L’équipe d’Algérie de football qui connait depuis presque deux ans beaucoup de succès au niveau continental et régional, s’était qualifié mardi passé, 16 novembre 2021, pour les barrages coupe du Monde 2022.
Après un match rendu difficile par l’état de la pelouse du stade Mustapha Tchaker, mais aussi par le stress et l’enjeu majeur de la compétition, les coéquipiers de Mahrez ont surmonté l’épreuve. Grâce au match nul (2-2), L’Algérie a pu rejoindre le Sénégal, le Maroc, le Mali, l’Égypte, la RD Congo et le Ghana.
Avec une impressionnante série d’invincibilités de 33 matchs sans défaites, l’Algérie se positionne maintenant aux côtés des grandes équipe de football tel que l’Argentine, l’Allemagne et l’Italie. En revanche, le nouveau classement mondial de la FIFA fait état d’un léger recul.
En effet, et selon le classement mondial établit pour le mois de novembre par la Fédération internationale de football, l’Algérie a perdu deux places. Le dudit classement qui vient d’être publié, ce vendredi 19 novembre, montre que les fennecs occupent désormais la 32e place, après avoir été placé à la 30e durant le mois d’octobre passé. Par ailleurs, l’Algérie maintient sa quatrième (4ᵉ) position au niveau africain.
Match barrage mondial 2022En effet, le nouveau classement établit par la FIFA est un critère déterminant pour les matchs barrages. Les cinq nations qualifiées les mieux classées composent le premier chapeau ; les cinq autres forment le deuxième chapeau.
Suite à la qualification de l’Algérie, les coéquipiers de Belaili se sont retrouvés aux côtés de l’Égypte, le Ghana, le Mali, la République démocratique du Congo et le Cameroun. Ils évitent ainsi de croiser le Sénégal, le Maroc, la Tunisie et le Nigeria.
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Au moment où les choses semblent se tasser en Algérie, après que plusieurs décisions aient été prises, en France, l’on semble encore déplorer la dernière escalade diplomatique entre Alger et Paris. Pour la deuxième fois cette semaine, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian revient sur cette crise qui dure depuis près de deux mois.
Dans un entretien publié aujourd’hui vendredi par le journal Français Le Monde, le ministre Français a affiché la volonté de la France de nouer un « partenariat ambitieux » avec l’Algérie, malgré les «blessures mémorielles» qui peuvent « parfois » resurgir.
Le ministre semble vouloir dépasser la crise diplomatique qui a commencé suite aux déclarations faites par le président Macron. Il affirme que la France et l’Algérie sont liées avec « liens ancrés dans l’histoire », avant d’ajouter que « nous souhaitons que le partenariat franco-algérien soit ambitieux ».
Le Drian insiste, et veut en finir avec cette question. Pour rappel, il a affirmé lors de son dernier passage à l’assemblée nationale Française, mardi dernier, que « la France et l’Algérie sont unies par des liens ancrés dans l’Histoire, y compris des histoires personnelles », mais aussi « par un partenariat qui est indispensable pour la stabilité de l’espace méditerranéen ».
Le Drian veut panser « les blessures mémorielles »Le haut responsable Français ne semble reculer devant rien pour arriver à un retour à la normale des relations entre Alger et Paris, alors que le président Français a clairement fait savoir au mois d’octobre dernier que le « système politico-militaire algérien entretient une rente mémorielle autour de la guerre d’indépendance et de la France ».
En effet, Le Drian a affirmé aujourd’hui « qu’il est logique, quand on connaît notre histoire, qu’il y ait parfois des résurgences de blessures, mais il faut dépasser cela pour retrouver une relation confiante ». Le ministre français ajoute que « Il y a parfois des malentendus, mais cela n’enlève rien à l’importance que nous attachons aux relations entre nos deux pays ».
Selon Le Drian, « Il faut conserver ce lien fait de respect des souverainetés et d’une volonté commune de dépasser les contentieux pour retrouver une relation apaisée ».
Concernant la crise au Sahel, Le Drian a salué la position d’Alger. Il a notamment rappelé que l’Algérie a indiqué qu’elle est prête à aider les Maliens à sortir de la crise. Le ministre français a ensuite déclaré que « nous ne voyons que des avantages à ce que l’Algérie s’inscrive plus fortement encore dans la mise en œuvre de ces accords ».
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Malgré la persistance de la pandémie de COVID-19 et le danger d’une quatrième vague épidémique, l’Algérie a levé certaines restrictions sanitaires, à savoir la levée du confinement partiel, la réouverture des stades et des salles des fêtes.
Cependant, ce retour à la normale s’accompagne d’une série de mesures préventives. Si les autorités ont autorisé d’un côté, la reprise de certaines activités sportives, culturelles et festives, ils ont d’un autre côté imposé le pass- sanitaire. En effet, l’accès aux stades et aux salles des fêtes est désormais tributaire de la présentation d’un document prouvant la vaccination
vers le changement de stratégie de vaccination ?Invité ce vendredi 19 novembre 2021 par radio Sétif, le professeur Nibouche, directeur du service cardiologie à la capitale Alger a plaidé en faveur de l’obligation vaccinale. En effet, l’intervenant a fait savoir qu’une réunion a été tenu avec le ministre de la Santé, dans laquelle il a été préconisé de changer la stratégie actuelle relative à la vaccination.
« Il ne faut plus attendre que les Algériens se dirigent volontairement vers les centres de vaccination. C’est une solution à exclure. Raison pour laquelle, on a préconisé de changer de stratégie… Il faut désormais rendre obligatoire la vaccination du personnel de la santé sans exception, à l’image de plusieurs pays », explique Pr Nibouche.
Le spécialiste poursuit : « Il est nécessaire d’accélérer le processus d’instauration du pass sanitaire dans les lieux publics, notamment les universités ». En conclusion, l’invité du média susmentionné a appelé les autorités publiques à ne pas prendre à la légère la question de la vaccination. « Il faut plutôt être strict et rigoureux », conclut-il.
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L’Algérie se lance-t-elle enfin vers l’Afrique ? Après lui avoir tourné le dos pendant plusieurs années, l’Algérie semble prendre conscience du potentiel qu’offre le marché africain dans plusieurs domaines.
Dans le secteur de l’aviation, c’est le ministre du transport, Aissa Bekkai, qui a annoncé hier sa volonté de faire de l’aéroport d’Alger une zone de transit pour les voyageurs africains, fait savoir un communiqué
En effet, c’est lors d’une réunion avec les représentants des compagnies aériennes Air Algérie, Tassili Airlines, et d’autres sociétés privées qui opèrent dans ce domaine, que le ministre a invité les participants à étudier la possibilité d’exploiter l’aéroport Houari Boumediéne comme un point de transit pour les voyageurs africains.
L’Algérie embarque sur le vol AfriqueLe ministre a notamment convié les participants à cette réunion à se pencher sur l’étude des possibilités qui vont permettre de créer de nouvelles lignes aériennes entre l’Algérie et les autres pays africains. Cette volonté s’inscrit dans le plan de la diplomatie économique algérienne pour entrer dans un des marchés mondiaux du transport aérien les plus rentables.
Plusieurs propositions ont été présentées au ministre, notamment celle ayant trait avec la transformation de l’aéroport d’Alger en un pôle aérien important et en une zone de transit incontournable pour les voyageurs des pays africain en partance ou de retour de plusieurs destinations internationales.
Les participants à cette réunion ont également exposé au ministre ce qui fait de l’aéroport d’Alger l’une des plus grandes infrastructures en Afrique, ce qui lui procure un énorme potentiel, mais à condition d’améliorer ses services, de les moderniser et de les rendre plus proches et compétitifs afin d’attirer davantage de voyageurs.
De son côté, le ministre a appelé à étudier toutes les possibilités et les moyens d’atteindre cet objectif. Il a notamment invité tous les acteurs algériens nationaux, mais aussi régionaux et continentaux à participer à ce projet et à faire profiter le pays de leurs expériences dans ce domaine.
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Alors que le secteur de l’éducation patauge depuis plusieurs années dans des problèmes multidimensionnels, le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, à l’occasion de la journée internationale de l’enfance, a invité hier à accorder plus d’importance à « l’histoire grandiose de l’Algérie ».
Le premier ministre, a souligné, lors de la même occasion l’engagement du gouvernement à réunir « toutes les conditions » et à « prendre toutes les mesures » qu’il faut afin d’assurer l’avenir des futures générations et pour les préparer à poursuivre un processus de développement durable.
L’histoire, au cœur de l’éducation nationaleLors de son discours, le premier ministre a affirmé qu’il faut « revoir le système éducatif national afin d’accorder plus d’intérêt à l’enseignement de la glorieuse histoire d’Algérie ». Benabderrahmane ajoute que générations montantes doivent connaitre l’histoire de leurs pays, et les personnalités qui l’ont marquée.
Benabderrahmane a notamment souligné l’importance de mettre en avant les différentes périodes de l’histoire du pays et d’enseigner aux futures générations les biographies « des symboles et des figures emblématiques de l’Algérie, à l’instar de Medracen, Massinissa, Jugurtha, Tarek Ibn Ziad, l’Émir Abdelkader et autres ».
Le premier ministre a également déclaré que « la formation de l’homme de demain passe par la formation de l’enfant d’aujourd’hui à travers une meilleure prise en charge de sa santé et l’amélioration du système éducatif », et que son gouvernement tente de créer « un environnement propice à la créativité et à l’innovation ».
Cette sortie du premier ministre intervient alors que le secteur de l’éducation est paralysé par une grève annoncée par le cnapeste et qui est largement suivie par les enseignants qui réclament une revalorisation des salaires au moment où le pouvoir d’achat du simple citoyen est en chute libre.
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Il n’est secret pour personne que l’Algérie dispose d’un potentiel humain fort. Que cela concerne l’innovation, la recherche scientifiques ou l’éducation, les Algériens ont souvent honorer leur pays lors des compétitions et concours internationaux.
C’est le cas par exemple d’une professeure d’anglais qui a réussi à décrocher le prix mondial de l’enseignant pour l’année 2021, autrement appelé le Global teacher Award 2021. Il s’agit de Kheira Zahout, une enseignante au collège Mokhtar Khedhiri de la wilaya de Djelfa.
En effet, C’est l’organisation mondiale AKs education awards dont le siège social se trouve dans la capitale de l’Inde, New Delhi, qui a honoré à distance la candidate algérienne, en raison des restrictions sanitaires. L’organisation s’intéresse aux recherches et projets éducatifs à travers tous les pays du monde, en organisant des concours entre des candidats issus de différentes nationalités.
Pour cette année, C’est une Algérienne s’est d’instigué des 26000 autres candidats de 110 pays. En effet, le projet de Kheira Zahout est non seulement original et intéressant, mais aussi d’actualité et innovant. Il s’agit de l’enseignement à distance à l’ère du coronavirus et de la fermeture des établissements scolaires.
Intitulé : Developing growth mindset by using technology, le projet de l’enseignante algérienne porte sur le développement de l’esprit des élèves à travers l’utilisation des technologies d’information et de communication, et ce, en procédant à la création d’un club éducatif virtuel.
L’enseignante algérienne honorée dans la wilaya de DjelfaOutre cette distinction qui vient enrichir le CV de Kheira Zahout, cette dernière a déjà participé à d’autres évènements et concours. En 2020, elle a reçu le prix “International Expert Teacher » de la part de Microsoft « Education ».
Pour conclure, Kheira Zahout a été honoré mardi dernier, 16 novembre, par le directeur de l’éducation de la wilaya de Djelfa, Nabil Achour, lors d’une cérémonie de remise de prix qui a réuni différents enseignants et membres de la direction de l’éducation de la wilaya de susmentionée.
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Alors que certains attendent l’arrivée de la quatrième vague de la covid-19, le Pr Nibouche quant à lui pense qu’il faut agir maintenant, et que si la flambée arrive, il sera déjà trop tard. Le même spécialiste s’est penché sur plusieurs solutions simples, qui peuvent faire éviter à l’Algérie une énième catastrophe.
Dans un entretien accordé à Radio Sétif, le Pr Nibouche, directeur du service cardiologie à la capitale Alger, affirme qu’il s’est « étonné de ceux qui parlent de la quatrième vague au futur, alors que c’est maintenant qu’il faut agir ». Le spécialiste estime « qu’il faut encercler le virus maintenant ».
Lors du même entretien, le spécialiste affirme qu’une moyenne de 5 décès par jour revient à déplorer 200 morts par mois, « ce qui est un grand nombre ». Afin d’éviter davantage de décès, le Pr Nibouche mise sur la vaccination, et déplore que 13 millions de doses risquent la péremption alors que le pays se dirige de pas fermes vers une nouvelle vague épidémique.
Campagne vaccinale : vers un changement de stratégieLors d’une réunion où était présent le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, le Pr Nibouche a affirmé que la revendication qui a primé était celle portant sur « un changement de la stratégie de la vaccination ». Le même intervenant confie que « l’on s’attend plus des Algériens qu’ils aillent se faire vacciner volontiers ». Selon lui, il s’agit d’une chose « improbable ».
Le professeur Nibouche a également plaidé pour l’obligation de la vaccination au sein du secteur de la Santé. Tout le corps médical doit être vacciné selon spécialiste, comme c’est le cas dans tous les pays du monde. Le médecin ajoute que le pass sanitaire doit également être instauré au niveau des universités et de divers endroits publics.
Pour que le pays puisse faire face à la quatrième vague, il est urgent, selon le Pr Nibouche, de connaitre les régions qui connaissent une flambée, de faire une enquête épidémiologique afin d’instaurer une carte et d’encercler ensuite le virus avant que cela ne soit trop tard. La mise en place de centres dédiés à la réception de patients contaminés doit également se faire en toute urgence, selon le même intervenant.
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Si l’économie du pays connait un certain recul depuis quelques années, la dévaluation du Dinar y est pour quelques choses. Outre la conjoncture financière fragilisée par la pandémie de la covid-19, la monnaie nationale a du mal à se relever.
Face au dollar et à l’euro, le dinar algérien parait tout minuscule. Selon les cotations officielles de ce vendredi 19 novembre, l’unité de la monnaie étasunienne est cédé contre 138.62 à l’achat et contre 138.63 à la vente.
Quant à la monnaie unique européenne, un seul euro est échangé aux guichets de la banque d’Algérie contre 157.15 dinars algériens à l’achat et contre 157.21 à la vente. Cependant, la livre s’échange plus chère. Un seul pound est cédé contre 187.27 dinars algérien à l’achat et contre 187.34 à la vente.
Enfin, le dollar canadien s’échange aux guichets de la banque d’Algérie contre 110 dinars algériens à l’achat et contre 110.02 dinars algériens à la vente.
Le taux de change au niveau du marché noirDepuis la levée des restrictions sanitaires et la reprises des vols internationaux et des dessertes maritimes par conséquent, les prix de l’euro et du dollar ont flambé sur le marché noir. Les cambistes au Square Port-Saïd dans la capitale Alger se réjouissent de la forte demande.
En effet, un seul euro est cédé au marché informel contre 218 dinars algériens à la vente et contre 216 dinars algériens à l’achat. La monnaie étasunienne connait ainsi une flambée sans précédent. Un seul dollar s’échange contre 191.5 dinars algériens à la vente et 189.5 dinars algériens à l’achat.
Pour ce qui est du dollar canadien, l’unité est cédée par les cambistes contre 139.5 dinars algériens à l’achat et contre 142.5 dinars algériens à la vente. Enfin, la prestigieuse monnaie britannique s’échange très cher. L’unité est cédée au marché noir contre pas moins de 247.5 dinars algérien à la vente et contre 244.5 dinars algériens à l’achat.
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L’Algérie a connu ces dernières semaines une forte activité pluviométrique, notamment dans les régions du Nord. Les pluies diluviennes ont causé des dégâts matériels, mais aussi des pertes humaines dans la capitale Alger.
Pour aujourd’hui, vendredi 19 novembre, 2021, c’est au tour des régions du sud de connaitre d’abondantes pluies. Selon un BMS émis par les services météorologiques, trois wilayas du Sud du pays seront au rendez-vous avec de fortes pluies orageuses.
Il s’agit en effet des wilayas de Beni Abbas, Béchar et Tindouf. L’office nationale de Météorologie indique par ailleurs que la quantité de pluie oscillera entre 40 et 50 ml. Quant à la validité de ce BMS, il prendra effet à partir de ce vendredi 19 novembre jusqu’à l’aube du samedi 20 novembre.
Qu’en est-il des autres régions du Nord ?Tandis que de fortes pluies s’abattront sur le sud algérien, le nord quant à lui, devra connaitre une certaine stabilité climatique à partir de ce week-end. Après avoir été touché par des intempéries, le soleil est de retour sur certaines régions du nord.
En effet, les quantités de pluies vont progressivement diminué à partir de la semaine prochaine. Cependant, les températures ne vont pas dépasser les 12 degrés. Pour ce qui est des régions côtières, météo Algérie prévoit des vents violents dont la vitesse dépassera les 50 km/h, sur les régions de Ghazaouet, Port say (Marsa Ben M’Hidi ), Béni Saf, Mostaganem, Ténès, Bouharoune, Oran, Arzew.
Fermeture temporaire de la gare de transport de Bir Mourad RaisIl convient de rappeler par ailleurs, que les fortes chutes de pluies ont conduit à la fermeture d’une gare de transport au niveau de Bir Mourad Rais. Suite à un éboulement en gare, les services de la circonscription administrative de Bir Mourad Raïs (Alger) ont annoncé mercredi 17 novembre la fermeture temporaire de la gare de transport de voyageurs de Bir Mourad Raïs.
« La gare routière a ainsi été transférée dans la rue adjacente avec interdiction aux autres véhicules d’emprunter cette voie », indique le communiqué publié par les services compétents. À cela s’ajoute, la mobilisation des policiers et la mise en place des panneaux d’orientation pour faciliter la circulation
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Des grands changements s’opèrent en Algérie, poussant le pouvoir d’achat du simple citoyen dans ses plus extrêmes retranchements. La dévaluation de la monnaie nationale n’est plus un secret pour personne. Devant les principales devises, notamment le Dollar américain et l’Euro, le Dinar peine à se relever.
Alors que le gouvernement prévoit une dévaluation du Dinar de 10 % d’ici deux ans, la monnaie nationale est déjà tout à fait faible devant le billet vert et la monnaie unique européenne.
C’est depuis le mois de juin dernier que les prémices d’une flambée des devises a commencé à se dessiner en Algérie. C’était prévisible, diront tous les cambistes de Port-Saïd qui s’attendait avec impatience à la réouverture des frontières et à la reprise des vols internationaux.
Record du Dollar, flambée de l’EuroLe billet vert bat des records. C’est du jamais vu au niveau du Square Port-Saïd. Les cambistes cèdent le Dollar contre 194 DA. Au marché officiel, les choses ne se passent pas beaucoup mieux pour la monnaie nationale. Un seul dollar s’échange aux guichets de la Banque d’Algérie contre de 138,63 dinars algériens, se rapprochant dangereusement de la barre des 140 dinars.
Il s’agit la d’un nouveau record. Il est à rappeler qu’au mois de janvier 2021, un seul dollar valait 132 dinars au marché officiel, et pas plus de 165 dinars au marché parallèle au mois de mai. La reprise des vols a fait gagner au billet vert plus près de 30 dinars en seulement quelques mois.
Concernant la monnaie unique Européenne, la valeur d’un seul Euro est passé, de 187 DA début juin à 219.50 dinars aujourd’hui, au marché noir. Une hausse qui n’augure rien de bon.
Il est à noter que les voyages retour depuis l’Algérie se paient désormais exclusivement en devises, ce qui a fortement augmenter la demande. Pour pouvoir faire la réservation au profit des clients, les agences de voyages sont contraintes d’aller s’approvisionner en devises au marché noir, ce qui n’arrange rien aux choses.
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Nos algériens ne cessent de briller dans les quatre coins du monde dans tous les domaines. Cette fois-ci il s’agit d’une grande actrice franco-algérienne qu’on a vue sur nos écrans et même sur les réseaux sociaux, qui brillera dans une série autour d’un grand événement à l’étranger.
Chaque année, vers la fin du mois de novembre, les films et les séries de Noël se multiplient. Une rude concurrence s’installe. Néanmoins, la nouvelle série Netflix réunissant deux visages très connus dans le monde artistique et cinématographique français risque de détrôner les autres.
Il s’agit de l’actrice franco-algérienne, Shirine Boutella et le chanteur français, Julien Bouadjie, dit « Tayc » en protagonistes qui se démarquent cet hiver.
Shirine, l’étoile au sommet du sapin artistiqueShirine et Tayc qu’on voit sur beaucoup d’affiches, sont les acteurs principaux dans la nouvelle et la première série française au thème de Noël disponible sur la célèbre plateforme Netflix, la série est appelée « Christmas Flow ».
L’actrice franco-algérienne a déjà participé dans des programmes algériens de grande envergure à l’instar du feuilleton Lkhawa (les frères) ou encore à l’international comme sa participation dans Lupin. Elle joue le rôle principal de Lyna, une journaliste féministe complètement désintéressée par l’amour et les histoires de cœur, qui fait une rencontre inattendue avec un rappeur, une rencontre qui va changer sa vie et surtout sa vision de l’amour.
Pour rappel, Shirine Boutella est actrice mais aussi « youtubeuse » avec plus de 560 000 abonnés et « influenceuse » sur les réseaux notamment Instagram avec plus de 2.5 millions d’abonnés.
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Abdelghani Hamel sombre et emporte dans sa chute toute sa famille. Aujourd’hui, à la cour d’Alger, l’ex-homme fort de la DGSN ainsi que son épouse, sa fille et ses trois enfants, ont répondu aux accusations portées à leur encontre. La famille Hamel a beau nier, cela n’avait pas empêché le procureur général de faire un lourd réquisitoire.
« Blanchiment d’argent », « enrichissement illicite », « trafic d’influence » et « obtention d’assiettes foncières par des moyens illégaux », tous des chefs d’inculpation auxquels les membres de la famille Hamel, ainsi que des proches de l’ex-chef de la DGSN, ont dû répondre aujourd’hui.
Sans grande surprise, les membres de la famille de Abdelghani Hamel, ainsi que le militaire lui-même, se sont accrochés à leur innocence, et nié toutes les accusations.
Mourad Hamel et le local AADLMourad Hamel, le fils de Abdelghani Hamel, l’ancien directeur général de la Sûreté nationale, a déclaré aujourd’hui devant le juge qu’il était surpris des accusations portées à son encontre, notamment celle en relation au blanchiment d’argent et au trafic d’influence. Le mis en cause a toutefois avoué qu’il possède certains biens à Alger et à Oran, dont un local AADL.
En effet, le fils de l’ex-homme fort de la police a avoué qu’il était le propriétaire d’un appartement F4 à Staouali, d’un dépôt douanier à Tafraoui, de deux autres dépôts publics à Alger, ainsi que d’un « lopin » de terre à Mansoura, et d’un autre à Oued Tlilet. Pour finir, Mourad Hamel a souligné qu’il a seulement pu bénéficier d’un local AADL à Oran, avant de se rappeler qu’il possédait aussi un parking à Gouraya ainsi qu’un autre à Douaouda.
Mourad a été accusé d’avoir 13 comptes bancaires, ce qu’il a catégoriquement nié. Il déclare n’en posséder que 3, les autres, affirme-t-il sont au nom de son entreprise GPM, dont l’argent est tout à fait « légal ».
L’autre fils du militaire, Amyar Hamel, a nié tout abus de fonction grâce au grade son père, et avait assuré qu’il a toujours travaillé pour protéger la réputation de son géniteur.
Chahinaz Hamel et le logement LSPChahinaz Hamel a assuré que les accusations qui pèsent contre elle sont « illogiques ». Selon elle, il est hors de question qu’elle soit mêlée à des affaires de blanchiment d’argent ou de trafic de documents officiels. La fille du premier homme à la DGSN au temps de Bouteflika a affirmé que son logement LSP a été acquis en suivant la procédure légale.
La mise en cause affirme qu’elle possède un logement LSP aux Bananiers, dans la capitale Alger. Ce logement affirme-t-elle, a été acquis « dans les normes légales », après qu’elle eut déposé une demande manuscrite à laquelle étaient jointes ses fiches de paie.
Car oui, la fille d’El Hamel, travaillait, ou du moins, c’est ce qu’elle voulait faire croire. Elle a confié être une diplômée de l’école supérieure d’architecture, avant d’assurer qu’elle a passé son stage pratique dans un bureau d’étude d’Alger.
Hamel et sa femme, un empire immobilier ?16 ans de prison ont été requis aujourd’hui par le procurer général à la cour d’Alger contre l’ancien directeur général de la sureté nationale, Abdelghani Hamel. Ce dernier, ainsi que son épouse Annani Salima, sont notamment accusés d’être à la tête d’un véritable empire immobilier éparpillé à travers plusieurs wilayas dont Tlemcen, Alger, Oran et Sétif.
Les mis en cause ont nié en bloc, mais selon l’enquête préliminaire, il s’est avéré que plusieurs biens immobiliers appartenaient à l’ex-homme fort de la DGSN. Outre la non-déclaration de biens, ce dernier est également poursuivi pour « enrichissement illicite », « trafic d’influence », « obtention d’assiettes foncières par des moyens illégaux » ainsi que pour « blanchiment d’argent ».
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Avec la reprise des traversées maritimes, la diaspora algérienne respire ainsi que les voyageurs après tous ces mois de fermeture, voici le programme de décembre et janvier prochains :
Cinq traversées sont programmées pour le mois de décembre depuis et vers le port d’Alicante (Espagne), à savoir les dates du 2, 9, 16, 22 et 29 décembre, et ce, entre les ports d’Alger et Oran avec un départ à 19h pour chacune de ces traversées.
Pour la ligne Alger – Marseille, depuis le port d’Alger, il y aura des traversées le 6, 13, 20 et 27 décembre. Alors que depuis le port de Marseille, les traversées prendront le large le 4, 11, 18, 23 et 30 décembre, 16h est l’heure du départ de chaque traversée.
Quant au mois de janvier 2022, les dates du 2, 10, 17, 24 et 31 verront le départ des traversées depuis Alger vers Marseille et pour la ligne inverse, le 8, 15, 22 et 29 du mois de janvier, départ à 16h pour toutes ces traversées.
Un programme attendu et surveilléChaque traversée de la compagnie maritime nationale est très attendue, que ce soit de la part des députés de l’émigration qui ont envoyé des rapports concernant les mauvaises conditions de voyage, de la part des voyageurs qui espèrent voyager agréablement dans de meilleures conditions et profiter de leur traversée ou encore de la part de la compagnie elle-même pour obstruer les actes d’incivilité dénoncés auparavant.
Par ailleurs, l’entreprise a mis en garde les futurs voyageurs, notamment à bord du nouveau navire Badji Mokhtar 3 fraîchement inauguré.
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Alors que les spécialistes s’égosillent à mettre en garde contre l’approche d’une nouvelle vague épidémique, le ministère du Commerce, et à sa tête M. Kamel Rézig, a donné aujourd’hui le feu vert pour la reprise de l’activité des salles des fêtes en Algérie.
Une décision tant attendue par certains, et violemment critiquée par d’autres. Il est toutefois à noter que ce feu vert est soumis à plusieurs mesures sanitaires, et que la reprise n’a été annoncé qu’après l’autorisation donnée par le comité scientifique chargé du suivi de l’évolution de la pandémie du coronavirus en Algérie.
En effet, aujourd’hui le 18 novembre 2021, le ministère du Commerce a annoncé la décision portant sur l’autorisation des salles des fêtes à travers tout le territoire national de reprendre leurs activités à condition de respecter un protocole sanitaire strict relatif à la pandémie de la covid-19.
Salles des fêtes : les conditions du ministèreLa première condition posée par le ministère implique une déclaration sur l’honneur qui devra être faite par les gérants et les propriétaires de la salle des fêtes de respecter le protocole sanitaire. Ce dernier limite l’exploitation de salles des fêtes à seulement 50 % de leurs capacités. Le nettoyage et la stérilisation de la salle et des ustensiles après chaque occasion est désormais obligatoire.
En outre, le protocole établi par le département de Rézig oblige à la mise à la disposition des clients, par les propriétaires des salles des fêtes, du savon, du gel hydroalcoolique, et des masques. Les propriétaires doivent également faire passer un test de température à leurs clients avant que ces derniers entrent dans l’établissement.
La distanciation physique n’a pas été oubliée par le ministère. Entre chaque deux tables, l’on doit laisser 1.5 mètre de distance.
Enfin, la vaccination est aussi au cœur de ce protocole. Le ministère ajoute que les pass sanitaire doivent être présentés. Cette mesure concerne les travailleurs, mais aussi toute personne qui va entrer dans l’établissement. L’entrée des enfants de moins de neuf ans est cependant totalement interdite.
Des visites surprises seront faites par des représentants du ministère afin de veiller sur le respect du protocole sanitaire, affirme un communiqué du département de Kamel Rézig.
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La sélection nationale de Djamel Belmadi est composée des meilleurs talents et joueurs algériens. « Le ministre du Bonheur » a su faire de cette équipe une sélection imbattable qui ne cesse d’obtenir du succès, mais aussi décrocher des titres et des records.
Parmi les talentueux et brillants joueurs de l’équipe de Belmadi, figure l’ex-défenseur Rafik Halliche. En effet, et dans une interview accordée à la chaine sportive qatarie El Kass, l’ancien international algérien, Rafik Halliche, a évoqué les raisons qui l’ont poussé à décider de mettre un terme à sa carrière internationale avec l’équipe nationale.
Le natif d’Alger a révélé dans ses déclarations : » quand un joueur atteint la fin de sa carrière, il pense toujours qu’il peut continuer aussi longtemps qu’il peut le supporter. Pour ma part, j’ai été avec l’équipe nationale pendant longtemps. Je pense avoir fait ce qu’on attendait de moi « , ajoutant : » il y avait aussi des jeunes qui sont venus soutenir la sélection nationale. J’ai préféré leur laisser la place et sortir par la grande porte « .
» Je suis très content de mon parcours de 12 ans » (Halliche)Interrogé sur son désir de jouer la Coupe Arabe, le trentenaire a affirmé : » oui, mais pas seulement. Je voulais aussi jouer la Coupe d’Afrique des Nations et la Coupe du Monde, mais j’ai préféré sortir par la grande porte et céder ma place à la jeunesse. Je suis très content de mon parcours de 12 ans avec l’équipe nationale, j’ai fait mon devoir, je n’ai ménagé aucun effort au service de mon pays « .
Par ailleurs, l’ancien footballeur a poursuivi : » sept matchs de Coupe du Monde dans deux éditions différentes, en plus d’une rencontre historique en huitièmes de finale, est un exploit pour moi. Après cela, remporter la Coupe d’Afrique des Nations en 2019 m’a fait penser à une retraite internationale « .
Il est utile de rappeler que Rafik Halliche a pris sa retraite du football international après la Coupe d’Afrique des nations 2019, lorsque les hommes de Belmadi ont été couronnés du deuxième titre continental de l’histoire de l’Algérie, où il a été mis à l’honneur lors d’une rencontre amicale entre les Verts et le Bénin au Stade » 5 juillet » d’Alger.
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Les Algériens ont toujours honoré leur pays à l’étranger, soit dans le domaine scientifique, sportif, ou même technique, ces derniers sont présents dans tous les pays du monde, où ils brillent et hissent haut le drapeau national.
Cette fois-ci, nos intellectuels algériens nous ont honoré à Rome, en Italie. En effet, l’Algérie a remporté le premier prix du WestMED Initiative Awards, pour le meilleur programme de développement des compétences et de soutien à l’innovation dans le domaine de l’économie bleue.
Algeria Startup Challenge a remporté la première place des Prix de l’initiative WestMED en tant que meilleur programme de développement des compétences et d’accompagnement à l’innovation dans le domaine de l’économie bleue au niveau du bassin méditerranéen. Ladite Startup, a été représentée par son directeur Abdelfettah Herizi dans la capitale italienne.
L’Algérie gagnante parmi plus de 50 programmesPar ailleurs, il convient également d’indiquer que le nombre de programmes et projets participants à cet évènement scientifique a dépassé les 50 projets.
Parmi les pays participants, figuraient plusieurs pays européens, à l’instar de l’Espagne, le Portugal, la France et la Grèce. On remarque également la participation des pays d’Afrique, à savoir la Tunisie, le Maroc, la Libye et la Mauritanie.
Ainsi, Algeria Startup Challenge avait participé à travers l’Aquaculture Technologie Challenge et l’Économie Bleue, qui a organisé le challenge de parrainage du Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime.
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Les spécialistes appellent tous à aller se faire vacciner contre la covid-19, et ce, au moment où une nouvelle vague de la pandémie semble être à nos portes. La hausse du nombre des cas de contamination ne semble toutefois pas alarmer grand monde.
En effet, selon les chiffres officiels, communiqués quotidiennement par le ministère de la Santé, l’Algérie a recensé aujourd’hui le 18 novembre 2021, pas moins de 152 nouveaux cas de contamination au coronavirus, contre 135 cas positifs enregistrés lors de la journée d’hier.
Le même bilan fait état de 4 nouveaux décès dus à des complications liées au virus, mais aussi de 86 nouvelles guérisons et de 22 nouveaux patients qui ont été admis aux services de réanimation.
Ces derniers chiffres dévoilés ce jeudi par le département de Benbouzid font porter le total des contaminations à la covid-19 en Algérie depuis le début de la pandémie à plus de 208.532 cas. Le total des décès quant à lui dépasse les 6004, toujours selon les chiffres de la tutelle.
Quatrième vague : l’état se prépareSelon le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, son département a pris toutes les mesures nécessaires pour faire face à une éventuelle flambée des cas de contamination au coronavirus. Le ministre a toutefois pointé du doigt les rumeurs véhiculées sur les réseaux sociaux, causant une large réticence aux vaccins.
Les spécialistes s’accordent toutefois à dire que l’arrivée d’une quatrième vague est certaine. En Europe c’est déjà le cas, les hôpitaux débordent de malades de covid-19. La situation est qualifiée par certain d’une pandémie de non- vaccinés.
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La polémique autour du dernier match des Fennecs continue toujours. En effet, les hommes de Belmadi ont affronté, ce mardi 16 novembre, le Burkina Faso pour le compte de la dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
La confrontation s’est soldée par la qualification des Verts aux matchs barrages, éliminant ainsi les Étalons. À cet effet, le sélectionneur national de ces deniers, Kamou Malo en l’occurrence, n’accepte toujours pas l’élimination de son équipe de la course de la qualification pour ladite Coupe du Monde. Sachant que dernier avait fortement critiqué la sélection nationale avant la confrontation décisive.
» Nous avons pu arracher la qualification, mais c’est le football » (Kamou Malo)En effet, le sélectionneur du Burkina Faso est revenu sur son match face aux Fennecs, où il a révélé dans des déclarations au site officiel de la Fédération Burkinabé de Football après le match : » nous avons joué contre l’équipe nationale algérienne avec une ligne offensive composée de jeunes joueurs inexpérimentés « .
» Nous nous sommes battus contre l’Algérie pour gagner et nous qualifier pour les matchs barrages, mais nous n’y sommes pas parvenus « , ajoute-t-il.
Par ailleurs, le premier responsable du staff technique des Étalons a poursuivi : » nous sommes satisfaits de la performance contre l’Algérie et nous avons pu arracher la qualification, mais c’est le football. L’équipe nationale burkinabè est en phase de construction et nous avons de jeunes joueurs « .
Pour rappel, le président de la Fédération burkinabè de football, Lazare Banssé, quant à lui, n’a pas manqué de dire son mot, où il a affirmé après le match à ses joueurs : » nous avons fait trembler l’Algérie « .
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Le ministère des Affaires étrangères est en perpétuelle action ces derniers mois, notamment avec les changements et repositionnements de l’Algérie sur la scène internationale dans un contexte géostratégique délicat dont les événements ne cessent de s’accélérer.
Dans ce sillage, le président Tebboune a opéré un vaste mouvement dans le corps diplomatique algérien. En effet, plusieurs ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires, ainsi que de consuls et de consuls généraux de l’Algérie dans plusieurs pays à travers le monde ont été touchés par cette décision.
« Par décret présidentiel du 27 Rabie El Aouel 1443 correspondant au 3 novembre 2021, il est mis fin, à compter du 31 octobre 2021, aux fonctions d’ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires de la République algérienne démocratique et populaire », indique le dernier numéro du journal officiel.
50 diplomates concernésIl s’agit, toujours selon la même source, de mettre fin aux fonctions exercées par 50 diplomates algériens à l’étranger. les ambassadeurs concernés, et appelés à exercer d’autres fonctions sont, Boualem Chebihi, à Bamako (République du Mali) ; Mokaddem Bafdal, à Antananarivo (République de Madagascar) ; Merzak Bedjaoui, à Yaoundé (République du Cameroun) ;Larbi El Hadj Ali, à Ottawa (Canada) ;Mohamed Irki, à Mascate (Sultanat d’Oman) ;Mourad Adjabi, à Ankara (République de Turquie) ; Hamid Boukrif, à Prague (République Tchèque) ; Mohamed Benattou, à Brazzaville (République du Congo) ; Mohamed Cherif Kourta, à Moscou (Fédération de Russie) ; Abdelkader Hadjazi, à Tripoli (Etat de Lybie) ; Toufik Milat, à Madrid (Royaume d’Espagne) ; Lounes Magramane, à Lahaye (Royaume des Pays).
Toujours selon le dernier numéro, la décision du président Tebboune touche également Abderrahmane Benguerrah, à Londres (Royaume-Uni de Grande-Bretagne et de l’Irlande du Nord) ; Soufiane Mimouni, ambassadeur et représentant permanent auprès de l’organisation des Nations Unies à New York ; Salima Abdelhak, à Bakou (République d’Azerbaïdjan) ; — Abdelkrim Touahria, à Abou Dhabi (Etat des Emirats Arabes Unis) ; Ahmed Boutache, à Rome (République d’Italie) ; Mohammed Besseddik, ambassadeur et représentant permanent adjoint auprès de l’organisation des Nations Unies à New York ; Hassane Rabehi, ambassadeur, mis à la disposition de la Ligue des Etats Arabes, au poste de secrétaire général adjoint.
Concernés également par les remaniements, les ambassadeurs Mohamed El Amine Bencherif, à Tokyo (Japon) ; Abdelkader Aziria, à Djakarta (République d’Indonésie) ; Mohammed El-Amine Derragui, à Séoul (République de Corée du Sud) ; Mohamed Berrah, à Hanoi (République socialiste du Viêt Nam) ; Nasreddine Rimouche, à Kuala Lumpur (Malaisie) ; Hamza Yahia-Cherif, à New Delhi (République de l’Inde) ; Lakehal Benkelai, à Islamabad (République islamique du Pakistan) ; Abdelmoun’Am Ahriz, à Téhéran (République islamique d’Iran) ; Madjid Bouguerra, à Washington (Etats Unis d’Amérique) ; Toufik Dahmani, à Brasilia (République fédérale du Brésil) ; Ghaouti Ben Moussat, à Caracas (République du Venezuela).
Le mouvement opéré par la présidence concerne également Rachid Benlounes, à Pretoria (République d’Afrique
du Sud) ; Boualam Hacene, à Dakar (République du Sénégal) ; Youcef Delileche, à Accra (République du Ghana) ; Sid-Ali Abdelbari, à Windhoeck (République de Namibie) ; Farid Boulahbel, à Kampala (République del’Ouganda) ; Zineddine Birouk, à N’Djamena (République du Tchad) ; Mohamed Ainseur, à Ouagadougou (République du Burkina Faso) ; Nacerdine Sai, à Harare (République de Zimbabwe) ; Nour Eddine Khendoudi, à Nouakchott (République Islamique de Mauritanie) ; Mohamed Bourouba, à Amman (Royaume Hachemite de Jordanie) ; Sayeh Kadri, à Manama (Royaume du Bahrein) ; Abdelkader Benchaâ, à Baghdad (République d’Irak) ; Latifa Yahiaoui, à Sofia (République de Bulgarie) ; Ahcene Kerma, à Stockholm (Royaume de Suède) ; Abdelhamid Chebchoub, à Belgrade (Serbie et Monténégro) ; Hocine Boussouara, à Kiev (Ukraine) ; Nawel Settouti, à Helsinki (République de Finlande) ; Ahcène Boukhelfa, à Pékin (République populaire de Chine), ces derniers n’ont pas été appelés à exercer de nouvelles fonctions.
Les consuls généraux touchés par ce vaste mouvement sont Saïd Moussi, à Paris (République française) et Ali Redjel, à Milan (République d’Italie) appelés à exercés d’autres fonctions. En ce qui concerne les consuls remaniés, il s’agit, toujours selon la même source de, Abdelhamid Ahmed-Khodja, à Toulouse (République française) ; Belkacem Mahmoudi, à Créteil (République française), Hayat Maoudj, à Pontoise (République française) ; Nadjeh Baaziz, à Bobigny (République française).
Le président Tebboune a mis fin aux fonctions des consuls Hadda Touati, à Nice (République française) ; Mohamed Saoudi, à Montpellier (République française) sans les nommer pour exercer d’autres fonctions.
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Beaucoup d’algériens exercent dans leur pays le métier de « taxieur clandestin » en noir et souvent dans l’impunité, ce n’est pas le cas d’un de nos compatriotes en France qui non seulement est accusé d’exercice illégal mais aussi pour ses tarifs prohibitifs.
Hier, un jeune algérien de 26 ans a été jugé par le tribunal correctionnel de Paris, et ce, pour l’exercice illégal de la profession de chauffeur de taxi et escroquerie. Manifestement connu pour des pratiques d’escroquerie en tant que taxi clandestin, sa réputation le précède avec le surnom « boucher ».
C’est en septembre dernier que la police chargée des taxis (les Boers) à Paris a été particulièrement interpellée par l’activité de ce « taxieur », et ce, après une plainte déposées par deux clientes, victimes de ses pratiques frauduleuses. Suite à quoi, après une enquête qui a duré un mois, l’algérien a été arrêté le 6 octobre dernier, en travaillant sur Lyon.
Les révélations de cette affaireLors d’une perquisition au domicile du jeune algérien, qui s’est passé, selon les dires des policiers présents, dans une ambiance d’insultes et de violence émis par le mis en cause, une somme de 7000 euros a été trouvée. Quant aux victimes qui se sont constituées partie civile, le chauffeur prenait très cher à savoir 150 euros pour des courses à Paris. Mais pas que, ils lui ont également reproché l’infraction de certaines règles de sécurité.
Le verdict du tribunal est enfin tombé ; 18 mois de prison pour le jeune algérien (9 avec sursis) en plus de l’annulation de son permis de conduire qu’il ne pourra repasser qu’après six mois.
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