adéquation avec la nouvelle économie politique de consommation, effrénée de la rente, aggravée par la corruption, ont de concert participé à duper le pouvoir qui a cru être le maître absolu de la situation.

Il a, dès lors, affiché une assurance de mépris et de hogra sur un fond d’embellie financière qui lui avait permis d’acheter et d’asseoir la paix des campus et de certains secteurs sensibles (augmentation des salaires appréciables que seul Ouyahia avait désavouée, obnubilé par sa vantardise démesurée). C’est en cette conjoncture que va se profiler le souffle de reprise et de résistance passive d’abord, puis de plus en plus active ensuite.
Des formes de lutte (émeutes du sucre et de l’huile entre autres), furent étouffées et le pouvoir médiocre a cru en avoir définitivement fini avec le peuple algérien, dont une bonne partie fut occupée par la cruciale question du logement.
Cette étape a vu s’aiguiser les contradictions de plus en plus aiguës au sein et entre la paire des partis de l’Alliance présidentielle (FLN-TAJ vs RND-MPA) qui vont s’affronter de plus en plus ouvertement avec des coups de force et des renversements. Cependant, l’opposition s’organise péniblement mais sûrement.

Ne pensez-vous pas que l’idée du cinquième mandat a accentué les fissures et les clivages?
La fin du mandat piraté (le quatrième) après le houleux coup de force du mandat en hold-up (le troisième) devenait une échéance problématique. Les protagonistes fourbissaient leurs armes et multipliaient les coups fourrés, hypothéquant fortement les échéances électorales futures, l’enjeu de la présidence allait aggraver les dissensions entre le RND-MPA d’une part, et le FLN-TAJ, d’autre part. A l’évidence, seul le candidat impotent leur donnait l’illusion d’une possible prolongation des alliances. L’enjeu de taille devenait alors, le centre décisionnel polarisé entre d’un côté, El-Mouradia autour du «dauphin potentiel» et d’un autre côté, les Tagarins dépositaires de la mission de sauvegarde de la sécurité du pays et de la préservation des institutions.

Il fallait dans un premier temps, libérer les Tagarins de la tutelle fantomatique. C’est à partir de la sphère de la casquette, que sera donné le signal du départ de la confrontation. Des officiers montent au créneau sur fond de mouvements d’humeur des retraités du secteur sécuritaire qui sont bousculés sans ménagements par la hogra du locataire du Palais du gouvernement.
Ce dernier s’emballe à l’approche des échéances et se compromettant (ou en se laissant compromettre) ouvertement dans des manoeuvres graves sur le plan sécuritaire régional, en allant faire allégeance à l’Elysée. Un militaire retraité ose faire le premier pas, en se portant candidat à l’élection présidentielle, mettant l’institution dans une situation délicate.

Des officiers supérieurs sont mis aux arrêts et d’autres sont mis à la retraite sur fond de scandales mafieux liés, à l’affaire de la cocaïne qui déclenche une guéguerre interne dans les services de sécurité révélant les failles graves du système dérivant.
Pendant ce temps, l’opposition qui a toujours été rejetée, ignorée, méprisée s’organise et lance des initiatives de concertation intelligemment gérées. Le résultat, c’est que ce que nous vivons aujourd’hui ne tombe pas du ciel

En tant qu’universitaire, quelle lecture faites-vous pour ce mouvement de masse qui exige un changement radical et pacifique, sachant que ce dernier n’a ni encadrement ni de représentants?
Pour une fois, je doublerai mon statut d’universitaire critique par mon expérience militante, ayant été pendant des années responsable et animateur de l’agitation et de la propagande en milieu universitaire, dans le cadre du parti où j’avais milité durant un peu plus d’une décennie avec des militants patriotes, dévoués, qui ont été dispersés par la voyoucratie des liquidateurs corrompus et voleurs.

Le mouvement de masse qui vient de se cristalliser en marches de plus en plus imposantes dans la plupart des villes et des villages de notre pays et dans les milieux de notre émigration en Europe et en Amérique (Canada), a surpris par son ampleur, dès le premier vendredi 1er mars 2019. Cela est dû essentiellement au niveau de cette étape initiale, à son mode d’organisation qui a su conjuguer prématurément le travail d’un côté ouvertement public et timide et d’un autre côté, le mode semi-clandestin structurant et efficace. L’un ne doit pas occulter l’autre. Le mouvement était encadré de manière subtile et discrète. Il fallait jauger les capacités de résistance et de réaction du pouvoir et de son état central et décentralisé (gouvernement, centres décisionnels divers, institutions, etc…).

Face à la culture brutale et répressive ou à la culture de ruse à laquelle a toujours recouru le pouvoir pour éviter toute forme de protestations, aussi bien nationale qu’internationale, le mouvement dès son ébranlement aura fait preuve d’intelligence et d’esprit de finesse. C’est ainsi qu’il aura été progressif et continu, tout en étant alerte et attentionné. Au premier ébranlement, les premiers mots d’ordre (la minima) furent liés au caractère de la marche (pacifisme et civisme) pour conforter et confirmer la nature du mouvement citoyen responsable) condition d’une mobilisation maxima avec toutes les catégories sociales d’âge, de sexe et de statut). L’épreuve de la première sortie a abouti à une stratégie plus affinée. Mettre au grand jour le caractère pacifique de la marche et préservation de toute forme de provocations de «baltajia».

Cela prouve si besoin que l’encadrement existait bel et bien, mais qu’il fut très discret et efficace. Une seconde étape devait rassurer les participants pour pouvoir compter sur eux par la suite (mise en confiance et en discipline nécessaire à la continuité du mouvement). Cette étape a couru sur les trois dernières sorties avec une consécration reconnue et soulignée, tant sur le plan local, régional que mondial. Les marches algériennes ont imposé un LABEL et ont depuis, imposé une reconnaissance et une légitimité.
Le résultat ne s’est pas fait attendre. L’Etat au service du pouvoir a été ébranlé et cherche à se restructurer avec beaucoup de difficultés, en faisant appel à des conseillers, dont on annonce à grands cris et avec beaucoup de démagogie les compétences surfaites et les performances affabulatrices.

Il n’y a jusqu’à ce jour aucun signe de radicalisation outrancière, mais l’affirmation d’une volonté inébranlable de mener les revendications jusqu’à leurs réalisations finales. Il est trop tôt pour prévoir ce que sera le mouvement, après les vacances de printemps qui peuvent aussi bien servir de défouloir et de décompression, que de renforcement des mobilisations.

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Gilets jaunes et «marche du siècle» secouent l’Elysée et Matignon: La France à l’heure de « l’Ultimatum »

Mon, 03/18/2019 - 09:45

Par Chaabane BENSACI 

Hier, le Premier ministre a tenu une réunion avec le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et le secrétaire d’Etat Laurent Nuñez afin de préparer les mesures envisagées par le chef de l’Etat, tandis que l’opposition s’en donnait à coeur joie pour fustiger le «laisser-aller».

Tandis que les manifestants de la «Marche du siècle» défilaient par dizaines de milliers partout en France pour protester contre «l’inaction» face aux changements climatiques, tout en appuyant par ailleurs les revendications sociales des Gilets jaunes, ces derniers ont focalisé l’attention du pays et du monde entier avec un nouveau regain de tensions exacerbées. Et c’est sur les Champs Elysées que les violences ont atteint leur paroxysme, avec des boutiques pillées, des heurts à coups de pavés et de gaz lacrymogènes avec les forces de l’ordre, un immeuble incendié. Au terme d’une soirée tumultueuse, l’acte XVIII des Gilets jaunes s’est soldé par 200 gardes à vue parmi lesquelles 15 mineurs, selon les chiffres communiqués par le parquet de la capitale.

Outre la brasserie Le Fouquet’s, plusieurs enseignes de prêt-à-porter, le chocolatier Jeff de Bruges, un store du fabricant chinois de smartphones Xiaomi et d’autres magasins au nombre de 80 ont subi des dommages plus ou moins graves que certains manifestants justifient en affirmant que «c’est quand on casse qu’on obtient d’être entendu»… Personnalités politiques et élus ont exprimé leur colère, se disant particulièrement choqués par «l’inertie» du gouvernement devant des «boutiques dévastées» et une «violence extrême». Interpellé, le Premier ministre ainsi que l’Elysée dont l’opposition critique «l’incompétence» promettent des «décisions fortes» en réponse aux violences de ce 18ème samedi baptisé par les Gilets jaunes jour de «l’Ultimatum».

Emmanuel Macron, rentré précipitamment d’un week-end de ski dont on peut se demander s’il répond aux exigences de la situation passablement tendue, depuis quatre mois maintenant, se découvre dos au mur, alors que son Grand débat national ne semble déjà plus de nature à calmer la grogne qui secoue le pays. «Nous avons aujourd’hui des gens qui essayent par tous les moyens (…) d’abîmer la République pour casser, pour détruire au risque de tuer», a affirmé le chef de l’Etat, lors d’une visite à la cellule de crise du ministère de l’Intérieur où il a été informé de ces nouvelles scènes de violences, semblables à certaines actions des épisodes précédents. «Beaucoup de choses ont été faites depuis novembre mais très clairement la journée d’aujourd’hui montre que sur ces sujets-là et ces cas-là, nous n’y sommes pas», a-t-il cependant concédé.

Hier, le Premier ministre a tenu une réunion de crise avec le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, et le secrétaire d’Etat, Laurent Nuñez afin de préparer les mesures envisagées par le chef de l’Etat, tandis que l’opposition s’en donnait à coeur joie pour fustiger le «laisser-aller» contre lequel elle réclame une réaction exemplaire.«Il est temps d’agir», a tweeté le chef de file des Républicains alors que d’autres ténors de la droite ont surenchéri en réclamant la mise en oeuvre sans tarder de la nouvelle loi anti-casseurs adoptée par le Parlement et en instance de validation par le Conseil constitutionnel.

Quant à Marine Le Pen, porte-étendard du Rassemblement national, elle s’est fendue d’une sentence lapidaire sur Twitter: «les black blocs détruisent, brûlent, violentent toujours en toute impunité», affirme-t-elle avec une photo d’une manifestation du 1er mai dernier! Preuve que le décalage n’est pas propre à Emmanuel Macron et à son équipage, du moins en ce qui concerne les dires et les actions. «Fin du monde, fin de mois, même combat». L’adéquation des manifestations des Gilets jaunes et des militants de la «Marche du siècle» en dit long sur l’état d’esprit qui prévaut dans l’Hexagone où la situation tend à se compliquer de plus en plus, faute d’une réponse urgente et appropriée du gouvernement et de la prise en considération des attentes et des revendications de plusieurs franges de la société.

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L’accord OPEP-Non OPEP reconduit au-delà de juin 2019: Les « 25 » maintiennent la pression

Mon, 03/18/2019 - 09:43

Par Mohamed TOUATI 

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, dont la Russie, décideront vraisemblablement, le mois prochain de prolonger la baisse de leur production de 1,2 million de b/j.

Pas question de desserrer les vannes. Le marché demeure fragile et il est encore loin d’être équilibré. Le constat fait par l’Opep le confirme. L’accord qui la lie à ses partenaires sera donc très probablement prolongé au-delà du mois de juin 2019. «L’Opep a réduit sa prévision de la demande pour ses bruts cette année en raison de la forte hausse de la production de la concurrence, justifiant d’étendre au-delà de juin prochain, l’accord d’encadrement de la production en vigueur depuis le début de 2019», indique le rapport du cartel du mois de mars.

L’Opep estime que la demande quotidienne de ses bruts baissera de 130.000 barils par rapport à son estimation de février et moins que sa production actuelle. Autant de raisons qui justifient au moins le maintien de la baisse de la production Opep-hors Opep de 1,2 million de barils par jour qui est entré en action le 1er janvier pour une période de six mois. La prudence reste de mise. La croissance de la demande est loin des espérances attendues. «Même si la demande pétrolière doit augmenter à un rythme modéré en 2019, elle reste bien en deçà de la forte croissance attendue dans la prévision de l’offre Opep-hors-Opep de cette année», fait remarquer le rapport de l’organisation qui appelle ses alliés à redoubler de vigilance.

«Cela souligne la responsabilité partagée par tous les pays producteurs participant à l’accord de réduction de la production, d’éviter une rechute du déséquilibre et de continuer à préserver la stabilité du marché pétrolier en 2019», recommandent les experts de l’Opep qui prévoient un «léger excédent» de l’offre cette année, si l’Organisation continue ses extractions au rythme du mois de février dernier. Tout comme il va falloir faire face à la production américaine qui a atteint des records. Que disent les chiffres? Les producteurs non membres, augmenteront leur production de 2,24 millions de barils par jour cette année, soit 60.000 de plus qu’anticipé précédemment, indique la même source.

Les réserves américaines de brut ont néanmoins reculé de 3,9 millions de barils la semaine dernière, sans pour autant pousser les prix à rebondir significativement. Le baril de Brent, référence pour le pétrole algérien, s’est contenté de terminer la semaine tout juste au-dessus des 67 dollars malgré les baisses des exportations de l’Opep, de l’Arabie saoudite en particulier. Selon des sources secondaires citées par l’Organisation, dans son rapport mensuel de février, l’Opep a encore fortement réduit sa production en janvier, avec un effort marqué de l’Arabie saoudite.

La production totale de l’Organisation a atteint 30,81 millions de barils par jour en janvier, soit 797.000 barils par jour de moins qu’en décembre, alors que son chef de file, le Royaume wahhabite, a encore fortement contribué à l’effort de limitation de la production, en réduisant le pompage de 350.000 barils par jour de moins qu’en décembre.
L’Arabie saoudite qui veut un baril à 80 dollars, voire plus pour équilibrer sa balance commerciale comme la plupart de ses partenaires de l’«alliance» par ailleurs, représente un indicateur fiable qui laisse augurer que l’Opep et ses partenaire ne renonceront pas à d’autres coupes pour y parvenir.

Le comité ministériel de suivi Opep et non Opep s’est réuni hier à Bakou en Azerbaïdjan pour évaluer l’état du marché et l’impact produit par la baisse de leur production. Son verdict servira d’indicateur…

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