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Fülöp Tímea muzeológus, a Maros Megyei Múzeum korábbi munkatársa ezen a héten vette át a Kultúrpalota vezetését. Évtizedek óta nem volt magyar vezetője az intézménynek. Fülöp Tímea rádiónknak elmondta, jelentkezésének feltétele az volt, hogy tervet nyújtson be a palota termeinek kihasználtságára és a személyzet koordinálására vonatkozóan. Hozzátette, az intézmény vezetőjeként nagyrészt adminisztrációs feladatok várnak rá, amelyeket két kategóriába sorolt.
„Az egyik a személyzet munkájának a megszervezése, a karbantartási munkálatok. A termek kiadására vonatkozóan például szeretném azt, hogy minél inkább egyszerűsítsük le a folyamatot, ahogy termet lehet igényelni, mert ezt jelen pillanatban például online felületen sem lehet követni. A terv másik része a népszerűsítésre, a turistákra és a látogatókra fókuszál.”
Fülöp Tímeát hallották. Rövid távon prioritást élveznek az épület-karbantartási munkálatok. A hosszú távú tervek között szerepel egy múzeumi kávézó működtetése a Kultúrpalotában, illetve egy színvonalas múzeumshop megnyitása saját kiadvánnyal, a palotához, a múzeumhoz, a városhoz köthető szuvenírtárgyakkal. Újdonságot jelent még az önkéntesprogram bevezetése.
„Elég sok olyan fiatal és nyugdíjas is van, akik még nagyon-nagyon aktívak, és megvan a tudásuk és képességük ahhoz, hogy ilyen feladatokat vállaljanak. Ezért jött az az elképzelés, hogy egy önkéntes programot kellene szervezni, amelybe be tudjuk vonni a város lakosságát.”
Az intézmény új vezetője szeretné elérni azt is, hogy a 2013-as centenáriumi rendezvénysorozat mintájára a Kultúrpalotának rendszeresen legyenek saját rendezvényei.
A kormányszóvivő szerint a határozat nem a büntetéseket szabályozza, hanem megakadályozza a visszaéléseket. A határozat értelmében a gépkocsi elszállítása nem rendelhető el olyan gépkocsi esetében, amelyben ül valaki, vagy amely mentési akcióban vesz részt. Az elszállított gépkocsikat megfelelő körülmények között kell tartani. A gépkocsik kiváltását a nap 24 órájában lehetővé kell tenni, miután a tulajdonos kifizette a bírságot és az elszállítás költségeit. A határozat szabályozza a járdán parkolás körülményeit is.
La banque d'affaires Ecobank Capital a arrangé un financement de 45 milliards de F CFA à moyen-terme.
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The Council has agreed its negotiating stance on amendments to EU rules aimed at boosting investment in venture capital and social enterprises.
On 16 December 2016, the Permanent Representatives Committee, on behalf of the Council, asked the incoming presidency to start talks with the European Parliament, once the Parliament has agreed its stance.
The proposed regulation is part of the EU's plan to develop a fully functioning capital markets union, diversifying funding sources for Europe's businesses and long-term projects. It is also linked to the EU's investment plan for Europe.
"We need to develop new possibilities for financing European start-ups, innovative SMEs and social enterprises. Access to venture capital and social entrepreneurship capital is key for this segment of the economy."
Peter Kažimír, Slovak minister for finance and president of the CouncilThe proposal sets out to make European venture capital funds (Euveca) and European social entrepreneurship funds (Eusef) available to fund managers of all sizes. Amending regulations 345/2013 and 346/2013, it expands the range of companies that Euveca and Eusef funds can invest in. It also makes the cross-border marketing of such funds cheaper and easier.
Euveca and Eusef fund structures were created in 2013 to offer new opportunities for raising capital to, respectively:
Regulations 345/2013 and 346/2013 lay down requirements for managers of collective investment undertakings that wish to use the Euveca and Eusef designations for the marketing of their funds.
The funding gapThe availability of financing for SMEs is an important factor behind their growth and development, yet banks are not always able to support their financing needs. The funding gap has been repeatedly cited as an obstacle to economic growth.
The EU is falling further behind the United States as concerns the venture capital market. According to the Commission, if EU venture capital markets had been as developed as in the US, €90 billion would have been available for financing companies between 2009 and 2014.
AmendmentsAs agreed by the Council, the main amendments to regulations 345/2013 and 346/2013 involve:
The regulation requires a qualified majority for adoption by the Council, in agreement with the Parliament. (Legal basis: article 114 of the Treaty on the Functioning of the European Union.)
Regulations 345/2013 and 346/2013 were normally due for review in 2017, but the Commission decided to bring forward that review. It identified a number of factors holding back the development of Euveca and Eusef funds that are addressed in its proposal.
Pour avoir fait le voyage en train de nuit, je peux démentir[1]. Il est vrai que c’était en 1966, à une époque où les trains n’étaient pas des modèles de rapidité (ce qui n’a d’ailleurs guère changé depuis dans la région). Je venais de quitter mes hôtes hongrois et avais décidé de regagner Paris via Prague. Prague aujourd’hui haut lieu du tourisme, qui jouit (à juste titre) des qualificatifs les plus flatteurs (« Ville aux toits d’or », « Seconde Rome »), offrait alors un spectacle franchement sinistre. Le souvenir que j’en garde est celui d’une ville sombre, presque noire. Non seulement pour l’aspect du paysage urbain, mais offrant aussi une atmosphère pesante avec ces murs couverts d’immenses affiches ventant les mérites du communisme, d’un style presque caricatural. Détail pittoresque : j’ai encore vu dans la gare de Prague de vielles locomotives à vapeur arborant une immense étoile rouge. Bref, ambiance Docteur Jivago. Rien à voir avec ce que j’avais vu à Budapest qui, par contraste et en exagérant un peu, aurait presque fait figure de Las Vegas.
Une gare où je passai la nuit allongé sur un banc, au milieu de flics suspicieux, qui me tournaient tout autour. La raison : je n’avais pratiquement plus un sou en poche, hormis mon billet de train. Car, à peine débarqué, j’avais sauté dans un taxi, demandant au chauffeur de me montrer la ville. Un chauffeur qui bien sûr, ne se priva pas d’exploiter ce touriste-pigeon naïf que j’étais, espèce rarissime à l’époque[2].
Ma deuxième visite, cette fois en voiture, eut lieu en juillet 1968. Quel contraste ! C’était un dimanche, il faisait beau, aussi les parcs étaient-ils bondés de promeneurs. Dans une ambiance de fête. Nous étions en plein Printemps de Prague. J’eus même l’occasion de discuter avec un habitant qui, pour m’indiquer le chemin, monta dans ma voiture. Une conversation qui me confirma l’optimisme qui régnait alors dans la population, à mille lieues de se douter du drame qui allait survenir un mois plus tard.
Ma troisième visite eut lieu quelques années plus tard, en 1973, je crois. Mon épouse et moi rentrions alors de Budapest à Paris via Prague, passant donc directement de Hongrie en Tchécoslovaquie. Là encore, quel contraste! Face à des douaniers hongrois, sinon totalement relâchés, du moins pas trop regardants (notre connaissance de la langue ayant certainement aidé), nous tombâmes de l’autre côté sur de véritables cerbères avec qui il n’eût point fallu plaisanter. Mais le pire fut lorsque nous passâmes la frontière avec l’Allemagne. Un premier barrage était fixé à quelques kilomètres de la frontière où les soldats ne nous laissaient passer que par petits groupes de deux voitures. Pour pénétrer dans un no man’s land au beau milieu duquel on nous fit stopper pour poireauter une éternité, moteur coupé avec interdiction de sortir du véhicule (où nous commencions à geler, le chauffage étant coupé). Avec à la clé, une fois parvenus au poste-frontière, mille questions incongrues. Le douanier n’hésitant pas, sans nous demander notre avis, à fourrer sa grosse patte dans le sac-à-main de mon épouse. Bref, une pénible expérience qui nous faisait regretter la douane hongroise.
La visite suivante se déroula dans un tout autre contexte, puisque postérieure à la chute du rideau de fer. C’était en 1993. Notre voyage se fit juste après la partition de la Tchécoslovaquie en deux Etats distincts. Nous étions en voiture et le passage de la frontière fut assez inattendu. Vu qu’ils n’avaient pas eu le temps d’édifier des postes-frontière, c’est un parking de l’autoroute qui en tenait lieu. Bon. Une fois sorti du parking, quittant en principe du même coup la Slovaquie, je me crus logiquement en Tchéquie. Pas du tout : un second parking nous attendait quelques kilomètres plus loin: le poste tchèque cette fois. Ils ne voulaient apparemment pas être ensemble et ne pas partager le même parking. De plus, comme les uniformes étaient les mêmes, allez y voir quelque chose ! Autre casse-tête : ne pas confondre les couronnes tchèques et slovaques, d’aspect pratiquement semblable.
Voilà quelles furent les impressions d’un Français davantage familiarisé avec le mode de vie des Hongrois. Je dirais presque gâté, en comparaison.
On parlait alors du « bloc de l’Est ». Notion quelque peu réductrice. Si, certes, tous ces Etats, membres du Comecon et du Pacte de Varsovie, étaient placés sous le joug commun de l’Union soviétique, grandes étaient les différences. Sans parler de la Roumanie tenue par la poigne de fer d’un Ceaușescu ou au contraire de la Yougoslavie dissidente de Tito, quoi de commun entre la Hongrie de Kádár (« la baraque gaie » du camp) et la RDA d’Honecker ? Pas grand chose, à vrai dire.
Témoigner du quotidien de l’autre côté du Rideau de fer