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Environ 2000 fonctionnaires de l'Etat ont vu leurs salaires de février 2019 suspendus. La raison serait liée au fait que les agents concernés ne se sont pas faits enregistrer en 2017, lors des opérations de recensement des agents de l'Etat tous corps confondus et au plan national.
N'ayant pas été recensés, ils pourraient être considérés comme des agents fictifs dans le contexte actuel du numérique où tout est informatisé.
Selon des sources proches du ministère de l'économie et des finances, les agents qui n'ont pu se faire enregistrer, pour une raison ou une autre, peuvent encore pallier ce manquement. Il leur faudra se rapprocher de la direction générale du Budget pour les formalités à accomplir. Une fois recensés, ils seront aussitôt remis dans leurs droits de percevoir leur salaire.
F. A. A.
Une imposante marche a démarré après la prière du vendredi pour sillonner la ville de Bejaia.
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La commission de la CEDEAO va effectuer une mission pré-électorale et d'évaluation de la situation politique au Bénin à Cotonou du 03 au 06 mars 2019. C'est ce qu'a notifié le Général Francis Behanzin, commissaire chargé des affaires politiques, paix et sécurité de la CEDEAO dans une correspondance en date du jeudi 28 février 2019, adressée au ministre béninois des Affaires étrangères et de la coopération.
Selon la correspondance, ladite mission s'inscrit dans la cadre de « la mise en œuvre du protocole A/SP1/12/01 sur la démocratie et la bonne gouvernance additionnel au protocole relatif au mécanisme de prévention, de gestion, de règlement des conflits, de maintien de la paix et de la sécurité régionale ». Ce protocole fait l'obligation à la Commission d'assister les Etats-membres organisant des élections.
La mission qui sera conduite par le Général Francis A. Behanzin et comprend Dr Aderemi Ajibewa, directeur des affaires politiques, Francis Oke, chef de la division de l'assistance électorale, Me Serigne KA, P.O Affaires politiques.
L'objectif de cette mission est essentiellement « d'évaluer la situation politique nationale ainsi que le niveau de préparation des prochaines élections législatives ».
Pour cela des discussions seront menées avec les différents acteurs politiques béninois sur les enjeux desdites élections ainsi que sur la nécessité de maintenir un climat de paix, de participation inclusive et de transparence démocratique.
Pendant le séjour, la délégation va rencontrer les ministres des Affaires étrangères et de la coopération, de l'Intérieur, des Finances, de la Justice, ainsi que les présidents de la Cour Constitutionnelle, de la Commission électorale nationale autonome, du Cos-Lépi et les représentants des partis de la mouvance et de l'opposition.
Le Général Francis Behanzin, compte sur la compétence des services du ministère des Affaires étrangères en vue de l'accueil et de l'installation de la délégation de la CEDEAO, de l'élaboration d'un calendrier de déroulement de la mission ainsi que de l'arrangement des audiences avec les autorités politico-administratives et des acteurs politiques concernés.
Akpédjé AYOSSO
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La vente de la noix de cajou du Bénin à l'étranger s'est élevée en 2017 à 48,3 milliards de FCFA contre 23 milliards FCFA en 2016. Selon le rapport 2017 de la balance de paiement et de la position extérieur globale du Bénin rendu public par la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'ouest (BCEAO) courant février 2019, cette évolution s'explique également par des conditions climatiques plus favorables.
L'objectif du gouvernement béninois par rapport à cette culture, est de produire 300.000 tonnes au moins contre la production actuelle estimée à 140.000 tonnes à l'horizon 2021. Pour atteindre cet objectif, trois bassins de production du cajou seront mis à contribution. Il s'agit du bassin des Collines prolongé jusque dans le Zou et dont la production tourne autour de 75.640 tonnes de cajou. C'est un bassin qui dispose de quatre usines dont les capacités de transformation n'excèdent pas 30.000 tonnes.
Il y a aussi le bassin Ouest-Bénin qui prend en compte la Donga et s'étend sur le département de l'Atacora. Ce bassin fait une production 42.827 tonnes avec seulement une unité de transformation de 1000 tonnes en cours d'installation.
Enfin, le bassin Est constitué du Borgou avec ses extensions sur l'Alibori dont la production s'élève à 87.482 tonnes.
De nouvelles installations sont prévues à Djidja, à Savalou, à Djougou, à Birni, à N'Dali puis à Nikki afin de booster la production et atteindre les résultats escomptés.
La noix d'anacarde est la seconde culture d'exportation du Bénin après le coton. Sa production est tirée par l'intérêt croissant des agriculteurs pour cette culture, dont les cours sur le marché international se sont redressés, sous l'effet de la hausse de la demande mondiale, en provenance notamment d'Asie, d'Europe et des Etats-Unis.
Au Bénin, la filière anacarde constitue le 3ème pilier de l'économie nationale après le coton et le port de Cotonou. Elle contribue à 3% au PIB et 7% au PNB agricole et représente 8% des recettes d'exportation.
Compte tenu de son importance pour l'économie nationale, le gouvernement dans son Programme d'actions (PAG) et dans sa volonté de transformation structurelle de l'économie, l'a retenue parmi les filières prioritaires.
Le cajou fait partie des filières phares du Plan stratégique du développement du secteur agricole (PDSA-2025) du ministère de l'Agriculture de l'élevage et de la pêche. C'est une filière qui s'affirme aujourd'hui comme l'une des opportunités pour l'amélioration des revenus et la création d'emplois en milieu rural à côté du coton.
Selon un document de l'Interprofession de la filière anacarde du Bénin, la campagne de commercialisation 2018 a été marquée par l'existence de stocks résiduels de l'ordre de 20.000 tonnes dans les zones productives et 12.000 tonnes environ à Cotonou. Cette situation est due entre autres à la flambée des prix jusqu'à 900 FCFA par kilogramme de noix cajou, l'augmentation de la production, la fermeture de plusieurs unités de transformation en Inde (770) et au Vietnam. A tout cela s'ajoute le manque de mesures incitatives pour les unités de transformation locales, la difficulté d'accès au financement des unités de transformation locales et la mauvaise organisation de la commercialisation.
Afin de pérenniser les résultats encourageants obtenus, l'Interprofession de la filière anacarde souhaite le renforcement des techniques de production et de transformation en quantité et qualité des produits d'anacarde, ainsi que l'installation de nouvelles unités de transformation afin de faire face au marché des amandes en forte progression.
Pour l'Interprofession, il s'agit aussi d'organiser de manière efficiente le système de commercialisation. Le pays devra se doter de statistiques fiables pour la filière avec la mise en place d'un Système d'analyse du marché (SIM).
Développer les standards et normes de qualité ainsi que le label des produits anacarde du Bénin permettra à la filière d'avoir une reconnaissance internationale.
L'élaboration et la mise en œuvre d'un plan de financement de la filière anacarde est souhaité.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Les marches et manifestations contre le 5e mandat de Bouteflika et contre le système se poursuivent à Bouira. Une imposante marche de protestation se déroule actuellement !
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Des centaines de manifestants ont défié l’important dispositif policier met en place, dès les premières heures de la matinée, pour dire non à ce mandat de trop.
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Ali Benflis a exprimé à Place Audin d’Alger son soutien à la marche prévue aujourd’hui contre le 5e mandat.
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Ancien officier de l’armée nationale et écrivain algérien le plus connu au monde (il est traduit en 56 langues et a vendu des millions d’exemplaires de ses livres), Yasmina Khadra suit attentivement la situation en Algérie alors que de nouvelles manifestations contre le régime sont attendues ce vendredi.
Aviez-vous senti, dès l’annonce d’une candidature à un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, que cela ne passerait pas ?
YASMINA KHADRA. Non, il faut être sincère, j’espérais ce mouvement, mais je ne l’attendais pas parce que les Algériens nous ont habitués à beaucoup de renoncements, de désistements, de démissions. Pendant des années j’ai écrit que l’Algérie avait renoncé. C’est un vrai bonheur aujourd’hui de m’apercevoir que je me trompais.
Pour l’instant le clan Bouteflika au pouvoir semble sourd et rigide vis-à-vis de la contestation ?
Non, il n’est pas rigide, il continue d’infantiliser le peuple algérien. Il croit pouvoir le berner comme il l’a fait par le passé en lui disant que dans neuf mois la vie sera améliorée. Mais le peuple algérien ne veut plus d’eux, il refuse leur « charité ». C’est un peuple intelligent qui a, c’est vrai, été sévèrement traumatisé par le terrorisme. Dans le livre « Qu’attendent les singes » (éditions Julliard 2014), j’écrivais déjà que la convalescence n’avait que trop duré. Aujourd’hui le peuple algérien se rétablit.
Ce mouvement est-il selon vous inarrêtable ?
Je n’en sais rien ! C’est imprévisible. D’autant qu’aucune alternative politique n’est prête. Il existe, je crois, 66 partis politiques en Algérie qui tous, à l’exception de quelques-uns comme le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie) ou le FFS (Front des forces socialistes) et deux ou trois autres, sont pour la reconduction du régime. Je suis un passionné d’histoire et je ne connais pas d’exemple de dictateur ou d’empereur qui ait continué à régner tout en étant dans les vapes. Aucun régime au monde n’a produit une telle absurdité ! Sauf en Algérie.
Le régime a-t-il encore les ressources pour s’en sortir ?
Bien sûr. Les ressources sont du côté du régime. Il va tout faire pour essayer de calmer les esprits et continuer de régner sur les êtres et sur les choses. Mais les Algériens sont fatigués. Ils ne veulent plus voir leurs enfants traverser la Méditerranée sur des bateaux de fortune et mourir au large.
Pourquoi le régime n’a-t-il pas organisé la succession de Bouteflika ?
Parce que tout repose sur Bouteflika, que beaucoup de gens aiment toujours. C’est le talisman de ce régime car il a une légitimité historique. Les gens du clan autour de lui sont, eux, vomis par le peuple algérien. Ils ont atteint un tel niveau de stupidité qu’ils ne savent même plus ce qu’ils disent. Il faut les écouter débiter des âneries quand ils sont sur des tribunes !
Y a-t-il des failles possibles dans le soutien de l’armée au régime ?
Je ne le pense pas car cela fait vingt ans que le régime a corrompu jusqu’aux consciences. Pour l’instant, le chef d’État-major et son entourage immédiat pourraient faire le jeu d’apaisement du gouvernement. Mais si ce même État-major venait à donner l’ordre à l’armée de se dresser contre le peuple il ne serait pas obéi car ce n’est pas l’intérêt de l’armée.
La seule évolution ne peut donc venir que du peuple ?
Oui, c’est le peuple qui peut changer les choses, et il le sait.
Redoutez-vous la violence ?
Le pouvoir est capable de la provoquer : dans un sursaut de désespoir absolu, il va faire en sorte que les choses dégénèrent pour renvoyer le peuple au plus profond de ses traumatismes. Mais je souhaite de tout mon cœur que le peuple ne tombe pas dans ce piège.
La présence des islamistes ne complique-t-elle pas la situation ?
Vous savez, il faut vraiment connaître l’Algérie pour comprendre que l’islamisme n’a été qu’une manœuvre politicienne. Une horrible et effarante manœuvre politicienne. Aujourd’hui il existe quelques sectes, que j’assimile à un repli sur soi, de gens qui veulent divorcer d’avec la société. Mais ils n’ont plus cette force de frappe et de nuisance qu’ils avaient dans les années 1990. Parce que le peuple algérien ne leur pardonnera jamais les atrocités qu’ils ont commises. Les islamistes ne sont là que pour faire peur au peuple algérien et ils ne sont là que grâce au régime algérien. C’est un atout majeur dans son jeu.
Même si vous vivez en France, votre lien avec l’Algérie est toujours très fort ?
Oui bien sûr. L’Algérie c’est ma maladie, cela a toujours été ma maladie…
Drôle de formule pour parler de son pays !
C’est ma maladie car je l’aime atrocement. Je souffre à cause de l’Algérie. Un pays qui a sacrifié tellement de braves n’a pas le droit de baisser les bras. Ne pas croire, c’est mourir. Il faut donc que ce peuple algérien continue de croire pour ne pas mourir.
Le Parisien
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Des centaines de personnes ont commencé ce vendredi matin à marcher dans les rues de Bouira et tiaret, contre le 5e mandat.
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Le chef de la zone autonome d’Alger Yacef Saadi est encore en vie !
Yacef Saadi a fêté ses 91 ans le 20 janvier dernier. “Il se porte très bien”, assure son frère.
Nous avons dépublié l’information. Nous nous excusons pour cette méprise auprès de Yacef Saadi, sa famille et de nos aimables lecteurs.
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