2 œufs, 1/2 petit verre à thé d’huile, 50 g de sucre en poudre, zeste d’un citron, 1 sachet de sucre vanillé, 1 sachet de levure pâtissière, la farine selon le mélange Sirop: 500 g de sucre en poudre, le jus d’1/2 citron
Le sirop : Mettre dans une casserole le sucre, le jus de citron et couvrir d’eau, laisser cuire sur feu doux et vérifier la cuisson en posant une goutte sur une assiette ; la goutte ne doit pas s’étaler.
La pâte : Battre les œufs et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux, ajouter l’huile et le sucre vanillé, la levure, travailler énergiquement ce mélange, ajouter la farine tamisée peu à peu en travaillant sans cesse jusqu’à obtention d’une pâte homogène et souple.
Etaler la pâte au rouleau sur une épaisseur d’1 cm sur un plan de travail fariné. Découper la pâte en rondelles à l’aide d’un emporte-pièce rond,puis trouer ces rondelles à l’aide d’un autre emporte-pièce qui a la forme d’un dé à coudre.
Faire frire les beignets dans un bain d’huile chaud jusqu’à ce qu’ils soient dorés, les tremper dans le sirop chaud. Servir aussitôt.
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La population de la localité Ghraza dans la commune de Oulhaça a été secouée avant-hier par la nouvelle de la mort atroce d’une dame âgée de 44 ans, tuée par son propre frère qui est âgé de 54 ans et père de 4 enfants.
Le mis en cause a asséné trois coups de couteau à la poitrine de sa sœur. Le mobile du crime, selon les voisins, est un problème d’héritage : la sœur s’est absentée du domicile parental et dès son retour elle s’est retrouvée sans domicile fixe.
Le corps de la défunte a été déposé au niveau de la morgue de l’hôpital de Béni-Saf.
Une enquête d’usage a été ouverte par les services de sécurité territorialement compétents.
S. B.
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Constitution du Bénin : une révision impossible ? Tel est le thème de l'entretien avec le député Nassirou Bako Arifari, l'un des porteurs du projet d'amendement de la loi fondamentale. Invité sur l'émission Zone Franche de ce dimanche 8 juillet 2018, l'honorable Bako Arifari s'est prononcé sur plusieurs sujets d'actualité dont le vote de l'Amendement de la constitution.
« On ne prend pas cette responsabilité sans mesurer tous les risques. Nous avons pris la mesure des propositions et nous avons analysé pour voir si elles rencontrent l'intérêt de la population » a déclaré l'honorable Nassirou Bako Arifari. Selon lui, « par rapport au 4 avril 2017, c'était un projet gouvernemental alors ici c'est une initiative parlementaire. Et là il y a une avancée ». Il soutient que c'est un atout pour le gouvernement d'avoir une majorité au parlement. « Lorsqu'un gouvernement a une majorité à l'Assemblée cela favorise le vote de ses lois. Cela aide aussi à porter les lois pour aider le gouvernement à avancer dans ses réformes », affirme-t-il. Le député estime que sur la question de la représentativité des femmes à l'Assemblée, « il y avait les années passées des initiatives pour aider à augmenter le nombre de femmes au parlement. Il y a eu plusieurs propositions de lois sur le parité mais rejetées par les députés ». Mais ajoute-t-il, « On se retrouve dans certaines situations surtout lorsque le Bénin participe à des rencontres internationales. Il arrive parfois que la délégation soit renvoyée, ou peut-être le Bénin est lésé à cause soit l'absence de femmes ou leur faible représentativité dans la délégation ». Aussi, explique-t-il qu'à l'internationale « il y a le protocole de Maputo qui prévoit de prendre des dispositions pour assurer la représentativité des femmes dans les instances politiques ». C'est au vue de ces réflexions dira-t-il « que nous avons réfléchi à la proposition››. Pour la proposition d'amendement relative à la peine de mort, « nous avons signé plusieurs protocoles et le code pénal a pris cela en compte. Et pour éviter qu'il y ait un délit un jour, il faut constitutionnaliser », précise-t-il. C'est pour préserver un retour en arrière que « nous avons voulu constitutionnaliser », assuré M. Bako.
Par rapport à la Cour des comptes, « il y a une disposition qui impose dans l'espace UEMOA la création de cette Cour et c'est le Bénin seul qui n'est pas en règle », fait remarquer le député. Il explique l'importance de cette institution par le fait que « lorsqu'on aura une Cour des comptes, c'est les juges qui procéderont systématiquement à la vérification des fonds gérés dans toutes les administrations. Là, s'il y a mauvaise gestion, il ne faut pas attendre les audits pour sanctionner. Ce sera systématique ». A en croire Bako Arifari, par rapport à la proposition relative au regroupement des élections, « Il y a deux ans, le ministre Komi Koutché avait déclaré que les élections législatives, municipales et présidentielle ont couté 57 milliards FCFA à la nation ». Pour lui, les dernières législatives ont couté environ 8 milliards FCFA et pour les municipales, environ 9 milliards FCFA et la présidentielle a couté 9 milliards FCFA. « On dépense au moins 10 milliards FCFA par élections », déplore-t-il. Il ajoute que « sur les dix prochaines années, il y aura élections presque chaque année. Cela pose un problème pour notre pays et nous avons pensé qu'il faut passer à un regroupement. Ainsi, tous les cinq ans, on fait les élections groupées ». Et pour cela, confie le député, « il y a un mandat qui évolue en solo et c'est la législative et il faut l'harmoniser pour arriver à cinq ans ». Le député estime que pour réussir l'harmonisation, il faut prendre des mesures. « On a donc proposé des dispositions transitoires pour y arriver. On fait une élection en 2019 pour 7 ans », affirme-t-il. Il confirme par ailleurs que « l'une des grandes motivations ayant poussé vers les amendements, c'est la participation des femmes en plus la Cour des comptes. Les autres sont des mises en conformité ».
Le détour
Tout semble clair avant que les députés ne s'engagent dans le processus. Selon le député Nassirou Bako Arifari, « dans les débats parlementaires, la minorité reconnaît la pertinence des propositions. Ils ont estimé qu'il y peut y avoir anguille sous roche. Ils ont proposé qu'on attende encore ». Il ajoute par ailleurs que « nous ne pouvons pas leur dénier ce doute. La démocratie c'est une question de majorité et de minorité ». L'ancien ministre des Affaires étrangères de Boni Yayi explique que « pour le premier vote, nous avons eu les ¾. Il s'agit d'une très grande victoire. L'article 157 de la constitution prévoit que lorsque les ¾ sont acquis, il y a deux procédures. Soit on s'arrête là et on demande au chef de l'Etat puisque c'est lui qui peut avoir l'initiative de référendum de consulter le peuple. Nous avons poursuivi pour avoir les 4/5 mais nous ne l'avons pas. Il s'agit maintenant de donner l'opportunité au chef de l'Etat d'avancer ou de laisser ». Selon lui, le Bloc de la majorité parlementaire a toujours collaboré avec la minorité. « Chaque fois que nous proposons une loi nous envoyons après examen à la minorité. Nous l'avons fait plusieurs fois. Sur des questions d'intérêt national, il n'y a pas une affaire de majorité ni de minorité », déclare-t-il. Il dit être surpris de n'avoir pas été accompagné par leurs collègues de la minorité parce qu'ils craignent ce qu'il y a derrière. Il dit n'avoir pas de garantie pour celui qui, sur la base des suspicions, ne semble pas rassuré des arguments qui sous-tendent les propositions. Aussi, soutient-il que « nous ne pouvons pas parlé des élections groupées dans le code électoral, nous ne pouvons pas augmenter le nombre des 24 femmes sans la constitutionnalisation ».
La suite de la procédure
« Notre proposition au chef de l'Etat est qu'il aille au référendum. Lorsque le chef de l'Etat prendra les propositions, il peut décider qu'on y aille ou qu'on attende d'abord », estime-t-il. Pour lui, « nous n'étions pas dupe en engageant le deuxième vote. Nous avons voulu aussi confirmer les trois quarts. Et nous l'avons eu. C'était un test de confirmation et de renforcement des liens au sein du BMP ». Maintenant, le député pense que « si on va devant le peuple et il approuve par un « OUI » massif, le peuple aurait confirmé notre proposition. Mais si le peuple refuse par un « NON », c'est encore un message fort lancé aux politiques de la majorité ». Néanmoins, Nassirou Bako Arifari martèle, « nous allons nous engager correctement pour le référendum ». Puisque, « lorsqu'il y a la volonté d'avancer, il n'y a aucun obstacle ». Au regard des dispositions réglementaires existant, ne favorisant pas un référendum de si tôt, il pense que « si le chef de l'Etat prend la décision d'organiser les élections, il reviendra à l'Assemblée en son temps, de faire le débat et on appréciera les implications pour voir dans quelle mesure répondre aux attentes du peuple ». A l'en croire, « lorsqu'on s'engage en politique, on est prêt à prendre aussi des risques. Si le chef de l'Etat est convaincu de la proposition et de son importance pour le peuple, il n'est pas question de ne pas prendre des risques ». Il rappelle par ailleurs que, « Ce n'est pas de manière délibérée que nous nous sommes engagés dans ces amendements. C'est au regard de revoir le quota des femmes dans le code électoral. Et c'est parce que nous sommes confrontés à cette situation qu'on a pris l'option des amendements ». L'honorable Nassirou Bako Arifari estime que « c'est une chance pour notre démocratie d'aller au référendum et que le peuple nous accompagne de nouveau ».
G. A.
Un détachement de l’Armée Nationale Populaire près la wilaya de Mostaganem a procédé à l’arrestation d’un élément de soutien aux groupes terroristes, affirme un communiqué du ministère de la Défense Nationale.
«Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a arrêté, le 08 juillet 2018, un élément de soutien aux groupes terroristes à Mostaganem, tandis qu’un autre détachement de l’ANP a découvert et détruit, lors d’une opération de fouille et de ratissage menée à Médéa, une mine de confection artisanale »,ajoute le communiqué.
Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements combinés de l’Armée Nationale Populaire ont intercepté, lors d’opérations distinctes, à Djelfa, Tlemcen et Tamanrasset, trois narcotrafiquants et saisi 13.8 kilogrammes de kif traité, 148 comprimés psychotropes, trois détecteurs de métaux, un groupe électrogène et un marteau piqueur, tandis que quatre contrebandiers ont été arrêtés à Tiaret et Biskra, et 9189 unités de différentes boissons et 855 kilogrammes de tabacs y ont été saisis.
Par ailleurs, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a arrêté, à Biskra, quatre individus en possession d’un fusil de confection artisanale, alors que des Garde-frontières ont intercepté dix immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen.
Rachel Hamdi.
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Un mémorandum d’entente a été signé, hier, entre la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (Caci) et la Confédération indienne de l’industrie (CII) d’inde à Alger. L’objectif : donner un nouvel essor au partenariat économique entre les deux pays.
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – Selon les initiateurs de cette dynamique économique, «ce document permettra de développer la coopération et le partenariat avec ce pays émergent (Inde) dans plusieurs domaines stratégiques». Selon le représentant de la Caci, M. Maâmar Djellal Seraudi, les secteurs de l’agriculture, de l’industrie pharmaceutique, des TIC et de l’aéronautique sont les plus concernés par ce mémorandum.
Par ailleurs, il a relevé qu’en matière d’échanges commerciaux, le volume est relativement faible avec 1,8 milliard de dollars en 2017 et un excédent favorable à la partie indienne. Dans ce sens, il a considéré que de telles rencontres représentaient une opportunité pour booster les échanges et les hisser au niveau des attentes des deux parties : «D’ailleurs, nous avons discuté sur la possibilité d’exporter des produits agricoles algériens vers ce pays.»
Lors de cette rencontre d’affaires, M. Djellal a présenté aux hommes d’affaires indiens le climat des affaires en Algérie et les opportunités d’investissement en mettant en avant la situation sécuritaire «stable» de l’Algérie ainsi que sa situation géographique qui ouvre aux investisseurs les portes des marchés africain et européen.
Pour sa part, le directeur général pour la promotion de l’investissement au ministère de l’Industrie et des mines, Nacer Mohellbi, a assuré aux opérateurs indiens que l’Algérie offrait des opportunités importantes en matière d’investissements. Il a, ainsi, évoqué des projets de partenariat avec des sociétés indiennes dans les secteurs de la pharmacie, de l’acier et du ciment.
De son côté, le vice-président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Mehdi Bendimerad, a observé qu’il y avait une forte complémentarité entre les deux économies, d’où l’intérêt d’intensifier leur partenariat en citant, entre autres, les énergies renouvelables dont l’Inde est parmi les pays à l’avant-garde, et le secteur agricole «qui se trouve au cœur de la stratégie de la diversification de l’économie algérienne et qui pourrait constituer un créneau porteur pour les deux parties».
Pour sa part, le représentant du FCE a indiqué, lors de son intervention, que «l’Algérie et l’Inde sont de grands acteurs sur le marché mondial, l’un en tant que producteur et exportateur d’hydrocarbures et l’autre comme consommateur mais aussi innovateur notamment dans la production d’énergies renouvelables». Et d’ajouter : «Votre pays a réussi à couvrir plus de 25% de sa consommation d’énergie primaire par les énergies renouvelables. L’Algérie a amorcé depuis quelques années sa transformation énergétique et a lancé un programme ambitieux pour augmenter l’utilisation des énergies renouvelables. L’approche du project-matching pourrait être très bénéfique pour nos entreprises dans ce domaine précis.»
Présent à cette rencontre, le président de la Confédération indienne de l’industrie, M. S. Swaminathan, qui a conduit la délégation indienne, a présenté succinctement l’expérience de son pays dans la conduite des réformes économiques opérées par le gouvernement indien. «Ces réformes ont permis à l’Inde de se positionner parmi les premières économies à l’échelle mondiale», a fait valoir le président de cette confédération indienne laquelle regroupe 9 000 membres des secteurs public et privé activant dans les domaines de la technologie, des finances, des hydrocarbures, de l’acier et de l’industrie pharmaceutique.
A. B.
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Hier, le Conseil national de l’Ordre des architectes a organisé une cérémonie de prestation de serment au profit des nombreux membres. Cette cérémonie s’est déroulée au Centre international des conférences (CIC).
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Qualifiée pour les demi-finales de la Coupe du monde, la génération Modric-Rakitic rejoint celle de Prosinecki-Suker au firmament du football croate. Vingt après, elle espère battre l’Angleterre et s’approcher plus encore du soleil.
Cette fois, le pays hôte ne leur a pas barré la route. L’équipe de Miroslav Blazevic avait calé en demi-finales contre la France (2-1), après avoir corrigé l’Allemagne (3-0). Celle du sélectionneur Zlatko Dalic a vaincu la Russie (1-1, 2-2 a.p., 4-3 t.a.b.). Les comparaisons fleurissent au pays sur les deux équipes, à vingt ans d’intervalle. «Nous avons une très belle équipe, comme toujours», assurait à l’AFP l’ex-international Alen Boksic avant le début du tournoi. L’attaquant de l’Olympique de Marseille, champion d’Europe en 1993, avait manqué le Mondial français sur blessure, laissant le champ libre à Davor Suker, meilleur buteur de la compétition (6 buts). Boksic mettait en avant «un milieu de terrain fantastique, avec en particulier Modric, un joueur fabuleux, le meilleur joueur croate de tous les temps». Il redoutait, par rapport à la génération 1998, «peut-être un banc pas assez long ni assez profond par rapport aux autres grandes équipes: nous avons 13, 14 joueurs, pas 20».
«On a montré du caractère»
En effet l’équipe 2018 n’a pas beaucoup tourné, mais ses cadres, Luka Modric bien sûr, mais aussi Ivan Rakitic ou Mario Mandzukic, ont assuré, footballistiquement et mentalement. «Encore du drame pour nous! a lâché le patron, Modric, après le quart de finale. On n’a pas bien joué en première période, on n’a pas contrôlé le match comme on le souhaitait. Mais on a encore montré du caractère». En effet ! La Croatie est la deuxième équipe à passer deux tours d’affilée en Coupe du monde aux tirs au but, après l’Argentine de Diego Maradona en 1990 (Yougoslavie en quarts puis Italie en demies). Grâce notamment aux miracles du gardien de Monaco Danijel Subasic, la Croatie a échappé au laminoir à favoris, de premier (Allemagne, Espagne, Brésil) et second rangs (Portugal, Argentine). «Toutes les équipes qui jouent bien, l’Espagne, le Portugal, l’Argentine (sic), sont rentrées à la maison. Il ne reste que les équipes disciplinées, mûres, responsables», a disséqué Dalic sur le site croate TCN. La Croatie avait fort mal débuté le tournoi sur le plan de la responsabilité, quand l’attaquant Nikola Kalinic avait été exclu par Dalic avant le choc contre l’Argentine (gagné 3-0) car il n’acceptait pas son statut de remplaçant.
«L’ambiance est fantastique»
«C’est la tâche sur ma carrière, c’est ma défaite», a avoué Dalic, «ni heureux ni fier» d’avoir dû montrer son autorité. «La Coupe du monde se joue sur cinq semaines, ce n’est pas bon pour nous !» riait Boksic en pensant aux tensions qui ont souvent gribouillé les beaux maillots à damier rouge et blanc. Pourtant, les fortes personnalités de 1998, Slaven Bilic, Zvonimir Boban ou Aliocha Asanovic, en plus des Robert Prosinecki et Davor Suker, avaient su vivre en bonne intelligence. «Nous sommes ensemble depuis 40 jours, 35 hommes, et l’ambiance est fantastique, pas le moindre petit incident (hormis Kalinic, ndlr), assure Dalic. Et ils souffrent, se motivent les uns les autres.» Le sélectionneur n’a pas encore le charisme de Miroslav «Ciro» Blazevic, son lointain prédécesseur, qui s’était mis les médias dans la poche en arborant sa casquette de gendarme français, en hommage au gendarme Nivel, tabassé par des hooligans allemands à Lens. Zlatko Dalic, lui, se balade avec son rosaire de Medjugorje dans la poche, et raconte les multiples pèlerinages à Marija Bisrtica accomplis par ses amis de Varazdin pour soutenir la sélection. Il a aussi un point commun avec son homologue anglais Gareth Southgate : les doutes sur sa capacité à endosser le costume ont accompagné ses débuts. Dalic a remplacé au pied levé Ante Cacic, en octobre 2017, après un nul contre la Finlande (1-1) qui a failli priver les «Vatreni» (Valeureux) de Coupe du monde. Un des deux «jeunes» sélectionneurs jouera une finale de Coupe du monde.
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Le père du milieu de terrain allemand Mesut Özil estime que son fils est devenu un «bouc émissaire» après l’élimination de la Mannschaft dès le premier tour du Mondial-2018 et qu’il doit en conséquence quitter la sélection.
«Quand on perd, on perd à cause d’Özil ? Il se fait maintenant siffler, il est devenu un bouc émissaire. Je peux comprendre qu’il se sente insulté», déclare Mustafa Özil dans un entretien publié hier par Bild am Sonntag. «Si j’étais à sa place, je dirais merci beaucoup, mais ça suffit !», ajoute le père d’Özil. Le joueur d’origine turque, aux 92 sélections, avait été très critiqué et sa loyauté envers l’Allemagne remise en cause, avant même le début du Mondial pour avoir posé sur une photo avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ces critiques sont devenues encore plus virulentes depuis la Coupe du monde où l’Allemagne, championne du monde en titre, a terminé dernière de son groupe. Et jeudi, le manager général de la sélection allemande Oliver Bierhoff a remis de l’huile sur le feu en déclarant qu’il aurait fallu envisager un renvoi de Mesut Özil de l’équipe avant le Mondial en raison du scandale. Bierhoff est revenu sur ses propos en affirmant s’être «mal exprimé», mais Mustafa Özil ne décolère pas. «Cette déclaration est une insulte. A mon avis, elle a pour but de sauver sa propre peau», accuse-t-il dans l’édition dominicale de Bild. Selon lui, son fils a accepté «par politesse» d’être sur cette photo désormais controversée, sans jamais vouloir y donner de connotation politique. Pourtant, le président de la Fédération allemande (DFB) Reinhard Grindel continue de réclamer des explications publiques au joueur. Le fait qu’il ne se soit pas expliqué «a déçu de nombreux fans car ils se posent des questions et attendent des réponses», déclare Grindel au magazine spécialisé Kicker à paraître aujourd’hui. «Ils ont raison d’attendre ces réponses. C’est pourquoi il est absolument évident pour moi que, dans son propre intérêt, Mesut devrait s’exprimer (sur cet incident) lorsqu’il rentrera de vacances», ajoute le dirigeant. Mais Mustafa Özil considère que son fils a bien fait de ne pas s’exprimer sur la polémique née de cette photo. «Il ne veut plus s’expliquer, il ne veut plus avoir à se défendre tout le temps. Ça fait neuf ans qu’il joue pour la sélection allemande (…) et il est même devenu champion du monde avec elle. Il a beaucoup aidé son pays. Et ça a toujours été : si on gagne, on gagne ensemble», note Özil père. Alors aujourd’hui, «la blessure est trop grande», estime Mustafa Özil. «Qui sait ce qu’il se passera au prochain match ? A la place de Mesut, je me retirerais. Mais ce n’est que mon opinion», conclut le père.
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Il semble bien que la CAF ne badine plus avec les affaires liées à la corruption dans ces compétitions. Celle qui a secoué l’instance continentale au lendemain du scandale qui a emporté un de ses membres, le président de la Fédération ghanéenne Kwesi Nyantakyi et non moins vice-président de la CAF, a poussé la structure dirigée par le Malgache Ahmad-Ahmad à frapper fort.
En effet, le jury disciplinaire de la CAF réuni le 7 juillet a prononcé la suspension de 11 arbitres, dont une suspension à vie et deux de 10 ans ! 11 arbitres supplémentaires sont également suspendus à titre provisoire. Dans un documentaire diffusé en juin dernier, le journaliste d’investigation Anas Aremeyaw Anas, a mis en évidence un système de corruption à l’œuvre dans le football ghanéen et même africain. L’enquête avait débouché sur l’implication directe de Kwesi Nyantakyi, contraint à la démission.
Le dirigeant ghanéen n’était pas le seul officiel impliqué dans ce scandale. La vidéo du journaliste ghanéen de la BBC apportait la preuve que des arbitres touchaient des pots-de-vin aux fins d’arranger l’issue des matchs du championnat ghanéen et des compétitions africaines. C’est ainsi que, filmé en train d’accepter 600 dollars de la part d’un journaliste se faisant passer pour un dirigeant de club ghanéen, l’arbitre assistant Marwa Range (Kenya), pourtant retenu pour le Mondial-2018 (il a dû y renoncer à cause du scandale), a été exclu à vie « de toute activité liée au football de la CAF» !
D’autres referees à l’exemple du Togolais Yanissou Bebou et l’arbitre assistant Jallow Ebrima (Gambie) écopent de 10 années de suspension. Des arbitres ivoiriens, maliens, burkinabè, mauritaniens et nigériens en ont eux aussi pris pour des peines allant de 2 à 6 ans. Enfin, 11 arbitres sont provisoirement suspendus «jusqu’à l’examen de leur cas par le jury disciplinaire le 5 août 2018». Au total, ce sont 22 officiels potentiellement sanctionnés. Et l’affaire ne fait que livrer ses premières conclusions. Il faut juste rappeler les aveux faits par l’arbitre sud-africain Victor Gomez à l’issue du match Plateau United (Nigeria)-USM Alger, en match de la Coupe de la CAF.
Celui-ci a révélé avoir été approché par des dirigeants du club nigérian qui lui ont proposé 30 000 dollars aux fins de «faciliter» la tâche de leur équipe. L’affaire révélée par le correspondant nigérian de la BBC a débouché sur la suspension de l’arbitre «intermédiaire», en l’occurrence le nigérian Joseph Ogabor suspendu par la Confédération pour une année pour «tentative de manipulation du match» Plateau United- USMA, disputé le 7 avril dernier à Lagos. «La décision fait suite aux enquêtes menées et aux preuves présentées par les officiels de match sud-africains de ladite rencontre, qui ont été contactés par Ogabor pour fournir une «assistance technique à l’équipe nigériane», précisait le communiqué de la CAF qui a sommé le club nigérian de «s’abstenir de pratiquer des cadeaux d’hospitalité qui ont tendance à créer une mauvaise impression».
M. B.
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Après l’assemblée générale pour la présentation des bilans moral et financier tenue il y a une dizaine de jours où, les membres de l’assemblée générale ont approuvé par une majorité écrasante les deux bilans présentés par l’équipe dirigeante de la saison sportive 2017/ 2018, voilà venu le tour de l’assemblée générale élective tant attendue par les fans des Haracta.
Pour rappel, juste après la levée de la séance de l’assemblée générale des bilans et comme le veut l’usage, une commission a été dégagée pour recueillir les dossiers des candidatures pour les prétendants à briguer un mandat à la tête de l’équipe phare des Haracta, l’USMAB. Entretemps, des rumeurs ont circulé dans les milieux sportifs de cette ville, des rumeurs avançant çà et là des noms de personnes. Mais, aucun dossier n’a été officiellement déposé, gardant le suspens jusqu’aux ultimes minutes de la date de clôture de dépôt, c’est le nom de Berkani Halim qui fut retenu par la commission de candidature. Le dépouillement qui s’est déroulé au scrutin à bulletins secrets, a donné les résultats suivants : sur les 33 adhérents devant participer à cette élection, 30 ont répondu présents, 26 voix se sont déclarées favorables à l’élection de Berkani, 3 se sont manifestés par un non et un bulletin a été annulé. Pour rappel, le désormais futur patron de l’USMAB, en l’occurrence M. Berkani Halim, très connu dans les milieux sportifs de la région, puisqu’il a déjà présidé la destinée du club. Ce même président a été appelé à la rescousse par les supporters de l’équipe vers la fin de la saison écoulée où l’équipe était au bout du purgatoire, à 6 matchs avant la fin de la saison, l’équipe était dernière et tous les espoirs étaient presque perdus. Berkani a répondu favorablement à l’appel des supporters en engageant de fortes sommes d’argent de ses propres fonds. Heureusement que les résultats positifs étaient là et, victoire sur victoire, le pire a été évité grâce au soutien financier de ce président. Aujourd’hui, il ne reste qu’à tracer des objectifs à la hauteur de cette équipe qui a fait vibrer les stades des grands clubs, comme le MCA, la JET, le WA Tlemcen, l’USMA même une équipe d’Afrique. Moussa Chtatha
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La paire algérienne composée de Sid-Ali Hamidi et Youcef Belkhiri a été retenue par la Fédération internationale de handball (IHF) pour arbitrer au Championnat du monde féminin des moins de 20 ans qui se déroule actuellement en Hongrie, a-t-on appris auprès des concernés. Jusqu’à maintenant, les deux hommes ont arbitré trois matchs du tour préliminaire et le quatrième l’a été hier entre l’Espagne et la Croatie pour le compte de la 5e et dernière journée du groupe D. Les trois autres rencontres sont Roumanie – Japon (32-30) du groupe C ainsi que Croatie – Allemagne (25-24) et France – Suède (19-15) dans le groupe D. Hamidi (29 ans depuis samedi) et Belkhiri (27 ans le 25 juillet) avaient tapé dans l’œil de la Confédération africaine de handball et de l’IHF en janvier dernier, quand ils ont dirigé pour la première fois de leur jeune carrière arbitrale des matchs de la Coupe d’Afrique des nations Gabon-2018, dont la grande finale Tunisie-Egypte (26-24). En mars dernier, ils ont été invités par l’instance internationale, sur demande de la Fédération qatarie de handball, à diriger des matchs jugés importants et décisifs du Championnat du Qatar 2017-2018 qui était entré dans sa dernière ligne droite. La Fédération algérienne de handball considère que Hamidi, master 2 en éducation physique et professeur dans un lycée, et Belkhiri, doctorant en informatique à l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) représentent le futur du sifflet algérien. Elle leur a confié ainsi la dernière finale de Coupe d’Algérie féminine entre le HBC El-Biar et le GS Pétroliers, remporté par ce dernier (18-17), quelques semaines après avoir été victimes d’une agression lors du match entre l’AB Barika et l’OM Annaba, pour le compte de la dernière journée du Championnat de Nationale 1 (messieurs) et décisif pour l’accession en Excellence.
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Trois individus parmi les dix impliqués dans le détournement d’un camion-plateau de marchandises transportant un conteneur de 40 pieds qui devait être transféré du port commercial vers le port sec de H’djar Eddis (Annaba) ont été placés par le procureur de la République du tribunal d’El-Hadjar sous mandat de dépôt et écroués à la prison de Bouzaâroura, indique un communiqué de la cellule de communication de cette institution.
Il s’agit d’un douanier, du chauffeur propriétaire du camion, et du propriétaire d’une maison en construction.
Les sept autres individus impliqués dans cette affaire ont été placés sous contrôle judiciaire. Après la découverte par les éléments de la brigade judiciaire du Groupement de la Gendarmerie nationale de Annaba du conteneur, abandonné vide au lieudit Zourami, dans la wilaya d’El-Tarf, les gendarmes ont poursuivi leurs investigations afin d’arriver aux malfaiteurs.
Et moins de 48 heures après la découverte du conteneur, ils ont pu faire la lumière sur les tenants et les aboutissants de cette affaire.
Arrêté près de son domicile à Bouzaâroura, le chauffeur propriétaire du camion, répondant aux initiales de Z. A., un récidiviste, a essayé de mettre le feu au camion dans le but d’intimider les gendarmes. Mais ces derniers, imperturbables, lui ont, en fin de compte, fait avouer son forfait et le lieu où il avait caché la marchandise. Elle était chez un de ses amis et complice propriétaire d’une maison en construction dans la commune de Chbaïta-Mokhtar (El-Tarf).
La totalité de la marchandise a été récupérée et remise aux services de la douane de Annaba.
Pour rappel, la marchandise du conteneur détourné faisait partie d’un convoi d’une dizaine de camions qui devait rallier le port sec de H’djar Eddis, à partir du port commercial de Annaba.
Le chauffeur, profitant de la longueur du convoi, a faussé compagnie à ses collègues chauffeurs, en prenant une route autre que celle qui mène au port sec. Cette affaire a intrigué plus d’un à Annaba, laissant libre cours aux rumeurs les plus fantaisistes. Certains évoquaient une affaire de drogue, d’autres d’armes, alors qu’il s’agissait tout simplement de fournitures scolaires et bureautiques d’une importante valeur qui avaient quand même tenté les individus mis en cause dans ce vol un peu spécial.
A. Bouacha.
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Au cours de la semaine écoulée, agissant sur des informations et après plusieurs plaintes déposées par des victimes faisant état de vols perpétrés dans des propriétés privées et sur chantiers de construction, selon des sources dignes de foi, le Groupement de la gendarmerie de Aïn Defla a entrepris des investigations pour faire la lumière sur ces méfaits qui portent atteinte aux biens d’autrui.
Toujours selon des sources concordantes, les éléments des brigades locales des communes de Miliana et de Aïn Torki, à l’issue des investigations, ont fini par identifier progressivement, l’un après l’autre, les éléments d’un trio de repris de justice qui s’était spécialisé dans les vols par effraction dans des domiciles, des commerces et dans différents chantiers de construction.
Des sources locales concordantes indiquent que ce trio avait établi son repaire dans la zone forestière de Sidi Sbâa au sud-est du quartier Zougala dans la commune de Miliana.
Après l’arrestation des éléments du trio, originaires respectivement de la commune de Aïn Torki, de Miliana et du quartier Zougala, une fois le repaire découvert, les gendarmes, sur autorisation du procureur de la République, y ont opéré une perquisition et y ont découvert un important lot de pièces détachées, des outils dérobés dans les chantiers, de l’argent, des armes blanches.
Tout le butin volé a été saisi en même temps que 600 bouteilles de boissons alcoolisées, destinées à la vente sauvage, appartenant à un quatrième individu. A la fin de la semaine écoulée, les quatre éléments du groupe qui écumait toutes les localités aux alentours de Miliana ont été déférés au parquet du tribunal de Miliana.
Selon les informations que nous avons pu récolter sur cette affaire, après instruction du dossier, lors du procès, le procureur de la République a requis contre chacun des quatre prévenus une peine de 3 années de prison ferme.
Après les délibérations, le magistrat qui a jugé l’affaire en première instance a retenu 18 mois de sursis pour chacun des mis en cause.
Selon des témoignages présents à l’audience, des youyous ont été poussés dans l’enceinte du tribunal par les membres des familles des justiciables.
Karim O.
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Selon une source policière confirmée, le casse de la pharmacie sise avenue de l’Indépendance à El Attaf a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi dernier.
Dès que la Sûreté de la daïra a été avisée par un appel téléphonique donné par le voisinage de la pharmacie, une équipe d’enquêteurs des services de la police judiciaire s’est déplacée sur les lieux et a entamé les investigations.
Selon les premières constatations, les policiers se sont doutés que l’auteur du vol par effraction qui s’est introduit par le plafond de l’officine n’avait pratiquement pas eu le temps de s’éloigner du lieu de son forfait. L’idée n’a pas été vaine puisque en grimpant sur la terrasse, les agents ont découvert l’individu armé d’armes blanches et en possession du butin volé : 6 378 comprimés psychotropes et une somme de 400 millions de centimes, caché en attendant le départ des policiers pour disparaître.
Poursuivant leurs investigations, les enquêteurs ont pu identifier deux complices qui avaient pris part au casse. Ils ont été arrêtés à leur tour, et la moto utilisée pour commettre ce vol et la drogue destinée à être injectée dans les circuits de commercialisations ont été saisies.
Les trois individus, âgés de 25 à 31 ans, tous les trois résidant à El Attaf, ont été déférés au parquet en fin de semaine. Après les avoir entendus, le magistrat instructeur les a placés en détention provisoire en attendant d’être jugés pour les charges qui ont été retenues contre eux.
K. O.
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L’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt a réagi hier suite aux informations concernant la réduction du nombre de visas accordés par la France aux Algériens. « Il n’y a pas de réductions », a-t-il déclaré sur la chaîne El Bilad.
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Par O. Hind.
La place de la Grande-Poste a accueilli dans la matinée de samedi dernier la 5e édition de la manifestation «L’art dans la rue» organisée par l’association «Mawaheb wa Afaq» d’Alger et Go Event.
La journée qui devait débuter à 11h et s’étendre jusqu’à17 h a dû commencer en fait à 9h et s’est terminée à 14h en raison de la diffusion d’un match de football qui devait débuter à 15h au niveau de la Grande-Poste comme c’est le cas depuis le début de la Coupe du monde. Cette année force est de constater qu’il n’y a pas assez de monde, ou peut-être que l’engouement des artistes algérois a faibli? Peut-être. Beaucoup d’artistes issus des différentes régions du pays ont pris part en tout cas à cette journée, ce qui n’est en rien négatif. Un jeune dessinateur de Relizane témoigne que chez lui il n’y a rien. Il a fait le déplacement avec ses propres moyens pour participer à cette journée et prendre des contacts. En effet, le but essentiel, d’après les organisateurs, étant celui de faire rencontrer les artistes entre eux, partager et échanger des idées sur leurs activités respectives, d’où notre reproche sur le manque d’artistes professionnels connus à cette journée.
Néanmoins, sans vouloir être fataliste, on peut souligner tout de même que cette édition fut tout aussi riche que la précédente et a vu le passage sur scène de nombreux artistes, que ce soit des chanteurs, des acrobates, des amateurs de beat boxing, jongleurs ou autres disciplines artistiques dispatchées à travers les espaces verts de la Grande-Poste comme l’art plastique, entre dessin et peinture, sur enfant ou sur papier, ou encore la photo sans oublier la présence de quelques artistes amateurs de musique acoustique telle que celle de la guitare. Une ambiance bon enfant régnait au niveau de la Grande-Poste malgré la chaleur estivale qui régnait. De la bonne humeur aussi dans la bouche des organisateurs que l’on a interrogés et qui ont su remplir leur mission malgré les soucis qu’ils ont dû affronter et ce, jusqu’à la veille de la manifestation. Des problèmes liés essentiellement au manque de budget alloué à cette association affiliée au ministère de la Jeunesse et des Sports. Un manque de logistique et de matériel qui a pu être réglé à temps grâce à Kamel Haddad qu’on on a tenu à remercier chaleureusement. Ce dernier a mis à leur disposition de la peinture pour que les artistes puissent créer in situ. Pour Louagui Nassira responsable de l’association Mawaheb wa Afaq, elle a fait savoir que l’APC a mis les moyens entre sono, tables, chaises et le lieu bien sûr. «Nous avons déjà travaillé sur cette manifestation. La première date de 2016. L’APC nous avait donné la possibilité de le faire.
Ce genre d’événement est très demandé par la jeunesse car il y a beaucoup de talents dans tous les domaines, pas seulement les musiciens qui veulent s’exprimer. C’est très important pour eux. Le but principal est de faire rencontrer les jeunes, faire connaissance, partager leur talent. Dans les éditions précédentes nous avons été aussi aux Sablettes, au parc Dounia qui fut une très belle expérience au printemps. C’est très beau car c’est le partage d’un moment ensemble. Ils forment des groupes aussi. Ça permet à certains, qui hésitent, de pouvoir s’exprimer. C’est un tremplin pour les jeunes artistes de franchir des caps en s’exprimant devant un public par exemple. Nous avons eu beaucoup de demandes d’artistes des autres wilayas qui voulaient être hébergés, mais par manque de moyens, nous n’avons pas pu le faire. Il y a eu beaucoup de rapprochements et des choses qui se sont faites entre artistes.» Pour sa part, Abada Fatma Zohra, étudiante en archéologique et membre de l’association soulignera pour sa part que cet événement a été créé grâce à l’association qui a connu plusieurs lieux de déroulement, mais la Grande-Poste reste l’endroit de prédilection. «Il y a pas mal d’artistes comme vous voyez ou jeunes groupes qui se sont formés suite au lancement de la première édition de cette manifestation, car le but c’était vraiment de favoriser les rencontres. Il faut rappeler que certains de ces jeunes artistes sont venus de partout. Je citerai de Constantine, Mascara. Nous avons reçu énormément de demandes pour les héberger mais malheureusement nous n’avons pas les moyens. C’est pourquoi je lance un appel aux sponsors pour qu’ils nous aident la prochaine fois, etc.» Sur scène on a dénombré une vingtaine d’artistes mode solo ou par groupe avec un temps de passage très réduit pour laisser la majorité passer.
Le public assis dans les escaliers a passé en tout cas un bon moment. Certains se sont levés spontanément pour danser. Certains jeunes chanteurs n’ont pas démérité et ont su vraiment mettre de l’ambiance. Une initiative en tout cas à encourager vivement et à soutenir. Aux artistes aussi de s’engager davantage par leur présence et notamment pourquoi pas en donnant un coup de main effectif. Car le militantisme c’est ça aussi. Beaucoup d’artistes vous diront qu’ils aiment faire sortir l’art dans la rue sauf que ces derniers n’étaient pas présents, à cette journée bien particulière et c’est bien dommage.
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Le Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda) reviendra du 2 au 6 octobre 2018 pour une 11eédition placée sous le signe del’érable.
C’est, en effet, le Canada,pays ayant énormémentapporté au 9e art, dont un certainSuperman, qui sera àl’honneur cette année. Des bédéistes et scénaristes canadiens,francophones et anglophonesseront présents à cette11e mouture, du côté desconférences ou/et des ventesdédicaces.
Désormais tradition du Fibda, les concours internationaux etnationaux sont pour leur part d’ores et déjà lancés, entreconcours de jeunes talents,d’espoirs scolaires et des professionnels.Tout comme lors de la 10e édition,le Fibda se dérouleracette année sur deux emplacementsen simultané, à savoirl’Esplanade Riad El-Feth (El-Madania) et le Palais de la cultureMoufdi-Zakaria (lesAnnassers), où nombre d’activitéssont à retrouver (gaming, projections, concerts…). Desstands seront également aumenu, dont une nouveauté : la boutique officielle du Festival.
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Deux noyades annoncées pour ces dernières 24 heures par le service de communication de la Protection civile au niveau des plages de Béjaia et de Skikda et quelque 1172 personnes sauvées hier dans un bilan élargi où l’on a enregistré 26 noyades depuis l’ouverture de la saison estivale dont 14 dans des plages surveillées.
La Protection civile rappelle que son dispositif de surveillance et de sauvetage a effectué 14660 interventions de sauvetage durant lesquelles 9000 personnes ont été sauvées.
Aussi, les noyades dans les plans d’eau ne cessent d’augmenter, ajoute la même source au micro de la radio Chaine 3. A ce titre, la même source rapporte qu’il y a eu 36 décès dont la plupart dans des marres d’eau et 9 dans des retenues colinéaires d’eau suivies des oueds avec 6 personnes noyées et en fin 4 personnes ayant trouvé la mort au niveau des barrages.
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