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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 5 hours 7 min ago

Inondations massives à Alger et dans plusieurs wilayas

Sat, 10/23/2021 - 21:08

En seulement quelques heures de précipitations, plusieurs rues et quartiers entiers d’Alger et dans d’autres wilayas ont été inondés. Selon les prévisions de météo Algérie, les pluies devront continuer à s’abattre sur plusieurs régions durant cette nuit.

Au niveau de la capitale, plusieurs axes routiers et quartiers ont été inondés. La circulation automobile a été fortement perturbée dans plusieurs tronçons autoroutiers, notamment au niveau de la rocade nord.

Les fortes quantités de pluies enregistrées en quelques heures ont causé le blocage de la ligne de tramway à Ruisseau. Les inondations ont également causé quelques dégâts matériels ; deux véhicules ont été emportés par les eaux à Draria à l’ouest d’Alger.

Les éléments de la protection civile sont parvenus à repêcher les deux véhicules emportés suite au débordement l’Oued Boudjemâa Temim entre les communes de Baba Hssen et Draria.

Des vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent des scènes de détresse de citoyens piégés dans les eaux, notamment dans les quartiers de Baba Hassan, Saoula et Bir Khadem. À l’heure actuelle, plusieurs localités et routes à Alger, notamment à Gué de Constantine, Ben Aknoun, Ain Naadja, Oued Ouchayeh … sont toujours bloquées.

Plusieurs wilayas touchées par les inondations

À Oran, la route nationale N° 11 située dans la commune de Hassi Mafsoukh a été complètement coupée à la circulation. Les agents de la protection civile se sont intervenus afin de dégager cet axe routier.

Dans la wilaya de Relizane, la commune de Mazouna a été la plus touchée. Des agents de la protection civile se sont intervenus dans divers endroits afin d’évacuer les eaux des pluies qui se sont abattues en cette fin de journée.

Des vidéos et des photos publiées sur les réseaux sociaux ont montré les fortes pluies qui se sont abattues en cet après-midi dans plusieurs wilayas et qui ont inondé plusieurs quartiers et axes routiers en raison du blocage des réseaux d’évacuation des eaux de pluie.

Les précipitations se poursuivent jusqu’à demain dans plusieurs wilayas

Il convient de noter que plusieurs wilayas ayant été touchées par les dernières précipitations ont connu de tels incidents. Selon météo Algérie, les pluies devront continuer à affecter plusieurs régions du nord du pays.

Les wilayas concernées par cette perturbation sont Tipasa, Alger, Blida, Boumerdes, Ain Defla, Médéa et M’Sila. Les quantités estimées de pluie attendues se situent entre 15 et 25 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 30 mm durant la validité du BMS qui court de 15 h 00 à 23 h 00.

Sont également concernées les wilayas de Tizi-Ouzou, Bouira, Bejaia, Jijel, Bordj Bou Arreridj, Sétif et Mila, où les quantités de pluie attendues se situent entre 20 et 30 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 40 mm, et ce, de samedi à 15 h 00 à dimanche à 09 h 00.

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Categories: Afrique

« Guerres de quatrième génération » : les mises en garde de Tebboune

Sat, 10/23/2021 - 20:08

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé ce samedi 23 octobre, à l’occasion de la Journée nationale de la presse. Tout en félicitant la corporation des journalistes, le chef de l’État n’a pas manqué de mettre l’accent sur la puissance de l’information comme outil de domination et de soft power.

Les théoriciens disaient toutefois « ceux qui détiennent l’information, détiennent le pouvoir ». Actuellement et avec le développement numérique, les technologies d’information et de communication sont devenues une arme entre les mains des puissances mondiales. C’est ce qu’ont appelé autrement les guerres de la quatrième génération.

Dans ce contexte, le chef de l’État a réitéré la nécessité de multiplier les efforts, et ce, dans l’objectif d’acquérir les outils de contrôle et les méthodes et connaissances nécessaires à la lutte contre les guerres de quatrième génération qui ciblent l’Algérie.

Tebboune met en garde contre les 4G4

« Des guerres s’inscrivant dans le cadre de plans aux facettes multiples s’attaquant à l’existence de notre pays, voire à son identité séculaire à travers des complots savamment orchestrés pour saper le décollage de l’Algérie nouvelle, déterminée à recouvrer son rôle pionnier à l’échelle régionale et la place qui lui sied dans les foras internationaux », estime le chef de l’État dans un message destiné aux hommes et femmes de la presse.

« La patrie des chouhada est prise pour cible par de nombreuses parties conspiratrices qui recourent à des méthodes d’espionnage et de guerre cybernétique intensifiées, s’employant à porter préjudice à l’histoire et à la mémoire de la nation… », ajoute le président de la république

Avant de conclure, il convient de préciser que la 4ᵉ génération de guerre ou le G4G est un concept apparu durant les années 90 aux États Unies dans un contexte marqué par une guerre médiatique et idéologique en constante évolution. À cette époque, les théoriciens américains ont compris que l’époque des guerres menées avec des armes est révolue.

Après la chute de l’ex-URSS et la révolution d’information, les méthodes de guerres ont changé. Il s’agit de la fore douce ou le soft power dont l’arme n’est que l’information ou plutôt les technologies d’information

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Categories: Afrique

Le gouvernement se penche sur l’amendement du Code Pénal

Sat, 10/23/2021 - 18:58

Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux Abderrachid Tabi a présenté ce samedi 23 octobre 2021, lors de la réunion du gouvernement, un exposé relatif au projet de loi portant sur l’amendement du Code pénal.

Lors de la réunion du gouvernement tenue ce samedi sous la présidence du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, plusieurs secteurs ont été abordés. Il s’agit, entre autres, du secteur de la Justice et des Travaux publics.

Selon le communiqué des services du premier ministère ayant sanctionné cette réunion, le Gouvernement a entendu un exposé présenté par le ministre de la Justice à l’Avant-projet de loi modifiant et complétant l’Ordonnance n 66-156 du 08/06/1966 portant Code pénal.

Selon la même source, « cet Avant-projet de loi s’inscrit dans le cadre de la réforme de la législation pénale ». Il vise « à renforcer la lutte contre la criminalité et à préserver la sécurité et la tranquillité du citoyen et le fonctionnement des services publics ».

Le projet de loi portant le Code pénal, présenté ce samedi devant les membres du gouvernement, prévoit « de nouvelles formes de criminalité et en aggravant les peines actuellement applicables », ajoute encore la même source. Il sera examiné lors d’un prochain Conseil des ministres.

Nouvelles mesures dans le cadre de la zone de libre-échange « ZLECAF »

Lors de la même réunion, « le Gouvernement a entendu une communication présentée par le ministre du Commerce sur les offres tarifaires et initiales de l’Algérie en matière de commerce de marchandises et de services dans le cadre de la zone de libre-échange continentale africaine « ZLECAF » ».

Selon le communiqué de la réunion du gouvernement, « l’exposé a porté sur certaines mesures entreprises par notre pays au titre de ce mécanisme africain auquel l’Algérie a adhéré ».

Ces mesures visent « l’instauration d’une coopération fructueuse dans les domaines commercial et douanier ainsi que la mise en œuvre des dispositions de facilitation des échanges commerciaux entre les pays du continent africain », précise la même source.

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Retraite proportionnelle : ce que propose l’UGTA

Sat, 10/23/2021 - 18:32

Parmi les questions qui seront traitées lors de la prochaine réunion tripartite entre le gouvernement et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), figure le dossier relatif à la pension de la retraite.

La réunion tripartite (Gouvernement-Syndicat-Patronat) se tiendra avant la fin de l’année en cours et aura comme objet d’étude le dossier de la pension de retraite en Algérie pour l’année 2022. À cet effet, l’Union générale des travailleurs algériens présentera une série de propositions.

C’est ce qu’a rapporté en tout cas hier, vendredi 22 octobre, le quotidien arabophone Echorouk. Selon, la même source le dossier d’amendement de la loi sur les retraites est prêt au niveau de la centrale syndicale.

Cependant, cette dernière présentera ses propositions au moment opportun, c’est-à-dire après le prochain scrutin prévu pour le 27 novembre, précise le média susmentionné.

Retour au système de retraite après 32 ans de service ?

D’après les informations relayées par nos confrères d’Echorouk, les remaniements qui seront présentés par l’UGTA  portent principalement sur la nécessité de revenir au système de retraite après 32 ans de service. C’est ce que la centrale syndicale a pu constater lors de ses déplacements au niveau de plusieurs institutions publiques et à travers tout le territoire national.

Le quotidien Echorouk cite par ailleurs le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens, Salim Labatcha qui avait déjà affirmé que « les hautes autorités du pays à leur tête le président de la république ont toujours été favorables au dialogue. Notamment en ce qui concerne l’amendement de la loi sur les retraites, et plus particulièrement la question de la retraite après 32 ans de service ».

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Hausse des prix du pétrole : quel impact sur l’économie nationale ?

Sat, 10/23/2021 - 18:03

Les prix du pétrole dans les marchés mondiaux enregistrent, depuis quelques jours, des hausses importantes. Ce samedi 23 octobre 2021, le Brent a atteint les 85,72 dollars le baril. Avec cette hausse conséquente, les prix de l’or noir auront-ils un impact sur l’économie nationale ?

Interrogé à ce propos par le quotidien El Watan, l’ancien ministre de l’Énergie et ancien PDG de Sonatrach Abdelmadjid Attar livre sa vision. D’emblée, il fait état de la situation du marché. « Les prix du pétrole et du gaz sont effectivement en train de grimper, doucement pour le pétrole et brutalement pour le gaz », a-t-il déclaré.

Cependant, il tient à préciser que « cela se passe sur le marché libre et non contractuel qui concerne notre pays, notamment pour le gaz naturel ». Selon lui, « notre exportation de gaz se fait essentiellement à travers des contrats à moyen terme, et la plupart d’entre eux prenant fin entre 2025 et 2030 ».

Ainsi, il explique que « le seul indicateur qui sera amélioré, et c’est quand même une bonne nouvelle, c’est surtout le pétrole dont les recettes d’exportation sont destinées essentiellement à couvrir nos importations ».

« L’Algérie produit déjà au maximum de ses capacités »

Prévoyant un prix du baril à 90 dollars ou plus (soit une moyenne entre 65 et 70 dollars pour l’année 2021), l’intervenant fait état de la situation de la production. En effet, il affirme que « l’Algérie produit déjà au maximum de ses capacités ». Cela est dû au « vieillissement des gisements, avec des volumes pour le gaz déjà engagés contractuellement au moins à moyen terme ».

Expert en la matière et ayant déjà occupé le poste du premier responsable de l’énergie, Attar estime qu’une « augmentation du marché spot ne nous rapporte pas grand-chose pour le moment ou très peu, étant donné qu’il est indexé sur le pétrole, et un panier de sources d’énergie ».

Autre raison évoquée par l’ancien ministre ; « on ne connaît pas encore la durée de cette crise énergétique ». Tout cela pour dire que « l’impact sur l’économie doit venir d’ailleurs que de la rente pétro-gazière ».

« La flambée des cours du gaz ne reviendra pas avec un profit énorme »

Pour lui, « les prix du pétrole, et même ceux du gaz, ne suffisent pas au vu des besoins du pays et surtout du fait de l’augmentation sans cesse de notre consommation intérieure qui est à plus de 50% de la production gazière ».

L’ancien premier responsable de Sonatrach estime également que la flambée des cours du gaz ne reviendra pas avec un profit énorme pour l’économie nationale. En effet, il explique que « c’est surtout le marché spot qui a augmenté ». Et même si le prix contractuel a, lui aussi, gagné un petit peu.

Par conséquent, estime encore le même intervenant, « il n’y a pas un profit énorme comme peuvent le penser certains ». En revanche, Attar voit, en cette « crise énergétique une opportunité pour notre pays et précisément pour Sonatrach pour revoir complètement sa stratégie gazière d’amont en aval ».

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Covid-19 en Algérie : la décrue se confirme au bilan de ce 23 octobre

Sat, 10/23/2021 - 17:30

Depuis quelques semaines, la situation épidémiologique en Algérie s’est nettement stabilisée. Le nombre des contaminations quotidiennes reste toujours au-dessus de la barre des 100 cas, selon les derniers bilans du ministère de la Santé.

Dans le bilan de ce samedi 23 octobre 2021 établi sur les dernières 24 heures, le ministère de la Santé a fait état de 67 nouveaux cas de contamination contre 84 cas recensés durant la journée d’hier vendredi.

Pour ce qui est des cas rétablis de la maladie, le dernier décompte a fait état 51 nouveau cas de guérisons, selon la même source. Hier, le bilan a avancé le chiffre de 61 grisons.

Concernant les victimes de la maladie, le ministère de la Santé a annoncé 03 décès du coronavirus contre 2 morts du bilan d’hier vendredi. Par ailleurs, 16 patients sont actuellement en soins intensifs, précise encore la même source.

Avec les nouveaux chiffres avancés ce samedi, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 205.683, celui des décès à 5.883 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 141.078.

« Les services Covid-19 se vident »

Le membre du Comité scientifique de suivi de l’épidémie du coronavirus, Riyad Mahyaoui a indiqué ce samedi 23 octobre 2021 que les services Covid-19 dans la plupart des hôpitaux du pays sont actuellement vides.

Dans une déclaration à la chaine Ennahar TV, le même responsable estime que la baisse du nombre des contaminations est une conséquence aux décisions adéquates prises aux moments opportuns par l’État.

Selon lui, ces décisions ont pu éviter à l’Algérie une catastrophe, précisant que la troisième vague avait été très virulente, ce qui a provoqué d’énormes pressions sur le système sanitaire et les moyens de lutte.

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Élections locales : à défaut de candidats, plusieurs APC dans le flou

Sat, 10/23/2021 - 16:17

Les élections locales prévues pour le 27 novembre prochain, se dérouleront cette fois-ci dans des conditions assez particulières. Outre la crise économique qui touche le pays, les partis politiques n’ont cessé d’exprimer leurs mécontentements.

Il s’agit notamment du FFS et du MSP qui ont dénoncé à maintes reprises la loi électorale et les conditions fixées par l’ANIE, ainsi que le traitement des dossiers de candidature. En effet, plusieurs listes électorales et signatures ont été refusées notamment celles du MSP dont le président a récemment menacer de se retirer.

Cette situation a fait que plusieurs communes seront privée du renouvellement de leurs  (APC)  (APW), et ce, en raison de l’absence de listes de candidature. Par conséquent, il n’y aura pas de scrutin au niveau de ces communes. Il s’agit entre autre des wilayas de Tizi-Ouzou et de Béjaïa.

Alors, quel sort pour ces communes après le 27 novembre prochain ? Comment seront-ils gérés sans maires ?

La réponse se trouve dans le code communal

Selon, nos confrères du Soir d’Algérie, « La loi électorale n’a pas prévu un tel cas de figure ». Cependant, le code communal, plus précisément l’article 51, apporte une solution à cette situation.

En effet, les communes ou aucune liste de candidature n’a été constitué, seront gérées par des « administrateurs désignés par le wali, le temps de réunir les conditions d’organiser les élections ».

« En cas de circonstances exceptionnelles, empêchant la tenue des élections dans la commune, et après rapport du ministre chargé de l’Intérieur, présenté en Conseil des ministres, un administrateur est désigné par le wali, pour gérer les affaires de la commune » lit-on dans l’article 51 du code communal.

« Les élections de l’Assemblée populaire communale ont lieu dès que les conditions requises à leur organisation sont de nouveau réunies », précise le même article.

S’agit-il d’une situation inédite ?

Il convient de rappeler, que l’Algérie, plus précisément la région de la Kabylie, a déjà été confronté à cette situation. C’était en octobre 2002 ou les habitants de plusieurs communes Tizi-Ouzou et Béjaia avaient massivement empêché la tenue des élections locales.

Cette attitude s’explique par la violente répression dont les kabyles avaient été victimes  lors des manifestations du printemps noir 2001, ou des dizaines de morts et des centaines de blessés ont été enregistrés.

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Tourisme : vers le plafonnement des prix hôteliers

Sat, 10/23/2021 - 15:40

Les prix des services hôteliers en Algérie devront être révisés et plafonnés incessamment, annonce le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Yacine Hamadi. Une démarche qui intervient dans le cadre du renforcement du tourisme interne.

Intervenant depuis la wilaya de Tamanrasset, le ministre a mis en avant l’importance du tourisme interne dans le développement du secteur du Tourisme et de l’Artisanat. Dans ce sens, il estime que cela devra commencer par l’attraction des touristes et la vulgarisation des grandes potentialités touristiques à travers différentes régions du pays.

À ce propos, le premier responsable du secteur touristique en Algérie annonce la révision et le plafonnement des tarifs des hôtels, et ce, à travers la formation d’une commission conjointe avec le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations.

Cette commission conjointe aura pour mission, précise encore Yacine Hamadi, de réviser les tarifs des prestations des hôtels et œuvrer à leur plafonnement, afin qu’ils soient à la portée des citoyens, dans le but de renforcer le tourisme interne.

Ce qu’a dit le ministre à propos de l’afflux des touristes étrangers

Dans le même sillage, le ministre évoque l’afflux des touristes étrangers. Sur ce point il précise que « l’obtention du visa collectif est accessible à toutes les agences de tourisme agréées ».

Ces dernières doivent « initier leur demande en vue d’attirer un grand nombre de ces touristes, notamment ceux qui s’intéressent au tourisme d’aventure et culturel disponibles dans la wilaya de Tamanrasset », ajoute-t-il encore.

Le même responsable a également plaidé pour la promotion de ce genre de tourisme en Algérie et la commercialisation des divers produits touristiques. Par la même occasion, il annonce de nouvelles mesures concernant la formation des jeunes dans le domaine du tourisme saharien, à l’instar des guides et des accompagnateurs des touristes.

Dans ce sillage, assure que cette question serait prise en charge par ses services en coordination avec le ministère de la Formation professionnelle à travers l’apprentissage.

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Algérie-France : des entrepreneurs algériens répondent à Macron

Sat, 10/23/2021 - 14:23

Les récentes déclarations de Macron ont soulevé un tollé général. Que cela soit au niveau de la sphère politique, médiatique ou économique. Les propos du président français sur la nation et l’histoire du pays ont irrité tous les Algériens y compris les opérateurs économiques et entrepreneurs.

Tandis que certains se sont exprimé sur la toile en rédigeant de longs articles prouvant l’existence de l’Algérie avant la colonisation, d’autres ont décidé de boycotter la France. Il s’agit de certains entrepreneurs algériens qui ont décidé de suspendre leurs activités commerciales avec les entreprises françaises.

C’est ce qu’a annoncé hier au micro de DZ News, le président de l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Mouloud Kheloufi. Ce dernier explique que chacun doit réagir à sa façon aux multiples provocations du Président Emmanuel Macron.

Environ 30 à 35 entreprises algériennes ont coupé les liens avec l’Hexagone

Pour ce qui est des entreprises membres de l’AGEA, elles ont opté pour le gel des contrats en cours d’étude ou ceux déjà actifs, avec tous les partenaires Français. Il s’agit en effet de pas moins de 30 entreprises algériennes. Une décision loin d’être facile à prendre, estime Mouloud Kheloufi, mais la dignité du pays prime sur tous.

S’exprimant sur la question des visas que le président français à ordonner de réduire drastiquement le nombre, l’interlocuteur révèle que  l’Association générale des entrepreneurs algériens ne vas plus déposer de dossier de Visa pour la France.

Selon lui, les entrepreneurs algériens peuvent tisser des liens solides avec d’autres pays notamment l’Italie, l’Espagne et la Chine avec lesquelles les entreprises algériennes entreprennent de bonnes relations commerciales.

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Importation du blé : la Russie a-t-elle évincé la France ?

Sat, 10/23/2021 - 13:46

Alors qu’elle importait ses céréales principalement de France, d’Allemagne, de Lettonie, de Lituanie et d’Argentine, l’Algérie semble se tourner vers d’autres marchés. La Russie, par le biais de l’un de ses négociants en céréales, annonce une importante cargaison livrée à l’Algérie.

Dans un communiqué relayé mercredi dernier par l’agence Reuters, « Demetra Trading », considéré comme l’un des plus grands négociants en céréales de Russie, annonce qu’il vient de « fournir 60.000 tonnes de blé à l’Algérie ».

Dans son communiqué, Demetra Trading a tenu à préciser qu’il s’agit « de la première cargaison majeure de la Russie à l’Algérie depuis 2016 ». Ces quantités ont été expédiées, selon la même source « depuis le port russe de Taman, sur la mer Noire, vers deux ports en Algérie et la cargaison a déjà été acceptée par l’acheteur ».

La compagnie russe précise également que « l’Algérie était l’un des rares grands importateurs de blé auxquels Moscou n’avait pas accès jusqu’en octobre de l’année dernière ». À partir de cette date, « l’Algérie a décidé d’assouplir ses conditions », indique-t-on encore.

Le spectre de la concurrence élargi

Rappelant que l’Algérie importait traditionnellement des céréales depuis plusieurs autres pays, dont la France, Demetra Trading souligne que ce client (qui est l’Algérie) « a des exigences de qualité élevées ». Ceci dit, en décidant d’alléger les conditions d’achat de blé sur le marché international, l’Algérie a élargi le spectre de la concurrence entre fournisseurs de blé.

Or, cette décision suscitée déjà de l’inquiétude chez les fournisseurs de blé traditionnels de l’Algérie, notamment la France. Selon les observateurs, le fait que la Russie ait repris la main sur le marché des céréales en Algérie est mal perçu par la France.

Pour rappel, l’autorité russe de contrôle agricole « Rospotrip Nadzor », avait annoncé, vers le début du mois en cours, que la Russie compte augmenter le volume de ses exportations de blé vers l’Algérie.

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Éducation : l’Unpef rejoint le mouvement de grève et s’explique

Sat, 10/23/2021 - 12:53

Comme chaque année, le personnel du secteur de l’Éducation notamment les enseignants du cycle moyen et secondaire se plaignent de différentes lacunes. Pour exprimer leur mécontentement, il n’y a pas mieux que les grèves, et ce, malgré le fait que l’année scolaire vient tout juste de débuter.

En effet, l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef) s’est réuni du 20 au 22 octobre dernier au lycée Ben Teftifa dans la wilaya de Blida, dans le cadre de la 36e session du Conseil national.

La rencontre a abouti à la décision d’organiser une grève. C’est ce qui a été rapporté par nos confrères du Quotidien d’Oran. Néanmoins, la date ainsi que la forme de la grève qui vas toucher le secteur de l’Éducation n’ont encore été communiquées.

Rappelons par ailleurs, que l’Unpef rejoint de ce fait le Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest) qui a annoncé il y a quelques jours de recourir à la grève, et ce, à partir de la première semaine du mois de novembre.

Les raisons derrières cette décision

L’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef) n’a pas manqué de révéler par ailleurs les facteurs sociaux-économiques ayant favorisé cette décision. Il s’agit en premier lieu, de la dégradation du pouvoir d’achat et de la crise inflationniste qui n’a épargné en effet aucune catégorie sociale.

De ce fait, l’Unpef revendique  une révision des salaires et des primes pour l’amélioration du pouvoir d’achat des fonctionnaires de l’éducation.

À cela s’ajoute, des réformes relatives au secteur de l’Éducation,  notamment l’ouverture de nouveaux postes de travail afin d’alléger les heures de travail pour les enseignants du moyen et du lycée. À ce sujet, l’Unpef exige de privilégier les diplômés de l’École nationale supérieure (ENS).

Libérer les écoles primaires de la tutelle  des APC

La liste des revendications est loin d’être exhaustive. Outre les facteurs sociaux-économiques et pédagogiques, l »Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef) estime que les écoles primaires doivent être dissocier de la tutelle des collectivités locales, d’un côté. D’un autre côté, les collèges et lycées doivent bénéficier d’une augmentation des budgets.

Ainsi le dossier relatif au  logement et l’application urgente du décret présidentiel 14-266 du 28 septembre 2014, fixant la grille indiciaire des traitements et le régime de rémunération des fonctionnaires, a été également évoqué. D’autre côté, une loi qui protège l’enseignant de toute forme d’agression doit voir le jour, selon  l’Unpef.

Enfin, le Quotidien d’Oran conclut en citant les conditions de travail dans le Sud algérien notamment  la prime d’indemnisation  qui doit être revalorisé. Cette dernière est encore calculée sur la base d’un salaire de base datant de 1989.

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Subventions, spéculation : le RCD critique les mesures du gouvernement

Sat, 10/23/2021 - 12:48

Dans un contexte économique et social très tendu, le gouvernement annonce plusieurs mesures. Il s’agit, entre autres, de la révision des subventions directes sur les produits de base et de la lutte contre la spéculation. Tant dans le fond que dans la forme, ces mesures ne font pas l’unanimité auprès des observateurs.

Lors de sa réunion mensuelle ordinaire tenue le 22 octobre 2021, le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) est revenu sur ces mesures ainsi que sur la situation générale du pays.

Dans le communiqué ayant sanctionné la réunion, rendu public ce samedi, le parti de Mohcine Belabbas « constate avec une grande inquiétude la poursuite de la dégradation effrénée du pouvoir d’achat et des conditions de vie de l’ensemble des salariés et la descente aux enfers des catégories sociales les plus fragiles ».

Dans son constat, le parti n’a pas manqué de souligner la situation économique et sociale caractérisée notamment par la hausse des prix, la dévaluation du dinar et le déficit de la balance commerciale …

« Aucun produit ou service n’échappe à une hausse de prix »

Selon le parti, « aucun produit ou service n’échappe à une hausse de prix ». À ce propos, le RCD estime qu’il s’agit d’une « politique antisociale pilotée par le gouvernement dont l’objectif est d’en finir de la manière la plus brutale avec la subvention des produits de base ».

Concernant la guerre contre la spéculation annoncée dernièrement par le gouvernement, la même formation politique l’a carrément qualifié de « discours populiste ». « Le discours populiste contre la spéculation n’est destiné qu’à cacher une orientation inscrite dans le programme de l’Exécutif », lit-on dans le communiqué.

Cela consiste, selon la même source, « en la dévaluation rampante et continue du dinar et l’étranglement de l’approvisionnement en intrants de production pour juguler le déficit de la balance commerciale qui creuse dans le peu de réserves épargnées par la boulimie des clientèles ».

Les mises en garde du RCD

Plus loin encore, le RCD estime que « cette politique organise précisément les hausses des prix et, de fait, la spéculation aussi (dépréciation de la monnaie et rareté des produits) ». Dans la même lancée, le parti met en garde contre « la répression policière » qui accompagne ces mesures.

« La brutalité de ces mesures, soutenue par un dispositif implacable de répression policière et judiciaire étouffe toute vie publique, politique, syndicale ou associative ». Ce qui provoque « une amplification dangereuse du chômage, une recrudescence alarmante de la Harga et une insécurité grandissante dans le pays », indique-t-on encore.

Par ailleurs, le parti dénonce « l’acharnement répressif et la traque judiciaire inacceptables contre ses militants cadres » et « la cabale judiciaire honteuse contre Atmane Mazouz, secrétaire national à la communication ».

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Covid-19 : le déconfinement s’accélère au secteur des sports

Sat, 10/23/2021 - 11:37

Au vu de la stabilité de la situation épidémiologique liée au coronavirus, l’Algérie a décidé de lever totalement les mesures du confinement sanitaire. Plusieurs activités, notamment sportives, sont désormais autorisées.

Dans le secteur de la jeunesse et des sports, la tutelle semble accélérer la reprise de plusieurs activités, dont le retour des supporters aux stades. Autre activité désormais autorisée ; celle liée aux piscines.

Intervenant hier vendredi depuis la wilaya de Laghouat, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderrazak Sebgag, annonce la reprise des activités liées aux piscines à travers le territoire national, après un gel de plus de 18 mois en raison de la pandémie de Covid-19.

En effet, le premier responsable du secteur affirme ses services ont obtenu le feu vert des services sanitaires compétents pour la reprise des activités liées aux piscines. Or, cette reprise est soumise à plusieurs conditions d’ordre sanitaires et préventives.

Selon lui, le feu vert des autorités sanitaires intervient dans le respect des mesures de prévention sanitaire, dont l’obligation de la carte de vaccination pour les adhérents des clubs et associations de sports en bassins de natation à travers l’ensemble du pays.

Feu vert pour le retour des supporters dans les stades

Dans un contexte sanitaire et épidémiologique plutôt favorable, les services du même département décident d’autoriser le retour des supporters dans les stades. Une décision annoncée également par le ministère de la Santé.

Dans un premier temps, c’était le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid, qui annonce la nouvelle. Dans ce sens, il précise que « les pouvoirs publics ont décidé de donner leur aval pour permettre le retour des supporters dans les stades ».

Le ministre a indiqué que, désormais, « c’est du ressort du ministère de la Jeunesse et des Sports de décider de la date et de la manière ». De son côté, le premier responsable du secteur concerné annonce que la deuxième phase du championnat national se jouera en présence des supporters.

Dans une déclaration à la presse, Sebgag affirme qu’à l’issue d’une réunion entre la Fédération du Football (FAF) et le Comité scientifique, il a été décidé d’autoriser le retour des supporters à compter de la seconde phase du championnat national. Cela sera également soumis à l’obligation de la carte de vaccination.

Dans le même contexte, il souligne que « le Premier ministre avait donné des instructions pour la réouverture de toutes les structures sportives au public, toutes disciplines confondues ».

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Taux de change : les cotations de ce samedi 23 octobre 2021

Sat, 10/23/2021 - 11:07

La dévaluation du dinar algérien a atteint son apogée ces dernières années. Le pouvoir d’achat connait une chute inexorable et l’inflation ne cesse d’augmenter. Raison pour laquelle le gouvernement algérien prévoit des réformes notamment la baisse de l’IRG, et ce, dans l’espoir de sauver le pouvoir d’achat du citoyen algérien qui a de plus en plus du mal à joindre les deux bouts.

Tandis que le pouvoir accuse les spéculateurs d’êtres derrière la flambée des prix, certains économistes évoquent la dégringolade du Dinar algérien. La monnaie nationale ne cesse de reculer face aux principales devises.En effet, au niveau de la Banque d’Algérie un euro équivaut à 159.3858 dinars algériens à l’achat et à 159.4307 dinars algériens à la vente.

Par ailleurs, un dollar s’échange au niveau de la Banque d’Algérie contre 136.9294 dinars algériens à l’achat et contre 136.9444 à la vente. Quant à la livre sterling, elle est proposée à 189.0768 dinars algériens à l’achat et à 189.1236 à la vente, et ce, pour un seul Pound.

Le taux de change au marché noir

Les cambistes de Port-Saïd, dans la capitale Alger reviennent en force suite à la reprise du trafic aérien et maritime. Ils peuvent enfin mener leurs affaires après des mois de suspension due à la crise sanitaire. Au niveau du marché noir, un seul euro est cédé contre 214.5 dinars algériens à l’achat et contre 212.5 dinars algériens à la vente.

Ainsi, avec la reprise des dessertes commerciales vers le Canada, le dollar sera de plus en plus demandé. Pour ce samedi 23 octobre, un seul dollar s’échange contre 185.5 dinars algériens à la vente et contre 187.5 dinars algériens à l’achat.

On termine enfin, avec la plus chère des monnaies, à savoir la livre sterling. Les cambistes de Port-Said  cèdent un seul pound contre  243.5 dinars algériens à l’achat et contre 240.5 dinars algériens à la vente. Un taux de change qui risque fortement d’augmenter suite à l’ajout de vols vers la capitale britannique. 

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Météo Algérie : pluies orageuses sur 3 wilayas de l’Est

Sat, 10/23/2021 - 10:36

Malgré l’arrivée de l’automne et l’approche de l’hiver, la pluie se fait rare. Les températures ont certes baissé, mais le climat demeure tout sec et le ciel tout avare. Les Algériens attendent avec impatience le retour de la pluie, qui fait tout le charme de la saison hivernale.

La journée d’hier, vendredi 22 octobre a été marqué par un temps clair et des températures modérées, à l’image d’un climat printanier, mis à part quelques nuages bas qui ont dominé certaines zones côtières.

Cependant, l’Office national de météorologie (OMS) avait émis le soir de ce vendredi un bulletin météorologique spécial (BMS) dans lequel il met en garde contre des pluies orageuses sur 28 wilayas notamment celles de l’ouest, de l’est, mais aussi de l’intérieur.

Qu’en t-il de la journée d’aujourd’hui 23 octobre ?

Pour ce qui de ce samedi 23 octobre, uniquement la région de l’Est algérien sera concernée par des perturbations climatiques. En effet, les services météorologiques prévoient des pluies orageuses dans trois wilayas, et ce, de 15 h jusqu’à 00 h. Il s’agit de la wilaya de : Sétif, M’sila et Bordj Bou Arreridj. Ces dernières ont été placées en vigilance (niveau : 1).

De ce fait, météo Algérie prévoit un temps couvert à nuageux, avec un ciel particulièrement gris, et ce, dans les régions de l’Est et de l’Ouest. Concernant le sud du pays, le temps reste stable avec des températures relativement modérées atteignant les 24 degrés. Au Nord, entre 15 et 19 degrés sera enregistré. Quant aux régions intérieures, les températures oscilleront entre 17 et 21 degrés.

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Usage exclusif de l’arabe : le ministre explique sa décision

Fri, 10/22/2021 - 21:23

Il est indéniable que la diversité culturelle et linguistique constitue une richesse, voire un atout important dans les sociétés émancipées, à l’image de la Suisse où plus de cinq langues co-existent. En Algérie, on assiste encore à des débats qui visent à instrumentaliser les langues à des fins politiques ou idéologiques.

On assiste également à une guerre entre arabophones,  francophones et berbérophones. Les trois ont encore du mal à cohabiter.

En effet, un ministre algérien a récemment pris la décision d’interdire l’usage du Français dans son département. Il s’agit du ministre de la formation et de l’enseignement professionnels, Merabi Yacine qui a adressé hier à ses employés une note ministérielle pour leur demander de faire de l’arabe l’unique langue du travail et d’enseignement.

« Vous êtes tenus de faire usage de la langue arabe dans le domaine de l’enseignement dispensé au niveau des centres de formation du secteur et dans toutes les correspondances émises par vos services », indique le ministre. Comme argument, ce dernier a cité les principes régissant la société et la constitution algérienne.

Le ministère de la Jeunesse et des Sports annonce la même décision

Après avoir également interdit l’usage du français, le ministre de la Jeunesse et des Sports  Abderezak Sebgag  s’est exprimé ce vendredi 22 octobre  au micro d’El Bilad, . « On  a fait que ce qu’il fallait faire. On a juste demandé de faire usage de la langue nationale dans les correspondances officielles. Et c’est ça le fondement et l’origine.  Que vous le veuillez ou pas », déclare-t-il.

« À l’exception de certains secteurs  qui font usage du Français sous prétexte qu’ils traitent des choses techniques nécessitant l’usage de langues étrangères… Pour ce qui de notre secteur, on ne risque pas d’avoir ce genre problème. C’est un secteur qui est géré par des jeunes appartenant à la génération de l’indépendance, donc ils maitrisent tous l’arabe. C’est un acquis pour nous, et ce, afin de valoriser la langue nationale », conclut Abderezak Sebgag.

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Covid-19 : l’Algérie bientôt face à une quatrième vague ?

Fri, 10/22/2021 - 20:46

Alors que l’Algérie traverse un calme épidémiologique, plusieurs pays à travers le monde assistent à des flambées critiques de contamination à la Covid-19. On parle de quatrième vague pour certains.

En Algérie on déconfine, pendant qu’ailleurs les hôpitaux débordent, et que les taux de mortalité explosent. C’est le cas notamment en Russie, en Belgique, mais aussi dans d’autres pays, dont l’Allemagne et le royaume-uni, ou la quatrième vague n’est plus un risque, mais une réalité à laquelle il faut faire face.

Une quatrième vague silencieuse

Cela fait quelques jours que les infections au coronavirus repartent à la hausse en Belgique, le pays annonce une augmentation de 53% par rapport à la semaine précédente, d’ailleurs, le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke met en garde les citoyens et déclare « Préparez-vous à affronter la quatrième vague de coronavirus ».

En Allemagne, lors d’une conférence de presse régulière à Berlin, le porte-parole du ministère de la Santé, Oliver Ewald déclare « Avec l’augmentation des chiffres d’infection, nous observons un durcissement de la situation à tous les niveaux, qui concerne aussi les unités de soins intensifs ».

En Europe de l’Est, la situation est plus grave ; la Russie peine à faire face à la quatrième vague et bat des records mondiaux de décès par jour. Malgré la disponibilité d’un vaccin local, seulement 32 % de la population est totalement vaccinée. La Lettonie, quant à elle, a fait le choix du retour au confinement strict de ses habitants à partir d’aujourd’hui.

Comment en finir avec la Covid-19 ?

La Chine ne change pas de politique sanitaire visant le zéro infection. Elle recense régulièrement des cas isolés et ne manque pas de tester ses habitants afin d’éviter la propagation du virus.

En l’Inde, on fait appel à la vigilance évitant une autre flambée comme celle connue il y a six mois, le pays compte jeudi dernier sa milliardième dose de vaccin.

Le Maroc est désormais le premier pays du Maghreb à avoir adopté le Pass vaccinal pour l’accès aux espaces publics. Une décision que l’on veut appliquer coute que coute, bien qu’elle soit peu appréciée par les citoyens marocains.

La nouvelle Zélande vise un objectif de vaccination de 90 % de sa population pour décider de lever les confinements établis le 18 août, des mesures assez particulières depuis que le variant Delta a fait des ravages dans les pays voisins, le pays ne se voit pas adopter une mesure autre que le « zéro Covid ».

Zéro Covid en Algérie ?

Selon le Professeur Sanhadji, président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire, « Aujourd’hui, et selon les nouvelles données basées sur le variant Delta, nous avons conclu qu’il faudra vacciner trente-cinq millions de notre population pour arriver à une immunité collective locale ».

Toujours selon le même spécialiste, le zéro Covid en Algérie est un rêve impossible à réaliser. Constat que partage le président du conseil de l’ordre des médecins et membre du Comité scientifique Dr Mohammed Bekkat Berkani. Ce dernier affirme sans équivoque aucun que les contaminations à la Covid-19 ne pourront pas atteindre le zéro actuellement, malgré la baisse significative recensée.

Le Docteur met notamment en garde contre une quatrième vague. Beaucoup « d’Algériens pensent que l’épidémie a été éradiquée, ce qui se traduit par le relâchement constaté dans le respect des mesures barrières notamment la distanciation », a-t-il déclaré. Et d’ajouter qu’une « vaccination retardée contribuerait à la propagation de l’épidémie ».

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Élections : Makri dénonce « une nostalgie au temps du parti unique »

Fri, 10/22/2021 - 19:53

Les partis politiques ayant annoncé leur participation aux prochaines élections locales s’égosillent à dénoncer des dépassements en tout genre, mais personne ne semble s’intéresser à leurs mésaventures. Outre le FFS qui souffre, mais ne se décourage pas, le MSP ne cesse de dénoncer des dérives « très peu démocratiques ». 

Le président du MSP, Abdelkader Makri, n’a pas mâché ses mots aujourd’hui, à l’occasion de la tenue d’une séance ouverte sur les prochaines élections locales. Makri a également fait savoir, à l’occasion de la journée nationale de la presse, que cette dernière « n’est pas libre en Algérie et qu’elle est loin d’être indépendante ».

Au cœur de son discours, les dépassements desquels le MSP s’estime victime. Makri indique que son parti a pu réunir plus de 400 000 signatures. Hélas, il déplore le rejet de 461 candidatures. Selon lui, 80 % des rejets se sont faits pour des raisons « étranges et injustes ».

« Le système politique ne croit pas au multipartisme en Algérie »

Makri explique que 80 % des candidats du MSP dont les dossiers ont été rejetés par l’ANIE sont des victimes d’une « fraude électorale ». Pour lui, desormais, « le système s’adonne à la grande fraude avant les élections ». Neuf listes électorales du MSP ont été « arbitrairement » écartées, déplore Makri.

Le premier homme du parti ouvertement islamiste, lors de sa dernière sortie, a fait des révélations pour le moins frappantes. Il indique que parmi les accusations portées contre les candidats de son parti figure celle « d’exercer une influence sur les électeurs ». « Une honte », déplore Makri.

L’homme politique indique également que « la répressions aléatoire exercée contre les candidats, n’est qu’une gestion sécuritaire des élections » et que « le système politique en Algérie ne croit pas au multipartisme, et affiche une nostalgie au temps du parti unique ».

« Tous ceux qui ont qualifié les hommes du MSP de danger pour la société civile, qu’ils nous montrent leurs preuves ! », s’indigne Makri, qui indique toutefois que « la bataille continue« .

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Guerre contre les spéculateurs : le nouvel ultimatum de Rezig

Fri, 10/22/2021 - 19:03

Le département de kamel Rezig connait ces derniers temps une situation économique critique. Cette dernière a fini par mettre à genou les familles algériennes dont le salaire devient de plus en plus minable face à la cherté de la vie. La crise inflationniste et la flambée des prix a plus ou moins lésé toutes les classes sociales.

Kamel Rezig multiplie ses déplacements, ses appels et surtout ses menaces à l’égard des commerçants et spéculateurs. Aujourd’hui 22 octobre, le ministre du Commerce a indiqué dans un entretien accordé à l’APS que le délai relatif à la déclaration des stocks a été prolongé à travers tout le territoire national, et ce, pour le 30 novembre prochain.

Selon la même source, tous les locaux et entrepôts réservés au stockage, qui ne sont pas encore déclarés, seront considéré à partir du 1er décembre prochain comme étant des espaces servant à la monopolisation et à la spéculation.
À cet effet, la nouvelle loi visant à criminaliser la spéculation sera strictement appliquée. Rappelons que cette dernière est en cours d’élaboration, et ce, en coordination entre le ministère du Commerce et de la justice.

La crise de l’huile n’existe pas (Rezig)

Sachant que la procédure de déclaration est gratuite, elle se fait au niveau des services du ministère du Commerce et de la Promotion des exportations. Les personnes concernées sont appelées à remplir un formulaire et soumettre une copie du registre de commerce  ou simplement une copie de la carte Fellah.

Ainsi la déclaration doit être régulièrement renouvelée en fonction de l’état des entrepôts réservés au stockage, ce qui permettra aux commerçants d’exercer leur métier sans aucune inquiétude et en toute tranquillité.

Pour Kamel Rezig, le projet de loi relative à la lutte contre la spéculation comporte des sanctions draconiennes qui traduisent la volonté de l’État d’endiguer les activités des spéculateurs ayant déstabilisé le marché, vider les poches des citoyens et créer des crises sans précédents.

En ce qui concerne l’huile de table, le premier responsable du secteur commerciale nie l’existence de pénurie tout en affirmant que ce ne sont que des rumeurs véhiculées par les médias. Cette propagande a créé  un déséquilibre entre l’offre et la demande, et ce, en raison du comportement des consommateurs.

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Alerte météo : pluies orageuses sur 28 wilayas

Fri, 10/22/2021 - 18:12

L’Algérie a connu cette année, un automne sec et une pluviométrie avare. Malgré la baisse considérable de la température, les Algériens attendent avec impatience le retour de la pluie, qui fait tout le charme de la saison hivernale.

Au grand bonheur des amoureux de l’hiver et du froid, l’Office Nationale de Météorologie vient d’annoncer que la soirée de ce vendredi sera marqué par une pluie abondante, et ce, de 21h jusqu’a 3h du matin.

Dans un Bulletin météorologique spécial, l’ONM a mis en garde contre de forte pluies orageuses sur 28 wilayas du pays. Il s’agit en effet de : la capitale Alger, Sidi Bel Abbès, Tissemsilt, Tipaza, Relizane, Bejaia, Laghouat, Tiaret, Tizi-Ouzou, Chlef, Mostaganem, Ain temouchent, Djelfa, Tlemcen, El Bayadh, Jijel, Ain Defla, Médéa, Boumerdes, Saida, Naama, Bouira, Oran, Mascara, Annaba, Skikda, Blida, El Tarf.

Les températures annoncées

Météo Algérie a fait état durant la matinée de ce vendredi 22 octobre, d’un temps dégagé à partiellement voilé sur les régions du Nord, avec l’apparition de nuages bas au niveau des zones côtières. Le soir sera cependant caractérisé par un ciel gris, pouvant donner lieu à des pluies orageuses, et ce, dans les régions intérieures et ouest de l’Algérie.

La même source, annonce en outre, des précipitations locales dues au climat nuageux sur le Nord du Sahara. Les températures varient par ailleurs entre 24 et 28 degrés sur les régions côtières, entre 23 et 29 degrés sur les régions de l’intérieur et enfin entre 24 et 40 degrés dans le Sud algérien.

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