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La Serbie est confrontée depuis un an au plus puissant mouvement de contestation de son histoire. Tout a commencé par l'effondrement tragique de l'auvent de béton de la gare de Novi Sad, qui a tué 16 personnes le 1er novembre 2024. Depuis, c'est tout un système de mensonges, de (…)
La Serbie est confrontée depuis un an au plus puissant mouvement de contestation de son histoire. Tout a commencé par l'effondrement tragique de l'auvent de béton de la gare de Novi Sad, qui a tué 16 personnes le 1er novembre 2024. Depuis, c'est tout un système de mensonges, de corruption et d'autoritarisme et de violence que dénoncent les manifestant.e.s
Réuni.e.s en plenums étudiant ou en zborovi, en assemblées citoyennes, les protestataires jettent aussi les fondements de ce que (…)
Conformément à ses missions, la Veille citoyenne de la commune de Ipelcé a, avec l'accompagnement de responsables au niveau national (de la Coordination nationale des associations de veille citoyenne, CNAVC), initié, dans ladite localité, une journée consacrée à la cohésion sociale, au vivre-ensemble et au soutien au président du Faso, capitaine Ibrahim Traoré. Cet évènement qui a eu lieu le samedi, 1ernombre 2025 à Ipelcé, bourgade sise à environ 45 kilomètres au sud de la capitale, dans la région du Nazinon, a réuni, aux côtés des populations, autorités morales, administratives, militaires et para-militaires ainsi qu'acteurs de la société civile autour d'une série d'activités : conférence publique sur la cohésion sociale et la contribution du programme Faso Mêbo ; course cycliste féminine, symbole de dynamisme et de participation des femmes ; tournois de football et de pétanque ; sensibilisation sur la sécurité routière ...
Pour la présidente de la Délégation spéciale de la commune de Ipelcé, Émeline Kiemtoré, par ailleurs patronne de la journée, cette initiative, qui traduit l'engagement de la Veille citoyenne, est à féliciter, en ce sens que la cohésion sociale constitue également « une arme pacifique pour résister à la division, à la manipulation et à la haine ». Elle fustige donc les relents de discorde, de résignation et de passivité, qu'elle qualifie d'ennemis silencieux du développement local.
Occasion également pour l'autorité d'insister sur la responsabilité individuelle et collective pour une consolidation d'un Burkina Faso des valeurs, de justice sociale et de travail.
C'est en regard de cet important enjeu, que la présidente de la Délégation spéciale de Ipelcé, Émeline Kiemtoré, a approuvé les activités concoctées dans le cadre de cette journée, à savoir la course cycliste féminine, le tournoi de football qui a connu son apothéose, le tournoi de pétanque et la conférence publique. Toutes ces initiatives ont permis aux populations d'échanger et, partant, promouvoir des valeurs chères à la cohésion sociale, au vivre-ensemble, à la paix, à l'unité nationale, etc.
Des responsables de la Veille citoyenne communale et nationale ont également rendu visite au responsable coutumier.En tablant, et en réunissant les populations autour de la cohésion sociale et la contribution du programme Faso Mêbo, la conférence publique a, elle, permis d'approfondir les échanges sur l'ensemble des objectifs poursuivis par cette journée.
Le cadre a également été mis à profit par des acteurs pour sensibiliser sur divers fléaux qui minent la société burkinabè et auxquels ne s'accommode plus la noble marche entamée par la Révolution progressiste populaire (RPP) impulsée sous le leadership du président Ibrahim Traoré.
Co-présidant l'activité avec le premier responsable national du mouvement Le Faso, ma Patrie (membre-fondatrice de la Coordination nationale des associations de veille citoyenne : CNAVC), Honoré Samandoulougou (https://lefaso.net/spip.php?article137183), le chargé de mission auprès de la présidence du Faso pour le compte de la région du Nazinon, Thierry Nikiéma, a, lui, exhorté les populations à s'inspirer de l'initiative présidentielle Faso Mêbo, symbole d'entraide et de mobilisation citoyenne.
Ici, le co-président Honoré Samandoulougou (2è à partir de la gauche), en compagnie des notabilités coutumières.« C'est ensemble que nous pouvons développer notre commune », a-t-il encouragé avant d'ajouter que le progrès local dépend d'une convergence d'actions, de volonté et de vision.
Pour les co-présidents, la Veille citoyenne de Ipelcé, en réaffirmant son soutien au président du Faso, capitaine Ibrahim Traoré, se positionne comme un acteur engagé de la transformation à la fois locale et nationale. De leur avis, cette journée démontre que, loin d'être un simple slogan, la cohésion sociale est un levier certain de résistance, de reconstruction et d'espérance. “À Ipelcé, la population a envoyé un message fort : la révolution patriotique en cours se nourrit aussi du terrain, de la base, des villages et des communes, là où les valeurs prennent racine et où se forge l'avenir. Ici, l'engagement citoyen n'est pas un discours ; il est une pratique vivante, collective et assumée”, peut-on retenir.
La présidente de la délégation spéciale, remettant une attestation de reconnaissance à une autorité coutumière.Pour rappel, cette journée de mobilisation autour de l'idéal de cohésion sociale, de vivre-ensemble, de paix et d'unité nationale, a été placée sous le co-patronage de la présidente de la délégation spéciale de Ipelcé, Émeline Kiemtoré, et de Omar Ilboudo, chef d'entreprise ; la co-présidence du président national du Mouvement Le Faso, Ma Patrie, Honoré Samandoulougou, et du chargé de mission auprès de la présidence du Faso pour le compte du Nazinon, Thierry Niékiéma, ainsi que le co-parrainage du pasteur Idrissa Guigma, de Mme Compaoré, du chef d'entrepris Bernard Ouédraogo, de Lazare Kabré et sous les bénédictions du chef de canton de Naaba Sonré de Ipelcé et du Rassam Naaba.
O.L
Lefaso.net
Le Premier ministre burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé, au cours de la matiné de ce lundi 3 novembre 2025, une audience à une délégation d'Afrodescendants conduite par la présidente de l'Institut de développement de la diaspora africaine (ADDI), Dr Arikana Chihombori. Elle est venue présenter ses civilités au Chef du Gouvernement et exprimer sa reconnaissance pour l'accueil chaleureux, dont elle bénéficie depuis son arrivée sur la terre des Hommes intègres.
Ils sont plus de 600 Afrodescendants et membres de la diaspora africaine, venus principalement des États-Unis, d'Europe et des Caraïbes, à avoir fait le déplacement en terre burkinabè.
« Nous avons été reçus d'une manière que personne n'aurait pu imaginer », a déclaré Dr Arikana Chihombori à l'issue de l'audience.
Elle a exprimé sa gratitude envers les autorités burkinabè et l'Ambassade du Burkina Faso à Washington D.C, qui a facilité la réalisation du voyage.
La présidente de l'ADDI a surtout salué le leadership du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, qui, selon elle, « incarne tout ce que nous avons toujours voulu voir en un homme africain ». « Le Président Traoré appelle à corriger les injustices vieilles de plus de 400 ans. Il invite les enfants d'Afrique, notamment les descendants des anciens esclaves, à rentrer chez eux », a-t-elle souligné.
Pour Dr Arikana Chihombori, cet appel du Burkina Faso constitue un tournant historique.
« C'est le premier pays africain à lancer un appel explicite au retour des descendants d'esclaves. Nous sommes ici pour célébrer cette initiative et répondre à ce cri du cœur', a-t-elle souligné.
Le Chef du Gouvernement a rappelé à ses hôtes l'importance de rester unis face aux forces extérieures qui cherchent encore à diviser les peuples africains. Il a encouragé la diaspora à demeurer éveillée, vigilante et consciente des enjeux, tout en soulignant la nécessité de combattre les fausses représentations de l'Afrique en général et du Burkina Faso en particulier, véhiculées depuis des siècles. « Nous devons continuer à lutter contre ceux qui ont déformé notre image et menti sur notre histoire. Ensemble, nous avons la responsabilité de dire au monde la vérité sur le Burkina Faso », a-t-il exhorté.
La délégation de l'ADDI a exprimé sa fierté de « rentrer à la maison », sur cette terre africaine symbole de dignité et de résistance. Elle a réaffirmé la détermination de la diaspora africaine à accompagner le Burkina Faso dans sa vision d'une Afrique souveraine, unie et réconciliée avec son histoire.
Lefaso.net
Source : DCRP/ Primature