À partir de demain, dimanche 27 novembre, 17 wilayas seront au rendez-vous avec des chutes de neiges dont l’épaisseur est estimée entre 5 et 10 cm. Selon l’office national de Météorologie, il s’agit des reliefs du nord du pays dépassant 900/1000 mètres d’altitude.
Parmi les wilayas concernées, figurent Tlemcen, Sidi Bel Abbes, Saida, le nord d’El Bayadh, le nord de Laghouat, le nord de Djelfa, Tiaret et Tissemsilt. La validité de ce BMS s’étale du Dimanche 28 Novembre 2021 de 03h00 jusqu’à 15h00.
D’un autre côté, des chutes de neige, accompagnées de rafales de vent sous orages affecteront dimanche à 15 h 00 les wilayas de Médéa, Blida, Bouira, Tizi-Ouzou, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Bejaia, Batna et Khenchela. Ce BMS prendra fin lundi 29 Novembre 2021 à 06h00.
Quant aux températures, un froid hivernal règnera à partir de la semaine prochaine, sur l’ensemble des wilayas du pays. En effet, Météo Algérie prévoit une vague de froid inhabituel notamment dans les villes de l’intérieur.
Routes bloquées dès les premières chutes de neigeDepuis quelques jours, l’Office National de la météorologique a émis plusieurs BMS pour mettre en garde les citoyens contre des perturbations climatiques.
En effet, la neige est tombée dans la nuit de vendredi à samedi, sur les hauteurs de la wilaya de Batna. Il s’agit plus précisément des hauteurs de Theniet Baali sur la route entre Ichemoul et Arris et de Theniet R’ssasse sur la RN 87 entre les villes de Batna et Theniet El Abed.
Ces axes montagneux ont été recouvert de grandes quantités de neige ayant nécessité l’intervention des éléments de l’unité secondaire de la Protection civile d’Arris, afin d’apporter leur aide aux citoyens bloqués dans leurs véhicules.
Selon la cellule de communication de la PC, Les premières neiges qui sont tombées, ont perturbé dès la matinée de ce samedi 27 novembre le trafic automobile. Ainsi, les éléments de la PC ont été immédiatement mobilisés pour assister des véhicules bloqués par la neige et le verglas.
L’article BMS : jusqu’à 15 cm de neige sur plusieurs wilayas du nord est apparu en premier sur .
Le rebond de l’épidémie du coronavirus en Algérie semble s’installer dans le temps. Les chiffres annoncés quotidiennement restent toujours en dessus de la barre des 150 cas.
Dans son dernier bilan établi sur les dernières 24 heures et rendu public ce samedi 27 novembre 2021, le ministère de la Santé a fait état de 163 nouvelles contaminations contre 193 cas confirmés annoncés dans le bilan d’hier.
Selon la même source, le nombre des cas de guérison enregistrés durant la même période est de 127 cas rétablis de la maladie. Hier, ce chiffre était à 131 cas guéris.
Pour ce qui est des décès, le nouveau bilan a fait état de 6 nouvelles victimes de l’épidémie contre 5 hier. En outre, 21 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Avec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 209.980, celui des décès à 6.052 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 144.029 cas.
3e dose du vaccin Covid-19 : les recommandations de l’IPAFace au rebond des contaminations, les recommandations d’un recours à la 3e dose du vaccin contre le Covid-19 se multiplient. Hier, c’était autour du Directeur général de l’Institut Pasteur, Fouzi Derrar, d’aborder cette question en préconisant une 3e dose pour les personnes âgées et les malades chroniques.
Intervenant en marge de sa participation à une téléconférence des ministres africains de la Santé, le même responsable a fait état de la « nécessité de fournir une 3e dose du vaccin anti-Covid-19 au profit des personnes âgées et des catégories souffrant de maladies chroniques conformément aux recommandations de l’OMS et des instances scientifiques ».
« Il est recommandé de prendre une 3e dose de vaccin suite au constat d’une baisse d’immunité, six mois après la prise des 1ère et 2ème doses chez les personnes âgées et les malades chroniques », a expliqué l’intervenant. À ce propos, il révèle que « 20.000 personnes (de ces catégories) ont eu leur troisième dose ».
L’article Covid-19 en Algérie : le bilan de ce samedi 27 novembre 2021 est apparu en premier sur .
Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections a dévoilé ce samedi après-midi le taux de participation national aux élections locales de ce 27 octobre arrêté à 13 heures.
Dans son second point de presse consacré à l’avancement de l’opération de vote, le président de l’Anie a indiqué que le taux national de participation à l’élection des membres des Assemblées populaires communales et de wilaya (APC/APW) a atteint, à 10heures, 13,30% pour les Assemblées de communes et 12,70% pour les Assemblées de wilayas.
Selon le même responsable, le taux de participation à l’échelle nationale a atteint, à 13 h, une moyenne de 10,02%. À ce propos, il relève « une augmentation appréciable » des votants en comparaison avec le taux enregistré à 10 h, ce matin, qui était de 4,12%.
Il convient de rappeler que le taux national de participation aux élections locales était, jusqu’à 10 heures du matin, de 4,12% pour les Assemblées de communes et 3,90% pour les Assemblées de wilayas.
Les taux de participation dans quelques wilayas à 13 heuresSelon les derniers chiffres fournis par le président de l’Anie, la wilaya d’Ain Guezzam est venue dans la première place avec un taux de participation de 38% pour les assemblées communales et 37,66% pour les assemblées de wilayas.
En deuxième place vient la wilaya de Tindouf avec respectivement 26,98% et 37,66%, suivie de la wilaya de Béni Abbès avec un taux de 26,52% pour les APC et 26% pour les APW.
Pour ce qui est des wilayas ayant enregistré les plus faibles taux de participation, vient la wilaya d’Alger avec 6,92% pour les APC et 6,34% pour les PAW. À Oran, l’Anie a enregistré un taux de participation de 7,07% aux APW suivie de Béjaia avec 7,64% pour les APC et 6,21% pour les APW. La wilaya de Tizi Ouzou a enregistré un taux de participation de 6,56% aux APW.
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Les élections locales pour le renouvellement des membres des assemblées communales et de wilayas ont été caractérisées, à Oran par un incident assez insolite. L’auteur de l’incident n’était autre que le Directeur d’un centre de vote.
En effet, la délégation de l’autorité nationale indépendante des élections (Anie) de la wilaya d’Oran a signalé un incident hors du commun ; un Directeur de centre de vote a tenté de fuir avec les Procès-verbaux.
L’information a été rapportée par le président de l’Anie Mohamed Charfi, en marge de l’accomplissement de son devoir électoral. Selon lui, l’objectif de cet individu derrière son geste reste toujours inconnu.
Or, il affirme que la délégation de l’Anie de la wilaya d’Oran a transféré ce dossier devant la justice afin de déterminer les circonstances pouvant lui permettre de trancher à ce sujet. Cependant, il précise qu’il s’agit du seul incident enregistré.
4,12% de participation à 10 heures du matinDans un autre volet, le président de l’Anie a lancé à l’adresse des élus locaux qu’il est « temps de prendre les choses en main, de reprendre la gestion les affaires des citoyens et de jouer leur rôle », en votant puis en contrôlant par la démocratie participative pour éviter une répétition des dérapages précédemment enregistrés.
En ce qui concerne le travail de l’autorité nationale des élections, il a indiqué « qu’elle n’a pas atteint l’idéal escompté, mais elle est à un stade respectable qui permettra de construire une base démocratique solide ».
Pour rappel, le taux national de participation aux élections locales avait atteint, à 10 heures, 4,12% pour les Assemblées de communes et 3,90% pour les Assemblées de wilayas, a indiqué le président de l’Anie.
À titre de comparaison, Mohamed Charfi a rappelé le taux de participation aux élections législatives du 12 juin dernier, à la même heure, qui s’élevait à 3,98%.
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La pandémie de la covid-19 avec tous ses variants et différentes souches a paralysé le monde entier sur le plan économique, social et surtout médical. Cependant, les pays les plus affaiblit par les répercussions de la crise sanitaire, sont, sans aucun doute, ceux de l’Afrique notamment l’Algérie.
C’est autour de cette problématique que le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid est intervenu hier, vendredi 26 novembre 2021, lors d’une réunion tenu en visioconférence avec les ministres africains de la Santé.
En effet, le premier responsable du secteur médical en Algérie n’a pas manqué à énumérer toutes les conséquences désastreuses de la pandémie, indique ce samedi 27 novembre, le journal arabophone El Nahar.
Selon le ministre algérien, les pays africains ont durement souffert de la covid-19 qui a négativement impacté les systèmes de Santé. À cela, s’ajoute les crises sociale et économique, ainsi que le manque de ressources nécessaires à la lutte contre la pandémie.
L’unification de l’Afrique pour faire face à la crise mondiale de la covid-19De ce fait, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a appelé l’ensemble des pays africains à unifier leurs positions et placer la région au-dessus de toute considération afin d’exposer toutes ses lacunes relatives à la pandémie devant l’organisation mondiale de la santé.
Par ailleurs, l’intervenant a réitéré l’importance de la solidarité en ces temps de pandémie, et ce, pour assurer au continent africain, qui connait un taux de vaccination très faible, un nombre suffisant de vaccin.
Dans ce contexte, le ministre algérien à déclaré que les pays africains cherchent actuellement de nouveaux mécanismes qui leur permet d’exposer un constat unifié sur la situation épidémiologique dans la région.
Il convient de préciser en conclusion que cette réunion intervient en préparation à la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la Santé, prévue à Genève pour le lundi 29 novembre 2021, et à laquelle les pays africains sont invité à prendre part.
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L’opération de vote pour le renouvellement des Assemblées populaires communales et de wilayas se poursuit ce samedi. Les chefs de partis politiques participant aux élections ont livré des déclarations à l’issue de l’accomplissement de leurs devoirs.
Pour le président du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina il est important d’élire les Assemblées populaires communales et de wilayas pour le parachèvement de l’édification des institutions de l’État. Selon lui, l’Algérie « parachèvera, avec ces élections, l’édification de ses institutions ».
Pour ce qui est de son parti, Bengrina souligne que le mouvement El Bina « a défendu cet enjeu, au moment où il y a une grande polarisation sur la scène nationale, entre partisans de l’étape de transition et partisans du parachèvement de l’édification des institutions de l’État ».
L’intervenant a rappelé que son mouvement « s’est engagé sur le processus d’édification des institutions de l’État, étant la solution la plus sûre ».
En outre, le leader du parti islamiste a fait état de la satisfaction de son mouvement quant « au changement en cours dans le pays et la réussite de l’Algérie dans l’organisation de plusieurs échéances électorales successives ».
Baadji : « Les assemblées locales revêtent d’une grande importance »De son côté, le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abou El Fadhl Baadji a appelé les citoyens à un vote massif pour élire leurs représentants aux assemblées communales et de wilayas.
Après avoir accompli son devoir électoral, Baadji lancé un appel aux citoyens à « se rendre aux urnes pour faire réussir cette échéance, étroitement liée à la stabilité politique du pays qui garantit, à son tour, la stabilité économique et de développement ».
Pour lui, les assemblées locales revêtent « une grande importance pour la stimulation du développement, à la faveur de l’investissement local ». Il s’agit, selon le même intervenant, du « meilleur moyen pour répondre aux préoccupations des citoyens ».
Baadji a également fait part des ambitions de son parti, affirmant que le FLN a de « grandes » chances de remporter ces élections qui permettront au parti de préserver sa place de « leader ».
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En hommage a un adolescent algérien tué il y a une semaine, une marche blanche aura lieu dimanche 28 novembre à 14h , dans la ville de Montpellier. Il s’agit en effet, de « Anis », un garçon de 15 ans, poignardé à mort, samedi 20 novembre, suite à une rixe entre jeunes, rapporte ce samedi 27 novembre, Midi Libre, un journal français régional.
Selon la même source, ce rassemblement vise essentiellement à lutter contre la montée de la violence qui touche notamment les jeunes. « Le but, c’est de sensibiliser la jeunesse face à cette violence gratuite, avec le port des armes, des couteaux, etc. Il faut que ça s’arrête », martèle un des cousins de la victime.
En effet, la famille de « Anis » a recouru à l’association Sécurité défense des citoyens, présidée par Patricia Bessière, et Français rapatriés, afin de mobiliser les citoyens et les appeler à participer massivement à cette déambulation silencieuse.
Ainsi, la famille algérienne qui avait la double nationalité, est actuellement soutenue par le consulat d’Algérie dans ces instants de deuil, indique le média français. Selon la même source, la victime était scolarisée en école spécialisée et effectuait un stage dans une entreprise de panneaux photovoltaïques.
« Il était heureux, parce que jusque-là il n’aimait pas spécialement l’école », a confié l’un de ses proches montpelliérains à Midi Libre. Anis qui s’apprêtait à rentrer chez sa mère le samedi 20 novembre, vers 21 h 15, a reçu plusieurs coups de couteau.
Retour sur les faitsEn effet, le drame ayant secoué la ville de Montpellier a eu lieu samedi dernier, 20 novembre 2021, vers 21 h 15, dans le quartier des Près d’Arènes, au niveau de l’arrêt de tram Garcia-Lorca.
Il s’agit selon les précisions du procureur de la République, Fabrice Bélargent d’un différend qui s’est déclenché entre un groupe d’adolescents suite à des sifflets et invectives adressé par deux jeunes dont l’un d’eux n’est que la victime « Anis ».
Au moment où ce dernier aurait exhibé un poing américain, l’autre fait usage d’un couteau de table et porte deux coups à son adversaire après une rixe entre les deux adolescents. « Anis essaye de parer les coups avec son genou, mais il recevra encore d’autres coups de couteau », précise Fabrice Bélargent.
Transporté au CHU, l’adolescent algérien est décédé dimanche 21 novembre. Le mis en cause, quant à lui, est un mineur ayant le même âge que la victime. Il a été mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire, indique le parquet de Montpellier.
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Le président de l’autorité nationale indépendante des élections Mohamed Charfi a dévoilé le taux de participation aux élections locales jusqu’à 10 h 00 du matin.
Lors d’un point de presse consacré au suivi de l’opération de vote, le président de l’Anie indique que le taux de participation est de 4,12 concernant les assemblées locales et 3,90% pour les assemblées de wilayas (APW). Un chiffre arrêté à 10 heures du matin de ce samedi.
L’intervenant n’a pas manqué de souligner que le taux de participation dans les élections des assemblées locales est plus important que celui au niveau des assemblées wilayales (APW). Selon lui, cela revient au fait que la plupart des électeurs choisissent leurs représentants au niveau local sans passer sur les listes APW.
À titre de comparaison, Mohamed Charfi a rappelé le taux de participation aux élections législatives du 12 juin dernier, à la même heure, qui s’élevait à 3,98%.
Pour rappel, les bureaux de vote ont ouvert ce samedi matin à 08 h 00 à travers tout le territoire national pour l’élection des membres des Assemblées populaires communales et de wilaya (APC/APW) pour un mandat de cinq ans. La fermeture des bureaux de vote interviendra le même jour à 19 h 00.
Cependant, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), peut en cas de nécessité, sur demande du coordinateur de la délégation de wilaya, proroger l’horaire de clôture des bureaux de vote jusqu’à 20 h 00, maximum.
Il convient également de noter que le nombre de candidats pour les APC est de 115.230, alors que pour les APW le nombre de candidats s’élève à 18.993.
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À l’issue de l’accomplissement de leur devoir électoral, les membres du gouvernement à leur tête le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, ainsi que d’autres responsables, ont livré des déclarations à la presse.
Le Premier ministre a déclaré que ces élections locales constituent la dernière pierre angulaire dans l’édification des institutions démocratiques en Algérie ». Selon lui, « ces élections devront donner un nouveau souffle aux collectivités locales » afin d’en finir avec « la gestion irrationnelle qu’ont connue les anciennes assemblées ».
Pour sa part, le ministre de l’Intérieur Kamel Beldjoud a affirmé que « la commune est la base et l’institution la plus proche du citoyen ». A ce propos, il ajoute que « les présidents des Assemblées communales auront plus de prérogatives afin de mener à bout leurs missions ».
Après avoir accompli son devoir électoral, le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar déclare « c’est que l’édification des institutions mènera au changement » tout en appelant les citoyens à exprimer leurs voix lors de ces élections.
L’ultime étape « des réformes promises par le président de la République », selon RezigLe ministre du Commerce a, quant à lui, rappelé l’importance des élections du moment que cela permettra « au citoyen de choisir ceux qui le représenteront et géreront ses affaires au niveau local ». Dans ce sens, il ajoute que ces élections sont l’ultime étape « des réformes promises par le président de la République ».
Le président de l’APN Brahim Boughali déclare de son côté que « ces élections constituent une étape décisive dans l’histoire de l’Algérie. Elles s’inscrivent dans le cadre du programme que le président s’est engagé à concrétiser ».
« Nous reconnaissons que dans le passé il y a eu des erreurs de gestion, mais aujourd’hui c’est une opportunité qui doit être exploitée afin de rehausser le statut du pays et restaurer sa position, non seulement dans le domaine diplomatique, mais aussi dans l’aspect économique », a-t-il ajouté.
L’article Elections locales : les déclarations des ministres après leur vote est apparu en premier sur .
Les élections pour le renouvellement des assemblées communales et de wilayas ont débuté ce samedi à 8 h 00 à travers la majorité du territoire national. Intervenant en marge de l’accomplissement de « son devoir électoral », le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a abordé plusieurs questions.
Abordant la participation lors de ces élections, le président prévoit « une importante participation » par rapport aux législatives, notamment si l’on prend en considération le fait que « ces élections concernent directement le citoyen ».
Concernant toujours ce rendez-vous électoral, le président de la République a indiqué que « le vote est un droit et un devoir, mais ne peut guère être obligatoire ». Dans le même sillage, il réitère la nécessité « d’une refonte profonde des lois des collectivités locales ».
En effet, il précise que sur 1 541 communes à travers le pays, il y a plus de 900 très pauvres, alors que d’autres sont riches. Ainsi, et dans un souci d’égalité entre communes riches et pauvres, il annonce « un changement dans le code communal et de wilayal en 2022 ». Cette loi donnera aux communes « la possibilité d’adopter leurs politiques conformément à leurs capacités financières ».
Le cas des communes sans candidatsConcernant le cas des communes n’ayant pas de listes de candidats pour ces élections, Tebboune a indiqué que cela ne pose pas un problème majeur, du moment que la loi est claire à ce sujet. « Certes, il y a des communes sans candidats, or cela ne pose pas un problème », a-t-il déclaré à l’adresse des journalistes.
Selon lui, « sur les 1 541 communes que compte le pays, il y aura au maximum une quarantaine n’ayant pas de candidats pour ces élections ». Ainsi, il souligne que « des commissions de gestion » seront mises en place afin d’assurer la gestion de ces communes, et ce, en attendant l’organisation d’élections exceptionnelles.
Tebboune a également indiqué que ceux qui appellent à une « période de transition sont une minorité » soulignant qu’il « respecte l’opposition ». À ce propos, il ajoute : « nous marchons selon le choix de la majorité du peuple ». « Nous nous dirigeons vers la démocratie et pas vers la concrétisation de la démocratie de la Issaba ».
Dans ce sens, le même intervenant affirme que « l’État algérien respecte l’opposition, à condition qu’elle ne conduise pas à la violence et à ses conséquences désastreuses » ajoutant que « l’opposition politique et intellectuelle est autorisée ».
L’article Élections, participation, communes sans candidats : Tebboune s’exprime est apparu en premier sur .
L’approche de l’hiver et l’arrivée du froid semblent chambouler la situation épidémiologique. L’accalmie n’a pas duré longtemps. En Algérie, le nombre des cas de contamination est loin de se stabiliser. D’autres pays assistent à l’émergence de nouvelles souches de la covid.
C’est le cas effectivement de l’Afrique du Sud qui a signalé il y a trois jours l’apparition d’un nouveau variant de type B.1.1.529, baptisé Omicron. L’OMS a révélé hier, vendredi 27 novembre, le caractère dangereux et virulent de la nouvelle souche.
En effet, Omicron a été officiellement classé « préoccupant » par l’organisation mondiale de la Santé. Quelques heures après, l’Institut Pasteur d’Algérie n’a pas tardé à réagir via un post sur sa page Facebook.
« La situation épidémiologique en Afrique du Sud s’est caractérisée par trois pics distincts de cas signalés, dont le dernier concernait principalement le variant Delta. Ces dernières semaines, les infections ont connu une forte augmentation, coïncidant avec la détection du variant B.1.1.529. La première infection confirmée connue du B.1.1.529 provenait d’un spécimen prélevé le 9 novembre 2021 », lit-on dans le communiqué publié par l’Institut Pasteur d’Algérie.
Sachant que l’OMS avait mis l’accent sur le grand nombre de mutations du nouveau variant d’où son caractère « préoccupant », l’IPA a de son côté a expliqué que ces mutations affectent essentiellement des sites de liaisons au récepteur ACE2.
En effet, le virus SARS-CoV‑2 s’attache à une protéine présente à la surface des cellules, notamment pulmonaires : le récepteur ACE2. Ce dernier est une protéine clé dans la physiologie du Covid-19, permettant au virus SARS-CoV‑2 d’entrer dans les cellules de l’hôte
Les précisions et recommandations de l’IPAAlors que les données préliminaires suggèrent un risque accru de réinfection avec ce variant, par rapport aux autres variants préoccupants, l’institut pasteur d’Algérie réitère son appel concernant « l’urgence de l’adhésion à la vaccination ».
En effet, plus le virus circule, plus la probabilité d’apparition de variants est élevée, indique la même source. Dans ce sens, la vaccination, mais aussi les gestes barrières (Port de masques de protection, distanciation physique et lavage fréquent des mains) demeurent le seul moyen pour stopper la circulation et la transmission du Virus.
En conclusion, il convient de préciser que les diagnostics PCR actuels du SRAS-CoV-2 continuent de détecter le nouveau variant dans presque toutes les provinces d’Afrique du Sud. À cela s’ajoute, des cas enregistrés au Malawi, au Botswana, en Belgique et à Hong Kong.
L’article Nouveau variant « Omicron » : l’Institut Pasteur d’Algérie réagit est apparu en premier sur .
Les craintes quant à une propagation imminente du nouveau variant du coronavirus, découvert en Afrique du Sud, ont déjà leur impact sur les prix du pétrole. Lors de la clôture d’hier vendredi, les cours ont connu leur pire journée de l’année 2021.
En effet, les cours de l’or noir sont tombés à leurs plus bas niveaux en plus de deux mois alors que la nouvelle souche Covid-19 a fait craindre un ralentissement de la demande alors que l’offre augmente.
À Londres, le baril de Brent de la mer du Nord (le baril de référence pour le pétrole algérien, le « Sahara Blend »), pour livraison en janvier également, a cédé 11,55% vendredi, pour clôturer à 72,72 dollars.
Pour ce qui est du baril américain de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en janvier, il a perdu 13,06% pour finir à New York, à 68,15 dollars. Il s’agit de la pire journée du contrat depuis avril 2020.
Il convient de noter que les deux barils ont enregistré leur cinquième semaine consécutive de pertes pour la plus longue séquence de baisses hebdomadaires depuis mars 2020.
Une conséquence directe à l’apparition du variant OmicronCette situation est directement liée à la découverte, en Afrique du Sud, d’un nouveau variant du coronavirus. Initialement appelé B.1.1.529, il a été baptisé Omicron vendredi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui l’a qualifié de « préoccupant ».
Ainsi, force est de constater que les craintes quant à la propagation de ce nouveau variant pèsent déjà sur le monde. En effet, plusieurs pays européens et les États-Unis ont suspendu vendredi les vols en provenance d’Afrique australe pour tenter d’endiguer ou de ralentir la progression de l’Omicron.
Plusieurs sources médiatiques rapportent que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ainsi que leurs alliés de l’OPEP+ envisagent déjà de modifier leur calendrier de production en réaction à la découverte de cette nouvelle variante.
L’article Variant Omicron : chute brutale des cours du pétrole est apparu en premier sur .
La dévaluation du dinar algérien persiste. Une situation qui a considérablement fragilisé le pouvoir d’achat du citoyen. Ce dernier fait face depuis quelques mois à une crise socio-économique dont les répercussions n’ont épargné aucune classe sociale.
Sur le site officiel de la banque d’Algérie, les cotations commerciales d’ouverture du dinar algérien font état d’une hausse vertigineuse. En effet, un seul euro s’échange ce samedi 27 novembre 2021, contre 156. 03 dinars algériens à l’achat et 156.11 dinars algériens à la vente.
Le dollar quant à lui, s’échange au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre pas moins de 139.13 dinars algériens à l’achat et 139.15 dinars algériens à la vente. Tandis que l’unité du dollar canadien est cédé contre 110.06 dinars algériens à l’achat et 110.08 dinars algériens à la vente.
Ainsi, la livre sterling s’échange, sans grande surprise, extrêmement chère. En effet, les cotations officielles font état ce samedi 27 novembre d’un seul pound contre pas moins de 185.69 dinars algériens à l’achat et contre 185.73 à la vente.
Le taux de change sur le marché noirAu niveau du marché parallèle, les principales devises coutent plus chères. Cela s’explique notamment par la forte demande, suite à la réouverture partielle des frontières aériennes et maritimes.
Au Square Port-Saïd, les cambistes proposent un seul euro contre pas moins de 215.5 dinars algériens à la vente et 213.5 dinars algériens à l’achat. Ainsi, le dollar a récemment connu une flambée sans précédent.
Sur le marché noir, l’unité de la monnaie étasunienne s’échange contre pas moins de 193.5 dinars algériens à la vente et 190.5 dinars algériens à l’achat. Par ailleurs, un seul dollar canadien est cédé par les cambistes contre 140.5 dinars algériens à l’achat et contre 143.5 dinars algériens à la vente.
Suite à la reprise des vols Alger-Londres, le prix de la livre sterling a également augmenté. Un seul pound s’échange sur le marché parallèle contre pas moins de 247.5 DA à l’achat 250.5 DA à la vente.
L’article Devises : taux de change du Dinar Algérien ce samedi 27 novembre est apparu en premier sur .
Dans une alerte météo, l’Office National de la Météorologie a mis en garde ce samedi 27 novembre 2021 contre des quantités de pluies orageuses atteignant les 40 mm, sur les régions du Sud. Ce BMS prendra effet à partir de l’après midi de ce samedi jusqu’à l’aube de dimanche 28 novembre.
En effet, sept wilayas du Sud sont concernées, à savoir : Adrar, El Oued, El Menia, Ouargla, Béni Abbès, Timimoun, Touggourt. Par ailleurs, Météo Algérie prévoit des vents violents dont la vitesse atteindra les 60 km/h, sur les zones côtières, notamment Tlemcen, Ain Témouchent, Oran, Mostaganem, ainsi que Chlef, Tipaza, Alger et Boumerdès.
D’après la même source, des changements climatiques verront le jour à partir de ce samedi 27 novembre. En effet, les services météorologiques ont fait état d’un temps nuageux, pluvieux, mais aussi d’un froid glacial, sur l’ensemble des wilayas du pays. À cela s’ajoute, des chutes de neiges sur les hauteurs dépassant les 900 mètres.
Il convient de préciser en outre que les wilayas du Nord ont été placées en vigilance jaune et seront au rendez-vous avec des chutes de pluies qui deviendront abondantes à partir de l’après midi de ce samedi.
De la neige dans les hauteurs de BatnaD’après le média arabophone El bilad, les éléments de la protection civile sont intervenu aujourd’hui, samedi 27 novembre, au niveau de la commune Arris dans la wilaya de Batna, afin de normaliser la circulation routière, rendu difficile, en raison de la neige.
Les éléments de la protection civile ont apporté leurs aides à l’ensemble des automobilistes bloquées au niveau des routes de la commune de Arris, dont les hauteurs ont été recouverts de grandes quantités de neige ayant entravé la circulation automobile.
L’article Météo : pluies sur 7 wilayas et chutes de neige sur les hauteurs est apparu en premier sur .
LG electronics Algérie a lancé sa deuxième édition du LG gaming tournament durant le mois de septembre dernier, ce tournoi de gaming hybride s’est déroulé en deux parties, une partie en ligne et une partie offline. L’occasion pour les amoureux du gaming de vivre leur passion en expérimentant l’une des meilleures technologies au monde.
Le tournoi s’est déroulé sur plusieurs étapes depuis le mois d’octobre dernier, les sélections ont commencé à travers des compétitions en ligne auxquelles 128 joueurs ont participé. Sur les 128 participants 40 joueurs ont été qualifiés et invités à jouer au niveau des showrooms régionaux de la marque LG, et ce, pour désigner les 16 finalistes qui disputeront aujourd’hui la grande finale au niveau de l’hôtel Marriott Beb Ezzouar ou le vainqueur du tournoi remportera un téléviseur OLED CX.
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La victoire au bout des doigts : Les téléviseurs LG OLED ont un très faible retard d’affichage grâce à un incroyable temps de réponse de 1 ms. Cela assure que chaque action sur la manette du joueur est exécutée instantanément à l’écran, donnant un avantage précieux par rapport aux adversaires, ainsi qu’une plus grande chance de victoire
Le téléviseur du gamer : Compatible avec G-Sync: Jouez à vos jeux dans des conditions optimales. Premier téléviseur à être compatible avec NVIDIA G-SYNC, l’OLED LG représente le choix ultime pour vos jeux vidéo. Grâce à G-SYNC, tous vos jeux PC seront plus clairs et plus fluides avec moins de saccades, de retard à l’affichage et de scintillement. Restez du côté des vainqueurs avec le téléviseur optimisé pour les jeux vidéo
Optimisation des graphismes :Mode HGIG: Jeu HDR immersif : L’HGiG optimise les graphismes de vos jeux vidéo aux spécifications et performances de votre téléviseur. Grâce à l’OLED de LG, jouez à un large catalogue de jeux avec la certitude que votre téléviseur affichera chaque jeu à son meilleur avantage.
Une résolution d’image incomparable :Les modèles OLED de LG sont
les premiers téléviseurs au monde à prendre en charge l’incroyable HDR Dolby Vision® en 4K 120 Hz pour les jeux, offrant ainsi une toute nouvelle dimension l’expérience du joueur. En plus de la prise en charge du VRR* et de l’ALLM* permettant de s’adapter aux changements de la fréquence d’image et de limiter les déchirures à l’écran, les téléviseurs OLED LG sont certifiés HDMI 2.1. Ainsi les flous de mouvement et les images fantômes sont pratiquement éliminés grâce à des transitions dynamiques et un gameplay, le tout avec la plus haute définition possible.
Confort visuel : Regardez sans vous fatiguer : Regardez vos contenus avec moins de lumière bleue et plus de confort.
En plus des options gaming, les téléviseurs OLED de LG sont reconnus par les réalisateurs comme les téléviseurs qui définissent la référence en matière de qualité d’image et du son le OLED offre une image parfaite grâce à la technologie des : Pixels autoéclairés
Dolby Vision IQ et Dolby Atmos : Les téléviseurs OLED de LG sont
dotés des dernières solutions de Dolby. Dolby Vision IQ optimise la qualité de l’image selon le genre de contenu et l’environnement ambiant, tandis que Dolby Atmos offre un son à la fois multidimensionnel et immersif. C’est une combinaison puissante qui offre une expérience plus réaliste lorsque vous regardez un film.
HDR 10 Pro : il ajuste la couleur et la luminosité, révélant ainsi plus de détails dans les scènes lumineuses comme sombres, et enrichit les couleurs pour rendre tout ce que vous regardez plus réaliste.
Filmmaker Mode : La vision du réalisateur prend vie. : FILMMAKER MODE™ reproduit fidèlement la vision qu’avait originellement le réalisateur du film, afin que vous puissiez en profiter comme il se doit.
Étalonnage automatique : étalonnage automatique rend plus simple l’étalonnage pour les experts en réglant les écarts de réglage sur l’écran que l’on retrouve sur chaque téléviseur. Cela vous permet de profiter de la qualité ultra-réaliste de l’OLED de LG à son meilleur
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Le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé, ce vendredi 26 novembre, sur les derniers développements des relations entre Alger et Paris qui été marquées, ces derniers mois, par une escalade diplomatique provoquée par des propos du président français sur l’histoire de l’Algérie.
Lors de sa rencontre périodique avec la presse nationale, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a répondu favorable aux appels d’apaisement de la France, mais il a posé des conditions pour le retour à la normale des relations entre les deux pays.
« Il faut que les relations (entre l’Algérie et la France) reviennent à la normale, mais avec des conditions. L’autre partie doit être consciente de la nécessité de traiter d’égal à égal », a lancé le président Tebboune.
« S’ils (la France, ndlr) veulent avoir des échanges d’égal à égal avec nous, il n’y a pas de problèmes ; mais on n’acceptera jamais pour qu’ils nous imposent quoi que ce soit. L’Algérie est un grand pays, on n’a pas besoin d’être sous leurs protections », a ajouté le chef de l’État.
Les appels d’apaisement de Paris « entendus »Face à la montée des tensions, la France a multiplié, ces dernières semaines, les appels d’apaisement envers l’Algérie. Le dernier geste d’apaisement remonte à la semaine dernière où le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a appelé à « panser les blessures du passé ».
« Il faut dépasser cela pour retrouver une relation confiante. Il y a parfois des malentendus, mais cela n’enlève rien à l’importance que nous attachons aux relations entre nos deux pays (…) Il faut conserver ce lien fait de respect des souverainetés et d’une volonté commune de dépasser les contentieux pour retrouver une relation apaisée », a-t-il souligné dans un entretien à Le Monde.
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Les tensions entre l’Algérie et le Maroc ont monté d’un cran. La première visite du ministre israélien de la Défense Benny Gantz au Maroc, achevée hier, n’a fait que raviver les tensions. Ce vendredi, Tebboune s’est exprimé sur cette question.
Intervenant lors d’une entrevue accordée aux responsables de médias nationaux, le président de la République a indiqué que « la visite du ministre israélien de la Défense au Maroc est une honte et une trahison ». Dans ce sens, il dit qu’il « regrette les nouvelles relations » entre le Maroc et l’Israël.
« Ce que je regrette le plus dans ces relations ; pour la première fois depuis la naissance de l’entité sioniste en 1948, le ministre israélien de la Défense menace un pays arabe depuis la terre d’un autre pays arabe », a déclaré le chef de l’État comme première réaction à propos de cette affaire.
Pour rappel, lors du premier déplacement d’un ministre israélien au Maroc, le ministre de la Défense, a signé un accord sécuritaire bilatéral qui permettra, selon lui, « une coopération industrielle, militaire et dans le domaine du renseignement ».
Diplomatie et échange économique : Tebboune fait le pointSur le volet diplomatique, « le chef de l’État affirme que la diplomatie doit être un miroir reflétant ce qui se passe à l’intérieur du pays ». Dans ce sillage, il indique que l’Algérie « traitera avec les autres pays conformément aux intérêts communs. Et il n’y a aucun pays nous impose quoi que ce soit ».
Concernant la coopération économique, Tebboune souligne que l’Algérie « accepte tout échange commercial ou économique avec les pays, mais n’accepte aucune tutelle ni dépendance ».
Dans le même contexte, le Président de la République ajoute que « personne ne peut rien imposer à l’Algérie », et que le traitement avec tous les pays sera dans le cadre du « principe de la réciprocité ».
Abordant la question du prochain sommet arabe, qui se tiendra l’année prochaine en Algérie, Tebboune précise qu’il sera un « sommet unificateur », soulignant que l’Algérie ne consacre pas la division entre les pays arabes ».
D’ailleurs, il indique que les relations de « l’Algérie avec tous les pays sont bonnes et normales, sauf avec ceux qui veulent lui être hostiles ».
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Le président de la République Abdelmadjid Tebboune est revenu ce vendredi, lors d’une entrevue accordée à des responsables de la presse, sur la question des subventions de l’État et la révision que compte mener le gouvernement dans le cadre du projet de loi des finances 2022.
D’emblée, le chef de l’État a réitéré que « le soutien de l’État destiné aux catégories démunies ne peut pas être orienté vers les riches ». Dans ce sens, il s’interroge ; « une personne en possession de 5 véhicules, est-il éligible au soutien de l’État sur le carburant ? ».
Or, il insiste sur le fait que le soutien de l’État ne s’arrêtera pas, d’autant qu’il s’agit, selon lui « d’un engagement des martyrs … ». Concernant la question de la révision de la politique des subventions de l’État, Tebboune affirme que « les mécanismes et les méthodes devant réguler le soutien vers le citoyen ne sont pas encore fixes ».
Soulignant que la levée des subventions de l’État « ne concernera que les catégories aux revenus importants », le président estime que « seulement un tiers des Algériens sont concernés par la levée des subventions généralisées ».
« 2022, une année de réformes économiques »D’ailleurs, il ajoute que cette décision ne sera prise qu’après « l’ouverture d’un débat autour de cette question ». Ainsi, il lance un appel aux syndicats de s’immiscer dans le débat des réformes des subventions de l’État.
Dans le même sillage, le chef de l’État souligne que ces réformes interviendront durant l’année prochaine et annonce que « l’année 2022 sera destinée aux réformes structurelles en économie et la révision des destinations des subventions de l’État ».
Abordant la question de l’allocation chômage, Tebboune indique qu’il s’agira « d’une sorte d’un salaire pour le chômeur en attendant qu’il obtienne un poste de travail ». À ce propos, il annonce que le montant de cette allocation « sera proche du SNMG ».
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En seulement deux ans, le sélectionneur national Djamel Belmadi a réussi à construire une équipe forte, cohérente et surtout stable. Il a fait appel aux meilleurs footballeurs, loin de tout favoritisme ou clanisme ayant gagné le domaine footballistique en Algérie.
Le ministre du bonheur comme aiment l’appeler les Algériens, ne s’est pas contenté de créer une sélection ayant pu reporter la coupe d’Afrique. Mais il a aussi réussi à préserver une impressionnante série d’invincibilités plaçant l’Algérie aux côtés des grandes et prestigieuses équipes à l’image de l’Argentine, l’Allemagne ou encore l’Italie.
Outre sa compétence et persévérance, Djamel Belmadi est connu pour avoir été honnête, juste et encourageant envers tous les joueurs sans exceptions. Une qualité aussi importante et indispensable à tout manager voulant voir son équipe évoluer et réussir.
Quand un ex-footballeur marocain vante les qualités de Belmadi« J’espère qu’on aura au Maroc, en Algérie et en Tunisie, une nouvelle génération d’entraineurs comme Belmadi. Ce dernier est un exemple pour les entraineurs qui aiment donner aux joueurs toutes les chances de réussir » a déclaré Mustapha Hadji, ex-footballeur marocain dont la déclaration a été rapporté ce vendredi 26 novembre 2021, par nos confrères d’El Bilad.
Par ailleurs, il a également indiqué que le coach des Fennecs ainsi que celui du Sénégal, en l’occurrence Aliou Cissé, constituent une exception dans le monde arabe et africain. « Les Arabes n’accordent pas assez de confiances aux anciens joueurs. Raison pour laquelle il faudrait leurs accordés de la confiance comme Belmadi avec l’Algérie et Cissé avec le Sénégal », estime Mustapha Hadji, qui occupe actuellement les fonctions de conseiller à l’équipe nationale du Maroc.
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L’arrivée de l’hiver et l’installation du froid semble favoriser la mutation du virus de la covid-19. Des informations ont circulé ces derniers jours sur les réseaux sociaux numériques quant à l’apparition de nouveaux variants et la suspension du trafic aérien.
Aujourd’hui, vendredi 26 novembre 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé vient de confirmer officiellement le caractère virulent du nouveau variant B.1.1.529 du covid, signalé pour la première fois en Afrique du Sud le 24 novembre 2021.
Le plus dangereux n’est plus l’apparition de ces différents variants, mais plutôt leurs degrés de virulence et transmission. À ce propos, l’OMS n’a pas manqué à classer ce vendredi 26 novembre, le nouveau variant comme étant « préoccupant ».
Baptisé «Omicron», la nouvelle souche de la covid-19 qui vient de faire son apparition en Afrique australe, présente un grand nombre de mutations. Cette nouvelle découverte a été en effet révélée au grand public suite la réunion du groupe d’experts chargé par l’OMS de suivre l’évolution du Covid-19.
« Le variant B.1.1.529 a été signalé pour la première fois à l’OMS par l’Afrique du Sud le 24 novembre 2021 (…). Ce variant présente un grand nombre de mutations, dont certaines sont préoccupantes», a fait savoir la même source.
Les vaccins existants sont-ils efficaces contre le nouveau variant ?Trop tôt pour répondre à une telle question. Cependant, des scientifiques sud-africains ont déjà émis des doutes quant à l’efficacité des vaccins existants contre ce nouveau variant, rapporte le Figaro. Selon le média français, des cas ont été enregistré à Botswana voisin et à Hongkong, mais aussi en Belgique, qui est pour le moment le premier pays européen touché.
En conclusion, il convient de rappeler qu’un professeur Sud-Africaine avait déclaré que le nouveau variant pourrait être beaucoup plus transmissible que le Delta. Par conséquent, plusieurs pays européens ont procédé à la fermeture des leurs frontières à l’Afrique du Sud.
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