Algérie 360

Dans le cadre de la commémoration du 76ᵉ anniversaire de l’Indépendance de la République d’Indonésie, l’Ambassade d’Indonésie à Alger en collaboration avec le Radisson Blu Hotel, Alger, organise la « Semaine de l’Indonésie 2021 » sur le thème Les Voyages en Indonésie, du 19 au 23 Septembre 2021 à 12h30 -20h30.

La Semaine de l’Indonésie 2021 se tiendra pendant 5 (cinq) jours avec comme principales activités :

1. Festival de la gastronomie indonésienne : Présentation d’une variété de plats indonésiens combinés avec la nourriture locale au déjeuner et au dîner tous les jours en invitant toutes les parties prenantes. Par ailleurs, il y aura également une démonstration de cuisine par Indomie.

2. Exposition de photos flashback sur les relations de l’Indonésie avec l’Algérie et des photos de destinations touristiques en Indonésie.

3. Les Stands de « Indonésie Intégrée » qui présenteront divers produits de qualité supérieure susceptibles d’être commercialisés en Algérie, en impliquant les entreprises publiques indonésiennes (BUMN) en Algérie, à savoir Pertamina et PT. Wijaya Karya.

4. Présentation de la diversité culturelle indonésienne tout au long de la Semaine de l’Indonésie 2021, à l’instar de la danse et de la musique traditionnelle.

Cette activité devrait être en mesure de promouvoir davantage l’image de l’Indonésie en Algérie, notamment dans le domaine socioculturel, y compris « Le contact interpersonnel », compte tenu que l’Indonésie et l’Algérie ont déjà une relation très étroite et solide qui existait depuis bien avant l’indépendance de l’Algérie en 1962.

Toute cette série d’activités de la Semaine d’Indonésie 2021 est entièrement encadrée par un protocole sanitaire strict, notamment la limitation du nombre d’invitations ou la distanciation sociale, et l’usage des masques conformément aux règles et réglementations fixées par le Gouvernement Algérien.

L’Ambassade d’Indonésie à Alger tient à remercier les différentes parties qui ont soutenu la mise en œuvre de la Semaine de l’Indonésie 2021 : Les Voyages en Indonésie à Alger.

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L’ancien président Abdelaziz Bouteflika est décédé vendredi soir à l’âge de 84 ans. Il a été inhumé hier dimanche au carré des Martyrs du cimetière d’El Alia (Alger). Le président Abdelmadjid Tebboune ainsi que plusieurs hauts responsables de l’État étaient présents.

Au vu de la sensibilité du contexte politique actuel, Bouteflika a eu droit à un départ pour le moins timide. Il n’a pas eu droit à un deuil national, mais il a été enterré au carré des martyrs aux côtés des anciens présidents, dont Ahmed Benbella et Chadli Bendjedid.

Outres la présence des hauts responsables de l’État et des membres du gouvernement ; les fidèles de « fakhamatouhou » étaient aux abonnés absents. Ils n’ont ni réagi ni assisté aux funérailles.

Où sont passés les politiciens qui clamaient les mandats de Bouteflika ? Où est passé son célèbre bras droit Abdelaziz Belkhadem ? Où est passé Mouad Bouchareb qui faisait l’éloge du cinquième mandat à la coupole aux côtés de Cheb Mami qui chantait des chants patriotiques ?

Durant tout au long de son règne, ils étaient là à faire son éloge et jurer en son allégeance, mais ils ont préféré garder le silence le jour de la mort de leur « créateur ». Un scénario prévisible connaissant leurs dons en « retournement de veste ». Le roi est mort vive le roi…

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Le président Abdelmadjid Tebboune s’est entretenu au téléphone, ce lundi 20 septembre 2021, avec son homologue français Emmanuel Macron, annonce la présidence de la République dans un communiqué rendu public en fin de journée.

Comme lors de chaque entretien, Tebboune et Macron ont examiné l’état des relations bilatérales. Les deux présidents ont également évoqué le dossier du conflit libyen ainsi que les questions d’intérêt commun au Sahel, notamment au Mali.

Cet entretien téléphonique intervient à un moment marqués par deux événements reliant les deux pays. En effet, il s’agit de la mort du chef du groupe jihadiste Etat islamique au Grand Sahara, Adnan Abou Walid al-Sahraoui. Ce dernier a été abattu le 15 septembre dernier par les forces françaises au Sahel. Un succès majeur pour les États sahéliens, dont l’Algérie.

L’autre événement ayant marqué « le moment » est son hommage aux harkis. Ce lundi, Macron a organisé une réception à l’Élysée consacrée à la mémoire des harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie.

Lors de cette réception, le président francais français a tenu à demander « pardon » au nom de la France aux harkis. Il a également annoncé la présentation, « avant la fin de l’année », d’un projet de loi de « reconnaissance et de réparation ». Ensuite, il a appelé à « panser les plaies » qui doivent être « fermées par des paroles de vérité ; gestes de mémoire et actes de justice ».

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Les élèves, les collégiens et les lycéens feront leur rentrée scolaire demain mardi 21 septembre ; après plusieurs mois de vacances marquées par une troisième vague virulente de coronavirus.

À la veille de cette rentrée tant attendue ; le premier ministre Aïmene Benabderrahmane, a présidé, ce lundi 20 septembre, une réunion du Gouvernement durant laquelle plusieurs dossiers ont été examinés ; dont celui la rentrée scolaire des enfants autistes et de l’amélioration de l’internet.

Tenue au Palais du Gouvernement, la réunion de Benabderrahmane a connu également l’examen et la présentation de plusieurs importants dossiers relatifs aux secteurs de la Jeunesse, du Tourisme, des Télécommunications et de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme.

En effet, Kaouthar Krikou ministre de la Solidarité Nationale, a présenté, lors de la réunion, le dispositif de prise en charge scolaire des enfants atteints de troubles du spectre de l’autisme, en prévision de la rentrée scolaire 2021-2022.

À cette occasion, il a été indiqué que les secteurs de la solidarité nationale, de l’éducation nationale et de la santé ont engagé une série de mesures au profit des enfants atteints des troubles du spectre de l’autisme, visant à assurer leur scolarisation dans les meilleures conditions et permettant leur pleine intégration.

Il s’agit en effet de l’ouverture d’un total de 238 classes spéciales au profit de ces enfants au niveau des 3 paliers de l’enseignement fondamental tout en leur assurant l’accompagnement de la médecine scolaire.

Aussi, il a été fait mention des mesures de facilitation accordées au profit des élèves atteints des troubles du spectre de l’autisme, en permettant leur accompagnement et assistance par des Auxiliaires de Vie Scolaire (AVS), à l’occasion des compositions et des examens nationaux.

Lors de la même réunion, Benabderrahmane a insisté sur l’augmentation du débit internet en Algérie, une amélioration en attente depuis plusieurs mois.

De ce fait, le Premier Ministre a rappelé les directives déjà données par le Président Abdelmadjid Tebboune pour l’amélioration des prestations inhérentes à l’accès à internet, avec notamment l’augmentation du débit ; ce qui permettra de faciliter et de favoriser l’accès du citoyen et des opérateurs économiques aux services à distance, offerts par les différentes administrations publiques.

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Le journal d’El Watan se retrouve au cœur d’une polémique pour avoir illustré la Une de son édition de ce lundi 20 septembre avec une image photoshopée. Cette dernière illustre l’article principal ; à savoir l’enterrement de l’ancien président Abdelaziz Boutefkila. Mais le problème n’est pas là.

En effet, dans cette image, il manque le minaret de la Grande Mosquée d’Alger (Djamaâ El-Djazaïr) ; alors qu’il était visible sur d’autres photos prises par d’autres médias du même endroit au même moment.

De ce fait, dès la première de la matinée de ce lundi, les accusations contre El Watan ont commencé à tomber. Le Journal est accusé d’avoir « supprimé le minaret pour sa haine contre l’islam ».

La première personnalité politique à avoir réagi est le chef du parti Islamiste MSP, Abderrezak Makri. Sur sa page Facebook, l’homme politique a dénoncé « une haine » envers les symboles de l’islam. « Je n’ai jamais imaginé que leur (El Watan) haine et leur rancune pouvaient atteindre un tel degré », a-t-il écrit.

Après Makri, c’est le département d’Ammar Belhimer qui a réagi. Dans un communiqué, le ministère de la communication a denoncé « une violation flagrante », « une altération de cet grand édifice religieux » et « une entorse à la déontologie et aux règles du professionnalisme ».

D’un autre côté, la direction du journal a évoqué, dans un erratum une erreur technique. « Un malheureux traitement technique au niveau du service PAO du journal, a fait disparaitre le minaret de la grande mosquée d’Alger de la photo illustrant la « Une » de notre édition d’aujourd’hui », a expliqué la direction d’El Watan.

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Alger souffre d’un terrible manque au niveau des infrastructures sanitaires. La réalisation de grands projets qui puissent permettre aux patients, ainsi qu’aux soignants, de souffler un peu, est plus qu’une nécessité. C’est depuis des années que les citoyens et le corps médical font face à un véritable enfer.

Au vu de cette situation dramatique, le directeur général des équipements publics au Ministère de l’Habitat de l’Urbanisme et de la Ville, Hamouche Yacine, a réagi. Le responsable indique que son secteur compte relancer plusieurs chantiers, et ce, suite à la levée du gel sur tous les projets relatifs au secteur de la santé.

Selon ce responsable, Alger verra bientôt le lancement d’un chantier de construction d’un grand hôpital spécialisée dans les urgences, rapporte aujourd’hui le quotidien arabophone Al Khabar. aucune date n’a été toutefois communiquée. En voyant le jour, cet hôpital va grandement contribuer à faire baisser la pression qui pèse sur les services d’urgences souvent saturés dans l’ensemble des établissements hospitaliers que compte la capitale.

En outre, et toujours selon le même intervenant, plusieurs wilayas seront bientôt dotées de 15 centres de lutte contre le cancer. Il est à rappeler que les cancéreux en Algérie peuvent vivre un véritable calvaire. Outre le manque des équipements et leur mauvaise maintenance, ces patients se heurtent aussi à des pénuries de médicaments.

Pour conclure, Hamouche Yacine, le directeur général des équipements publics au Ministère de l’Habitat de l’Urbanisme et de la Ville, a rappelé qu’Alger n’est pas la seule wilaya concernée par ces projets. À titre d’exemple, le responsable a évoqué le projet du grand hôpital de Ouergla, d’une capacité de 400 lits.

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Depuis jeudi dernier, l’inquiétude s’est installée à la région Béchar-Djedid, au sud de la wilaya de Béchar, et ce, suite à la disparition soudaine et mystérieuse d’un enfant de ladite région, a-t-on appris de sources médiatiques.

Il s’agit en effet, selon les mêmes sources, d’un enfant âgé de quatre ans, dénommé Houachi Ahmed. Ce dernier a disparu le jeudi 16 septembre 2021 de son domicile familial à Béchar-Djedid.

Ses parents, sa famille et son entourage ont affirmé que depuis la date précitée, l’enfant n’a donné aucun signe de vie et n’a laissé aucune trace, ont indiqué les sources.

Aussitôt alertés par la disparition soudaine du petit Ahmed, les services sécuritaires territorialement compétents ont tout de suite procédé à des recherches et des investigations intensifiées, dans l’espoir de le retrouver sain et sauf.

 » Suite à un appel des services de sécurité faisant état de la disparition de l’enfant, nous avons dépêché une équipe de recherche et de secours pour entamer des opérations de recherche et de ratissage de toute la zone de l’oued et du canal des eaux usées située près de l’habitat familial de cet enfant disparu au quartier de Béchar-Djedid au sud de la commune de Béchar, et ce, pour le retrouver, « , a fait savoir à l’APS, le sous-lieutenant Baâli Abou Bakr Sedik.

Signalant la situation d’urgence de la disparition inexpliquée d’Ahmed aux autorités compétentes, les parents, la famille et les proches du petit enfant ont participé aux recherches, tout en espérant trouver Ahmed Houachi en vie, ont ajouté les mêmes sources.

Après cinq jours de recherches intensifiées, le petit Ahmed est retrouvé, aujourd’hui, mort dans la zone de l’oued et du canal des eaux usées, située à proximité de son domicile familial. Les mêmes sources ont révélé qu’une partie de son corps a été retrouvée dans les lieux, il s’agit probablement de la tête.

Il est utile de rappeler que le petit enfant a été disparu le 16 septembre de l’année en cours dans des circonstances mystérieuses, et n’a donné depuis cette date aucune nouvelle.

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Le joueur algérien Ishak boussouf, un jeune très ambitieux et talentueux, commence son histoire dans la cour des grands en Europe, il fait parler de lui grâce à ses premières performances et contributions.

L’ancien joueur de l’ES Sétif commence bien sa nouvelle saison 2021-2022 avec son club Lommel en Belgique.
Dimanche, à l’occasion de la 5ème journée de deuxième division de Belgique, pendant la rencontre entre Lommel et Lierse, l’ailier droit est resté sur le banc pendant la première période, il rentre à la deuxième, plus particulièrement à la 67ème minute. Il réussit 7 minutes plus tard à inscrire un but pour son équipe qui a remporté le match (3-1).

Ce dernier n’a pas pu être très présent sur la pelouse avec ses coéquipiers à cause de ses blessures récurrentes, il revient en force et fait parler de lui grâce à son superbe but.

Dans un entretien accordé au média officiel de Lommel, Boussouf se confie par rapport à son début, pas très évident en arrivant en Belgique. En effet, nos joueurs rencontrent des difficultés notamment sur le plan physique, en plus de l’intensité du travail et des efforts.

Il est arrivé pendant l’été 2020 en Belgique, il a été accompagné les premières semaines par les kinés avant de rejoindre ses nouveaux coéquipiers.

Malgré cela, le joueur algérien a su s’adapter, « ce n’est que le début » avait-il déclaré sur la chaîne youtube de son club, ayant un contrat de 5ans, il aura le temps de faire ses preuves et grimper les échelons.

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Le bilan des contaminations à la covid-19 en Algérie indique une forte décrue. Ceci dit, le souvenir de la troisième vague reste vif, et les spécialistes s’accordent à dire qu’il est encore trop tôt pour baisser la garde. Aujourd’hui, le 20 septembre 2021, les chiffres communiqués par le ministère de la Santé confirment la baisse.

Le ministère de la Santé indique que le pays a recensé 166 nouveaux cas de contaminations à la Covid-19 ces dernières 24 heures. Le communiqué du ministère ajoute que 15 nouveaux décès sont à déplorer aujourd’hui. Il est également fait état de 145 nouvelles guérisons et de 22 nouveaux cas ayant nécessité une réanimation.

Ces derniers chiffres font monter le bilan total des contaminations à 201.766 cas. L’Algérie a également recensé 5.720 morts, depuis le début de l’épidémie en mars 2020.

Que cela soit dans les chiffres officiels ou bien sur le terrain, la décrue est palpable. La situation sanitaire en Algérie retrouve enfin sa stabilité. Pour le Docteur Belhadj, directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha Pacha, cela est dû à plusieurs facteurs, notamment à la vaccination et au respect des mesures préventives.

Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, ce spécialiste assure que « la force du virus a commencé à s’estomper et que tout le monde va progressivement revenir à une vie normale ». Le spécialiste souligne toutefois que la pandémie va laisser des répercussions sociales et psychologiques difficiles dans les années à venir.

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À en croire les bilans quotidiens de suivi de l’évolution de l’épidémie du coronavirus en Algérie, la situation devient de plus en plus stable. Le constat est également partagé par les spécialise.

Intervenant ce lundi 20 septembre 2021 sur les ondes de la Radio nationale, le Professeur Rachid Belhadj, directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha Pacha a affirmé que la décrue des contaminations au Covid-19 revient à plusieurs facteurs.

À ce propos, il cite la vaccination qui y joue un rôle extrêmement important. Le spécialiste énumère également plusieurs autres facteurs, dont le respect des mesures de la distanciation physique et le port du masque de protection.

S’exprimant autour du variant Delta, l’intervenant que selon les études internationales, qui accordent désormais la plus grande importance au suivi des virus, ont démontré que le Delta est considéré comme le plus mortel et le plus dangereux.

Et considérant la situation épidémiologique actuelle, « nous concluons que la force du virus a commencé à s’estomper et donc le monde va progressivement revenir à une vie normale », a-t-il estimé.

Cependant, le spécialise n’a pas manqué de souligné les effets de la pandémie du coronavirus auront des répercussions sociales et psychologiques difficiles dans les années à venir. Ce qui entraînera, selon lui, l’émergence de nouvelles infections avec des maladies chroniques et des dépressions nerveuses.

À la veille de l’entrée sociale, Pr Belhadj a souligné l’importance d’un plan spécial afin protéger les citoyens en respectant les mesures préventives et en renforçant le contrôle pour éviter le relâchement dans le respect des mesures de prévention.

Dans ce sillage, il précise que la situation épidémiologique actuelle est plutôt confortable, donc il faut en profiter cette aubaine dans la vaccination contre l’épidémie. Sur ce point, il a livré son évaluation de la campagne de vaccination dans le pays.

À ce propos, le président du Syndicat des professeurs et chercheurs universitaires regrette la réticence des citoyens à la vaccination. En outre, il souligne que le CHU Mustapha Pacha est sur le point de lancer une initiative pour se déplacer vers les personnes âgées et les personnes aux besoins spécifiques dans le but de leur faciliter le processus.

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La cellule de communication de la compagnie nationale de transport aérien, Air Algérie, a révélé qu’un membre de son équipage a été appréhendé, ce samedi 18 septembre, par les services de sécurité françaises de l’aéroport de Paris Orly, en France.

Il s’agit en effet, d’un membre navigant commercial du vol AH 1123. Ce dernier a été appréhendé suite à la découverte d’une substance prohibée en sa possession, indique la même source.

 » Un membre navigant commercial du vol AH 1123 assurant la liaison Paris – Constantine a été appréhendé, le samedi 18 septembre 2021 par les services sécuritaires de l’aéroport de Paris Orly, en France, et ce, suite à la découverte en sa possession d’une substance prohibée,  » a écrit Air Algérie.

Dans le même sillage, la compagnie aérienne nationale a fait savoir qu’elle va prendre toutes les mesures nécessaires à l’encontre de l’individu en question.

 » Air Algérie a entamé des mesures administratives et conservatoires, à l’encontre du navigant mis en cause, prévues par son règlement intérieur (arrêt de vol et suspension de la relation de travail),  » a dévoilé la même source. La compagnie a ajouté qu’elle se réserve le droit de se constituer partie civile dans l’affaire précitée.

Par ailleurs, certaines sources médiatiques citent qu’il s’agit d’un kilo de cocaïne, trouvé à la portée du mis en cause à l’aéroport de Paris Orly.

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Chaque année, des statistiques montrent que des milliers de migrants clandestins de nationalité algérienne tentent la traversée clandestine de la Méditerranée en direction du continent européen, notamment vers l’Espagne.

Cette année, et surtout à la fin de cette saison estivale, le phénomène des Harraga semble prendre de l’ampleur. En effet, 134 migrants ont été arrivés, hier matin, sur les côtes espagnoles.

 » 134 personnes, dont des femmes et des mineurs, ont été arrivées hier matin par neuf embarcations. Ces dernières ont été secourues par le Sauvetage maritime et la Garde civile espagnols des îles Baléares,  » a fait savoir Francisco José Clemente Martin, un employé au Centre international pour l’identification des migrants disparus (CIPIMD).

En effet, de sources concordantes ont révélé que le Sauvetage maritime a secouru également quatre autres embarcations, contenant 59 migrants dont une femme. En plus de ces embarcations, trois pateras ont été ajoutés. Ces dernières étaient arrivées à Alicante à leur bord 27 harraga, dont une femme enceinte.

Dans ce contexte, il convient également d’indiquer que les services maritimes de la Garde civile de Carthagène ont réussi à sauver une embarcation avec 17 migrants à bord, dont des femmes et quatre bébés.

Il est utile de rappeler que l’Agence européenne de gardes-frontières et de gardes-côtes (Frontex) avait indiqué que plus de 7 000 harraga ont débarqué en Espagne avant la fin du mois de juillet dernier, et ce, à travers 1 380 expéditions illégales recensées.

Ainsi, la même source a précisé que les personnes ayant la nationalité algérienne représentaient les deux tiers des arrivées qui ont foulé le sol espagnol.

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Les Algériens s’appauvrissent. Ce n’est plus un secret pour personne. Face à l’amenuisement du pouvoir d’achat, les citoyens essaient de trouver des solutions pour faire face à la crise. Chacun y va de sa propre méthode, même les chauffeurs de taxis d’Alger, qui tentent d’essayer une nouvelle formule afin d’éviter le chômage.

Les prix vont sans doute augmenter dans le secteur du transport. Il s’agit d’une conséquence logique et prévisible de la crise inflationniste dans laquelle patauge depuis plusieurs années l’économie nationale. Les chauffeurs de Taxis de la capitale ont cependant réfléchi sur la manière de garantir la poursuite de leur activité tout en prenant en considération la fragilité du pouvoir d’achat des citoyens.

« Le tarif du compteur de l’urbain individuel n’est plus rentable », estime Sid-Ali Aït El-Hocine, secrétaire général du bureau de la wilaya d’Alger de la coordination des chauffeurs de taxi. Pour ce syndicaliste, les chauffeurs de Taxis « ont du mal à joindre les deux bouts ». Ces chauffeurs « recourent souvent au jumelage interdit par la loi et s’exposent ainsi à de lourdes sanctions », confie-t-il.

Alger compte 17 800 taxis. 99 % sont des taxis urbains individuels, assure Sid-Ali Aït El-Hocine. Le même intervenant ajoute qu’un projet d’un nouveau mode d’activité des taxis dans la capitale a été présenté à la tutelle, a-t-il confié à nos confrères du Soir D’Algérie.

Le même intervenant dévoile qu’à cause du pouvoir d’achat, « les courses de taxi-compteur reviennent très cher au citoyen ». C’est donc pour cette raison qu’une demande a été déposée auprès du ministère afin de « convertir les taxis urbains individuels en taxis collectifs urbains, un mode de transport qui arrange les clients », affirme le syndicaliste.

Des lignes à travers toute la capitale sont prévues, « même là où le transport en commun pose problème » ajoute Sid-Ali Aït El-Hocine. Il précise toutefois que la tarification actuelle du taxi collectif urbain doit être révisée. Le syndicaliste explique aussi qu’il faudra introduire des véhicules de plus de 4 places.

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Pendant que tout se met en place progressivement, en préparation pour les prochaines journées éliminatoires pour la Coupe du monde au Qatar 2022, plusieurs changements survenus en si peu de temps, des inconvénients resurgissent et la peur du complot s’installe.

Le manager général de la sélection nationale algérienne de football, Amine Labdi, a exprimé son inquiétude dans une déclaration à nos confrères d’Ennahar, quant aux coulisses des prochaines journées des éliminatoires. Il se montre craintif et pense que certains œuvrent pour mettre des bâtons dans les roues de nos Verts, en route vers le Mondial 2022. Selon le manager, des personnes d’influence dans la CAF auraient utilisé leur pouvoir contre l’équipe nationale.

Pour rappel, l’équipe nationale a bien entamé ces éliminatoires, ayant remporté le match contre le Djibouti, une victoire écrasante de 8-0, et un nul de 1-1 contre le Burkina Faso ; elle maintient jusqu’à présent une série d’invincibilités impressionnante de 29 matchs sans défaite.

L’équipe nationale, étant un adversaire une redoutable, a souvent été prise pour cible. En plus des problèmes déjà existants tels la corruption des arbitres ou encore le problème des stades et leurs pelouses.

Cette fois-ci, le suspense a duré longtemps avant la désignation du stade qui abritera le match entre l’Algérie et le Niger finalement le 12 octobre au stade du Général Seyni Kountché de Niamey, les changements de date survenus en plus du refus du changement de l’horaire du match qui aura lieu le 8 octobre au stade Mustapha Tchaker à Blida à 20 h 00.

Le « complot » qui serait en train de se tramer a pour but d’éloigner nos Verts du Mondial 2022, on espère que cela ne fera que renforcer leur détermination pour gagner.

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Suite à la décision des autorités locales compétentes, le 1er juin de l’année en cours, portant sur la réouverture partielle des frontières aériennes, un nouveau programme de vols internationaux a été mis en place le 28 août dernier, qui a été marqué par l’ajout de dizaines de vols hebdomadaires.

Dans ce contexte, un nombre de 64 vols commerciaux internationaux sont programmés chaque semaine, entre l’Algérie et sept autres pays, dont 48 vols avec la France.

En effet, les 48 vols précités sont partagés entre les deux pays, à savoir l’Algérie et la France, dont 24 vols sont effectués chaque semaine par Air Algérie et 24 par les compagnies aériennes françaises.

Le nouveau programme de vols internationaux mis en place récemment a été fortement critiqué par les clients, la diaspora, ainsi que des députés de l’émigration, dont Abdelouahab Yagoubi, et ce, en raison des prix élevés du billet de vol ainsi que le peu de destinations desservies.

En effet, le député Abdelouahab Yagoubi a dénoncé les prix exagérés des billets d’avion proposés par les compagnies aériennes pour un simple aller entre l’Algérie et la France.

 » Après avoir dépassé le sujet de la fermeture des frontières, qui a rendu les Algériens des prisonniers d’entreprises qui leur proposent des billets d’aller simple à un prix très élevé, nous passerons maintenant au travail sérieux, afin d’ouvrir le marché du transport aérien avec une réelle concurrence sur les prix et les services,  » a écrit le député.

Abdelouahab Yagoubi a ajouté :  » c’est pour libérer notre communauté à l’étranger de l’emprise du joug de la monopolisation, ainsi que pour le citoyen algérien ait également le droit de voyager de Paris à Alger avec 50 euros l’aller-retour. « 

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La France décide de rendre considération aux harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Le président français Emmanuel Macron leur a demandé pardon et a fait plusieurs annonces les concernant.

Ce lundi 20 septembre 2021, Macron a organisé une réception à l’Élysée consacrée à la mémoire des harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie.

Lors de cette réception, le chef de l’État français a tenu à demander « pardon » au nom de la France aux harkis tout en annonçant la présentation, « avant la fin de l’année », d’un projet de loi de « reconnaissance et de réparation ».

D’emblée, il a déclaré à l’adresse des harkis : « Vous portez dans votre chair le souvenir des harkis. L’honneur des harkis doit être gravé dans la mémoire nationale ». Ensuite, il a appelé à « panser les plaies » qui doivent être « fermées par des paroles de vérité, gestes de mémoire et actes de justice ».

« La République a contracté à leur égard une dette. Aux combattants, je veux dire leur reconnaissance, nous n’oublierons pas », ajoute encore Emmanuel Macron lors de son discours prononcé en l’honneur des harkis.

Dans le volet des excuses qu’il a tenu à présenter, il déclare : « Aux combattants abandonnés, à leurs familles qui ont subi la prison, je leur demande pardon. Nous n’oublierons pas. Depuis la République s’est ressaisie. Elle s’est engagée sur la voie de la vérité et de la justice ».

D’ailleurs, il souligne « qu’après la guerre d’Algérie, la France a manqué à ses devoirs envers les harkis, leurs femmes, leurs enfants ». En réponse à des personnes présentes dans la salle, Macron lâche encore : « Il n’y a aucun mot qui réparera vos brûlures et ce que vous avez vécu ».

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Les derniers incendies qui ont ravagé plusieurs wilayas du pays, notamment en Kabylie, ont été le sujet de plusieurs enquêtes lancées par la gendarmerie nationale. Cette dernière vient de dévoiler les derniers résultats. Outre le nombre des arrestations, le service sécurité a également fait savoir que plusieurs wilayas ont été touchées.

Alors que les premiers incendies sortaient du contrôle des éléments de la protection civile, les autorités officielles ont déclaré qu’il s’agissait d’un acte criminel. Les incendies ont ensuite fait plusieurs morts, notamment dans la wilaya de Tizi Ouzou. Plus d’un mois plus tard, le bilan officiel n’est toujours pas communiqué. On parle de plus de 200 morts, et de centaines de blessés.

La gendarmerie nationale indique dans un communiqué que ses enquêtes ont été réalisées « au niveau de 30 wilayas touchées ». Ces enquêtes visaient à « déterminer l’origine des feux simultanés » et à dévoilés les pyromanes. « Dans ce cadre, Les enquêtes approfondies basées sur des preuves matérielles prises sur les lieux…. ont permis d’arrêter 71 suspects au niveau de 14 wilayas ».

Le communiqué de la gendarmerie indique que 13 suspects ont été arrêtés au niveau de Tizi Ouzou, 11 à Jijel, 10 à Béjaia, 8 à Guelma, 6 à Annaba, 4 à Alger, 4 à Blida, 4 à Médea, 3 à Taref, 3 à Skikda, 2 à Tipaza, 1 à Oum Lebouaghi, Chlef et Ain Defla.

Quarante-sept suspects se trouvent actuellement en détention tandis que sept sont sous surveillance judiciaire. Neuf  font toujours l’objet d’une enquête alors que huit suspects ont été libérés. La gendarmerie a exhorté les citoyens via son communiqué à participer en l’informant de tout acte criminel.

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Avant même l’avènement de l’épidémie du coronavirus, les malades atteints de cancer subissent la double peine ; les médicaments connaissent des ruptures récurrentes. L’arrivée de l’épidémie du Covid-19 n’a fait qu’aggraver la situation.

Au niveau du Centre Pierre-et-Marie-Curie à Alger (CPMC), le constat est alarmant ; à la rupture récurrente des médicaments nécessaires, les services d’oncologie médicale et d’oncologie pédiatrique connaissent également le report des interventions chirurgicales absences des traitements innovants.

Dans une déclaration rapportée par le quotidien le Soir d’Algérie, la première responsable du service d’oncologie pédiatrique au CPMC, Pr Houda Boudiaf, n’a pas hésité à tirer la sonnette d’alarme, en lâchant « qu’au CPMC, les enfants cancéreux sont traités par des médicaments périmés depuis juin 2021 ».

Cependant, il est utile de rappeler que cette situation n’est pas du tout inédite, puisqu’elle a toujours été comme ça, même avant l’avènement de l’épidémie du Covid-19. Or, il convient également de noter que l’arrivée de l’épidémie a empiré les choses.

Pour sa part, le professeur Kamel Bouzid, chef du service d’oncologie médicale au Centre Pierre-et-Marie-Curie, a fait état, dans ce même sillage, que la fermeture de plusieurs services chirurgicaux et la transformation d’autres en services covid-19 suite à cela.

Soulignant que c’est « la chirurgie qui permet la guérison de la majorité des malades », il ajoute : « nous avons essayé, tant bien que mal, de maintenir l’activité de l’oncologie médicale, soit la chimiothérapie ou la radiothérapie qui connaît toujours les mêmes problèmes ».

Revenant sur la rupture de plusieurs types de médicaments, il explique que cela n’est pas du tout justifiable du fait de l’épidémie, contrairement au programme chirurgical, qui a été impacté de par le monde par la pandémie du Covid-19.

À l’exemple des médicaments innovants, Pr Bouzid précise qu’il n’ont jamais été disponibles malgré leurs enregistrements depuis presque trois ans. Selon lui, « les autorités ont évoqué leurs prix exorbitants, ils ont été enregistrés, mais ils ne sont pas disponibles pour nos malades ».

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Ces derniers temps, l’Algérie a fait face à une nouvelle vague d’infections liées au virus mortel, plus dévastatrice que ses précédentes, où le Coronavirus a frappé fort aux quatre coins du pays. Cette dernière a fait des records quotidiens de contaminations qui ont dépassé les 1000 cas, à cause du nouveau variant, le variant Delta.

À cet effet, l’Allemagne a classé l’Algérie sur sa liste rouge des pays à risque de propagation du virus Covid-19, et ce, depuis le 08 août dernier. Une décision logique, prise suite à la nouvelle vague du Coronavirus qui a touché l’ensemble de notre pays.

Selon les derniers changements effectués par l’Allemagne, ce samedi 18 septembre, concernant cette même décision, quatorze pays ne figurent plus sur ladite liste, et sept autres pays y sont ajoutés.

L’Algérie n’est pas concernée par ces changements, et elle est toujours classée comme zone à haut risque dans le cadre de la prévention contre la Covid-19, et ce, malgré la baisse importante des nouveaux cas de contamination ces derniers jours, où le nombre ne dépasse pas 300 personnes quotidiennement.

Par ailleurs, l’Allemagne a apporté quelques petits changements concernant certaines mesures sanitaires soumises par les Algériens désirant joindre le territoire allemand.

En effet, les migrants en provenance de l’Algérie seront obligés de remplir un formulaire d’entrée numérique, disponible sur le site web https://www.einreiseanmeldung.de. Ces derniers seront également être soumis à une période d’isolement de dix jours, au lieu de quatorze jours.

Il est à noter que les voyageurs qui ont déjà présenté une preuve de rétablissement ou un certificat de vaccination dès leur entrée sur le territoire, ne seront pas concernés par la quarantaine.

Ainsi, il est utile de préciser que les personnes âgées de 12 ans et plus doivent être munies d’une preuve de test négatif, d’un certificat de rétablissement ou d’un certificat de vaccination.

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Pour les algériens, octobre, est un mois que l’on attend avec impatience pour soutenir les Verts en route pour la Coupe du monde 2022 au Qatar, un rendez-vous footballistique de grande envergure, les prochains matchs pour les Fennecs sont décisifs, notamment pour maintenir leur série d’invincibilité.

Le match de la troisième journée des éliminatoires pour le Mondial 2022 aura lieu le 8 octobre au stade Mustapha Tchaker à Blida, Alors que le suspense a duré des jours concernant le stade dans lequel aura lieu le match de la quatrième journée des éliminatoires, le stade du Général Seyni Kountché de Niamey a été homologué par la commission d’inspection de la CAF et accueillera officiellement cette rencontre.

Le changement survenu, a été apporté par la FIFA, il concerne la date de cette rencontre, elle aura finalement lieu le mardi 12 octobre à 14h00, au lieu du lundi 11 octobre.

Beaucoup d’appréhensions concernant le déplacement de l’équipe nationale au Niger, la chaleur extrême est un véritable inconvénient pour nos joueurs qui évoluent en Europe, et qui n’ont pas l’habitude de jouer dans ces conditions.

Dans le même contexte, la demande Fédération algérienne de football de décaler l’horaire du match de la 3ème journée des éliminatoires a été refusée par la CAF. Le match aura lieu donc à 20h00 comme prévu, jouer à 17h00 aurait pu préparer nos internationaux aux conditions qui les attendent à Niamey et leur permettre de se reposer davantage avant leur départ.

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