L’ancien sélectionneur national Rabah Madjer a été présenté devant le juge le mois dernier, afin de s’expliquer dans l’affaire qui le liait à l’ANEP. Affirmant que cette comparution était sur sa demande, il revient avec des explications sur cette affaire.
Dans un entretien accordé au quotidien El Watan, l’ancien international algérien a précisé qu’il avait « hâte de rentrer (en Algérie NDLR) pour me présenter devant le juge et lui fournir ma version sur ce qui a été qualifié d’affaire Madjer ».
D’ailleurs, il tient à préciser que c’était lui-même qui avait demandé à son avocat « d’aller voir le juge pour qu’il me fixe un rendez-vous dans son bureau », et ce, « pour donner ma version et fournir toutes les explications en ma possession ».
Ensuite, il affirme qu’il a effectivement comparu devant le juge et « j’ai quitté le bureau du juge libre », s’est-il exclamé. Dans les détails de l’affaire de l’argent que l’Agence nationale d’édition et de publicité (ANEP) a accordé au journal Al Balagh (deux versions) sur la base d’un contrat entre les deux parties, il explique qu’il n’était pas destiné exclusivement à Madjer.
« Je n’ai pas volé l’argent de l’ANEP »Revenant sur ce qu’a été relayé, l’auteur de la fameuse talonnade affirme que les accusations de vol portées à son encontre lui ont fait énormément de mal. « C’est à peine si on n’a pas dit que Madjer est un voleur ».
À ce propos, il ajoute : « Je n’ai pas volé l’argent de l’ANEP pour me traiter de la sorte. Entre cet organisme et le journal Al Balagh il y avait un contrat. Moi, aujourd’hui j’ai la conscience tranquille ».
Insistant qu’il « n’a pas volé comme certains ont voulu le faire croire », il explique que « toute cette affaire n’était en fait qu’un malentendu et je le dis : la faute incombe à l’entreprise dont j’étais un porteur de parts, un associé ».
Madjer précise également que « le 3 novembre 2019 et par un document signé chez un notaire, j’ai démissionné et remis tous mes mandats à qui de droit ». Or, « la direction du journal n’en a pas informé l’ANEP », a-t-il ajouté en soulignant qu’il n’est pas responsable de tout ce qui s’est passé à partir de cette date.
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Quand il s’agit de faits divers, d’infraction ou simplement de vols et d’agression, les médias français notamment ceux qui assurent une couverture locale, n’hésitent pas à mettre en exergue les origines des contrevenants. Qu’ils soient africains ou plus particulièrement nord-africains, les médias français mentionnent souvent ce détail.
Comme c’est le cas du journal l’Union, un média régional basé dans la ville de Reims, ayant rapporté hier, vendredi 19 novembre 2021, l’histoire d’un Algérien qui se fait passer pour un mineur afin d’échapper à la justice.
Il s’agit en effet d’une information faisant état de l’implication d’un jeune algérien âgée de 30 ans accusé de vols et de dégradation de voitures de luxe. Tout a commencé lorsque le vandale a été aperçu vers 6 heures du matin, par un gardien stagiaire du commissariat de Reims, entrain de frapper à coups de pierre sur l’antivol commun d’une trottinette et d’un vélo.
Ne parvenant pas à partir avec la trottinette posée sur le vélo, le vandale décide donc de ne prendre que l’engin motorisé, rapporte le média français. Signalé aux opérateurs du 17 grâce au policier l’ayant aperçu, le vandale a été immédiatement arrêté par une patrouille.
Auteur de vandalisme sur une Porsche Cayenne et une Audi Q8L’auteur des faits ne s’est pas contenté de casser l’antivol commun d’une trottinette et d’un vélo, mais s’est permis d’attaquer des voitures de luxes. En effet, au moment de son arrestation, une plainte parvient à la police concernant un vandalisme commis sur Porsche Cayenne dont la vitrine a été cassé.
Selon le journal l’Union, à l’intérieur de la Porsche a été retrouvé l’attache-remorque d’une Audi Q8, qui, elle aussi, a fait objet d’un vandalisme. « L’auteur s’est coupé lors des dégradations, et comme par hasard le voleur de la trottinette a une main en sang », explique la même source.
Après avoir tout avouer, l’auteur des faits, de nationalité algérienne, selon l’Union et qui se fait passer pour un mineur de 17 ans, fera face au tribunal correctionnel pour l’ensemble de son œuvre, conclut la même source.
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L’épidémie du coronavirus en Algérie continue de se propager, certes à une vitesse lente, mais qui reste toujours presque constante. C’est d’ailleurs cette situation qui inquiète les spécialistes quant à l’avènement de la 4e vague.
Ce samedi 20 novembre 2021, le bilan épidémique rendu public par le ministère de la Santé a fait état de 144 nouveaux cas de contaminations. Hier, le pays a enregistré 163 nouveaux cas confirmés de coronavirus.
Selon la même source, 98 nouveaux cas rétablis de la maladie ont été enregistrés durant les dernières 24 heures en Algérie. À rappeler que le bilan d’hier avait indiqué que 103 patients sont guéris du Covid-19.
Le bilan totalConcernant les victimes de l’épidémie, l’Algérie déplore ce samedi 3 décès, tandis que durant la journée d’hier, 5 décès dus au Covid-19 ont été recensés. Par ailleurs, 24 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Avec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 208.339, celui des décès à 6018 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 143.223 cas.
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Tout porte à croire que les grandes quantités de pluies ayant touché l’ensemble des wilayas du Nord aideront à résoudre les gros problèmes de pénurie d’eau, notamment dans la capitale Alger. Ce point de vue vient d’être réfuté cependant par le vice-président du directeur générale la SEAAL, Amine Hamdane.
Dans une déclaration à la chaine de télévision privée El Hayat, le responsable au de la Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger a affirmé que « les quantités de pluies qui se sont abattues dernièrement ne permettent pas un changement positif du programme de distribution de l’eau ».
Selon le dit responsable dont les propos ont été rapportés ce samedi 20 novembre par les médias nationaux, les pluies demeurent tout à fait insuffisantes pour impacter réellement les programmes de distributions de l’eau.
Pour étayer son point de vue, Amine Hamdane explique que la capitale Alger, à elle seule, consomme pas moins de 750 mille mètres cubes. L’intervenant déclare par ailleurs, que l’objectif de la SEAAL est d’assurer un programme de distribution de l’eau, stable au niveau de toutes les communes de la capitale.
Un point de vue partagé par la plupart des responsables des ressources hydriqueEn effet, le vice-président du DG de la SEAAL est loin d’être le seul responsable à tenir de tels propos. Bien avant lui, d’autres ont affirmé que les dernières précipitations sont insuffisantes pour mettre fin au stress hydrique.
C’est le cas notamment de la directrice centrale de l’Agence nationale des barrages et transferts, Mme Nadia Ouchar. Cette dernière avait précisé, lors de son intervention mardi 16 novembre sur les ondes de la Radio nationale que le taux national moyen de remplissage des barrages est, jusque-là, de 33,7%.
Bien qu’il soit appréciable, ce taux demeure insuffisant selon l’invitée de la radio nationale ayant indiqué qu’il s’agit d’une légère progression au vu de l’inégalité dans la pluviométrie par régions.
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Le président du mouvement El Bina Abdelkader Bengrina a critiqué les dispositions du projet de loi des finances 2022 portant sur l’impôt sur revenus issus des activités agricoles. Dans ses critiques, le leader du mouvement accuse « des cercles qui œuvrent pour le compte de la France ».
Intervenant lors d’un meeting populaire à Adrar, Bengrina a accusé des parties exerçant au ministère des Finances et aux services des impôts d’avoir imposé des taxes pour les agriculteurs dans le cadre du projet de loi des finances pour l’année prochaine.
« J’espère que c’est juste une erreur et non pas une manœuvre de la France pour affaiblir l’agriculture et favoriser le retour à la mendicité auprès d’elle et des autres », a déclaré l’intervenant. Dans le même sillage, il s’est interrogé après le vote des députés pour cette mesure si ces derniers « sont vraiment des représentants du peuple ».
« Je regrette le fait qu’un bon nombre de députés, qui se proclamait comme des représentants du peuple, exigent des impôts sur les agriculteurs du nord et du sud du pays », a lancé le leader du mouvement El Bina.
Bengrina demande l’intervention du président de la RépubliqueD’ailleurs, il rappelle que « le secteur agricole contribue à hauteur de 12% du produit intérieur brut selon les déclarations du président de la République, soit près 25 milliards de dollars ». Cela équivaut à la rente pétrolière et gazière qui est en recul », selon le même intervenant.
À ce propos, il demande l’intervention du président de la République afin d’enquêter sur l’article portant sur l’impôt imposé sur les agriculteurs. « Le président Tebboune doit intervenir afin de déterminer qui est le responsable derrière cet impôt et si ça a un lien avec la France ».
Pour rappel, le projet de loi des finances approuvé mercredi dernier par les députés stipule, dans son article 14 l’imposition de l’impôt sur le revenu global (IRG) pour les agriculteurs. Les superficies ont été également revues pour les exploitations situées dans le Sud, dans les Hauts Plateaux et autres régions.
En effet, le seuil minimum des superficies agricoles a été revu à la hausse pour mettre en application cet impôt.
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Les procès des deux dernières affaires de corruption en date traitées par la justice ont pris fin jeudi dernier par les réquisitoires du parquet. Il s’agit de l’affaire du groupe Condor et celle de l’ancien Directeur de la sureté nationale Abdelghani Hamel.
Concernant la première affaire, les frères Benhamadi propriétaires du groupe Condor sont poursuivis, avec 40 cadres, pour plusieurs délits, dont dilapidation de deniers publics, incitation d’agents publics à exploiter leur influence pour l’obtention d’indus avantages, et financement occulte de partis politiques.
Ainsi, le procureur de la République a requis 10 ans de prison ferme et une amende de 8 millions DA à l’encontre d’Omar Benhamadi, responsable de « Travocovia », et 8 ans de prison ferme et la même amende à l’encontre de son frère, Abderrahmane, gérant de la société « Altrapco ».
En outre, sept ans de prison ferme et 8 millions DA ont été requis contre Ismail Benhamadi, tandis qu’une peine de 6 ans de prison ferme et 8 millions DA a été requise contre Fayçal, Hocine et Abdelhamid Benhamadi.
Pour les autres cadres accusés, le parquet a requis une peine de 5 ans de prison assortie d’une amende d’un million de DA contre l’ancien ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, ainsi qu’une peine de quatre ans de prison et une amende d’un million de DA pour l’ancien directeur général de Mobilis, Saad Damma.
Lourds réquisitoires contre Hamel et des membres de sa famillePour ce qui est de l’affaire de l’ancien DGSN, le Procureur général près la Cour d’Alger a requis la lourde peine de 16 ans de prison ferme à l’encontre du principal mis en cause Abdelghani Hamel, assortie d’une amende de huit millions dinars.
Les trois fils de l’ancien Directeur de la sureté nationale, en l’occurrence Amiar, Chafik et Mourad, risquent quant à eux, des peines de 12 ans de prison ferme assorties d’une amende huit millions de dinars.
Le procureur général a également requis trois (3) ans de prison ferme assortis d’une amende de huit millions dinars à l’encontre de Hamel Chahinez et le maintien du jugement prononcé à l’encontre de Salima Annani, épouse de l’ancien DGSN.
Pour rappel, Abdelghani Hamel, son épouse et ses quatre fils sont poursuivis pour des charges liées à des affaires de corruption, notamment « blanchiment d’argent, enrichissement illicite, trafic d’influence et obtention d’assiettes foncières par des moyens illégaux ».
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Il n’y a même pas un mois, une affaire de pédophilie avait éclaté dans la direction de l’éducation de la wilaya de Sétif. Un directeur d’école primaire situé à Ain-Oulmen a été condamné à 8 ans de prison ferme assortie d’une amende de 30 millions de centimes pour attouchements sexuels et attentat à la pudeur sur mineur.
Quelque jours plus tard, un scandale similaire se déclenche dans la wilaya de Mostaganem. Selon un article publié ce samedi 20 novembre par le journal le Soir d’Algérie, un professeur de gymnastique exerçant dans un CEM de la ville de Mostaganem, vient d’être dénoncé par plusieurs parents d’élèves.
En effet, ces derniers ont tenu un sit-in jeudi 18 novembre devant l’entrée de la direction de l’éducation pour exprimer leur colère et indignation contre des comportements malsains et déplacés commis sur leurs enfants.
Interrogés par nos confrères du Soir d’Algérie, les manifestants ont évoqué « une attitude inappropriée qui s’apparenterait à des attouchements à caractère sexuel » commis par un professeur de gymnastique sur des élèves en situation de vulnérabilité.
L’accusé a été suspendu de ses fonctionsSuite à leur mobilisation, les parents d’élèves ont été reçus par le secrétaire général de la direction de l’éducation qui leur a annoncé que des « mesures conservatoires d’éloignement du professeur du CEM, ont été prises dans l’attente de son passage devant le conseil de discipline et éventuellement d’une poursuite pénale », rapporte le média susmentionné.
De son côté, le directeur du CEM affirme avoir adressé un rapport à sa hiérarchie pour dénoncer au plus haut point l’enseignant qui vient d’être, selon la même source, suspendu de ses fonctions. Cette affaire fortement dénoncée, est loin de passer inaperçue. Outre les parents et enseignants qui demeurent sous le choc, les victimes, quant à elles, doivent subir un traumatisme difficilement guérissable.
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Plusieurs articles inclus dans le projet de loi des finances pour l’exercice 2022 suscitent moult critiques et réserves de la part de la classe politique. Le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) renvient sur le volet économique et social tout en mettant en cause la politique de l’État.
À l’issue d’une réunion du secrétariat national du parti en session mensuelle ordinaire, tenue hier vendredi, le RCD n’a pas manqué de soulever la question de « la répression, la confiscation des libertés, les emprisonnements arbitraires et une dégradation alarmante des conditions de vie de l’immense majorité des citoyens ».
Dans son communiqué, le RCD accuse l’État de promouvoir « une politique qui vide le pays de sa jeunesse la plus instruite et la plus dynamique, réprime ses citoyens qui refusent le déclassement et le fait du prince et jette des pans entiers de la population dans la précarité et la misère ».
Ainsi, le parti de Mohcine Bellabbas revient sur le projet de loi des finances 2022 tout en critiquant vivement l’approche du gouvernement qui, selon lui, ne peut « plus acheter la paix sociale comme ce fût le cas dans les conjonctures de rente importante ».
En effet, le Rassemblement fustige les démarches du gouvernement incluses dans le PLF 2022, dont « l’amplification de la dépréciation du dinar pour gonfler artificiellement les recettes provenant des hydrocarbures au détriment du pouvoir d’achat ».
« Comme cela ne suffit pas pour combler les déficits », continue encore la même formation politique, « il rogne sur les transferts sociaux indirects (santé, éducation, logement…) et fait voter, par des députés à sa solde, la fin des subventions généralisées sur les produits de base ».
Élections locales : un « simulacre électoral » selon le RCDDans le volet politique, le RCD dénonce, encore une fois, « la criminalisation de l’action politique » qui « s’accompagne de la criminalisation de l’acte de résistance au rouleau compresseur social ».
Par ailleurs, le même parti évoque les prochaines élections locales qu’il qualifie de « simulacre électoral ». « Le simulacre électoral du 27 novembre, en plus d’être illégal, il achève le processus de discrédit des institutions entamé en décembre 2019 », accuse encore le RCD.
« Au plan diplomatique, les conséquences de cette politique sont déjà visibles. L’isolement du pays est son peu d’influence dans les institutions internationales sont le meilleur indicateur », ajoute-t-on encore.
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Suite à la suppression de l’examen du certificat de fin d’études primaires (cinquième), annoncé jeudi 18 novembre 2021, par le ministère de l’Éducation, les organisations syndicales n’ont pas tardé à réagir. Entre ceux qui ont cautionné la décision et ceux qui ont proposé d’autres mesures, les avis divergent.
Selon un article publié ce samedi 20 novembre par le journal Echorouk, l’ensemble des syndicats du secteur de l’Éducation ont appelé à la nécessité d’accompagner cette nouvelle décision par d’autres mesures complémentaires. Il s’agit entre autre de reconsidérer les modalités de « l’évaluation pédagogique ».
En effet, les organisations syndicales préconisent de standardiser les examens trimestriels au niveau de communes, et ce, dans l’objectif de créer un climat de concurrence entre elles. Par ailleurs, ils proposent de prendre en considération l’ensemble des résultats des trois trimestres dans les mécanismes permettant le passage au cycle moyen.
Tout en étant satisfait de la nouvelle décision, le président de l’Union nationale du personnel de l’éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, estime que le ministère a brusquement annoncé la nouvelle, qui a été tant revendiqué par l’UNPEF à l’ère des ex-ministres Boubekeur Benbouzid et Nouria Benghabrit.
Une décision aux avantages économiques et pédagogiquesSelon le média précité, Sadek Dziri estime que la nouvelle décision se percutera positivement sur le secteur de l’Éducation. D’un côté, l’examen de fin d’études primaires n’a jamais été un critère crédible sur le plan pédagogique, car le taux de réussite a toujours atteint 90 % voir 100 %, alors qu’en vrai l’élève n’est souvent pas prêt pour les études du cycle moyen.
D’un autre côté, Sadek Dziri affirme que la suppression de cet examen permettra de récupérer les somme d’argent, inutilement dépensés chaque année dans l’organisation de l’examen. À ce propos, les syndicats espèrent que cet argent sera mis à la disposition des écoles, et ce, en offrant du matériel et en améliorant les conditions de travail.
Le Cnapset propose des mesures complémentairesTout en soutenant la décision, le secrétaire national chargé de l’information et de la communication du CNAPESTE, Masoud Boudiba, a appelé le ministère de l’Éducation à accompagner cette décision de mesures complémentaires. Pour le CNAPESTE, il sera utile de revoir le caractère de l’examen. Autrement dit, lui ôter le caractère officiel et le considérer comme un simple test pédagogique, tout en adoptant les résultats des trois trimestres comme critères de passage au cycle moyen.
Le porte-parole du CNAPESTE a par ailleurs, appelé à la nécessité d’accorder une importance majeur aux différents comportements adoptés avec les élèves du primaire. Ces derniers ont besoin, selon Masoud Boudiba, d’un traitement pédagogique particulier et un accompagnement adéquat leurs permettant une transition école-collège sans grande difficulté.
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L’affaire du blocage des navires algériens dans des ports européens n’a pas encore livré tous ses secrets. Pour le cas du porte-conteneurs Imedghassen, de nouveaux éléments viennent d’être dévoilés concernant les raisons ayant conduit à son blocage au port de Sète.
Si le blocage du porte-conteneurs Imedghassen a suscité plus de réactions notamment auprès de la presse européenne, c’est tout simplement pour la raison qu’il est le plus grand navire de son genre de la flotte commerciale algérienne. Il est, en effet, d’une capacité de plus de 2000 conteneurs et équipé des dernières technologies dans le transport de conteneurs.
La raison de son blocage au port de Sète situé au sud de la France est aussi assez surprenante. Selon des sources en lien avec l’affaire, citées par le quotidien Echorouk, le gestionnaire administratif de la société Global maritime Algérie (GMA), propriétaire du navire, a commis une monumentale erreur concernant son affrètement. Voulant se rattraper, il a conduit au blocage.
Une erreur d’appréciation du prix d’affrètementCe dernier avait, selon la même source, affrété le porte-conteneurs à la société Anisfer Line contre la somme de 9000 dollars par jour. Or, il s’agit d’un montant dérisoire comparativement aux prix suivis dans le marché qui s’élèvent à 25 000 dollars par jours pour des navires d’une capacité moins que celle de Imedghassen.
Avant la fin du contrat d’affrètement qui lie les deux sociétés, le gestionnaire administratif a demandé à Anisfer Line de revoir à la hausse le prix, d’autant que le bateau était sur le point d’effectuer une traversée commerciale vers la Turquie. Le responsable de GMA a décidé d’empêcher la société d’effectuer ce voyage, l’obligeant à augmenter les prix.
Considérant cela comme une violation des termes du contrat conclu entre les deux parties, Anisfer Line décide de recourir à la justice maritime internationale auprès du tribunal de Montpelier. Ce dernier a ensuite condamné GMA d’une indemnité de 23,86 millions de dollars ou la saisie définitive du navire.
Ce qui risque Global maritime AlgérieLe plus intrigant dans cette affaire est que le montant de l’amende prononcée par la même juridiction dépasse le prix du navire acquis par la société algérienne en 2019 de la Corée du Sud contre 18 millions de dollars. Ainsi, GMA se retrouve menacée de perdre son navire et de payer la différence.
Il convient de rappeler que 5 cargos appartenant à la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN) ont été déjà bloqués au niveau des ports de 4 pays européens, à savoir la France, l’Italie, l’Espagne et la Belgique.
Mercredi dernier, la directrice de la marine marchande et des ports relevant du ministère du Transport, Dounia Mokdad, a tenu à apporter certains éclaircissements concernant cette affaire.
Selon elle, trois des cinq navires bloqués dans des ports à l’étranger ont pu être libérés. Concernant les deux autres navires, elle a indiqué que des négociations sont en cours afin de parvenir à leur libération.
L’article Port de Sète : les raisons du blocage du porte-conteneur algérien est apparu en premier sur .
Face aux principales devises, le dinar algérien a perdu toute sa valeur. Une dévaluation qui a eu des répercussions désastreuses sur les conditions socio-économiques en Algérie, notamment sur la question du pouvoir d’achat qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers mois.
Au niveau du marché officiel, mais aussi parallèle, le dinar algérien connait de plus en plus une dégradation. La réouverture partielle des frontières aériennes et maritimes n’a fait que renforcer le fossé entre la monnaie nationale et les principales devises.
En effet, sur le marché noir, un seul euro est cédé contre pas moins de 218.50 dinars algériens à la vente et contre pas moins de 216.50 dinars algériens l’achat. Une flambée sans précédent qui s’explique surtout par la forte demande.
Quant à la monnaie étasunienne, un seul dollar s’échange au Square Port-Saïd contre 192 dinars algériens à la vente et 190 dinars algériens à l’achat. Ainsi, un seul dollar canadien est cédé au marché noir contre 140 dinars algériens à l’achat et contre 143 dinars algériens à la vente.
La livre sterling coute toujours plus chère. Un pound s’échange au Square Port-Saïd contre pas moins de 248 dinars algérien à la vente et contre 245 dinars algériens à l’achat.
Les cotations officiellesAu niveau de la banque d’Algérie, les choses ne se passent pas mieux. D’après les cotations commerciales affichées ce samedi 20 novembre sur le site de la BA, un seul euro se stabilise aujourd’hui au prix de 157.15 dinars algériens à l’achat et de 157.21 à la vente.
Par ailleurs, un seul dollar est cédé aux guichets de la banque d’Algérie contre pas moins 138.62 à l’achat et contre 138.63 à la vente. Quant au dollar canadien, il s’échange au prix de 110 dinars algériens à l’achat et de 110.02 dinars algériens à la vente.
Enfin, la monnaie britannique est indétrônable. Elle demeure la plus chère et ne perd jamais sa valeur. Selon les cotations officielles, un seul pound est cédé ce samedi 20 novembre contre pas moins 187.27 dinars algériens à l’achat et contre 187.34 à la vente.
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Suite à un temps ensoleillé, stable et dégagé ayant caractérisé la journée d’hier, vendredi 19 novembre, sur l’ensemble des wilayas du Nord, la pluie sera de retour à partir de ce samedi. En effet, les services de météorologie ont mis en garde contre la poursuite de fortes pluies orageuses dans certaines régions du pays.
Les wilayas concernées, sont : Djelfa, M’sila, Batna, Naama, Laghouat, El Bayadh. Selon le BMS émis ce samedi 20 novembre, par l’Office National de Météorologie, les pluies s’abattront à partir de 12 h et se poursuivront jusqu’à l’aube de dimanche 21 novembre. Il s’agit de fortes précipitations dont la quantité attendue dépassera les 50 ml localement.
Quant aux autres régions, notamment celles du Sud, Météo Algérie prévoit également la poursuite des pluies orageuses, avec une quantité de 40 ml, sur les wilayas suivantes : Béchar, Béni Abbas et Tindouf. Il s’agit des mêmes wilayas ayant ont été touché hier par certaines perturbations climatiques.
Par ailleurs, les zones côtières seront au rendez-vous, ce samedi 20 novembre, avec des vents violents qui dépasseront les 60 km/h, sur les villes de Ghazaouet et Marsa Ben M’hidi, Beni Saf, Oran, Arzew, Ténès, Mostaganem et Bouharoun. Par conséquent, la mer sera agitée et la hauteur des vagues atteindra les 3 mètres.
Une baisse significative des températuresSelon des prévisions météorologiques à long terme émises par l’ONM, les pluies se poursuivront sur les régions du Nord, du centre et de l’ouest jusqu’à la fin du mois de novembre. Cette séquence de perturbations climatiques concernera en effet toute la région méditerranéenne.
Ainsi, la quantité des pluies attendue oscillera entre 80 et 100 mm, sans oublier la neige qui couvrira les hauteurs de plus de 1.200 mètres. Par conséquent, les services météorologiques prévoient une baisse considérable des températures, à partir de dimanche 21 novembre. Il fera 12 degrés au Nord, 0 degré au centre et 30 degrés au Sud.
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L’affaire de la joueuse franco-algérienne Kheira Hamraoui, violemment agressée le 4 novembre dernier, ne semble pas toucher à sa fin. Une affaire qui a commencé avec une agression physique subie par la joueuse du PSG à proximité de son domicile, et qui a fini par lever le voile sur pleins d’autres secrets.
Rappelant d’abord que la victime était accompagnée au moment des faits par sa coéquipière Aminata Diallo. Cette dernière soupçonnée d’être impliquée dans l’affaire en question, a été placée en détentions provisoires les 10 et 11 novembre, avant d’être relâchée sans charge retenue contre elle.
Deux semaines après, l’enquête révèle des détails d’une autre dimension et l’affaire passe d’un acte d’agression à une affaire de déshonneur et d’adultère. Une histoire assez étrange dont tous les médias français en ont parlé notamment ceux spécialisés dans le domaine footballistique.
L’affaire de kheira Hamraoui lève le voile sur une histoire d’AdultèreEn effet, « les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles ont découvert, dans le téléphone de la victime, une puce au nom d’Eric Abidal », a rapporté ce vendredi 19 novembre, le site spécialisé Europe Sport. Suite à la révélation de ce détail intriguant, l’ancien international français a décidé de tout avouer.
Il s’agit d’une histoire d’adultère et d’infidélité conjugal dont la victime n’est que la femme d’Eric Abidal qui vient de demander le divorce. Selon la même source, l’ancien footballeur français a « avoué à son épouse entretenir une relation adultérine avec la joueuse du PSG, kheira Hamraoui ».
« Prise à partie, bien malgré elle, dans l’affaire Hamraoui, Hayet Abidal espère laver son honneur et sa réputation salie par la rumeur et réitère son souhait d’être entendue très rapidement sur un dossier qui a déjà fait plusieurs victimes collatérales », explique l’avocat de Hayat dont le communiqué a été rapporté par l’AFP.
Selon la même source, Hayat Abidal qui devrait être interrogé, ainsi que son épouse par le juge d’instruction de Versailles, affirme n’avoir aucuns liens avec ces faits et veut s’en laver les mains. Les prochains jours nous diront plus de détails sur cette énigmatique affaire.
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Le SNAPO, Syndicat National Algérien des Pharmaciens d’Officine lance un cri d’alarme aux autorités afin d’aider les pharmaciens qui risquent de faire faillite si la situation continue à se détériorer en raison de la baisse des prix des médicaments et donc de la marge du pharmacien.
M. Ouali, le porte-parole de ce syndicat explique que le chiffre d’affaires des officines va connaître une baisse de 30% et les bénéfices une baisse de 25%. Il déclare que «nous avons fait une enquête qui a révélé que le chiffre d’affaires des officines va connaître une baisse de 30%, ce qui équivaut à une baisse de bénéfices de 25%, et nous estimons que 40 à 45% des petites et moyennes pharmacies vont fermer et déclarer faillite, car elles ne seront plus rentables», rapporte nos confréres du quotidien Le Soir D’Algérie..
Le syndicaliste, tout comme les pharmaciens d’officines, affirment être en accord avec la baisse des prix des médicaments, néanmoins, ils refusent d’assumer seuls les conséquences liés à cette baisse.
Appel au gouvernement pour apporter de l’aidePour éviter de fermes les rideaux, le syndicat fait appel au gouvernement afin de mettre en place des mesures d’accompagnement aux pharmaciens en soulignant : «les charges, ont augmenté, le coût de la vie a augmenté et les salaires ont augmenté sauf la marge bénéficiaire du pharmacien, et en plus on nous fait subir une baisse des prix des médicaments».
M. Ouali indique avoir déjà demandé au premier ministre la révisions des marges bénéficiaire et ceci par des encouragements fiscaux et parafiscaux, mais aucune mesure n’a été prise regretta ce dernier en précisant que les pharmaciens ont toujours été du côté du gouvernement et du peuple en encourageant le médicament générique au détriment du médicament princeps et en acceptant la convention des caisses de sécurités sociales.
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Le talentueux artiste Salah Aougrout a longtemps marqué le sacré mois de ramadan par ses participations dans plusieurs sitcoms et séries algériennes. Son rôle principal dans la fameuse série « Achour 10 » n’a fait que booster sa popularité auprès des Algériens qui ont découvert un « Souilah » plus talentueux et fascinant.
Affaiblit par la maladie depuis presque un an, le comédien algérien a laissé un grand vide dans la scène artistique notamment durant le mois de Ramadan, lorsque la série « Achour 10 » a perdu tout son charme. Raison pour laquelle, le réalisateur algérien Djaafer Gacem a décidé de ne pas s’aventurer encore une fois et remplacer « Souilah » par un autre comédien.
Selon une publication du média Echorouk News, Djaafer Gacem écarte la possibilité de réaliser une autre saison de Achour 10, tant que la star de la série ne s’est pas complètement rétablit. « Suite au décès tragique de l’acteur Blaha Benziane, dit Nouri et à la maladie de Salah Aougrout, je ne compte préparer aucun projet en rapport avec Achour el Acher. Le retour de la sériée est à exclure, tant que Salah ne s’est pas rétabli de sa maladie », a annoncé le réalisateur algérien.
Qu’en est-il de l’état de santé de Salah Aougrout ?Souffrant de trois tumeurs cancéreuses, le grand comédien a été transféré en France en mai dernier sur instruction du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Pour rappel, la famille de Souilah avait lancé durant le mois de mai, un appel de détresse faisant état de l’affaiblissement du comédien âgée de 60 ans.
Son beau-fils, Ibrahim Irban, le présentateur vedette radio avait affirmé que le comédien souffrait « d’épuisement, de douleurs et qu’il était dans un état critique… « . Une mauvaise nouvelle qui a attristé la plupart des Algériens ayant lancé sur les réseaux sociaux numériques des messages de compassion et de prières.
Récemment, les médias nationaux ont rassuré le public algérien quant à l’état de santé de leur comédien préféré. Suite aux interventions chirurgicales et traitements qu’il reçoit en France, « le talentueux artiste, Salah Aougrout a été transféré dans un autre hôpital après une amélioration notable de son état de santé », avait rapporté le 28 septembre dernier Algérie-focus.
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Depuis l’installation de la pandémie du coronavirus, TLS contact et VSF global ont dû arrêter la prise et le traitement des dossiers de Visa. La reprise de ces agences s’est faite progressivement, et c’est le tour des demandeurs de visa pour le Portugal d’en bénéficier car la reprise est fixée pour ce lundi 22 novembre 2021.
Le dépôt du dossier de demande de visa pour le Portugal sera fait tous les lundis et mercredis de 08h00 à 15h00.
Toujours dans le cadre de demande de visa en situation de Covid, les personnes les plus appropriés à recevoir une réponse positive sont les demandeurs de visa d’affaires court séjour et les demandeurs d’un court séjour famille citoyen de l’union européenne.
Quels sont les documents à fournir pour le dossier de visa Schengen pour le Portugal ?Si vous souhaitez partir pour affaire, ou pour rendre visite à la famille, la procédure de demande de visa débute de la même manière.
Tout d’abord le demandeur de via devra créer un profil sur le site de TLS contact en remplissant toutes informations requises. Un rendez-vous sera programmé, le mail contenant le rendez-vous devra être présenté le jour de l’entretien.
Il faudra ensuite remplir un formulaire de demande de visa et le signer. Si la demande est effectuée par un mineur, ce dernier doit présenter la signature de son tuteur sur son formulaire. Une photo et le passeport qui doit être valide durant au moins 3 mois de la fin de la demande de visa sont aussi requis.
Le dossier devra contenir aussi la copie de votre passeport, anciens visas, et la réservation du billet aller-retour.
Une condition qui n’est pas des moindres pour la validation du dossier, c’est la certification et la preuve d’une bonne situation financière et professionnelle et ceci en présentant les relevés bancaires les plus récents.
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Malgré les critiques que le FFS a dû rencontrer après s’être engagé dans la course électorale, il continue sur sa lancée, en tentant de charmer aujourd’hui les algérois, lors d’un meeting qui s’est tenu à Ain Benian.
Youcef Aouchiche, le secrétaire général du parti fondé par feu Hocine Ait Ahmed, a vivement critiqué aujourd’hui le système, mais aussi ce qu’il a qualifié de « sorciers politiques ».
L’homme fort du front des forces socialistes a également noter que son parti milite pour « l’instauration de la deuxième république qui sera le fruit de labeur de tous les Algériens et de toutes les Algériennes peu importe leurs appartenances politiques ou idéologiques ».
Le FFS déclare la guerre aux populistes« Nous avons plus que jamais besoin d’entente entre les Algériens », a déclaré aujourd’hui Youcef Aouchiche, lors du meeting électoral de son parti à Ain Benian, dans la capitale Alger. Le même intervenant a affirmé que les citoyens « ont besoin d’espoir… afin de porter le flambeau de la lutte pour instaurer la démocratie, un état de droit, et une deuxième république dont les fondations sont la participation populaire ».
Aouchiche affirme que la raison principale ayant poussé le parti à participer aux élections locales prévues pour le 27 novembre prochain est « son attachement à l’unité nationale ». Mais, il y a aussi une autre raison, assure le secrétaire général du FFS, en l’occurrence « la volonté de reconsidérer l’action politique au moment où tout le monde lui a déclaré la guerre ».
Ces ennemis, qui ont déclaré la guerre à « l’action politique intègre » sont, selon Aouchiche, « le système et ses valets d’un côté, qui veulent perdurer au pouvoir coute que coute », mais aussi « les populistes et les sorciers politiques d’un autre côté, qui veulent nous donner des leçons dans la lutte et dans l’engagement ».
« Un système en faillite qui recycle l’échec »Aouchiche n’a pas manqué de rappeler que le FFS d’aujourd’hui marche sur les mêmes pas de celui d’hier, celui de feu Hocine Ait Ahmed, qui mettait en garde depuis la même salle, il y a quelques années, contre ceux qui jouent aujourd’hui avec la souveraineté nationale et populaire.
Le secrétaire général du FFS affirme que son parti « va continuer la lutte jusqu’à l’instauration de la démocratie, de la justice et l’égalité sociales ».
Le FFS, poursuit le même intervenant « a participé à ces élections avec la certitude qu’elles ne peuvent pas être un fondement pour le changement, mais elles peuvent être une station ou l’on pourrait investir, afin de ressourcer les citoyens et les citoyens et pour reconsidérer l’action politique noble ».
Cela se fait, selon Aouchiche, dans le but de « changer le système de gouvernance en faillite qui n’a apporté que le recyclage de l’échec depuis 1962 jusqu’à aujourd’hui ».
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Suite à la qualification des Verts aux matchs barrages pour la coupe du Monde 2022, l’Algérie s’est retrouvé aux côtés de l’Égypte, le Ghana, le Mali, la République démocratique du Congo et le Cameroun. Les nations qualifiées et les mieux classées ont le privilège de recevoir au match retour.
C’est le cas de l’Algérie qui vient de fixer le stade devant accueillir cette rencontre dans le cadre de la qualification aux barrages du Mondial 2022. Selon, le chargé de la communication de La Fédération algérienne de football Salah Bey Aboud, « Djamel Belmadi a choisi le Stade de Mustapha Tchaker pour affronter l’adversaire des Verts, le mois de mars prochain ».
L’information rapportée ce vendredi 19 novembre par le journal El Bilad traduit la volonté su sélectionneur national de revivre les mêmes succès, réalisés en grande partie au sein du célèbre stade de la ville des roses.
Bien que la pelouse du Stade Mustapha Tchaker n’ait pas été à la hauteur lors de la dernière rencontre face au Burkina Fasso, durant laquelle les Verts ont trouvé certaines difficultés liées à l’état de la pelouse, Djamel Belmadi a fait son choix.
Pour le Coach des Verts, le stade de Blida a été le témoin des meilleures victoires et prestations des fennecs. En revanche, cette décision n’écarte la possibilité d’organiser d’autres matchs dans le stade d’Oran et celui du 5 juillet, a-t-il ajouté.
Tirage au sort des Barrages de la Zone Afrique, c’est pour quand ?« Les dates du tirage au sort des barrages des éliminatoires africaines de la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022™ seront annoncées à l’issue de la réunion du Comité Exécutif de la CAF prévue la semaine prochaine au Caire », indique la CAF ce vendredi 19 novembre sur son site officiel.
Selon la même source, la réunion du Comité Exécutif se tiendra le 25 novembre 2021 au Caire, à la veille de l’Assemblée Générale Extraordinaire de la CAF programmée également au Caire le vendredi 26 novembre 2021.
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La nouvelle loi de finances n’est pas passée sans susciter un grand mécontentement au sein du parti de Abderazak Makri, le leader du MSP. Ses militants ont, pour rappel, voté non, avant que le projet de la fin des subventions ne soit finalement adopté par la majorité des députés à l’APN.
Aujourd’hui, lors d’un meeting animé dans la wilaya de Tiaret, dans le cadre de sa campagne électorale pour les élections locales prévues pour le 27 novembre prochain, Makri n’a pas manqué de revenir sur cette loi, qui, selon lui, est due à la situation économique que vit le pays.
Lors de son discours, Makri a déclaré que « ceux qui vont souffrir (de l’arrêt des subventions) sont ceux qui à leurs yeux (ceux de l’État NDLR), ne sont pas des pauvres ».
La définition du pauvre chez MakriTous les amendements proposés par les députés de son parti siégeant à l’APN ont été rejetés. Makri ne décolère pas, il affirme que son parti a toujours mis en garde contre la dangerosité de la situation économique. Hélas, il déplore que l’état ne pourra pas aujourd’hui subventionner ni les prix ni les transferts sociaux.
Selon Makri, l’état pense que « celui qui travaille n’est pas pauvre, celui qui est payé 3 millions n’est pas pauvre, celui qui est payé 4 millions n’est pas pauvre, celui qui est payé 5 millions n’est pas pauvre ». Le premier homme du parti d’obédience islamiste affirme ensuite que ceux-là, qu’il avait précédemment cité, sont tous considérés comme des pauvres selon la vision de son parti.
Makri donne l’exemple d’un médecin fraichement diplômé, qui trouve un poste de travail et qui est payé 5 millions par mois. « Il loue avec 3 millions et survit avec les deux qui restent », déplore Makri, qui insinue que la pauvreté a mis fin à la classe moyenne en Algérie.
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L’Algérie entre peu à peu dans une nouvelle vague de la covid-119. Selon les spécialistes, c’est du déjà vu, les cas de contamination augmentent lentement, avant d’exploser dangereusement. Pour le moment, toutefois, on est toujours dans le calme qui précède la tempête.
Aujourd’hui, le 19 novembre 2021, l’Algérie a recensé pas moins de 163 nouveaux cas de contamination à la covid-19, contre 152 enregistrés dans le bilan d’hier. Il s’agit donc d’une nouvelle hausse, certes légère, mais qui confirme que le virus est entrain de gagner du terrain.
Le bilan du ministère de la Santé fait également état de 5 nouveaux décès, contre 4 enregistrés hier, mais aussi de 103 nouvelles guérisons et de 22 nouveaux patients qui ont été admis dans les services de réanimation.
Ces derniers chiffres communiqués par le département de Benbouzid font grimper le total des cas de contamination à la covid-19 en Algérie à plus de 208695 cas. Depuis mars 2020, le pays a déploré pas mois de 6014 décès dus à des complications liées au virus.
« Les Algériens ne vont pas aller se faire vacciner »C’est un sombre constat que le Pr Nibouche a livré aujourd’hui. Le directeur du service de cardiologie à l’hôpital d’Alger a affirmé qu’il ne faut pas compter sur les Algériens pour qu’ils aillent se faire vacciner volontiers.
Les campagnes de désinformation véhiculées sur les réseaux sociaux ont apparemment eu raison de la campagne vaccinale qui fait du surplace depuis plusieurs semaines.
Selon le Pr Nibouche, il faut changer de stratégie, aller vers des mesures fortes comme l’obligation de la vaccination dans le secteur de la Santé et l’instauration du pass sanitaire dans les lieux publics.
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