Les candidats aux examens professionnels de promotion pourront retirés leurs convocations du 4 au 5 mars pour passer les épreuves et accéder aux grades de professeur principal et professeur-formateur au titre de l’année 2018 dans les trois cycles confondus. Dans un post sur twitter, la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit a annoncé la date des examens professionnels de promotion aux grades de professeur principal et professeur-formateur dans les trois paliers à savoir le primaire, moyen et secondaire. Les examens sont prévus le 16 mars prochain, a annoncé Me Bneghabrit.
The post Examens de promotion d’enseignements : Le calendrier de la 2ème session fixé appeared first on .
Une dizaine d’artistes algériens, entre musiciens, plasticiens et acteurs, ont donné de la voix pour soutenir le mouvement anti 5e mandat de Bouteflika dans une chanson nommée « Libérez l’Algérie ! »
The post Plusieurs artistes algériens soutiennent le mouvement anti 5e mandat ! [Vidéo] appeared first on .
Ancien général-major, à la retraite depuis 2015, Ali Ghediri effectuait des interventions dans les médias peu relayées depuis plusieurs mois avant d’être propulsé sur le devant de la scène en décembre dernier par… le communiqué du MDN. La déclaration de candidature de Ghediri aurait-elle eu le même écho si le MDN n’avait pas répondu publiquement ? Difficile à imaginer, tant les propos d’une rare virulence sortant de l’institution militaire ont immédiatement poussé les observateurs à spéculer sur la « menace » que présentait une éventuelle candidature d’Ali Ghediri sur le « système ». Ce contexte a fait que la déclaration de candidature d’Ali Ghediri a été suivie de très près, beaucoup plus que n’aurait pu l’être une candidature faite par un retraité lambda. Son stylo, à défaut d’être un bon orateur, a permis à l’opinion publique d’évoluer le degré de son instruction. Cependant si les concepts abstraits permettent d’attirer, ils ne suffisent toutefois pas à maintenir la dynamique. Ses interventions médiatiques renvoient quant à elles l’image d’un candidat incertain, chancelant dans sa démarche. Un candidat qui n’a peut-être pas pris la mesure de la tâche qui lui incombe en se présentant pour la magistrature suprême. Sa stratégie de communication consistant à effectuer des interviews à tour de bras dans des médias parfois obscurs ou qui ne s’adressent pas à l’opinion algérienne -une chaîne de télévision russe, par exemple- laisse quant à elle au mieux dubitatif, au pire pantois. Vient inévitablement la question qui fâche : à qui s’adresse la campagne d’Ali Ghediri ? Lui qui dit puiser sa force dans le peuple, Ghediri semble pourtant plutôt enclin à garder ses distances avec ce dernier. Tandis que des jeunes sortent dans la rue manifester, M. Ghediri refuse de saisir pleinement cette occasion pour s’afficher à leurs côtés, préférant leur parler par le biais d’un communiqué et d’une vidéo publiée sur internet aux allures d’appel du 18 juin du général de Gaulle. Autre signe du manque de transparence, M. Ghediri n’a pas communiqué sur le degré d’avancement de la collecte de signatures.
The post Que cache Ali Ghediri ? appeared first on .
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a annoncé ce jeudi à Alger, la présence de 400 observateurs étrangers lors de la prochaine élection présidentielle, prévue le 18 avril prochain, affirmant que le Gouvernement « veillera à la transparence » du prochain rendez-vous électoral.
« Le Gouvernement et l’Etat veilleront à la transparence de la prochaine élection présidentielle qui verra la présence de 400 observateurs étrangers représentant la Ligue arabe, l’Union africaine, l’Organisation de la coopération islamique, l’Union européenne et les Nations unies », a déclaré M. Ouyahia, dans ses réponses aux interrogations soulevées par les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) lors du débat autour de la Déclaration de politique générale du Gouvernement. Il a, à cette occasion, affirmé que le peuple « aura à choisir en toute liberté parmi les candidats, dont le Président Abdelaziz Bouteflika », notant « une agitation » contre la candidature du président Bouteflika. Le Premier ministre a rappelé que le chef de l’Etat qui avait été victime d’un AVC en 2013 s’était porté candidat en 2014 et avait été plébiscité pour un nouveau mandat, ajoutant que la Déclaration de politique générale a été l’occasion de présenter le bilan des réalisations des cinq dernières années.
The post Présidentielle 2019: 400 observateurs étrangers présents à l’élection ! appeared first on .
Le président Abdelaziz Bouteflika a reçu, aujourd’hui vendredi, son frère Nacer aux hôpitaux universitaires de Genève (HUG), où il est admis depuis dimanche dernier, rapporte le média suisse 24 heures.
Cette visite intervient au moment où des centaines de milliers d’Algériennes et d’Algériens manifestent à travers le pays contre le cinquième mandat.
The post Bouteflika reçoit son frère Nacer à Genève appeared first on .
Suite aux recours en inconstitutionnalité des directeurs d'écoles présumés impliqués dans le détournement de vivres des cantines scolaires et du député Mohamed Atao Hinnouho, la Cour constitutionnelle en rendant sa décision, ce jeudi 28 février 2019, à son siège à Cotonou, a débouté les requérants.
Dans son analyse sur la violation du droit à la présomption d'innocence des directeurs d'école concernés, la haute juridiction au cours de sa délibération a rappelé les dispositions des articles 17 al 1er de la Constitution et 7.1.b de la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples. « Le droit au respect de la présomption d'innocence est un principe attaché à la procédure et au droit de la défense. Il a pour vocation de protéger les personnes faisant l'objet de poursuites pénales et, en ce sens, il interdit de présenter publiquement une personne poursuivie pénalement comme coupable d'une infraction avant sa condamnation », a observé la Cour.
Les directeurs d'écoles présumés impliqués dans le détournement de vivres des cantines scolaires ne faisaient encore l'objet d'aucune poursuite pénale, a fait savoir le président Joseph Djogbénou. Il a par la suite ajouté que c'est dans le but d'engager de telles poursuites que le Conseil des ministres les a nommément identifié et a instruit le ministre en charge de la Justice. « Ces désignations des personnes à poursuivre pénalement ne sauraient s'analyser comme une présentation publique de personnes mises en cause », a-t-il souligné.
Au sujet du principe de la séparation des pouvoirs évoqué par le requérant, la Cour a précisé que selon les dispositions des articles 125 et 126, « Le pouvoir judiciaire est indépendant du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Il est exercé par la Cour suprême, les cours et tribunaux créés conformément à la présente Constitution. Les juges ne sont soumis, dans l'exercice de leur fonction qu'à l'autorité de la loi », a expliqué Joseph Djogbénou.
Pour lui, le législatif et l'exécutif ne doivent ni s'immiscer dans l'exercice du pouvoir judiciaire ni faire entrave à la justice. « Dans le cas d'espèce, la désignation des personnes désignées à poursuivre ne saurait s'analyser comme une immixtion du gouvernement dans l'exercice du pouvoir judiciaire et ne compromet pas non plus la séparation des pouvoirs. Dès lors, il n'y a pas violation de la Constitution ».
Le second recours traité par les sages de la Cour, est celui de Robert Mathieu Fiouvi. Par la décision Dcc 19 083 du 28 février 2019, la haute juridiction a déclaré qu'il n'y a pas violation de la Constitution ».
Par sa requête en date du 16 mai 2018, Robert Mathieu Fiouvi a formé un recours en inconstitutionnalité du transfert à la prison sans avis médical préalable d'un malade hospitalisé. Dans son exposé, il explique que le dimanche 13 mai 2018, le procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou a ordonné au régisseur de la prison civile de Cotonou de déposer le député Mohamed Hinnouho Atao, alors interné au service de psychiatrie au Centre national hospitalier universitaire Hubert Maga (Cnhu) sans l'avis préalable du médecin traitant et que, malgré l'opposition du malade il a été conduit et déposé à la prison civile de Cotonou par le régisseur. Un acte que Robert Mathieu Fiouvi considère comme une violation du droit à la santé du malade et des articles 8, 19 al 2, 35 et 36 de la Constitution.
Dans sa réponse à la Cour, le régisseur observe qu'au moment des faits, il était en stage au Gabon, que c'est à tort que le requérant cite son nom dans cette affaire. Le procureur quant à lui n'a pas répondu aux mesures d'instruction de la Cour.
Après analyse, la Cour a fait constater que le député Atao a été interpellé dans le cadre d'une procédure judiciaire de flagrant délit et compte tenu de son état de santé, il a été conduit au Cnhu où il a reçu des soins. Dans ces conditions, explique le président de la Cour, on ne saurait faire grief au procureur de la République et au régisseur de l'avoir déposé à la prison civile de Cotonou une fois qu'il a quitté le centre hospitalier.
Enfin, par rapport au recours en inconstitutionnalité de la décision n°2018 03 du 7 mai 2018 et de la demande de levée de son immunité parlementaire faite par le procureur général près la Cour d'appel de Cotonou, la haute juridiction a décidé après analyse, « qu'il n'y a pas violation de la Constitution ». Il en est de même pour la demande de levée d'immunité des députés Bako Idrissou, Valentin Djènontin, Atao Hinnouho Mohamed.
F. A. A.
Au rond-point Addis-Abeba, une dizaine de personnes blessées par les gaz lacrymogènes et les mouvements de foule est évacuée, portée par des policiers ou des manifestants.
Alors que certains protestataires tentent de poursuivre leur ascension vers la Présidence, ils sont repoussés par les forces de l’ordre, tandis que d’autres redescendent spontanément vers le Palais du peuple.
The post Les policiers tirent au gaz lacrymogène afin d’empêcher la foule d’atteindre la présidence ! appeared first on .
Conformément à son calendrier, la Commission électorale nationale autonome (Cena) a démarré ce vendredi 1er mars 2019, l'étude des dossiers de candidature des partis ayant déposé leurs dossiers pour les législatives du 28 avril prochain. Les 07 partis en lice pour cette compétition à savoir Prd, Usl, Udbn, Fcdb, Union Progressiste, Bloc Républicain et Moele-Bénin seront fixés sur leur sort le 06 mars prochain, date à laquelle l'institution en charge de l'organisation des élections va publier la liste des partis définitivement retenus pour ce scrutin. L'Union sociale libérale (Usl) et l'Union pour le développement d'un Bénin nouveau (Udbn) n'ont pu obtenir le certificat de conformité avant de déposer leurs dossiers.
A noter que pour ces élections, certaines formations politiques de l'opposition, notamment les Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe) et Restaurer l'espoir de Candide Azannaï, n'ont pu déposer leurs dossiers de candidature.
F. Aubin AHEHEHINNOU
The post Les manifestants marchent pacifiquement en direction de la présidence ! [Vidéo] appeared first on .
L’appel à manifester contre le cinquième mandat de Bouteflika a drainé plusieurs milliers de personnes à khenchela.
The post À khenchela , les manifestants sont sortis pour dire non au 5e mandat ! [Vidéo] appeared first on .