Dans la capitale Alger, comme au niveau de plusieurs autres wilayas à travers le territoire national, les eaux ont pu inonder des quartiers entiers, et fermer plusieurs routes à la circulation. Outre les dégâts matériels, trois personnes ont trouvé la mort dans la capitale.
Salah Lahlah, le Directeur de l’exploitation au sein de l’Office National de l’Assainissement (ONA), intervenant sur les ondes de la radio national, n’a pas manqué de poussé un coup de gueule en se penchant sur les causes des dernières inondations.
Une responsabilité partagéeSelon ce responsable, « les agents de l’ONA sont à l’œuvre à longueur de l’année afin de garantir le bon fonctionnement des réseaux d’assainissement, et ce, afin de lutter contre les inondations, mais aussi, en été, pour nettoyer les canalisations ». Selon le même intervenant, ce nettoyage garantit « la santé publique et diminue le risque de la propagation des maladies infectieuses ».
Peiné, le directeur d’exploitation au sein de l’ONA déclare que « malgré nos efforts, les moyens humains et matériels dont nous disposons, certains agissements et comportements de la part des citoyens mènent à des canalisations bouchées ».
Toujours selon le même responsable, « on assiste au jet d’ordures, des déchets durs et des restes dans les conduites ». Selon M. Lahlal, « c’est normal que quand il y a des pluies l’assainissement ne se fait pas de façon adéquate, ce qui cause des inondations ».
Le même responsable a toutefois indiqué que les quantités de pluies que la capitale Alger a connu dernièrement ont été trés importantes. « 70 ou 80 % des pluies qui tombent habituellement en un mois ou plus à Alger sont tombées en 24 heures, lors des récentes inondations », a fait savoir l’intervenant.
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Le monde s’ouvre à nouveau après une fermeture à cause de la crise sanitaire. Cette ouverture porte de bonnes nouvelles notamment concernant l’emploi car beaucoup de pays rejoignent la vague du recrutement international à l’instar du Canada, l’Angleterre ou encore la Belgique. Une solution à un seul problème avec plusieurs avantages.
Face au manque d’effectif dans plusieurs domaines, de plus en plus de pays ouvrent leurs portes aux travailleurs. Une tendance qui attire les algériens souhaitant joindre l’utile à l’agréable en particulier ceux souffrant du chômage. Un phénomène assez présent en Algérie et qui selon les experts, n’est pas près de diminuer pour les prochaines années.
Une option intéressante pour ceux qui veulent commencer un nouveau départ à l’étranger sur le plan professionnel voire même pour ceux qui souhaitent avoir de l’expérience à l’international mais sans pour autant quitter le pays. C’est désormais possible et c’est d’ailleurs l’opportunité que présente le Royaume-Uni.
Le Royaume-Uni recrute à distanceLe Royaume-Uni propose des offres d’emploi pour les algériens et contrairement aux autres offres d’emploi à l’étranger, la langue requise est l’arabe. Le premier poste est le poste d’Experience Manager, le deuxième poste à pourvoir est celui de comptable et le troisième est Manager en marketing chez Amazon Advertising. Pour postuler, la condition principale est de maîtriser la langue arabe (langue mère ou niveau C1).
Il suffit de se rendre sur le site internet uk.indeed, créer un compte, envoyer son Curriculum Vitae et une vidéo de cinq minute où on se présente et le tour est joué. Un entretien sera programmé par la suite dans le cas où vous correspondez au profile recherché.
Vous pouvez également chercher d’autres postes sur ce site, des paramètres sont disponibles pour effectuer une recherche précise et efficace selon vos ambitions et vos souhaits.
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Avec la décrue du nombre des cas de contamination du Covid-19 partout dans le monde notamment en Algérie qui est passée sous la barre des 100 cas, les pays s’ouvrent à nouveau prêts à accueillir les voyageurs. Les traversées maritimes ont reçu le feu vert pour reprendre, les frontières aériennes ont été partiellement rouverte, il ne reste plus qu’à faire ses bagages et préparer son voyage mais pour quelle destination ? une question que Lonely Planet a répondu pour vous.
Lonely Planet qui est l’un des premiers éditeurs au monde de guide de voyage a enfin dévoilé la liste tant attendue des 10 meilleurs pays, villes et régions à visiter l’année prochaine. Pour les algériens amoureux du voyage « Best in Travel » 2022 est le nom de la liste sur laquelle figure votre prochain voyage, une liste de destinations qui en mettent plein la vue et qui changent la vie.
Sur le podium des meilleurs pays à découvrir, petites en terme de superficie mais grandes en terme de beauté ; les Îles Cook prennent la première place suivies par la Norvège, l’Île Maurice, Belize, Slovénie, Anguilla, Oman, Népal, Malawi et l’Egypte.
Quant aux régions à visiter en 2022, Les Westfjords en Islande où des paysages sont à couper le souffle, La Virginie-Occidentale aux Etats-Unis se met en deuxième position et en troisième position Xingshuabanna en Chine suivi par Littoral du patrimoine du Kent – Royaume-Uni, Porto Rico, Shikoku – Japon, Désert d’Atacama – Chili, Le Scenic Rim – Australie, Île de Vancouver – Canada et Bourgogne en France.
Pour les villes, La Nouvelle-Zélande est présente en premier grâce à Auckland ; la ville où on peut découvrir le Sky Tower, se promener en bord de mer ou encore visiter le parc de la ville au pied d’un volcan endormi. Taipei à Taiwan se positionne juste derrière et en troisième Fribourg en Allemagne suivi par Atlanta – USA, Lagos – Nigeria, Nicosie/Lefkosia – Chypre, Dublin – Irlande, Mérida – Mexique, Florence – Italie, Gyeongju – Corée du Sud.
Quels sont les pays que les algériens peuvent visiter sans visa ?Qui n’aimerait pas voyager et visiter des pays dans les quatre coins du monde ? parmi les choses qui peuvent freiner ce souhait est le visa. Cependant, beaucoup de pays permettent l’accès sans visa, de quoi faciliter le voyage et épargner les procédures lentes et exhaustives.
Parmi les meilleures destinations choisies par Lonely Planet, les algériens peuvent aller à Oman sans visa, la septième meilleure destination pour 2022. Pour la neuvième (Malawi) et la dixième (Egypte) ils peuvent facilement s’y rendre.
Les pays que les algériens peuvent visiter sans visa s’élève au nombre de 52 et sont majoritairement des pays situés en Afrique ou en Asie comme : Bénin, Mali, Liban, Jordanie, Sénégal, Tunisie et le Vietnam. Des destinations très convoitées sont également accessibles sans visa pour les algériens comme l’Indonésie et le Maroc.
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Vers les débuts de la campagne de vaccination contre le Covid-19, l’on se plaignait de l’indisponibilité des vaccins. Une fois fournis en grandes quantités, la campagne de vaccination se retrouve presque à l’arrêt.
Face à ce revirement de situation, de très grandes quantités de vaccins importés et fabriqués localement sont menacés de péremption. Ainsi, l’on a passé, en seulement quelques mois, d’une situation de manque de vaccin à une abondance pour cause du peu d’engouement qu’éprouvent les citoyens quant à la vaccination.
Si l’on se réfère aux derniers chiffres des autorités, pas moins de 13 millions de doses de vaccins contre le coronavirus sont actuellement disponibles. Cela sans parler des quantités attendues dans le cadre du système Covax et les 1,3 million de doses annoncées comme production locale pour ce mois d’octobre.
L’ensemble des spécialistes et responsables au secteur de la santé constatent l’arrêt presque total de la campagne de vaccination. A ce propos, ils redoutent la péremption de très grandes quantités de vaccins stockées. Cela se traduit, inéluctablement par de grandes pertes d’argent.
Selon toujours les chiffres officiels, le nombre d’algériens ayant reçu le vaccin est de 11 millions. Seulement environ 6 millions parmi eux ont reçu les deux doses de vaccins nécessaires pour une protection optimale. Avec ces chiffres en stagnation depuis plusieurs semaines, l’objectif escompté en matière d’immunité collective est loin d’être réalisé.
Les craintes et les propositions d’un spécialisteRapporté par le quotidien le Soir d’Algérie, président du Syndicat national des praticiens de santé publique, le Dr Lyes Merabet, rappelle que les vaccins ont tous une date de péremption. Pour le cas de l’AstraZeneca à titre d’exemple, « les dates de péremption sont très proches et limitées au protocole de la durée de vaccination ».
Concernant le vaccin dont dispose l’Algérie en grandes quantités, à savoir le Sinovac, Dr Merabet affirme que la date de péremption peut aller jusqu’à 2023. Or, il préconise d’accélérer la campagne de vaccination, si non « on risque d’être embarrassés par des quantités de vaccins stockées et importées et celles fabriquées localement ».
Redoutant un regain de l’épidémie, à l’image de ce qui se passe ailleurs, le spécialiste note des lacunes dans la campagne de vaccination en Algérie. Selon lui, « l’État a mis des mesures draconiennes et des complications au début du lancement de la vaccination ». Et c’est ce qui a fini « par faire peur à la population.
En outre, il pense que « laisser la vaccination au choix, y compris pour les professionnels de la santé, n’est pas la meilleure solution ». À cet effet, il cite l’exemple l’instauration du pass sanitaire dans plusieurs pays « développés ». Dans ce sillage, il explique qu’il s’agit « de l’épargne avec la vaccination par rapport aux dépenses de prises en charge, car plus on vaccine, moins on aura des complications à prendre en charge ».
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Dernièrement, des rumeurs se sont évoquées à propos du report, voire de l’annulation de la prochaine Coupe d’Afrique prévue janvier prochain au Cameroun.
À cet effet, la Confédération Africaine de Football (CAF) a confirmé la programmation de la Coupe d’Afrique des Nations du 9 janvier 2022 au 6 février 2022, au Cameroun, et ce, en réponse aux rumeurs récemment diffusées concernant la possibilité de reporter la compétition ou de la déplacer à un autre pays en raison du manque de préparation du Cameroun pour accueillir l’événement.
En outre, ladite Confédération lance un appel d’offres pour vendre les droits de diffusion des tournois et événements de football les plus importants prévus en 2022 et 2023, dont l’événement principal, la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun.
Le match d’ouverture et la finale auront lieu au même stadePour le match d’ouverture, il est prévu pour le dimanche 9 janvier 2022, au stade olympique nouvellement construit à Yaoundé, la capitale du Cameroun, à 17 h 00 (heure algérienne), tandis que 52 matchs auront lieu dans les cinq villes (Douala, Yaoundé, Bafoussam, Garoua et Limbe) qui accueilleront le tournoi.
Quant au match final, il y aura lieu dans le même stade de Yaoundé, le dimanche 6 février à 20 h 00 (heure algérienne).
Pour rappel, de nombreux médias avaient précédemment indiqué la possibilité de reporter la Coupe d’Afrique, ou de la déplacer vers un autre pays au lieu du Cameroun, comme ce fut le cas en 2019, pour sauver la compétition et la mener à temps.
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Le 27 octobre dernier, « un incident grave » a eu li au sud de Kidal, au Mali, déplore la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA). Un « civil algérien » a été tué après avoir été touché par les tirs des soldats des Nations Unis.
Selon un communiqué de la MINUSMA, « au Sud de Kidal, sur la route vers Anéfis, un passager algérien dont le véhicule circulait sur le même axe routier qu’un convoi de la MINUSMA a été grièvement blessé par balle ». Le ressortissant algérien n’a pas tardé à rendre son dernier souffle, ajoute la même source.
Une enquête a été ouverteToujours selon le même communiqué, « une enquête a été immédiatement diligentée » afin de d’élucider les circonstances de ce qui a été qualifié par l’Organisation Onusienne d’un « incident grave ». Ce travail d’investigation vient « déterminer avec précision si ce véhicule représentait une menace, et si le défunt a effectivement été grièvement blessé ou non par les tirs de la Force de la MINUSMA ».
Le passager algérien roulait avec son véhicule sur la même route ou circulait une mission de la force Onusienne. L’ayant apparemment pris pour une menace, les soldates du MINUSMA ont tiré sur le véhicule, blessant grièvement le ressortissant algérien dont l’identité n’a pas encore été révélée. Ce dernier est décédé ensuite, succombant à ses graves blessures.
El-Ghassim Wane, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies et Chef de la MINUSMA, a tenu à présenter « ses sincères condoléances à la famille du défunt et à ses proches, ainsi qu’aux autorités de la République algérienne démocratique et populaire ».
Le responsable Onusien a également indiqué que « la MINUSMA ne ménagera aucun effort pour que les faits soient promptement éclaircis, et l’enquête sera conduite avec toute la transparence nécessaire ».
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Le grand match décisif des Fennecs face à leurs homologues burkinabés s’approche. Quelques jours seulement avant cette rencontre qui va trancher entre les deux équipes adverses.
Cette confrontation entre dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Sur ce, ledit match est programmé pour le 16 novembre, à 17 heures (heure algérienne), au stade Mustapha Tchaker de Blida.
En effet, les Étalons de Burkina Faso ne sont pas un adversaire facile à vaincre. Ces derniers partagent la même place que les Verts dans le classement du groupe A. Ils sont à la tête dudit groupe avec un score de 10 points, tout comme les coéquipiers de Riyad Mahrez.
La pelouse de Tchaker prête pour accueillir la rencontreDans une interview accordée aujourd’hui à la chaine Echourouk TV, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderrazak Sebgag, indique que le président de la République, Tebboune, avait donné instructions afin d’accompagner l’équipe nationale.
En outre, le même responsable révèle que la pelouse du stade Mustapha Tchaker de Blida est prête et en bon état afin d’accueillir le match retour face au Burkina Faso.
Sebgag évoque également le sujet de l’entraineur Djamel Belmadi, où il affirme : » le sélectionneur national Djamel Belmadi est franc et reçoit tout le soutien des autorités « .
Par ailleurs, le premier responsable du secteur de sport indique que le stade d’Oran, ainsi que celui du 5 juillet à Alger, sont aussi prêts à accueillir les matchs officiels.
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La décongestion du trafic routier à Alger semble être au centre des préoccupations du gouvernement. Deux nouveaux décrets exécutifs de projet de réalisation de liaison et d’aménagement d’accès sont sur la table du gouvernement.
Lors de la réunion du Gouvernement, tenue hier samedi 30 octobre 2021 sous la présidence du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, le gouvernement a examiné deux projets de décrets exécutifs dans le cadre la décongestion du trafic routier de la Capitale.
Selon le communiqué ayant sanctionné la réunion du gouvernement, le premier projet porte sur « la réalisation de la liaison rocade sud (5 juillet) – 2ᵉ rocade d’Alger et contournement de Draria – 1ère Tranche », lit-on dans le communiqué.
Le second projet de Décrets exécutifs abordé par le gouvernement lors de la réunion d’hier s’agit de « l’aménagement des accès routiers entre la 2ᵉ rocade – Stade de Douéra et la route nationale n° 36 ».
Ces deux projets de Décrets exécutifs examinés lors de la réunion d’hier portent la déclaration d’utilité publique. Ils « s’inscrivent dans le cadre de la poursuite de la concrétisation du programme urgent visant la décongestion du trafic routier de la Capitale », précise encore le communiqué.
Deux autres projets similaires déjà examinés par le gouvernementLes deux nouveaux projets examinés par l’exécutif viennent s’ajouter à deux autres textes de décrets exécutifs relatifs à la réalisation de ces deux projets, abordés le 9 octobre dernier lors d’une réunion du gouvernement.
Le premier est relatif à la « réalisation du dédoublement du CW 122 reliant Heraoua à Ouled Moussa ». Quant au second projet, il porte sur « la réalisation des travaux de protection et dédoublement du CW 111 Draria ».
Ainsi, ces projets textes, introduits par le secteur des travaux publics, interviennent dans le cadre du plan de décongestion de la capitale qui fait suite aux orientations données par le Président de la République, en vue de fluidifier le trafic routier à Alger.
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Les cours de l’euro et du dollar se sont stabilisés ce dimanche 31 octobre 2021, face au dinar algérien dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie et sur le marché parallèle.
En effet, le taux de change de l’euro à la Banque centrale d’Algérie a affiché de 158,97 dinars à l’achat et 159,04 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’échange contre toujours aux environs de 213 dinars à la vente et 215 dinars à l’achat.
Même constat pour la monnaie étasunienne. Le dollar s’est, en effet, stabilisé dans les cotations officielles à 137,15 dinars à l’achat et 137,16 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est proposé cotre à 189 dinars à l’achat et 185 dinars à la vente.
Le taux de change de la livre sterling à la Banque d’Algérie a atteint, dans les cotations commerciales d’ouverture de ce dimanche, les 188,57 dinars à l’achat, et 188,64 dinars à la vente. Dans le marché informel, il est à 244 dinars à l’achat et 242 dinars à la vente.
Le taux de change de monnaies de pays arabes face au dinarLe prix du riyal saoudien dans les cotations officielles est également resté stable à 36,56 dinars à l’achat et 36,57 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il s’échange à 47,99 dinars à l’achat et 48,52 dinars à la vente.
Le cours du dirham émirati est proposé, dans les transactions de la Banque centrale d’Algérie, à 37,33 dinars à l’achat et 37,34 dinars à la vente. Dans le marché parallèle, il s’échange contre 49,01 dinars à l’achat et 49,55 dinars à la vente.
Concernant le dinar koweïtien, les cotations officielles de la BA font état de 453,99 dinars à l’achat et 455,24 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est à 596,68 dinars à l’achat et 603,31 dinars à la vente.
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L’ensemble des wilayas côtières seront au rendez-vous ce dimanche 31 octobre 2021, avec des vents violents pouvant atteindre les 60 km/h. Ces rafales devront également provoquer l’agitation de la mer.
Selon la carte de vigilance publiée par Météo Algérie, plusieurs wilayas côtières sont placées en vigilance orange (vents violents). D’autres wilayas du littoral du pays sont placées en vigilance jaune (vagues dangereuses).
Les zones côtières concernées par la vigilance orange sont les côtes de Béjaia, Jijel, Azefoun (Tizi Ouzou), Dellys, Alger, Bouharoune et Ténès.
Pour ce qui est de la vigilance jaune, l’Office de météorologie a indiqué qu’il s’agit de : Annaba, El Kala, Skikda, Mostaganem, Arzew, Oran, Béni Saf, Ghazaouat et Marsa Ben Mhidi.
Vitesse du vent et validité du bulletinLes rafales attendues devront atteindre ou dépasser les 60 km/h provoquant l’agitation de la mer avec des vagues pouvant atteindre les 3 mètres de hauteur, et ce, pour les zones placées en vigilance orange.
La validité du bulletin s’étalera de la matinée de ce dimanche jusqu’à minuit de la même journée, notamment sur les zones côtières du centre du pays.
Concernant les zones placées en vigilance jaune, notamment à l’ouest et l’est du pays, les rafales atteindront les 50 km/h avec des vagues de 2 mètres de hauteur. La validité de l’alerte s’étalera de 06 h 00 du matin de ce dimanche jusqu’à l’aube de demain lundi.
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Depuis plusieurs semaines, les prix des produits agricoles flambent en Algérie. De son côté, le ministre de l’Agriculture parle d’une production disponible en quantité suffisante. Si l’hypothèse d’une demande qui dépasse l’offre est ainsi réfutée, où se situe donc le problème ?
Intervenant lors d’une séance au Conseil de la nation consacrée aux questions orales des sénateurs, le premier responsable du secteur agricole affirme que la production agricole est disponible en quantité suffisante.
Plus encore, il déclare que la production actuelle peut même permettre à l’Algérie d’exporter de grandes quantités de produits agricoles, évoquant ainsi une situation confortable et une production excessive.
Dans son argumentatif, le ministre de l’Agriculture Abdelhamid Hemdani cite le rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui classe l’Algérie sur la liste bleue de l’ONU en matière de sécurité alimentaire.
En effet, il s’est même réjoui de la « réalisation de la sécurité alimentaire du pays ». Cependant, la réalité du marché des fruits et légumes et des viandes, notamment blanches, ne reflète guère une telle situation. Les prix enregistrent toujours des flambées aussi inédites qu’exorbitantes.
« De la pomme de terre à 50 DA dites-vous ? »Le problème s’avère donc complexe, d’autant que la situation de confort, voire d’excès de production, évoquée par le ministre devra logiquement avoir un impact inéluctable sur les prix. Pis encore, le cas de la pomme, à titre d’exemple, suscite moult interrogations.
Alors que son prix a dépassé toutes les bornes, la dernière démarche des pouvoirs publics visant à assurer la vente au consommateur à 50 DA le kilogramme n’ont visiblement pas abouties aux attentes escomptées.
En effet, les opérations de déstockage de grandes quantités, menées depuis quelques jours par les deux départements concernés (agriculture et commerce), pour une vente à 50 DA le kg ont eu l’effet contraire. Actuellement les prix de ce produit varient entre 100 et 130 dinars le kilo.
Encore une fois, les déclarations officielles ne reflètent aucunement la réalité. La question de savoir « où est le problème » est encore posée sans pour autant avoir de réponse.
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Une triste nouvelle vient de secouer la wilaya de Djelfa, située dans les hauts-plateaux, à 300 km au Sud d’Alger. L’information relayée largement par les médias nationaux porte en effet sur le décès tragique et énigmatique d’un enfant âgé de 6 ans.
La victime est sortie hier vendredi 29 octobre vers les coups de 10h du matin pour jouer dans son village. Sa famille qui croyait que l’enfant était chez les voisins, s’est rendu compte vers 14h que l’enfant est porté disparu. Depuis, tous les habitants du village ont été vainement mobilisé pour retrouver le petit ange.
Dans la soirée de ce vendredi, la dépouille de la victime a été retrouvée par un des voisins, dans un sac en plastique. Ce dernier a été découvert d’après les témoignages, dans une maison abandonnée depuis les années 90.
Un phénomène de plus en plus récurrentLa chaine arabophone Echorouk s’est déplacé sur le lieu de l’incident et a interrogé les habitants du village dont le seul souhait est de trouver une solution à ce pénible problème qui touche de plus en plus la population infantile.
Un des voisins a d’ailleurs confié que cet incident est loin d’être le premier dans ce village, situé à l’ouest de la wilaya de Djelfa. Il convient de préciser par ailleurs que la dépouille de l’enfant a été transférée par les agents de la protection civile à la morgue de l’hôpital, tandis que les services de la gendarmerie ont lancé une enquête sur l’affaire.
Rappelons en conclusion que plus 2453 enfants algériens ont été victimes de violences, au cours des premiers mois de l’année 2021. Certains d’entre eux, ont perdu la vie alors que leurs ages ne dépassent pas les 15 ans.
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Le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, ministre des Finances, a présidé ce samedi 30 octobre une réunion du Gouvernement consacrée à l’étude de plusieurs projets relevant de différents domaines.
Il s’agit entre autre des secteurs des télécommunications, commerce, industrie et travaux public. L’inédit dans cette réunion concerne en effet l’intention du gouvernement de procéder à la délivrance d’autorisation au profit de nouveaux opérateurs dans le secteur des communications numériques.
Dans sa réunion hebdomadaire, le gouvernement a étudié le projet relatif à la mise en place d’un décret exécutif fixant les conditions de délivrance de l’autorisation générale. Cela vise à améliorer et optimiser la qualité des services en matières de communications électronique afin de satisfaire les besoins du public.
Selon le communiqué ayant sanction la réunion, ce projet permettra d’une part de faciliter les procédures et démarches relatives à l’octroi de l’autorisation, et d’inciter les opérateurs économiques à stabiliser leurs investissements d’autre part.
Par ailleurs, les montants des redevances prévues par ce texte seront totalement adaptée en fonction des spécificités du marché national des communications électroniques, qui constitue une des priorités du plan de relance économique.
Projets relatifs aux autres secteursOutre les télécommunications, la réunion du gouvernement a porté également sur le domaine du commerce. À ce sujet, un projet de Décret exécutif fixant les conditions et les modalités d’application des régimes de licence d’importation ou d’exportation de produits et marchandises, a été examiné.
Ainsi, le secteur des travaux publics a bénéficié d’une étude portant sur la réalisation de plusieurs liaisons rocade ainsi que l’aménagement des accès routiers dans la capitale Alger.
Enfin, le gouvernement s’est penché également sur l’industrie, et ce, en décidant de lever toutes les contraintes qui entravent la mise en exploitation des projets d’investissements achevés.
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Les fonds monétaires en circulation sur le marché parallèle se retrouvent visiblement dans le viseur du gouvernement. Ce samedi 30 octobre 2021, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a encore réitéré les approches de l’exécutif dans ce sens.
Intervenant en marge du lancement de l’observatoire national de l’épargne, le Premier ministre a affirmé que le gouvernement se penche sur toutes les approches permettant le recouvrement de ces masses en circulation en dehors du circuit bancaire.
« Concernant les fonds en circulation sur le marché parallèle, nous sommes en train de travailler, au niveau du gouvernement, sur toutes approches devant permettre d’avancer dans le processus de récupération de cette masse en circulation dans le marché parallèle ».
Or, ajoute encore le même intervenant, « cela ne sera concrétisé qu’avec une volonté effective au niveau des banques, qui devront désormais travailler avec plus de sérieux et sans épargner aucun effort ».
Ces institutions financières devront, selon le Premier ministre, mener un travail « de sensibilisation sur la nécessité de la bancarisation de l’argent en circulation dans le marché parallèle ».
Benabderrahmane mise sur le facteur de la confianceComme condition, il cite le facteur du recouvrement de la confiance auprès des opérateurs. « Cela ne sera concrétisé qu’avec le recouvrement de la confiance auprès des opérateurs ; un facteur qui devra créer la différence entre la situation actuelle et celle escomptée », souligne le même intervenant.
D’ailleurs, il précise que les fonds qui circulent sur ce marché sont issus d’un commerce légal, mais pas déclaré. « Et c’est cette différence que nous devrons tous comprendre », a encore préconisé le premier responsable au gouvernement.
« Certes, nous luttons contre le blanchiment d’argent et la bancarisation des fonds issus des activités commerciales illégales, mais à l’origine, toutes ces masses monétaires, ou du moins leur majorité, sont issues d’activités légales, mais non déclarées », explique Benabderrahmane.
Ainsi, « si ces opérateurs ressentent de la confiance auprès des banques et des institutions financières, ils déposeront ces fonds volontiers au niveau de ces institutions », ajoute-t-il. D’où la nécessité de fournir tous les moyens et de mener des campagnes de sensibilisation continue dans ce sens.
Par ailleurs, le ministre des Finances souligne qu’une fois remis dans le circuit bancaire, ces fonds seront destinés au financement de l’économie nationale.
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Il est indéniable que la pédophilie demeure encore un sujet tabou dans certaines sociétés musulmanes notamment en Algérie. Les médias en parlent très rarement voir de façon discrète. Les chiffres concernant les victimes d’abus sexuel ne sont malheureusement pas mis en avant, ni actualisés d’ailleurs.
Aujourd’hui, 30 octobre 2021, une information reflétant la dangerosité de la frustration sexuelle a fait le tour des médias sociaux. Il s’agit en effet, d’un abus sexuel dont la victime n’est qu’une élève de 9 ans. Cette dernière a subi cet acte obscène de la part du directeur d’une école primaire, situé dans la ville de Ain Oulmene à Sétif.
Abus sexuel prouvé par certificat médicalIl s’agit d’une mineure scolarisée dans une école primaire dont le directeur est poursuivi pour agression sexuelle sur mineurs et attouchements. En effet, c’est le père de la victime qui a décidé de déposer plainte contre le présumé tout en présentant un certificat médicale prouvant l’abus sexuelle dont sa fille a été victime.
De ce fait, le directeur de l’école a été entendu par les services de la police de Ain Ouelmane, et ce, avant de fixer la date de son procès devant le procureur de la république. N’ayant pas donné signe de vie depuis plus d’une semaine, la police judiciaire a réussi à l’arrêter ce samedi 30 octobre.
Ainsi, le juge d’instruction du tribunal Ain Oulmene près la Cour de Sétif a ordonné la mise en détention provisoire du directeur de l’établissement scolaire en attendant son procès.
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La situation épidémiologique liée au coronavirus en Algérie affiche toujours une tendance stable. Après avoir passé au-dessus de la barre des 100 cas quotidiens durant la journée d’hier, les contaminations ont enregistré une baisse dans le bilan d’aujourd’hui.
Dans son dernier bilan rendu public ce samedi 30 octobre 2021 en fin de journée, le ministère de la Santé a fait état de 88 nouveaux cas de contamination au coronavirus contre 110 cas recensés durant la journée d’hier vendredi.
Selon la même source, le dernier décompte concernant l’évolution de l’épidémie du Covid-19 en Algérie a fait état de 69 nouvelles guérisons, alors que durant la journée d’hier, l’Algérie avait enregistré 64 nouveaux cas rétablis de la maladie.
Du côté des victimes de l’épidémie, le dernier bilan des autorités sanitaires affiche 5 nouveaux décès contre les 6 morts enregistrés durant la journée d’hier. 9 malades sont actuellement en soins intensifs, souligne encore la même source.
Avec les nouveaux chiffres avancés ce samedi, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 206.358, celui des décès à 5.918 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 141.601.
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L’émergence de la pandémie liée à la covid-19, a fait prendre conscience aux spécialistes de la Santé de l’importance des recherches et activités scientifiques.
À L’auditorium du CHU Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou, un colloque national intitulé “La pandémie de Covid-19 en néphrologie”, a été tenu jeudi passé 28 octobre. L’information rapportée par nos confrères du Quotidien Liberté porte essentiellement sur les différentes interventions des médecins spécialistes.
Dans un premier temps, Dr Toufik Djerboua, responsable du laboratoire PCR de l’université Mouloud-Mammeri a évoqué l’utilité et l’importance de la plateforme du diagnostic Covid-19 de l’université dans la prise en charge de l’épidémie.
Manque des moyens nécessaires à la recherche scientifiqueConcernant une éventuelle recrudescence des cas de contamination, Dr Djerboua refuse de prédire l’avenir et préfère miser sur la surveillance. Pour lui, il est très probable qu’un variant algérien existe, mais on n’a malheureusement pas les moyens pour le détecter.
Dr Djerboua, coordinateur du laboratoire de diagnostic du Covid 19 de l’université Mouloud Mammeri, n’a pas manqué à expliquer cette situation. En effet, « Pour la détermination d’un variant, il y a nécessité d’avoir des techniques d’essais coûteuses qui ne sont pas à notre disposition. C’est pour cela qu’il est très important de se donner les moyens pour une lutte efficace contre le virus », indique le spécialiste.
Vers une démocratisation des tests PCR ?“Il faut se donner les moyens de démocratiser les tests PCR et de démocratiser les tests de détection des variants. C’est comme cela que nous réussirons à faire une politique de prise en charge de l’épidémie qui soit vraiment efficace”, plaide Dr Djerboua tout en indiquant que la multiplicité des dépistages aident amplement dans la lutte contre la covid-19.
Autre révélation très importante rapportée par le journal algérien, concerne la contamination des enfants par le maudit virus. À ce propos, Dr Djerboua, se dit étonné de voir sur « les réseaux sociaux des interventions qui disaient que l’épidémie faisait des ravages chez les enfants et que c’est le variant Delta », et ce, avant d’ajouter que la contamination chez l’enfant était très rare, d’autant plus que ce dernier « semble naturellement résistant à l’infection ».
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Les autorités canadiennes ont mis à jour, hier vendredi 29 octobre 2021, les conditions d’entrée au Canada, et ce, dans le cadre des mesures de lutte contre la propagation de l’épidémie du coronavirus.
Selon un communiqué relayé sur la page Facebook d’Air Algérie, les autorités canadiennes ont défini les catégories de passagers éligibles à rentrer sur le territoire canadien, selon les dernières mises à jour annoncées.
Il s’agit des « ressortissants canadiens, des résidents permanents, des membres de la famille immédiate des ressortissants du Canada, des membres de la famille élargie des ressortissants et des résidents permanents du Canada ».
Le communiqué ajoute également « les passagers avec une autorisation de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), passagers avec une lettre d’autorisation du sous-ministre du Patrimoine canadien (PCH) et les passagers titulaires d’un permis d’études ou d’un permis de travail post-diplôme, délivré par le Canada ».
Les conditions d’entrée dans le territoire canadienPour ce qui est des conditions, les autorités canadiennes précisent que les passagers et les membres d’équipage doivent soumettre leurs informations par voie électronique, au plus tard 72 heures avant l’arrivée, via l’application ArriveCAN ou le site web https://www.canada.ca/…/coronavirus…/arrivecan.html ».
Les passagers vaccinés ou pas, doivent présenter un reçu ArriveCAN avant l’embarquement, souligne la même source. Concernant les passagers non vaccinés, ils doivent présenter un « test PCR négatif ».
Pour les passagers de plus de 5 ans, ils doivent avoir un test Covid-19 négatif passé au plus 72 heures avant le départ, indique-t-on encore. Deux catégories de passagers sont exemptées du test PCR.
Il s’agit, selon la même source des « passagers avec un test Covid-19 positif effectué au moins 14 jours et au plus 180 jours avant le départ, sont exemptés du test PCR » et « les passagers avec un test Covid-19 positif effectué au moins 14 jours et au plus 180 jours avant le départ ».
Les vaccins acceptés au CanadaPour le test PCR négatif post-arrivée, « les passagers sont soumis à un test moléculaire Covid-19 les jours 1 et 8 après leur arrivée ». En outre, les passagers vaccinés doivent être munis d’un certificat de vaccination Covid-19 montrant qu’ils ont été complètement vaccinés au moins 14 jours avant l’arrivée.
Cette mesure « s’applique aussi aux enfants âgés de plus de 12 ans et 04 mois accompagnés de leurs parents vaccinés.
Les vaccins acceptés pour pouvoir rentrer sur le territoire canadien sont : AstraZeneca (Covishield), AstraZeneca (SK Bioscience), AstraZeneca (Vaxzevria), Janssen, Moderna ou Pfizer-BioNTech. Une combinaison de vaccins est également acceptée.
Par ailleurs, le communiqué précise que « les passagers respectant les schémas vaccinaux suscités ne sont pas concernés par la quarantaine ni des tests PCR post-arrivée ».
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Il n’est secret pour personne que la plus grande part du budget de l’État a toujours été alloué au secteur de la Défense Nationale. Raison pour laquelle, l’armée algérienne figure dans les meilleurs classements des puissances militaires.
Un récent rapport publié par la revue spécialisé Global Fire Power (GFP) a placé l’Algérie parmi les 15 premières puissances navales mondiales. En effet, elle a été classée à la 14ᵉ position mondiale en ce qui concerne le nombre total de navires de guerre et de sous-marins. Le pays figure même avant la France, tout en se hissant à la deuxième place Africaine.
Un constat confirmé par le patron de la Marine françaiseÀ l’occasion de l’inauguration de la nouvelle devise de l’École navale française, le patron de la Marine, l’amiral Pierre Vandier, s’est exprimé dans une déclaration à la presse sur les défis et tensions en mer ainsi que le développement soudain de certaines petites Marines
Après avoir cité l’exemple de la Malaisie et l’Indonésie qui se sont développé à la vitesse de l’éclair sur le plan des forces navales, l’amiral Pierre Vandier cite le cas de l’Algérie.
« L’Algérie possède désormais six sous-marins russes de type Kilo équipés des missiles de croisière navale Kalibr. Cela change la donne. Elle dispose de corvettes chinoises et de radars fabriqués par Thalès que nous n’avons pas encore. Je dis à mes troupes : nous sommes entrés dans une ère carnivore sur le plan naval, où la démonstration de force et l’affrontement font partie de la feuille de route des dirigeants de ces puissances navales. Ils se donnent les moyens de changer les règles », lit-on dans un article publié le 24 octobre par le quotidien régional français Télégramme.
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Les pots-de-vin versés par le groupe canadien de l’engineering et la construction, SLC Lavalin en Algérie, viennent de faire objet de nouvelles révélations. Il s’agit de l’obtention du projet de construction du complexe gazier de Rhourde Nouss, au Sud algérien.
Également impliqué dans plusieurs affaires de corruption en Algérie, le groupe canadien a eu recours au versement de pots-de-vin pour l’obtention du projet de construction du complexe gazier de Rhourde Nouss, pour Sonatrach. L’affaire remonte à une vingtaine d’années.
En 2013, SNC-Lavalin avait fait l’objet d’une enquête menée par les autorités algériennes et suisses. À cette époque, l’enquête a révélé que le groupe canadien utilisait comme consultant le neveu d’un politicien algérien, en l’occurrence Farid Bedjaoui.
Selon de nouveaux éléments rapportés par le journal canadien La Presse, citant la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le canal par lequel les pots-de-vin ont été versés a été identifié. Ces versements viennent également d’être confirmés.
Le canal implique un acteur important dans le monde de la finance offshoreEn effet, les récentes enquêtes menées à ce sujet révèlent que le canal implique un cadre de l’entreprise et un acteur important dans le monde de la finance offshore. Il s’agit du conseiller financier personnel de l’ancienne Première ministre britannique, Margaret Thatcher.
Le groupe canadien a donc eu recours aux services de cet intermédiaire pour verser des commissions en Algérie, en contrepartie de l’obtention, auprès de Sonatrach, du marché de réalisation du complexe gazier de Rhourde Ennous.
Cette nouvelle découverte a été faite, selon le même journal, lors d’une perquisition menée en février 2020 dans le cadre de la chercher des documents additionnels au siège social de SNC-Lavalin. Cette enquête concerne un contrat de construction d’un pont routier à Montréal.
Le lien avec le projet Rhourde Nouss en AlgérieDans cette affaire, un cadre de l’entreprise montréalaise aurait contacté un mystérieux conseiller financier installé dans le paradis fiscal de Jersey. Ensuite, il lui avait envoyé une ébauche de contrat qui devait permettre de faire transiter des paiements de près de 2 millions de dollars, à travers une société-écran.
Cette dernière est détenue par Hugh Thurston ancien conseiller financier personnel de l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher, ajoute encore le même journal.
Ainsi, la gendarmerie royale révèle que le financier de Jersey avait déjà aidé la firme par le passé par l’entremise de son entreprise personnelle, qui agissait comme représentant de SNC-Lavalin en Algérie. Cette compagnie de représentants a été utilisée par SNC-Lavalin International pour des paiements de pots-de-vin à certains individus en relation au projet Rhourde Nouss en Algérie.
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