Les positionnements sur les listes des partis politiques révèlent bien de surprises. Comme pour ne pas envoyer n'importe qui à l'Assemblée, le chef de l'État en dehors des anciens connus a fait le choix de certains cadres et personnalités religieuses de haut rang.
Dans la 16ème circonscription électorale, le Chef de l'Etat a placé sa confiance en un homme particulier. Il s'agit de l'Imam de la mosquée centrale Cotonou-Jonquet, El Hadj Ibourahima Soumanou. Reconnu par les fidèles comme un homme de foi et grand conciliateur, le choix porté sur lui dérive de son intégrité, son dynamisme et son sens élevé de rassemblement. Les informations sur la qualité du religieux montrent qu'il est capable de fédérer les populations de la 16ème circonscription électorale.
Il conduit le cheval gagnant dans la 16ème circonscription électorale avec d'autres hommes de grande influence. Il s'agit de Balikissou Ali qui est sa suppléante pour le combat. Chantal Eugénie Ahyi et Euloge Beo Aguiar prennent la place de deuxième titulaire et suppléant.
Alain Orounla, Auguste Videgla et Léopold Gbenou conduisent la barque en troisième, quatrième et cinquième titulaire.
La tête de lice est un personnage rompu qui peut donner un coup d'accélérateur remarquable au cheval républicain.
El Hadj Ibourahima Soumanou donnera une touche particulière à cette équipe dans la seizième.
Le cheval républicain est donc bien en forme pour la course du 28 avril prochain.
G.A.
Ali Chabana
Les services de police de la 4eme sûreté urbaine à Tébessa ont ouvert une procédure, concernant une affaire de faveur pécuniaire indue, dans laquelle étaient impliqués un homme et une femme.Les policiers et en coordination avec la victime ayant signalé l’arnaque, un marché de dupe, puisque le mis en cause a proposé à la victime de l’aider dans son dossier de logement social, en contrepartie d’une somme d’argent de 150 mille dinars, tout simplement en interchangeant son dossier de demande avec celui d’un bénéficiaire.
Les investigations commencèrent par la mise en place d’un scenario, scanner les billets qui seront remis au mis en cause, soit 100 mille dinars, comme convenu avec la victime.
Puis fut dressée une filature de la voiture suspecte. Celle-ci sera interceptée, sa fouille permit la récupération de l’argent, ainsi que 6 reçus de dépôt de dossiers de logement. Arrêtés, l’homme et sa complice seront confrontés à l’opération d’authentification et de comparaison des numéros de série des vrais billets et ceux scannés, preuve irréfutable de leur inculpation. La justice a ordonné leur placement sous mandat de dépôt, selon le communiqué de la sûreté de la wilaya.
The post Deux escrocs sous les verrous appeared first on .
J. Boukraa
L’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Algérie (ESHRA) d’Oran se prépare pour une nouvelle session de formation dans les tout prochains jours. Avec une capacité d’accueil globale de 130 étudiants, l’école dispose de 44 chambres lui permettant d’accueillir 88 étudiants qui optent pour l’internat. La formation initiale (DTS) à l’ESHRA d’Oran est dispensée pendant deux années avec des offres de cycles de courte durée à la carte pour les établissements hôteliers. Certifiée par l’Ecole hôtelière de Lausanne (Suisse), l’école offre trois diplômes de technicien supérieur (DTS) : cuisine et haute gastronomie, service et restauration et hébergement. L’accès à l’école est conditionné par l’obtention du baccalauréat et la réussite aux tests d’admission. Conçue comme un hôtel, l’école dispose de toutes les commodités nécessaires à l’intégration de ses étudiants au quotidien, notamment d’un établissement hôtelier et un restaurant gastronomique ouvert pour le public extérieur. A Oran, 174 projets hôteliers et touristiques sont en cours de réalisation. La wilaya verra ainsi son parc renforcé par 27.000 lits et ce sont près de 10.000 emplois qui sont prévus d’ici les jeux Méditerranéens de 2021 dans la wilaya d’Oran, un atout et un dynamisme qui devraient avoir un impact sur la croissance de toute la région et bien au-delà. Il serait donc utile de les former et de les orienter vers les métiers de l’hôtellerie, un secteur où il y a beaucoup de visibilité. Dans le cadre de la stratégie d’équilibre géographique entre les 26 communes de la wilaya, le secteur du tourisme œuvre à ce que chaque commune puisse avoir au moins quatre hôtels, surtout les communes défavorisées comme Misserghine, Boutlélis, Oued Tlélat, El Braya et Boufatis, afin d’attirer les investissements. Pour rappel, 394 jeunes demandeurs d’emploi, de toutes les spécialités et les niveaux, se sont inscrits aux agences locales de l’ANEM de la wilaya d’Oran, dans le but de suivre une formation dans les métiers déficitaires relatifs au secteur du tourisme dont l’hôtellerie, l’hébergement et la restauration. Un long travail de sensibilisation a été entrepris par l’agence de la wilaya pour encourager les jeunes demandeurs d’emploi à s’orienter vers la formation dans ces métiers dans le secteur du tourisme et ce, en préparation des jeux Méditerranéens qu’abritera Oran en 2021 et durant lesquels «il faudrait assurer une bonne prise en charge des sportifs et des délégations étrangères dans les établissements hôteliers, d’hébergement et de restauration de la ville d’Oran», a-t-on noté.The post Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration: Une nouvelle session de formation ouverte aux bacheliers appeared first on .
Adjal Lahouari
Avouons-le : nous attendions depuis longtemps que les clubs de l’élite et professionnels depuis 2010 se décident à bouger en emboîtant le pas au Paradou AC, le premier club qui a fondé sa propre académie.Et quelle académie ! Son imitateur. Kheireddine Zetchi, a tout simplement choisi le meilleur projet existant qui a fait ses preuves en Côte d’Ivoire, avec l’éclosion d’une phalange de cracks ivoiriens ayant fait le bonheur de nombreux clubs européens. Jean Marc Guillou, un grand footballeur au SCO Angers, n’a été reconnu en tant que joueur que vers le tard, car appelé en équipe de France à 28 ans. Il a sans doute voulu prendre une revanche sur le sort.
Alors, il a eu l’idée et le courage de mettre à exécution son formidable projet. Face à l’inertie des dirigeants français, il a choisi la Côte d’Ivoire. Des dirigeants ont été sensibles à son appel et lui ont confié une ribambelle de gamins et un simple terrain. Au départ, beaucoup ont souri et même ricané sur la méthode mise en branle par Guillou, surtout avec les « apprentis footballeurs » sans chaussures pendant plusieurs mois. En son temps, Guillou a expliqué cette mesure qui a défié les règles en vogue depuis la nuit des temps. Ce n’était là qu’un des paramètres, car le plus important, c’étaient la maîtrise technique, la possession et la circulation constante du ballon, ce fameux ADN qu’on retrouve au sein des meilleures équipes, constamment combattues par les partisans du faux réalisme.
La direction du PAC, après la relégation de l’équipe senior en nationale 2, a compris qu’il ne fallait pas déroger à ce projet, même pour des considérations techniques et immédiates. En érigeant son académie, Zetchi s’est donné les moyens de son ambitieuse politique qui est de former ses propres joueurs, au lieu de s’engager dans une coûteuse surenchère ne présentant aucune garantie de succès, même immédiats. On se souvient de cette vaste opération nationale de prospection qui a touché les quatre coins du pays, en s’appuyant sur les techniciens et anciens joueurs locaux.
Evidemment, il y a eu quelques réfractaires qui ont basé leurs arguments sur une théorie du jeune qui, « coupé de sa cellule familiale, ne pourra jamais devenir un excellent joueur » ! Or, le nombre de professionnels et internationaux sortis de l’académie du Paradou et qui sont venus de diverses régions, a battu en brèche cet argument pour le moins erroné. En effet, ces contradicteurs d’arrière-garde ont oublié que les temps ont changé, et que ce sont les parents eux-mêmes qui ont encouragé leurs enfants à suivre cette voie, sachant par ailleurs que l’académie leur assurait une éducation scolaire en parallèle.Des exemples à suivre
Que la FAF ait pris la décision de créer des académies au niveau de différentes régions du pays ne relève pas du hasard, puisque le président n’est autre que Kheireddine Zetchi, qui a confié son académie à son frère Hassène, qui saura en prendre soin. Finalement, des dirigeants plus conscients ont fini par se rendre compte des futurs bienfaits de ce projet qui consiste à créer leurs propres centres et académies. Quelle est la différence ? La création d’une académie nécessite un budget conséquent et une logistique permanente, tandis qu’un centre reste, aux yeux de tous les observateurs, à la portée de nombreux clubs, peu regardants par ailleurs sur les dépenses faramineuses lorsqu’il s’agit d’enrôler une vedette ou présumée telle.
Les nouveaux dirigeants de la JSK, convaincus d’avance sur l’extrême utilité d’une académie, sont passés à l’action. La première pierre vient d’être posée il y a quelques jours, et tout porte à croire que l’académie sera opérationnelle dans un délai raisonnable. En outre, la direction du club du Djurdjura a effectué le meilleur choix possible en confiant la responsabilité de son académie à Ali Fergani, l’ancien capitaine des Verts, connu par ses grandes qualités morales et qui est prêt à mener à bien sa mission. De son côté, la JS Saoura est en train de poser les jalons pour fonder son académie en y associant les meilleurs cadres nationaux et régionaux. Au MCA, c’est un centre de formation qui a vu le jour tout récemment, alors que le Doyen a les moyens d’ouvrir une académie, ce qui est différent. Tous les clubs dits professionnels devraient en faire de même, la plupart d’entre eux ayant bénéficié d’assiettes pour l’implantation de ces centres.Qu’attendent-ils pour passer à l’action étant donné que leur renommée auprès des jeunes leur assure automatiquement une arrivée massive d’apprentis footballeurs ?
On nous rétorquera peut-être le problème financier. A notre tour, nous leur rappellerons que des centaines de milliards ont été dilapidés pour des pseudo-vedettes qui, faute de résultats, vont monnayer leur statut ailleurs.
Un terrain et quelques ballons…
De ce fait, ils sont beaucoup plus responsables du déclin de leurs clubs que la plupart des entraîneurs en place, pourtant les premiers à payer les pots cassés par les joueurs ! Il faut signaler les avis pertinents du regretté Amar Rouai et du grand formateur français Guy Roux, tous deux sur la même longueur d’onde. Ils ont développé à peu de choses près, la même idée : « Les dirigeants réclament des stades.
Bien sûr, des stades il en faut pour les compétitions, mais de simples terrains et quelques ballons sont suffisants pour dénicher et former les cracks de demain. Il faut de la volonté, de la passion et des compétences ! » Au vu des parcours de ces deux techniciens, le Français au sein de l’AJ Auxerre durant plusieurs décennies, le second à l’USMBA et au sein de la 2e Région Militaire avec de nombreux titres et coupes, personne ne saurait les contredire. En conséquence, il est temps que les dirigeants prennent conscience de l’importance de ces centres et académies, seuls garants de l’avenir. Ils n’ont qu’à suivre l’exemple de Zetchi, Mellal et Zerouati. Le premier cité s’est rendu compte que l’implantation de son académie lui est revenue moins cher que les primes de signatures et de matches des joueurs recrutés auparavant.
Un investissement par excellence
L’académie du PAC s’est avérée un formidable investissement comme le prouve la « sortie » continuelle d’excellents footballeurs, dont la plupart sont actuellement professionnels et font partie de la liste élargie du sélectionneur Djamel Belmadi. Plusieurs d’entre eux attisent la convoitise de clubs de Ligue 1 et même de l’étranger. On n’oubliera pas aussi que le PAC bénéficiera d’un retour sur investissement lors de chaque transfert des joueurs formés au sein de son académie. Alors, ce qu’a réussi un particulier dans nouveau club, pourquoi ces responsables de clubs qui se gargarisent des dates de création, dont certaines d’ailleurs réellement sont erronées, n’adopteraient-ils pas la même démarche ?
Le Paradou n’a pas d’histoire et pas de supporters parce que c’est un jeune club ? Qu’importe, et comme il l’a fait lorsqu’il allait admirer les prouesses techniques des «footballeurs aux pieds nus» qui ridiculisaient des adversaires plus âgés et sans gardien de but au stade de Hydra, ce public, conquis par le football séduisant de l’actuelle équipe du PAC, va grossir au fil des années.
Car tout change, même les mentalités. Au niveau de la FAF, les bonnes intentions existent, comme le prouve l’installation récente du spécialiste français Ludovic Batelli au poste de DEN en remplacement de Boualem Charef démissionnaire. Jusqu’à preuve du contraire, Batelli semble être l’homme de la situation et s’est engagé à former un vivier dans lequel le sélectionneur Djamel Bemadi puisera.
Par ailleurs, grande a été la déception des sportifs de voir le fameux vivier de l’ASMO péricliter selon les récentes informations, aucune équipe de jeunes n’étant qualifiée en coupes nationales, contrairement aux saisons écoulées. C’est plus grave qu’on ne croit après l’arrêt de cette tradition spécifique au football oranais.
Dons et culture sportive
Alors, fatalement, on se met à rêver. Si les seize clubs de la Ligue 1 parviennent à matérialiser ce beau projet des académies et qu’un seul d’entre eux forme un grand joueur, l’Algérie aurait une grande équipe nationale. Alors, au lieu de gémir sur leurs difficultés financières alors qu’ils jettent des centaines de milliards par les fenêtres, au lieu de s’en prendre toujours aux entraîneurs qu’ils accusent de tous les maux, les dirigeants des clubs pour la plupart nantis devraient se mettre au travail pour fonder leurs propres académies et à les confier à de véritables formateurs réunissant les meilleures garanties. Nous faisons allusion, bien sûr, à leurs conceptions et à leurs convictions pour mener à bien cette exaltante et belle mission.
Cependant, les dirigeants intègres (il en existe heureusement !) devront veiller à écarter définitivement les prétendus entraîneurs de jeunes, en réalité des véreux, des apprentis sorciers qui ont causé de graves préjudices dans le domaine des jeunes, pour qui le premier critère pour enrôler un enfant n’est autre que le métier du père !
Dans le cas contraire, ce serait appliquer un cautère sur une jambe en bois, cette mesure étant indissociable du projet en question. Pour la formation proprement dite, les responsables de clubs devraient s’inspirer de ce qui se fait ailleurs. Les clubs européens réputés par la qualité de la formation sont connus. Alors, ne pourraient-ils pas envisager d’y envoyer leurs encadreurs pour acquérir les bases et les appliquer, ne serait-ce qu’en partie ? Car, comment expliquer que le jeune Algérien, au départ plus doué qu’un Hollandais, Allemand ou Français, ne progresse pas – ou alors très rarement – aussi régulièrement que les Européens ?
On nous citera certes des paramètres comme l’environnement, la culture sportive et les moyens, mais il n’empêche que des solutions existent pour réunir les meilleures conditions possibles. Alors, on peut dire que chaque jour qui passe est un retard qui s’accumule. Il faut donc s’attacher à ce formidable projet. Et le plus tôt serait le mieux !
The post Football – Académies et centres de formation: La meilleure voie possible appeared first on .
Abdelaziz Bouteflika, candidat à l’élection présidentielle du 18 avril a rendu publique hier sa déclaration du patrimoine dont ci-joint le texte intégral.
« Je soussigné, Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, demeurant au 135n Rue Cheikh El Bachir El Ibrahimi, El Biar, Alger, candidat à l’élection de la Présidence de la république, prévue le 18 avril 2019, en application de l’article 139-16 de la Loi organique N°16-10 du 22 Dhou el Kaada 1437, correspondant au 25 août 2016, relative au régime électoral, déclare être propriétaire des biens ci-après :
I.- Biens immobiliers :
1. Une maison individuelle sise à Sidi Fredj (commune de Staouéli), suivant acte enregistré sous le n° 226 du 11.11.1987.
2. Une maison individuelle sise Rue de la Rochelle, Alger, suivant livret foncier n° 7068/07 du 11.12.2007.
3. Un appartement sis au 135, Rue Cheikh Bachir El Ibrahimi, El Biar, Alger, suivant livret foncier n° 2939/07 du 26.06.2007.
II.- Biens mobiliers
– Deux (02) véhicules particuliers.
Et déclare n’être propriétaire d’aucun bien à l’intérieur du pays ou à l’étranger.
Alger, dimanche 27 Djoumada el Oula 1440, correspondant au 3 février 2019.
Signé Abdelaziz BOUTEFLIKA».
The post Présidentielle 2019 : Déclaration du patrimoine de Bouteflika ! appeared first on .
Le président du Conseil d'Administration de l'Agence pour la promotion des investissements et des exportations (Apiex), Alain Hinkati, et son directeur général, Laurent Gangbes, ont organisé ce vendredi 1er mars 2019 à l'Hôtel Golden Tulip de Cotonou, une séance de communication. Objectif de cette séance, expliquer aux opérateurs économiques, les réformes engagées par le gouvernement du Nouveau Départ et de la Rupture pour améliorer le climat des affaires.
Dans leurs communications, les deux premiers responsables de l'Apiex ont également expliqué aux personnalités présentes à cette séance, le dispositif mis en place par le gouvernement tant au niveau stratégique avec la mise en place du comité interministériel des investissements, qu'au niveau opérationnel avec l'Apiex comme interlocuteur unique des investisseurs.
Eric Akoutey, directeur des études et projets d'investissement a présenté en détails ce dispositif mis en place pour conduire les réformes relatives au climat des affaires.
Ce dispositif selon le directeur des études et projets d'investissement, porte sur les indicateurs « Doing business ».
Les directeurs généraux de services publics et privés présents à cette séance ont présenté les principales réformes intervenues dans leurs administrations. Au terme des échanges entre acteurs du privé et du public, les cadres de l'Apiex ont rassuré de leur disponibilité aux côtés des opérateurs économiques, pour lever les freins à l'investissement.
Cette séance de communication s'est déroulée en présence du directeur de l'Agence national du domaine et du foncier (Andf), Jules Kouglénou, du directeur général des douanes et droits indirects, Charles Sacca Bocco, du directeur adjoint de cabinet du ministre de l'énergie, M. Tigri, du président du tribunal de commerce de Cotonou, du secrétaire permanent du Camec et du directeur pays du crédit Info Volo.
F. Aubin AHEHEHINNOU