Bonjour et bienvenue dans ce direct. L’ancien président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est mort ce vendredi 18 septembre à l’âge de 84 ans. L’Algérie n’avait pas perdu d’ancien président depuis le 6 octobre 2012, et la mort de Chadli Bendjedid.
Victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2013, Bouteflika avait été hospitalisé plusieurs fois ; mais cela ne l’a pas empêché de s’agripper au pouvoir jusqu’à sa chute en avril 2019. Depuis, il s’est retiré de la vie publique et politique.
13.05. Suite au décès de l’ex président, Abdelaziz Bouteflika, survenu hier vendredi, le président palestinien Mahmoud Abbas, n’a pas manqué de réagir. Dans une lettre adressée au président Tebboune, Abbas a présenté ses condoléances « fraternelles les plus sincères » suite à la mort de Bouteflika. Le président palestinien dans sa correspondance a souligné les qualités du défunt, et a prié dieu de l’accueillir dans son vaste paradis.
12h40. Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, a lui également, réagi à la mort d’Abdelaziz Bouteflika. Dans une publication sur son compte Facebook ; le premier homme du parti islamiste « modéré », se confond en prêches, en avertissant les dirigeants de l’inévitable sort qui les attend ; faisant aussi l’éloge de « la mort », ce qu’il dit être « le meilleur des prédicateurs ».
12h20. Le président Abdelmadjid Tebboune vient de décider de mettre les drapeaux nationaux en berne pour trois jours afin de témoigner « d’un deuil au niveau national ». Et non d’un « deuil national ». La précision est importante.
11h52. Le vice-président du Conseil présidentiel libyen, Moussa al-Kouni, réagit au décès de Bouteflika. Dans un tweet, Al Kouni a présenté ses condoléances et rendu hommage à l’ancien president.
رحل #بوتفليقة في صمت، تاركاً لبلاده إرثاً من اللحمة الوطنية/والوئام. وقد أخرج #الجزائر من عثرتها، وأودعها للمجد بعد عشر عجاف من التيه والتمزق.
كان نموذجاً لحكمة القيادة أمام القلاقل،مثل #بورقيبة. وكان مثله جديراً بأن يكون الرمز بإطلاق لولا تشبتهما بالسلطة.تعازينا للجزائر/لانفسنا. pic.twitter.com/UD7ew9DVYu
— موسى الكوني Al Kouni (@Moussa_kouni) September 18, 2021
11h47. Selon nos sources, Abdelaziz Bouteflika sera inhumé ce début de semaine au Carré des Martyrs du cimetière El-Alia (Alger). La date de la cérémonie des obsèques devrait être annoncée dans les prochaines heures.
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Le défilé des accusés dans l’affaire de corruption ou Melzi, Sellal et Ouyahiya sont mouillés, a vu son épilogue enfin arriver. Pour conclure la séance, les accusés ont été appelés à la barre. Outre les déclarations qui virent aux supplications de Sellal, celles confiantes de Ouyahiya, Melzi aussi a parlé.
L’Ancien directeur de Morreti, alors que la classe moyenne en Algérie s’appauvrit à une vitesse folle, a dévoilé ce qui est censé être le montant de son petit compte épargne. En dévoilant un tel chiffre, l’accusé plaidait, confiant, sa totale innocence.
Melzi : « 53 ans au service de la nation »Abdelhamid Melzi a prononcé son dernier mot dans le cadre d’une affaire de corruption ou il figure parmi les principaux accusés. L’ancien directeur du Club des pins, paraissait confiant. Un peu trop, pour quelqu’un qui risquait plus de 10 ans de prison.
L’accusé a déclaré que ses déboires avec la justice ont commencé le jour ou il a été « kidnappé par les services de sécurité ». Il affirme qu’il a « essayé de comprendre, mais il n’avait pas eu la moindre réponse ». Melzi rappelle qu’il s’est retrouvé en prison le 7 mai, et déplore le sort qui a été réservé à ses proches. Il indique que sa famille a été « soumise à un interrogatoire pendant un jour et demi ».
« Monsieur le juge, je n’ai pas dilapidé de l’argent, je n’ai pas violé la loi », confesse-t-il. Le mis en cause n’hésite pas à rappeler ses « 53 ans au service de la nation ». Pour lui, c’est clair, « ils veulent casser le nom de Melzi ». Un nom qui est toutefois taché par plusieurs scandales de corruption, et rattaché à depuis plusieurs années à la nomenklatura et à la mafia politico-commerciale Algérienne.
Comme si cela allait contribuer à l’innocenter, Melzi confesse qu’il ne « possède que 113 millions de dinars » sur son compte bancaire. Melzi ajoute qu’il a interdit l’accès pour ses enfants aux institutions qu’il gérait, et qu’il avait appris le métier de gestion grâce à un « illustre juge ». Ce dernier aurait même appris à Melzi « à documenter toutes les opérations ». Sept ans de prison ferme ont été requis contre Melzi, et 4 à l’encontre de ses enfants. Le verdict final est attendu dans 8 jours.
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L’arrivée du mois de septembre a été marqué par la persistance de la chaleur, mais aussi par un temps nuageux avec risque d’averses orageuses. Un climat instable qui annonce le début de l’automne.
D’après les prévisions des services de météorologique, beaucoup de wilayas connaitront ce samedi 18 septembre la poursuite de chute de pluie orageuse. Il s’agit en effet de : la capitale Alger, Tizi-Ouzou, Bejaia, Bouira, Blida, Ain Defla, El Tarf, Chlef, Skikda, Tissemsilt, M’sila, selon la même source.
Hier, l’office national de météorologie avait mis en garde contre de fortes pluies orageuses à travers 12 wilayas. Ces prévisions concernaient : Alger, Tiaret, Médéa, Djelfa, Bouira, Blida, Lagouat, Tissemsilt, Boumerdes et El Bayadh.
Baisse considérable des températures dans certaines wilayasLes Wilayas qui n’ont pas connu de pluies, ont été marqué cependant par un climat nuageux caractérisé par la formation de cellules orageuses. Il convient de préciser que ces prévisions concernent les wilayas de l’intérieur, du centre, de l’ouest et de l’est du pays.
Quant au sud algériens, les températures restent quand même élevé atteignant 36 degrés, avec des vents violents et des soulèvements de sable dans certaines wilayas comme Nâama.
Enfin, les températures dans les zones côtières oscillent entre 23 et 34 degrés, entre 28 et 34 degrés dans les wilayas de l’intérieur et de 36 à 45 au sud du pays. Une baisse considérable par rapport à la semaine passée ou des températures atteignant 28 et 42 ont été enregistrés sur les zones côtières ; 30 et 41 dans les wilayas de l’intérieur ; de 36 à 47 au sud du pays.
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Il avait dirigé l’Algérie pendant vingt ans, de 1999 à 2019. L’ancien président Abdelaziz Bouteflika a rendu son dernier souffle hier vendredi à l’âge de 84 ans.
En effet, l’ancien chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika est décédé hier vers 22h00 à son lieu de résidence à Alger. Selon nos sources, l’ex-président sera inhumé ce début de semaine au Carré des Martyrs du cimetière El-Alia (Alger). La date de la cérémonie des obsèques devrait être annoncée dans les prochaines heures.
Bouteflika a été le président algérien ayant resté le plus longtemps au pouvoir. Surnommé Abdelkader El Mali durant la guerre d’Algérie, il s’est vite retrouvé dans les rouages du régime après l’indépendance.
D’un rêve monarchique à un « cadre » déchuD’un diplomate à un président contesté, Bouteflika aura marqué l’histoire de l’Algérie durant plusieurs décennies. Bouteflika est et restera le père de la diplomatie algérienne. Plus jeune ministre des Affaires étrangers au monde à son époque, il occupe le poste de 1963 jusqu’en 1979 ; avant de s’exiler en suisse.
Après un long exil, Bouteflika accède à la tête du pays après les présidentielles de 1999, avec une image de sauveur dans un pays déchiré par la décennie noir. 20 ans plus tard, il se retrouve sommer de quitter le pouvoir sous la pression du mouvement populaire du Hirak, soutenu par l’armée. En avril 2019, démissionne et laisse sa place au chef de l’Etat Abdelkader Bensalaha qui a occupé l’intérim jusqu’à l’élection du président Tebboune.
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L’ancien président Abdelaziz Bouteflika est décédé, hier vendredi, à l’age de 84 ans. Il avait dirigé l’Algérie pendant 20 ans, en étant le chef de l’État algérien ayant resté le plus longtemps en fonction.
D’un diplomate à un dirigeant contesté, Abdelaziz Bouteflika aura marqué l’histoire de l’Algérie durant plusieurs décennies. Né le 2 mars 1937 à Oujda au Maroc, Bouteflika rejoint l’Armée de libération nationale à l’age de 19 ans. Au sein de l’ALN, il intègre l’armée des frontières puis fait son entrée à l’école des cadres de l’ALN à Dar El Kebdani (Oujda) avant de devenir, en 1957, contrôleur pour la direction de la wilaya V.
Entre 1957 et 1962, Bouteflika progresse rapidement dans l’appareil administratif de l’ALN, en se liant avec Houari Boumédiène. Avec l’indépendance, il devient député de Tlemcen et intègre le premier gouvernement Ahmed Ben Bella en tant que ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme.
Père de la diplomatie algérienneUn an plus tard (1963), Bouteflika hérite du poste de ministre des Affaires étrangères qu’il occupe jusqu’en 1979. Plus jeune diplomate au monde à l’époque, il participe en 1965 au coup d’État de Houari Boumédiène, qui s’était emparé du pouvoir en déposant Ahmed Ben Bella.
Avec la mort de Houari Boumédiène, Bouteflika est peu à peu écarté de la scène politique. D’un ministre des Affaires des étrangères à un conseiller du président Chadli Bendjedid (1979-1992).
Il occupe ce poste pendant deux ans, puis il s’exile en suisse après s’être exclu du bureau politique du FLN pour mauvaise gestion aux Affaires étrangères. Quelques mois après son exil, il est condamné par la Cour des comptes à rembourser 2 millions de dinars à l’époque. Bouteflika préfère garder le silence.
Le retour d’exilEn l998, Bouteflika marque son retour en Algérie. Il fait part de sa décision de se présenter, en tant que candidat indépendant, à l’élection présidentielle anticipée d’avril 1999. Le 15 avril, il est élu.
Dès sa prise de fonctions, il lance le chantier « Réconciliation nationale » pour mettre fin à la guerre civile ayant fait plus de 200.000 morts. En cinq ans, Bouteflika convainc les islamistes de déposer les armes et met fin définitivement au conflit.
Bouteflika remporta quatre élections présidentielles successives en 1999, en 2004, en 2009 et en 2014 avec des pourcentages croissants, mais contestés par l’opposition. Une série de victoires qui a mal fini.
La chute du clan BouteflikaAffaibli par un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a affecté sa mobilité et son élocution, Bouteflika est réélu à 77 ans, en fauteuil roulant, avec 81,53 % des voix.
Durant son quatrième mandat, Bouteflika a vu vite son règne glisser entre les mains d’une mafia politico-economique, qui a fini par provoquer sa chute ainsi que celle de son clan.
En février 2019, le mouvement populaire du Hirak né. Des millions d’Algériens descendent dans les rues pour réclamer le départ de Bouteflika et son clan. Deux mois plus tard, il démissionne. Une fin de 20 ans d’un règne sans partage.
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Né le 2 mars 1937 à Oujda au Maroc, l’ancien président de l’Algérie, Abdelaziz Bouteflika est décédé aujourd’hui. La télévision algérienne l’a annoncé.
Le défunt a été le chef de l’Etat algérien ayant resté le plus longtemps en fonction. Surnommé Abdelkader El Mali pendant la guerre d’Algérie, il s’est vite retrouvé, suite à l’indépendance de l’Algérie, dans les rouages du régime et dans les hautes sphères du pouvoir. Il est notamment devenu proche de Ben Bella, contre qui il va se retourner, en se joignant aux putschistes commandés par le colonel Boumediene.
Après la mort de ce dernier, l’homme d’Etat algérien entame sa traversée du désert dont il revient en 1999, alors que l’Algérie s’apprêtait à en finir avec le terrorisme islamiste. Candidat indépendant à l’élection présidentielle dans la même année, il l’emporte. un début de présidence marqué par la fin de la guerre civile.
Bouteflika : Long Règne, triste finAbdelaziz Bouteflika, élu président de la République algérienne en 1999 a été destitué suite au soulèvement populaire du 22 février 2019. Déjà affaibli par deux AVC et leurs complications, Bouteflika, a vu vite son règne glisser entre les mains d’une mafia politico-economique.
Bouteflika a été destitué en avril 2019, suite au soulèvement national. Le règne de Bouteflika a pris fin après 20 ans de règne sans partage.
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Les footballeurs algériens qui brillent à l’étrangers se font de plus en plus nombreux. Ils sont présents en Europe, en Afrique, mais aussi en Asie. Outre Bounedjah, Belaili et Belamri, un nouveau talent s’est démarqué hier dans l’un des pays de Golf.
Il s’agit de l’international algérien Amir Sayoud qui a impressionné ce jeudi la presse par son excellente performance. Dans le cadre de la cinquième journée de la Saudi Professional League, le footballeur algérien qui évolue actuellement au sein du club saoudien Al Ta’ee, a joué son premier match hier en tant que titulaire et a réussi à s’imposer rapidement.
Cela s’explique en effet par sa belle prestation illustrée par une multitude de dribbles et un magnifique tir passé au-dessus du cadre. Même s’il n’a pas marqué, Amir Sayoud a fait parler de lui sur les réseaux sociaux. Après avoir affronté Al Baten, l’international algérien sera confronté lors de son prochain match à Rais Wahab M’Bolhi et Ayoub Abdellaoui qui évoluent au sein d’Al-Ettifak.
Un contrat de 2 ans en faveur d’Al Ta’eeAvant de rejoindre l’Arabie Saoudite, le milieu offensif de 31 ans évoluait au sein du championnat algérien et plus précisément au sein du CRB. Il a été formé dans le club de son quartier à Guelma, ensuite à l’Entente Sportive de Sétif (club de première division algérienne) dans la catégorie junior.
En 2009, il a quitté l’Algérie pour l’Égypte ou il a rejoint le grand club Égyptien Al Ahly, qui l’a prêté par la suite au club kowetien Al Arabi pour une durée de six mois. En 2012, il retourne en Algérie et s’engage en faveurs de différents clubs. Après l’Égypte, l’Algérie, la Tunisie et la Bulgarie, Amir Sayoud a opté le 26 aout 2021 pour l’Arabie saoudite ou il a signé un contrat de deux ans.
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Pour soutenir l’augmentation de ses opérations de vols, Emirates lance, sur les 6 prochains mois, une campagne mondiale de recrutement pour embaucher 3 000 membres d’équipage et 500 agents des services aéroportuaires pour son hub de Dubaï. Un recrutement ouvert pour tout le monde, dont les travailleurs Algériens.
Il s’agit d’emplois au contact des passagers à Dubaï. Ces offres constituent une opportunité unique pour des personnes joviales, énergiques et avec le goût du service. En tant qu’ambassadeurs de la marque Emirates, les candidats interagiront avec le monde. Les personnes souhaitant devenir personnel navigant commercial ou agent de services aéroportuaires trouveront plus d’informations sur les conditions d’intégration et pourront s’inscrire sur www.emiratesgroupcareers.com.
Alors que les frontières internationales ouvrent à nouveau et que les restrictions de voyage s’assouplissent, Emirates intensifie ses opérations de vols dans le monde. Ces derniers mois, la compagnie a rappelé pilotes, personnel navigant et autres membres du personnel technique touchés par la faible activité liée à la pandémie. Actuellement, la compagnie dessert plus de 120 destinations, soit 90 % de son réseau pré-pandémie. Elle prévoit de rétablir 70 % de sa capacité d’ici la fin de l’année, en remettant notamment en service un plus grand nombre d’airbus A380, appareil emblématique de la flotte Emirates.
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Ces dernières années, la finance islamique ne cesse de se développer dans le monde ; permettant au pays musulmans d’avancer dans le secteur de la banque, en adoptant cette méthode de finance « Hallal ».
Outre les pays autres musulmans, l’Algérie compte, elle aussi, miser sur la finance islamique. Et le sujet a été hier jeudi au cœur des débats à l’Assemblée populaire nationale (APN).
Répondant aux questions des députés sur le Plan d’action du Gouvernement, le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane a fait savoir que la finance islamique constituait l’un des modes de financement sur lequel le Gouvernement devra miser en matière de financement.
Un dépôt de 10 milliards de dinars jusqu’à mai 2021Selon Aïmene Benabderrahmane, qui est également ministre des Finances, le nombre des comptes bancaires ouverts depuis le lancement des produits de la finance islamique en Algérie s’est élevé à 15.000 comptes. À travers ces comptes un montant total de 10 milliards de dinars algériens Da a été déposé jusqu’à mai dernier.
« La finance islamique est un mode important pour la mobilisation de l’épargne et l’absorption de la liquidité circulant dans le marché parallèle (…) Depuis le lancement de la finance islamique, le nombre de guichets ouverts par les banques s’est élevé à 310 guichets », a ajouté le premier ministre.
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Parmi les points phares ayant divisé les députés lors de la présentation du plan d’action du gouvernement, l’affaire de la récupération des fonds détournés par les ex-hauts responsables et oligarques. Aïmene Benabderrahmane a proposé de régler cette affaire par une « réconciliation économique ».
Autrement dit, en procédant à un règlement à l’amiable qui constitue selon le premier ministre une solution envisageable ayant démontré son efficacité dans plusieurs pays. Certains partis politiques dont le mouvement Al Binaa de Bengrina et le front El Moustakbal de Belaid, partagent le même avis que Benabderrahmane.
D’autres n’ont pas pris position en préférant émettre des réserves tel que le FLN. Tandis que ceux qui se sont opposé à cette proposition, ont considéré « le règlement à l’amiable » comme étant totalement contradictoires avec les principes et les revendications du mouvement populaire du 22 février, appelé communément le Hirak.
Il s’agit en fait de l’avis des membres du MSP dont le président ayant déclaré aujourd’hui lors de l’ouverture de la 20e Université d’été du MSP, que « le règlement à l’amiable nous laisse croire que la ISSABA est toujours présentes et puissantes et que l’État n’est pas en position de force lui permettant de faire face aisément aux corrompus ».
L’intervenant a ajouté que » si ceux qui ont dilapidé l’argent public, rendaient que 80% de ce qu’ils avaient pris, ils vivraient à l’aise tout en sachant qu’ils ne risquaient que 4 à 5 ans de prison, ce qui inciterait à la corruption ».
Makri exprime son insatisfaction à l’égard du plan d’action du gouvernement et critique l’ANIEConcernant le plan d’action du gouvernement qui a été approuvé hier par l’écrasante majorité et désapprouvé par une minorité parlementaire dont les membres du MSP, Makri a avoué qu’il n’est pas à la hauteur d’un plan d’action. Tout en justifiant que ce dernier ne comporte pas d’objectifs bien déterminés, de délais fixes et de mécanisme d’exécution ce qui peut encourager l’impunité.
L’intervenant ajoute que « les quatre plans d’action présentés à l’époque du président déchu Bouteflika ont été meilleurs que celui qui a été présenté hier, vu qu’ils avaient été beaucoup plus détaillés ». D’un autre côté, Abderrazak Makri a appelé à juger le gouvernement de l’ex-premier ministre Djerad et d’évaluer sa politique et ses actions vu que la conjoncture actuelle est marqué par une crise économique accompagnée d’uune hausse vertigineuse des prix.
Quant aux élections locales qui approchent à grands pas, le chef du MSP a appelé à ne pas entraver le travail des partis politiques, faisant allusion ainsi au nombre colossal des signatures (800 milles), tout en critiquant les démarches entreprises par l’ANIE. Makri s’indigne contre le fait de donner plus de priorités aux indépendantistes-issus dans leur grande majorité de la société civile- au détriment des partis politiques.
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Huit après avoir dénoncé le rapport de l’historien Benjamin Stora sur « la guerre d’Algérie » ; les Harkis et leurs familles n’ont cassé de faire pression sur le gouvernement français qui se dirige aujourd’hui vers la réouverture de leur dossier.
En effet, le président Français Emmanuel Macron s’apprête à franchir « un nouveau pas » dans la « reconnaissance du manquement qui a été fait aux Harkis » par la France. Selon la présidence française, le chantier de la réparation des Harkis sera lancé dès lundi prochain.
La démarche d’Emmanuel Macron intervient à quelques jours de la « journée d’hommage aux Harkis instaurée en 2001 » célébrée chaque année en France. De ce fait, le lundi prochain, le président France accueillera les porteurs de cette mémoire et s’adressera aux Harkis.
Macron va décorer un représentant harki blessé au combatLors de cette journée, Emmanuel Macron devrait, selon la même source, décorer un représentant harki blessé au combat. Il s’agit d’un officier français qui a organisé le rapatriement de plusieurs centaines de Harkis depuis l’Algérie. Une fille de Harki va également être décorée pour avoir « militer pour l’égalité des chances ».
Recrutés comme auxiliaires de l’armée française pendant la guerre d’Algérie. Avec l’indépendance, ce sont près de 200.000 hommes à fuir le Pays pour s’installer en France.
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Cet Été, l’Algérie a traversé une vague virulente de covid-19 ayant emporté avec elle des centaines de victimes. Aujourd’hui, les contaminations de coronavirus connaissent une baisse importante, qui ne cesse de se poursuivre.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie a enregistré 235 nouvelles contaminations contre 219 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Pour les guérisons, le bilan a fait état de 188 nouveaux cas rétablis de la maladie contre 182 hier.
Quant aux victimes de coronavirus, le bilan fait état de 19 nouveaux morts, contre les 21 décès recensés dans le bilan d’hier. Par ailleurs, 25 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source. Le bilan total des contaminations de coronavirus s’élève ainsi à 201.224 cas confirmés ; Celui des décès à 5.670 morts.
Le vaccin Sinovac « made in Algeria » dès le 29 septembreEn effet, le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed a annoncé, que la livraison du premier lot du vaccin chinois anti-covid « Sinovac », est prévue pour le 29 septembre, soit dans mois de deux semaines.
L’entrée en production du vaccin Sinovac contre le coronavirus devra être lancée dans les prochains jours. La production sera assurée le Groupe pharmaceutique public « Saidal« .
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La pandémie de la covid-19 a engendré des effets désastreux sur le secteur économique du pays, déjà fragilisé depuis des années. Beaucoup de sociétés privées ont été contraintes à déclarer faillite, des centaines de citoyens se sont retrouvé au chômage. D’autres entreprises qui connaissait déjà une crise économique bien avant la pandémie, sont sur le point de s’effondrer.
Il s’agit évidemment de la compagnie aérienne nationale Air Algérie dont les dirigeants ont sollicité récemment « une aide urgente » de l’État. C’est dans ce contexte qu’une réunion a été tenu hier entre le ministre des Transports, Aïssa Bekkai avec les cadres dirigeants de l’entreprise tels que le directeur général par intérim d’Air Algérie et son conseiller financier, selon le communiqué du ministère.
Un plan de restructuration et de développement et l’ouverture aux investissementsDurant cette rencontre, Aïssa Bekkai a réitéré la nécessité pour la compagnie aérienne Air Algérie de compter sur ses propres moyens afin de mettre en œuvre le plan de restructuration et de développement de l’entreprise. Il s’agit de la création de la société de maintenance avant 31 décembre 2021 ainsi que la société des activités terrestres durant l’année prochaine en 2022.
À cela s’ajoute la nécessité d’intégrer la technologie et la numérisation afin améliorer les services fournis à sa clientèle. Le plan de restructuration aborde également la question relative au renouvellement de la flotte et au développement des lignes domestiques dont les prix doivent être revu à la baisse, ce qui permettra à la compagnie nationale de s’imposer sur le marché africain.
Enfin et d’après ce qu’ont rapporté confrères d’Echorouk, l’ouverture du secteur aérien aux investissements privés revêt une importance majeure et constitue l’une des priorités principales du pays, selon la déclaration du ministre lors de cette rencontre.
L’article Réunion ministre du Transport – Air Algérie : 4 points à retenir est apparu en premier sur .
Les éliminatoires africaines de la Coupe du Monde de la FIFA, prévue au Qatar en 2022, ont battu leur plein au début du mois, les principales nations s’affrontant lors du deuxième tour des éliminatoires de la Coupe du Monde.
Les champions d’Afrique, l’Algérie, ont commencé leur campagne en bonne forme et ont maintenant quatre points au compteur après les deux premiers matchs du groupe A. Les Renards du désert de Djamel Belmadi font actuellement l’envie du continent, leur statut royal se vérifiant par un jeu scintillant, une solide éthique d’équipe et une incroyable mentalité de vainqueur.
Leur esprit d’équipe s’est manifesté lors de l’époustouflant parcours vers la couronne continentale il y a deux ans, mais l’Algérie s’est sans doute renforcée depuis sa victoire sur le Sénégal au Caire. Elle a pour objectif de retourner à l’épreuve reine et de recréer le parcours inspirant des huitièmes de finale de 2014, après avoir manqué Russie 2018.
À l’aide des statistiques de football en jeu d’Overlyzer et de l’analyse des tendances à l’aide de graphiques pour chaque équipe, nous jetons un coup d’œil sur la façon dont elles ont mené leur campagne de qualification jusqu’à présent. L’Algérie est en train d’entrer dans le livre des records avec une série d’invincibilité de près de trois ans, et semble bien préparée pour le plus grand tournoi de football du monde.
Algeria vs Djibouti (8-0)Les champions d’Afrique ont entamé leur route vers le Qatar dans une forme étincelante en écrasant Djibouti, réduit à dix, 8-0, égalant ainsi le record de victoire pour un match de qualification à la Coupe du monde en Afrique.
Ils ont été aidés par un quadruplé de l’attaquant lyonnais Islam Slimani, 33 ans, qui le place à une place derrière le recordman de buts de l’histoire du pays. C’est inévitable et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne fasse sien ce record.
L’Algérie a pris l’avantage grâce à Slimani et a pris le contrôle du match après l’expulsion de Batio Mohamed Youssouf pour les visiteurs à la 25e minute. Ils ont senti le sang et les impitoyables Nord-Africains ont fait monter la pression.
Après avoir mené 4-0 à la mi-temps grâce à des buts de Ramy Bensebaini et Baghdad Bounedjah, l’Algérie était totalement dominante et tenait à souligner sa supériorité. Slimani s’est mis en évidence et a inscrit un nouveau doublé après la pause, avant que Riyad Mahrez n’ajoute son nom au tableau d’affichage. Comme on pouvait s’y attendre, les Algériens ont continué à presser et Ramiz Zerrouki a marqué son premier but international peu après pour sceller la déroute.
Les graphiques d’Overlyzer montrent que l’équipe locale a obtenu la part du lion du ballon et que ses 67% de possession de balle ont été renforcés par huit buts sur 13 tentatives, elle a également enregistré 10 corners contre aucun pour ses adversaires.
La série de qualifications ne pouvait pas commencer de manière plus parfaite.
Burkina Faso vs Algeria (1-1)Le 7 septembre, les vainqueurs de l’AFCON 2019 ont fait match nul 1-1 au Burkina Faso dans un match organisé au Maroc en raison du manque d’infrastructures dans le pays d’Afrique de l’Ouest. L’Algérie est entrée dans le match avec une confiance compréhensible et a ouvert le score de manière sublime après 17 minutes. Youcef Belaili a envoyé Slimani sur la droite avec une belle passe et l’attaquant a centré dans la boîte pour Soufiane Feghouli qui a marqué dans un but vide.
L’Algérie a gardé le contrôle du jeu après son but et le graphique montre que ses adversaires ont augmenté leur pression à partir de la demi-heure de jeu. Le Burkina Faso a fait preuve de plus de vitesse et de précision en deuxième mi-temps, ce qui a fini par payer grâce à un but d’Abdoul Tapsoba à la 64e minute.
Néanmoins, l’Algérie a géré le match dans les 10 dernières minutes en conservant 59% de la possession de balle et en faisant plus de tirs au but.
Les Burkinabés ont fait le forcing pour prendre le dessus sur leurs visiteurs, mais ces derniers sont d’un autre niveau de qualité et ont assuré le partage des points, ce qui leur permet de rester en tête du Groupe A à la différence de buts.
Plus important encore pour les Fennecs, ils restent invaincus depuis 29 matches et affrontent une double confrontation avec le Niger, en commençant par le match à domicile le 5 octobre, avant de négocier le match retour quatre jours plus tard.
En cas de victoire sur le Niger, les Algériens pourraient se qualifier pour le match contre Djibouti ou le Burkina Faso, mais ils devront affronter le Burkina Faso lors de la sixième journée, d’autant plus que les Burkinabés auront affronté Djibouti dans leur propre double confrontation d’octobre.
Et qui seront les porteurs de flambeau de l’Afrique à Qatar 2022 ? L’Algérie semble toujours être l’équipe à battre. Mais elle doit d’abord faire preuve de professionnalisme en éliminant le Burkina Faso pour la première place.
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Sans surprise. Le parti du rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ne participera pas aux élections locales. Prévue le 27 novembre prochain, ce scrutin vise à élire les nouveaux membres des Assemblées populaires communales et de wilaya.
En effet, la décision du rejet des élections a été prise, ce vendredi 17 septembre, par les membres du Conseil national du parti qui se sont réunis au Cercle du Moudjahid (Nadi El-Moudjahid) à Alger.
Les travaux du Conseil national ont duré plus de six heures. Les avis des intervenants étaient mitigés. Certains voulaient prendre part au scrutin afin de garder le contact avec le citoyen via les assemblées locales. Alors que d’autres optaient pour « le rejet », car pour eux, la situation actuelle ne permet pas d’aller vers des élections.
À l’issu des travaux du CN, ce sont les partisans du boycott qui l’ont remporté avec une majorité écrasante (79 contre – 28 pour). De ce fait, le RCD ne prendra pas part aux élections du 27 novembre. Un troisième boycott après les présidentielles et les législatives.
Le FFS se lance dans la course, le PT se fait attendreContrairement aux précédents scrutins, ces élections locales devront changer la donne. Les partis de l’opposition étaient face à un dilemme ; participer pour gagner les assemblées locales ou rejeter toutes les initiatives de l’État.
Mais aujourd’hui, le sort de la participation de l’opposition se complique plus ; après le boycotte du scrutin lancé par le RCD. D’un côté, le Front des forces socialistes (FFS) a déjà tranché, en optant pour la participation. D’un autre côté, le parti de Louisa, à savoir le PT, se fait attendre.
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Les prix des produits à larges consommations, depuis quelques semaines, connaissent une nouvelle hausse importante. Une situation qui intervient avec la rentrée sociale et scolaire, une forme de barrière pour un simple salarié Algérien.
Depuis cette hausse, plusieurs spécialistes et protecteurs de consommateur se sont exprimés sur le sujet. Mais aujourd’hui, c’est autour du premier ministre Aïmene Benabderrahmane de livrer son analyse sur cette flambée de prix inattendue.
Répondant hier jeudi aux questions des membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre du débat du Plan d’action du Gouvernement, Benabderrahmane a apporté des explications sur ce sujet qui fait les unes des journaux ces dernières semaines.
Une hausse « conjoncturelle »En effet, le premier ministre a estimé que cette hausse de prix de produits alimentaires était conjoncturelle et induite par les retombées de la pandémie du coronavirus.
« La hausse de certains produits alimentaires comme les légumineuses est essentiellement due à la hausse importante enregistrée sur les marchés mondiaux, induite par les retombées de la covid-19. Cette dernière a engendré une hausse des coûts de la production et du fret international ; ce qui a provoqué une hausse des prix sur le marché national », a-t-il expliqué.
Selon lui, cette hausse est conjoncturelle. « Elle a été encouragée par la cupidité et les pratiques immorales, voire illégales de certains vendeurs sans scrupules » ; a ajouté le premier ministre. Enfin, il a tenu à rappeler que le gouvernement avait pris des « mesures urgentes », et ce, pour préserver le pouvoir d’achat de l’Algérie.
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La décrue du nombre d’infections à la covid-19 constatée depuis quelques semaines a permis au premier ministère d’annoncer le 13 septembre de nouvelles décisions relatives à la situation sanitaire. Il s’agit en effet de l’allègement du confinement partiel et des mesures préventives qui vont avec.
Dans ce contexte favorable à la reprise de certaines activités gelées par la crise sanitaire, le ministère de la Jeunesse et des Sports a annoncé hier jeudi 16 septembre la réouverture des stades et des salles de sports aux supporters. Cependant, ces derniers sont obligés de présenter une carte de vaccination (pass-sanitaire) pour y accéder.
Une condition fixée par le ministère susmentionnée afin d’éviter d’autres catastrophes et de contrôler une éventuelle quatrième vague. Les stades et salles de sport représentent de ce fait le premier lieu public dont l’accès requiert un pass sanitaire. Une décision qui risque évidemment de s’étendre sur les autres secteurs.
Il convient de préciser que l’information a été annoncée par le biais d’un communiqué publié par le ministère de la Jeunesse et des Sports. « Il a été décidé de rouvrir les infrastructures sportives publiques et privées et la reprise de toutes les activités et compétitions dans toutes les disciplines, et ce, dans le respect strict du protocole sanitaire.
Levée d’interdiction de certaines activités et Réaménagement des horairesRappelons que le premier ministère a annoncé le 13 septembre, la levée de la fermeture des marchés automobile d’occasion, des salles de sport et omnisports, les centres culturels, ainsi que les maisons de jeunes et les bibliothèques.
Cependant, les rassemblements et regroupement familial, notamment la célébration des mariages et de circoncision et autres événements, demeurent strictement interdits, tout imposant des sanctions de « retrait définitif de l’autorisation d’exercice de l’activité pour les salles des fêtes qui enfreignent l’interdiction en vigueur ».
D’un autre coté, Les horaires du confinement ont été modifiés. Désormais, il sera de 22 heures jusqu’à 5 heures du matin du lendemain, au lieu de 22 h 00 à 06 h 00. Ajoutons à cela, la levée du confinement dans certaines wilayas
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Le premier juin dernier, les frontières de l’Algérie ont connu une ouverture partielle après plus d’une année de fermeture à cause du covid-19. Avec cette réouverture, des dizaines de vols ont été ajoutés au programme des aéroports algériens ; mais cela ne semble pas suffire.
Avec l’augmentation du nombre de vols, les prix des billets d’avion ont baissé, mais ils restent toujours hors de porté. De ce fait, les membres de la diaspora ne cessent de réclamer depuis quelques semaines la réouverture totale des frontières. Selon eux dette dernière poussera les compagnies aériennes à casser les prix.
Ces derniers mois, plusieurs hauts responsables de l’Etat se sont exprimés sur la question de la réouverture totale. Aujourd’hui, c’est au tour du premier ministre Aïmene Benabderrahmane d’y répondre.
Benabderrahmane rappelle les décisions du président TebbouneRépondant aux questions des députés lors de la séance plénière d’hier jeudi, Benabderrahmane a apporté des précisions sur la question de la réouverture totale des frontières, en rappelant les précédentes décisions fermes de l’État qui, selon lui, ont permis la stabilité de la situation sanitaire.
« La décision de la réouverture partielle des frontières ainsi que cette de l’augmentation progressive des vols ont été prises sur des recommandations du Comité scientifique ; afin de répondre aux revendications des Algériens à l’Étranger (…) La fermeture des frontières nous a permis de contrôler la propagation du coronavirus, par rapport aux pays voisins » ; a déclaré le premier ministre, rappelant que toute décision revenait au président Tebboune.
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La présentation du plan d’action du gouvernement par le premier ministre cette semaine a permis de débattre de plusieurs questions pertinentes qui préoccupent actuellement la scène politique algérienne.
Après avoir abordé les sujets relatifs à l’augmentation de l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat ainsi que l’épineuse question de la récupération des fonds détournés par un règlement à l’amiable, c’est au tour de Abdelouahab Yagoubi d’exprimer ses idées.
Étant un député de l’émigration (France), chargé de représenter et de défendre les droits de la communauté algérienne à l’étranger, Abdelouahab Yagoubi a soulevé plusieurs questions relatives à la fermeture des frontières, au nombre de vols effectués et à la cherté des prix de billet.
Tout d’abord, le député de l’émigration a fortement critiqué le maintien de la fermeture partielle des frontières et le nombre limité de vols, qui ont créé selon lui une sorte « d’injustice » subie par la diaspora algérienne.
« Il n’y a plus aucune justification de continuer à fermer les frontières et à ne pas autoriser la reprise de tous les vols et des dessertes maritimes avec les capitales mondiales, ainsi qu’avec de nombreuses villes françaises où la présence algérienne est connue en abondance », a-t-il-déclaré.
En plus du nombre limité, les billets sont extrêmement chers.La question de la cherté des billets refaits surface en pleins débats menés au sein de l’hémicycle du boulevard Zighoout Youcef. Le député de l’émigration a qualifié les pratiques adoptées par les compagnies aériennes algérienne et françaises de « pillage ».
« Quand le gouvernement agira-t-il pour protéger ses citoyens de l’exploitation hideuse de leurs porte-monnaie dans les très rares aéroports d’où ils peuvent se rendre dans leur pays d’origine ? », s’est-il indigné.
L’intervenant a également mis l’accent sur la rareté des vols, tout en précisant que « dans le passé on comptait 18 vols quotidiens entre Alger et Paris », alors que maintenant il y a seulement un vol entre les aéroports des deux capitales.
Abdelouahab Yagoubi réitère les efforts colossaux effectués par les députés de l’émigration auprès de plusieurs ministres et la présidence de la République. Mais en vain, « rien n’a été fait malgré l’existence de solutions facile ». Enfin, le député espère la mise en place de mesure « urgente » afin de clore définitivement ce dossier qui a pris des proportions démesurées.
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Dégradé du grade de Général au rang de Djoundi ; l’ex-patron de la Sécurité Intérieure (DGSI), Wassini Bouazza ne bénéficiera pas de réduction de peine.
Mercredi dernier, la cour militaire de Blida a rouvert le procès du « Djoundi Bouazza« . Après des heures d’auditions et de passages à la barre, le verdict est tombé hier soir : la peine prononcée à son encontre, en première instance, à savoir 16 ans de réclusion criminelle, est confirmé. L’ancien patron ne bénéficiera d’aucune remise de peine.
En effet, il s’agit de la peine prononcée le 1er avril dernier par le tribunal militaire de Blida. Pourquoi cette précision ? En tout, Wassini Bouazza est visé par trois affaires, dont celle qu’on vient d’évoquer.
La première remonte à mars 2020. Lors de son premier procès, Bouazza a été condamné à une peine de 8 ans de prison ferme pour «faux et usage de faux», «détention d’arme à feu et de munitions de type 4» et «atteinte à corps constitué». Quatre mois plus tard, le verdict est validé par la cour d’appel criminelle militaire de Blida.
Plus de détails à venir.
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