Les athlètes algériens, femmes et hommes, ont depuis toujours honoré leur pays, et hisser haut le drapeau national, et ce, dans les différents tournois, à savoir national, continental, voire international.
C’est le cas d’ailleurs des éléments de l’élite cycliste nationale algérienne. Ces derniers ont brillé lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, déroulées au Caire en Égypte.
En effet, ces sportifs ont réussi lors de ces mêmes compétitions, à décrocher trois médailles, à savoir une médaille de bronze et deux médailles d’or.
» Félicitations aux éléments de l’élite cycliste nationale algérienne pour leur éclat et l’obtention d’un total de trois médailles avec détermination, détaillées par deux médailles d’or et une médaille de bronze, lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, qui se tient actuellement au Caire, en d’Égypte, du 12 au 28 novembre 2021 « , lit-on dans un communiqué publié aujourd’hui, sur la page Facebook officielle du ministère de la Jeunesse et des Sports.
Selon la même source, les médailles sont reparties comme suit : une médaille d’or au chrono par équipe, une autre médaille d’or au chrono selon les équipes juniors, ainsi qu’une autre médaille de bronze.
La sélection féminine remporte le contre-la-montreQuant à la sélection féminine de cyclisme (seniors/dames), elle a remporté le contre-la-montre » par équipe » du Festival arabe 2021 sur route, et ce, avec la participation d’un quatuor, composé des athlètes Nesrine Houili, Chahra Azzouz, Hanine Belatrous et Yamna Bouyagour.
En effet, la compétition s’est déroulée sur une distance de 36 kilomètres, où notre sélection féminine a pu boucler cela en 51 minutes, 43 secondes et 37 centièmes seulement.
Avec ce merveilleux résultat, l’équipe algérienne a devancé son homologue Émiratie, qui s’est classée deuxième, avec un chrono de 58 minutes, 38 secondes et 17 centièmes.
Il convient également de préciser que la compétition déroulée en Égypte, s’y poursuivra jusqu’au 25 novembre courant, et comportera plusieurs autres épreuves à son menu.
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Partant pour le prochain scrutin, le parti du front des forces socialistes (FFS) justifie, une nouvelle fois, sa participation tout en mettant en avant ses « luttes pour la préservation et le renforcement de la souveraineté et de l’unité nationale ».
Dans un communiqué rendu public ce lundi 15 novembre 2021, le FFS a d’emblée fait le tour de son historique en énumérant les principales étapes de « 58 ans de luttes ». Ensuite, le communiqué aborde les raisons ayant poussé le parti à prendre part au scrutin malgré la situation politique actuelle.
Selon le plus vieux parti de l’opposition, « la participation aux élections sous ce système de pouvoir, conçu et pensé contre les intérêts du peuple, se fixe ouvertement l’ambition de consolider les conquêtes de la lutte politique pour donner toutes ses chances au changement pacifique et démocratique du système du pouvoir dans notre pays ».
À travers sa participation aux prochaines échéances en sollicitant un mandat électoral, le FFS s’est dit engagé « à porter pacifiquement la lutte politique au sein même des institutions ». D’ailleurs, le fonctionnement efficace de ces organes délibérants implique le respect de deux principes, estime encore le parti.
Il s’agit, en premier lieu, du « principe de la libre administration, c’est-à-dire l’élection au suffrage universel ». Et du « principe de l’autonomie de gestion financière, du renforcement des prérogatives des élus, de la consécration du principe de la séparation des pouvoirs et de la décentralisation effective », énumère le parti.
« Déraciner les relais locaux du système et leurs serviteurs »Dans le même sillage, le FFS rappelle qu’il a participé « à la quasi-totalité des élections locales », et ce, depuis l’instauration du pluralisme politique en Algérie en 1989. Ces participations se sont intervenues car « c’est le moyen de rester dans la société et avec elle pour partager ses épreuves et pour perpétuer l’espoir », estime encore le Front.
En outre, le FFS avance que sa participation aux prochaines élections est une aubaine pour « déraciner les relais locaux du système et leurs serviteurs qui pervertissent l’action politique, et participent activement à la dépolitisation et à la déstructuration de la société ».
Après avoir fait le tour des grands axes de ses engagements et ambitions pour ces échéances, le parti affirme que « le changement local n’est que le commencement d’un changement au niveau national ».
Le communiqué a conclu par un appel lancé à l’ensemble des Algériens, les exhortant à participer aux élections. « … C’est pourquoi votre participation est si importante, car elle contribuera à l’instauration d’un État de droit démocratique et social ».
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Après la troisième vague de la pandémie, notamment véhiculée par le variant Delta de la covid-19 en Algérie, les spécialistes mettent en garde contre une quatrième vague, mais sans trop se pencher sur sa nature, et sur les variants qui déterminent sa dangerosité.
Dans ce contexte, le Dr Derrar, s’exprimant aujourd’hui lors d’une émission télévisée, a indiqué que le seul variant qui circule en Algérie actuellement est le variant Delta. Le spécialiste, directeur de l’institut Pasteur Algérie, a ajouté qu’en cas de découverte d’un nouveau variant, l’information sera aussitôt communiquée par l’IPA.
Le responsable a également indiqué que l’institut pasteur Algérie a des accords avec l’Organisation Mondiale de la Santé. L’IPA dispose également des moyens qui permettent la détection des changements et des mutations du virus, assure le même intervenant.
Vers une cinquième vague ?Concernant l’arrivée de la troisième vague, le Dr Derrar campe sur ses positions. Selon lui, c’est officiel, il n’y a aucun doute que l’Algérie est entrée dans une nouvelle vague épidémique. Le directeur de l’IPA affirme que la flambée va se faire sentir d’ici un mois ou deux.
Toujours selon le Dr Derrar, la vaccination empêche le virus de muter, ce qui atténue sensiblement de sa dangerosité. Le spécialiste a donné l’exemple du variant Delta qui n’a pas muté grâce à la campagne de vaccination.
Le responsable mise tout sur le vaccin anti-covid. Selon lui, la vaccination peut constituer un rempart contre la flambée, car elle peut atténuer ses dégâts. Pour conclure, le même spécialiste indique qu’une cinquième vague n’est pas écartée.
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La situation épidémiologique en Algérie reste relativement stable comparée à ce qui a été vécu au mois de juillet dernier. La covid-19 pourrait toutefois sortir les crocs à n’importe quel moment, mettent en garde tous les spécialistes qui s’attendent à une nouvelle vague.
Aujourd’hui, le 15 novembre 2015, le bilan du ministère de la Santé a annoncé 134 nouveaux cas de contamination à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 97 enregistrées lors de la journée d’hier. Les mêmes chiffres font état de 7 nouveaux décès, 78 nouvelles guérisons et de 22 patients admis aux services de réanimation.
Ce dernier bilan fait monter le total des contaminations à la covid-19 en Algérie, depuis le début de la pandémie en mars 2020, à plus de 207.880 cas. L’Algérie a déploré au cours de cette pandémie, plus de 5983 décès dus à des complications liées au virus.
Quatrième vague : les mises en gardes se multiplient, les cas chutent ?Les spécialistes et les responsables du secteur de la Santé en Algérie s’accordent tous à dire que la quatrième vague est inévitable, et que l’Algérie va devoir y faire face. Certains sont même allés à dire que nous sommes déjà entrées dans la dynamique de ce nouveau rebond. Les chiffres officiels disent cependant tout à fait le contraire.
En effet, aux antipodes des déclarations du Dr Derrar, qui a affirmé que nous sommes déjà en plein quatrième vague, le bilan des contaminations est redescendu hier au-dessous de la barre symbolique des 100 cas, avant de remonter aujourd’hui.
En fait, et toujours selon le même spécialiste, la flambée ne se laisse pas ressentir, elle se fait progressivement, et cela ne cause pas forcément des cas graves ou nécessitant une réanimation. Cela commence, explique-t-il par une hausse des contaminations qui pourrait passer inaperçue.
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À la veille de la rencontre footballistique qui va réunir les deux équipes adverses, à savoir l’Algérie et le Burkina Faso, le sélectionneur de l’équipe burkinabè continue toujours « sa guerre psychologique » contre les Fennecs.
Il s’agit en effet, de la sixième et dernière journée de la phase des poules des éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
De ce fait, si les hommes de Belmadi remportent le match ou s’en sort avec un score d’égalité, ils se qualifieront au match barrage. En revanche, si les Burkinabés l’emporte, c’est eux qui se qualifieront.
À cet effet, les Fennecs s’apprêtent à cette confrontation qualifiée de « décisive », avec une grande détermination, afin d’obtenir la victoire et satisfaire le public algérien.
Cependant, le sélectionneur burkinabé, Kamou Malo en l’occurrence, ne semble pas satisfait, ni prêt pour ce match retour. Ce dernier continu à mener « une guerre psychologique » contre les Verts, afin de les déstabiliser et les déconcentrer.
Aujourd’hui, ledit entraineur a dénoncé la présence du public algérien dans les tribunes, lors de la rencontre de demain au stade Mustapha Tchaker de Blida.
Commentant la présence de 14 000 supporters dans les tribunes de Tchaker, Kamou a déclaré : » nous avons joué les matchs précédents des éliminatoires sans public, alors comment l’Algérie, dans le dernier et important match, peut-elle être autorisée à jouer devant ses fans « .
« Nous allons travailler pour battre l’Algérie dans son stade », KamouLe premier responsable du staff technique des Étalons, a ajouté, dans une déclaration publiée sur la page Facebook officielle de la Fédération burkinabè de football : « je pense qu’autoriser le public à y assister est déraisonnable, mais malgré cela nous devons nous adapter à cet effet « .
Dans un autre chapitre, Kamou a affirmé, à propos du match attendu contre les Verts : » dans le football, il n’y a rien d’impossible, nous n’avons rien à perdre dans ce match, et nous allons travailler pour battre l’Algérie dans son stade « .
Rappelons que la confrontation se déroulera au stade Mustapha Tchaker de Blida, ce mardi 16 novembre, à partir de 17 heures, avec la présence de 14 000 supporters.
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Le dossier des métiers dits pénibles et la liste devant définir ces activités en Algérie n’ont jamais vu le jour. C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens Salim Labatcha.
Dans une déclaration rapportée par le quotidien Echorouk, livrée lors de l’installation du premier syndicat de la société des eaux et d’assainissement d’Alger « Seaal », le secrétaire de l’UGTA nie l’existence du dossier des « métiers pénibles » au niveau de la centrale syndicale.
Selon lui, ce dossier proposé par l’UGTA à l’automne 2016, la veille de l’amendement de la loi sur les retraites, « n’a jamais été ouvert pour qu’il soit fermé ». Il précise, en effet, qu’il n’avait pas trouvé aucun dossier ni document à ce propos à son arrivée à la tête de la centrale syndicale en juin 2019. Pis encore, il affirme qu’il n’a trouvé aucune trace concernant ce dossier.
Dans ce sens, il ajoute : « je défie quiconque qui m’aura donné un dossier sur les métiers pénibles de venir me le dire en face ». Qualifiant ce dossier de « diversion », il explique qu’il avait été abordé en 2016 juste pour absorber la colère des travailleurs quant aux amendements arbitraires sur la retraite en 2016.
« Il s’agit d’une diversion … lorsqu’ils (les responsables de l’époque NDLR) n’ont rien trouvé pour faire face à la colère des travailleurs, ils ont sorti ce dossier pour calmer les esprits », a-t-il encore ajouté.
Qu’en est-il de la révision de la loi sur la retraite ?S’exprimant sur les déclarations de l’ancien ministre du Travail, El Hachemi Djaaboub qui avait écarté la révision de la loi sur la retraite, et le retour à la retraite proportionnelle, Labatcha affirme que ce dossier « sera bel et bien ouvert et débattu à nouveau ».
Dans le même sillage, il souligne que le président de la République lui avait confirmé personnellement que « la porte sur la révision de la loi sur la retraite n’a jamais été définitivement close », soulignant qu’il s’agit d’une revendication économique d’autant qu’il devra permettre également la création de postes d’emploi.
D’ailleurs, il explique que l’État n’a rien à perdre lorsqu’il met un travailleur à la retraite après 32 ans de service. « Au contraire, l’État devra en bénéficier, car une bonne partie du chômage sera absorbée à travers cela en créant de nouveaux postes et une nouvelle dynamique ».
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Beaucoup d’algériens souhaitent aller à l’étranger afin d’y travailler, commencer une nouvelle vie et briller professionnellement. Leur rêve se rapproche de la réalité de plus en plus ces derniers temps.
En effet, plusieurs pays notamment le Canada, ouvrent leurs portes aux travailleurs étrangers afin d’essayer de combler le vide de la pénurie d’effectif. Raison pour laquelle ils ont mis en place des programmes d’immigration pour les travailleurs.
Parmi ces programmes intéressants, on a le programme « Entrée Express », qui concerne toutes les provinces canadiennes à l’exception du Québec et qui permet d’avoir une résidence permanente.
Pour s’inscrire dans ce programme il suffit :1 – Cumuler plus 420 points ( les points s’accumulent en fonction de votre âge, expériences, compétences…etc)
2 – Chercher et savoir où la priorité est accordée à ton diplôme.
3 – Effectuer et payer l’équivalence de ton diplôme (qui coûte 230 CaD) sur ce site.
4 – Passer un test de langue ( TEF ou IELTS ), un B2 est exigé pour le français et 6 points sont exigés pour l’anglais, si vous souhaitez avoir plus de points vous pouvez passer les deux.
5 – Connaître le NOC ou CNP ( des systèmes de classification de professions ) de votre métier.
6 – Créer un profile sur ce site, s’inscrire.
7 – Avoir un compte bancaire en devise ou l’équivalent de 13 000 CaD en dinars, et ce, afin de prouver ton indépendance financière.
8 – Vous recevrez une invitation suite à laquelle il faudra envoyer un dossier complet (vous devrez payer les frais d’étude du dossier 550 CaD et les frais de résidence 490 CaD).
9 – Suite à l’étude de votre dossier, vous recevrez une invitation afin d’effectuer des tests médicaux, que vous allez avoir 30 jours pour passer chez un médecin agrée par les services de l’immigration (une liste des médecins agrée vous seras envoyée), les tests médicaux coûteront entre 13 000 et 18 000 DA.
10 – Si les tests médicaux ne révèlent aucune maladie grave, vous allez déposer votre passeport au niveau de VFS Global, qui eux, se chargeront d’envoyer votre passeport à l’Ambassade du Canada à Paris, qui vous accordera un visa permanent et vous aurez 5 mois pour partir au Canada.
L’initiative canadienneLes algériens se sont toujours montrés motivés et intéressés par l’immigration vers le pays de la feuille d’érable mais les procédures les effrayent. Suite à quoi, l’Ambassade du Canada en Algérie offrira une session d’information sur le programme « Entrée express » le jeudi 25 novembre 2021.
Face à l’intérêt que le Canada porte aux travailleurs étrangers et la reprise des vols avec le Canada suite à la réouverture progressive du monde après sa fermeture due au Covid-19, c’est l’occasion à saisir pour concrétiser son rêve de partir.
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Le diabète de l’enfant, une maladie pas très connue en Algérie. Pourtant, les chiffres disponibles témoignent d’une maladie qui semble prendre de plus en plus de l’ampleur.
Selon le seul registre disponible en Algérie, en l’occurrence celui d’Oran, cité par le quotidien Liberté, le diabète chez l’enfant gagne de plus en plus de terrain. L’incidence de cette maladie (type 1) chez l’enfant est estimée à 30 pour 100 000 personnes.
Avec ces chiffres, l’Algérie se retrouve désormais au top 5 des pays les plus touchés par la maladie. Concernant les tranches d’âge les plus touchées, un spécialiste indique que 25% des enfants diabétiques sont âgés entre 0 et 4 ans.
Interrogé par le même journal, le Pr Belkacem Bioud, médecin chef du service de pédiatrie du CHU Saadna-Mohamed Abdenour de Sétif, cite une étude menée en 2013 dévoile une incidence de 19,26 pour 100 000 enfants.
Les facteurs qui favorisent le diabète chez l’enfantPour sa part, Dr Nawel Dridj, maître assistante à l’unité de diabète du pôle pédiatrique rappelle qu’un nourrisson ou un enfant diabétique est obligé de faire plusieurs injections par jour. Elle avance « entre 10 et 13 injections entre insuline et contrôle ». Ce qui est « énorme ! », s’exclame-t-elle.
Concernant les causes de cette maladie, la même intervenante précise que plusieurs facteurs favorisent le diabète de l’enfant. À ce propos, elle cite « l’antibiothérapie abusive, l’accouchement par césarienne, l’abandon de l’allaitement maternel, l’adoption d’une alimentation malsaine et l’absence d’activité physique ».
Début de l’année dernière, des études épidémiologiques dans différentes régions du pays ont révélé une affolante augmentation dans l’incidence du diabète type 1 chez l’enfant. En effet, ces études montrent que le diabète chez l’enfant augmente de manière inquiétante en Algérie.
Il convient de rappeler que diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui nécessite des injections quotidiennes d’insuline.
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Une probable entente à l’amiable avec les responsables et les hommes d’affaires mouillés dans des scandales de corruption a fait couler beaucoup d’encre et a suscité l’indignation de plusieurs citoyens, pour qui, une réduction de peines des responsables corrompus n’est pas du tout envisageable.
Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Abderachid Tebbi, semble être d’un tout autre avis. Intervenant sur les ondes de la radio nationale, aujourd’hui lundi, 15 novembre, le responsable a affirmé qu’une procédure de règlement à l’amiable sera adoptée avec les personnes incarcérées dans le cadre des affaires de corruption, et ce, afin de récupérer les fonds volés.
Une méthode qui a fait ses preuves, selon le ministreAbderachid Tebbi, fraichement installé à la tête du ministère de la Justice en remplacement à Belkacem Zeghmati, a expliqué lors de la même émission que la méthode du règlement à l’amiable a déjà fait ses preuves au sein de plusieurs systèmes internationaux. Cette méthode, ajoute le même responsable, aide à récupérer les fonds volés et à obtenir des compensations.
Le ministre ajoute que la procédure de règlement à l’amiable reste le meilleur choix pour l’économie nationale et pourrait être bénéfique pour le trésor public. Abderachid Tebbi explique que cette méthode se base sur l’offre de l’arrêt de certaines poursuites pénales en échange de la restitution des fonds volés.
Il est à rappeler que le premier ministre, Aimene Benabderahmane, a déjà souligné, en septembre dernier, la volonté de l’État à récupérer les fonds volés via l’activation d’une série de mécanismes juridiques dans le cadre des conventions internationales.
Il s’agit de « la mise en place de mécanismes de coordination de haut niveau, outre le lancement d’une série de procédures avec les pays vers lesquels les fonds pillés ont été détournés », a déclaré le premier ministre.
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Dans le cadre de la prochaine confrontation face au Burkina Faso, prévue demain 16 novembre à 17 heures, le sélectionneur national Djamel Belmadi tient aujourd’hui, une conférence de presse au centre technique de Sidi Moussa à Alger, et ce, afin d’aborder plusieurs points importants à ce propos.
À cet effet, Djamel Belmadi à profiter pour répondre, à sa manière, aux provocations croissantes de son homologue du Burkina Faso, Kamou Malo, en lançant : » notre mot sera sur le terrain et le compétiteur est libre dans ses actions. Nous, nous sommes ici pour jouer au football « .
En outre, le coach confirme qu’il ne se soucie guère des déclarations de Kamou Malo, les considérant comme une simple guerre psychologique contre les Fennecs, sachant que ce dernier a fortement critiqué l’équipe nationale, et a même osé dire que c’est « une équipe de niveau moyen ».
» Je me fiche des déclarations du sélectionneur du Burkina Faso, il est libre de dire ce qu’il veut « , affirme « le ministre du Bonheur », tout en ajoutant : » pour moi, de telles déclarations ne m’intéressent pas. C’est juste une guerre psychologique. Le plus important, ce sera au-dessus du rectangle vert « .
Belmadi évoque l’incident de la coupure de l’hymne nationalPar ailleurs, et lors de la même conférence de presse, le coach n’a pas hésité à évoquer l’incident de la coupure de l’hymne national au Stade international du Caire, qui a accueilli le match des Verts contre le Djibouti, ce vendredi 12 novembre.
» Nous sommes appelés à respecter l’hymne burkinabé demain. Nous respectons tous les pays contre lesquels nous jouons, contrairement à ce qui s’est passé lors du dernier match, où ils ont intentionnellement envoyé un quart de l’hymne national et l’ont coupé rapidement, mais les joueurs ont fait leur travail et ont continué l’hymne national « , signale Belmadi.
En outre, l’entraineur ajoute : » ce qui est étrange, c’est qu’ils ont répété l’hymne lorsque nous étions sur le terrain pour commencer le match. Nous respectons nos concurrents et ne faisons pas un tel comportement. »
Il convient également d’indiquer que les protégés de Belmadi sont à la tête du classement du groupe A, Zone Afrique, avec un score de 23 buts inscrits sur cinq matchs sans défaite.
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L’affaire de l’assassinat des trois Algériens sur l’axe routier Ouargla-Nouakchott, ne semble pas avoir livré tous ses secrets. De nouveaux éléments viennent d’être révélés dans une enquête menée par le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines.
Deux semaines après la survenue du bombardement de deux camions algériens, sur l’axe routier Ouargla-Nouakchott, le 1er novembre dernier, de nouveaux éléments viennent d’être révélés concernant le lieu de l’incident.
« Le lieu de l’accident ne se situait pas dans une zone confirmée dangereuse, ni dans une zone présumée dangereuse et non plus dans une zone grise », indique un communiqué publié sur Facebook par le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines.
Ce dernier s’est basé dans son enquête sur les preuves matérielles, les analyses balistiques, le lieu du crime et la position des deux camions. Le bureau souligne également que « le point dangereux le plus proche se situe à plus de 10 km du lieu de l’accident et n’est pas miné ».
S’agit-il de l’explosion d’une mine antipersonnel ?Répondant à la version des faits avancée par le Maroc, affirmant que l’accident est lié à l’explosion d’une mine antipersonnel, la même source soutient que « le point d’explosion de mine le plus proche du lieu de bombardement des deux camions se situe à plus de 50 km ».
Concernant la situation géographique de l’incident, le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines précise « le lieu est situé à l’intérieur du territoire sahraoui et dans l’espace géographique de la région de Bir Lahlou, à quelque 14 km de ladite commune ».
« Il est situé à quelque 50 km du point le plus proche du mur et à quelque 36 km des frontières mauritaniennes », selon le bureau », précise-t-on encore dans le communiqué.
Le 6 novembre dernier, le porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU, Farhan Haq avait déclaré : « Nous pouvons maintenant confirmer que le site du bombardement se trouve dans la partie orientale du Sahara occidental près de Bir Lahlou ».
Il convient de noter que la confirmation livrée par Farhan Haq était basée sur un constat établi par une patrouille de la Minurso, dépêchée au lieu de l’attaque le 3 novembre, soit 24 heures après en avoir été informé, selon le porte-parole adjoint.
Il avait, en effet, précisé que « la Mission Minurso a observé deux camions portant des plaques d’immatriculation algériennes stationnés parallèlement l’un à l’autre ».
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La décrue considérable du nombre des cas de contaminations en Algérie n’a eu de cesse de nous apporter de bonnes nouvelles. Levée du confinement partiel, réouverture partielle des frontières aériennes et maritimes et retour progressif à la vie normal ; nous continuons à aller de l’avant.
C’est justement grâce à cette décrue que l’Algérie sort également de la liste des pays à haut risque, cette fois-ci c’est à la capitale des Émirats arabes unis d’annoncer une bonne nouvelle aux voyageurs algériens. Abu Dhabi place l’Algérie sur sa liste verte, sachant que les vols entre l’Algérie et Émirats arabes unis sont opérés six fois par semaines. Pour Air Algérie, les vols sont opérés les dimanches et jeudis pour la ligne Alger – Dubaï et pour la ligne Dubaï – Alger les lundis et les vendredis.
Dans le cadre de réciprocité, la compagnie Emirates opère sur la ligne Dubaï – Alger les mardis et les jeudis, et pour la ligne Alger – Dubaï en passant par Tunis, les mardis et les jeudis également.
Sur la liste verte d’Abu DhabiDans la première mise à jour dans ce sillage depuis le mois d’octobre, Abu Dhabi vient d’élargir sa liste verte des pays desquels les voyageurs entièrement vaccinés peuvent aller à Abu Dhabi sans devoir se confiner à leur arrivée. La liste verte comprend désormais 95 destinations et pays, dont les 13 nouveaux pays ajoutés à l’instar de l’Algérie. Alors que les voyageurs non-vaccinés doivent se confiner pendant 10 jours à leur arrivée, passer des tests PCR le sixième et le neuvième jour de leur quarantaine.
Le protocole sanitaire et les mesures préventives sont toujours exigés partout dans le monde notamment dans les aéroports, compte tenu de certains pays qui vivent une hausse soudaine des cas de contaminations après une période de décrue et de stabilité.
L’article Voyages : Abu Dhabi lance une bonne nouvelle aux Algériens est apparu en premier sur .
Le grand match décisif approche. On n’est qu’à quelques heures de la rencontre qui réunira l’équipe nationale à son homologue burkinabè, dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
À cet effet, et lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, à la veille de ladite confrontation, au centre technique national de Sidi Moussa à Alger, le sélectionneur national Djamel Belmadi, a confirmé que ses joueurs sont bien prêts et motivés pour le match.
» La confrontation face au Burkina Faso est cruciale pour nous « , affirme le coach, lors de ladite conférence, ajoutant : » » notre objectif est clair : c’est la qualification à la Coupe du Monde 2022, et nous sommes à 3 matchs d’atteindre ce but « .
En outre, le « ministre du Bonheur » déclare avec détermination : » on va certainement perdre un jour, mais pas demain ! » Une déclaration qui va droit au cœur des supporters Algériens et amateurs du football, surtout à l’approche d’un match aussi important que celui de demain.
Belmadi : la pelouse de Mustapha Tchaker s’est beaucoup amélioréePar ailleurs, l’entraineur confirme que la pelouse du stade de Blida, Mustapha Tchaker, s’était beaucoup améliorée par rapport aux dates précédentes. » Elle est évidement beaucoup mieux que les deux dates précédentes. Elle est beaucoup plus praticable, ça va aider les joueurs à bien performer « , estime le coach.
Ainsi, Djamel Belmadi révèle que l’équipe du Burkina Faso diffère dans sa façon de jouer de l’équipe du Niger, notamment avec son jeu rapide, contrairement à l’équipe du Niger, qui joue plus de manière défensive.
Pour rappel, les Fennecs vont affronter demain, à 17 heures, les Étalons, en match retour. Il s’agit de la dernière rencontre de la phase des poules des qualifications pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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La crise du marché de l’automobile a trop duré, s’accordent à dire tous les concessionnaires. Cette situation, outre le fait d’avoir asséné un coup dur au simple citoyen, qui se retrouve privé d’un véhicule, pose également une véritable problématique en termes de sécurité routière, et de garanties envers le consommateur.
Dans sa dernière lettre au président Tebboune, le groupement des concessionnaires automobiles algérien, a tiré la sonnette d’alarme. Il indique notamment que des voitures de plusieurs marques mondiales entrent en Algérie. Ces véhicules sont importés, selon la même source, par des opérateurs non qualifiés et qui n’ont aucun contrat avec les producteurs à l’étranger.
De cette situation résulte des milliers de voitures qui inondent le marché algérien auquel elles ne sont pas destinées à la base. Cela implique des pannes récurrentes et une durée de vie faible, à cause notamment de la qualité du carburant, à la norme « Euro 3 » en Algérie, alors que les véhicules importés depuis l’Europe sont conçus pour un carburant « Euro 6 ».
Cela nous ramène au problème des pièces de rechange, qui se font rare en Algérie, ce qui complique l’entretien des véhicules et condamne le chauffeur à aller chercher des pièces sans aucune garantie au marché noir. Cette situation constitue un véritable danger pour la sécurité routière.
Des usines fermées, des pièces qui se raréfientHormis l’usine Renault d’Oran qui est en marche depuis six mois afin de monter 4 600 véhicules, le marché algérien de l’automobile s’approvisionne via des opérateurs non officiels qui ne proposent, à la vente, qu’une garantie de 12 heures. Sans alternatives, le consommateur se retrouve forcé d’accepter de prendre le risque
Après la vente, le chauffeur, à la moindre panne, doit chercher lui-même les pièces de rechanges. Outre le fait que les prix des pièces détachés automobiles d’origine aient flambé, leur rareté inquiète au plus haut point.
Les consommateurs sont sommés de s’approvisionner au marché noir, et n’ayant aucune garantie quant à la fiabilité des pièces, ils ont obligés de rouler la peur au ventre.
Il est à rappeler que l’Algérie figure parmi les premiers pays au monde en terme d’accidents de la route. Le problème de l’automobile est donc loin d’être un sujet purement économique, mais il est également une source d’insécurité qui menace la vie du citoyen.
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Les criminels ne se contentent plus de voler de l’argent et des bijoux et partir, ils préfèrent mettre fin à la vie de ceux qu’ils volent afin de s’assurer de supprimer toute preuve. Ils n’y procèdent pas seuls, avec des complices, ils réunissent tout pour un crime parfaitement odieux.
A Mascara, un groupe de plusieurs personnes se retrouvent au cœur d’une affaire de meurtre . Le groupe en question qui est accusé d’avoir tué une enseignante de français retraitée, devra comparaître aujourd’hui devant le procureur de la République près le tribunal d’El Mohammadia de la wilaya de Mascara. Les mis en cause sont poursuivis pour association de malfaiteurs, meurtre avec préméditation et possession d’instruments permettant d’étrangler la victime.
Selon des sources locales, trois individus de ce groupe dont une femme et son mari viennent d’Arzew à Oran, ces derniers ont été arrêtes par les éléments de la sûreté de la daira d’El Mohammadia, où le même service a initié une enquête, et ce, le 4 novembre dernier, le jour où le corps de la défunte a été retrouvé dans son domicile.
Les révélations de l’enquêteL’enquête a révélé des détails choquants, suite au travail de la police scientifique en étroite collaboration avec les laboratoires de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN). En effet, les empreintes sur le scotch mis sur la bouche de la victime ont été trouvées et identifiées.
Ces empreintes ont également permis d’arrêter un des accusés à Arzew, qui a fini par céder et révéler les noms de ses complices, qui eux, surveillaient le domicile de la victime, avant d’y rentrer par effraction et lui voler ses bijoux et d’autres objets de valeurs.
La bande de malfaiteurs a profité de l’ambiance festive qui régnait dans le quartier où habitait la victime, dans le cadre d’une célébration traditionnelle.
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Les hommes de Belmadi poursuivent avec confiance et détermination leur série d’invincibilités. Avec 32 matchs consécutifs sans défaite, les Verts ne sont plus qu’à cinq matchs du record mondial détenu par l’Italie (37).
Depuis l’arrivée du sélectionneur national Djamel Belmadi à la tête du staff techniques des Fennecs, ces derniers ne cessent d’enchainer les victoires, les titres, mais aussi les records.
A cet effet, les coéquipiers de Djamel Benlamri continuent toujours à satisfaire les Algériens, notamment le public sportif, avec leur brillant résultat.
L’attaque de l’équipe nationale est « la plus forte » dans la Zone AfriquePar ailleurs, les éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, Zone Afrique, se poursuivent toujours. Sur ce, notre sélection nationale occupe la tête du classement dans son groupe « Groupe A », avec 13 points, devançant ainsi le Burkina Faso (11 points), le Niger (04 points) et le Djibouti (0 point).
Et ce n’est pas tout ! Les protégés de Belmadi, et avec un nombre de 23 buts inscrits lors de cinq confrontations, entrant dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, possèdent désormais le titre de « la meilleure attaque en Afrique ».
Dans le même chapitre, l’attaquant Islam Slimani quant à lui, est considéré comme « le meilleur attaquant de ces mêmes éliminatoires », et ce, avec un lourd score de sept buts signés lors de cinq matchs.
Pour rappel, l’Algérie s’est imposée 4-0 face au Djibouti lors du match de la cinquième journée desdites éliminatoires. En attendant la dernière confrontation, qualifiée de « décisive », prévue demain 16 novembre à 17 heures, au stade Mustapha Tchaker de Blida, face au Burkina Faso.
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L’ampleur de la crise économique que l’Algérie traverse actuellement s’incarne notamment au sein du marché de l’emploi. Ce n’est un secret pour personne que le taux de chômage ne cesse d’enfler depuis plusieurs années, ce qui a poussé le gouvernement à mettre en place plusieurs dispositifs, dont l’ANEM.
Abdekader Djaber, le directeur général de l’ANEM, l’Agence Nationale de l’Emploi, a été aujourd’hui l’invité d’une émission télévisée. Lors de son intervention, le DG a dévoilé plusieurs chiffres concernant le taux de chômage en Algérie, mais aussi l’état de son marché de l’emploi.
En effet, le responsable a indiqué que depuis le début de cette année en cours, plus de 1.4 million de demandes d’emploi ont été reçues par l’ANEM. Concernant les offres d’emploi, le même intervenant indique que son agence n’en reçu que 285 000 dans la même période, soit depuis le début de l’année 2021.
Ces chiffres indiquent clairement la situation difficile que traverse le marché du travail en Algérie, et les jours sombres que les chômeurs ont devant eux. Le responsable a toutefois voulu se montrer positif en indiquant que les contrats pré-emploi vont très probablement être prolongés pour une année supplémentaire.
33 % des demandeurs d’emploi sont des universitairesSelon le DG de l’ANEM, la pandémie du covid-19 a eu de graves répercussions sur le marché de l’emploi en Algérie. Il indique que presque toutes les franges de la société ont été touchées, notamment les universitaires, qui ne constituent pas moins de 33 % des demandeurs d’emploi au sein de l’ANEM.
Toujours d’après le même intervenant, plus de 800.000 chômeurs bénéficient actuellement de l’allocation chômage. Le montant de cette dernière varie entre 8 000 et 15 000 dinars algériens, précise-t-il.
Concernant les non-diplômés, qui ne jouissent d’aucun savoir faire ni formation, le responsable indique qu’un nouveau dispositif va être mis en place afin de faciliter leur insertion sur le marché de l’emploi.
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Les pluies sont de retour après un bref répit. Suite à une semaine bien généreuse en précipitations à travers plusieurs régions du pays, voilà que les pluies reviennent aujourd’hui dans plusieurs wilayas, indique l’ONM.
En effet, l’Office National de la Météorologie a affirmé aujourd’hui, le 15 novembre 2021, que 29 wilayas du pays vont être touchées par d’importantes précipitations. Il s’agit, selon la même source, des wilayas de Tizi Ouzou, Boumerdes, Alger, Bouira, Blida, Ain Defla, Tipaza, Médea, Chlef.
Pour ces wilayas, il s’agit d’une alerte vigilance orange (de niveau 2), dans laquelle l’ONM a indiqué que la validité du bulletin ira du lundi 15 novembre 2021 à 09 h 00 au mardi 16 novembre 2021 à 15 h 00 au moins.
Ce sont des pluies parfois sous forme d’averses orageuses, précisent les spécialistes de l’ONM, qui estiment que les quantités de précipitation vont varier entre 40 et 60 mm et peuvent même atteindre ou dépasser localement les 80 mm.
Alerte jaune sur 20 wilayasL’Office national, dans ses prévisions pour aujourd’hui, a également annoncé dans une alerte vigilance jaune (de niveau 1) que les pluies toucheront également 20 autres wilayas du centre, de l’ouest et de l’est du pays. Deux wilayas du sud algériens seront également touchées.
Il s’agit des wilayas de Annaba, Jijel, Béjaia, Skikda, Bordj Bou Arréridj, Guelma, Sétif, Constantine, Souk Ahras, Oum lebouagui, Mila, Batna, Biskra, Djelfa, Tiaret, Relizane, M’sila et Tissemssilt. Les pluies toucheront également le sud algérien, notamment les wilayas de In Salah et de Adrar.
Il est à rappeler que l’ONM appelle les citoyens à faire preuve de prudence, particulièrement sur les routes, mais aussi au niveau des villes.
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La crise économique a fait plonger a monnaie nationale dans une véritable descente aux enfers. La dévaluation du Dinar Algérien ne connait apparemment pas de limites face aux principales devises. Devant le Dollar américain et l’Euro, la valeur du Dinar Algérien est de plus en plus faible.
Aujourd’hui, le 15 novembre 2021, à la banque d’Algérie, le dinar algérien amorce une nouvelle chute devant la monnaie étasunienne. En effet, un seul dollar américain s’échange contre 137.96 dinars algériens à l’achat et contre 137.99 dinars algériens à la vente. Le dollar Canadien quant à lui est cédé contre 109.64 dinars algériens à l’achat et contre 109.69 dinars algériens à la vente.
Du côté de la monnaie unique européenne la flambée se poursuit. Un seul Euro s’échange aux guichets de la banque d’Algérie contre 157.93 dinars algériens à la vente et contre 197.99 dinars algériens à la vente. La Livre Sterling quant à elle garde toute sa valeur. Un seul Pound s’échange contre 184.59 dinars algériens à la vente et contre 184.66 dinars algériens à la vente.
Marché parallèleAu Square Port Saïd, dans la capitale Alger, les affaire reprennent pour les cambistes. Après une stagnation qui a duré presque deux ans, voilà que l’ouverture des frontières et le reprise des vols internationaux font flamber la valeur des principales devises sur le marché parallèle.
Un seul Euro s’échange aujourd’hui chez les cambistes contre 218 dinars algériens à la vente et contre 216 dinars algériens à l’achat.
Le Dollar américain quant à lui est cédé contre pas moins de 192 dinars algériens à la vente et 189 dinars algériens à l’achat. Le Dollar s’échange contre 140 dinars algériens à l’achat et 143 dinars algériens à la vente.
Enfin, la livre Sterling reste très chère. Un seul Pound s’échange contre 245 dinars algériens à l’achat et contre 248 dinars algériens à la vente.
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Tetra Pak nomme un nouveau Directeur Général Maghreb, Laurent Rodier. Ce dernier succède à Philippe Delouche qui occupait cette fonction depuis 2018. Diplômé de l’école de commerce française HEC Paris, Laurent Rodier a rejoint Tetra Pak il y a une dizaine d’années où il a occupé différents postes commerciaux pour le compte de la société au Mexique, aux Caraïbes et en Europe.
« Le Maghreb est une région qui regorge de potentiel. Je suis honoré de cette nomination et enthousiaste d’accompagner nos clients dans le développement de leurs activités afin d’offrir aux consommateurs toujours plus de produits innovants, durables et de qualité », a déclaré Laurent Rodier.
Tetra Pak est présent dans la région Maghreb depuis 1960 et met au service de ses clients une expertise mondiale en fourniture d’équipement, de solutions de traitement et de conditionnement pour les aliments liquides en Algérie, en Mauritanie, en Tunisie et au Maroc. Cette proximité locale permet à Tetra Pak d’assurer une disponibilité continue de ses experts et de ses services et ce, en toute circonstance.
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