L’attaquant de l’Espérance Tunis et du Tunisie Anice Badri a été élu meilleur joueur maghrébin de l’année 2018, devant Hakim Ziyech et Riyad Mahrez.
Anice Badri a récolté 47% des suffrages devant le Marocain Hakim Ziyech (Ajax Amsterdam / Maroc) 15%. L’Algérien Riyad Mahrez (Manchester City) 12% complète le podium.
Le meilleur footballeur algérien de l’année 2018 Baghdad Bounedjah (Al Sadd / Algérie) occupe la cinquième place ( 6%) devant son compatriote Youcef Atal (Courtrai / Nice / Algérie) : 4%.
L’international tunisien succède au défenseur marocain de la Juventus Mehdi Benatia vainqueur de l’édition 2017.
Auteur d’une excellente saison, Badri a été décisif lors de la Ligue des champions en finissant meilleur buteur (8 buts-16 matchs) et inscrivant des buts dans les demi-finales et finale.
« Je suis très heureux de ce titre. Cela me fait énormément plaisir eu égard au pedigree des joueurs qui ont été nommés pour cette élection. Finir devant eux, c’est vraiment quelque chose d’exceptionnel. Je remercie toutes les personnes qui ont voté, et qui se sont mobilisées pour moi. C’est mon Ballon d’Or à moi. Ce trophée, c’est une fierté qui clôt cette saison en forme de consécration. » a déclaré Badri au magazine France football.
Le classement du joueur maghrébin 2018
Le palmarès
2013 : Islam Slimani (Algérie)
2014 : Yacine Brahimi (Algérie)
2015 : Riyad Mahrez (Algérie)
2016 : Riyad Mahrez (Algérie)
2017 : Mehdi Benatia (Maroc)
2018 : Anice Badri (Tunisie) .
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La liste des partis favorables au 5eme mandat s’allonge. Après le TAJ, c’est au tour du RND a appelé le président Bouteflika à se porter candidat pour l’élection présidentielle du 18 avril prochain.
Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion de son conseil national, le parti d’Ahmed Ouyahia accueille cette décision et réitère sa demande au président Bouteflika à se porter candidat aux prochaines élections présidentielles.
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Avec la convocation du corps électoral par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour le 18 avril prochain, le processus de l’organisation de l’élection présidentielle, un rendez-vous politique national majeur, est enclenché et se déroulera pour la première fois dans le cadre de la Constitution de 2016 et de la nouvelle loi relative au régime électoral.
Cette convocation intervient dans les délais juridiques et conformément aux dispositions de la loi électorale qui stipule dans son article 136, que « le corps électoral est convoqué quatre-vingt-dix (90) jours avant la date du scrutin… ».
Ainsi et pour la première fois dans histoire de l’Algérie, le rendez-vous présidentiel se déroulera sous la supervision de la Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE).
Créée à la faveur de la révision constitutionnelle de 2016 et composée de 410 membres (205 magistrats et 205 compétences indépendantes issues de la société civile), cette instance est chargée notamment de veiller à la supervision des opérations de révision des listes électorales par l’administration, à la formulation de recommandations pour l’amélioration du dispositif législatif et réglementaire régissant les opérations électorales et à l’organisation de cycles de formation civique au bénéfice des formations politiques sur la surveillance des scrutins et la formulation des recours.
En somme, elle veille à consolider la crédibilité des élections et de veiller à leur transparence et probité dès la convocation du corps électoral jusqu’à la proclamation des résultats du scrutin.
Après la convocation du corps électoral par le chef de l’Etat, c’est tout un processus qui sera enclenché, entre révision exceptionnelle des listes électorales, dépot des dossiers des candidatures auprès du Conseil constitutionnel et installation de la Commission nationale de préparation et d`organisation des élections.
Pour rappel, la Constitution stipule dans son article 85 que le Président de la République est élu au suffrage universel, direct et secret et que l’élection est acquise à la majorité absolue des suffrages exprimés, alors que l’article 88 précise que la durée du mandat présidentiel est de 5 ans et que le Président de la République est rééligible une seule fois.
Le président de la République, selon la Loi fondamentale du pays, jouit de plusieurs prérogatives et pouvoirs. Il est, entre autres, Chef Suprême des Forces armées, responsable de la Défense nationale, arrête et conduit la politique extérieure du pays, préside le Conseil des Ministres et peut, sur toute question d’importance nationale, saisir le peuple par voie de référendum.
Concernant les conditions de candidature à la magistrature supreme du pays, elles sont bien définies par la Constitution qui précise, entre autres, que le candidat doit jouir uniquement de la nationalité algérienne d’origine, attester de la nationalité d’origine du père et de la mère, avoir 40 ans révolus au jour de l’élection, être de confession musulmane, jouir de la plénitude de ses droits civils politiques et attester de la nationalité algérienne d’origine unique du conjoint.
Le candidat doit également justifier d’une résidence permanente exclusive en Algérie durant un minimum de 10 années précédant le dépôt de la candidature, justifier de la participation à la Révolution du 1er novembre 1954 pour les candidats nés avant juillet 1942 et justifier de la non-implication des parents du candidat né après juillet 1942 dans des actes hostiles à la Révolution du 1er novembre 1954.
Engagement pour la non utilisation des composantes fondamentales de l’identité à des fins partisanes
Pour le dépôt des dossiers des candidatures, la loi relative au régime électoral, dans son article 140, énonce que la déclaration de candidature est déposée, au plus tard, dans les 45 jours qui suivent la publication du décret présidentiel portant convocation du corps électoral, alors que l’article 141 stipule que le Conseil constitutionnel statue sur la validité des candidatures dans un délai de 10 jours à compter de la date du dépôt de la déclaration de candidature.
Le candidat doit présenter aussi un engagement écrit et signé portant notamment sur la non utilisation des composantes fondamentales de l’identité dans sa triple dimension islamique, arabe et amazighe à des fins partisanes, le respect et la concrétisation des principes du premier Novembre 1954, le respect de la Constitution et des lois en vigueur et l’engagement de s’y conformer, la préservation de la souveraineté nationale et le respect de l’alternance démocratique au pouvoir par la voie du libre choix du peuple algérien.
Selon les dispositions de la même loi, le candidat doit présenter soit une liste comprenant 600 signatures individuelles de membres d’élus d’Assemblées populaires locales (APC et APW) ou parlementaires et réparties au moins à travers 25 wilayas, soit une liste comportant 60.000 signatures individuelles, au moins, d’électeurs inscrits sur une liste électorale et ces signatures doivent être recueillies à travers, au moins, 25 wilayas avec un minimal des signatures exigées pour chacune des wilayas qui ne saurait être inférieur à 1.500.
A propos du déroulement du scrutin, le texte précise que l’élection a lieu dans les 30 jours qui précèdent l’expiration du mandat du président de la République.
Par ailleurs, la convocation du corps électoral donnera lieu, d’une manière systématique, à l’installation d’une commission nationale de préparation et d’organisation de l’élection présidentielle, présidée par le Premier ministre et instituée, traditionnellement, sur instruction du président de la République, afin de garantir le bon déroulement du scrutin à travers la mobilisation de tous les moyens humains et matériels nécessaires au profit des candidats et des électeurs.
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Un Forum national sur le phénomène de « harraga » (immigration clandestine), organisé par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, se tiendra samedi et dimanche prochains à Alger, a-t-on appris auprès du ministère.
Inscrit sur le thème « L’avenir de nos jeunes, une responsabilité commune », cette rencontre est une occasion pour étudier ce phénomène « dans tous ses aspects ».
« Ce sera aussi un espace de discussion entre les différents acteurs impliqués qui sera couronné par des recommandations visant à mettre en œuvre un plan d’action global pour le traitement de cette question », a-t-on précisé de même source.
Ce forum sera également rehaussé par quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et Internet : pour des actions préventives », « Intégration de la jeunesse dans le domaine économique : réalités, obstacles et défis », « Programmes consacrés à la jeunesse relatifs à la culture et au divertissement » et « Rôle des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse : travail de proximité, médiation et action unifiée en réseau ».
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– Trois réseaux d’organisation de voyages d’émigration clandestine à destination des cotes espagnoles ont été démantelés depuis le début du mois de janvier courant dans la wilaya de Mostaganem, a-t-on appris vendredi de source sécuritaire.
Ces réseaux activaient dans le territoire de la commune Mostaganem. Trois organisateurs de ces voyages clandestins et sept autres individus, membres de ces réseaux, ont été arrêtés lors d’opérations distinctes, a-t-on précisé de même source.
La première opération a été menée sur la base d’informations faisant état d’activités concernant l’émigration clandestine que pratiquaient des suspects, agés entre 31 et 56 ans, et dont faisaient partie des repris de justice.
Les investigations ont permis d’identifier le chef de ce réseau, un marin agé de 31 ans, originaire de Mostaganem, qui proposait « ses services » à des candidats à l’émigration clandestine de différentes wilayas du pays.
Le cerveau de ce réseau faisait appel à d’autres complices pour l’acquisition de l’embarcation, des moteurs et du carburant.
Après une minutieuse enquête et une longue période de surveillance, les membres de ce réseau sont tombés dans les filets des éléments de la sureté.
Le réseau activait à travers les wilayas de Mostaganem, Mascara et Oran. Les mis en cause ont été déférés devant la justice, a-t-on précisé.
Le second réseau démantelé utilisait les réseaux sociaux, notamment Facebook, pour organiser des voyages clandestins vers les cotes espagnoles contre versement d’une somme allant de 120 à 150.000 DA par personne.
Le chef de ce réseau, agé de 35 ans, utilisait les réseaux sociaux pour attirer les candidats à l’émigration clandestine. Les éléments de la sureté n’ont pu l’identifier qu’avec l’aide de l’équipe chargée de la lutte contre le crime électronique.
Le mis en cause, un repris de justice, a été arrêté avec son complice, marin de son état, au moment ou ils préparaient un voyage par mer. Une embarcation, un moteur d’une puissance de 40 chevaux, et une somme de 70.000 DA ont été saisis.
Jugés, les deux mis en cause ont été condamnés à 3 années de prison ferme et à une amende de 200.000 DA, en plus de la saisie de leurs équipements, a-t-on précisé de même source.
Enfin, la troisième opération a été lancée suite à une déclaration de vol d’une embarcation de peche par son propriétaire. Celle-ci devait être aménagée pour servir de moyen de transport de candidats à l’émigration clandestine.
Après une enquête menée par les services de sécurité, deux suspects ont été arrêtés et présentés devant le tribunal de Mostaganem. Deux complices, également identifiés, sont en état de fuite et activement recherchés, a-t-on ajouté.
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Le coup d’envoi de la première édition des journées dédiées à la connaissance de l’histoire amazighe et musulmane de l’Algérie a été donné vendredi au siège de la zaouïa Sidi El Hadj, dans la localité El Mactaa, relevant de la commune de Bordj Bounaama, dans la wilaya de Tissemsilt. Cette manifestation est organisée par les membres de cette zaouïa à l’occasion de la nouvelle année amazighe « Yennayer.
Des expositions d’affiches et d’ouvrages anciens mettent en relief les différentes dynasties musulmanes, fondées par des personnalités amazighes comme celles des Rostomides et des Zianides, ainsi que les personnalités algériennes d’origine amazighe qui ont brillé par leurs parcours et leurs œuvres, à l’exemple de Cheikh Abdelhamid Ben Badis et cheikh Haddad.
Le programme de cette édition, qui s’étale sur trois jours, comprend des conférences sur les personnalités qui ont contribué à la fondation de royaumes musulmans et de savants du Maghreb central (l’Algérie), a-t-on appris des organisateurs.
Des séances de lecture du Saint Coran, des madihs et un concours des meilleurs récits et poèmes sur le patrimoine amazigh seront organisés à cette occasion.
La manifestation s’inscrit dans le cadre du programme tracé par cette zaouïa pour célébrer les fêtes religieuses et nationales, a-t-on précisé.
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Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a indiqué vendredi à Khenchela que sa formation politique « respecte la décision de convocation du corps électoral du Premier magistrat du pays, Abdelaziz Bouteflika », annoncée ce vendredi pour l’élection présidentielle qui se déroulera le jeudi 18 avril.
M. Touati a, néanmoins, proposé, dans son allocution prononcée à l’ouverture des travaux d’une conférence régionale regroupant les cadres du FNA de la région Est du pays, « une période de transition durant laquelle l’actuel mandat du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sera prolongé ».
Il a ajouté que la période de transition « doit être accompagnée par la révision de la Constitution »qui doit, a-t-il appuyé, « exprimer la volonté du peuple ».
Evoquant, par ailleurs, le phénomène de l’émigration clandestine qu’il a imputé « à une crise d’identité que vivent les jeunes », le président du Front national algérien a appelé ces jeunes à « s’armer de patriotisme et à contribuer à l’édification de leur pays » au lieu, a-t-il soutenu, « de fuir la réalité ».
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Trois casemates pour terroristes ont été découvertes et détruites lors d’une opération de fouille et de ratissage jeudi à Batna par un détachement de l’Armée nationale populaire, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit, le 17 janvier 2019 lors d’une opération de fouille et de ratissage à Béni Foudala, wilaya de Batna/5ème Région militaire, trois (03) casemates pour terroristes, tandis qu’un autre détachement a saisi, à Adrar/3ème RM, un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov, cinq (05) chargeurs et une quantité de munitions », précise la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, « un détachement des Garde-frontières a abattu un narcotrafiquant, suite à un accrochage armé près de la zone de Hassi Khabi/3ème RM, et saisi une grande quantité de kif traité s’élevant à 309 kilogrammes et un véhicule tout-terrain, alors qu’une tentative de contrebande de 6 996 litres de carburant a été mise en échec à Souk-Ahras, Tébessa, et El-Taref/5ème RM », ajoute le communiqué du MDN.
D’autre part, « des détachements de l’ANP ont arreté, à Tamanrasset et In Guezzam/6ème RM, trente-sept (37) orpailleurs et saisi deux (02) véhicules tout-terrain, cinq (05) motos, neuf (09) détecteurs de métaux, dix (10) pompes ainsi que d’autres objets ».
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Les éléments de la sureté de la wilaya de Mascara ont saisi récemment une quantité de 17 kg de kif traité à Mohamadia, a-t-on appris vendredi auprès de ce corps constitué.
Le mis en cause, agé de 45 ans, a été appréhendé suite à une collision entre deux véhicules dont un immatriculé à l’étranger. L’accident s’est produit sur la RN17, sur son troncon reliant Mohamadia à Fraguig.
En recourant aux moyens de détection des stupéfiants, les policiers ont découvert 176 plaquettes de kif dissimulées dans les portières et le tableau de bord d’un des véhicules. La saisie a représenté une quantité de près de 17 kilogrammes.
Le conducteur, de nationalité algérienne, a été arreté. Le second chauffeur, de nationalité étrangère, est activement recherché, a-t-on indiqué de meme source.
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Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a affirmé vendredi à La Valette (Malte) que « la présente situation en mer Méditerranée conforte malheureusement toujours l’idée d’une mer ligne de fracture en raison des tensions et crises qui y persistent ».
Dans une allocution prononcée à la 15ème Conférence des ministres des Affaires étrangères du Dialogue des 5+5, M. Messahel a souligné que « la présente situation en mer Méditerranée conforte malheureusement toujours l’idée d’une mer ligne de fracture en raison des tensions et crises qui y persistent, aggravées par les disparités entre une rive nord riche et prospère et une rive sud qui aspire légitimement au développement à travers notamment l’appui de ses partenaires du nord ».
Cette situation a engendré, a ajouté le ministre « d’autres facteurs d’instabilité dans la région qui fait face à une crise migratoire sans précédent, au terrorisme et au crime organisé qui prennent malheureusement de nouvelles formes toujours plus complexes ».
« Les évolutions enregistrées ces dernières années en Méditerranée, ont une nouvelle fois attesté de la pertinence et de la viabilité de l’approche et de la perception de l’Algérie sur ce que devrait être l’architecture de paix, de sécurité et de développement de cette partie particulièrement sensible du monde » a souligné le MAE.
M. Messahel a rappelé, à ce propos, « l’attachement de l’Algérie à sa politique de non-ingérence dans les affaires internes des autres pays en plaidant toujours en faveur du dialogue et de la concertation comme approches idoines et durables de règlement des conflits en dehors de toute ingérence étrangère et en favorisant l’appropriation des processus de sortie de crise par les pays concernés ».
Il a souligné, à cet égard, que l’Algérie, de par sa conviction de l’indivisibilité de la sécurité et du développement dans la région, adopte « une politique méditerranéenne axée principalement sur le bon voisinage et la contribution constructive vise l’instauration d’un espace de paix, de sécurité et de stabilité ainsi que de prospérité partagée dans notre région ».
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