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Diplomacy & Defense Think Tank News

France Culture – Laurence Daziano invitée à l’émission « L’Économie en question »

Fondapol / Général - Mon, 23/05/2016 - 18:10

Samedi 21 mai 2016, Laurence Daziano était l'invitée de l’émission « L'Économie en question » sur France Culture, sur le thème « Pays émergents, pays en développement : la crise au prix fort ».

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Russie : vers une levée des sanctions ?

IRIS - Mon, 23/05/2016 - 17:10

Où en est l’économie russe, deux ans après l’adoption des sanctions occidentales ?
Elle résiste mieux que ne l’avaient prévu la plupart des observateurs. L’horizon d’une sortie de crise est désormais visible, sans doute dès le 2e semestre 2016. Certes, le choc est rude. Le PIB a reculé de 3,7 % l’an dernier. Il devrait encore se contracter cette année, dans une fourchette située entre 0,5% et 1%. Les salaires réels de la population ont connu leur plus importante baisse de ces 15 dernières années (-9,5%), tandis que l’inflation s’élevait à 12,9%. Le rouble a quant à lui vu sa valeur pratiquement divisée par deux depuis l’été 2014. Pour autant, l’économie russe n’est pas « en lambeaux », comme l’a imprudemment affirmé Barack Obama, ni au bord du gouffre comme on l’écrit souvent en Occident. Le pays est peu endetté (moins de 20% du PIB), ses réserves de changes remontent, son économie s’adapte rapidement à des cours du pétrole durablement bas. Car c’est bien la chute des prix des matières premières qui est à l’origine de la récession actuelle. Les sanctions occidentales sont un facteur aggravant qui se sont ajoutées à une conjoncture dégradée avant la crise ukrainienne. Aujourd’hui, le défi qui se pose à la Russie n’est ni plus ni moins que d’inventer un nouveau modèle de développement. Le risque principal pour ce pays n’est pas la faillite mais une trajectoire économique durablement médiocre qui ne lui permettrait pas de poursuivre sa modernisation. Des débats très vifs ont actuellement lieu à Moscou entre les économistes libéraux rassemblés autour de l’ancien ministre des Finances, Alexeï Koudrine, revenu au premier plan, et les partisans d’une politique de relance. Ce sera le sujet d’une réunion cruciale qui aura lieu au Kremlin en présence de Vladimir Poutine le 25 mai.

Que faut-il attendre des élections législatives prévues en septembre ?
Ce scrutin marquera le début d’un cycle électoral majeur : 18 mois après le renouvellement de la Douma d’Etat aura lieu la présidentielle, à laquelle Vladimir Poutine devrait logiquement concourir dans l’optique d’un 4e mandat. Le parlement dispose de prérogatives limitées en Russie. Les élections de septembre ne changeront donc pas fondamentalement la donne politique. Elles ne seront néanmoins pas inintéressantes. Echaudé par les manifestations de l’hiver 2012, le Kremlin veut organiser un scrutin plus « présentable » dont la légitimité ne sera pas contestée. La nomination d’Ella Pamfilova, une figure respectée y compris dans les milieux hostiles au pouvoir, s’inscrit dans cette logique. Mais ces ouvertures et cette approche plus politique ne concernent pas l’opposition extra-parlementaire : cette dernière reste sous pression maximale comme le montrent les mésaventures d’Alexeï Navalny et Mikhaïl Kassianov (au demeurant incapables de s’entendre). Un nouveau gouvernement sera vraisemblablement formé à l’automne et ses priorités donneront le ton du – très probable – 4e mandate de Vladimir Poutine. Pour ma part, j’attends une impulsion réformatrice en économie mais des évolutions plus limitées au plan politique. Sauf peut-être si le contexte international, en particulier avec les Occidentaux, venait à se détendre quelque peu.

Le Conseil européen doit débattre, en juin, de la prorogation des sanctions sectorielles contre la Russie qui arrivent à échéance le 31 juillet. Les jeux sont-ils faits ?
Effectivement, les sanctions seront sûrement reconduites, mais probablement pour la dernière fois.. Les divisions au sein de l’Union européenne (UE), visibles depuis de longs mois mais jusqu’ici surmontées au nom de l’unité (soutenue par quelques coups de téléphone comminatoires de Berlin et de Washington quand elle paraît menacée), s’expriment désormais ouvertement. Schématiquement, je dirais qu’il y a, au sein de l’UE, quatre groupes de pays. Les partisans d’un renforcement des sanctions : les Polonais et les Baltes, mais aussi la Suède et le Royaume-Uni sont sur cette ligne. Ceux qui, à l’inverse, souhaitent avancer rapidement vers une normalisation des relations avec Moscou : c’est le cas de l’Italie, de la Grèce, de l’Autriche et, dans une moindre mesure, de la Slovaquie et de la République tchèque (on voit, au passage, que le clivage « vieille Europe »/ « Nouvelle Europe » mis en avant lors de la guerre d’Irak en 2003 n’est plus pertinent : les pays de l’ancien empire austro-hongrois ne soutiennent que très modérément l’Ukraine post-Maïdan). Il y a ensuite les « indifférents », ceux pour qui – pour des raisons géographiques – le dossier ukrainien paraît lointain (Portugal, Irlande, etc.) et qui généralement s’alignent sur la Commission. Enfin, il y a l’Allemagne et la France. De la position des deux co-parrains du processus de Minsk dépendra dans une large mesure la position européenne. Visiblement, les lignes bougent dans les deux capitales et les débats au sujet des sanctions évoluent. A ce stade, une levée pure et simple n’est pas envisageable ; mais une certaine exaspération apparaît à Paris et à Berlin quant aux blocages du processus dus à la partie ukrainienne. L’analyse qui est faite est que les responsabilités sont partagées entre Moscou et Kiev. Le constat n’est pas nouveau mais les choses sont désormais dites publiquement, y compris par le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault. Dans ces conditions, une levée partielle fin 2016 est tout à fait possible.

IPI MENA Hosts Mohammed bin Rashid Al Maktoum Award for World Peace

European Peace Institute / News - Mon, 23/05/2016 - 17:06
Photos

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On May 19, 2016, the International Peace Institute’s Middle East and North Africa office (IPI MENA) hosted Ahmad Khalfan al-Mansoori, Secretary-General of the Mohammed bin Rashid Al Maktoum Award for World Peace (MRAWP). Mr. Mansoori spoke about the organization’s aims and vision to an audience consisting of ambassadors, government officials, various religious communities, corporate institutions, civil society leaders and academia.

In a presentation moderated by IPI MENA Director Mr. Nejib Friji, Mr. Mansoori elaborated on the MRAWP areas of interest, ranging from sustainable development contributions, journalism, medicine, sport and humanitarian work aimed at reducing poverty, improving knowledge, and empowering society as a whole.

Stressing the award’s focus on women’s empowerment, the MRAWP Secretary-General said empowered women are key factors to peace.

Highlighting Islam’s contribution to peace, he said the award, established by royal decree in 2011, aims to build bridges of cooperation between diverse cultures and promotes the values of harmony, tolerance, and moderation.

In explaining MWRAP’s Peace Libraries, Mr. Mansoori said the award will encourage reading and promote young writers. In this regard, he announced that the award will mark the International Day for Poets of Peace.

Referring to the Mohammed bin Rashid Global Initiatives, which aim to fight poverty and disease, spread knowledge, empower communities, and foster future innovation, he said they involve 28 entities with 1,400 programs targeting over 130 million people. The initiatives will provide education for 20 million children, medication for 30 million people, 2 billion UAE Dirhams for hospitals and medical research, and invest 500 million UAE Dirhams in promoting tolerance in the region. Mr. Mansoori disclosed that the award is USD 1.5 million.

He concluded by saying that the Mohammed bin Rashid Al Maktoum Award for World Peace was one drop in the ocean of world peace. Mr. Mansoori said MRAWP looks forward to the strong partnership with IPI MENA.

Brasiliens Krise und die regionale Ordnung Lateinamerikas

SWP - Mon, 23/05/2016 - 15:55

Brasiliens bisherige Präsidentin Dilma Rousseff ist vorläufig suspendiert. Dem Amtsenthebungsverfahren, das vom Parlament des Landes eingeleitet wurde, hat mittlerweile auch der Senat zugestimmt. Diese Zäsur bedeutet zugleich einen Schlusspunkt für das außenpolitische Programm eines Landes, das seit dem Amtsantritt von Rousseffs Vorgänger, Luiz Inacio »Lula« da Silva, immer wieder Anspruch auf eine weltpolitische Gestaltungsrolle erhoben hat. Angesichts der innenpolitischen Blockade wird Brasilien bis auf weiteres als maßgeblicher globaler und regionaler Akteur ausfallen. Die Folge ist, dass andere linksorientierte Regierungen in Lateinamerika eine wichtige Stütze verlieren. Venezuela, Bolivien und Ecuador sind zunehmend auf sich allein gestellt. Die Solidarität dieser Führungen ist gebrochen; in der Region kämpft die Linke um ihr politisches Überleben. Zugleich haben sich die USA in Lateinamerika zurückgemeldet. Washingtons Beziehungen mit Kuba wurden normalisiert, und Präsident Obama sucht demonstrativ die Nähe zur neuen Regierung Argentiniens. Die Anzeichen verdichten sich, dass die politischen Gewichte in der Region neu verteilt werden. Deutschland und Europa sollten sich rechtzeitig darauf einstellen.

Kriege, Flüchtlinge und eine „Systemkrise“: Die internationale Nothilfe muss reformiert werden

Bonn, 23.05.2016. Gegenwärtig wird humanitäre Hilfe so stark beansprucht wie selten zuvor. Kriege, Instabilität, Ungleichheit, Naturkatastrophen und daraus resultierende Flüchtlingskrisen führen dazu, dass heute weltweit etwa 125 Millionen Menschen auf humanitäre Hilfe angewiesen sind. Aber auch das internationale humanitäre System ist in der Krise: Es mangelt ihm an Wirksamkeit, an Effizienz und an Gerechtigkeit bei der Lastenverteilung und der Zuteilung seiner Hilfe. Es vernachlässigt viele chronische Brandherde und den Aufbau lokaler und regionaler Fähigkeiten.

Organisationen der Vereinten Nationen, denen eine entscheidende Rolle im internationalen humanitären System zukommt, konkurrieren zu oft miteinander und mit anderen. Dies geht zu Lasten einer guten Koordination. Selbst UN-Generalsekretär Ban Ki-moon fordert tiefgreifende Veränderungen bei der Art und Weise, wie die Vereinten Nationen ihrer humanitären Verantwortung nachkommen. Der humanitäre Weltgipfel, der am 23. Mai in Istanbul beginnt, muss den Weg für diese Veränderungen ebnen.
In mindestens vier wesentlichen Bereichen müssen Reformen angestrebt werden:

Erstens geht es um die Verknüpfung von unmittelbarer humanitärer Hilfe mit strukturbildender Unterstützung, also Entwicklungszusammenarbeit. Bei den meisten Akteuren herrscht Einigkeit, dass die Verzahnung der humanitären Hilfe mit der Entwicklungszusammenarbeit verbessert werden muss, um Menschen in Notlagen eine nachhaltige Perspektive zu geben. Die konkreten Lösungsvorschläge gehen allerdings bislang kaum über die Verbindlichkeit allseitiger Absichtserklärungen hinaus. Die Stärkung der resident coordinators – des jeweils höchsten Vertreters der Vereinten Nationen in einem Land – wäre ein wichtiger Schritt. Die Kompetenzen dieser Position sollten ausdrücklich um die Aufgabe erweitert werden, eine abgestimmte Planung von (a) Nothilfe, (b) mittelfristig stabilisierenden Maßnahmen und (c) langfristiger struktureller Entwicklungszusammenarbeit zu erreichen.

Zweitens sind bewaffnete Konflikte Hauptverursacher humanitärer Notlagen. Der bereits vor einiger Zeit veröffentlichte Bericht des Generalsekretärs zum Weltgipfel fordert daher an erster Stelle mehr Einsatz, um Kriege zu verhindern und Frieden zu fördern. In der internationalen Debatte ist dieser Punkt auf wenig konkrete Resonanz gestoßen. Denn die Organisationen der Vereinten Nationen sind Akteure, die ihr Mandat als möglichst unpolitisch definieren und damit in kritischen Situationen oft faktisch die Position der Regierungen unterstützen – auch wenn dies im schlimmsten Fall zu einer Konflikteskalation beitragen kann. Die Vorstellung einer politischen Neutralität in (Post-)Konfliktsituationen muss daher kritisch hinterfragt werden. Regelmäßige Do-no-harm-Analysen in Krisen- und Konfliktländern – also Untersuchungen, wie Hilfe vor allem konfliktsensibel gestaltet werden kann – wären in dieser Hinsicht ein guter Ausgangspunkt.

Drittens müssen die Organisations- und Entscheidungsstrukturen im humanitären System der Vereinten Nationen in zwei Richtungen hin reformiert werden, die zunächst widersprüchlich scheinen: Zentralisierung und Dezentralisierung. Zentralisiert werden sollte die Koordination im Falle einer humanitären Krise: Hier sollte die Rolle des UN-Nothilfekoordinators durch Ausweitung seiner Zuständigkeiten gestärkt werden (analog zu den resident coordinators). Dabei wäre es besonders wirkungsvoll, wenn auch die finanzielle Zuständigkeit in seinen Händen läge.
Eine Dezentralisierung sollte zugleich die Handlungsfähigkeit lokaler und nationaler humanitärer Organisationen in Krisensituationen stärken. Die Rolle internationaler Organisationen bestünde dann in erster Linie darin, nationale und lokale Organisationen nach Bedarf dabei zu unterstützen, den notwendigen Aufgaben nachzukommen. Nur wo dies nicht möglich ist, kämen internationale Organisationen direkt zum Einsatz.

Viertens ist die derzeitige Finanzierung des humanitären Systems problematisch. Es basiert weder auf festen noch auf verbindlichen Beitragssätzen. Dies führt immer wieder zu Finanzierungslücken mit teils drastischen Konsequenzen wie der Kürzung von Lebensmittelrationen für Bedürftige und hat eine Konkurrenz der UN-Organisationen untereinander um die knappen Mittel zur Folge. Das von Ban Ki-moon im Mai 2015 eingesetzte und mit internationalen Vertretern aus Wirtschaft, Politik und Zivilgesellschaft besetzte „High-Level Panel on Humanitarian Financing“ empfiehlt eine festere, mehrjährig gebundene Beitragsfinanzierung. Geldmittel sollten „zweck-ungebundener“ werden, um sich auch humanitärer Notlagen anzunehmen, die weitgehend aus dem Blick öffentlicher Wahrnehmung verschwunden sind. Humanitäre Organisationen sollten zudem ihre Finanztransparenz erhöhen und stärker zu bargeld-basierter Hilfe übergehen, da durch diese lokale Lösungen besser zum Tragen kommen.

Das Zeitfenster für strukturelle Reformen ist eng. Im September befasst sich die Generalversammlung mit dem turnusmäßigen Vierjahres-Review des UN-Entwicklungssystems. Angedachte Strukturveränderungen, die darin nicht zur Sprache kommen, werden es schwer haben in absehbarer Zeit auf anderen Wegen Zustimmung zu finden. Der weltweite Bedarf an humanitärer Hilfe wird in den nächsten Jahren kaum kleiner werden. Deshalb ist es entscheidend, dass der humanitäre Weltgipfel zu konkreten Reformschritten führt.
Dieser Beitrag ist auch auf der Seite der Deutschen Gesellschaft für die Vereinten Nationen e.V. (DGVN) erschienen.

L’Opinion – En déclin, la gauche radicale conserve pourtant son influence intellectuelle

Fondapol / Général - Mon, 23/05/2016 - 10:25

Si la gauche radicale -politique, associative et syndicale - est en phase de déclin, sa vitalité médiatique reste importante. La Fondation pour l'innovation politique lui consacre une note très fouillée, "La gauche radicale : liens, lieux et luttes (2012-2017)", signée Sylvain Boulouque, dont L'Opinion publie le 23 mai 2016 en avant-première des extraits.

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Geber, traut euch! Bargeldbasierte Transfers als Chance für mehr Selbstbestimmung und Effizienz in der Not- und Übergangshilfe

Bonn, 23.05.2016. Am 23. und 24. Mai findet in Istanbul der erste humanitäre Weltgipfel statt, zu dem der Generalsekretär der Vereinten Nationen Ban Ki-moon geladen hat. 5.000 Vertreterinnen und Vertreter von Regierungen, humanitären Organisationen, wissenschaftlichen Institutionen und Unternehmen, aber auch Opfer humanitärer Krisen werden seiner Einladung folgen. Durch den Fokus auf fünf Aktionsfelder soll der Gipfel die Grundlage dafür schaffen, die umfangreichen Verpflichtungen des vergangenen Jahres in die Tat umzusetzen – wie u.a. die Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung oder das Pariser Abkommen der Klimakonferenz der Vereinten Nationen. Diese Felder umfassen die Würde, Sicherheit und nachhaltige Unterstützung der Menschen in Not sowie neue Partnerschaften und innovative Finanzinstrumente zur effizienteren Verwendung knapper Mittel.

Für drei dieser Felder können bargeldbasierte Transfers in der Not- und Übergangshilfe eine wichtige Rolle spielen: für den Respekt vor der Würde der Menschen in Not, für deren nachhaltige Unterstützung sowie als neues, effizientes Instrument. Diese Leistungen werden direkt an Menschen in Krisensituationen vergeben, umfassen Bargeldzahlungen oder Gutscheine und ersetzen zunehmend Sach- und Lebensmittelhilfen. Wichtige Entwicklungsakteure wie die Weltbank und die Ernährungs- und Landwirtschaftsorganisation der Vereinten Nationen möchten den humanitären Weltgipfel auch dazu nutzen, um in der internationalen Gemeinschaft für einen verstärkten Einsatz dieses Instruments zu werben.

Auch in der humanitären Hilfe des deutschen Auswärtigen Amtes und in der Übergangshilfe des Bundesministeriums für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung werden bargeldbasierte Leistungen eingesetzt – prominent etwa in der Beschäftigungsinitiative für Flüchtlinge in den syrischen Nachbarländern. Insgesamt stellen sie aber einen sehr geringen Anteil von schätzungsweise sechs Prozent der weltweiten humanitären Hilfe dar. Allgemein reicht die Art der Leistungen von Transferzahlungen an Eltern im Gegenzug für den regelmäßigen Schulbesuch ihrer Kinder bis zu Zahlungen für kurzfristige Arbeitseinsätze oder auch Zahlungen ohne Konditionen. Auch können sie entweder als Bargeld frei verwendet oder als Gutscheine nur für vordefinierte Waren ausgegeben werden.

Positive Erfahrungen mit diesem Instrument wurden bereits in sehr unterschiedlichen Ländern gemacht, auch in fragilen Staaten. Damit Bargeld-Hilfen erfolgreich sein können, müssen einerseits Märkte vorhanden sein, auf denen die Menschen die Dinge, die sie benötigen, erstehen können. Andererseits muss gewährleistet sein, dass die Transfers sicher zugestellt werden können. Die Empfänger entscheiden selbst, wofür sie die Leistungen einsetzen, etwa für Nahrungsmittel, die Ausbildung ihrer Kinder oder Arztbesuche. Indem sie eigenständig Entscheidungen über Präferenzen treffen, nehmen sie ihr Leben stärker in die Hand als dies bei Sachleistungen der Fall ist. Gleichzeitig stärkt es sie kurz- und mittelfristig, da sie selbst festlegen, welchen Teil des Geldes sie unmittelbar ausgeben, welchen sie investieren und welchen sie sparen. Auch bei Kosten-Nutzen-Rechnungen schneidet Bargeld häufig besser ab als Nahrungsmittelhilfe. Gleichzeitig gibt es keine Anhaltspunkte dafür, dass Bargeld regelmäßig und in höherem Maße für „falsche“ Zwecke wie etwa Alkohol ausgegeben würde als dies z.B. bei Lebensmitteln, die weiterverkauft werden können, der Fall ist.

Die Initiative für mehr bargeldbasierte Interventionen fügt sich ein in weitere Entwicklungen hin zu einem emanzipierteren Verständnis von Entwicklungszusammenarbeit und humanitärer Hilfe. Der konzeptionelle Rahmen, an dem sich die internationale Kooperation bis 2030 orientieren wird, sind die 2015 vereinbarten nachhaltigen Entwicklungsziele. Sie richten sich an alle Länder der Welt. Da alle Staatschefs Rechenschaft gegenüber der Weltöffentlichkeit ablegen müssen, wird die Grenze zwischen Gebern und Empfängern aufgeweicht. Es geht vielmehr um einen Austausch und eine Zusammenarbeit auf Augenhöhe.

Der humanitäre Weltgipfel betont die Würde der Menschen in Not und lässt sie neben dem Generalsekretär der Vereinten Nationen, Staatschefs und anderen hochrangigen Vertretern sichtbar und hörbar bereits in der Plenardebatte zur Eröffnung zu Wort kommen. Auf Projektebene sind bargeldbasierte Ansätze eine Möglichkeit, die Selbstbestimmung der Menschen anzuerkennen.

Was also steht einem stärkeren Engagement für mehr bargeldbasierte Projekte und somit einem emanzipierteren Verständnis von Not- und Übergangshilfe entgegen? Es ist auch der Widerstand innerhalb von Geberinstitutionen: Der große Vorteil des Instruments – die Empfänger entscheiden selbst, was sie brauchen – bedeutet auch, dass durchführende Organisationen einen Teil der Kontrolle aufgeben, was mit ihrer Hilfe geschieht. Außerdem verschwimmen die Grenzen zwischen den Sektoren der Entwicklungszusammenarbeit, wenn z.B. Geld, das für Ernährungssicherung gedacht war, für den Schulbesuch der Kinder verwendet wird. Die Geber sollten mehr Mut zeigen, den Empfängern eigene Entscheidungen zuzutrauen. Hoffen wir, dass die Teilnehmenden des humanitären Weltgipfels das Momentum nutzen, damit dieser Prozess weiter an Fahrt gewinnt.
Dieser Beitrag ist auch auf der Seite der Deutschen Gesellschaft für die Vereinten Nationen e.V. (DGVN) erschienen.

Dr Thanos Dokos analyses on Euronews the forthcoming visit of President Putin in Greece, 18/05/2016

ELIAMEP - Mon, 23/05/2016 - 08:18

Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos gave an interview on Euronews analysing the forthcoming visit of President Vladimir Putin in Greece. You can watch the video here.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on the objectives of Greek foreign policy, 18/05/2016

ELIAMEP - Mon, 23/05/2016 - 08:10

You can read here the article on the objectives of Greek foreign policy, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 18 May2016 [in Greek].

¿Por qué Panamá no está en las listas de paraísos fiscales?

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 08:07
ARI 40/2016 - 23/5/2016
Aitor Pérez
La pregunta planteada por distintos medios de prensa tras el escándalo de los papeles de Panamá tiene dos lecturas: (1) Panamá es un paraíso fiscal, ¿sí o no?; y (2) ¿realmente se está combatiendo el problema de los paraísos fiscales de forma contundente?

¿Brexit o Bremain? Una decisión con consecuencias para todos

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 08:06
Opinión - 23/5/2016
Salvador Llaudes
En un mes se celebra el referéndum en el que los ciudadanos británicos decidirán si su país sigue formando parte de la Unión Europea o no.

Catorce dilemas de la cooperación española en la nueva legislatura

Real Instituto Elcano - Mon, 23/05/2016 - 07:30
ARI 39/2016 - 23/5/2016
Iliana Olivié y Aitor Pérez
El futuro de la política española de cooperación internacional para el desarrollo requeriría abordar políticamente una serie de dilemas referidos, por ejemplo, a la asignación geográfica de la ayuda, a la conexión entre la política de desarrollo y otras políticas de la acción exterior, y la combinación adecuada de instrumentos y actores.

Sylvain Boulouque présente sa note : « La gauche radicale : liens, lieux et luttes (2012-2017) »

Fondapol / Général - Mon, 23/05/2016 - 07:22

Sylvain Boulouque présente sa note : La gauche radicale : liens, lieux et luttes (2012-2017).

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Glaubwürdige Abschreckung stärken: Was die NATO tun muss

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 23/05/2016 - 00:00
Die Annexion der Krim durch die Russische Föderation hat die NATO-Prioritäten geändert. Für die NATO ergibt sich nach Jahren der Einsätze außerhalb des Bündnisgebietes die Notwendigkeit, der territorialen Bündnisverteidigung neue Aufmerksamkeit zu widmen. Der NATO-Gipfel in Wales 2014 stand ganz im Zeichen der verbesserten Verteidigung und Abschreckung an den Bündnisgrenzen. Eine glaubwürdige Abschreckung setzt Willen, Ressourcen und realistische Planungen voraus.

Was uns prägt - was uns eint

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 23/05/2016 - 00:00
Der Jahresbericht gibt wieder Zeugnis von vielen Aktivitäten, herausragenden Ereignissen und Projekten, von der hohen Sachkompetenz und Expertise der Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter und ihrem weltweiten Engagement für Demokratie, Menschenwürde, Freiheit und Rechtsstaatlichkeit. Sie alle haben unseren großen Dank mehr als verdient.

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