La messe politique dans la 20ème circonscription électorale a été dite à la maison des jeunes d'Akpro-Missérété, ce samedi 19 janvier 2019. Une grande mobilisation de la jeunesse autour des idéaux du Parti du renouveau démocratique (PRD) de Me Adrien Houngbédji. Le Cercle de réflexion des jeunes de la 20ème circonscription électorale (Crj-20) a voulu par cette occasion montrer son dévouement au président Houngbédji.
Les jeunes réunis au sein du Crj-20 entendent se donner la main pour montrer leur force de frappe notamment celui du PRD dans la 20ème circonscription électorale. A cette rencontre étaient présents les jeunes des communes de Bonou, d'Adjohoun, de Dangbo, d'Avrankou et d' Akpro-Missérété. La rencontre a été placée sous le haut parrainage du délégué général et coordonnateur national de la Direction Exécutif Nationale du parti Michel Bahou. Cette sortie politique témoigne de l'emprise du parti dans la 20ème circonscription électorale.
Pour le Président du Crj-20, Fidèle Kinkpohéssi, « le PRD est l'un des plus grands partis du pays qui a duré dans le temps. Malgré les différents régimes qui se sont succédé, le PRD est resté égal à lui-même comme du bon vin qui se bonifie avec l'âge ». Il a réaffirmé l'engagement de la jeunesse aux côtés des responsables du parti. « C'est pourquoi nous tenons à remercier sincèrement les ténors, ceux qui ont maintenu le flambeau jusqu'à ce que nous soyons ici aujourd'hui pour continuer à parler du PRD », affirme-t-il. Fidèle Kinkpohessi n'a pas tari d'éloges à l'endroit du parrain du mouvement.
« Nous voulons de façon sincère remercier notre parrain monsieur Bahou Michel », a-t-il déclaré.
Le président du Crj-20 indique qu'il s'agit d'un homme d'une grandeur d'esprit exceptionnelle et animé d'un esprit d'écoute de la jeunesse et de toutes les couches défavorisées. « C'est un homme qui se bat et se sacrifie depuis des décennies pour sa localité, la jeunesse et surtout pour son parti le PRD. Toute la jeunesse de la 20ème circonscription vous reconnaît les efforts que vous déployez nuit et jour pour son bien-être et son insertion dans la vie active », martèle Fidèle Kinkpohessi. Il n'a pas manqué de remercier Me Adrien Houngbédji pour « sa perspicacité et son dévouement aux causes du parti ». Fidèle Kinkpohessi pense qu'il est un homme qui a su résister à plusieurs régime qui ne partageaient pas les mêmes idéaux que son parti. Et pour cela, il souligne que « C'est rare de voir des hommes de cette carrure au Bénin et même en Afrique. Il sait dire non quand il le faut et c'est ça les valeurs et la marque d'un vrai homme politique ».
Outre les dirigeants du parti, le président du Crj-20 félicite le chef de l'État pour ses actions aussi nobles. « Nous voudrons féliciter et encourager l'actuel Chef de l'Etat, je veux parler du Président Patrice Talon pour ses réformes courageuses entamées depuis bientôt trois ans à la tête de notre pays. C'est une véritable marque d'un homme d'Etat ». Il réaffirme leur volonté de l'aider à réussir sa mission. « Monsieur le Président, toute la jeunesse de la 20ème circonscription en particulier et tous les jeunes du PRD en général vous réitèrent leur soutien indéfectible. Nous sommes solidement mobilisés derrière vous. Et soyez rassurés monsieur le Président de la République vous aurez la preuve de notre soutien au soir du 28 avril prochain ».
« Au-délà des 10% prévus par le code électoral, le PRD va vous apporter un nombre très important de députés pour la poursuite de vos réformes. Nous l'avions fait par le passé et nous allons encore le démonter cette année ».
Michel M. Bahou se réjouissant de ce dynamisme de sa jeunesse, a exhorté chacun à la fidélité, la loyauté et à un engagement citoyen au service de la nation tout en restant soudé. Cette sortie pour lui est la preuve que le PRD brille toujours de mille feux dans la 20ème.
En dehors du parrain de l'événement, plusieurs personnalités ont répondu présents aux côtés du Crj-20.
Dans leurs Interventions, ils ont reconnu unanimement que la promotion de la jeunesse était et continue d'être la marque de fabrique du parti. En dehors des discours, les jeunes ont suivi une communication présentée par Dr Ahlonsou sur « Pourquoi la couleur arc-en-ciel ». Il a été question pour le communicateur de replonger la jeunesse dans l'histoire du PRD, les alliances nouées, les performances électorales réalisées, les mobiles de la suspension aux travaux du bloc républicain, pourquoi soutenir les actions du président Talon et les raisons de continuer à faire briller l'arc-en-ciel dans le paysage politique béninois.
G.A.
A. Z.
Un dangereux groupe de criminels a été neutralisé, ces derniers jours, par les éléments de la 2ème Sûreté urbaine de Ali Mendjeli. Les griefs retenus contre les membres de ce groupe composés de 6 individus, relèvent du chantage, l’extorsion de fonds, d’une tentative d’enlèvement et de coups et blessures volontaires, à l’arme blanche » et illustrent parfaitement le danger qu’ils font peser sur les citoyens. L’enquête, déclenchée sur cette affaire, à la suite d’une plainte, déposée par une victime, une jeune fille, qui fait état de la pression et du chantage exercé contre elle par un individu, menaçant de poster des vidéos compromettantes sur le réseau social facebook, si elle ne lui remettait pas de l’argent, selon l’objet de sa déposition devant les services de sécurité.Ajoutant dans ce contexte que l’individu, en question a tenté de l’enlever en la faisant monter de force dans un véhicule, et qu’elle a été victime d’une agression, à l’arme blanche, toujours par le même individu, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya. Exploitant ces renseignements, les policiers identifieront le suspect qui sera arrêté à Aïn Smara, ajoute la même source. Les investigations permettront d’identifier cinq autres complices dans cette affaire.
Ces criminels tenaient entre leurs griffes cette jeune fille depuis deux mois, indique encore le communiqué de la police. Exerçant sur elle une pression terrible pour lui soutirer de l’argent et même des bijoux. Les 6 mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République, territorialement compétent.The post Six individus arrêtés à Ali Mendjeli: Chantage, extorsion de fonds et tentative d’enlèvement appeared first on .
A. Z.
Les sapeurs pompiers de l’unité principale de la Protection civile, à Ali Mendjeli, ont opéré une intervention, hier, en plein jour, pour porter secours à une jeune femme de 27 ans, trouvée au bord de l’asphyxie. La victime, qui éprouvait d’énormes difficultés respiratoires, avec d’autres symptômes provoqués par l’inhalation du monoxyde de Carbone, comme les vomissements et les étourdissements, a été secourue en milieu de journée de ce dimanche 20 janvier, précisément à 11h 51mn, au niveau de l’unité de voisinage n° 20, selon un communiqué de la Protection civile. Le problème est dû à une défaillance du chauffage, d’où se dégageait le monoxyde de carbone qui a failli tuer la jeune femme, indique la même source. Ajoutant que les premiers soins lui ont été prodigués sur place avant son évacuation vers l’hôpital Abdelkader Bencharif, à Ali Mendjeli. Ce dernier cas porte le bilan de ce début du mois de janvier à 33 victimes du monoxyde de carbone qui ont été sauvées d’une mort certaine, alors que trois autres ont péri entre la nuit du jeudi et celle du vendredi 4 janvier des suites d’une intoxication au monoxyde de carbone.The post Ali Mendjeli: Une jeune femme sauvée de l’asphyxie appeared first on .
Tayeb Zgaoula
Selon le bilan établi par la Protection civile de la wilaya de Annaba, il ressort que 23 personnes sont mortes et 1.802 autres blessées à travers la wilaya au cours de l’année 2018, dans 1.475 accidents de la route, a-t-on indiqué. « La plupart des accidents sont survenus durant le week-end, plus précisément le jeudi, sur les routes nationales, qui ont fait 14 morts », a-t-on fait savoir. En ce qui concerne les interventions effectuées, on relève plus de 28.000 interventions, 15.477 personnes ont été évacuées dont 2.364 blessées et 332 décès.En ce qui concerne les incendies, les services de la PC sont intervenus dans 2.097 cas, faisant 44 blessés et un mort.
Il faut dire que de nombreuses actions de sensibilisation sont toujours menées sur le respect du code de la route, notamment l’excès de vitesse, par les services de la sûreté, la gendarmerie et d’autres organes. Cependant, les routes continuent à tuer.
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Ali Chabana
L’ordonnance 67-24 du 18 janvier 1967 spécifie que « la commune est la collectivité territoriale, politique, administrative, économique, sociale, culturelle de base » et d’ajouter que « la commune constitue l’assise de la décentralisation et le lieu d’exercice de la citoyenneté » et si aujourd’hui on célèbre cet évènement avec la création de la cellule de base de l’échafaudage politico-administratif de l’Etat algérien, ce n’est certainement pas pour une simple commémoration de la date, mais un moment d’une profonde réflexion sur le long parcours effectué dans la mise en place des fondations essentielles des institutions des collectivités locales. Depuis d’autres péripéties se sont greffées sur le socle fondamental d’une commune à la croisée des chemins, de son rôle, ses missions.Si Ali Ali (84 ans), premier P/APC de la commune de Tébessa élu au suffrage universel direct après avoir assumé la transition de passation des pouvoirs de l’administration coloniale à celle de l’Etat algérien renaissant, nous dira qu’il avait travaillé avec un personnel pour la plupart de nationalité française et qu’il a fallu du temps pour mettre progressivement les rouages de la nouvelle administration nationale. Déjà la commune d’alors jouissait de larges prérogatives, en dépit du peu de ressources humaines et matérielles dont elle disposait. De nos jours, on commémore la journée nationale de la commune et moult interrogations viennent à l’esprit de tout à chacun, d’une APC exposée à tous les vents et critiques, d’une gestion approximative, dans une conjoncture socio-économique des plus défavorables.
La quasi-totalité des 28 communes de la wilaya de Tébessa sont souvent mises devant le fait accompli par manque de moyens, d’encadrement, résultat la gestion des affaires locales se fait dans une atmosphère délétère, bureaucratique, sur une toile de fond d’antagonisme d’intérêts. Et tout cela, le citoyen crie à l’injustice, à l’incompétence, au népotisme. Que faudra-t-il entreprendre afin de libérer les énergies des uns et la mise à l’écart de fauteurs de trouble ? Car, s’il y a une stratégie de développement local que les pouvoirs publics renforcent au fur et à mesure par un nouveau cadre juridique adéquat, ce sera justement aux équipes municipales de les mettre en exécution, avec sûrement l’adhésion de la population.
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Ali Chabana
Pas moins de 7821 demandeurs d’emploi ont été placés par les services de l’ANEM à Tébessa, et ce, durant l’année 2018. Cela constitue une hausse de plus de 34%, en comparaison avec le chiffre réalisé en 2017, 6.600 postes pourvus. Parmi ce chiffre de 7.821 placements, notons que 903 postes sont revenus au profit des cantines scolaires et 1.620 autres aux secteurs de l’Education, de la Santé et aux communes. Au total, l’ANEM a enregistré 85.875 demandes déposées au niveau de ses 5 antennes dans la wilaya de Tébessa pour une offre de 20.229 postes d’emploi dont 76% ont été satisfaits. Beaucoup d’universitaires se tournent vers l’ANEM afin de dénicher un travail, ainsi que des diplômés de la formation professionnelle. Aussi, l’ANEM joue son rôle d’intermédiaire auprès des demandeurs de travail et les entreprises et administrations publiques et privées.The post Tébessa: Plus de 7.800 demandeurs d’emploi placés par l’ANEM appeared first on .
Yazid Alilat
«Nous ne pouvons pas continuer à lutter contre le phénomène migratoire avec les mêmes stratégies adoptées il y a dix ans». C’est ce qu’a affirmé, hier dimanche, au lendemain d’un forum sur le phénomène de la «Harga», à la Radio nationale, le directeur du Centre de Recherches en Economie appliquée et Développement (CREAD), Mohamed Saïb Musette.«C’est la première fois, a-t-il affirmé, qu’il y a une volonté politique pour prendre en charge le phénomène, à travers un forum national.» Le ministère de l’Intérieur a organisé, samedi, un forum sur le phénomène de la harga’, et comment le circonscrire, le prendre en charge et éliminer les réseaux de passeurs. Selon un décompte du ministère de l’Intérieur, 119 corps de migrants ont été repêchés sur les côtes algériennes, en 2018, alors que 96 sont portés disparus, à la suite d’une tentative d’émigration par mer.
De son côté, le ministère de la Défense nationale a recensé 3.983 tentatives d’émigration clandestine, durant l’année dernière. Saïb Musette a indiqué que ce forum sur la migration clandestine «a mobilisé des experts, des consultants, des membres de la société civile et des acteurs de la communication et la culture, et donc il y a une volonté à traduire, à travers une démarche nationale, ce besoin de lutter contre le phénomène migratoire». Pour le sociologue et chercheur, «il faut cerner quelle manière faut-il mettre en œuvre pour cette gouvernance de la politique migratoire, car nous sommes devant un phénomène de société avec la migration dans sa globalité, qui ne concerne plus les jeunes mais des familles qui y sont impliquées en prenant le risque de partir.Le directeur du CREAD, refusant de parler «d’ émigration clandestine», estime que «le problème migratoire, en Algérie se traduit par le fait que nous sommes devant une gouvernance éclatée où l’on s’occupe, chacun de son côté, du problème.» Or, ajoute-t-il, on n’a jamais fait une étude sur la Harga’ en Algérie, ni fait un diagnostic stratégique. Mais, une fois que tout cela soit fait, on peut sortir avec un plan d’action, une stratégie et un plan de communication», même si «le phénomène n’est pas un problème exclusif, à l’Algérie, mais aux pays de la région se trouvant face à l’Europe. Mohamed Saïb Musette a, d’autre part, critiqué le ministère de la Jeunesse qui n’a pas mis en place «une stratégie ou une structure de prise en charge de la jeunesse, encore moins une politique nationale de la jeunesse.» «Elle est inexistante», a-t-il affirmé, avant de rappeler que la Harga’ touche, en particulier la jeunesse, c’est un segment de la politique migratoire.»
Pour autant, la Harga’ est une petite hémorragie dans le corps social, et donc il faut traiter le corps social dans sa totalité, que ce soit en termes de mobilité ou de migration internationale.» D’autre part, il a estimé que les différents dispositifs mis en place par les pouvoirs publics, depuis 2007, pour prendre en charge les besoins de la jeunesse et lutter contre l’émigration clandestine, «n’ont pas donné de résultats». «On pensait régler les problèmes de la Jeunesse, à travers un certain nombre de dispositifs (ANSEJ, CNAC), mais toute politique sociale a une durée de vie», a-t-il fait remarquer, avant d’affirmer que «je ne pense pas que le dispositif ait eu les résultats escomptés, et donc il nous faut une nouvelle politique qui prenne en compte les différentes dimensions sociétales, d’autant que nous sommes en crise financière.»
Pour le directeur du CREAD, «il faut aller vers une instance intersectorielle pour prendre en charge cette problématique migratoire», comme il faut «améliorer les choses dans la région.» Il s’agit en outre de «s’intéresser à ce qui est caché derrière ce phénomène, ce qui n’est pas visible ou ce qu’il y a derrière les corps sans vie des harraga’, et sans collaboration internationale, on ne peut rien faire, car il faut suivre le processus de la migration, dans son intégralité, pour pouvoir agir», estime le chercheur. Comme il a, d’autre part, rappelé, selon différentes études, qu’ «il y a toute une industrie du phénomène migratoire, c’est un marché, et il faut voir combien cela coûte.» «Il y a une économie parallèle qui se met en place, et cela se chiffre à près de 7.000 milliards de dinars pour l’Europe, et beaucoup plus pour les Etats-Unis», a t-il affirmé. Pour l’Algérie, «il y a trois types de migration, indique-t-il: il y a le réseau autonome des jeunes regroupés entre eux, le réseau semi-professionnel et celui professionnel à l’International, où les migrants sont accueillis de l’autre côté, logés et avec de faux papiers. Ces réseaux sont connus (France, Portugal, Espagne, USA), et il y a une économie parallèle pour prendre en charge cette demande de migration.» Donc, «il faut organiser la lutte contre ces réseaux, et si on ne le fait pas nous-mêmes, d’autres le feront pour nous, et on subira après les consequences», estime le directeur du CREAD.Enfin, il a rappelé que «tous les Etats membres des Nations unies, qui veulent signer le pacte sur la migration, doivent organiser la migration régulière et lutter contre celle irrégulière», avant de prévoir que le phénomène migratoire va encore augmenter, notamment, avec les dérèglements climatiques. Ce phénomène «a bon dos dans les programmes politiques et des élections», dans les pays développés «où le thème de la migration est utilisé».
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M. Aziza
Bonne nouvelle pour les personnes souffrant de handicap physique. Les services de la sécurité sociale, en partenariat avec la Fédération des personnes handicapées, sont en train de finaliser un projet portant sur la mise en place d’une carte Chifa « d’appareillage et de traitement » destinée exclusivement aux personnes handicapées. C’est ce qu’a annoncé la présidente de la Fédération nationale des personnes handicapées, Mme Atika Mameri, lors d’une conférence de presse qu’elle a animée hier à l’hôtel Sheraton à Alger.La conférencière a précisé que l’annonce officielle de cette nouveauté se fera dans une semaine, ou au plus tard dans quinze jours, par les autorités concernées, celles du Travail et de la Sécurité sociale. En précisant que, désormais, les personnes handicapées en Algérie n’auront plus besoin de faire appel aux ONG nationales et internationales pour se procurer un fauteuil roulant, des sondes lubrifiées ou autres traitements permettant aux personnes handicapées d’avoir une vie « normale ». Elle a souligné qu’une fois ce projet entré en vigueur, les personnes handicapées vont pouvoir se procurer « tous types d’appareillage et de traitements» auprès des officines les plus proches ou dans les centres de traitements spécifiques.
Et d’ajouter qu’il y a encore une possibilité d’élargir l’octroi de tricycles (motos) aux personnes handicapées à d’autres catégories, sachant qu’actuellement, ces « motos » sont destinées exclusivement aux personnes handicapées qui travaillent ou celles qui suivent des études. Elle précise qu’après tant d’années, « aujourd’hui, on a trouvé de l’écoute de la part des autorités concernées, notamment celles de la sécurité sociale ». « Cela ne veut pas dire qu’on a résolu tous les problèmes et les difficultés auxquelles sont confrontées les personnes handicapées en Algérie.
En insistant sur le fait que « la personne handicapée n’a pas besoin uniquement d’un fauteuil roulant », mais elle a besoin, selon la présidente de la fédération, « d’un environnement qui lui permet d’avoir une vie normale, l’accès aux services communautaires comme les soins médicaux, aux bâtiments, aux transports publics, aux trottoirs, ainsi que d’autres commodités dont jouissent les personnes qui ne souffrent pas de handicaps mais qui ne sont pas à l’abri d’un accident, d’une erreur médicale, d’une maladie invalidante et autres ». La présidente de la fédération a voulu préciser que les personnes handicapées « ont des désirs et des ambitions dans la vie, elles veulent se marier, elles veulent faire des enfants, travailler, étudier, atteindre des postes supérieurs, etc. ». Elle résume en affirmant que « les personnes handicapées n’ont pas besoin d’un barème médical, un handicapé à 100%, ou à 80%, mais ont besoin d’un barème social qui définit le besoin de chaque cas ». Autrement dit, «les handicapés ont besoin de dispositif scolaire, des agents d’insertion, des auxiliaires, des appareils, des traitements et des dispositifs médicaux remboursés ».Prenant la parole, des jeunes handicapés (certains sont devenus paraplégiques suite à des accidents de voiture) ont fait des témoignages émouvants. Une parmi les intervenants a affirmé qu’elle a obtenu difficilement des sondes à demeure auprès des pharmaciens, sans parler des sondes lubrifiées pour auto-vidange de la vessie qui sont coûteuses (un paquet de 30 sondes cédé à 8.000 DA). Sachant que certains utilisent 4 à 5 sondes par jour. Il faut savoir aussi que le prix d’un paquet de sondes lubrifiées est le double de la pension accordée à des personnes handicapées à 100%, qui est l’équivalent de 4.000 DA par mois. De son côté, le Pr. Hocine Cherid, chef de service à l’EHS d’Azur- Plage, a affirmé que les sondes à demeure ont des conséquences désastreuses sur les malades et un impact financier plus lourd sur les caisses de l’Etat. En alertant que la plupart des cas de mortalité chez les personnes handicapées sont dus à des complications (infections) urinaires.
Les intervenants ont tous plaidé pour la promulgation d’une loi garantissant les droits des handicapés « car aujourd’hui, des familles de personnes handicapées réclament des attestations prouvant qu’on n’a pas les moyens nécessaires et des centres pour la prise en charge de cette catégorie, afin de permettre à leurs enfants de se soigner ailleurs, notamment en France, leurs enfants sont parfois adoptés par des familles résidant à l’étranger », dira Mme Atika Mameri avec regret.
Et de préciser que « certains groupes médicaux, venant du Maroc, d’Espagne, de France et de Turquie, font parfois du »racolage » pour attirer les malades algériens en leur proposant des interventions chirurgicales dans leurs pays à des prix inimaginables, alors que nous avons des compétences en Algérie qui ont besoin seulement de moyens ».
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R. L.
Un blocus a été imposé, hier, par des étudiants sous la bannière de l’Union générale des étudiants algériens (UGEA) à la faculté des Langues étrangères de l’Université d’Oran 2 Mohamed Ben Ahmed’ de Belgaïd, a-t-on constaté sur les lieux.L’organisation estudiantine réclame la résolution des problèmes administratifs et pédagogiques des étudiants et dénonce une dégradation des conditions d’étude dans cette faculté. Il était, hier, 8h30, quand les étudiants en licence de cette faculté, venus de bonne heure pour passer des examens semestriels ont été surpris par la fermeture des accès de cette faculté. Les étudiants pris au dépourvu ont appris que l’organisation estudiantine a décidé, la veille, de recourir à cette action de contestation pour appuyer ses revendications qui tournent autour de l’amélioration des conditions de scolarité, la concertation avec les délégués des étudiants et la résolution des problèmes administratifs et pédagogiques.
Des délégués d’étudiants sont, en effet, montés récemment au créneau pour dénoncer les conditions de scolarité. Dans certaines formations, des modules essentiels ne sont pas assurés en dépit des réclamations récurrentes des étudiants. L’organisation estudiantine affirme que cette action de contestation est ouverte et le blocus ne sera levé qu’après un « engagement sérieux » du rectorat pour satisfaire l’ensemble des revendications. La faculté des Langues étrangères, inaugurée durant l’année universitaire 2017/2018, souffre de nombreux problèmes et en particulier l’absence de chauffage, la défaillance d’éclairage dans de nombreuses salles et amphis et le déficit en personnel administratif dans certains départements.
Il y a plus d’un mois des étudiants affiliés à l’organisation estudiantine UNEA avaient déjà organisé un mouvement de protestation et procédé à la fermeture des accès de la faculté, empêchant ainsi étudiants mais aussi les enseignants et personnels administratifs de rejoindre leurs postes respectifs. Dans un communiqué, l’UNEA avait justifié ce mouvement par la « persistance, depuis la rentrée universitaire, de problèmes d’ordre organisationnel et managérial ». Parmi ces derniers, résumés en 10 points, l’on note « le manque de personnels chargés de la sécurité à l’intérieur de la faculté, l’absence de coordination entre les différents services, ce qui pénalise, en premier, les étudiants, les retards dans la remise des diplômes, le manque d’effectifs administratifs, plus particulièrement dans les départements d’Anglais et d’Allemand, en plus de l’absence, à ce jour, du chauffage et de l’Internet », entre autres.Une situation qui, note-t-on, trouve son origine, essentiellement, dans le fait que la faculté a déménagé, à l’occasion de la rentrée universitaire 2017-2018, dans ses nouveaux locaux, à Belgaïd, dans des conditions qu’on pourrait qualifier de particulières.
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J. Boukraâ
L’Agence de wilaya de l’Emploi (AWEM) a placé plus de 330 jeunes dans les cantines scolaires, en 2018. Ce renforcement du personnel de restauration ambitionne l’amélioration des prestations de service et la généralisation des repas chauds ainsi que l’amélioration des conditions de scolarisation des élèves du cycle primaire. Ces nouveaux postes étaient destinés aux jeunes chômeurs détenteurs de qualification en spécialités de chefs-cuisiniers, cuisiniers, assistants, agents de nettoyage, notamment les diplômés des établissements de formation professionnelle. Ce recrutement par voie de test professionnel obéit à des déficits constatés dans les différents établissements scolaires en matière de main-d’œuvre ouvrière notamment. Il s’agit d’un recrutement d’ouvriers professionnels et d’agents de prévention de différents niveaux qui sont répartis selon les besoins des établissements scolaires des neuf daïras de la wilaya. Oran a bénéficié de près de 1.200 postes d’emploi, dans ce domaine. Ainsi et dans une première opération du genre, près d’un millier d’agents communaux représentant 8 catégories entre gestionnaire de restaurant, chef-cuisinier, cuisinier, assistant cuisinier , serveur, agent de nettoiement, agent de cuisine, plongeur en cuisine ont été formés, l’année passée, par la direction de la Formation professionnelle d’Oran. Cette action entre dans le cadre d’une convention entre la direction de la Formation professionnelle et les Collectivités locales.Depuis janvier 2017, la gestion des cantines scolaires est revenue aux APC après une période où elle fut assurée par le secteur de l’Education nationale, au même titre que les chauffages sont gérés par les communes. A Oran, près 107.000 élèves, tous cycles confondues, bénéficient de la restauration scolaire, dans les cantines scolaires. Le nombre de structures de restauration est de 331 dont 253 dans le Primaire, 42 dans le Moyen et 36 dans le Secondaire.
D’autre part, la direction de l’Education de la wilaya d’Oran vient de bénéficier 358 postes budgétaires pour répondre aux besoins des différents établissements scolaires.
Rappelons, par ailleurs, que l’Agence de wilaya de l’Emploi (AWEM) a enregistré, durant l’année 2018, quelque 24.434 placements en classique, face à 91.716 demandeurs d’emploi. Durant la même période, près de 31.000 offres d’emploi émanant d’entreprises nationales, publiques et privées, mais aussi étrangères ont été reçues par l’Agence nationale de l’emploi (ANEM) d’Oran.
L’AWEM d’Oran a, aussi, placé 908 jeunes dans le cadre du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP) et 791 en CTA (contrat de travail aidé (CTA). L’efficience des actions de l’Agence de l’Emploi s’est traduite par le placement réussi de ces jeunes, dans les secteurs du BTPH, des Services, de l’Industrie. Grâce aux différents dispositifs, l’ANEM a réussi à faire diminuer la demande et améliorer l’insertion des jeunes demandeurs d’emploi.The post Les cantines scolaires renforcées en personnel: Plus de 300 jeunes placés par l’ANEM dans les écoles appeared first on .
Mokhtaria Bensaâd
A travers son dernier roman, l’Année miraculeuse’, Mohamed Magani, auteur de romans, d’études en français et de nouvelles en anglais, a essayé de mettre la lumière sur la résilience de l’homme et sa capacité de reconstruire sa vie et son cœur après un échec. Certes, cela demande beaucoup de temps à l’individu, mais l’écrivain romancier démontre bel et bien, à travers le personnage de Smail, le héros du roman, qu’on peut, dira Mohamed Magani, lors de la rencontre-débat, organisée, samedi, à l’hôtel « Liberté », « s’inventer d’autres facettes à sa personnalité et effacer cette image de bureaucrate ». Car Smail était un haut fonctionnaire de l’administration, démis de ses fonctions dans les années 90 qui marquent, souligne l’auteur, la purge bureaucratique d’Ouyahia. Une situation qui va pousser Smail à atterrir à Amsterdam après un divorce pour y passer sa retraite.C’est la déchéance, raconte le romancier. « Smail va disparaître complètement comme pour les Japonais qui disparaissent, sans laisser de traces, familiale ou sociale, à la suite d’une catastrophe naturelle. Il a été un haut fonctionnaire parti en mission à Amsterdam. Quelqu’un lui demande de lire la chute de Camus. Pourquoi ? Parce que ça se passe à Amsterdam. Il va donc reprendre la chute pour découvrir ce qu’il a de plus que Camus, parce que lui n’a pas aimé Amsterdam. Il va utiliser la chute comme un guide touristique. Il va réapprendre à vivre ».
Interrogé par le professeur Lakhdar Barka, si c’est le choix de la langue qui a déterminé le récit ou l’inverse, « c’est d’abord la conception, le personnage ou le récit qui détermine le choix de la langue ». Pour Mohamed Magani, « Les langues, c’est comme Sindibad le marin qui avait fait le tour du monde par ses voyages. Les langues permettent surtout la rencontre de l’autre. C’est inestimable comme on peut s’approcher de l’autre par la langue, par la culture, par l’histoire, par le tourisme, par la gastronomie, aussi ».Dans son roman, l’auteur va aussi questionner Camus avec des questions fondamentales. D’ailleurs le dernier chapitre est une discussion sur Camus. Il va essayer de confronter Camus à lui-même et faire même une rencontre Mersault, le personnage principal du roman de Camus « l’Etranger » et Clamence, le personnage de « la chute » d’Albert Camus aussi.
La présence de Camus dans ce roman a fait polémique dans la salle du fait que Camus n’a, à aucun moment parlé de la situation des Algériens, dans ses romans. Pour certains, le prix Nobel français est un Algérien, pour d’autres, il est colon. Une intervenante a souligné que « Magani a utilisé Camus pour montrer quelque chose que d’autres n’ont pas dite mais on se serait très bien passé de Camus pour montrer l’existence du déçu algérien. L’existence du malheur d’Algérie… A travers Magani ou à travers d’autres, on n’a pas besoin de faire intervenir des noms tels que Camus qui est devenu, à la mode. Si on a besoin d’avoir des références, nous avons des références algériennes, Dib, Feraoun, Kateb Yacine. Pourquoi aller vers un Camus qui est très controversé par les Algériens avant qu’il ne soit par d’autres ? ».
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K. Assia
Quelque 10.002 appels téléphoniques ont été enregistrés, en 2018, par les services du groupement de la gendarmerie d’Oran, grâce au numéro vert, le 10.55. Les gendarmes ont pu intervenir sur le terrain et solutionner plusieurs affaires d’atteinte aux biens et des personnes. Dans ce registre, on saura que 4.778 interventions ont été effectuées dont 101 concluantes. Celles-ci ont permis d’arrêter 122 suspects. Ces appels témoignent, selon les initiateurs de ce dispositif, de la réussite de cette mesure initiée dans le but de rapprocher le citoyen des services de la gendarmerie. Ainsi, on apprend que parmi les affaires solutionnées grâce au 10.55, figurent la récupération d’un véhicule volé et l’arrestation des auteurs. Les gendarmes ont également arrêté en flagrant délit de vol une bande de malfaiteurs. Ces appels ont permis de porter secours à des marins-pêcheurs coincés en mer en plus de la mise en échec d’une tentative d’émigration clandestine et la récupération du matériel servant à la traversée. Par ailleurs, 28 plaintes ont été enregistrées sur le nouveau site de la gendarmerie : htpps :// ppgn.mdn. dz, consacré au dépôt de pré-plaintes en ligne et les renseignements à distance. Les équipes chargées de ce service ont, également, enregistré 22 cas de demande de renseignements à distance .Ces pré-plaintes sont automatiquement traitées par les différents services de la gendarmerie. Ce site sécurisé permet aux victimes d’enregistrer leurs demandes en ligne via ce site Internet à travers un formulaire guidé comportant des rubriques obligatoires qu’il doit remplir afin d’obtenir un rendez-vous et signer, officiellement, sa plainte auprès du groupement de la gendarmerie de son choix. Des équipes techniques spécialisées dans le traitement et l’analyse ont été mises en place pour piloter ces opérations.The post Gendarmerie nationale: 122 suspects arrêtés grâce au «numéro vert», en 2018 appeared first on .
D. B.
Trois des six nouvelles délégations communales (secteurs urbains) entrant dans le cadre du nouveau découpage de la commune d’Oran, seront opérationnelles le mois de février prochain, a-t-on appris hier de sources proches de la commune d’Oran. Il s’agit de la délégation communale de Akid Lotfi, celle de Haï Nasr ex-Derb et El Khaldia. Nos sources indiquent que les trois autres délégations seront installées au fur et à mesure, une fois les infrastructures réalisées. Nos interlocuteurs signalent qu’Akid Lotfi, Derb, Hammou Boutlélis, El-Khaldia, Fellaoucene et Mahieddine sont les nouvelles délégations communales (secteurs urbains) qui ont été approuvés lors de l’assemblée générale extraordinaire de l’APC tenue en fin d’année dernière. Nos sources indiquent que le dossier inhérent à la création de ces six nouveaux secteurs urbains dans la commune d’Oran a été ficelé et adressé au ministre de l’Intérieur il y a plus d’une année et la tutelle avait donné dernièrement son accord. A ce titre, toutes les dispositions ont été prises par la commune pour l’entrée en service de ces nouveaux secteurs urbains. Ceci étant, les mêmes interlocuteurs indiquent que la mise en service de ces nouvelles délégations se fera au fur et à mesure de la disponibilité des locaux et surtout des moyens humains. Une première assemblée générale avait été tenue le 9 juillet 2015 et avait approuvé le projet de création de ces secteurs urbains. « Bien avant de soumettre le dossier à l’approbation des élus, tout a été prévu par les services de la commune pour l’entrée en service de ces secteurs dans les plus brefs délais, notamment en matière d’infrastructures et d’équipements », ajoute la même source. Concernant les six nouveaux secteurs urbains, Akid Lotfi, Derb, Hammou Boutlélis, El Khadia, Fellaoucene et Mahieddine, il y a lieu de signaler qu’ils étaient auparavant rattachés à d’autres secteurs. A ce titre et conformément au nouveau découpage administratif effectué par les services de la commune, les secteurs urbains : Akid Lotfi sera détaché du secteur urbain El Menzeh (ex-Canastel) ; El Khaldia, rattachée à Ibn Sina, sera érigée en secteur urbain. Il en est de même pour Hammou Boutlélis qui dépendait de Seddikia ; le secteur Fellaoucene d’El Makkari, et Haï Mahieddine qui était rattaché au secteur urbain El Badr. Enfin, la nouvelle délégation communale En Nasr (ex-Haï Derb) se détachera du secteur urbain Sidi El Bachir (ex-Plateau).Pour une meilleure gestion de la collectivité, ce projet d’un nouveau découpage administratif avait été auparavant proposé au ministère de l’Intérieur mais avait été mis en veilleuse avant d’être relancé par le président de l’APC. La proposition prévoit de revoir à la hausse le nombre de secteurs urbains avec la création de ces six nouveaux secteurs, soit 18 au lieu de 12 secteurs urbains. L’initiative est dictée, selon les élus, par le fait que la ville d’Oran connaît ces dernières années une extension à la fois urbaine et démographique qui impose d’adopter une organisation administrative adaptée aux besoins de la ville et de ses citoyens. Le nombre de secteurs urbains actuels (12), ayant été déterminé lors du découpage administratif de 1994, a été ainsi revu à la hausse.
Concernant le choix de ces nouveaux secteurs urbains, la priorité a été accordée aux secteurs qui ont connu une extension importante, à l’instar d’El Makkari ou de Seddikia qui sont les plus disposés à voir leurs territoires diminuer à la faveur de ces nouveaux secteurs urbains. Il y a aussi le secteur urbain El Badr qui, à la faveur de ce nouveau découpage, sera scindé en deux secteurs. Avec une population de près de 40.000 âmes, le quartier d’El Akid Lotfi qui dépendait du secteur urbain de Canastel, avait toutes les caractéristiques pour jouir du statut de secteur urbain. Chaque nouveau secteur devra aussi bénéficier des équipements nécessaires, sièges administratifs et annexes d’état civil et autres structures communales d’accompagnement.Il y a lieu de signaler que le projet de ce nouveau découpage date de l’année 2011. Avec une nouvelle cartographie détaillant de nouvelles circonscriptions, les responsables locaux pourront enfin mieux identifier les besoins et contribueront à l’amélioration du rapprochement des citoyens à l’administration. Une synthèse technique cartographiée a été élaborée dans le cadre de ce projet par la division de l’urbanisme et de la planification, qui a été soumise au président de l’APC d’Oran.
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J. Boukraa
Une quinzaine de tonnes de détritus ont été enlevés avant-hier dans le cadre d’une opération d’assainissement effectuée par l’Epic Oran-propreté au niveau des quartiers El Othmania et Ain El Beida. Aussi des sacs de bouteilles en verre, en aluminium, et des herbes sèches ont été collectés. Cette action, a permis d’éradiquer 5 points noirs. Pour cela, il a été réquisitionné des gros camions et bulldozers. Il s’agit d’une nouvelle dynamique dans laquelle le citoyen sera désormais un partenaire à part entière en jouant pleinement son rôle dans toute action de sauvegarde et de promotion de l’environnement. « Il est grand temps de rompre définitivement avec les comportements inciviques, car il s’agit bel et bien de nos propres ordures », dira un riverain.Les agents chargés du ramassage et du nettoiement sont submergés par l’ampleur du phénomène d’autant plus qu’ils sont en nombre insuffisant. Une situation liée à plusieurs facteurs partagés entre les services communaux et le citoyen, notamment en ce qui concerne la prolifération des décharges sauvages, le non-respect des heures de passage des camions de collecte à l’origine de la présence de déchets ménagers à longueur de journée. En effet l’Epic Oran-propreté ramasse chaque jour près de 190 tonnes dont 147 tonnes de déchets ménagers et 45 tonnes de déchets inertes.
Les services concernés avaient à maintes reprises lancé un appel aux habitants pour respecter quelques mesures visant à améliorer l’hygiène publique et faciliter la tâche aux agents de nettoiement. Pour faire face à cette situation, un programme de volontariat et d’éradication des points noirs a été lancé fin 2017 suite aux instructions du wali avec la collaboration de multiples acteurs tels que des agents et des cadres des communes, des citoyens et le mouvement associatif, notamment des associations de la protection de l’environnement ou à caractère sportif.Dans ce contexte, l’Epic Oran-propreté a éliminé durant l’année 2018, près de 560 points noirs. Selon un bilan communiqué par cet organisme, durant la même période, près de 4.300 tonnes de déchets inertes ont été collectées. Ces opérations ont touché dix communes que couvre l’Epic, à savoir, Oran, El Kerma, Misserghine, Boutlelis, Es sénia, Sidi Chami, Ain Turck, Ben Freha, Bir El Djir et Mers el kébir. Ces actions entrent dans le cadre des opérations menées par la cellule de l’environnement créé fin 2017.
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K. Assia
La Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) de la wilaya d’Oran invite tous les employeurs qui emploient des travailleurs étrangers à procéder à la régularisation de leur situation vis-à-vis des assurances sociales et de se rapprocher des services de recouvrement des cotisations auprès des agences Cnas et de déposer les dossiers pour permettre à leurs salariés de bénéficier des prestations en matière de sécurité sociale au même titre que leurs collègues algériens. Selon la chargée de la communication de la caisse, on saura qu’une vaste campagne d’information et de sensibilisation est lancée du 6 janvier au 3 février afin de permettre aux entreprises concernées de régulariser la situation des travailleurs étrangers et de se conformer aux procédures réglementaires. Les employeurs doivent désormais déposer, selon notre interlocutrice, le dossier d’affiliation dans les délais fixés, dont une photocopie du passeport, le permis de travail en plus d’un document délivré par la direction de :l’emploi et attestant son activité en Algérie.La campagne est placée sous le slogan « la déclaration aux assurances sociales des travailleurs étrangers un engagement réglementaire ». Elle vise à faire connaître l’importance de la déclaration de cette catégorie à travers les explications des textes réglementaires relatifs aux engagements des assujettis en matière des assurances sociales, qui stipulent l’obligation de l’affiliation de toutes les personnes, quelle que soit leur nationalité, qui exercent une activité professionnelle salariée ou assimilée en Algérie, qu’elles soient individuellement ou en groupe par les employeurs quels que soient le montant et la nature de leurs salaires, la nature de la validité de leur contrat ou la relation de travail conformément aux dispositions de la loi 14-83 du 2 juillet 1983 relatives aux engagements des assujettis aux assurances sociales.
Notons que 2.109 déclaration annuelles des salaires DAS ont été effectuées depuis le début de l’année jusqu’au 7 janvier auprès des services de la Caisse nationale des assurances sociales d’Oran, selon un premier bilan dressé par la Cnas d’Oran. La Cnas a également enregistré jusqu’à la fin de l’année dernière quelque 13.900 déclarations annuelles des salaires DAS. Plus de 18.000 employeurs et plus de 500.000 salariés ont été également recensés jusqu’à la fin du mois de décembre dernier.The post CNAS: Les entreprises appelées à régulariser la situation des employés étrangers appeared first on .
Bencherki Otsmane
Conçue dans le but de désengorger les espaces occupés par les transporteurs de voyageurs au centre-ville de Chlef, la nouvelle gare routière de catégorie A, réalisée à la sortie ouest de la ville, et qui fut mise en exploitation en mai 2018, est décriée aussi bien par les opérateurs des lignes de transport de voyageurs inter-wilayas, les exploitants de taxis que les voyageurs eux-mêmes.Les uns se lamentent des conditions de travail qui leur sont offertes devenues jour chaque jour de plus en plus pénibles et les autres, en l’occurrence les voyageurs, qui dénoncent l’absence de commodités et des services les plus élémentaires. Mais c’est surtout l’insécurité qui règne dans les alentours particulièrement à partir de 18 heures qui risque de mettre en exécution la menace des opérateurs de cette gare de la bouder et revenir à l’ancienne gare du centre-ville.
Pour sa part, l’APC de Chlef tient à préciser que si l’éclairage et l’enlèvement des ordures relèvent de ses prérogatives, la sécurité des lieux n’est pas de son ressort.
A ce sujet on fait état d’une agression qui est survenue récemment, la nuit, et qui a visé une famille venue d’une autre wilaya. Celle-ci s’est vue détroussée de ses biens sous la menace d’armes blanches de la part de malfaiteurs qui ont fait de cette gare un lieu de prédilection pour leurs agressions et vols. Selon les chauffeurs de taxis de cette gare, « il est impératif que les pouvoirs publics remédient à cette situation tant sur le plan des commodités que celui de la sécurité pour nous permettre d’exercer notre métier dans de bonnes conditions ».
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Mahi Ahmed
Même si Abdelwahid Temmar, ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, a exprimé sa satisfaction quant à la situation qui prévaut dans son secteur lors de sa visite dans la wilaya de Relizane, samedi dernier, il n’en demeure pas moins que certains projets relevant de l’Agence de l’amélioration et du développement du logement (AADL) sont en retard de réalisation et d’autres non encore entamés pour diverses raisons.Il faut rappeler dans ce registre que la wilaya de Relizane a bénéficié de quelque 4.000 logements AADL dont 2.000 au chef-lieu de la wilaya déjà attribués en deux tranches à leurs souscripteurs. Cependant, des intrus débusqués à la suite d’enquêtes diligentées par les services compétents devront être remplacés par des résidents du chef-lieu de la wilaya en quête d’un logement. Les locataires de la cité AADL sise à la Ropale demandent la réduction des frais de gardiennage, de jardinage et de femmes de ménage estimés à 3.000 DA vu que « ces prestations sont quasiment nulles ». D’autres programmes de la même formule ont été affectés à Oued R’hiou (600 unités) dont le projet a été confié à CRCEG, une entreprise chinoise, en 2013 mais les travaux ne sont pas encore entamés.
C’est le même cas de figure pour les 500 unités initiés dans la commune de Merdjet Sidi Abed. Pour les projets de logements AADL de Zemmoura, Yellel et El Matmar, c’est le statu quo en attendant que des entreprises se manifestent pour leur réalisation, indique notre source d’information.
Enfin, à Djidiouia, les quelque 300 logements de l’AADL affectés en 2017 sont à près de 10% de taux d’avancement des travaux.
Il faut signaler aussi qu’un projet de 123 logements LSP implantés dans le site de la SN Métal dans la commune de Bendaoud, à quelques encablures de Relizane, n’est pas encore achevé depuis 2009. Les souscripteurs ont maintes fois exprimé leur courroux par des sit-in et des correspondances adressées à toutes les instances concernées mais en vain.
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