Les travaux du projet de construction et de modernisation de 35 marchés urbains et régionaux démarrent bientôt. Le ministre du cadre de vie, José Tonato accompagné d'une délégation ont rencontré ce vendredi 18 janvier 2019 au CPA de Cotonou, les usagers et acteurs de gestion des marchés. L'objectif principal était de faire part de l'état d'avancement du projet après la séance d'Avril 2018 et des dispositions pratiques à prendre pour le démarrage imminent des travaux.
Pour pallier les problèmes identifiés dans les marchés tels que : l'insuffisance des places de vente, les dépotoirs sauvages des déchets, congestions et autres, le gouvernement Talon a résolu de fournir aux populations béninoises des cadres modernes. Cette initiative inscrite dans le Programme d'Actions du gouvernement (PAG) comprend plusieurs projets dont : la modernisation et la construction de 35 marchés urbains et régionaux, d'un centre commercial au stade de Kouhounou, et la construction de la plateforme agroalimentaire d'Akassato.
Selon le ministre du cadre de vie, José Tonato, les travaux de 10 marchés vont démarrer à la fin du premier trimestre 2019. « Dans ces 10 marchés, nous avons 7 marchés urbains et 03 marchés régionaux », a informé le ministre du cadre de vie. Lesdits marchés sont : Tolégbé, Aidjèdo, Wologuèdè, Cadjèhoun, Gbégamey, Mènontin, Amawuignon, Houègbo, Azovè et Glazoué. Il a été lancé également l'appel d'offres pour la phase 2 pour 10 autres marchés dont 8 urbains et 2 régionaux.
Pour le démarrage imminent, il faut procéder à la libération des espaces commerciaux et ou le relogement de chaque marché. A cet effet, les sites de relogement ont été identifiés et les travaux d'aménagement sont prévus pour mars 2019.
Les avantages dudit projet
Le Chef du projet à l'agence du cadre de vie, Patrick Koffi a donné de précisions et les avantages pour les marchés urbains et régionaux.
« Pour les marchés urbains, il s'agit de la construction de halle et de grands hangars pour les marchés régionaux », a-t-il annoncé. Patrick Koffi a signalé que la construction sera faite en tenant compte de la spécificité de chaque site. Les places de marché Gbégamey passeront de 570 à 1000 et celles d'Aidjèdo de 218 à 324 places.
Il est prévu aussi un dispositif de drainage des eaux qui est associé au projet d'assainissement. Ce projet a également un impact positif sur la santé publique. Il permettra une meilleure gestion des déchets, la construction de toilettes hygiéniques, la construction d'infirmerie et autres.
Cette nouvelle de démarrage imminent du projet est appréciée par les usagers des marchés. « Nous sommes prêtes pour tout et nous remercions le chef de l'Etat pour ce projet salvateur qu'il a initié pour nous », a déclaré Bernadette Fagnihoun, présidente des vendeurs du marché de Cadjéhoun.
Pour Mihèmi Dossougouin, présidente des vendeuses du marché de Gbégamey, « l'ancienne place est exiguë, donc pour les prochaines constructions, il va falloir envisager un bâtiment de type R+1 ».
Encadré
Les sites de relogement identifiés
Pour la construction des marchés, le gouvernement a procédé à l'indentification des sites.
Marché de Ménontin : Face Eglise du Christianisme Céleste ; Paroisse Ebenezer
Marché de Wologuèdè : Fourrière municipale ; ex garage Ben Afrique
Marché de Aidjèdo : Grand carrefour St Cécile
Marché de Gbégamey : Terre-plein central en face du centre de Transfert Camp Guézo
Marché de Cadjéhoun : Entre l'échangeur Houéyiho et Super Maché Mont Sinai
Marché de Houégbo : Derrière le marché
Marché de Azovè : Derrière le marché
Marché de Glazoué : A côté de la gare de bus
Marché de Amawuignon (Parakou) : Sur le site de la gare du marché Guéma
Les besoins en nombre de places de vente à reloger par marché ont été recensés. A titre d'exemple, il est prévu le relogement de 620 vendeuses au marché Gbégamey, 200 à Wologuèdè et 383 à Ménontin.
Akpédjé AYOSSO
Le Centre Marocain des Etudes Stratégiques (CMES) organise en partenariat avec la Fédération Africaine des Etudes Stratégiques (FAES) la 10ème édition de la Conférence Internationale " Marrakech Security Forum / AfricaSEC 2019 ". Cet évènement placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, se tiendra à Marrakech (Maroc) les 8 et 9 février 2019 sous le thème : "Construire pour l'Afrique sa Sécurité du futur".
La Conférence Internationale " Marrakech Security Forum / AfricaSEC 2019 " se tiendra à Marrakech les 8 et 9 février 2019 sous le thème : "Construire pour l'Afrique sa Sécurité du futur". Cette 10ème édition sera focalisée sur plusieurs axes. Il s'agit entre autres de re-conceptualiser et repenser la Sécurité à l'ère du numérique.
Les participants vont aussi aborder plusieurs autres aspects : L'Afrique face aux vulnérabilités chroniques et aux menaces transnationales et asymétriques ; L'arc de crises Afrique Centrale et zone Sahélo-Saharienne : entre conflits enlisés et menaces émergentes ; L'Afrique australe et Grands Lacs : entre violence, groupes armés et stabilité précaire.
L'Union Africaine face au défi de la Réforme du Conseil de Paix et de Sécurité ; Nature et étendue des Cyber Menaces : acteurs malveillants, modes opératoires, nature des menaces ; Les théâtres de la Cyber Stratégie : de la Cyber Sécurité à la Cyber Défense puis la Cyber Guerre ; et Quelles stratégies de lutte contre les Cyber Risques : l'architecture de la Sécurité du futur, seront également au centre des préoccupations.
Un accent sera mis sur Femmes et enfants dans la spirale des organisations extrémistes violentes (en partenariat avec ONU Femmes) ; Cyber Renseignement et Risques numériques ; Quelles perspectives pour le Renseignement spatial et aérien ? ; Le Renseignement comme arme dans la lutte contre les menaces sécuritaires émergentes ; et Cyber Terrorisme et la radicalisation dans le Cyber Espace.
Les axes non moins importants de cette conférence internationale concernent De l'hyper-terrorisme au « low cost » terrorisme au Terrorisme hybride ; Les organisations terroristes et criminelles hybrides, les menaces et guerres hybrides : la nécessaire transformation des Services de Sécurité et de Défense.
Plus de 300 participants de haut-niveau (responsables civils et militaires, dirigeants d'organisations internationales, sécuritaires et experts africains, américains, européens et asiatiques) sont invités à ce forum dans le but d'analyser, de débattre et d'échanger les expériences.
Le CMES - Global Network Against Women Radicalization, organise parallèlement aux travaux de Marrakech Security Forum / AfricaSEC 2019, un atelier sur le thème : " Perspectives du genre dans la prévention de l'extrémisme violent, PVE-CVE". Cette rencontre qui sera tenue, le samedi 9 Février 2019, est initiée en partenariat avec UN Women- ONU Femmes.
I. F.
ALGER – La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme a affirmé, lundi, que le nombre effectif des personnes aux besoins spécifiques en Algérie sera fixé au prochain recensement de la population en 2020.
Invitée du forum de la Chaîne I de la Radio nationale, la ministre a fait savoir que le nombre des personnes aux besoins spécifiques en Algérie « s’élève aujourd’hui à (01) million de personnes titulaires d’une carte d’handicap ».
Néanmoins, a estimé la ministre, « la réalité dépasse largement ce chiffre », ce qui a amené son secteur à saisir le ministère de l’Intérieur afin d’inclure une case spéciale dans les formulaires qui serviront au recensement prochain de la population, dans l’objectif de déterminer le nombre réel de cette catégorie.
Cette démarche permettra de « rationaliser davantage les dépenses et d’attribuer les aides accordées par le secteur de la Solidarité nationale à leurs véritables bénéficiaires », a précisé Mme Eddalia.
Abordant, dans ce contexte, les différents mécanismes dédiés à l’aide accordée à cette catégorie vulnérable, la ministre a cité un taux d’un (01) % des postes d’emploi au sein des entreprises publiques et privées, consacré par le législateur algérien, au profit des personnes aux besoins spécifiques, regrettant le non-respect de ce taux.
A ce propos, Mme Eddalia a rappelé que son secteur avait récemment procédé à un recensement au niveau des différents ministères, qui a fait ressortir que le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs était le seul département ministériel ayant respecté le taux fixé par la loi N 09-02 relative à la Protection et à la promotion des personnes handicapées.
En matière d’aide sociale, la ministre a révélé que le fichier social pour la population, dont la création est déjà lancée « sera bientôt finalisé », sachant qu’il servira, au prochain mois de Ramadhan, à la distribution des aides.
Rappelant que les aides accordées par l’Etat lors du mois sacré de Ramadhan sont principalement assurées par le ministère de l’Intérieur, la ministre a affirmé que son secteur contribuait, à hauteur de 9 à 10%, aux opérations d’aides, notamment à travers les restaurants de solidarité auxquels un budget est consacré, au titre du Fonds national de Solidarité (FNS).
La première responsable du secteur a souligné que l’Etat poursuivait sa politique sociale, en dépit de la réduction des ressources financières, confirmée au sein de la Loi de finances actuelle qui consacre 21% du budget de l’Etat au secteur, soit plus de 8% du PIB.
Le développement de la croissance démographique d’une moyenne d’un million d’habitant/an, ainsi que la crise financière que traverse le pays, exigent le lancement d’une réflexion avec les autres ministères autour de l’élaboration d’une planification familiale à même de permettre aux pouvoirs publics de mettre sur pied une stratégie future pour rationaliser les dépenses et gérer directement les départements concernés, à l’image de la Santé, de l’Education et la formation, a indiqué l’intervenante.
La ministre est revenue, à cette occasion, sur les différentes politiques initiées par le ministère de la Solidarité nationale en matière de prise en charge des différentes catégories sociales, à l’image des autistes, expliquant, à cet égard, que 117 espaces au niveau des établissements d’éducation et d’enseignement spécialisé relevant du secteur profitent, jusqu’à présent, à près de 2000 enfants.
Elle a expliqué, dans ce sens, que les inscriptions au niveau de ces centres étaient ouverts tout au long de l’année. S’agissant des personnes âgées, Mme Eddalia a rappelé l’intérêt particulier porté par son secteur à cette frange, à travers notamment la prise en charge des personnes âgées, privées de la chaleur familiale, au niveau de 33 centres pour personnes âgées et 7 Diar Errahma.
Elle a fait savoir que le mécanisme de médiation assuré par les services de l’action sociale dans les différentes wilayas avait permis de replacer 300 personnes âgées dans leur milieu familial sur les 1760 pensionnaires de ces centres.
Abordant les différents mécanismes mis en place pour soutenir les jeunes, Mme Eddalia a dévoilé les dernières statistiques de l’Agence nationale de gestion du microcrédit (ANGEM) qui a accordé, en 2018, près de 50.365 crédits d’un montant de 11 milliards DA, des crédits ayant bénéficié à hauteur de 70% aux femmes. La même agence a octroyé 47.331 crédits au cours de l’année 2019 d’un montant de 10 milliards DA.
La ministre a annoncé, à ce titre, de nouvelles mesures de facilité afin de bénéficier de ces crédits en 2019, dont la possibilité d’accorder un deuxième crédit à un bénéficiaire ayant déjà remboursé le premier, outre la possibilité de demander un crédit de la même agence, sur le portail électronique du ministère.
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CHAHID EL HAFEDH – Le président du Conseil national sahraoui, Khatri Addouh, a estimé lundi que l’entérinement de l’accord commercial UE-Maroc incluant le Sahara Occidental occupé par le Parlement européen mettait l’institution législative européenne et les autres organes de l’Union européenne (UE) devant de grandes responsabilités et rendait l’Union « complice d’injustice, d’agression et de transgression du droit humanitaire international et de la justice européenne ».
Dans une déclaration publiée par l’agence de presse sahraouie (SPS), M. Eddouh a réitéré que « le droit international est très clair au sujet du Sahara Occidental », rappelant que « les résolutions et décisions de l’organisation onusienne et de la cour de justice de l’Union européenne (CJUE) soutiennent qu’il s’agit bel et bien d’une question de décolonisation d’un territoire non autonome et dont le peuple est en attente d’autodétermination, qui est un droit inaliénable ».
Pour M. Addouh, « persister dans la transgression de la légalité internationale et de la justice européenne est une grave régression de la crédibilité de l’UE et des principes et valeurs qu’elle dit prônés ».
Par ailleurs, le président du Conseil national sahraoui a tenu à saluer la position de plusieurs pays membres de l’UE, de groupes parlementaires et de parlementaires qui, a-t-il dit, « se sont opposés honorablement à ce regrettable dérapage qui met l’UE en position de complice d’injustice, d’agression et de transgression du droit humanitaire international et de la justice européenne elle même ».
Il a ajouté que « l’UE, sur instigation flagrante de la France et de l’Espagne, encourage l’occupant marocain dans sa politique d’entrave aux efforts et chances de parvenir à la paix dans la région avec tout ce que cela suppose en termes de menaces pour la paix et la sécurité et de gaspillage d’opportunités de coopération et d’intégration entre ses composantes, y compris le peuple sahraoui ».
Exprimant « la condamnation ferme du Conseil national et du peuple sahraouis de cet accord nul ab initio », le responsable sahraoui a appelé à « poursuivre le travail par tous les moyens légaux et possibles afin d’empêcher sa mise en oeuvre ».
Il a affirmé, à ce propos, que « la présence de la Minurso au Sahara Occidental depuis 1991, la désignation par le Secrétaire général de l’ONU d’un Envoyé personnel en charge de ce dossier et le suivi par le Conseil de sécurité sont autant de preuves que le statut final de ce territoire n’a pas encore été défini et que ceci reste tributaire de l’expression, directe et franche, par le peuple sahraoui de son libre choix à travers un référendum juste et transparent ».
« Les fondements de ces règles juridiques n’ont cessé de se consolider par un consensus international continu, partant de l’établissement du droit à l’autodétermination en arrivant à la reconnaissance de la République arabe sahraoui démocratique (RASD) en tant que membre fondateur de l’Union africaine (UA), a rappelé M. Addouh.
Il a ajouté que la justice européenne exprimée à quatre reprises, depuis 2016, dans les arrêts de la CJUE constitue un autre fondement capital et clairement énoncé que « le Maroc et le Sahara Occidental sont deux territoires distincts et séparés, que le Maroc n’a aucune souveraineté sur le Sahara occidental, qu’il est une force occupante et non administrante, que les accords conclus avec le Maroc sont non applicables au Sahara Occidental et que toute disposition de ses ressources implique le consentement du peuple sahraoui via son unique et légitime représentant, le Front Polisario ».
Le Parlement européen a entériné, mercredi dernier à Strasbourg, l’accord UE-Maroc incluant les produits originaires du Sahara occidental, qualifié de « véritable forfaiture » qui a transgressé les arrêts de la Cour de justice européenne (CJUE) ayant statué sur le caractère « distinct » et « séparé » du territoire du Sahara Occidental.
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CHLEF – Le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, Abdelkader Bouazghi a annoncé lundi à Chlef la réception, la semaine prochaine, du premier lot de vaccins contre la peste des petits ruminants et la fièvre aphteuse.
La réception du premier lot de vaccins contre la peste des petits ruminants et la fièvre aphteuse est prévue pour la fin de cette semaine ou le début de la semaine prochaine au plus tard, a indiqué M. Bouazghi dans une déclaration à la presse au terme de sa visite à la wilaya de Chlef.
Il a assuré, en outre, les éleveurs que les vaccins seront distribués dès leur réception et qu’ils seront livrés aux parties concernées vers la fin janvier, soulignant qu’une grande quantité de vaccins a été mise à la dispositions des éleveurs en attendant la réception des quantités de vaccins demandées ce qui a permis de mieux cerner l’épidémie et de réduire les cas de perte des petits ruminants.
Des cas de peste des petits ruminants et de fièvre aphteuse ont été enregistrés dans 15 wilayas du pays entrainant la perte de dizaines de têtes de bétail et un préjudice pour les éleveurs, d’où l’intervention des pouvoirs publics, notamment le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, qui a promis des vaccins d’ici la fin du mois en cours et l’indemnisation des éleveurs lésés.
S’agissant de l’indemnisation, le ministre a fait savoir que toutes les mesures ont été prises à travers une directive pour définir les conditions et les manières de bénéficier d’une indemnisation au profit des éleveurs lésés ayant l’aval des services vétérinaires locaux pour les cas déclarés, ajoutant qu’il a été procédé à l’affectation de fonds pour prendre en charge cette opération.
M. Bouazghi s’est dit satisfait des efforts consentis au niveau de l’ensemble du pays en vue lutter contre cette épidémie, tant par les services vétérinaires publics ou privés que par les éleveurs qui ont respecté les directives et les opérations de sensibilisation ayant été lancées afin de diminuer la propagation de l’épidémie.
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MILA – Les tas de déchets notamment plastiques amassés sur la rive du barrage de Béni Haroun dans la région de Ghar Salim, dans la commune de Grarem Gouga (Mila) ont causé « inhabituellement » le recul du nombre d’oiseaux migrateurs fréquentant la région, a-t-on appris lundi, auprès de la conservation des forêts de la wilaya.
Fréquenté en moyenne chaque année par 3.000 oiseaux migrateurs, la région de Ghar Salim, zone humide artificielle et 2ème site plus prisé dans la wilaya par ces oiseaux, n’a attiré cette année que plus de 500 individus recensés, a assuré la responsable de la cellule d’observation des oiseaux à la conservation, Mme Manal Haniche.
Le nombre de fuligules nyrocas, espèce d’oiseaux protégée, hivernant sur ce site a ainsi baissé à 23 individus contre 348 l’année passée, a-t-elle relevé , ajoutant qu’aucun individu des deux espèces des spatules blanches et tadornes de Belon n’a été observé cette saison.
L’accumulation des déchets plastiques constitue un danger autant pour l’avifaune que les poissons de ce plan d’eau, a souligné la même source qui a invité les instances concernées à coordonner avec la conservation des forêts pour nettoyer le site. Elle a également invité les visiteurs du site à ne pas jeter leurs déchets polluant l’environnement.
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L'ancien Président du Conseil d'Administration de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), Laurent Mètongnon et ses coaccusés inculpés dans le dossier de placement hasardeux des fonds de ladite caisse à la Banque internationale du Bénin (Bibe) alors en difficulté, seront écoutés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), le jeudi 24 janvier 2019. Précédemment annoncé pour le 17 janvier dernier, l'audience a été reportée en raison du procès Icc-services en cours de à la CRIET.
F. A. A.
Par Hasna YACOUB
Elle, c’est une étudiante d’une vingtaine d’années, lui, un baron de la drogue, originaire de Sétif. Rien ne présageait le fait que ces deux personnes allaient se croiser un jour et faire un chemin ensemble. Mais il s’agit d’un chemin truffé d’épines.
Un cauchemar pour la jeune étudiante. Cette dernière a connu son agresseur l’été dernier par le biais des réseaux sociaux. Après une période, le jeune homme lui propose le mariage et va même discuter avec sa mère pour donner plus de crédit à son intention. Mais au cours de ces fiançailles virtuelles, le jeune Sétifien se déplace à Alger et demande à sa dulcinée de le rejoindre à la station de bus pour lui remettre des cadeaux. Ce qu’elle fit.
Mais, comme elle le racontera plus tard aux enquêteurs, après cette entrevue, elle ne se rappelle plus de rien, du fait qu’elle s’est réveillée dans une chambre à coucher dans un état déplorable. Elle venait d’être violée par son prétendu fiancé qui va la menacer de publier ses photos sur les réseaux sociaux et même de la tuer si jamais elle venait à le dénoncer. Par peur du scandale, cette dernière ne va rien dire et va continuer à subir les menaces de son agresseur.
Elle va ainsi accepter de passer quelques jours avec lui à Sétif où il ne va pas seulement abuser d’elle, mais la forcer à prendre de la drogue et exiger d’elle de lui verser une somme d’argent pour ne pas publier ses photos. Mais un drame ne survient jamais seul et quand la jeune fille s’est rendue compte qu’elle était enceinte, elle a décidé de porter plainte. L’enquête, menée par les services de sécurité, a permis de confirmer une bonne partie de la version de la victime, dont le versement de la somme de 80.000 DA sur le compte d’un ami de l’agresseur.
Convoqué pour entendre sa version des faits, le jeune Sétifien était dans l’incapacité de se présenter, étant déjà en détention préventive pour une affaire de trafic de stupéfiants. Il sera prochainement entendu.
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Elle a décidé de prendre son temps, Louisa Hanoune, la passionaria du Parti des travailleurs, avant de se résoudre à se jeter dans le bain ou au contraire assister à partir des premières loges à la présidentielle qui pourrait voir le devenir du pays prendre un cours tel qu’il s’agira d’un «rendez-vous avec le destin», comme elle n’avait pas omis d’avertir il y a une dizaine de jours à partir du Village des artistes de Zeralda.
Il faudrait être un grand naïf pour croire que son avis n’influencera pas la décision de l’instance du PT habilitée à donner le quitus pour prendre part ou non à l’élection présidentielle du 18 avril prochain, mais se voulant respectueuse des structures de son parti et de son fonctionnement, Louisa Hanoune laisse donc la main à son bureau politique, le week-end prochain vraisemblablement, pour décider d’être de la partie ou non. Si l’on décortique ses propos tenus samedi, la secrétaire générale du PT ne paraît pas très chaude pour s’impliquer, du moins si la situation politique et socio-économique demeure en l’état.
La convocation du corps électoral, en guise de premier acte de clarification, qu’elle réclamait dix jours plus tôt pour dissiper ce qu’elle appelait «les incertitudes et les interprétations» quant au maintien ou pas de ce scrutin ne semble pas la rassurer outre mesure pour se lancer et poursuivre ainsi dans la logique qui la voyait lors de l’élection présidentielle de 2009 briguer pour la seconde fois la magistrature suprême en criant haut et fort que c’était pour avoir «la possibilité de disposer d’une formidable tribune pour faire progresser les idées du parti, défendre la souveraineté nationale et changer le destin des Algériens».
Pour accepter de participer à conférer à cette élection son cachet démocratique, Louisa Hanoune, qui tenterait alors sa chance pour la cinquième fois, a aligné les préalables entre la révision de la loi portant régime électoral et la mise sur pied d’une véritable commission de surveillance du processus électoral du début à sa fin. Ceci, sans parler de cette question récurrente depuis quelques scrutins concernant «l’intrusion de l’argent sale dans la campagne».
Des revendications, en somme, qui reviennent comme un leitmotiv et, surtout, qui ne l’ont pas empêchée auparavant d’être de la partie, surtout que cette fois le danger qu’encourt le pays est réel plus qu’il ne l’était lors de la conjoncture dans laquelle s’était déroulée la présidentielle de 2014 puisque, à l’en croire, l’Algérie d’aujourd’hui diffère totalement de celle d’il y a cinq ans, la situation s’étant nettement dégradée avec une crise politique et institutionnelle des plus graves, alors que les larges couches sont passées de l’état de pauvreté à l’état de misère au moment où les classes moyennes ont rejoint le rang des pauvres, ce qui a entraîné une crise sociale qui menace la sécurité nationale. Une situation qui n’est pas loin du chaos donc, selon sa description d’il y a dix jours dressée lors de la tenue de la première session de l’année de son comité central.
Mais est-ce suffisant pour qu’elle se décide à mettre l’habit de la «sauveuse» et, donc, tenter de briguer une nouvelle fois le droit de siéger à El-Mouradia et, ainsi, se mettre en travers du chemin du Président sortant, celui-là même qu’elle a soutenu en maintes occasions, même lorsque le pays n’allait pas comme dans le meilleur des mondes ?
Azedine Maktour
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1 baguette de pain coupée en tranches de 1 cm
Pour la pâte : 1/2 c. à c. d’ail écrasé, 4 c. à s. de poudre de pois chiches, 30 cl d’eau, 1 c. à c. de sel
Pour la sauce piquante : 1 grosse tomate bien mûre,1 gros piment vert, 7 branches de coriandre fraîche, 5 branches de menthe fraîche, 1/2 petit oignon, 1/2 gousse d’ail, 1 c. à c. de sel
Mélangez tous les ingrédients pour la pâte et laissez-la reposer 10 min. Trempez les tranches de pain dans cette pâte et dorez-les à la poêle à feu moyen. Mixez au robot tous les ingrédients pour la sauce piquante. Servez les pains dorés avec. Un délice, spécialité indienne. A consommer sans modération !
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Contrairement à une idée reçue, le désir d’aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs, n’est pas une particularité propre aux jeunes Algériens parmi les plus défavorisés socialement. Ce phénomène touche désormais des membres de l’élite nationale, à l’exemple des médecins, des chercheurs et autres techniciens supérieurs.
Pour le président du Conseil national de l’Ordre des médecins, cette envie irrésistible d’Algériens à vouloir quitter le pays qui les a vus naitre, s’expliquerait par un « climat qu’ils jugent comme n’étant pas à la hauteur de leurs attentes »
Intervenant, lundi, à l’émission L’invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le Dr Mohamed Bekkat Berkani rappelle que ce qui est désigné communément comme une « fuite des cerveaux », est une caractéristique que rencontrent tous les pays en développement.
Il note qu’en Algérie, ce mouvement a commencé à toucher des médecins chargés du secteur de la santé, formés, dit-il, à grands frais et qui, pour des raisons multiples, « estiment qu’ils ne sont pas considérés à leur juste valeur », ou que leur carrière professionnelle n’est pas à la hauteur de ce qu’ils en espéraient.
Ce praticien observe que les pouvoirs publics ont tendance à minimiser un problème qui, prévient-il, est en train de prendre de l’ampleur et qui est exacerbé par « certains pays » qui accordent des facilités à ces candidats à l’immigration pour les attirer.
Pour tenter de freiner cet exode des têtes pensantes, le Dr Bekkat Berkani estime que l’une des solutions consiste « à établir un dialogue » avec elles et non pas à tenter de la solutionner « sous un angle répressif ».
Rappelant que les médecins, en particulier, pratiquent un métier « dont ils avaient au départ une autre opinion », il note que ceux-ci se sont trouvés mal considérés, agressés parfois, ou bien manquant d’équipements de soins appropriés pour exercer correctement leur métier.
Pour mettre un terme à ce marasme, le président de l’Ordre des médecins propose d’inaugurer une rencontre regroupant les autorités avec les médecins, pour « lever un certain nombre de contraintes » et trouver des solutions « immédiates », pour éviter que ces derniers « ne sombrent dans la désespérance de leur pays ».
Pour illustrer l’ampleur que représente pour le pays la fuite de ses potentialités humaines, l’invité rappelle qu’au seul niveau de la France, sans compter ceux activant au Canada et en Allemagne, ils sont quelque 15.000 praticiens Algériens à professer dans différentes spécialités médicales.
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ALGER – Le président du Conseil national de l’Ordre des médecins, Dr Mohamed Bekkat Berkani, a appelé lundi à Alger à l’établissement d’un véritable dialogue pour éviter la « fuite des cerveaux », notamment des médecins, « formés à grands frais » en Algérie et qui vont exercer leur talent ailleurs.
Intervenant sur les ondes de la Chaine III de la Radio nationale, Dr Berkani a indiqué que la « fuite des cerveaux » avait commencé à toucher le personnel de la santé pour des raisons multiples, notamment sociales, appelant à l’établissement d’un dialogue « à tous les niveaux » par les autorités.
« Il faut que les autorités prennent langue avec cette intelligentsia qui est en train de nous quitter, formée à grands frais, et qui va exercer fatalement ses talents ailleurs », a-t-il ajouté, plaidant pour l’amélioration de leurs conditions sociales, de travail et d’enseignement.
Le Dr Bekkat Berkani a relevé que 15.000 médecins algériens exerçaient en France, dont 5.000 seulement avaient une situation administrative réglée, affirmant toutefois que dans ce pays, « vous avez des Algériens qui sont dans les services de pointe de la médecine ».
Interrogé sur l’éventualité de faire revenir ce personnel parti à l’étranger, Dr Berkani a estimé qu’il était « possible » de les faire revenir pour « nous donner un coup de main », puisque il y avait déjà ceux qui le font, même s’il admet qu’il était « difficile » pour eux de revenir définitivement alors qu’ils se sont fait une place ailleurs.
Pour ce spécialiste de la santé, il faudrait « tout remettre à plat » pour améliorer ce secteur, notamment les structures hospitalières, le financement du service public pour être à la hauteur de la demande de la population en terme de soins.
Evoquant la Loi sanitaire, il a indiqué que cette dernière était « une bonne avancée », mais « on attend les textes d’application », ajoutant que ce sont les pratiques et les fonctionnements qui posaient néanmoins problème.
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Le NA Hussein Dey a été versé dans le groupe D de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), à l’issue du tirage au sort effectué ce lundi au Caire (Egypte).
Pour sa première participation à la phase de poules de la Coupe de la CAF, le Nasria aura pour adversaires : le Zamalek (Egypte), Gor Mahia (Kenya) et Petro Ateltico (Angola).
Le premier match des Sang et Or aura lieu le 3 février prochain à Alger face aux Angolais du Petro Ateltico.
Pour rappel, les Nahdistes ont réussi à passer le cap du tour préliminaire de la Coupe de la CAF en disposant de la formation libyenne du Ahly Benghazi (3-1), dimanche, lors de la manche retour des 16es de finale (bis).
Programme complet du groupe D :
1ere journée (3 février) :
Gor Mahia (Kenya) – Zamalek (Egypte)
NA Hussein Dey – Petro Atletico (Angola)
2e journée (13 février 2019) :
Petro Atletico – Gor Mahia
Zamalek – NA Hussein Dey
3e journée (24 février) :
Zamalek – Petro Atletico
Gor Mahia – NA Hussein Dey
4e journée (3 mars) :
Petro Atletico – Zamalek
NA Hussein Dey – Gor Mahia
5e journée (10 mars) :
Zamalek – Gor Mahia
Petro Atletico – NA Hussein Dey
6e journée (17 mars) :
Gor Mahia – Petro Atletico
NA Hussein Dey – Zamalek
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