La décrue se poursuit, mais la Covid reste. C’est ainsi que pourrait être résumée l’actualité de la pandémie en Algérie. Au moment où la campagne vaccinale bat de l’aile, le risque d’une quatrième vague hante de plus en plus les esprits, et fait réagir les spécialistes.
Si les uns s’inquiètent à propos le taux d’infection, d’autres, plus pragmatiques, pensent déjà au degré de préparation des infrastructures sanitaires en Algérie. La troisième vague, soudaine et meurtrière, a, rappelons le, mis à nu la fragilité de tout un secteur face à la pandémie, mais surtout permis de voir le caractère imprévisible du virus.
L’Algérie est-elle prête pour une quatrième vague ?Elle ne peut l’être, semble affirmer le docteur Akhamouk, membre du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de coronavirus.
Il affirme que l’Algérie a surement pu acquérir de l’expérience dans la gestion des contaminés à la covid-19, et que le personnel soignant a surement « atteint une certaine maîtrise ». Akhamouk indique toutefois que « nous ne savons pas à quoi s’attendre dans le cas d’une probable quatrième vague ».
Le Dr Akhamouk affirme notamment que les trois précédentes vagues de la pandémie que l’Algérie a connu ne se ressemblent pas. Selon lui, ce que l’on a connu pendant la troisième vague, «c’était nouveau». Un imprévisible auquel on pourrait encore faire face lors d’une éventuelle 4ᵉ vague.
«Un nouveau variant de ce virus risque de provoquer d’autres problèmes de santé, peut-être des thromboemboliques, et d’engendrer ainsi une pression sur d’autres produits, traitements et soins», affirme le Dr Akhamouk. Il ajoute que la réticence à la vaccination que l’Algérie déplore aujourd’hui, ne risque pas de trop arranger les choses.
Personne n’est prêt pour une 4ᵉ vagueDe son côté, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins, Dr Mohamed Bekkat Berkani, indique que l’Algérie ne peut pas être prête à affronter une éventuelle 4ᵉ vague, car, tout simplement, personne ne pourrait l’être. Le spécialiste indique toutefois que la vaccination et le respect des mesures de protection peuvent jouer un rôle important dans la lutte contre le risque d’une flambée qui peut s’avérer meurtrière.
Bekkat Berkani affirme que « nous sommes à moins de 20 % de personnes vaccinées. Par conséquent, nous sommes aujourd’hui loin d’atteindre une sub-immunité collective ». Ce constat, intervient au moment de « l’approche de l’hiver, une période des plus fragiles pour la propagation des virus respiratoires », rapportent nos confrères au Soir d’Algérie.
Le président du Conseil des médecins dit espérer que « les autorités ont tiré des leçons du manque d’oxygène enregistré l’été dernier ». Pour lui, l’adoption d’un plan Orsec est primordial. Il indique qu’il faut « répartir les malades sur des lieux qui seront dédiés à la Covid-19, afin de ne pas paralyser les établissements hospitaliers comme il a été le cas auparavant ».
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L’épidémie du coronavirus en Algérie et en décrue constante. Rassurés, les citoyens ont tendance à bouder la vaccination, se montrant de plus en plus réticents. Cependant, les spécialistes ne cessent d’alerter contre une éventuelle nouvelle vague qui pourra être désastreuse.
Lancé en début de l’année en cours, puis relancées à maintes reprises, la campagne de vaccination peine toujours à capter l’attention de la population, hormis durant les périodes de forte recrudescence épidémique. C’est ce qui s’est, en effet, passé lors du pic de la 3e vague.
À ce jour, à peine 23,32% de la population ont reçu deux doses. 31,32% de la population n’ont reçu que la première dose, selon les chiffres officiels. D’ailleurs, le ministre de la Santé a déploré, hier, le taux faible des citoyens vaccinés contre le virus.
Interrogé à ce propos par le quotidien Liberté, le membre du Comité scientifique Dr Mohamed Bekkat Berkani pointe carrément l’approche communicative des autorités, malgré les efforts consentis en matière de fourniture des quantités suffisantes des vaccins.
« L’État n’a pas réussi à convaincre la population de se faire vacciner »« Si l’État a fourni beaucoup d’efforts pour l’acquisition des vaccins et réussi à les produire dans notre pays, il n’a, en revanche, pas réussi à convaincre la population de se faire vacciner », a-t-il constaté.
Le président du Conseil National de l’Ordre des Médecins estime également que l’État n’est même pas parvenu « à rendre ce vaccin obligatoire dans certains segments de la population, comme celle activant dans le secteur de la santé ou de l’éducation ».
Pour étayer ses propos, l’intervenant cite le cas « certains pays, dit démocratiques et très à cheval sur la question de la liberté », qui « ont fait appliquer des lois de contrainte pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible ». D’ailleurs, il n’a pas hésité à affirmer que « la liberté de l’individu s’efface devant l’urgence sanitaire, bien évidemment au profit de la collectivité ».
« L’État ne communique pas de manière agressive »Dans le même sillage, il explique que l’État a « manqué d’audace », notamment concernant les « campagnes de vaccination qui n’étaient pas du tout agressives », et « pas à la hauteur de l’urgence sanitaire ». Ainsi, le résultat est que les Algériens ne veulent pas se faire vacciner.
Pour le docteur, la décrue de l’épidémie du coronavirus ces derniers jours y est également pour quelque chose. « Tout le monde est au courant des chiffres de contamination balancés chaque soir par les médias ». Cette décrue fait « que la majorité pense que l’épidémie de la Covid-19 n’est qu’un mauvais souvenir ».
Ici encore, l’intervenant évoque la faillite de l’État en matière de communication. « L’État a encore failli sur ce plan en ne communiquant pas assez et surtout pas de manière agressive pour convaincre la population du danger ».
Dans le même sens, il cite un autre facteur qui encourage la réticence des citoyens ; il s’agit « des fake-news amplifiées par les réseaux sociaux, présentant le vaccin comme inefficace ou pire, en lui attribuant prétendument des dangers pour la santé ».
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Lors des travaux de la 2e réunion ministérielle conjointe UA-UE qui eu lieu à Kigali dans le Rwanda, le ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, a plaidé pour une meilleure politique concernant les migrants.
En effet, Lamamra, dans son discours devant les représentants de plusieurs pays africains et européens, dont l’Angola, la Zambie, le Danemark, la Belgique, Luxembourg, la France et la Libye, a souligné l’importance de changer de politique envers les migrants.
La problématique de la migration, estime le chef de la diplomatie algérienne, « nécessite une approche globale et à long terme ». Il ajoute que la politique qui doit s’appliquer à cette question doit traiter « les causes profondes du phénomène dans le cadre du respect du droit international pour protéger les migrants et les membres de leurs familles ».
Solidarité, coopération et tolérancePour Lamamra, afin que l’on puisse régler la problématique de la migration « il est nécessaire de promouvoir une vision commune pragmatique ».
Le chef de la diplomatie algérienne a notamment souligné l’importance de se tourner vers « les principes de solidarité, de coopération et de tolérance, au lieu de l’approche des politiques de sécurité et de diabolisation de la migration, qui se propage souvent dans le contexte de calculs politiques et électoraux ».
Ramtane Lamamra a également, toujours lors de la tenue des travaux de la 2e réunion ministérielle conjointe UA-UE, indiqué que la sécurité, la paix et le développement, forment le trio sur lequel est bâtie la stratégie de l’Algérie.
Le diplomate algérien a notamment expliqué que les relations entre l’Union Africaine et l’Union Européenne doivent « émaner de la conviction de la sécurité commune ». Pour Lamamra l’Europe, au même titre que l’Afrique, doit assumer pleinement ses responsabilités.
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Novembre prochain, les champions d’Afrique disputeront les deux derniers matchs des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, pour le groupe A, contre le Djibouti et le Burkina Faso, respectivement.
À cet effet, les Verts se rendront en Égypte pour affronter leurs homologues djiboutiens au stade d’Alexandrie le 12 novembre, avant d’accueillir l’équipe burkinabè au stade Mustapha Tchaker de Blida, le 15 du même mois, dans un match qui sera surtout décisif pour déterminer l’équipe qui passera au tour final des éliminatoires.
Les Fennecs devront encore battre le Burkina Faso, avec qui ils partagent actuellement la première place du groupe A, avec un score de 10 points chacun, et ce, afin d’obtenir le billet de qualification, tandis que les équipes des troisième et quatrième places, le Niger et Djibouti, respectivement, sont sortis de la course.
Face à cette situation, le sélectionneur national Djamel Belmadi a toujours besoin de tous ses joueurs pour les deux confrontations, afin d’éviter toute mauvaise surprise, d’autant plus que l’équipe est devenue une cible ces derniers temps après les bons résultats obtenus depuis que Belmadi est venu en tête du staff technique.
Cependant, le coach des Verts s’exprime inquiet de tous les incidents qui ont causé récemment, de certaines blessures à de nombreux joueurs, à l’image de Youcef Belaili et Djamel Benlamri.
Belaili et Benlamri récemment blessésEn effet, Belaili s’est blessé dernièrement au genou avec son équipe du Qatar, lors d’une confrontation entrant dans le cadre du Championnat du Qatar. Et dans l’attente de l’annonce de son club qatarie de l’étendue de la blessure subie par le natif d’Oran, et de la période de repos qu’il subira, la possibilité de son absence de la rencontre du Burkina Faso est très probable.
Ce sera un coup douloureux pour l’équipe nationale, étant donné que Belaili est un joueur très important dans les plans de Belmadi, en raison de sa grande capacité à déplacer le ballon et à créer des buts.
Outre de Belaili, son coéquipier, le défenseur Djamel Benlamri a poursuivi son absence de son club qatarie, en raison de sa blessure, et ce, depuis septembre dernier. Et c’est ce qui inquiète son sélectionneur algérien, vu que ledit défenseur est un élément essentiel et pour le remplacer avec un autre joueur n’est pas quelque chose de facile.
Par ailleurs, et dans l’attente d’une annonce officielle portant de bonnes nouvelles sur lesdits joueurs, Belmadi doit agir vite afin de trouver une solution à ce problème.
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Les événements s’accélèrent au niveau du dossier du gazoduc Maghreb-Europe qui alimente l’Espagne en gaz via le Maroc. Alors que l’Algérie semble déterminée à mettre fin à ce transit, le Maroc tente de se rattraper en faisant appel à la médiation espagnole.
Suite aux dernières tensions entre les deux pays voisins, l’Algérie a décidé de cesser de fournir le gaz naturel à l’Espagne via le gazoduc Maghreb-Europe. Ainsi, le Maroc sera privé du gaz algérien à compter du 1er novembre prochain, selon ce qu’a rapporté l’Agence Reuters lundi dernier.
Comme alternative, l’Algérie décide de continuer l’approvisionnement de l’Espagne via le gazoduc sous-marin Medgaz d’une capacité annuelle de 8 milliards de m3 qui ne passe pas par le Maroc. D’ailleurs, c’est ce qu’a dit le président Tebboune le 11 octobre en cours.
« Nous avons convenu avec les amis espagnols de les approvisionner en gaz naturel via le gazoduc Medgaz », a-t-il déclaré lors d’une entrevue avec la presse. Cependant, les inquiétudes commencent déjà à se ressentir, notamment du côté marocain.
Les dernières cartes du MarocSelon le quotidien espagnol El Pais, cette situation a conduit Rabat à négocier avec Madrid une solution pour sécuriser des alternatives à la résiliation du contrat qui permet la fourniture de gaz à l’Espagne via le gazoduc Maghreb-Europe (GME) et qui alimente également ce pays.
Plus loin encore, le Maroc négocie actuellement avec l’Espagne une autre alternative ; il s’agit d’une possibilité de se faire livrer du gaz à partir de l’Espagne. Selon une source espagnole citée anonymement par le même journal, « le Maroc pourrait demander à l’Espagne d’envoyer du gaz par le gazoduc Maghreb – Europe (GME) dans le sens inverse ».
Cela dit, cette même source affirme que l’Espagne redoute la réaction de l’Alger quant à cette alternative, d’autant qu’il s’agit du gaz qu’expédie l’Algérie vers la péninsule. « Nous ne savons pas comment l’Algérie réagira si l’Espagne est d’accord », indique-t-on encore.
La ministre de la Transition écologique espagnole en visite en AlgérieEn tout cas, l’Espagne est déterminée à garder intact l’approvisionnement en gaz depuis l’Algérie. Dans cette optique, la troisième vice-présidente et ministre de la Transition écologique et du défi démographique espagnole, Teresa Ribera, devra arriver ce mercredi à Alger pour rencontrer les autorités algériennes.
Ces rencontres devront porter que la recherche d’une solution à la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui traverse le Maroc et que l’Algérie envisage de fermer dès ce premier novembre, date à laquelle prend fin le contrat de 25 ans qui garantit l’approvisionnement et les accords tripartites.
Par ailleurs, il convient de noter que l’arrêt du gazoduc Maghreb-Europe peut causer d’énormes dommages au Maroc. En effet, Rabat obtient entre 50 et 200 millions d’euros par an de « droits de passage », un chiffre qui varie en fonction du montant expédié.
Et, en plus, il garde 800 millions de mètres cubes par an de gaz d’Algérie à un prix stable. Ce gaz est utilisé pour alimenter les centrales à cycle combiné de Tahaddart (dans la région de Tanger) et d’Ain Beni Mathar (à Oujda, dans l’est du pays). Ces centrales couvrent environ 10 % de la production électrique marocaine.
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Après le controversé Mellal, qui a fini par quitter la direction de la JSK, voilà que son successeur de longue haleine se retrouve lui aussi sous la menace de la justice. Yarichéne a été arrêté avec deux autres personnes, la semaine dernière, après une altercation qu’ils ont eu avec un policier.
Yarichene a été placé d’abord en garde à vue, lui ainsi que le manager de la JSK Nassim Saâdaoui et le joueur Chams Eddine Harrag. Yarichéne, ainsi que ces deux coaccusés, ont été libérés provisoirement le lendemain, en attendant d’être présentés officiellement devant le tribunal.
Hier, le 26 octobre, Yarichéne, Saadaoui et Harrag, ont comparu devant le tribunal, et ont fait face aux chefs d’inculpation d' »agression sur agent de police dans l’exercice de ses fonctions » et « d’atteinte à corps constitué ». En tant que partie civile dans ce procès, il y avait la DGSN, la Direction Nationale de la Sureté Nationale.
Un an de prison ferme requis contre YarichéneLes policiers avec qui Yarichéne a eu une altercation lors d’un contrôle routier ont été présents lors de l’audience qui eu lieu hier. Deux policiers s’estiment victimes d’une agression de la part de Yarichéne et de ses deux acolytes, tandis qu’un troisième était présent en tant que de témoin.
Après avoir entendu les plaignants et les accusés, le procureur de la république a requis contre Yarichéne, Saadaoui ainsi que Harrag, un an de prison ferme et une forte amende. Les trois mis en cause demeurent sous contrôle judiciaire.
Cette affaire dans laquelle sont mouillé des représentants de la JSK constitue un énième coup dur pour le club des canaris.
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Suite à la baisse des cas de contamination à la covid-19, les autorités algériennes ont finalement décidé de rouvrir les frontières aériennes, mais aussi de mettre en place un nouveau programme de vols internationaux.
Ledit programme comprenait auparavant 64 dessertes hebdomadaires, avec sept pays, avant que les mêmes autorités ne décident de le renforcer avec d’autres destinations dont Dubaï et Londres, et même avec plus de vols, et ce, afin de répondre à la forte demande des clients, ainsi que de la diaspora.
En effet, la ligne Algérie – France est la plus demandée par lesdits clients, mais aussi par la diaspora. Toutefois, et malgré l’augmentation du nombre de vols entre les deux pays, la demande reste toujours forte et les dessertes demeurent insuffisant face à cet effet.
Mise en place de 15 vols supplémentairesSur ce, la compagnie aérienne française ASL Airlines annonce la mise en place de 15 vols supplémentaires de départ depuis Alger, et ce, afin de diminuer la pression sur ladite ligne.
Les vols en question sont opérés depuis le 15 octobre, et jusqu’au 14 novembre. Pour la ligne Alger – Lyon, ladite compagnie a programmé des dates pour les dessertes, à savoir le 15 octobre, 22 octobre, 29 octobre, 6 novembre, 7 novembre, 13 novembre et 14 novembre.
Pour les vols vers la capitale française Paris, la même compagnie a opté pour les dates suivantes : 30 octobre – 5 novembre – 6 novembre – 7 novembre – 12 novembre – 13 novembre – 14 novembre.
Ces vols supplémentaires sont ajoutés afin de renforcer le programme de vols réguliers mis en place depuis le 7 octobre. Ledit programme comprend la ligne Paris – Alger, avec des vols opérés cinq jours par semaine, à savoir le mardi, le jeudi, le vendredi, le samedi et le dimanche, avec des heures de départ depuis Paris CDG à 08 heures, pour arriver à 09 heures 20 à Alger, ainsi que pour le départ d’Alger à 10 heures 20 et l’arrivée à Paris CDG à 13 heures 40.
Concernant la ligne Lyon – Alger, des vols sont opérés que pour le jeudi, pour un départ de Lyon à 08 heures et l’arrivée à Alger à 08 heures 50, et le départ d’Alger à 16 heures 50 pour arriver à Lyon à 19 heures 40.
Quant à la ligne Lille – Alger, elle est programmée, tout comme la ligne précédente, tous les jeudis, avec un départ de Lille à 14 heures 20 et l’arrivée à Alger à 15 heures 50, et le départ d’Alger à 09 heures 50 pour arriver à Lille à 13 heures 20.
Par ailleurs, et en plus de ce programme de vols réguliers et de ces vols de retour supplémentaires, ASL Airlines France continue ses vols de retour depuis Bejaia et Annaba vers Paris.
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Alors que les relations entre l’Algérie et la France traversent une période de tensions, les deux chefs de la diplomatie des deux pays respectifs ont eu un bref échange en marge d’une réunion de pays membres de l’Union européenne et de l’Union africaine.
Dans une déclaration à l’Agence France presse (AFP), le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian déclare avoir eu « un bref échange de courtoisie » avec son homologue algérien Ramtane Lamamra.
« Je l’ai croisé, nous avons eu un échange de courtoisie », a-t-il déclaré. Cette rencontre inopinée a eu lieu hier mardi 26 octobre 2021, en marge d’une réunion de pays membres de l’Union européenne et de l’Union africaine à Kigali (Rwanda).
Pour ce qui est du contenu de leur brève discussion, les deux ministres des Affaires étrangères des deux pays ont échangé, selon la même source, sur le processus de transition en Libye, qui fera l’objet d’une conférence internationale le 12 novembre à Paris.
L’Algérie sera-t-elle présente à la conférence internationale sur la Libye à Paris ?Il convient de noter que les deux ministres s’étaient déjà rencontrés dans deux occasions, New York et à Tripoli, après les épisodes de tensions déclenchés entre les deux pays.
En effet, la première rencontre est intervenue en marge de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. Les deux chefs des diplomaties étaient également tous deux présents à Tripoli le 21 octobre pour la « Conférence de soutien à la stabilité de la Libye ».
Dans un contexte diplomatique tendu, les deux pays sont appelés à prendre part, dans quelques jours, à un événement d’envergure internationale. Il s’agit de la conférence internationale sur la Libye qui devra réunir pour la première fois l’ensemble des pays voisins le 12 novembre à Paris.
En revanche, il convient de noter que la présence de l’Algérie à cette conférence n’est pour l’heure pas confirmée.
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Les cours de l’euro et du dollar face à la monnaie nationale ont enregistré, ce mercredi 27 octobre, une légère baisse dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie. Sur le marché parallèle, la situation reste relativement stable.
Sur le marché officiel, les cotations commerciales d’ouverture du dinar pour la période du 26 au 28 octobre font état d’un euro contre 159,16 dinars à l’achat et 159,19 dinars à la vente. Dans les cotations d’hier, la même monnaie s’échangeait contre 159,63 dinars à l’achat et 159,61 dinars à la vente.
Selon le tableau de change mis à jour ce mercredi par la Banque d’Algérie, le dollar américain s’échange contre 137,08 à l’achat et 137,09 à la vente. L’on constate une légère baisse par rapport à hier ; 136, 86 dinars sur le cours de l’achat et 136,87.
Pour ce qui est de la livre sterling, un pound s’échange sur le marché officiel des devises contre 188,74 dinars à l’achat et 188,81 dinars à la vente. Le cours de cette monnaie n’a pas affiché grand changement par rapport aux cotations d’hier (188,61 dinars à l’achat et 188,71 dinars à la vente).
La situation sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle, l’euro enregistre également une légère baisse pour ce mercredi. Un euro s’échange, en effet, contre 212,50 dinars à l’achat et à 214,50 dinars à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, un dollar s’échange contre 183 DA à l’achat contre 186 DA à la vente. De son côté, la livre sterling n’a enregistré aucun changement majeur. L’unité de cette monnaie s’échange contre 240 DA à l’achat et 243 DA à la vente.
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De fortes précipitations affecteront, ce mercredi 27 octobre, plusieurs wilayas de l’est et du centre du pays, selon un bulletin météo émis par l’office national de la météorologie.
Selon la carte de vigilance de niveau jaune, les wilayas concernées par les pluies sont Sidi Belabbes, Laghouat, Bordj Bou Arreridj, Béni Abbès, Msila, Tiaret, Batna, Djelfa, Tlemcen, El Bayadh, Khenchela, Biskra, Saïda, Nâama et Béchar.
Les pluies annoncées pour cette journée dépasseront localement les 30 mm, selon la même source. La validité du bulletin s’étalera de 09 h 00 du matin de ce mercredi jusqu’à minuit de la même journée.
Les prévisions de ce mercredi sur les autres régionsDans ses prévisions pour cette même journée sur le centre et l’ouest du pays, Météo Algérie prévoit un temps souvent voilé a localement nuageux, parfois pré-orageux vers l’ouest et centre ouest.
Sur les hauts plateaux temps sera voilé à nuageux avec quelques pluies parfois sous forme d’averses orageuses, pourront être localement assez soutenues. Ces pluies gagneront localement les régions côtières durant l’après-midi, précise la même source.
À l’est du pays, le temps sera souvent voilé à localement nuageux, avec développement de quelques foyers orageux isolés sur les hauts plateaux et les Aurès à partir de l’après-midi engendrant quelques averses de pluie locales.
Sur les régions sahariennes, Météo Algérie prévoit un temps voilé à nuageux sur le bécharois avec quelques pluies parfois sous forme d’averses orageuses, gagnant le nord Sahara vers l’après-midi. Sur les autres régions sahariennes, le temps sera dégagé à partiellement voilé.
Pour ce qui est des températures maximales prévues ce mercredi, l’on note entre 21 et 24 degrés sur les régions côtières, entre 17 et 23 degrés sur les régions intérieures et de 20 et 39 degrés sur les régions sahariennes.
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Le projet de loi de finances (PLF) pour 2022 propose de rendre incessibles, à compter du 31 décembre 2022, les logements du secteur public locatif à caractère social financés sur concours définitif du budget de l’Etat.
En effet, le projet de loi vient modifier l’article 41 de la loi de Finances 2001 et abroge l’article 209 de la loi de finances 2002. Ce nouveau projet stipule que « les logements du secteur public locatif à caractère social financés sur concours définitif du budget de l’Etat sont incessibles à compter du 31 décembre 2022 ».
Un projet pour lutter contre la spéculation dans l’immobilierSelon l’exposé des motifs du projet de loi, cette modification vise à déployer un cadre nouveau à ce segment de logement public locatif à travers l’adoption d’un cadre juridique approprié et des incitations financières.
Le nouveau projet de loi vise également à lutter contre toutes spéculations dans le secteur immobilier, et ce, après cession des logements publics locatifs. « Il est proposé d’introduire la disposition rendant incessible le logement public locatif » à compter du 31 décembre de l’année prochaine », a précisé le même exposé
À noter que ce projet de loi est en cours d’étude et de débat au niveau de la commission des finances et du budget de l’assemblé populaire nationale (APN).
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Rendu public cette semaine, le dernier numéro du Journal Officiel (JO) dévoile les derniers changements opérés par le président Abdelmadjid Tebboune au sein d’El Mouradia.
En effet, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a opéré, ces dernières semaines, quelques changements au sein de la présidence de la république ; en procédant à quatre nouvelles nominations.
Selon un décret signé le 13 octobre, le président Tebboune a nommé Riadh Baghdadli, directeur d’études au département de la modernisation de l’économie, la diversification et la promotion de l’investissement. Il a également nommé Katia Naila Sahli, chargée d’études et de synthèse au département des affaires politiques et institutionnelles, juridiques et judiciaires.
Mohammed Belgacem, nouveau chargé d’études à la présidenceLe chef de l’État a procédé, selon un autre décret signé le même jour, à la nomination de Mohammed Belgacem au poste de chargé d’études et de synthèse à la Présidence de la République.
D’un autre côté, Amar Amrouche est nommé chef d’études à la direction des cortèges officiels et des transports à la direction générale des résidences officielles et des transports à la Présidence de la République. Le secret de la nomination de ce dernier a été signé le 7 octobre.
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Pour faire face à la chute des prix du pétrole en 2016, l’Algérie est entrée dans l’ère de « Takachouf » (austérité) ; en réduisant la facture de l’importation, mais aussi en menant une guerre contre les importateurs auteurs de surfacturation.
Aujourd’hui, mardi 26 octobre 2021, le premier responsable du secteur du commerce en Algérie s’est exprimé sur ce point ; en révélant quelques chiffres de cette « lutte ».
Lors d’une journée d’information organisée à Blida sur « le rôle des médias dans la promotion des exportations hors hydrocarbures » ; le ministre du Commerce Kamel Rezig a fait savoir que les services de son département ont recensé quelque 6000 importateurs fictifs.
Les précisions de RezigSelon le ministre, ces 6000 faux importateurs activaient avec des registres de commerce fictifs ou loués. « Ils ont été recensés grâce à l’opération d’assainissement initiée par le Gouvernement », a-t-il souligné.
« Lancées par le Gouvernement durant les années 2016, 2017 et 2018 ; les mesures d’assainissement de ce secteur d’activité, ont permis de réduire le nombre des importateurs, en passant de 45 000 à 15 000 (…) Ce chiffre va baisser encore pour être ramené à 9000 importateurs », a expliqué le ministre.
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Nul ne doute que le calme épidémiologique que l’Algérie traverse ces derniers jours est une bonne chose. Ceci dit, la population devient de plus en plus réticente à la vaccination, en témoignent les chiffres inquiétants dévoilés récemment par le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid.
La campagne vaccinale fait du surplace. Les chiffres officiels, même enjolivés, font craindre le pire. Seuls 1 % des étudiants sont vaccinés, pas plus de 20 % des travailleurs de la Santé ont reçu au moins leurs premières doses. En tout, le taux de vaccination au sein de la population algérienne ne dépasse pas les 10 % (chiffre oms).
Cette décrue ressemble au calme qui précède la tempête, semble indiquer le ministre de la Santé. Benbouzid a affiché maintes fois ses inquiétudes concernant le risque de la troisième vague, malgré les dispositions qu’il affirme que l’état a entrepris pour y faire face.
Aujourd’hui, une autre inquiétude est mise sur la table. Lors de sa rencontre avec le ministre de l’Enseignement supérieur, Benbouzid a évoqué le stock des vaccins anti-covid que l’Algérie a acquis. Selon le ministre, « on peut avoir un problème ».
Quel sort pour le stock vaccinal « non utilisé » ?« Je suis peiné de voir que le nombre des vaccinés en Algérie est minime comparé aux autres pays ». Le ministre s’interroge, « pourquoi ? Nous les Algériens nous avons une immunité spéciale ? Que reprochons-nous au vaccin que tout le monde s’administre ? ».
« Les centres de vaccination sont ouverts, estime Benbouzid, les vaccins sont disponibles ». Le ministre indique toutefois que « on aura un problème s’il n’y a pas de vaccination. Il est possible que les stocks de vaccins qu’on a acheté finissent non utilisés ».
L’Algérie dispose, pour rappel, de 13 millions de doses de vaccins contre le covid-19. En outre, le pays fabrique son propre vaccin Sinovac.
Benbouzid a notamment indiqué qu’il ne faut pas attendre une flambée pour aller se faire vacciner. Il s’agit selon lui d’une responsabilité morale.
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Depuis l’allègement des mesures préventives contre le coronavirus et suite à la décrue considérable du nombre des cas de contamination du COVID-19, beaucoup négligent les mesures préventives et oublient que le virus est encore présent. Raison pour laquelle les autorités algériennes notamment le secteur de la santé ont tenu à rappeler les mesures et en reconduire certaines afin de garantir la stabilité et la continuité de cette décrue.
En effet, l’Algérie a connu petit à petit un allègement qui s’est répandu vers plusieurs secteurs, le confinement partiel a été entièrement levé de tout le territoire national après plus de deux ans. C’est pour cela que les autorités algériennes appellent à maintenir certaines mesures préventives comme la distanciation, le port du masque et la vaccination.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a même évoqué le sujet de la troisième dose expliquant que « toute personne désirant recevoir une 3e dose et ayant reçu sa 2e dose après une période dépassant les six mois peut se rapprocher des centres de vaccination ».
Une vaccination à domicileL’hôpital Salim Zemirli à El-Harrach lance une initiative de vaccination à domicile ayant pour but de vacciner le maximum de citoyens pour atteindre l’objectif d’immunité collective et garantir un retour à la vie normale.
L’administration de l’hôpital Zemirli a lancé à un appel aux associations et aux collectifs de plusieurs communes à l’instar d’El-Harrach, Bir Khadem, Ain Naadja, Les Eucalyptus, Baraki et d’autres communes pour se serrer les coudes et réunir les efforts afin d’assurer une coordination des listes des habitants souhaitant se faire vacciner. Ces derniers pourront également appeler le 023 97 11 07. Le même communiqué a indiqué que les vaccins disponibles sont : Astra Zeneca, Sinovac et Jonhson & Johnson.
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Les féminicides, on entend souvent parler des crimes liés à ce phénomène, qui ne cesse d’enregistrer chaque moment de nouvelles victimes.
En effet, les femmes tuées par leurs proches, voire leur mari, leur cousin ou même leur frère, sont beaucoup plus nombreuses que celles égorgées par des personnes étrangères.
Cette fois-ci, c’était malheureusement le tour de Y Nadjet, une jeune femme tuée et brûlée sauvagement par six membres de sa famille.
Cette affaire, qui a fait l’objet d’une enquête au niveau du tribunal de Bab El Oued, remonte au 30 mars 2018, lorsque la mère de la victime est partie au domicile de son fils, laissant derrière elle sa fille Nadjet dans le domicile familial situé dans le quartier Bab El Oued à Alger.
Ce jour-là, la jeune victime a été poignardé avec un couteau au niveau du dos, par sa proche, la dénommée Zineb. Peu après, cinq autres membres de sa famille ont mis le feu dans sa chambre, provoquant ainsi la mort de Nadjet brûlée.
6 membres de la famille de la victime impliqués dans le meurtreCe mardi, le tribunal correctionnel de première instance de Dar El Beida a ajourné le procès de 6 membres d’une même famille habitant le quartier Bab El Oued, à Alger, dont deux sont en détention provisoire à la prison d’El-Harrach, pour leur implication dans le meurtre de leur proche, qui habite avec eux dans le même appartement.
Les investigations lancées par les services sécuritaires à l’époque ont conduit à l’arrestation de cinq membres de la famille de la victime, en plus de la principale accusée (Zineb).
Par ailleurs, les enquêtes ont également conduit à un ancien conflit entre les membres de la famille, en raison de l’appartement, vu qu’ils habitaient tous là-bas.
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Depuis un moment, une certaine haine contre les musulmans a refait surface alors qu’elle était moins présente dans les débats et la scène politique française, puisque le sujet de l’immigration a occupé la place. Or, force est de constater que les deux sujets sont étroitement liés notamment avec la fermeté que le gouvernement français leur confère.
En effet, les musulmans et l’islam ont toujours été un sujet clivant ainsi que l’immigration. Cette dernière a été récemment marquée par une réduction drastique. Le gouvernement français a décidé de réduire le nombre de visas accordés aux pays du Maghreb notamment l’Algérie de 50% une décision qui a pour le moins qu’on puisse dire, déplu aux autorités algériennes et a suscité de l’indignation et de l’incompréhension.
Le ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin avait publié sur son compte Twitter « j’ai réuni ce matin les préfets au ministère de l’intérieur pour leur donner les orientations du gouvernement concernant la mise en œuvre de la loi confortant les principes de la République et la lutte contre l’immigration illégale ».
Il s’agit également de surveiller davantage les étrangers qui figurent sur le Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). 1000 étrangers sont auteurs de troubles à l’ordre public, ces derniers seront soit expulsés soit privés des titres de séjour.
Les mosquées dans sa ligne de mireUne autre décision qui a eu le même effet, c’est la fermeture des associations islamiques et des mosquées. Lors de son point de presse, Darmanin a annoncé ce mardi matin la fermeture de la mosquée d’Allonnes au sud-est de la France pour une durée de six mois pour « pratique radicale de l’islam ».
Darmanin a ordonné les préfets de faire monter d’un cran les contrôles et à être intransigeants avec les associations en procédant à la fermeture d’écoles et lieux de culte en cas de soupçon d’opposition à la République. Il a également tenu à préciser que sur 2500 lieux de culte islamiques sur le territoire français, 92 sont soupçonnés pour séparatisme sont contrôlés dont 21 ont été fermés. Dans le même sillage, le ministre de l’intérieur français a annoncé que sept autres structures seraient dissoutes d’ici à la fin de l’année pour propagation des discours de haine et islamisme radical.
Pour rappel, 17 mosquées ont été fermées depuis 2017 ainsi que plusieurs associations islamiques.
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Les contaminations à la covid-19 demeurent sous la barre symbolique des 100 cas quotidiens en Algérie. Une bonne chose s’accordent à dire tous les citoyens, tandis que les spécialistes et les responsables du secteur de la santé s’inquiètent du faible taux de vaccination.
Aujourd’hui, le 26 octobre 2021, les services du ministère de la Santé indiquent que l’Algérie à enregistré 87 nouveaux cas de contamination à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 81 annoncés lors de la journée d’hier lundi.
Le même bilan déplore le décès de 5 nouveaux patients des suites de complication liées au coronavirus. Les chiffres font enfin état de 71 nouvelles guérisons et de 10 nouvelles admissions dans les services de soins intensifs.
Les dernières chiffes annoncés par le ministère de la Santé font que le total des contaminations à la covid-19 en Algérie grimpe à 205.990 cas, et ce, depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le pays a également annoncé, jusqu’à ce jour, le décès de 5899 patients à cause du virus.
Quatrième vague : les mises en garde de BenbouzidDepuis quelques jours, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, multiplie les sorties médiatiques afin de sensibiliser la population et l’encourager à aller se faire vacciner.
Aujourd’hui, le premier responsable du secteur de la santé et de la réforme hospitalière a déclaré qu’il ne faut pas « attendre la quatrième vague pour aller se faire vacciner ».
D’après le haut responsable, cette décrue est une occasion en or pour tourner la page de la pandémie. Sur le terrain toutefois, la déception est flagrante. Seul 1 % des étudiants, 20 % des travailleurs de la santé, et 10 % de la population sont vaccinés. Une aubaine pour le virus.
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L’international algérien et le milieu de terrain du club italien Milan AC ne cesse de briller sous le maillot des Fennecs, mais aussi de son club italien.
En effet, le jeune maestro de 23 ans continue toujours a prouvé qu’il est « un joueur référence au milieu de terrain », et ce, avec les Verts ainsi qu’avec ses coéquipiers de Milan.
Sur ce, et selon FootMercato, le jeune footballeur attire l’attention d’autres clubs européens, dont Manchester United et Manchester City. Ces derniers sont tous deux venus aux informations pour l’international algérien l’été dernier. Une situation menaçante qui incite le Milan AC à réagir dans les plus brefs délais afin de bien négocier une prolongation de contrat.
Bennacer fait figure de priorité pour une prolongation avec le Milan ACSa performance sur le terrain lui a bien permis d’être sous le feu des projecteurs et « faire du charme » à des clubs d’une grande réputation. Notant qu’au même titre que Théo Hernandez, l’Algérien fait figure de priorité pour une prolongation avec le Milan AC.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le chouchou du public milanais, mais aussi de ses coéquipiers avait également attiré l’attention de l’Atlético Madrid et de la Juventus.
» Le club espagnol Atletico Madrid et l’italien la Juventus surveillent de très près et s’intéressent aux services de l’international algérien. Et on s’attend à ce qu’ils fassent le pas et lui proposer une offre pour leur joindre l’été prochain « , a révélé le site espagnol Fichajes.
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L’onde de choc des dernières déclarations de Macron vient de retentir encore une fois au siège du journal El Moudjahid. Cette fois ci, et après la dernière sortie de l’ambassadeur de l’Algérie à Paris, c’est Dahou Ould Kablia qui s’est exprimé.
L’ancien ministre, lors de son intervention, a évoqué les dernières déclarations du président français Emmanuel Macron, qu’il n’a pas manqué de qualifier, maintes fois, de « provocatrices ». L’ancien du MALG s’est également penché sur le rapport de Stora, qu’il considère derrière le dérapage de Macron, mais aussi sur les tensions entre l’Algérie et le Maroc.
Macron, « un provocateur », estime Ould KabliaMacron a remis en cause, au début de ce mois d’octobre, l’existence de l’Algérie en tant que nation avant la colonisation française. Pour Dahou Ould Kablia, « il s’agit d’un véritable acte de provocation ».
L’ancien ministre sous les gouvernements de Sellal et de Ouyahia, estime que l’actuel président Français « est un homme politique, un homme qui a fait des études de droits et de sciences politiques à l’ENA ». De ce fait, il ne peut ignorer « le passé de l’Algérie », estime Ould Kablia.
L’ancien du MALG, précurseur des services secrets algériens, indique que Macron a « déja dit ce qu’aucun autre président français avant lui n’a osé dire ». Dahou Ould Kablia faisait allusion au célèbre aveu de Macron. « Le colonialisme est un crime entre l’humanité ».
Il est ,« inconcevable, déclare le ministre algérien, que Macron pense maintenant que les crimes du 17 octobre 1961, soient l’œuvre de Maurice Papon seulement ».
Pour l’ex-ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement sous l’ère Bouteflika, « cela veut tout dire ». Si Macron a déjà avoué, cela indique qu’il « est courant de la manière dont son armée (celle de la France colonialiste ndlr)… s’est comportée ». Dahou énumère ensuite les crimes, les généraux ainsi que les rois de la France colonialiste. Une histoire que Macron « ne pouvait ignorer », martèle-t-il.
« Macron a été influencé par le rapport Stora »« Maintenant, quant à dire que la nation algérienne n’existait pas, cela est je pense une provocation », accuse Ould Kablia, qui estime que Macron « a été influencé par le rapport de Benjamin Stora ». Un rapport que Dahou Ould Kablia, qui a adhéré au Ministère de l’Armement et des Liaisons générales (MALG), en 1956, dit « contester ».
En effet, Selon Dahou Ould Kablia, le rapport de Stora « occulte l’essentiel, il efface l’essentiel, il ne parle pas du fait colonial ».
Ould Kablia a notamment indiqué que « nous ne pouvons pas oublier ce qu’a commis la France colonialiste comme crimes en Algérie ». Pour lui, « avant qu’on présente des excuses aux algériens, il faut d’abord convaincre les Français que les Français eux même ont commis des crimes en Algérie ».
L’ex-ministre des collectivités locales a également indiqué que « les Algériens étaient plus civilisés que les soldats français », et que « les infrastructures laissées par la France visait à servir leur économie ». Les Algériens selon lui « ont été privés de leurs terres agricoles »
Le ministre, né à Oujda comme beaucoup d’anciens responsables algériens, n’a pas manqué aussi de critiquer le Makhzen. Pour lui, à cause du Maroc « l’entité sioniste est désormais à quelques mètres de l’Algérie ».
Selon Ould Kablia, cela est impardonnable. D’ailleurs il dit qu’il « n’imagine pas une solution au conflit dans un avenir proche soit-il ou bien loin suite à ce degré d’agressivité ».
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