Des nominations ont été prononcées ce mercredi 24 septembre 2025, au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Sur l'avis favorable du Conseil national de l'Éducation, des doyens, vice-doyens et directeurs ont été nommés dans les facultés, écoles et centres de l'Université d'Abomey-Calavi, de l'Université de Prakou et de l'Université nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques Faculté des Sciences et Technologies.
➡️Université d'Abomey-Calavi
Faculté des Sciences de la Santé
●Doyen : Josué AVAKOUDJO
●Vice-doyen pharmacie : Mèdessou Y. Habib GANFON
●Vice-doyen médecine : Ulrich VODOUHE
●Vice-doyen écoles : Angèle AZON KOUANOU
Faculté des Sciences économiques et de Gestion
●Doyen : Denis ACCLASSATO HOUENSOU
●Vice-doyen : Armel NONVIDE
Faculté des Sciences agronomiques
●Doyen : Nadia K. FANOU FOGNY
●Vice-doyen : Coovi Guénolé AKOUEDEGNI
Facultés des Sciences humaines et sociales
●Doyen : Sylvain A. VISSOH
●Vice-doyen FASHS/UAC : Tata Jean TOSSOU
●Vice-doyen Adjarra/UAC : Joseph P. SAHGUI
Faculté des Sciences et Techniques
●Doyen : Farid BABA MOUSSA
●Vice-doyen : Comlan C. ATINDOGBE
Faculté de Droit et de Science politique
●Doyen : Léon JOSSE
Faculté des Lettres, Langues, Arts et Communication
●Doyen : Koffi Julien GBAGUIDI
●Vice-doyen : Moufoutaou ADJERAN
Institut régional de Santé publique
●Directrice : Yolaine GLELE AHANHANZO HESSOU
●Directeur adjoint : Cyriaque DEGBEY
Institut de Mathématiques et de Sciences physiques
●Directeur : Koladé Simplice C. OGOUYANDJOU
●Directeur adjoint : Vincent A. MONWANOU
Institut national des Métiers d'Art, d'Archéologie et de la Culture
●Directeur : Romuald TCHIBOZO
Institut du Cadre de Vie
●Directeur : Ismaïla TOKO
●Directeur adjoint : Dègla Hervé KOUMASSI
Institut de Formation et de Recherche en Informatique
●Directeur adjoint : Gaston EDAH
Institut national de la Jeunesse, de l'Éducation physique et du Sport
●Directrice : Fifamin Judith AHOUNOU AÏKPE
●Directeur adjoint : Gbèdolo Arnaud GBAGUIDI
Institut national Médico-sanitaire
●Directrice : Lisette Isabelle ODOULAMI
●Directeur adjoint (École des infirmiers/infirmières) : Jacques VIGAN
Institut national de l'Eau
●Directeur : Luc Olivier SINTONDJI
●Directeur adjoint : Bernardin ELEGBEDE MANU
École polytechnique d'Abomey-Calavi
●Directeur : Victorien F. DOUGNON
●Directeur adjoint : Chakirath F. SALIFOU
Haute École régionale de Commerce international
●Directrice : Karina SYLLA DOUCOURE
École nationale des Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication
●Directeur : Ferdinand KPOHOUE
●Directeur adjoint : Raphaël YEBOU
École normale supérieure
●Directeur : Bernard FANGNON
●Directeur adjoint : David BALOUBI
Centre de Formation et de Recherche en matière de Population
●Directeur : Koffi Benoît SOSSOU
Centre inter-facultaire de Formation et de Recherche en Environnement pour le Développement
●Directeur : Ibouraïma YABI
●Directeur adjoint : Roch Christian JOHNSON
Centre béninois des Langues étrangères
●Directrice : Rissikatou MOUSTAPHA BABALOLA
École nationale d'Économie appliquée et de Management
●Directeur : Albert HONLONKOU
●Directeur adjoint : Théophile Jean AGADAME
➡️Université de Parakou
Faculté de médecine
●Vice-doyen : Moutawakilou GOMINA
Faculté des Sciences Économiques et de Gestion
●Doyen : Léandre GBAGUIDI
●Vice-doyen : Dramane ABDOULAYE
Faculté d'Agronomie
●Doyen : Amégnikin Valérien ZINSOU
●Vice-doyen : Erick Virgile Bertrand AZANDO
Faculté de Droit et de Science Politique
●Doyen : Moktar ADAMOU
Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines (FLASH)
●Doyenne : Bignon Tohounto Clarisse TAMA
●Vice-doyen : Norbert AGOÏNON
École nationale de Formation des Techniciens supérieurs en Santé publique et en Surveillance épidémiologique
●Directrice : Nouessewa Fanry Maryline HOUNKPONOU AHOUINGNAN
●Directeur adjoint : Luc BEHANZIN
Institut de Formation en Soins infirmiers et obstétricaux
●Directeur : Montcho Adrien HODONOU
●Directeur adjoint (ESSEFE) : Sèdjro Raoul ATADE
●Directrice adjointe (ESIIE) : Mendinatou AGBETOU HOUESSOU
Institut universitaire de Technologie
●Directeur : Ahodédji Henri TCHOKPONHOUE
●Directeur adjoint : Kounagbè Odilon LOKONON
École nationale de Statistique, de Planification et de Démographie
●Directeur : Épiphane SODJINOU
➡️Université nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques
Faculté des Sciences et Technologies
●Doyen : M. J. Stéphane HOUNDJO
●Vice-doyen : Raymond FATONDJI HOUSSOU
École Nationale supérieure des Biosciences et Biotechniques appliquées
●Directrice : A. Omédine KOUKOUI
●Directrice adjointe : Raymonde A. ADJATIN
École normale supérieure de Natitingou
●Directeur : Innocent DJEGBE
●Directeur adjoint : Nikita TOPANOU
Institut national supérieur des Classes préparatoires aux Études d'Ingénieur
●Directeur : Christian D. AKOWANOU
●Directeur adjoint : Sylvain ATTAN
École nationale supérieure de Génie Mathématique et Modélisation
●Directeur : Djibril Aliou MOUSSA
●Directeur adjoint : A. Joseph ADECHINAN
École nationale supérieure des Travaux publics
●Directeur : Ousséni AROUNA
●Directeur adjoint : Hubert Frédéric GBAGUIDI
École normale supérieure de l'Enseignement technique de Lokossa
●Directeur : Lambert Gustave DJEDATIN
●Directeur adjoint : Jean Robert KLOTOE
Institut national supérieur de Technologie industrielle
●Directrice : Clotilde GUIDI TOGNON
●Directeur adjoint : Dossou Flavien LANMANTCHION
École nationale supérieure de Génie énergétique et Procédés
●Directeur : Danvidé Antonin KANFON
●Directeur adjoint : Pasco Harrod LOGBO
➡️Université nationale d'Agriculture
École d'Agrobusiness et de Politiques agricoles
●Directeur : Nounagnon Émile HOUNGBO
École de Sociologie rurale et Vulgarisation agricole
●Directeur : Wilfried PADONOU
École d'Horticulture d'Aménagement des Espaces verts et Vulgarisation agricole
●Directeur : Paulin Jésutin DOSSOU
École de Génie rural
●Directeur : Hyppolite AGADJIHOUEDE
●Directeur adjoint : Inès Godonou SALAKO
École de Gestion de la Production Végétale et Semencière
●Directeur : Apollinaire ADANDONON
École de Gestion et d'Exploitation des Systèmes d'Élevage
●Directeur : Sabbas ATTINDEHOU
●Directeur adjoint : Razaki Adiho OSSE
École des Sciences et Techniques de Conservation et de Transformation des Produits agricoles
●Directrice : Flora CHADARE
●Directeur adjoint : Camel LAGNIKA
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les violations de l’espace aérien de certains pays membres de l’Otan par des aéronefs russes se sont multipliées. La dernière en date a été commise le 19 septembre. Ce jour-là, trois MiG-31 ont été interceptés par des F-35A italiens après s’être attardés pendant douze minutes, avec leur...
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Strategic philanthropy holds immense potential to drive large-scale social change, yet its impact is often constrained by a lack of data, research, and leadership. Addressing the world’s most intractable problems requires collaboration between philanthropy, government, and business.
On September 24th, IPI hosted a Global Leaders Series event featuring H.E. Badr Jafar, author of the book The Business of Philanthropy: Perspectives and Insights from Global Thought Leaders on How to Change the World.
The book, The Business of Philanthropy, features diverse insights into the power of strategic philanthropy to inform, inspire, and mobilize the next generation of social innovators in their pursuit of positive social and environmental impact.
Speakers:
H.E. Badr Jafar, Special Envoy for Business and Philanthropy, United Arab Emirates, and author of The Business of Philanthropy
Tsitsi Masiyiwa, Chair of Higherlife Foundation, Chair and Co-Founder of Delta Philanthropies, Chair of Co-Impact, Chair of END Fund, and a founding board member of the African Philanthropy Forum
Jacqueline Novogratz, Founder and CEO of Acumen
Moderator:
Zeid Ra’ad Al Hussein, President and CEO, International Peace Institute
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The OSCE Month of Borders was launched in September with a series of high-level events to mark 20 years since the adoption of the OSCE Border Security and Management Concept (BSM Concept) by the OSCE Ministerial Council in Ljubljana, Slovenia in 2005.
The Month’s opening session on 12 September highlighted two decades of the OSCE’s work on border security management. Speakers included Matti Sarasmaa, Permanent Secretary from the Finnish Ministry of the Interior, Ambassador Alena Kupchyna, OSCE Co-ordinator of Activities to Address Transnational Threats, Shawn Decaluwe, Deputy Director for Operations Service of the OSCE Conflict Prevention Centre and Aleška Simkić, EU Ambassador to Kazakhstan, who was the first Secretary of the Permanent Representation of Slovenia to the OSCE at the time of the adoption of the Concept. They underscored that the BSM Concept remains as relevant today as it was in 2005 and is a reflection of the OSCE’s continued commitment to peace and stability.
A panel at the opening session featured representatives of the State Border Guard Service of Ukraine, the Tajik Border Troops, the OSCE-Led Mobile Training Team and the Border Management Staff College who discussed emerging transnational threats, crisis response at the borders and human rights-based BSM. They also explored opportunities for future co-operation between the OSCE and national border services.
On 15 September, an event on ‘Shifting Tides of Border Security and Trafficking: Maritime and Riverine Challenges, Responses and Opportunities’ provided a platform to discuss maritime and riverine security, which is an area of growing strategic importance shaped by expanding trade, emerging technologies and evolving criminal tactics. Speakers included Ambassador Neil Holland, Chair of the OSCE Security Committee, Siv Katrine Leirtroe, Head of the OSCE Transnational Threats Department’s Border Security Management Unit (TNTD/BSMU), and experts from the Netherlands Special Maritime Operations, Heritage Malta, Spain’s Guardia Civil Maritime Unit, as well as representatives of the OSCE Programme Office in Astana and the OSCE Centre in Ashgabat.
The event also featured a panel discussion with the speakers on illicit trafficking of cultural property, irregular migration flows and cyber-attacks on port infrastructure. They shared good practices in capacity-building and opportunities for international co-operation to ensure secure, resilient and sustainably managed maritime borders. Participants also had a chance to experience a virtual reality dive into the sea where they could explore heritage sites around Malta that are at risk of looting and trafficking. TNTD/BSMU reported that the OSCE-Led Heritage Crime Task Force supported participating States in mapping trafficking networks across Ukraine and Central Asia, and provided expert assistance in seizing over 2000 trafficked or stolen objects valued at approximately 27 million euros — money that would otherwise have ended up in the hands of organized crime groups, terrorists and other criminal actors.
The Month of Borders concluded on 23 September with an event on ‘Travel Security and Technology Innovation: Safeguarding Borders in the Digital Age’, followed by an OSCE Security Committee meeting addressing achievements, challenges and future directions in the field of BSM. The discussion of the thematic event focused on threats to travel document security, the use of biometrics and strengthening Advance Passenger Information systems. Speakers highlighted lessons from Ukraine’s resilience in maintaining document security during wartime, the UK’s biometric border innovations and regional co-operation to improve passenger data systems and counter transnational crime.
The Month of Borders was organized by the 2025 OSCE Finnish Chairpersonship and the United Kingdom 2025 Chair of the OSCE Security Committee, in co-operation with the OSCE TNTD/BSMU. This is part of the OSCE’s continued efforts to support participating States in advancing their border-related work across the OSCE area, and to set the stage for future work, emphasizing innovation, enhanced co-operation and continued commitment to efficient border security and management.
A joint meeting of the OSCE Forum for Security Co-operation (FSC) and the OSCE Permanent Council was held on 24 September, under Finland’s dual role as 2025 OSCE Chairpersonship and Chair of the FSC. Finland placed the “Violation of Estonian airspace by the Russian Federation on 19 September 2025” on the agenda of the meeting.
“We have decided to convene this joint meeting in light of the violation of Estonian airspace by Russian Federation on 19 September,” said Ambassador Vesa Häkkinen, Finland’s Permanent Representative to the OSCE and Chair of the Permanent Council. “Finland condemns Russian escalatory behaviour and urges Russia to immediately stop. This airspace violation should not be seen as an individual incident but part of a broader pattern of Russia´s reckless behavior and ignorance of international rules.”
“The violation of Estonian airspace is deeply concerning and unacceptable,” said Dr. Mari Neuvonen, Deputy Permanent Representative of Finland to the OSCE and Chair of the FSC. “This development must be viewed in the context of Russia’s ongoing war of aggression against Ukraine. The airspace violations and Russia’s broader campaign of malicious activities against other countries illustrates the seriousness of Russia’s threat to international security.”
Joint FSC-Permanent Council meetings are convened to discuss security issues affecting the OSCE region. The Chairpersonship of the Forum for Security Co-operation rotates three times a year. Finland will Chair the FSC until the end of 2025.
Liste des actes manqués d’un pays sous anesthésie
Le Togo ressemble à un gros corps malade. Il existe plusieurs éléments qui montrent la gravité de la pathologie dont souffre le pays des Gnassingbé. Il nous sied de donner quelques-uns pour l’étayer.
Bien que la mise en place du SENAT et par ricochet la nomination des gouverneurs des Régions soit très peu utile au pays en raison même de son caractère superfétatoire, Faure Gnassingbé a procédé à la désignation de quatre gouverneurs de Région sur les cinq depuis le 23 août 2024.Plus d’une année après, la Région Centrale a été volontairement oubliée à ce jour. Il en est de même pour le District Autonome du Grand Lomé (DAGL) qui ne connait sa gouverneure. Or, cette institution, dirigée par un gouverneur nommé par le Chef de l’Etat, dispose de deux autres organes de gestion. Ensuite, un conseil du District composé pour moitié de Conseillers élus par les communes du Grand Lomé soit 26 à raison de deux par Commune et pour moitié (26) des personnalités nommées par le Président de la République, conformément à la Loi sur les décentralisations et les libertés locales. En lieu et place du Conseil du District, organe délibérant composé de 53 membres, il a été plutôt mis sur pied un Conseil d’Administration avec des membres de l’Administration publique en violation de la loi.
Pourtant, les compétences du District autonome sont bien larges et couvrent entre autres l’assainissement de la capitale et de l’ensemble du Grand Lomé, la protection de l’environnement, la planification de l’aménagement du territoire du district, la promotion et la réalisation des actions économiques, sociales et culturelles avec en sus un budget colossal.
Bien plus, l’Etat ne peut lui confier la gestion des infrastructures d’importance nationale à caractère commercial, sportif, sanitaire, culturel, à l’instar des marchés, hôtels, stades construits par l’Etat.
Voilà une structure de cette taille qu’on banalise dans un pays.
En dehors du DAGL, plusieurs institutions de l’Etat notamment la Cour des Comptes, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), ont fini leur mandat sans être renouvelé. Le cas de la HAAC est plus déchirant puisque les nouveaux membres ont été même élus par l’Assemblée Nationale depuis plus de 20 mois mais celui qui doit ordonner leur prestation de serment et leur prise de fonction observe aussi un oubli volontaire. Il en est de même pour les nouvelles institutions prévues par la nouvelle constitution qui n’ont pu voir le jour jusqu’alors.
Pis, cela fait bientôt cinq mois que le Togo n’a plus de gouvernement après la démission de la Première Ministre Victoire Sidemeho Tomegah-Dogbe. Là aussi celui qui doit s’en charger, cultive un oubli volontaire.
L’autre interrogation qui se pose enfin est de savoir si les Communes vont aussi connaitre le même sort de l’oubli volontaire. L’élection des Maires et leurs Adjoints ont été déjà reportés à trois reprises sans raison valable. La dernière note de report du 16 septembre 2025 n’avance même plus de date. Or, lorsque les Maires gèrent les affaires courantes comme les ministres actuellement, tout est au ralenti. Quand on est fatigué mais on s’accroche, c’est juste ce que cela donne. Malheureusement, c’est la misérable population qui en pâtit.
Kokou AGBEMEBIO
Source : LeCorrecteur
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Le secteur bancaire et assurantiel togolais est entré dans une nouvelle zone de turbulences. Depuis mercredi, les employés regroupés au sein du Syndicat des employés et cadres des banques (SYNBANK) et du Syndicat des assurances (SYNASSUR) observent une grève de 72 heures.
À Lomé, des centaines de travailleurs ont répondu présent à l’appel de leurs syndicats. Réunis au siège du Synbank, ils ont été informés des démarches entreprises auprès des autorités et du patronat, ainsi que des résultats des discussions menées jusque-là.
À l’origine de la contestation, les syndicats exigent : une amélioration du traitement salarial, la réintégration des 42 employés licenciés de Sunu Bank Togo et du délégué du personnel d’Ecobank, la régularisation de la situation de la CFBT, ainsi que la fin des abus et pressions dans le secteur.
« Nous voulons donner de la force à nos camarades et rappeler que la démobilisation n’est pas une option si nous voulons atteindre nos objectifs », a déclaré Nyamikou Kodjo, secrétaire général adjoint de Synbank chargé des assurances.
Les syndicats estiment le taux de participation à près de 80 %. « Quand on appelle à une grève, on ne s’attend pas à 100 % de participation. Mais si nous obtenons 80 %, c’est déjà une grande victoire », souligne le responsable syndical, qui assure toutefois respecter le choix de ceux qui n’ont pas suivi le mot d’ordre.
Au-delà des revendications salariales, les syndicats mettent en garde contre un climat social délétère marqué, selon eux, par des abus, du harcèlement et même des drames humains. « Depuis l’arrivée de certaines institutions au Togo, une douzaine de décès ont été enregistrés en lien avec les conditions de travail », dénoncent-ils.
Tout en maintenant la grève, Synbank et Synassur se disent ouverts aux discussions pour une sortie de crise. Leur priorité reste, selon eux, la protection des travailleurs togolais contre la précarité et les licenciements abusifs.
@togoactualite.com
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