Loin d’être une problématique passagère, la crise climatique prend de l’ampleur et sa cause gagne du terrain au sein même des hautes sphères gouvernementales internationales. Le défi de réduire les émissions mondiales en carbone forcent même des puissances mondiales rivales à se rapprocher et à collaborer.
Dans le cas des pays en développement, comme c’est le cas de l’Algérie, la prise de conscience se fait timidement. La position de l’Algérie tente d’éviter de céder du terrain à ce sujet, afin de ne pas avoir à payer les pots cassés par les pays industrialisés.
C’est dans ce contexte que le président du comité des affaires économiques et financières au conseil de la Nation, vice-président du comité de l’énergie, de l’environnement, et de l’eau, M. Rachid Achouri, a participé à une réunion en visioconférence afin de discuter les recommandations qui seront présentées pour approbation à la tenue de la seizième session de l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée, qui se tiendra début décembre 2021.
Le député n’a pas hésité à qualifier la crise climatique de « priorité mondiale », tout en soulignant que « la responsabilité historique de l’Algérie », est quasi inexistante. Cette position rejoint celle affichée à l’occasion de la COP 26, ou la responsabilité des pays développés a été pointée du doigt par l’Algérie.
L’Algérie s’en lave les mainsLe même intervenant a affirmé que « le phénomène du changement climatique est une priorité mondiale qui nous oblige à discuter des voies, des moyens, et des mécanismes appropriés pour y faire face, mais aussi à étudier des mesures mondiales afin de préserver la planète ».
Le député ajoute que « ces dérèglements climatiques ne sont pas seulement un facteur multiplicateur de menaces à la paix et à la sécurité mondiales, notamment en Méditerranée et en Afrique, ils exacerbent également les tensions, l’insécurité et les flux migratoires ».
Malgré cela, le représentant de l’Algérie a tenu à souligner que « l‘Algérie, tout comme la plupart des pays en voie développement, ne possède aucune responsabilité historique dans le phénomène de réchauffement climatique et dans l’augmentation du niveau mondial des taux d’émission de gaz à effet de serre ».
Selon M. Achouri, Alger appelle à « fortement à appliquer des mesures et des approches qui assurent un équilibre des intérêts entre tous les États signataires de l’Accord de Paris conclu en 2015″. Le parlementaire a également plaidé pour « un système climatique mondial équitable, efficace et stimulant les efforts de la communauté internationale ».
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Nouveauté, AXA Assurances Algérie permet désormais à ses clients automobiles d’optimiser leur budget en leur offrant la possibilité de payer mensuellement, et en toute simplicité, leur assurance automobile tous risques.
Autoflex comment ça marche ?
Pour y souscrire, il suffit simplement d’être détenteur d’un compte postal ou bancaire. L’ensemble des établissements sont acceptés sans que le client ait à ouvrir un nouveau compte. Le paiement de la première tranche se fera en agence lors de la souscription, les prélèvements mensuels seront, par la suite, effectués automatiquement sans avoir à se déplacer en agence. Autoflex d’AXA est disponible aussi bien pour les nouveaux clients que pour les renouvellements de l’assurance tous risque « Tout en 1 ».
« Nous sommes très heureux de lancer le service « AutoFlex » qui constitue une étape supplémentaire à notre démarche d’amélioration de l’expérience client, notamment en cette période marquée par des pressions énormes sur les bourses des ménages. Avec ce service innovant, qui est une première pour le marché algérien, AXA Assurances Algérie souhaite mettre à la disposition de ses clients une offre de financement qui leur permet de préserver leur budget tout en bénéficiant d’une assurance automobile tous risques complète », précise Said HADDOUCHE, Directeur Général d’AXA Assurances Algérie Dommage.
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Après un été particulièrement chaud et suffoquant, voici que cet automne s’avère bien généreux en pluies. Il pleut sur Alger la capitale, sur la Kabylie, ainsi que sur plusieurs autres régions depuis près de deux semaines, lavant ainsi les séquelles d’une canicule sans précédent qui s’est abattue sur le pays.
Aujourd’hui, le 16 novembre 2021, l’ONM a annoncé que les pluies vont encore se poursuivre sur plusieurs régions du pays. Selon le dernier bulletin de l’Office Nationale de la Météorologie, les pluies vont toutefois se concentrer sur le centre et à l’est du territoire national. Il s’agit de 18 wilayas au total, selon la même source.
En effet, dans une alerte météo de niveau 2 (vigilance Orange), l’ONM a annoncé qu’entre 40 et 60 mm de pluies, parfois sous forme d’averses orageuses, qui peuvent atteindre ou dépasser localement 80 mm, vont s’abattre sur les wilayas du nord.
Il s’agit de Chlef, Ain Defla, Medea, Tipaza, Blida, Alger, Boumerdes, Tizi Ouzou, Bouira, Bejaia, Jijel, Bordj Bou Arreridj, Sétif et Mila indique la même source, qui ajoute que la validité de ce bulletin météo s’étend jusqu’à ce mercredi 17 novembre 2021 à 12 h 00 au moins.
Des pluies sur 4 autres wilayasDans une alerte cette fois ci de niveau 1 (alerte jaune) l’Office National de Météorologie indique que 4 autres wilayas vont être touchées par les pluies. Il s’agit de Constantine, Annaba, Skikda et de Taref.
Concernant les températures prévues pour aujourd’hui, l’ONM affirme qu’elles vont varier entre 12 et 17 degrés au nord du pays, entre 8 et 13 degrés dans les wilayas d’intérieur et, enfin, entre 17 et 31 degrés sur les régions sahariennes.
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La monnaie nationale continue de souffrir face aux principales devises sur les deux marchés parallèle et officiel. Face à l’Euro et au Dollar américain, le Dinar Algérien demeure faible, sans aucun signe d’un proche redressement.
Après l’ouverture des frontières et la reprise des vols internationaux, le dinar algérien enchaine les chutes face aux différentes monnaies fortes, notamment devant la monnaie unique européenne, dont la valeur a flambé sur le marché noir.
Aujourd’hui, le 16 novembre 2021, les cambistes du Square Port-Saïd cèdent un seul Euro contre pas moins de 218 dinars algériens à la vente et contre 216 dinars algériens à l’achat.
Concernant la monnaie étasunienne, sa valeur ne cesse d’augmenter sur le marché parallèle. Un seul Dollar américain s’échange aujourd’hui contre 189 dinars algériens à l’achat et 192 dinars algériens à la vente.
Le Dollar Canadien quant à lui est cédé par les cambistes contre 140 dinars algériens à l’achat et contre 143 dinars algériens à la vente.
Enfin, la valeur de la livre Sterling ne bouge pas d’un iota. Un seul Pound s’échange par les cambistes contre pas moins de 248 dinars algériens à la vente et 245 dinars algériens à l’achat.
Cotations officielles de la banque d’AlgérieÀ la banque d’Algérie, la monnaie nationale ne s’en sort pas mieux. Les cours officiels des principales devises restent très chers. Le Dollar américain ainsi que l’Euro poursuivent leur hausse.
Un seul Dollar américain est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 137.95 dinars algériens à la vente et contre 137.94 dinars algériens à l’achat.
Le Dollar Canadien quant à lui est cédé contre 110.08 dinars algériens à l’achat et contre 110.10 dinars algériens à la vente.
La monnaie européenne reste stable. Un seul Euro s’échange contre 158.00 dinars algériens à la vente et contre 157.98 dinars algériens à l’achat.
La Livre Sterling enfin reste très chère. Un seul Pound s’échange contre 185.15 dinars algériens à la vente et contre 185.06 dinars algériens à l’achat.
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L’affaire du Groupe Condor refait surface au tribunal de Sidi M’hamed (Alger). En effet, le pôle pénal spécialisé dans les crimes financiers et économiques a ouvert aujourd’hui le « gros dossier » de l’usine GB Pharma, une des filiales du Groupe.
Poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation dont « blanchiment d’argent » et « financement occulte de partis politiques » ; le patron du groupe Condor, Abderrahmane Benhamadi, a été le premier à être auditionné par le juge.
Comme lors des procès précédents, Abderrahmane Benhamadi a nié toutes les charges retenues contre lui ; en rejetant toute la responsabilité du projet GB Pharma sur son frère, le défunt Moussa Benhamadi (décédé le 17 juillet 2020 en prison). Interrogé sur les redevances impayées du groupe Condor, le patron du groupe Condor a une nouvelle fois dégagé la responsabilité.
« La seule formalité que j’ai accomplie était d’avoir demandé en 2011 l’octroi d’un lot de terrain pour la réalisation du projet GB Pharma (…) J’ignore complètement cette affaire (des redevances impayées)« , s’est-il défendu face au juge.
Vers l’acquittement de Benhamadi ?Après le passage à la barre d’Abderrahmane Benhamadi, le procès s’est poursuivi avec l’audition du reste des accusés et des témoins, dont des cadres des secteurs des Transports, des télécommunications, mais aussi des services de la wilaya d’Alger.
Il convient de souligner que le patron de Condor a été libéré provisoire, sous le régime du contrôle judiciaire, le 22 avril 2020. Depuis sa sortie de prison, Benhamadi a relancé « la machine condor ». D’ailleurs, il a récemment lancé, en présence du wali de Bordj Bou Arreridj et des autorités locales, une nouvelle unité de production de surfaces d’écrans de télévision.
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La prime de fin de mandat des députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) dissoute n’est pas prévue dans le projet de loi des finances 2022. Les membres de l’actuelle Assemblée semblent préoccupés de leurs prédécesseurs ; ils menacent de monter au créneau.
En effet, les membres de la commission des finances et du budget à l’APN menacent de boycotter la séance consacrée au vote du projet de loi des finances 2022. La cause : la prime de fin de mandat des anciens députés n’est pas prévue dans ce projet.
Ainsi, les membres de la commission des finances et du budget demandent d’ajouter cette prime dans le PLF de l’exercice de l’année prochaine, car il s’agit, selon eux, « d’un droit légitime des députés et c’est inadmissible de les priver de cela »
Selon des sources citées par le quotidien arabophone Echorouk, les membres de ladite commission ont été surpris qu’aucun texte concernant la prime de fin de mandat des députés de la précédente Assemblée ne soit prévu dans le cadre du PLF 2022.
Les membres de la commission menacent de monter au créneauCe qui sous-entend, selon eux, de priver leurs collègues de cette prime, d’autant plus qu’ils n’ont pas bénéficié d’un mandat législatif complet après la décision du président de la République, de dissoudre le parlement, en prévision de la tenue des élections législatives anticipées.
Selon la même source, les membres de la même commission ont dénoncé, ce lundi auprès du bureau de l’Assemblée, la décision d’exclusion de cette prime dans le PLF 2022. Ainsi, ils menacent de monter au créneau.
Cette décision devra intervenir à travers le boycott de la séance consacrée au vote du même projet, si le bureau de l’Assemblée persiste de ne plus aborder cette question dans le PLF. Selon eux, le bureau de l’APN n’a pas accompagné cette décision de justificatifs pouvant les convaincre.
Sur quelle base est calculée la prime de fin de mandat ?Il convient de rappeler que les députés des Assemblées précédentes touchent à chaque fin de mandat une prime de 250 millions de centimes. Le montant de cette prime est calculé sur la base de deux mois de salaire de chaque année du mandat.
Étant donné que l’ancien mandat n’avait pas été mené à terme (3 ans et 9 mois), les députés devront donc ouvrir droit qu’à170 millions de centimes, en cas de l’approbation de la revendication des membres de la commission des finances et du budget pour l’exercice 2022.
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La juriste algérienne Maya Sahli-Fadel, vient d’être élue la vice-présidente de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, a indiqué ce lundi le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra dans un tweet.
Le chef de la diplomatie algérienne a, en effet, tenu à féliciter Maya Sahli-Fadel pour son élection vice-présidence de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples CADHP, dont elle a été membre depuis l’année 2011.
« Je lui souhaite plein succès dans ses fonctions et ses efforts pour protéger et promouvoir les droits de l’homme et des peuples en Afrique », a écrit Lamamra sur son Twitter.
Qui est Maya Sahli-Fadel ?La nouvelle vice-présidente de la CADHP a été enseignante de droit à l’Université d’Alger depuis 1981, à l’Institut diplomatique des relations internationales (IDRI) et à l’École Nationale de la Magistrature (ENM) depuis 2000.
Maya Sahli-Fadel avait également été avocate au barreau d’Alger de 1987 à 1994. Elle est membre de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, dans laquelle elle vient d’être élue vice-présidente, depuis 2011.
À travers ce poste, elle était donc la Rapporteuse spéciale de l’Union africaine sur les réfugiés, les demandeurs d’asile, les personnes déplacées et les migrants en Afrique.
L’intéressée avait également fait partie, en tant que membre, du Groupe de travail sur la peine de mort et du Groupe de travail sur les droits économiques, sociaux et culturels.
En outre, Mme Sahli-Fadel avait été membre du Groupe de travail et d’experts des Nations Unies sur les personnes d’ascendance africaine, et ce, entre 2008 et 2014.
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Les athlètes algériens, femmes et hommes, ont depuis toujours honoré leur pays, et hisser haut le drapeau national, et ce, dans les différents tournois, à savoir national, continental, voire international.
C’est le cas d’ailleurs des éléments de l’élite cycliste nationale algérienne. Ces derniers ont brillé lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, déroulées au Caire en Égypte.
En effet, ces sportifs ont réussi lors de ces mêmes compétitions, à décrocher trois médailles, à savoir une médaille de bronze et deux médailles d’or.
» Félicitations aux éléments de l’élite cycliste nationale algérienne pour leur éclat et l’obtention d’un total de trois médailles avec détermination, détaillées par deux médailles d’or et une médaille de bronze, lors des compétitions du Festival arabe 2021 sur route, qui se tient actuellement au Caire, en d’Égypte, du 12 au 28 novembre 2021 « , lit-on dans un communiqué publié aujourd’hui, sur la page Facebook officielle du ministère de la Jeunesse et des Sports.
Selon la même source, les médailles sont reparties comme suit : une médaille d’or au chrono par équipe, une autre médaille d’or au chrono selon les équipes juniors, ainsi qu’une autre médaille de bronze.
La sélection féminine remporte le contre-la-montreQuant à la sélection féminine de cyclisme (seniors/dames), elle a remporté le contre-la-montre » par équipe » du Festival arabe 2021 sur route, et ce, avec la participation d’un quatuor, composé des athlètes Nesrine Houili, Chahra Azzouz, Hanine Belatrous et Yamna Bouyagour.
En effet, la compétition s’est déroulée sur une distance de 36 kilomètres, où notre sélection féminine a pu boucler cela en 51 minutes, 43 secondes et 37 centièmes seulement.
Avec ce merveilleux résultat, l’équipe algérienne a devancé son homologue Émiratie, qui s’est classée deuxième, avec un chrono de 58 minutes, 38 secondes et 17 centièmes.
Il convient également de préciser que la compétition déroulée en Égypte, s’y poursuivra jusqu’au 25 novembre courant, et comportera plusieurs autres épreuves à son menu.
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Partant pour le prochain scrutin, le parti du front des forces socialistes (FFS) justifie, une nouvelle fois, sa participation tout en mettant en avant ses « luttes pour la préservation et le renforcement de la souveraineté et de l’unité nationale ».
Dans un communiqué rendu public ce lundi 15 novembre 2021, le FFS a d’emblée fait le tour de son historique en énumérant les principales étapes de « 58 ans de luttes ». Ensuite, le communiqué aborde les raisons ayant poussé le parti à prendre part au scrutin malgré la situation politique actuelle.
Selon le plus vieux parti de l’opposition, « la participation aux élections sous ce système de pouvoir, conçu et pensé contre les intérêts du peuple, se fixe ouvertement l’ambition de consolider les conquêtes de la lutte politique pour donner toutes ses chances au changement pacifique et démocratique du système du pouvoir dans notre pays ».
À travers sa participation aux prochaines échéances en sollicitant un mandat électoral, le FFS s’est dit engagé « à porter pacifiquement la lutte politique au sein même des institutions ». D’ailleurs, le fonctionnement efficace de ces organes délibérants implique le respect de deux principes, estime encore le parti.
Il s’agit, en premier lieu, du « principe de la libre administration, c’est-à-dire l’élection au suffrage universel ». Et du « principe de l’autonomie de gestion financière, du renforcement des prérogatives des élus, de la consécration du principe de la séparation des pouvoirs et de la décentralisation effective », énumère le parti.
« Déraciner les relais locaux du système et leurs serviteurs »Dans le même sillage, le FFS rappelle qu’il a participé « à la quasi-totalité des élections locales », et ce, depuis l’instauration du pluralisme politique en Algérie en 1989. Ces participations se sont intervenues car « c’est le moyen de rester dans la société et avec elle pour partager ses épreuves et pour perpétuer l’espoir », estime encore le Front.
En outre, le FFS avance que sa participation aux prochaines élections est une aubaine pour « déraciner les relais locaux du système et leurs serviteurs qui pervertissent l’action politique, et participent activement à la dépolitisation et à la déstructuration de la société ».
Après avoir fait le tour des grands axes de ses engagements et ambitions pour ces échéances, le parti affirme que « le changement local n’est que le commencement d’un changement au niveau national ».
Le communiqué a conclu par un appel lancé à l’ensemble des Algériens, les exhortant à participer aux élections. « … C’est pourquoi votre participation est si importante, car elle contribuera à l’instauration d’un État de droit démocratique et social ».
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Après la troisième vague de la pandémie, notamment véhiculée par le variant Delta de la covid-19 en Algérie, les spécialistes mettent en garde contre une quatrième vague, mais sans trop se pencher sur sa nature, et sur les variants qui déterminent sa dangerosité.
Dans ce contexte, le Dr Derrar, s’exprimant aujourd’hui lors d’une émission télévisée, a indiqué que le seul variant qui circule en Algérie actuellement est le variant Delta. Le spécialiste, directeur de l’institut Pasteur Algérie, a ajouté qu’en cas de découverte d’un nouveau variant, l’information sera aussitôt communiquée par l’IPA.
Le responsable a également indiqué que l’institut pasteur Algérie a des accords avec l’Organisation Mondiale de la Santé. L’IPA dispose également des moyens qui permettent la détection des changements et des mutations du virus, assure le même intervenant.
Vers une cinquième vague ?Concernant l’arrivée de la troisième vague, le Dr Derrar campe sur ses positions. Selon lui, c’est officiel, il n’y a aucun doute que l’Algérie est entrée dans une nouvelle vague épidémique. Le directeur de l’IPA affirme que la flambée va se faire sentir d’ici un mois ou deux.
Toujours selon le Dr Derrar, la vaccination empêche le virus de muter, ce qui atténue sensiblement de sa dangerosité. Le spécialiste a donné l’exemple du variant Delta qui n’a pas muté grâce à la campagne de vaccination.
Le responsable mise tout sur le vaccin anti-covid. Selon lui, la vaccination peut constituer un rempart contre la flambée, car elle peut atténuer ses dégâts. Pour conclure, le même spécialiste indique qu’une cinquième vague n’est pas écartée.
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La situation épidémiologique en Algérie reste relativement stable comparée à ce qui a été vécu au mois de juillet dernier. La covid-19 pourrait toutefois sortir les crocs à n’importe quel moment, mettent en garde tous les spécialistes qui s’attendent à une nouvelle vague.
Aujourd’hui, le 15 novembre 2015, le bilan du ministère de la Santé a annoncé 134 nouveaux cas de contamination à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 97 enregistrées lors de la journée d’hier. Les mêmes chiffres font état de 7 nouveaux décès, 78 nouvelles guérisons et de 22 patients admis aux services de réanimation.
Ce dernier bilan fait monter le total des contaminations à la covid-19 en Algérie, depuis le début de la pandémie en mars 2020, à plus de 207.880 cas. L’Algérie a déploré au cours de cette pandémie, plus de 5983 décès dus à des complications liées au virus.
Quatrième vague : les mises en gardes se multiplient, les cas chutent ?Les spécialistes et les responsables du secteur de la Santé en Algérie s’accordent tous à dire que la quatrième vague est inévitable, et que l’Algérie va devoir y faire face. Certains sont même allés à dire que nous sommes déjà entrées dans la dynamique de ce nouveau rebond. Les chiffres officiels disent cependant tout à fait le contraire.
En effet, aux antipodes des déclarations du Dr Derrar, qui a affirmé que nous sommes déjà en plein quatrième vague, le bilan des contaminations est redescendu hier au-dessous de la barre symbolique des 100 cas, avant de remonter aujourd’hui.
En fait, et toujours selon le même spécialiste, la flambée ne se laisse pas ressentir, elle se fait progressivement, et cela ne cause pas forcément des cas graves ou nécessitant une réanimation. Cela commence, explique-t-il par une hausse des contaminations qui pourrait passer inaperçue.
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À la veille de la rencontre footballistique qui va réunir les deux équipes adverses, à savoir l’Algérie et le Burkina Faso, le sélectionneur de l’équipe burkinabè continue toujours « sa guerre psychologique » contre les Fennecs.
Il s’agit en effet, de la sixième et dernière journée de la phase des poules des éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
De ce fait, si les hommes de Belmadi remportent le match ou s’en sort avec un score d’égalité, ils se qualifieront au match barrage. En revanche, si les Burkinabés l’emporte, c’est eux qui se qualifieront.
À cet effet, les Fennecs s’apprêtent à cette confrontation qualifiée de « décisive », avec une grande détermination, afin d’obtenir la victoire et satisfaire le public algérien.
Cependant, le sélectionneur burkinabé, Kamou Malo en l’occurrence, ne semble pas satisfait, ni prêt pour ce match retour. Ce dernier continu à mener « une guerre psychologique » contre les Verts, afin de les déstabiliser et les déconcentrer.
Aujourd’hui, ledit entraineur a dénoncé la présence du public algérien dans les tribunes, lors de la rencontre de demain au stade Mustapha Tchaker de Blida.
Commentant la présence de 14 000 supporters dans les tribunes de Tchaker, Kamou a déclaré : » nous avons joué les matchs précédents des éliminatoires sans public, alors comment l’Algérie, dans le dernier et important match, peut-elle être autorisée à jouer devant ses fans « .
« Nous allons travailler pour battre l’Algérie dans son stade », KamouLe premier responsable du staff technique des Étalons, a ajouté, dans une déclaration publiée sur la page Facebook officielle de la Fédération burkinabè de football : « je pense qu’autoriser le public à y assister est déraisonnable, mais malgré cela nous devons nous adapter à cet effet « .
Dans un autre chapitre, Kamou a affirmé, à propos du match attendu contre les Verts : » dans le football, il n’y a rien d’impossible, nous n’avons rien à perdre dans ce match, et nous allons travailler pour battre l’Algérie dans son stade « .
Rappelons que la confrontation se déroulera au stade Mustapha Tchaker de Blida, ce mardi 16 novembre, à partir de 17 heures, avec la présence de 14 000 supporters.
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Le dossier des métiers dits pénibles et la liste devant définir ces activités en Algérie n’ont jamais vu le jour. C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens Salim Labatcha.
Dans une déclaration rapportée par le quotidien Echorouk, livrée lors de l’installation du premier syndicat de la société des eaux et d’assainissement d’Alger « Seaal », le secrétaire de l’UGTA nie l’existence du dossier des « métiers pénibles » au niveau de la centrale syndicale.
Selon lui, ce dossier proposé par l’UGTA à l’automne 2016, la veille de l’amendement de la loi sur les retraites, « n’a jamais été ouvert pour qu’il soit fermé ». Il précise, en effet, qu’il n’avait pas trouvé aucun dossier ni document à ce propos à son arrivée à la tête de la centrale syndicale en juin 2019. Pis encore, il affirme qu’il n’a trouvé aucune trace concernant ce dossier.
Dans ce sens, il ajoute : « je défie quiconque qui m’aura donné un dossier sur les métiers pénibles de venir me le dire en face ». Qualifiant ce dossier de « diversion », il explique qu’il avait été abordé en 2016 juste pour absorber la colère des travailleurs quant aux amendements arbitraires sur la retraite en 2016.
« Il s’agit d’une diversion … lorsqu’ils (les responsables de l’époque NDLR) n’ont rien trouvé pour faire face à la colère des travailleurs, ils ont sorti ce dossier pour calmer les esprits », a-t-il encore ajouté.
Qu’en est-il de la révision de la loi sur la retraite ?S’exprimant sur les déclarations de l’ancien ministre du Travail, El Hachemi Djaaboub qui avait écarté la révision de la loi sur la retraite, et le retour à la retraite proportionnelle, Labatcha affirme que ce dossier « sera bel et bien ouvert et débattu à nouveau ».
Dans le même sillage, il souligne que le président de la République lui avait confirmé personnellement que « la porte sur la révision de la loi sur la retraite n’a jamais été définitivement close », soulignant qu’il s’agit d’une revendication économique d’autant qu’il devra permettre également la création de postes d’emploi.
D’ailleurs, il explique que l’État n’a rien à perdre lorsqu’il met un travailleur à la retraite après 32 ans de service. « Au contraire, l’État devra en bénéficier, car une bonne partie du chômage sera absorbée à travers cela en créant de nouveaux postes et une nouvelle dynamique ».
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Beaucoup d’algériens souhaitent aller à l’étranger afin d’y travailler, commencer une nouvelle vie et briller professionnellement. Leur rêve se rapproche de la réalité de plus en plus ces derniers temps.
En effet, plusieurs pays notamment le Canada, ouvrent leurs portes aux travailleurs étrangers afin d’essayer de combler le vide de la pénurie d’effectif. Raison pour laquelle ils ont mis en place des programmes d’immigration pour les travailleurs.
Parmi ces programmes intéressants, on a le programme « Entrée Express », qui concerne toutes les provinces canadiennes à l’exception du Québec et qui permet d’avoir une résidence permanente.
Pour s’inscrire dans ce programme il suffit :1 – Cumuler plus 420 points ( les points s’accumulent en fonction de votre âge, expériences, compétences…etc)
2 – Chercher et savoir où la priorité est accordée à ton diplôme.
3 – Effectuer et payer l’équivalence de ton diplôme (qui coûte 230 CaD) sur ce site.
4 – Passer un test de langue ( TEF ou IELTS ), un B2 est exigé pour le français et 6 points sont exigés pour l’anglais, si vous souhaitez avoir plus de points vous pouvez passer les deux.
5 – Connaître le NOC ou CNP ( des systèmes de classification de professions ) de votre métier.
6 – Créer un profile sur ce site, s’inscrire.
7 – Avoir un compte bancaire en devise ou l’équivalent de 13 000 CaD en dinars, et ce, afin de prouver ton indépendance financière.
8 – Vous recevrez une invitation suite à laquelle il faudra envoyer un dossier complet (vous devrez payer les frais d’étude du dossier 550 CaD et les frais de résidence 490 CaD).
9 – Suite à l’étude de votre dossier, vous recevrez une invitation afin d’effectuer des tests médicaux, que vous allez avoir 30 jours pour passer chez un médecin agrée par les services de l’immigration (une liste des médecins agrée vous seras envoyée), les tests médicaux coûteront entre 13 000 et 18 000 DA.
10 – Si les tests médicaux ne révèlent aucune maladie grave, vous allez déposer votre passeport au niveau de VFS Global, qui eux, se chargeront d’envoyer votre passeport à l’Ambassade du Canada à Paris, qui vous accordera un visa permanent et vous aurez 5 mois pour partir au Canada.
L’initiative canadienneLes algériens se sont toujours montrés motivés et intéressés par l’immigration vers le pays de la feuille d’érable mais les procédures les effrayent. Suite à quoi, l’Ambassade du Canada en Algérie offrira une session d’information sur le programme « Entrée express » le jeudi 25 novembre 2021.
Face à l’intérêt que le Canada porte aux travailleurs étrangers et la reprise des vols avec le Canada suite à la réouverture progressive du monde après sa fermeture due au Covid-19, c’est l’occasion à saisir pour concrétiser son rêve de partir.
L’article « Entrée express » : 10 étapes pour immigrer au Canada est apparu en premier sur .
Le diabète de l’enfant, une maladie pas très connue en Algérie. Pourtant, les chiffres disponibles témoignent d’une maladie qui semble prendre de plus en plus de l’ampleur.
Selon le seul registre disponible en Algérie, en l’occurrence celui d’Oran, cité par le quotidien Liberté, le diabète chez l’enfant gagne de plus en plus de terrain. L’incidence de cette maladie (type 1) chez l’enfant est estimée à 30 pour 100 000 personnes.
Avec ces chiffres, l’Algérie se retrouve désormais au top 5 des pays les plus touchés par la maladie. Concernant les tranches d’âge les plus touchées, un spécialiste indique que 25% des enfants diabétiques sont âgés entre 0 et 4 ans.
Interrogé par le même journal, le Pr Belkacem Bioud, médecin chef du service de pédiatrie du CHU Saadna-Mohamed Abdenour de Sétif, cite une étude menée en 2013 dévoile une incidence de 19,26 pour 100 000 enfants.
Les facteurs qui favorisent le diabète chez l’enfantPour sa part, Dr Nawel Dridj, maître assistante à l’unité de diabète du pôle pédiatrique rappelle qu’un nourrisson ou un enfant diabétique est obligé de faire plusieurs injections par jour. Elle avance « entre 10 et 13 injections entre insuline et contrôle ». Ce qui est « énorme ! », s’exclame-t-elle.
Concernant les causes de cette maladie, la même intervenante précise que plusieurs facteurs favorisent le diabète de l’enfant. À ce propos, elle cite « l’antibiothérapie abusive, l’accouchement par césarienne, l’abandon de l’allaitement maternel, l’adoption d’une alimentation malsaine et l’absence d’activité physique ».
Début de l’année dernière, des études épidémiologiques dans différentes régions du pays ont révélé une affolante augmentation dans l’incidence du diabète type 1 chez l’enfant. En effet, ces études montrent que le diabète chez l’enfant augmente de manière inquiétante en Algérie.
Il convient de rappeler que diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui nécessite des injections quotidiennes d’insuline.
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Une probable entente à l’amiable avec les responsables et les hommes d’affaires mouillés dans des scandales de corruption a fait couler beaucoup d’encre et a suscité l’indignation de plusieurs citoyens, pour qui, une réduction de peines des responsables corrompus n’est pas du tout envisageable.
Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Abderachid Tebbi, semble être d’un tout autre avis. Intervenant sur les ondes de la radio nationale, aujourd’hui lundi, 15 novembre, le responsable a affirmé qu’une procédure de règlement à l’amiable sera adoptée avec les personnes incarcérées dans le cadre des affaires de corruption, et ce, afin de récupérer les fonds volés.
Une méthode qui a fait ses preuves, selon le ministreAbderachid Tebbi, fraichement installé à la tête du ministère de la Justice en remplacement à Belkacem Zeghmati, a expliqué lors de la même émission que la méthode du règlement à l’amiable a déjà fait ses preuves au sein de plusieurs systèmes internationaux. Cette méthode, ajoute le même responsable, aide à récupérer les fonds volés et à obtenir des compensations.
Le ministre ajoute que la procédure de règlement à l’amiable reste le meilleur choix pour l’économie nationale et pourrait être bénéfique pour le trésor public. Abderachid Tebbi explique que cette méthode se base sur l’offre de l’arrêt de certaines poursuites pénales en échange de la restitution des fonds volés.
Il est à rappeler que le premier ministre, Aimene Benabderahmane, a déjà souligné, en septembre dernier, la volonté de l’État à récupérer les fonds volés via l’activation d’une série de mécanismes juridiques dans le cadre des conventions internationales.
Il s’agit de « la mise en place de mécanismes de coordination de haut niveau, outre le lancement d’une série de procédures avec les pays vers lesquels les fonds pillés ont été détournés », a déclaré le premier ministre.
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Dans le cadre de la prochaine confrontation face au Burkina Faso, prévue demain 16 novembre à 17 heures, le sélectionneur national Djamel Belmadi tient aujourd’hui, une conférence de presse au centre technique de Sidi Moussa à Alger, et ce, afin d’aborder plusieurs points importants à ce propos.
À cet effet, Djamel Belmadi à profiter pour répondre, à sa manière, aux provocations croissantes de son homologue du Burkina Faso, Kamou Malo, en lançant : » notre mot sera sur le terrain et le compétiteur est libre dans ses actions. Nous, nous sommes ici pour jouer au football « .
En outre, le coach confirme qu’il ne se soucie guère des déclarations de Kamou Malo, les considérant comme une simple guerre psychologique contre les Fennecs, sachant que ce dernier a fortement critiqué l’équipe nationale, et a même osé dire que c’est « une équipe de niveau moyen ».
» Je me fiche des déclarations du sélectionneur du Burkina Faso, il est libre de dire ce qu’il veut « , affirme « le ministre du Bonheur », tout en ajoutant : » pour moi, de telles déclarations ne m’intéressent pas. C’est juste une guerre psychologique. Le plus important, ce sera au-dessus du rectangle vert « .
Belmadi évoque l’incident de la coupure de l’hymne nationalPar ailleurs, et lors de la même conférence de presse, le coach n’a pas hésité à évoquer l’incident de la coupure de l’hymne national au Stade international du Caire, qui a accueilli le match des Verts contre le Djibouti, ce vendredi 12 novembre.
» Nous sommes appelés à respecter l’hymne burkinabé demain. Nous respectons tous les pays contre lesquels nous jouons, contrairement à ce qui s’est passé lors du dernier match, où ils ont intentionnellement envoyé un quart de l’hymne national et l’ont coupé rapidement, mais les joueurs ont fait leur travail et ont continué l’hymne national « , signale Belmadi.
En outre, l’entraineur ajoute : » ce qui est étrange, c’est qu’ils ont répété l’hymne lorsque nous étions sur le terrain pour commencer le match. Nous respectons nos concurrents et ne faisons pas un tel comportement. »
Il convient également d’indiquer que les protégés de Belmadi sont à la tête du classement du groupe A, Zone Afrique, avec un score de 23 buts inscrits sur cinq matchs sans défaite.
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L’affaire de l’assassinat des trois Algériens sur l’axe routier Ouargla-Nouakchott, ne semble pas avoir livré tous ses secrets. De nouveaux éléments viennent d’être révélés dans une enquête menée par le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines.
Deux semaines après la survenue du bombardement de deux camions algériens, sur l’axe routier Ouargla-Nouakchott, le 1er novembre dernier, de nouveaux éléments viennent d’être révélés concernant le lieu de l’incident.
« Le lieu de l’accident ne se situait pas dans une zone confirmée dangereuse, ni dans une zone présumée dangereuse et non plus dans une zone grise », indique un communiqué publié sur Facebook par le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines.
Ce dernier s’est basé dans son enquête sur les preuves matérielles, les analyses balistiques, le lieu du crime et la position des deux camions. Le bureau souligne également que « le point dangereux le plus proche se situe à plus de 10 km du lieu de l’accident et n’est pas miné ».
S’agit-il de l’explosion d’une mine antipersonnel ?Répondant à la version des faits avancée par le Maroc, affirmant que l’accident est lié à l’explosion d’une mine antipersonnel, la même source soutient que « le point d’explosion de mine le plus proche du lieu de bombardement des deux camions se situe à plus de 50 km ».
Concernant la situation géographique de l’incident, le bureau sahraoui de coordination de l’action anti-mines précise « le lieu est situé à l’intérieur du territoire sahraoui et dans l’espace géographique de la région de Bir Lahlou, à quelque 14 km de ladite commune ».
« Il est situé à quelque 50 km du point le plus proche du mur et à quelque 36 km des frontières mauritaniennes », selon le bureau », précise-t-on encore dans le communiqué.
Le 6 novembre dernier, le porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU, Farhan Haq avait déclaré : « Nous pouvons maintenant confirmer que le site du bombardement se trouve dans la partie orientale du Sahara occidental près de Bir Lahlou ».
Il convient de noter que la confirmation livrée par Farhan Haq était basée sur un constat établi par une patrouille de la Minurso, dépêchée au lieu de l’attaque le 3 novembre, soit 24 heures après en avoir été informé, selon le porte-parole adjoint.
Il avait, en effet, précisé que « la Mission Minurso a observé deux camions portant des plaques d’immatriculation algériennes stationnés parallèlement l’un à l’autre ».
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La décrue considérable du nombre des cas de contaminations en Algérie n’a eu de cesse de nous apporter de bonnes nouvelles. Levée du confinement partiel, réouverture partielle des frontières aériennes et maritimes et retour progressif à la vie normal ; nous continuons à aller de l’avant.
C’est justement grâce à cette décrue que l’Algérie sort également de la liste des pays à haut risque, cette fois-ci c’est à la capitale des Émirats arabes unis d’annoncer une bonne nouvelle aux voyageurs algériens. Abu Dhabi place l’Algérie sur sa liste verte, sachant que les vols entre l’Algérie et Émirats arabes unis sont opérés six fois par semaines. Pour Air Algérie, les vols sont opérés les dimanches et jeudis pour la ligne Alger – Dubaï et pour la ligne Dubaï – Alger les lundis et les vendredis.
Dans le cadre de réciprocité, la compagnie Emirates opère sur la ligne Dubaï – Alger les mardis et les jeudis, et pour la ligne Alger – Dubaï en passant par Tunis, les mardis et les jeudis également.
Sur la liste verte d’Abu DhabiDans la première mise à jour dans ce sillage depuis le mois d’octobre, Abu Dhabi vient d’élargir sa liste verte des pays desquels les voyageurs entièrement vaccinés peuvent aller à Abu Dhabi sans devoir se confiner à leur arrivée. La liste verte comprend désormais 95 destinations et pays, dont les 13 nouveaux pays ajoutés à l’instar de l’Algérie. Alors que les voyageurs non-vaccinés doivent se confiner pendant 10 jours à leur arrivée, passer des tests PCR le sixième et le neuvième jour de leur quarantaine.
Le protocole sanitaire et les mesures préventives sont toujours exigés partout dans le monde notamment dans les aéroports, compte tenu de certains pays qui vivent une hausse soudaine des cas de contaminations après une période de décrue et de stabilité.
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Le grand match décisif approche. On n’est qu’à quelques heures de la rencontre qui réunira l’équipe nationale à son homologue burkinabè, dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
À cet effet, et lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, à la veille de ladite confrontation, au centre technique national de Sidi Moussa à Alger, le sélectionneur national Djamel Belmadi, a confirmé que ses joueurs sont bien prêts et motivés pour le match.
» La confrontation face au Burkina Faso est cruciale pour nous « , affirme le coach, lors de ladite conférence, ajoutant : » » notre objectif est clair : c’est la qualification à la Coupe du Monde 2022, et nous sommes à 3 matchs d’atteindre ce but « .
En outre, le « ministre du Bonheur » déclare avec détermination : » on va certainement perdre un jour, mais pas demain ! » Une déclaration qui va droit au cœur des supporters Algériens et amateurs du football, surtout à l’approche d’un match aussi important que celui de demain.
Belmadi : la pelouse de Mustapha Tchaker s’est beaucoup amélioréePar ailleurs, l’entraineur confirme que la pelouse du stade de Blida, Mustapha Tchaker, s’était beaucoup améliorée par rapport aux dates précédentes. » Elle est évidement beaucoup mieux que les deux dates précédentes. Elle est beaucoup plus praticable, ça va aider les joueurs à bien performer « , estime le coach.
Ainsi, Djamel Belmadi révèle que l’équipe du Burkina Faso diffère dans sa façon de jouer de l’équipe du Niger, notamment avec son jeu rapide, contrairement à l’équipe du Niger, qui joue plus de manière défensive.
Pour rappel, les Fennecs vont affronter demain, à 17 heures, les Étalons, en match retour. Il s’agit de la dernière rencontre de la phase des poules des qualifications pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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