Dernièrement, l’international algérien Andy Delort a suscité une grande polémique à cause de sa décision, portant sur mettre sa carrière internationale entre parenthèses pour une période d’une année, afin de se concentrer sur sa nouvelle carrière avec son club français OGC Nice, qu’il a rejoint le 28 août.
Cette décision n’a pas passé inaperçu, où le sélectionneur algérien Djamel Belmadi a refusé la proposition de Delort de revenir après une année de pause.
En outre, le joueur de Nice n’a pas eu entière satisfaction de la part de son nouvel entraineur, le Français Christophe Galtier. En effet, et selon le journal l’Équipe, Andy Delort a eu la pire évaluation (03/10) avec son club Niçois.
Hicham Boudaoui menacé à perdre son poste principalPar ailleurs, le coéquipier de Delort, Hicham Boudaoui, est « menacé » à perdre son poste principal avec son club de Nice, et ce, à partir du prochain tour de Ligue 1, prévu pour aujourd’hui.
Dans ce contexte, de nombreux médias français ont révélé que l’entraîneur Christophe Galtier n’était pas entièrement satisfait du jeune joueur, après la récente défaite contre ESTAC Troyes, lorsqu’il a partagé la pire évaluation avec son coéquipier Andy Delort, avec un score de 3/10 chacun.
En outre, le premier journal sportif de France (l’Équipe) avait décrit le natif de Béchar de « fantôme », pour faire allusion à qu’il sortirait, avec Delort, des comptes du staff technique du club, étant donné que Galtier n’était pas tout à fait satisfait de ce qu’il a vu de la part des nouvelles recrues.
Il convient également d’indiquer que Boudaoui n’est pas le seul responsable de sa performance décevante la semaine dernière, étant donné que le staff technique de son équipe a tenu à le pousser comme ailier gauche, un poste auquel il n’est pas complètement habitué.
L’article Après Delort, Nice veut maintenant lancer « l’affaire Boudaoui » est apparu en premier sur .
L’avant-projet de loi des finances pour l’exercice de l’année prochaine prévoit le même budget de l’année précédant pour l’Assemblée populaire nationale (APN). Ceci intervient malgré que le nombre actuel des députés est de 407 contre les 462 du mandat précédent.
En effet, le budget de la chambre basse du parlement prévu dans la loi des finances 2022, chapitre des charges communes, est d’ordre de 600 milliards de centimes, soit le même montant de la loi des finances de l’année en cours.
Cette somme est essentiellement destinée à couvrir les indemnités principales des députés, les autres allocations, les charges sociales et les salaires des employés des organismes. En plus des sommes destinées à couvrir les frais d’adhésion aux organisations régionales et internationales.
Tout porte à croire que le maintien du même budget alloué à l’APN est lié à la prise en charge des indemnités de fin de mandat accordées aux 462 membres de la précédant assemblée qui a été dissoute le 1er avril dernier.
Il convient de noter que l’administration de l’Assemblée précédente a laissé le dossier des indemnités de fin de mandat au bureau de l’actuelle Assemblée. Et il semble que le bureau ait approuvé l’indemnité prévue par la loi.
Même constat au Conseil de la nationEn outre, les membres du Conseil de la nation, dont la fin du mandat est prévue pour la fin de l’année prochaine, bénéficieront également de l’allocation de fin de mandat. Cette dernière équivaut à 12 mois de salaire (soit deux mois pour chaque année d’ancienneté) pour ceux qui ont terminé 6 ans et 6 mois pour ceux qui ont terminé la moitié de leur mandat.
Ainsi, le sénat recevra également en 2022 le même budget que l’année en cours, soit 298 milliards de centimes. 610 millions de centimes seront consacrés à l’équipement, tandis qu’une partie sera probablement destinée au financement de la chaîne TV parlementaire.
L’on note que le maintien des mêmes estimations de dépenses a été décidé en prévision d’une augmentation du nombre de ses membres dans le prochain mandat. En effet, il est prévu que le nombre de sénateurs augmentera d’environ 20 membres pour les wilayas nouvellement créées.
Il convient de noter ici que chaque wilaya dispose d’un quota de deux sièges au sénat, quelle que soit sa population, contrairement à l’APN qui tient compte de la population, à l’exception des wilayas du sud qui ne comptent pas grands nombres d’habitants.
L’article Loi des finances 2022 : les budgets alloués au parlement maintenus est apparu en premier sur .
L’ouverture partielle des frontières aériennes en Algérie rime avec la joie, le soulagement de la diaspora mais contre toute attente, cela rime aussi avec des scandales, des tentatives de recel et de vols cachées dans les avions. Cela a été le scénario ce matin avec Air Algérie.
En effet, selon nos confrères d’Ennahar, une hôtesse de l’air dans la compagnie aérienne nationale Air Algérie a trouvé des bijoux et une somme d’argent importante dissimulée. On parle plus précisément de 3 kg de bijoux en or et une somme d’argent qui s’élève à 96 000 euros.
Cette tentative a été échouée ce matin, avant le décollage de l’avion vers Dubaï grâce à l’hôtesse de l’air qui a par la suite alerté les responsables et leur avait remis les bijoux ainsi que la somme d’argent. A noter qu’une action judiciaire sera prise à ce sujet.
Les secrets illégaux que cachent les avionsEn effet, les avions visent à transporter des voyageurs, mais, ils portent souvent aussi des criminels qui se servent d’un voyage à des fins illégales. Récemment, cinq stewards algériens dont un binational (franco-algérien) travaillant à Air Algérie sont impliqués dans un réseau de recel de téléphones, bijoux et ordinateurs volés.
Une enquête a été ouverte et menée par la sûreté départementale d’Ille-et-Vilaine, cette dernière a révélé beaucoup de détails notamment l’origine de ces téléphones qui ont été volés en 2020 dans des villes françaises et acheminés vers l’Algérie.
Une opération dans laquelle les stewards algériens sont complices, un d’entre eux a été arrêté et quatre autres font l’objet de mandat d’arrêt. Ils encourent jusqu’à 15 ans de prison.
L’article Air Algérie : un véritable « trésor » découvert sur un vol Alger – Dubaï est apparu en premier sur .
Un mot revient souvent dans le rapport établi par l’USDA, le Département américain de l’Agriculture, à propos du marché de blé algérien. La sécheresse, qui n’est plus un risque, mais une réalité à laquelle il faut faire face en Algérie, pousse les plus grands fournisseurs de blé à revoir leurs cartes.
À l’instar de la Russie, qui a repris ses exportations de blé vers l’Algérie après cinq ans d’arrêt, voilà que les USA s’intéressent de très près au marché algérien, comme en témoigne un rapport détaillé, qui a été publié il y a exactement une semaine, rapportent nos confrères du Soir d’Algérie.
Sécheresse en Algérie, une aubaine pour les fournisseurs de bléLe rapport de l’USDA, s’est focalisé sur la sécheresse que traverse ces dernières années l’Algérie. Il souligne notamment que « en raison de pluies insuffisantes, la production algérienne de céréales pour la campagne 2021-2022 a diminué de 38 % ». Une baisse qui indique que « les importations devraient augmenter ».
Les USA, qui ne manquent pas de vouloir se repositionner sur le marché mondial de blé, savent, d’après le même rapport que « l’Algérie dépend principalement du blé en provenance d’Europe », ou « l’Allemagne est en train de se faire une place au détriment de la France ».
Le retour de la Russie n’est pas passé non plus inaperçu pour le radar des Américains. Le rapport de l’USDA affirme que « pour la première fois depuis cinq ans, après les modifications des spécificités qu’elle impose pour le blé à importer, l’Algérie a récemment acheté du blé de Russie ».
Le même rapport s’attarde sur les changements climatiques qui font que l’Algérie va avoir besoin de plus de quantité de blé en provenance de l’étranger. Il est également précisé que « une baisse de l’humidité du sol, en particulier dans la région ouest et les Hauts-Plateaux » a été enregistrée pendant la saison 2021/2022.
Les révélations du rapport de l’USDALes Américains révèlent, via le rapport de l’USDA, que la pandémie de la covid-19 e et la sécheresse ont poussé l’OAIC à « acheter du blé malgré une augmentation des prix sur les marchés internationaux ». Tout en soulignant le fait que « l’Algérie ne publie pas les résultats de ses appels d’offres », l’USDA indique que « 7,548 millions de tonnes ont été expédiées en Algérie durant l’année commerciale 2020-21 ».
Selon l’USDA, l’Algérie est désormais le plus gros client de l’Allemagne, qui a fini par remplacer la France. Le rapport explique que « l’Algérie était la plus grande destination hors UE pour le blé tendre français en août avec une première estimation de 335 000 tonnes » avant que des problèmes de qualité fassent qu’elle devient le plus gros client de l’Allemagne.
Pour conclure son rapport, l’USDA a tenu à indiquer que les Américains, eux aussi, fournissent du blé à l’Algérie, et que les exportateurs américains ne devraient pas s’inquiéter de l’entrée en jeu de la Russie. Selon l’USDA, « à moins que la Russie n’exporte du blé dur avec des prix compétitifs vers l’Algérie, les exportations de blé des États-Unis vers l’Algérie ne seraient pas affectées ». Le même rapport affirme aussi que « les États-Unis rivalisent avec le Canada sur le marché algérien du blé dur ».
L’article Blé : après l’UE et la Russie, les USA guettent le marché algérien est apparu en premier sur .
Plusieurs wilayas du nord du pays ont été en rendez-vous, durant la journée d’hier samedi, avec de fortes précipitations. À Alger, des quartiers entiers ont été inondés en seulement quelques heures.
En réaction à cette situation, les services de la wilaya d’Alger ont publié ce dimanche 24 octobre 2021 un communiqué afin de faire le point sur les quantités de pluie qui se sont abattues, notamment à Draria qui a enregistré un record.
D’emblée, les services de la wilaya d’Alger ont indiqué que les dernières pluies ont causé la disparition de trois personnes et plusieurs dégâts matériels, en plus des perturbations de la circulation sur plusieurs axes routiers de la capitale.
« La moyenne annuelle des précipitations enregistrées au niveau de la wilaya d’Alger est d’environ 600 mm, alors que le taux de précipitations au niveau de Draria hier était d’environ 20% de ce taux, en moins de 24 heures », lit-on dans le communiqué.
Selon la même source, les quantités de pluies enregistrées dans cette commune, estimées à environ 144 mm, constituent un record qui dépasse même celui enregistré à Bouzareah lors des inondations de Bab El Oued en 2001, qui était de 132 mm.
Dernier bilan des victimes : au moins un décès et un disparuDans un bilan des précipitations arrêté à 07 h 00 du matin de ce dimanche, la wilaya d’Alger a fait état de 144 mm à Draria, 126 mm à Ain Benian, 100 mm à Baba Hassan, 88 mm à El Kouba, 76 mm à Karoubier,
Il convient de rappeler que les dernières précipitations enregistrées du 23 au 24 octobre 2021 ont touché plusieurs wilayas, dont Alger, Boumerdes, Blida, Tizi Ouzou, Bejaia, Bouira, Sétif, Constantine, Mila, Tébessa, Oran, Relizane, Chlef et Tissemsilt.
Selon le dernier bilan de la protection civile, les agents ont pu repêcher le corps sans vie d’une femme, âgée de 58 ans, tandis que la recherche de la deuxième victime disparue se poursuit. Les deux victimes se trouvaient à bord d’un véhicule emporté par les eaux à Oued Saoula.
Les agents de la Protection civile ont également effectué 138 opérations d’absorption des eaux de pluie, pour certains logements et édifices publics et privés. 06 effondrements partiels de bâtisses vétustes ont été enregistrés, ainsi que des pertes matérielles, dont des voitures et des camions emportés par ces dernières pluies torrentielles.
L’article Pluies et inondations à Alger : la wilaya fait le point est apparu en premier sur .
Le président de la Fédération Burkinabé de Football (FBF), Lazare Banssé, a révélé récemment de lourdes critiques quant à l’Équipe nationale algérienne.
En effet, et avant le match de la sixième journée des qualifications pour la Coupe du Monde 2022 au Qatar, ledit président n’a pas hésité à critiquer les hommes de Belmadi ainsi que les terrains des stades algériens.
» L’Algérie gagne dans ses stades à cause d’un mauvais terrain. Cette équipe est moyenne quand elle joue dans d’autres stades, et vous avez vu quand on a joué contre elle, nous aurions pu gagner avec trois buts, si la chance était de notre côté « , a-t-il affirmé.
Dans le même sillage, le premier responsable de la FBF a poursuivi : » les stades algériens sont dangereux pour nos joueurs actifs dans les équipes internationales les plus fortes. Je promets à nos fans que nous allons les rendre heureux et pourquoi pas se qualifier pour l’événement mondial « .
Des déclarations qui soulèvent beaucoup d’interrogationsLes déclarations de Lazar Banssé soulèvent beaucoup d’interrogations, notamment que ce dernier se rend compte que l’équipe nationale algérienne n’est pas une équipe qui peut jouer sur un mauvais terrain, vu que la plupart de ses joueurs sont actifs dans de grands clubs européens, qui disposent d’excellents terrains.
Pour rappel, les Champions d’Afrique se déplaceront au Caire le 10 novembre prochain pour la confrontation face à Djibouti, avant de recevoir, le 14 novembre, le Burkina Faso, et ce, dans le cadre des deux dernières journées des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022.
L’article « C’est une équipe moyenne », le président de la FBF critique l’Algérie est apparu en premier sur .
Dans le cadre des compétitions de Ligue des Champions d’Afrique et la Coupe de la CAF, les représentants du football algérien, à savoir la JS Kabylie, l’ES Sétif et la CR Belouizdad, continuent leurs matchs avec détermination d’obtenir la victoire.
L’après-midi de ce dimanche, la CR Belouizdad, l’ES Sétif et la JS Kabylie renouent avec l’ambiance de la compétition africaine, dans les compétitions de Ligue des Champions d’Afrique et la Coupe de la CAF.
Sur le terrain du stade Omar Hamadi de Bologhine à Alger, la CR Belouizdad reçoit son homologue ivoirien ASEC Mimosas, pour le match retour de la tour préliminaire de la Ligue des Champions. Sachant que ces derniers ont perdu le match aller avec trois buts.
De son côté, le match du deuxième représentant de l’Algérie dans la même compétition, l’ES Sétif, n’est pas moins difficile que celui de la CR Belouizdad. Ce dernier est tenu de s’imposer face au Mauritanien Nouadhibou, vainqueur du match aller dans la capitale, Nouakchott, par trois buts à un.
Dans ce contexte, l’entraîneur de l’ES Sétif, Nabil Kouki, a expliqué que ses joueurs ont les capacités physiques et techniques pour revenir dans le résultat et se qualifier pour le tour suivant.
La JS Kabylie accueille l’AS FAR au stade « 1er novembre »Par ailleurs, la JS Kabylie accueillera l’AS FAR au stade « 1er novembre » de Tizi-Ouzou pour le match retour du 32e tour de la Coupe d’Afrique des Confédérations. Rappelant que les Canaris ont gagné le match aller avec un but.
Il convient également d’indiquer que Henri Stambouli, entraîneur des Canaris, a souligné lors d’une conférence de presse : » ce match est un piège par excellence, l’équipe adverse n’a rien à perdre, et elle mettra toutes ses forces à se battre quand on voudra garder le résultat. Nous avons parlé aux joueurs et ils savent très bien ce qu’ils ont à faire « .
L’article Afrique : 3 clubs algériens face à des matchs décisifs aujourd’hui est apparu en premier sur .
Le président Tebboune a présidé aujourd’hui la cérémonie d’ouverture de l’année judiciaire 2021/2022. L’activité a eu lieu au niveau de la cour suprême, aujourd’hui dimanche le 24 octobre. Lors de son discours, le chef de l’État a réitéré, encore une fois, sa volonté de réformer la machine judiciaire.
En effet, le chef de l’État a présidé aujourd’hui, à Alger, la cérémonie d’ouverture de l’année judiciaire 2021/2022. Le président Tebboune s’est notamment penché sur la place qui doit être accordée à la machine judiciaire en Algérie, et sur le role qu’elle devrait jouer lors des élections, mais aussi pour faire barrage au phénomène de corruption qui gangrène le pays.
Tebboune annonce la poursuite de sa feuilleLors de son discours d’ouverture, le président Tebboune a affirmé sa volonté de « redonner à l’autorité judiciaire la place privilégiée qu’elle mérite » sans oublier de rappeler ses promesses « devant Dieu et le peuple à réaliser ses demandes légitimes en apportant un changement global et réel ».
Le président, toujours à l’occasion de l’ouverture de la nouvelle année judiciaire, à indiqué qu’il s’agit d’une « lancée » qui « permettra au citoyen de vivre dans une Algérie nouvelle prospère, forte et fidèle aux principes de novembre ».
Le chef de l’État rappelé ses engagements qui s’inscrivent dans le cadre de la lutte contre la corruption. Il a notamment affirmé qu’il œuvre toujours à « laisser la place aux jeunes et à leur apporter un soutien afin qu’ils puissent participer à la prise de décision ».
Les prochaines élections prévues pour le 27 novembre prochain étaient au cœur du discours du président Tebboune. Ce dernier a indiqué qu’il a tenu à « empêcher les tenants de l’argent sale d’infiltrer le processus électoral ». Le chef de l’État a rappelé en dernier ses efforts à remettre la vie politique sur des bases « éthiques », en l’éloignant des manœuvres malhonnêtes des corrompus.
Pour conclure, le chef de l’État a indiqué que « après l’élection des conseils locaux, nous continuerons notre route en élisant les membres du Sénat et en installant la Cour constitutionnelle ainsi que le reste des institutions constitutionnelles après les avoir adaptées à la nouvelle constitution ».
L’article Lutte anti-corruption : Tebboune réitère ses 3 engagements est apparu en premier sur .
Nous connaissons tous la position de l’Europe au sujet des migrants clandestins notamment celle de la classe politique. Et malgré le fait d’être pour ou contre leur accueil, les européens ont su faire montre d’humanité quant à la manière dont ils traitent ils les, notamment les associations et collectifs. Des gestes louables qui n’étaient malheureusement pas ceux des bénévoles des Restos du cœur.
Les Restos du cœur est une association à but non-lucratif qui apporte de l’aide aux personnes démunies notamment dans le domaine alimentaire. Ce genre d’association ayant un but aussi noble agissent généralement sans tenir compte de l’origine, religion ou background des personnes. Cependant, ça n’a pas été le cas pour l’équipe de l’antenne de Fréjus (département du Var situé au sud-est de la France). Ces derniers ont refusé d’aider les migrants et les sans-papiers et ils ont démissionné.
« Les Restos n’opèrent aucune discrimination » est le premier article de la charte des bénévoles des Restos du cœur. Un principe à féliciter sur le papier et en théorie, néanmoins, nous ne pouvons l’applaudir cette fois-ci car il n’est pas conjugué dans la vraie vie.
Clivant un jour, clivant toujoursAlors que d’autres marchaient dans une manifestation à Lyon pour la régularisation des sans-papiers et pour leur droit à la citoyenneté, d’autres refusent de leur apporter de l’aide.
Ces derniers se sont exprimés pour se dédouaner de toute acte discriminatoire « nous avons toujours accueilli tout le monde sans aucune distinction, nous ne sommes pas racistes » a déclaré une des 15 bénévoles au cœur du scandale. Un autre bénévole explique que le caractère menaçant de certains bénéficiaires est à l’origine de leur refus et démission, affirmant qu’il fallait réagir avant qu’un bénévole soit blessé. Ils appuient leur décision de ne pas servir les harraga par le fait qu’un bénéficiaire doit présenter un titre d’identité chose qu’un sans-papier ne possède pas.
Il convient de noter que les sans-papiers ont reçus des colis de dépannage, « les Restos du cœur » cherche tout de même à former d’autres bénévoles afin de rattraper la situation.
L’article France : quand les « Restos du cœur » boycottent les Harraga est apparu en premier sur .
Le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra est revenu hier samedi, sur plusieurs points en lien avec les relations entre l’Algérie et la France, notamment les tensions les caractérisant ces dernières semaines.
Dans un entretien accordé au média russe RT Arabic, Lamamra a d’emblée réitéré que l’Algérie refuse toute ingérence dans ces affaires internes, mais aussi celles du Mali, notamment lorsqu’elle émane de « l’ancien colonisateur », en l’occurrence la France. Pour lui, « tout ce qui touche aux intérêts maliens touche également à ceux de l’Algérie ».
D’ailleurs, dans une réponse assez claire à la France, le chef de la diplomatie algérienne affirme « l’Algérie ne pratique pas la diplomatie du mégaphone ». Selon lui, elle « travaille sereinement et enregistre ses positions sereinement, par la voie diplomatique ».
En réponse aux rumeurs ayant circulé ces derniers jours sur le retour de l’Ambassadeur d’Algérie à Paris en France, Lamamra affirme que ces allégations sont infondées. « Il est toujours en Algérie pour des consultations », a-t-il assuré.
Fermeture de l’espace aérien et relations avec la Russie : Lamamra s’expliquePour ce qui est de la décision de l’Algérie de fermer son espace aérien aux avions militaires français, qui interviennent au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane, il précise qu’il s’agit « d’une décision souveraine, en réponse aux violences verbales des Français ».
Dans la même lancée, le ministre des Affaires étrangères a également abordé la question des relations avec la Russie, en les qualifiants d’historiques. Dans ce sillage, Lamamra affirme que ces relations sont « liées par un accord stratégique et basées sur la consultation et la concertation en ce qui concerne les questions africaines ».
En effet, le même responsable explique que la diplomatie algérienne est « en consultation constante et sérieuse, avec la diplomatie russe, sur les questions touchant aux intérêts de la Russie ».
Pour lui, l’élargissement de l’Algérie de son champ de concertation tout en convenant ses positions communes avec la Russie interviennent dans le cadre des mutations mondiales.
L’article Conflit au Mali, relations avec la Russie : Lamamra répond à la France est apparu en premier sur .
L’actuel ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Abderrachid Tebbi, a émis hier de sévères mises en garde contre des dérives qui pourraient, selon lui, « faire disparaitre des états ». Abderrachid Tebbi a été nommé en juillet dernier, en remplacement à Belkacem Zeghmati, nommé quant à lui ambassadeur de l’Algérie à Prague.
C’est lors d’un discours prononcé à l’occasion de sa rencontre avec les chefs des conseils judiciaires, des procureurs, ainsi que des cadres de l’administration centrale du ministère de la Justice, que le ministre s’est notamment s’est penché sur l’avenir de « la démocratie » en Algérie, et sur les chemins qui peuvent mener à sa réussite.
Abderachid Tebbi n’a pas manqué toutefois de mettre en garde contre les dangers du laxisme des institutions judiciaire, et les conséquences irréversibles qui pourraient y résulter. Le ministre de la Justice avait même agité le risque de la « disparition de l’état ».
« Pas de démocratie sans un état de droit »Le ministre de la Justice a affirmé, lors de son discours, que la présence d’un système judiciaire fort contribue à « renforcer la complémentarité des performances des diverses institutions et aide à atteindre les principaux objectifs d’une action nationale globale », rapporte le quotidien arabophone El Khabar.
Abderrachid Tebbi s’est également penché sur la question des libertés et de la démocratie en Algérie. Il estime qu’« il ne peut y avoir un succès pour la démocratie ou une consolidation de ses bases que sous un état de droit ». Il ajoute que « les libertés démocratiques … ne peuvent être ravivées et enracinées que sous l’ombre de la loi, qui les garantit et les nourrit ».
Pour conclure, le ministre agite les menaces qui pèsent sur l’Algérie au cas d’un laxisme des instances judiciaires. Il rappelle notamment « les déboires qu’ont connus plusieurs pays lorsqu’ils ont sous-estimé le pouvoir de leurs institutions et ont préféré faire confiance aux tenants des slogans rusés, qui ont déstabilisé les composantes de la société ». Une chose qui, ajoute le ministre de la Justice, « ouvre la voie pour, tôt ou tard, à la disparition de l’état ».
L’article Le ministre de la justice met en garde contre des «slogans malicieux» est apparu en premier sur .
En Algérie, plusieurs talents ainsi que de nombreux sportifs sont ignorés. Cette fois-ci, c’était le tour de la légende de la boxe algérienne, le boxeur Mustapha Moussa, de dénoncer cette ignorance.
En effet, ledit boxeur a préféré sortir de son silence, où il a révélé qu’il n’avait reçu aucune subvention financière à la suite de sa première médaille aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984, indiquant qu’il avait été privé pendant des années de son rêve d’ouvrir une salle de boxe, et ce, malgré les nombreuses promesses des responsables de l’époque qu’il a reçues.
En outre, le boxeur de 58 ans, s’est dit surpris de la campagne lancée contre lui depuis des années, comme en témoigne le fait qu’il n’a pas eu une seule fois dans sa vie l’honneur d’obtenir une invitation officielle pour accompagner les délégations algériennes lors des dernières sessions, malgré qu’il obtienne un titre historique en tant que premier athlète algérien à remporter une médaille de bronze aux Jeux Olympiques de 1984.
Cinq médailles d’Or entre 1982 et 1987Il convient également d’indiquer que Mustapha Moussa a remporté 5 médailles d’Or dans les différentes compétitions auxquelles il a participé de 1982 à 1987.
Pour la première médaille, il l’a obtenu au Championnat du monde militaire qui s’est déroulé dans la capitale en 1982. L’année qui a suivi, il a remporté une autre médaille d’Or à Casablanca. Par la suite, une nouvelle médaille d’Or était ajoutée à son score en 1985 au Maroc, puis une médaille d’Or au Championnat arabe de police en Irak en 1986.
Ce n’est pas tout, le boxeur a également eu un grand succès lors de sa participation aux Jeux Africains au Kenya en 1987. Cependant, il n’avait pas reçu de subvention financière depuis plus de 38 ans.
Le natif d’Oran a également fait part de sa tristesse, notamment que sa wilaya sera l’incubateur d’un grand événement sportif international, qu’il n’a pas réussi à y participer, au moins comme un invité d’honneur, et il est celui qui a fait les gloires du sport oranais dans des années 80.
L’article Mustapha Moussa, 1ère légende de la boxe algérienne rompt son silence est apparu en premier sur .
En Europe, la question des migrants clandestins demeure un sujet clivant. Face au flux migratoire ingérable et incontrôlable, certains pays du continent essayent de faire l’unanimité avec des mesures plus strictes. Récemment, beaucoup de pays européens ont mis sur la table la proposition d’une mesure drastique : la construction de barrières anti-migrants.
Pour tenter de lutter contre ce flux migratoire et contre l’émigration clandestine notamment venant des pays du Maghreb (1200 harraga algériens sont arrivés en seulement 72h), ces pays qui sont l’Autriche, la Bulgarie, Chypre, la République Tchèque, le Danemark, l’Estonie, la Grèce, la Hongrie, la Lituanie, la Lettonie, la Pologne et la Slovaquie ont chargé leurs ministres de l’intérieur d’adresser le 8 octobre à la Commission européenne une demande de financement pour construire les barrières anti-migrants.
Chose faite, la demande a bien était adressée. Pendant ce temps, beaucoup ont félicité cette proposition alors que d’autres la déploraient jugeant ça « d’inhumain ». Une autre proposition a été faite mais cette fois-ci de façon non-officielle. Il s’agissait d’une suggestion faite par le ministre de l’intérieur français Gérald Darmanin qui a félicité la Grèce pour les camps fermés pour migrants et par extension il souhaité faire de même au sud de l’Europe.
La réponse est NON!Cette demande jugée nécessaire pour le bien de tout le continent et non pas que les Etats membres a finalement été refusée. Les murs et les barbelés anti-migrants ne seront pas construits au sud de l’Europe pour empêcher le passage des migrants clandestins.
La réponse a été donnée le 22 octobre par la présidente de la Commission européenne Ursula Von Der Leyen qui a indiqué au sommet des 27 Etats membres de l’UE à Bruxelles « j’ai été très claire sur le fait qu’il y a une position commune de longue date de la Commission et du Parlement européen sur le fait qu’il n’y aura pas de financement de barbelés et de murs ».
Les pays européens ne resteront certainement pas les bras croisés face à ce refus, notamment vu l’émigration clandestine qui n’a eu de cesse de s’accroître, quelle sera donc la prochaine solution pour contrer le flux migratoire ?
L’article Barrières anti-harraga : la réponse surprenante de l’Union européenne est apparu en premier sur .
Les fortes chutes de pluie qui ont touché plusieurs wilayas du nord du pays n’ont pas passé sans encombre. À côté des dégâts matériels provoqués, plusieurs blessés et même un décès ont été recensés.
Après une nuit particulièrement agitée dans plusieurs quartiers de la capitale, les éléments de la protection civile ont repêché, ce dimanche matin, le corps sans vie d’une femme au niveau de l’Oued Saoula. À l’heure qu’il est, les recherches d’une autre éventuelle victime se poursuivent.
Selon la protection civile, le véhicule des deux victimes a été submergé par les eaux suite aux fortes inondations de la soirée d’hier samedi 23 octobre 2021. Des vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent l’ampleur de la catastrophe ; des dizaines de véhicules sont emportés par les flots.
Le premier bilan des interventions de la protection civileDans un premier bilan annoncé durant cette matinée, deux véhicules emportés par les eaux de l’oued en crue de Boudjemaa Temime entre les communes de Baba Hassen et Draria ont été repêchés par les éléments de la protection civile.
Selon le chargé de la communication à la Protection civile, le capitaine Nassim Bernaoui, plusieurs interventions ont été effectuées pour secourir les personnes bloquées dans leurs véhicules suite à la montée des eaux au niveau de certaines routes à Aïn Naadja et Kouba.
Outre ces interventions de sauvetage, des opérations de pompage des eaux infiltrées ont été effectuées dans plusieurs quartiers de la capitale, dont Haï El Badr (Kouba), Birkhadem, Draria et Baba Hassen.
L’article Inondations en Algérie : premier bilan de la protection civile est apparu en premier sur .
Les cours des principales monnaies internationales enregistrent des hausses considérables face au dinar. Le constat a été fait, en ce début de semaine, au niveau du marché parallèle des changes.
En effet, la monnaie européenne euro s’échange désormais contre plus de 214 dinars à l’achat et 212 dinars à la vente. Il s’agit, selon les observateurs, du taux de change le plus élevé depuis le début de la propagation de l’épidémie du coronavirus.
Du côté de la monnaie étasunienne, les cambistes font remarquer que le dollar commence à concurrencer la monnaie européenne sur le même marché. Pour la première fois, cette monnaie s’approche des 190 dinars à l’achat et 185 dinars à la vente.
Selon les cambistes, cette nette reprise sur le marché est due au fait que de nombreux Algériens, dont des touristes, des commerçants ou des patients, réservent des billets pour voyager dans différents pays du monde, que ce soit par voie aérienne ou maritime.
Les cotations officielles de la Banque d’AlgérieDans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, l’euro s’échange pour ce début de semaine, conte 159,38 dinars à l’achat et 159,43 dinars à la vente. Il s’agit ici des cotations commerciales d’ouverture du dinar algérien entre le 21 et 25 octobre 2021.
Pour la monnaie étasunienne, les cours sur le marché interbancaire des changes d’Alger font état d’un dollar contre 136,92 dinars à l’achat et 136,94 dinars à la vente.
En outre, le tableau de change de la banque d’Algérie indique que la livre sterling s’est également stabilisée sur le marché officiel. L’unité de cette monnaie s’échange contre 189,07 dinars à l’achat et 189,12 dinars à la vente.
L’article Taux de change : le cours du dinar ce dimanche 24 octobre est apparu en premier sur .
Les fortes chutes de pluies qui se sont abattues sur plusieurs wilayas durant la journée d’hier devront se poursuivre ce dimanche 24 octobre. Pas moins de 17 wilayas ont été placées en vigilance orange et jaune.
Selon la carte de vigilance publiée cette matinée de dimanche par Météo Algérie, 7 wilayas sont placées en vigilance orange pluie. Il s’agit de Tizi Ouzou, Béjaia, Jijel, Bouira, Sétif, Bordj Bou Arreridj et Mila.
Les autres wilayas, notamment de l’est du pays, placées en vigilance jaune sont : Skikda, Annaba, Taref, Constantine, Guelma, Souk Ahras, Oum El Bouaghi, Batna, Khenchela et Tébessa.
La validité du bulletin concernant les wilayas précédemment citées s’étalera jusqu’à la mi-journée de ce dimanche. Les quantités attendues sont estimées à 40 mm.
Dans une autre alerte, Météo Algérie a indiqué que les pluies devront se poursuivre jusqu’à demain lundi à 09 h 00. Les wilayas concernées sont : Souk Ahras, Tébessa, Guelma, Batna, Annaba, Constantine, Skikda, Khenchela et Taref. La validité du bulletin s’étalera de 08 h 00 du matin de ce dimanche jusqu’à 09 h 00 de demain lundi.
Inondations dans plusieurs wilayas du paysLes fortes chutes de pluies qui se sont abattues sur plusieurs wilayas durant la journée d’hier samedi, ont causé des inondations dans plusieurs wilayas du pays, notamment à Alger.
Selon la protection civile, plusieurs interventions ont été effectuées pour secourir les personnes bloquées dans leurs véhicules suite à la montée des eaux au niveau de plusieurs routes à Alger.
Ces interventions ont été effectuées notamment à Aïn Naadja et Kouba. D’autres opérations de pompage des eaux infiltrées ont été effectuées à Haï El Badr (Kouba), Birkhadem, Draria et Baba Hassen.
A Oran, la RN 11 a été coupée à la circulation à cause de la montée des eaux pluviales, suite à quoi 5 voitures ont été sauvées et 1 personne évacuée de sa voiture dans la commune de Bir El Djir.
Dans la wilaya de Chlef, les opérations de pompage des eaux de pluie se poursuivent à El Ketaibia à Ouled Fares ainsi qu’à Chettia, la commune de Mazouna à Relizane n’étant pas en reste.
L’article Alerte météo : la pluie se poursuit dans 17 wilayas est apparu en premier sur .
Récemment, une polémique s’est déclenché concernant un produit de consommation commercialisé en Algérie. Il s’agit de la sauce tomate (bolognaise) de marque “Barilla” dont tous les médias ainsi que les réseaux sociaux numériques ont parlé.
En effet, la raison derrière cette polémique réside dans la composition et les ingrédients que contient le produit en question. Il s’agit d’après l’Association algérienne de protection et orientation du consommateur et son environnement (APOCE) de morceaux de viande de porc.
Tout a commencé lorsque l’organisation présidée par Mustapha Zebdi a publié sur sa page Facebook un post dans lequel elle met en garde de façon urgente les consommateurs algériens contre cet aliment importé de l’étranger. La publication Facebook était accompagné de l’image du produit, avec un zoom sur la liste des ingrédients.
Notons que la sauce tomate (bolognaise) de marque “Barilla” est produite par l’entreprise agro-alimentaire italienne spécialisée dans la fabrication de pâtes, de sauces et de biscuits.
« Une atteinte aux sentiments du consommateur musulman » (APOCE)La sauce bolognaise “Barilla” qui contient de la viande de porc est en effet, présente sur le marché algérien. Ce qui est considéré, selon l’APOCE comme étant un préjudice moral et une atteinte aux intérêts des consommateurs et acteurs algériens.
L’association présidée par Mustapha Zebdi n’a pas manqué de pointer du doigt l’opérateur qui s’est contenté d’importer sans prendre la peine de lire la composition des produits commercialisés en Algérie.
C’est ce que l’APOCE a qualifié d’atteinte aux sentiments du consommateur musulman. Selon la même source, les services du contrôle qualité des produits alimentaires interviendront pour mettre fin à ce « préjudice moral ».
L’article Apoce : de la viande de porc dans une sauce commercialisée en Algérie est apparu en premier sur .
En seulement quelques heures de précipitations, plusieurs rues et quartiers entiers d’Alger et dans d’autres wilayas ont été inondés. Selon les prévisions de météo Algérie, les pluies devront continuer à s’abattre sur plusieurs régions durant cette nuit.
Au niveau de la capitale, plusieurs axes routiers et quartiers ont été inondés. La circulation automobile a été fortement perturbée dans plusieurs tronçons autoroutiers, notamment au niveau de la rocade nord.
Les fortes quantités de pluies enregistrées en quelques heures ont causé le blocage de la ligne de tramway à Ruisseau. Les inondations ont également causé quelques dégâts matériels ; deux véhicules ont été emportés par les eaux à Draria à l’ouest d’Alger.
Les éléments de la protection civile sont parvenus à repêcher les deux véhicules emportés suite au débordement l’Oued Boudjemâa Temim entre les communes de Baba Hssen et Draria.
Des vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent des scènes de détresse de citoyens piégés dans les eaux, notamment dans les quartiers de Baba Hassan, Saoula et Bir Khadem. À l’heure actuelle, plusieurs localités et routes à Alger, notamment à Gué de Constantine, Ben Aknoun, Ain Naadja, Oued Ouchayeh … sont toujours bloquées.
Plusieurs wilayas touchées par les inondationsÀ Oran, la route nationale N° 11 située dans la commune de Hassi Mafsoukh a été complètement coupée à la circulation. Les agents de la protection civile se sont intervenus afin de dégager cet axe routier.
Dans la wilaya de Relizane, la commune de Mazouna a été la plus touchée. Des agents de la protection civile se sont intervenus dans divers endroits afin d’évacuer les eaux des pluies qui se sont abattues en cette fin de journée.
Des vidéos et des photos publiées sur les réseaux sociaux ont montré les fortes pluies qui se sont abattues en cet après-midi dans plusieurs wilayas et qui ont inondé plusieurs quartiers et axes routiers en raison du blocage des réseaux d’évacuation des eaux de pluie.
Les précipitations se poursuivent jusqu’à demain dans plusieurs wilayasIl convient de noter que plusieurs wilayas ayant été touchées par les dernières précipitations ont connu de tels incidents. Selon météo Algérie, les pluies devront continuer à affecter plusieurs régions du nord du pays.
Les wilayas concernées par cette perturbation sont Tipasa, Alger, Blida, Boumerdes, Ain Defla, Médéa et M’Sila. Les quantités estimées de pluie attendues se situent entre 15 et 25 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 30 mm durant la validité du BMS qui court de 15 h 00 à 23 h 00.
Sont également concernées les wilayas de Tizi-Ouzou, Bouira, Bejaia, Jijel, Bordj Bou Arreridj, Sétif et Mila, où les quantités de pluie attendues se situent entre 20 et 30 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 40 mm, et ce, de samedi à 15 h 00 à dimanche à 09 h 00.
L’article Inondations massives à Alger et dans plusieurs wilayas est apparu en premier sur .
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé ce samedi 23 octobre, à l’occasion de la Journée nationale de la presse. Tout en félicitant la corporation des journalistes, le chef de l’État n’a pas manqué de mettre l’accent sur la puissance de l’information comme outil de domination et de soft power.
Les théoriciens disaient toutefois « ceux qui détiennent l’information, détiennent le pouvoir ». Actuellement et avec le développement numérique, les technologies d’information et de communication sont devenues une arme entre les mains des puissances mondiales. C’est ce qu’ont appelé autrement les guerres de la quatrième génération.
Dans ce contexte, le chef de l’État a réitéré la nécessité de multiplier les efforts, et ce, dans l’objectif d’acquérir les outils de contrôle et les méthodes et connaissances nécessaires à la lutte contre les guerres de quatrième génération qui ciblent l’Algérie.
Tebboune met en garde contre les 4G4« Des guerres s’inscrivant dans le cadre de plans aux facettes multiples s’attaquant à l’existence de notre pays, voire à son identité séculaire à travers des complots savamment orchestrés pour saper le décollage de l’Algérie nouvelle, déterminée à recouvrer son rôle pionnier à l’échelle régionale et la place qui lui sied dans les foras internationaux », estime le chef de l’État dans un message destiné aux hommes et femmes de la presse.
« La patrie des chouhada est prise pour cible par de nombreuses parties conspiratrices qui recourent à des méthodes d’espionnage et de guerre cybernétique intensifiées, s’employant à porter préjudice à l’histoire et à la mémoire de la nation… », ajoute le président de la république
Avant de conclure, il convient de préciser que la 4ᵉ génération de guerre ou le G4G est un concept apparu durant les années 90 aux États Unies dans un contexte marqué par une guerre médiatique et idéologique en constante évolution. À cette époque, les théoriciens américains ont compris que l’époque des guerres menées avec des armes est révolue.
Après la chute de l’ex-URSS et la révolution d’information, les méthodes de guerres ont changé. Il s’agit de la fore douce ou le soft power dont l’arme n’est que l’information ou plutôt les technologies d’information
L’article « Guerres de quatrième génération » : les mises en garde de Tebboune est apparu en premier sur .
Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux Abderrachid Tabi a présenté ce samedi 23 octobre 2021, lors de la réunion du gouvernement, un exposé relatif au projet de loi portant sur l’amendement du Code pénal.
Lors de la réunion du gouvernement tenue ce samedi sous la présidence du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, plusieurs secteurs ont été abordés. Il s’agit, entre autres, du secteur de la Justice et des Travaux publics.
Selon le communiqué des services du premier ministère ayant sanctionné cette réunion, le Gouvernement a entendu un exposé présenté par le ministre de la Justice à l’Avant-projet de loi modifiant et complétant l’Ordonnance n 66-156 du 08/06/1966 portant Code pénal.
Selon la même source, « cet Avant-projet de loi s’inscrit dans le cadre de la réforme de la législation pénale ». Il vise « à renforcer la lutte contre la criminalité et à préserver la sécurité et la tranquillité du citoyen et le fonctionnement des services publics ».
Le projet de loi portant le Code pénal, présenté ce samedi devant les membres du gouvernement, prévoit « de nouvelles formes de criminalité et en aggravant les peines actuellement applicables », ajoute encore la même source. Il sera examiné lors d’un prochain Conseil des ministres.
Nouvelles mesures dans le cadre de la zone de libre-échange « ZLECAF »Lors de la même réunion, « le Gouvernement a entendu une communication présentée par le ministre du Commerce sur les offres tarifaires et initiales de l’Algérie en matière de commerce de marchandises et de services dans le cadre de la zone de libre-échange continentale africaine « ZLECAF » ».
Selon le communiqué de la réunion du gouvernement, « l’exposé a porté sur certaines mesures entreprises par notre pays au titre de ce mécanisme africain auquel l’Algérie a adhéré ».
Ces mesures visent « l’instauration d’une coopération fructueuse dans les domaines commercial et douanier ainsi que la mise en œuvre des dispositions de facilitation des échanges commerciaux entre les pays du continent africain », précise la même source.
L’article Le gouvernement se penche sur l’amendement du Code Pénal est apparu en premier sur .