Alors que l’Algérie et la France traversent une crise diplomatique, Emmanuel Macron invite le président Abdelmadjid Tebboune à la conférence internationale pour la Libye qui se tiendra le 12 novembre prochain à la capitale Française Paris.
En effet, l’information a été confirmée, ce jeudi 9 novembre, lors d’un point de presse, par un conseiller de l’Elysée qui a également évoqué les relations entre l’Algérie et la France.
« Le Président Tebboune a été invité par le Président de la République (Emmanuel Macron, ndlr) à participer à la Conférence internationale pour la Libye organisée à Paris le 12 novembre prochain », a-t-il dit.
Selon le même responsable, Macron « souhaite la participation du Président Tebboune à cette conférence », car pour lui, l’Algérie est « un acteur majeur dans la région« . Par ailleurs, il a également fait savoir que Macron « regrette les polémiques et les malentendus engendrés par les propos (de Macron sur l’histoire de l’Algérie) rapportés ».
Cette invitation intervient au moment où le vice-président du Conseil présidentiel libyen Moussa El Kouni, accompagné du Chef d’état-major libyen Mohamed Al-Haddad, sont en visite officielle à Alger. Les deux hauts responsables libyens ont été reçus aujourd’hui par le président Tebboune.
Cette rencontre, un communiqué de la présidence, a été une occasion d’« examiner les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale dans plusieurs domaines et d’échanger les vues sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun ».
L’invitation de Macron pour le président Tebboune intervient toutefois dans un contexte géostratégique assez compliqué.
Outre celle de l’Algérie, la conférence internationale pour la Libye, qui aura lieu à Paris, le 12 novembre prochain, est loin d’avoir acquis la participation de la Turquie, pourtant acteur majeur dans le conflit Libyen qui dure depuis plus de dix ans.
Il est à noter que le président Tebboune a déclaré, lors d’une déclaration à un média Allemand, « qu’aucun Algérien n’accepterait qu’il reprenne contact avec ceux qui ont formulé ces insultes » et que « Macron a blessé la dignité des citoyens ».
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La quatrième vague de la covid-19 se dessine de plus en plus clairement au moment où la vaccination et ses campagnes sont loin de donner des résultats satisfaisants en Algérie. Les cas de contamination au virus restent toutefois largement maitrisables, affichent les chiffres du ministère de la Santé.
En effet, aujourd’hui, le 09 novembre 2021, le département de Abderrahmane Benbouzid a affirmé que l’Algérie a recensé ces dernières 24 heures, 131 nouveaux cas de contamination à la Covid-19, contre 98 cas enregistrés pendant la journée d’hier. Concernant les décès survenus à cause du coronavirus, le ministère a fait part de 4 nouveaux cas.
Les chiffres officiels, qui ont également annoncé 77 nouvelles guérisons et 16 nouvelles admissions en services de réanimations pour aujourd’hui, font monter le bilan total des infections à la covid-19 en Algérie depuis le début de la crise sanitaire, à 207 331 cas. Selon les mêmes chiffres, pas moins de 5953 algériens sont décédés à cause de complications liées au virus.
Réticence aux vaccins : le pari raté de l’AlgérieL’Algérie a raté une occasion en or de renforcer son immunité collective contre le covid-19. Suite à la 3ᵉ vague, les Algériens, au lieu d’aller se faire vacciner en masse, ont cru que la pandémie fait partie du passé, indique le Dr Melhag. Le virologue ajoute que cette réticence est due à plusieurs facteurs.
Outre le fait que la fin du confinement ait poussé les Algériens à se détourner des vaccins, le Dr Melhag a exposé plusieurs autres raisons allant de la théorie du complot à une mauvaise gestion de la campagne de la vaccination.
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Le grand match décisif approche. Quelques jours seulement nous séparent de la confrontation face au Burkina Faso dans le but d’obtenir le billet de qualification à la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
En effet, Belmadi ainsi que ses protégés se sont rendu hier au Caire, en Égypte, afin d’affronter l’équipe djiboutienne ce vendredi 12 novembre, et ce, dans le cadre de la cinquième journée des éliminatoires, avant d’accueillir les Étalons pour la confrontation décisive, prévue le mardi 16 novembre.
Sur ce, le coach doit bien choisir son onze, parmi les 25 joueurs sélectionnés, afin d’éviter toute surprise inattendue. Et à la grande satisfaction des Algériens, notamment les amoureux du ballon rond, Adam Ounas est enfin de retour, et la possibilité de sa participation aux matchs prévus reste très probable.
Adam Ounas prêt pour « le challenge »L’attaquant a subi dernièrement une blessure au niveau de sa cuisse droite, qui l’a obligé à déclarer forfait lors de la double confrontation face au Niger.
Alors qu’il s’est totalement guéri et a même rejoint les entrainements collectifs, Adam Ounas est désormais prêt pour le prochain challenge.
À cet effet, la Fédération algérienne de football a publié la photo du jeune footballeur lors de la séance d’entrainement de lundi soir, au stade du Caire, accompagnée d’une légende : » Bienvenu Adam Ounas « .
Les internautes ont réagi nombreux à cette publication, à travers des milliers de likes et de commentaires dans lesquels ils ont loué les capacités de l’attaquant de Naples, le décrivant comme étant un joueur très talentueux.
Par ailleurs, d’autres internautes, dans leurs propos, fondaient de grands espoirs sur Adam Ounas, le considérant comme la clé du match face au Burkina Faso, pour sa capacité à pénétrer la défense adverse grâce à sa haute technique.
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C’est partout, sur les réseaux sociaux, les journaux, dans les discours des politiques et les rapports des députés de l’émigration ; la cherté des billets d’avion déplaît, inquiète et inspire des réformes.
Lors de la Conférence des chefs de missions diplomatiques et consulaires algériennes, le Premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, a soulevé la cherté des billets comme étant un moyen indirecte de couper le lien entre la communauté algérienne à l’étranger et leur pays. Suite à quoi, une Commission d’enquête a été créée. Une nouvelle instance qui aura pour but d’élucider les raisons derrière ces prix exorbitants notamment chez Air Algérie et de mettre en place les mesures nécessaires pour changer la déplorable situation.
Comme l’a souligné l’Ambassadeur d’Algérie à Paris, Antar Daoud, les prix empêchent clairement notre diaspora de se rendre en Algérie ; les billets avoisinent les 900 euros.
Sièges vides pour garder des poches rempliesLa diaspora algérienne souffrait avant du nombre réduits de vols à cause de la reprise timide. Une fois les vols accentués suite à la forte demande, les avions décollent avec de plus en plus de sièges vides à cause des prix exorbitants des billets. Comme nous l’avons vu sur les vidéos postées sur les réseaux, à l’instar du vol d’Air Algérie Montréal – Alger ou encore le vol Paris – Alger d’Air France.
Des sièges vides alors que grand nombre de la communauté algérienne à l’étranger ne parvient pas à retourner dans leur pays. Sachant que la situation risque de s’aggraver à cause de la hausse des prix du pétrole comme l’a indiqué l’Association du transport aérien international (IATA).
Les compagnies aériennes ont fait leur choix, décoller avec un avion vide et ne pas diminuer leurs prix.
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Récemment, les autorités algériennes ont annoncé la réouverture des espaces sportifs, dont les stades, aux supporters et aux amoureux du football.
En effet, cette décision est intervenue à la suite de l’enregistrement d’une baisse de cas de contamination à la Covid-19, notamment ces derniers temps.
Par conséquent, les supporters sont désormais autorisés à assister les matchs, dont celui de l’Algérie et le Burkina Faso, entrant dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
Ces derniers doivent être impérativement vaccinés entièrement contre la Covid-19, ainsi qu’ils doivent avoir le pass sanitaire, afin d’y accéder aux tribunes.
La CAF exige une nouvelle procédureDans le même sillage, la Confédération Africaine de Football a écrit aux différentes fédérations sous sa bannière concernant l’adoption d’une nouvelle procédure afin de permettre aux supporters d’assister à toutes les confrontations, et ce, à moins de deux mois avant le lancement de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun.
À cet effet, plusieurs médias égyptiens ont révélé que l’autorité continentale du football a confirmé, dans une communication officielle à toutes les fédérations nationales du jeu, que toute fédération souhaitant accepter la présence de spectateurs au stade, doit suivre le protocole établi par l’Union africaine, afin de lutter contre la propagation du Coronavirus.
Selon les mêmes sources, la CAF a souligné que ledit stade devrait pouvoir accueillir des spectateurs, répondre à toutes les exigences stipulées par la CAF et la FIFA, et être officiellement approuvé par ces dernières.
Ainsi, les médias ajoutent qu’une lettre doit être soumise à la CAF par les autorités sanitaires locales du stade qui accueillera le match, confirmant que la présence de supporters est autorisée, avec une indication du nombre de ces derniers qui y assisteront.
Par ailleurs, ladite Fédération a indiqué que des preuves doivent être envoyées à la CAF au maximum 24 heures avant le match en question, confirmant toutes les mesures nécessaires qui assurent le respect du protocole de la CAF et de la FIFA, avec la nomination d’un responsable pour organiser le match dans les meilleures conditions.
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En Algérie, après une troisième vague particulièrement meurtrière, voilà que l’on s’apprête à faire face à une quatrième, dont on ignore encore l’ampleur. Entre les deux vagues, l’Algérie a raté une occasion de renforcer son immunité collective.
Pas plus de 11 % de la population algérienne est vaccinée, et ce, alors que l’on est aux portes d’une quatrième vague, s’accordent à dire toutes les médecins et spécialistes. Pour le Dr Mohamed Melhag, chercheur, virologue et ancien biologiste, il y a plusieurs causes à cette réticence que les Algériens affichent à l’égard de la vaccination anti-covid.
Outre le fait que cette réticence se caractérise par sa nature internationale, le Dr Melhag indique que la levée du confinement et des mesures de prévention n’a pas eu un effet positif sur la campagne vaccinale en Algérie. Cette dernière, toujours d’après le même intervenant, a été considérablement ralentie par « les réseaux sociaux et les fake news, ainsi que par la désinformation ».
En effet, le Dr Melhag affirme que le fait de mettre fin au confinement « a donné un sentiment d’assurance et de soulagement chez le citoyen qui a cru que la Covid-19 faisait partie du passé. Ils ont aussitôt abandonné la vaccination ».
Les anti-vaccins, un courant de plus en plus organiséLe Dr Melhag n’a pas hésité à confier, dans un entretien accordé à nos confrères du quotidien Liberté, que les antivaccins sont devenus un courant « de plus en plus organisé ». Selon ce spécialiste, le courant anti-vaccins, ou du moins ses dirigeants « œuvrent de plusieurs manières pour semer la zizanie et le doute quant à l’efficacité et la sécurité du vaccin ».
Le Dr Melhag affirme « qu’il y a une organisation (anti-vaccins) qui a touché tous les pays dont l’Algérie ». Il ajoute que ce genre de d’organisation « sont en train de propager une politique anti-vaccin pour gagner de l’argent ». Pour ce spécialiste, « le travail (de ses organisations) n’a pas commencé avec le vaccin, mais avec la Covid-19 ».
L’ancien biologiste et actuel chercheur en virologie a évité de se pencher sur les théories du complot qui inondent le web et qui exposent la santé de millions de gens aux dangers du coronavirus. Il a seulement indiqué que parmi les causes de la réticence à la vaccination il y a « la théorie du complot et celle de la guerre biologique, dont la théorie de la manipulation du virus du sida qui s’est échappé du laboratoire et qui a donné le Covid-19 ».
L’Algérie, leader en campagne de vaccinationIl s’agit d’un paradoxe selon le Dr Melhag. Selon lui, « l’Algérie a toujours réussi ses programmes de vaccination. Elle est leader en la matière ». Elle a « éradiqué plusieurs maladies et virus », ajoute-t-il. Le virologue indique toutefois que cette fois ci, « le problème est mondial ».
Le Spécialiste rappelle qu’aux USA, il a été demandé aux principaux patrons des réseaux sociaux « d’arrêter les sites qui font de la propagande anti-vaccin sans fondements et sans arguments scientifiques ». Selon le Dr Melhag, il faut noter que « le vaccin est très sécurisé, même s’il y a des effets indésirables qui en accompagnent certains, ils restent très minimes ».
Enfin, et pour accélérer la campagne vaccinale en Algérie, le Dr Melhag indique que « dans notre société, il y a deux références : les médecins et les enseignants ». Selon lui, il faut concentrer les efforts sur ces deux pionniers.
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À l’issue des travaux de la première session du comité bilatéral frontalier algéro-mauritanien qui ont débuté hier lundi à Alger, les deux pays ont décidé à passer à l’action, notamment en matière de sécurisation de la bande frontalière.
Durant la seconde et dernière journée de la session coprésidée par le ministre de l’Intérieur Kamel Beldjoud et son homologue mauritanien, Mohamed Salem Ould Merzoug, les deux pays ont décidé de sécuriser les déplacements entre les deux pays.
Il convient de noter que ces décisions se sont intervenues au lendemain de l’attaque par le Maroc des trois ressortissants algériens alors qu’ils étaient en chemin vers la Mauritanie sur l’axe routier reliant Ouargla à Nouakchott. Rappelant que les trois ressortissants ont été tués lors de cette attaque.
Intervenant à l’issue de la session, le ministre de l’Intérieur Kamel Beldjoud a dévoilé les décisions prises lors de la rencontre en vue de sécuriser les déplacements des citoyens des deux pays en intensifiant la coopération et l’échange d’informations entre les services de sécurité des deux pays.
Les principales décisions de la sessionParmi les décisions prises, l’achèvement de la route reliant Tindouf et Zouerate pour mobiliser des ressources financières dans ce cadre, établissant une zone de libre-échange entre les deux pays au niveau de la zone frontalière.
Afin de sécuriser de cet axe routier, Beldjoud a annoncé la création d’un comité sécuritaire technique. Ce dernier aura pour mission de renforcer la coordination et l’échange d’informations entre les services de sécurité des deux pays, et ce, dans le cadre de la lutte contre « le terrorisme, le trafic de drogue, la migration clandestine, la contrebande et l’orpaillage illégal ».
Dans le volet économique, le ministre de l’Intérieur a indiqué que les deux parties se sont convenues à l’organisation d’expositions économiques et commerciales permanentes à Nouakchott. Il s’agit également de la facilitation des déplacements des opérateurs économiques entre les deux pays.
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Les préoccupations de la diaspora algérienne se multiplient ces derniers temps par rapport à la cherté des billets, au nombre des vols et aux conditions de voyage. Une catégorie qui a beaucoup souffert pendant la longue fermeture des frontières à cause de la crise sanitaire du Covid-19.
Lors de la Conférence des chefs de missions diplomatiques et consulaires algériennes, le Premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, a soulevé ces préoccupations en s’exprimant sur des sujets relatifs à la diaspora.
D’abord, au sujet des visas, le Premier ministre a souligné que les procédures d’obtention de visa pour l’Algérie sont les plus difficiles au monde, un détail assez décourageant pour les potentiels investisseurs. Raison pour laquelle le ministre a tenu à rappeler la nécessité de faciliter et alléger ces procédures afin d’encourager, d’inciter et de créer des opportunités d’investissements pour les étrangers en Algérie.
L’incontournable sujet des billets d’avionLe ministre a évoqué dans le même sillage, la cherté des prix des billets d’avion suite à l’indignation et l’insatisfaction de la communauté algérienne en France, rapporté par l’Ambassadeur d’Algérie à Paris Antar Daoud. Le diplomate algérien dénonce les prix exorbitants des billets d’avion ; 3000 euros pour 15 jours en Algérie, rappelant que plus de deux millions d’algériens sont en France.
A cet effet, une commission d’enquête a été créée afin de déceler les raisons derrière cette cherté, suite à laquelle les mesures nécessaires seront prises par le gouvernement. Il convient de noter que le Premier ministre qualifie cette cherté de moyen indirecte de couper le lien entre la communauté algérienne à l’étranger et leur pays.
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Après une série de 31 matchs sans défaite, de nombreux footballeurs, notamment franco-algériens, souhaitent intégrer l’équipe de Djamel Belmadi.
En effet, les Fennecs ne cessent de briller et de décrocher des records. Les coéquipiers de Djamel Benlmari ne sont pas loin d’atteindre le record d’invincibilités mondial obtenu par l’équipe italienne, avec 37 matchs sans défaite.
Sur ce, intégrer les Verts et devenir le coéquipier du capitaine Riyad Mahrez, est devenu désormais un souhait, voire un rêve, pour de nombreux footballeurs.
C’est d’ailleurs le cas de Mourad Satli, le défenseur franco-algérien. Le trentenaire a passé par plusieurs clubs européens, ainsi que par cinq Championnats, à savoir la Belgique, la Roumanie, l’Algérie, la France et le Qatar.
Le même joueur a même failli porter le maillot de l’équipe nationale, selon ses déclarations lors d’un entretien accordé au média français Foot National.
Matli : » ça aurait été une fierté de pouvoir jouer pour l’Algérie «Le natif d’Oran qui a été formé au RC Strasbourg, a révélé à la même source que c’était une fierté pour lui que le sélectionneur de l’époque ait pensé à lui.
» Ça aurait été une fierté de pouvoir jouer pour la sélection, c’était mon rêve quand j’étais petit. J’y étais presque. J’ai été présélectionné à cinq ou six reprises entre 2010 et 2011. Je n’ai aucun regret, c’est déjà une fierté que le sélectionneur ait pensé à moi « , a déclaré le joueur audit média.
Par ailleurs, le natif d’El Bahia n’a pas hésité a raconté un peu de son enfance vécue à la capitale de l’ouest, Oran, où il a fait savoir : » je suis né à Oran. C’est là-bas que j’ai grandi jusqu’à mes huit ans. J’ai connu l’école en Algérie et j’allais voir les matchs du MC Oran au stade avec mon frère « .
Ajoutant : » en 1998, je suis venu en France avec toute ma famille. J’ai encore de très bons souvenirs de l’Algérie. J’ai encore des amis qui vivent là-bas, je les vois quand j’y retourne « .
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L’Algérie est sans nul doute aux portes d’une quatrième vague dont tous les spécialistes ignorent l’ampleur. Pour faire face à cette flambée du coronavirus, les sorties médiatiques du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, se multiplient.
Lors de sa dernière sortie, le ministre de la Santé et de la réforme hospitalière, Abderahmane Benbouzid, a déclaré que son département compte changer de stratégie dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19. Cette déclaration intervient alors que la quatrième vague commence à menacer la stabilité sanitaire que vit le pays depuis le début du mois de septembre dernier.
Des hôpitaux dédiés aux malades du covid-19Benbouzid, qui ne veut pas voir se reproduire la catastrophe causée par la troisième vague de la covid-19 en Algérie a déclaré que son département a « décidé, à l’avenir, de désigner un hôpital dédié à la prise en charge des malades Covid et les autres vont travailler normalement ». Le ministre n’a pas manqué de rappeler qu’un dysfonctionnement en matière d’occupation de lits dans les hôpitaux, a eu des répercussions catastrophiques sur la gestion de la pandémie durant la précédente vague.
Le ministre de la Santé a également apporté un autre plan qui pourrait grandement aidé l’Algérie à sortir de la quatrième vague sans trop de pertes. Il s’agit de la création de cinq hôpitaux régionaux dédiés aux malades du covid-19 au niveau de cinq wilayas : (Chlef, Sidi Bel Abbés, Bouira, Sétif, Djelfa).
Selon Benbouzid, opter pour un seul et grand hôpital ou bien pour cinq hôpitaux régionaux dépendra de l’ampleur de la situation sanitaire, rapportent nos confrères du quotidien Le Soir d’Algérie.
De son côté, le directeur des services hospitaliers au ministère de la Santé, indique que l’option de la création de cinq hôpitaux régionaux est «irréalisable». Le même responsable explique que «nous avons enregistré jusqu’à 17 000 demandes d’hospitalisation. Si on divise cette demande par cinq hôpitaux, on aura 3 000 malades par hôpital et aucun hôpital n’a ces capacités », rapporte la même source.
Il est à noter que le plus grand hôpital du pays, Mustapha Pacha en l’occurrence, dispose d’une capacité qui ne dépasse pas les 1 500 lits.
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Suite à la réouverture partielle des frontières aériennes annoncée le 1er juin dernier, les compagnies aériennes reprennent des vols qui étaient suspendus auparavant à cause de la crise sanitaire. Ces compagnies tentent de présenter les meilleures offres, chose très difficile notamment avec la cherté des prix constatée sur tout les sites.
C’est pour cela que la compagnie aérienne nationale Air Algérie, lance enfin son programme de fidélisation, compte tenu des critiques et de l’indignation des clients et même de la classe politique quant aux prix exorbitants des billets d’Air Algérie, une cherté qui a impacté les vols internationaux et qui n’a pas épargné les vols intérieurs.
Raison pour laquelle le programme de fidélisation est intéressant, il vous fait gagner des miles à chaque vol réalisé, ces miles cumulés pourront être échangés (billets, surclassement, excèdent de bagages).
Quels sont les privilèges ?Pour en bénéficier, il suffit de créer un compte sur le site d’Air Algérie, vous deviendrez ainsi membre, vos réservations et vols effectués seront enregistrés automatiquement.
En devenant membre, vous allez d’abord commencer avec la carte Djurdjura, avec laquelle vous allez :
Recevoir jusqu’à 2000 miles dés votre premier vol, gagner des miles à chaque voyage sur nos lignes, prendre des bagages supplémentaires de 05kg, à l’exception des destinations où le poids autorisé est à la pièce « pièce concept » et être prioritaire en liste d’attente à l’aéroport.
Une fois les 25 000 miles atteints, vous passerez à la carte Chélia, vous profiterez donc de :
Un bonus en miles de 25% sur chaque vol, l’enregistrement au guichet première classe, la priorité en liste d’attente à l’aéroport, un traitement prioritaire de vos bagages, une franchise bagages supplémentaires de 10kg sur les destinations où la compagnie applique le concept au poids, et une pièce supplémentaire ne dépassant pas les 23kg est offerte au départ et à destination des villes suivantes : Montréal et Pékin.
Si vous aurez cumulé 40 000 miles grâce à vos voyages, vous passerez à la carte prestigieuse Tahat qui vous promet :
Un bonus de 50% sur chaque vol, un siège garanti jusqu’à 72 heures avant le départ (en classe économique), priorité en liste d’attente à l’aéroport, enregistrement au guichet classe première, traitement prioritaire de vos bagages, franchise bagages supplémentaire de 20kg sur les destinations où la compagnie applique le concept au poids et une pièce supplémentaire ne dépassant pas les 23kg est offerte au départ et à destination des villes suivantes : Montréal, Pékin et Dubaï.
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Lors de la Conférence des chefs de missions diplomatiques et consulaires algériennes, le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, s’est penché sur le rôle de la diaspora dans le plan de sortie de l’actuelle crise économique que vit le pays.
En effet, le premier homme au gouvernement, lors du discours qu’il a donné aujourd’hui, a souligné le fait que la communauté algérienne à l’étranger constitue une des clés qui pourrait contribuer au développement de l’économie nationale.
La participation de la Diaspora dans les efforts du gouvernement pour sortir de la crise économique n’est pas suffisante selon le premier ministre. D’après les déclarations de ce dernier, l’Algérie pourrait bénéficier de plus de transferts de fonds de la part de sa diaspora.
La diaspora, c’est moins de 2 milliards de dollars par anSelon le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, « l’Algérie ne bénéficie que très peu des transferts de fonds de la communauté algérienne à l’étranger ». Le haut responsable n’a pas omis de souligner que la valeur du total des transferts de fond dans le monde « a atteint les 548 milliards de dollars ». La participation de la diaspora est donc jugée insuffisante par le premier ministre.
Concernant les sommes de devises transférées par la diaspora, Benabderrahmane a déclaré que « l’Algérie bénéficie seulement de 1.7 milliard de dollars par an ». Le premier ministre estime qu’il s’agit « d’une somme qui ne reflète les moyens de notre communauté à l’étranger« .
Le premier ministre a ensuite invité les diplomates à « soutenir les agences de voyages et à faciliter l’obtention du visa algérien ». Benabderrahmane a également invité les diplomates algériens à mettre en service « des cartes techniques pour investir en Algérie », mais aussi « une plateforme électronique pour les compétences algériennes à l’étranger ».
« Pour participer de manière volontaire et organisée à l’édification de la nation », la diaspora, indique le premier ministre, « a besoin de reprendre confiance ». « Le haut responsable affirme que « cela constitue la priorité des priorités du programme de président de la république ».
Pour conclure, le premier ministre n’a pas manqué d’ordonner aux diplomates « d’être à l’écoute des préoccupations de la diaspora et d’accompagner nos compétences à l’étranger ».
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Partout dans le monde, et dans n’importe quel domaine, les Algériens brillent toujours. En effet, ces derniers sont présents dans tous les domaines, honorant ainsi leur pays et hissant haut le drapeau national.
Pour le domaine lié au sport, il est connu que les Algériens sont très forts à cet effet. Cette fois-ci, c’était le tour de Madani Rahmani pour prouver cela. En effet, le champion du monde de kick boxing a pris un temps record afin de mettre fin à sa confrontation face à son homologue marocain Aziz Felak.
Trois secondes seulement étaient largement suffisantes pour prouver la performance de l’athlète algérien. Ce dernier a battu son adversaire par KO, lors des toutes premières secondes du combat qui les a réunis.
Madani remporte la ceinture de champion de Belgique au poids de moins de 85 kgLe boxeur Algérien, pendant le combat, est allé droit au but et a porté un coup sévère au Marocain, à la suite duquel ce dernier est tombé au sol. Le sportif algérien de 32 ans a remporté, grâce à cette victoire, la ceinture de champion de Belgique, au poids de moins de 85 kg.
Sachant que la victoire remportée par Madani en un temps record estimé à trois secondes, est l’une des victoires les plus rapides obtenues en kick boxing.
Par ailleurs, il convient d’indiquer que le Liégeois a donné le coup d’envoi du match opposant le Standard de Liège au KV Courtrai, où il a saisi l’occasion afin de remercier de président du club belge Standard de Liège, Bruna Venanzi en l’occurrence.
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Le président de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT), Noureddine Daoudi est revenu hier à Oran, sur le taux d’exploitation du domaine minier national.
Intervenant lors de l’ouverture de la 10e édition du salon professionnel international des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures (NAPEC 2021) à Oran, le responsable affirme que « seulement 40% du domaine minier national fait l’objet de prospection et d’exploitation ». Par conséquent, 60% du domaine minier n’est toujours pas encore exploré ni exploité.
« La superficie couverte par les travaux de prospection, de recherche et d’exploitation représente 40% de la surface globale, ce qui laisse libre une superficie dépassant les 60% du domaine minier national des hydrocarbures qui n’est pas encore exploré », déclare le président de l’Alnaft.
D’ailleurs, il explique que « la couverture du domaine minier national des hydrocarbures (onshore et offshore), qui s’étend sur une superficie de plus de 1.75 million de kilomètres carrés, en matière de travaux, demeure insuffisante ».
« Ces chiffres témoignent de la diversité d’opportunités »Ainsi, Noureddine Daoudi estime que « ces chiffres témoignent de la diversité d’opportunités présentes et de l’ampleur des investissements à considérer dans les perspectives d’une valorisation optimale des ressources existantes ».
Concernant le potentiel pétro-gazier de l’Algérie, l’intervenant affirme qu’il « demeure important » précisant que « la base des réserves actuelles peut être renforcée grâce à la couverture de l’ensemble des thématiques et régions du pays, y compris l’offshore ».
À ce propos, il précise que le domaine offshore devrait « bénéficier d’une appréciation plus soutenue ». Il rappelle également que « 75% des découvertes majeures réalisées à travers le monde ces dernières années sont situées en mer ».
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Les traversées maritimes ont repris récemment, pour le plus grand bonheur des voyageurs et de la diaspora algérienne après une longue période d’inactivité à cause du Covid-19. La décrue de ce dernier a permis leur reprise.
Une reprise tant attendue et des soucis inattendus. Beaucoup de problèmes ont été relevés pendant la traversée Marseille – Alger. Ces problèmes ont commencé bien avant de monter à bord, le système de réservation de billets n’est toujours pas efficace et structuré.
D’abord, on ne peut ignorer les queues interminables, au port, à l’entrée, à l’accueil, engendrant un vacarme et une cohue désobligeants. Ensuite, à l’accueil, un manque cruel d’organisation notamment pour la distribution des chambres pendant que la négligence des personnes âgées et des personnes ayant des besoins spéciaux crève les yeux ; absolument aucune prise en charge. Puis, pour couronner le tout, pas d’internet pendant toute la traversée, des heures d’ennuie imposées aux voyageurs.
En plus de l’attente pesante avant de faire sortir les voitures et la panne des ascenseurs et escaliers électriques pour faire descendre les bagages, beaucoup de voyageurs se plaignaient d’avoir perdu leurs affaires. Enfin, la souffrance de l’attente se décelait du visage des voyageurs pendant les lentes procédures douanières.
Piètre gestion!Ce sont des moments compliqués vécus à bord du Badji Mokhtar 3, que le député à l’émigration, Tewfik Khedim, n’a pas manqué de soulever et dénoncer à travers sa page Facebook. Ce dernier faisait partie des voyageurs de cette traversées.
Le député n’a pas hésité à contacter les autorités concernées, dénonçant fermement « les scènes de médiocrité et l’échec de gestion » omniprésents à bord, et ce, en affirmant que le suivi sera effectué, ayant pour but d’améliorer les conditions de voyage des algériens et surtout, soigner l’image de l’Algérie à travers les institutions qui la représentent.
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Le taux de change de l’euro face au dinar a connu un léger recul, ce mardi 9 novembre, dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie. Sur le marché parallèle, cette monnaie garde toujours le niveau qu’elle a atteint en ce début de semaine.
En effet, le prix de l’euro à la Banque centrale d’Algérie est de 159,03 dinars à l’achat et de 159,08 dinars à la vente. Le cours de la monnaie unique européenne dans les transactions au marché parallèle s’affiche toujours à 219 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente.
Le cours du dollar a également augmenté à la Banque d’Algérie pour enregistrer 137,68 dinars à l’achat et 137,69 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’est élevé à 191 dinars à l’achat et 189 dinars à la vente.
En outre, le taux de change de la livre sterling dans le circuit officiel a baissé à 185,30 dinars à l’achat et 185,37 dinars à la vente. Au niveau du circuit informel, le prix de cette monnaie est proposé contre 248 dinars à l’achat et 245 dinars à la vente.
La Banque d’Algérie a également fait état, dans son tableau de change pour les cotations commerciales d’ouverture du 8 au 10 novembre en cours, d’un dollar canadien contre 110,52 dinars à l’achat et 110,54 dinars à la vente.
Taux de change des principales monnaies de pays arabesPour ce qui est du taux de change des monnaies de pays arabes, le cours du riyal saoudien s’est stabilisé à la Banque d’Algérie, enregistrant 36,70 dinars à l’achat, et 36,71 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est à 47,99 dinars à l’achat et de 48,53 dinars à la vente.
Le cours du dirham émirati a également augmenté, dans les transactions de la Banque d’Algérie pour atteindre les 37,48 dinars à l’achat et 37,49 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’échange contre 49,01 dinars à l’achat et de 49,55 dinars à la vente.
Le dinar koweïtien a, pour sa part, baissé à 455,60 dinars algériens à l’achat et 456,85 dinars algériens à la vente dans les cotations officielles. Sur le marché parallèle des devises, l’unité de cette monnaie s’échange contre 596,76 dinars à l’achat et 603,39 dinars à la vente.
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Les fortes précipitations, parfois sous forme d’orages, continueront à affecter plusieurs wilayas du nord du pays durant la journée de ce mardi 9 novembre, indique un bulletin météo social émis par Météo Algérie.
Selon la carte de vigilance publiée sur le site de l’Office de météorologie, près d’une vingtaine de wilayas sont placées en vigilance orage pluie. La validité du BMS devra s’étaler au mois, jusqu’à l’aube de demain mercredi.
Les wilayas concernées par le bulletin sont Skikda, Jijel, Bejaia, Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger, Tipaza, Chlef, Relizane, Tissemssilt, Ain Defla, Médéa, Blida, Bouira, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Mila.
La quantité de pluie estimée durant la validité de ce BMS devrait varier entre 40 et 60 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 80 mm sur les wilayas côtières.
Par ailleurs, la wilaya d’Illizi est également placée en vigilance « orange » à partir de lundi à 18 heures jusqu’à mardi à 18 heures. La quantité de pluie estimée durant la validité de ce BMS devrait varier entre 20 et 40 mm.
Les prévisions et températures de ce mardiSur les autres régions du sud du pays, l’ONM a fait état d’un temps voilé à nuageux sur le Sahara oriental avec quelques averses de pluies orageuses s’atténuant en fin de journée. Le temps sera passagèrement nuageux sur le nord du Sahara et les oasis.
Pour ce qui est des températures maximales attendues pour ce mardi, Météo Algérie prévoit entre 15 et 21 degrés sur les régions côtières, entre 9 et 19 degrés sur les régions intérieures et entre 16 et 36 degrés sur les régions sahariennes.
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La stabilité de la situation sanitaire en Algérie ne va pas durer longtemps, d’après la majorité des spécialistes. L’apparition d’une quatrième vague dans certains pays européens et asiatiques vient appuyer le constat et les prévisions des médecins et spécialistes algériens.
C’est le cas notamment du Pr. Kamel Senhadji, président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire qui n’a pas hésité à exprimer ses inquiétudes quant à la persistance de la pandémie de COVID-19. Le spécialiste a plaidé pour une vaccination « immédiate », afin de limiter les effets néfastes d’une quatrième vague inévitable.
En effet, la saison hivernale ne peut que favoriser la recrudescence de la pandémie, raison pour laquelle professeur Senhadji appel les gens à profiter de cette accalmie pour aller se faire vacciner le plutôt possible. « L’efficacité du vaccin ne sera optimale qu’après un mois de la vaccination, voire plus », a-t-il précisé.
Le spécialiste n’a d’ailleurs pas caché son inquiétude quant à la présence de plusieurs indicateurs annonçant ainsi la survenue d’une nouvelle vague dans les pays européens qui assistent actuellement à une augmentation considérable des cas de contamination.
La 3ᵉ dose est nécessaire, selon Pr SenhadjiDans ce sens, Kamel Senhadji appel à une vaccination collective et immédiate tout en précisant que le vaccin est aussi efficace et important qu’un anti-biotique. Ainsi, le spécialiste s’est montré totalement favorable à l’administration d’une troisième dose, surtout pour les personnes vaccinées depuis au moins six mois. « Après cette période, l’immunité a tendance à s’affaiblir », poursuit-il.
En conclusion, le président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire a salué le rôle des professionnels de la santé, de la société civile, du secteur de l’éducation et de la jeunesse ainsi que les médias qui participent à la sensibilisation et à la vulgarisation des informations scientifiques et médicales.
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Le projet de loi de finances (PLF 2022) a fait l’objet d’une discussion ce lundi 8 novembre 2021 au sein du parlement algérien. En effet, il a été présenté par le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane devant les députés a leur tête Brahim Boughali et en présence des membres du Gouvernement.
Le PLF 2022 vient compléter les ambitions économiques et social de l’État qui ont été adoptées dans le cadre du Plan d’action du Gouvernement. Lors de cette séance plénière, plusieurs suggestions ont été avancées dans l’objectif d’enrichir le contenu dudit projet. Il s’agit entre autre d’une suggestion stipulant la levée de l’exigibilité de la TVA sur les billets d’avion vers le sud algérien.
Cette suggestion vise essentiellement à améliorer les conditions de voyage et de déplacements des voyageurs dans le sud algérien. Cela permettra ainsi de mettre fin à l’isolement que vit les régions du Sahara et de développer par conséquent le tourisme local
Il a été proposé par ailleurs d’accélérer le processus de la numérisation du secteur financier, et ce, en œuvrant pour la mise en place d’un système d’information financier et bancaire, permettant d’exploiter les données économiques nécessaire à l’évaluation des projets de loi de finance.
Levée des subventions sur les produits alimentaires : la question qui intéresse le plus les AlgériensParmi les points les plus pertinents et intéressants aux yeux du citoyen algérien, figure en effet la question relative à la levée des subventions sur les produits alimentaires. Un sujet qui a été abordé ce lundi 8 novembre par le président de la Commission des finances et du budget à l’APN Seddik Bakhouche.
Ce dernier a affirmé que la concrétisation de cette mesure requiert encore beaucoup de temps. Pour argumenter, l’intervenant évoque la complexité des opérations de recensement des foyers qui bénéficieront du dispositif national de compensation.
Seddik Bakhouche ajoute que le PLF 2022 contient juste des clarifications et les cadres réglementaires permettant le lancement de cette démarche, ce qui prouve que cette mesure n’entrera pas en vigueur de sitôt.
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Les irrégularités, perturbations et coupures d’eau sont devenues monnaie courante en Algérie, plus précisément dans la capitale Alger. La SEAAL ne cesse de s’attirer les foudres de la population algéroise.
Selon un communiqué rendu public ce lundi 8 novembre par la SEAAL, une perturbation en alimentation en eau potable sera enregistrée à partir d’aujourd’hui, et ce, en raison des dernières intempéries que le pays a connues.
En effet, « une turbidité élevée des eaux brutes des barrages à l’arrivée des stations de traitement SAA et Boudouaou » a été causé hier 7 novembre 2021 par les dernières intempéries, explique SEAAL. Selon cette dernière, l’incident impactera négativement la production relative au traitement de l’eau.
Par conséquent, plusieurs communes de la capitale seront touchés par des perturbations en alimentation en eau potable. Il s’agit en effet des communes dont la desserte est assurée par les deux systèmes de transfert de la Chaine des Hauteurs et SPIK.
Les communes concernéesPour le système de la chaine des Hauteurs, les communes concernées sont : Tessala El Merdja, Douera, Baba Hacen, Kheracia, Rahmania, Souidania, Ouled Fayet, Draria, Saoula, El Achour, Dely Brahim et Cheraga.
Pour le deuxième, à savoir SPIk, cela concerne : Reghaia, Rouiba, Heuraoua, Dar El Beida, Bordj El Kiffan, Bordj El Bahri, El Marsa, Oued Smar, Mohammadia, Bach Djerrah, Kouba, Bourouba , El Harrach , Ain Taya et Bab Ezzouar.
En revanche, La société la Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger n’a pas encore communiqué la date de la remise en service de l’alimentation en eau potable. Selon la même source, cela dépend de la fin des travaux de réparation et la stabilisation de la qualité des eaux brutes.
Pour les usagers prioritaires (établissements publics et hospitaliers), SEAAL a indiqué via sa page Facebook, qu’un dispositif mobile de dotation en eau potable sera mis en place. Enfin, la société a adressé certaines consignes très impportantes à ses clients.
Il s’agit d’un côté de la fermeture indispensable des robinets d’eau, afin d’éviter une inondation éventuelle au moment du rétablissement de la distribution d’eau. D’un autre côté, il est recommandé de laisser couler à faible débit un des robinets d’eau froide pendant quelques minutes afin de chasser l’air qui pourrait se trouver dans le branchement, conclut la SEAAL.
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