You are here

Feed aggregator

Highlights - Implementation of the Global strategy in CSDP - State of play - Subcommittee on Security and Defence

On 8 June, SEDE will welcome Pedro Serrano, Deputy Secretary General, EEAS, to discuss the implementation of the Global strategy in the area of CSDP ahead of the Defence European Council on 22 June and the publication by the European Commission of its European Defence Industrial Programme legislative proposal.
Further information
Draft agenda and meeting documents
Source : © European Union, 2017 - EP

Réfugiés syriens en Algérie, Tchad, contestation au Maroc... Revivez l’actualité africaine de vendredi 2 mai

LeMonde / Afrique - Fri, 02/06/2017 - 10:16
Tout au long de la journée, l’information africaine suivie par la rédaction du « Monde Afrique » et son réseau de correspondants.
Categories: Afrique

Le droit des organisations internationales (The proper law of international relations)

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:09

L'auteur tente de faire le point détaillé de l'évolution du droit particulier aux institutions internationales, depuis la multiplication de ces organismes à travers le monde.

Ceux-ci, on le sait, ont des objectifs fort variés, mais de par leur nature ils sont tous amenés à conclure des actes juridiques de caractère semblable et dans des conditions souvent identiques, qu'il s'agisse de leurs tractations avec les services publics des pays d'accueil ou de la défense de leur intérêts propres. Ainsi se greffe peu à peu une nouvelle branche du droit aux confins du droit international public et privé et du droit administratif.

Stevens & Sons Ltd, Londres, 1962 (en anglais).

L'O.T.A.N. et le mouvement d'unification européenne

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:09

Du plan Marshall au Marché commun et aux projets d'union politique européenne, la coopération s'est organisée en Occident selon des modalités variant avec les objectifs, mais on remarque que ce fut toujours dans le sens d'une intégration plus poussée entre les pays membres des institutions régionales.

Après avoir analysé la structure et le rôle des organisations purement européennes, et de l'O.T.A.N., Mme M. Margaret Ball se pose la question : « Communauté européenne ou atlantique, ou bien les deux ? » A son avis, aucune raison ne s'oppose à ce que les deux mouvements d'unification se développent parallèlement. Mais qu'on ne se hâte point de leur donner une structure définitive : tant que l'évolution de chacun se poursuit en fonction d'idéaux communs à l'Occident, la conjonction des efforts à l'échelon suprême demeure possible. Formulée il y a trois ans, cette opinion pourra sembler aujourd'hui quelque peu optimiste.

Stevens & Sons, Londres, 1959 (en anglais).

Les étapes de la croissance économique

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:09

Paru au début de cette année en France, l'ouvrage de M. W. W. Rostow a été publié aux Etats-Unis quelques mois avant la nomination de l'auteur à la Maison Blanche, où il assume depuis un an et demi les fonctions de conseiller du président Kennedy.

Même pour ceux qui auraient ignoré jusqu'à présent ce bréviaire de l'administration démocrate américaine, les conceptions du professeur Rostow ne sont pas inconnues : pour avoir fortement influencé la politique étrangère des Etats-Unis depuis quelques mois, et pour avoir été si souvent prônés dans les déclarations ou discours officiels, les principes qui inspirent sa théorie de développement économique sont connus du monde entier. La publication du livre en français permettra néanmoins de replacer ces grandes idées dans leur contexte et de mieux comprendre l'articulation d'une doctrine dont l'ambition n'est rien de moins que de supplanter le marxisme dans la conception de l'histoire moderne.

Editions du Seuil, Paris, 1962.

Garibaldi, Cavour et l'unité italienne

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:09

Il peut paraître surprenant que le héros italien le plus populaire en France y ait suscité si peu d'historiens. Par compensation peut-être à l'abondance de l'imagerie qui a du reste fortement contribué à obscurcir l'histoire dans les rayons de la légende. Non point que celle-ci contredise celle-là, mais une geste n'est pas une explication. C'est donc dans une perspective rigoureusement historique que s'est placé M. Emile Tersen pour nous donner la première biographie sérieuse de Garibaldi (1).

Sérieuse en ce qu'elle ne cherche pas à ranimer, dans le mouvement, la couleur, la passion, le pittoresque, « l'aventure » publique et les aventures privées du héros, mais à saisir, éclairer l'homme dans ses profondeurs, et J'action dans ses mobiles, ses nécessités, sa nature véritables.

Ce qui n'implique ni sécheresse ni impassibilité, tout au contraire : le moyen, d'ailleurs, quand le biographe ne cache pas une amitié chaleureuse pour son modèle et que celui-ci est le dernier des révolutionnaires romantiques ? Et comment échapper au romanesque de la période américaine, peu connue, où pourtant l'épopée future trouve son élan et sa couleur (jusqu'à la fameuse chemise rouge et au poncho blanc) et l'avenir quelques-unes de ses clés ?

Engagé à vingt-cinq ans dans un de ces complots ourdis à la légère par Mazzini – qui est alors et tout naturellement son maître, – Garibaldi échappe de justesse, prend le large – à la lettre – et le voilà corsaire, au service des mouvements révolutionnaires sud-américains. Attention : « service », chez lui, doit toujours être pris au sens noble. Il ne faut jamais oublier que Garibaldi restera toujours pauvre. Quand, au soir de son dernier combat pour l'Italie, il se retirera dans son île, il n'emportera avec lui qu'un sac de semences. Dans sa jeunesse américaine, il vit surtout de fruits, d'eau fraîche et, bien entendu, d'amours. C'est là qu'au bord de la lagune il rencontre son Anita et lui dit : « Tu seras à moi. » Elle le fut, en effet, totalement, pendant dix années de luttes et d'espérance, dans l'Italie retrouvée et qui par Garibaldi se retrouve, – jusqu'à ce jour torride où elle meurt d'épuisement, à ses côtés, portant son quatrième enfant, dans la retraite harassante qui suit la perte de Rome. Presque seul survivant de sa troupe décimée ou dispersée, Garibaldi enterre sa femme dans un champ. Voilà l'épopée romantique toute pure : Byron ou Delacroix.

Pour M. Tersen, ce ne sont là tout de même que des événements « personnels ». Et ce qu'il s'efforce à saisir et décrire en Garibaldi, à travers l'individu exceptionnel et son dramatique destin, au delà même du forgeur de l'unité italienne, c'est « l'accélérateur d'une Histoire inéluctablement en marche au milieu des forces retardatrices ou des forces d'inertie. Au premier rang desquelles M. Tersen place évidemment la papauté du pouvoir temporel et sa protectrice, la France ; la Prusse, l'Autriche, bien sûr ; mais aussi l'opportunisme de Victor-Emmanuel et de Cavour.

Chez eux, pourtant, quelle astuce souveraine – faut-il dire machiavélique ? – à utiliser Garibaldi : toujours en glorieux franc-tireur, ce qui permet de se désolidariser de son action, de le désavouer (au besoin, le faire arrêter), de lui donner bien haut des ordres en sachant qu'il désobéira, et de protester à la face des puissances, la France en particulier : « Ce n'est pas moi C'est lui, c'est ce rebelle. » Le roi et son ministre ont excellé à ce double jeu dont Garibaldi α plus d'une fois souffert, sans être dupe, mais non plus partenaire. Personne qui soit plus étranger que lui à la « combinazione ».

M. Tersen analyse avec acuité le personnage de Cavour et ses rapports avec Garibaldi. « Le diplomate et le héros » -sujet de pendule un peu simpliste. L'erreur serait de ne voir en Garibaldi qu'un sublime baroudeur : chez lui, certes, l'idée se fait aussitôt action, mais elle n'en a pas moins un profond ressort politique. Et bien plus fermement tendu et orienté dans le sens de l'histoire, pense M. Tersen, que la subtile pensée diplomatique de Cavour. A un moment amer de sa vie, Garibaldi a dit qu'il était l'orange qu'on jette après l'avoir pressée. Pour M. Tersen, l'orange, c'était Victor-Emmanuel et le cavourisme : facteurs nécessaires de l'Unité – qui n est elle-même qu'une étape et un moyen – celle-ci accomplie, les agents accidentels doivent être rejetés. Tandis que Garibaldi, bien qu'il n'ait pas lu Marx et soit le contraire d'un doctrinaire, à travers son Italie, c'est toute l'Histoire dont il précipite la marche « en avant ». Dans sa bouche, Avanti ! n'est plus un cri italien : il exprime tout le progrès, et même le progressisme, universel. Ce n'est pas par romantisme (ou pas seulement) mais par conscience et instinct révolutionnaires qu'il répugne si fort à la « politique de renards », aux « faiseurs politiques » et à leurs * traités diplomatiques ». Non qu'il blâme le réalisme et la prudence, dont il donne lui-même les meilleurs exemples, mais dans l'opportunisme qu'on lui oppose il sent des intérêts qui, pour aller provisoirement dans le même sens, ne sont pas ceux de la nation et du peuple.

Pouvait-on aller plus vite ? Laisser plus libre carrière à ce brûleur d'étapes ? – Non, sans doute, dans la situation de l'Europe. Pour passer outre, avec chance de succès, à une situation telle, il faut un pouvoir révolutionnaire. Garibaldi n'était pas le pouvoir, et sans doute il ne pouvait pas l'être. Et le royaume du Piémont n'était ni la France de 1792 ni la Russie de 1917. Entre Cavour et lui, l'opposition des tempéraments et du mobile politique s'est comme symboliquement cristallisée sur Rome. Or la « question romaine n'était pas italienne, mais européenne, sinon mondiale. Cavour était bien obligé d'en tenir compte. Ce n'est certes pas sur lui que par deux fois Garibaldi s'est brisé, mais contre les fusils français.

M. Tersen ne résiste pas au plaisir intellectuel de faire fonctionner rétrospectivement les aiguillages de l'histoire. Comblant les voeux de Garibaldi et répondant à l'invite de Victor-Emanuel, que Napoléon III en 1870 eût payé de Rome l'alliance italienne qui entraînait celle de l'Autriche, la guerre sans doute n'aurait pas eu lieu. Soit. Mais l'empire était consolidé. L'accélérateur jouait donc aussi comme un frein. Tout eût été plus beau, certes, si Garibaldi avait conduit à la victoire les armées de la jeune République française. (M. Tersen suggère que ce n'était pas une chimère). Trop beau, sans doute : le temps des Jeanne d'Arc était déjà passé. Lui, en tout cas, aura été assez heureux ou assez simple pour n'avoir pas à lier le triomphe de son idée de l'homme à la défaite de sa patrie ; pour poursuivre une victoire unique par une guerre qu'il a toujours cru juste.

(1) Club français du Livre.

Images de la femme dans la société

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:09

La Revue internationale des sciences sociales consacre le premier numéro de son quatorzième volume à cet important facteur d'évolution sociale qu'est la modification du statut de la femme.

A la suite d'enquêtes effectuées sous la direction de M. Paul Chombart de Lauwe en plusieurs pays (France, Maroc, Autriche, Yougoslavie, Pologne), des sociologues s'efforcent de préciser le nouveau rôle que devront assumer les femmes dans les sociétés industrielles et les réactions que ce bouleversement suscite chez les hommes.

Unesco, Paris, 1962.

Des mandarins à Mao

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

Après nous avoir brossé dans la Chine et son ombre un tableau remarquable de la Chine communiste depuis 1948, M. Tibor Mende remonte maintenant aux origines du régime actuel et analyse les facteurs et les causes qui ont déterminé son succès.

De la chute de l'empire mandchou en 1911 à l'avènement des communistes on assiste à la naissance de la République et à ses revers ; derrière Sun Yat-sen se profilent déjà les silhouettes de Mao et de Tchiang, tandis que peu à peu s'effacent celles des mandarins et des seigneurs de la guerre. Le rôle des puissances étrangères, occidentales et soviétique, est analysé ici avec concision et lucidité. Etant donnée l'importance da cette période décisive, on regrettera parfois la rapidité de l'ouvrage dont certains chapitres eussent mérité d'être développés.

Le Seuil, Paris, 1962.

La Reynie et la police au Grand siècle

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

C'est au premier lieutenant de police de Louis XIV qu'il revient d'avoir mis sur pied le premier corps de police de France, qui par la suite devait servir de modèle à de nombreux pays, tant dans son organisation interne que dans son fonctionnement.

Vider le ventre de Paris de ses mendiants, bandits, empoisonneuses, joueurs et tripoteurs ; nettoyer et assainir la capitale au point qu'elle recevra bientôt son fameux surnom de « Ville Lumière », lutter contre les huguenots, les comploteurs et les prostituées ; aucune tâche touchant de près ou de loin au maintien de l'ordre n'a échappé au grand commis de Louis XIV. L'évocation de l'oeuvre considérable qu'il a ainsi accomplie est pour l'auteur l'occasion de dépeindre d'une façon vivante et pittoresque, fort bien documentée, les aspects les plus secrets de Parts au dix-septième siècle.

[<>Hachette, Paris, 1962.]]

Pindare le Dorien

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

Il appartenait à M. Georges Méautis, un des meilleurs hellénistes de notre temps, de faire revivre le poète dorien au nom prestigieux, mais qui est aussi l'un des moins connus de l'antiquité.

Seul un savant doublé d'un écrivain pouvait entreprendre cette tâche avec l'espoir du succès. Il fallait en effet pour cela connaître à fond l'époque dans laquelle se situe la vie de Pindare en même temps que la littérature hellénique du V° siècle. C'est par l'analyse pénétrante de ce que l'on sait et de ce qui reste de son oeuvre que l'auteur nous initie à l'art du poète. Ce livre comble une lacune, car, le croirait-on, il n'existe pas d'ouvrage moderne en langue française sur Pindare.

Ed. La Baconnière, Neuchatel, 1962.

Napoléon a-t-il été empoisonné ?

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

Le destin de Napoléon continue, après un siècle et demi, à passionner les hommes ; la littérature napoléonienne, fort abondante déjà, ne cesse de s'enrichir.

L'ouvrage du Dr Forshufvud, savant suédois de réputation mondiale, se signala par son originalité : il soutient en effet que l'Empereur est mort empoisonné à l'arsenic. On sait que le prisonnier de Sainte-Hélène souffrait de l'estomac ; les premiers symptômes de sa maladie s'étaient déclarés six mois avant la mort. Après une période de cruelles souffrances Napoléon parut se remettre ; puis brusquement une hémorragie se produisit et le malade mourut au cours de la nuit. Le Dr Sten Forshufvud a étudié tous les documents et témoignages disponibles à la lumière des critères et des méthodes de la médecine moderne ; sa conclusion, si elle n'apporte pas une certitude, ne peut cependant pas ne pas faire impression.

Editions Plon, Paris, 1961.

Néron

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

De formation juridique, mais historien par goût de l'érudition, M. Georges-Roux a ouvert le dossier Néron de l'histoire romaine et y a découvert quelques vérités qui modifient sensiblement l'image traditionnelle du fils d'Agrippine.

A travers ce livre Néron, considéré jusqu'à présent comme le symbole de la cruauté, apparaît moins cruel que cabotin. Pour l'auteur on ne saurait lui imputer l'assassinat de Britannicus, celui-ci étant vraisemblablement mort d'une rupture d'anévrisme. S'il tue, c'est pour se défendre, non pour le plaisir de tuer. L'ouvrage de M. Georges-Roux, s'il n'est pas une réhabilitation, constitue une mise au point dont l'empereur en définitive ne sort point grandi.

Editions Fayard, Paris, 1962.

Evolution politique de l'Afrique du Nord musulmane 1920-1961

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

C'est avant tout l'histoire des mouvements d'émancipation nord – africains.

L'intérêt de l'ouvrage réside donc principalement dans la description des différents partis nationalistes du Maghreb et de leur lutte. Après cette longue étude, l'auteur en arrive à une conclusion plutôt pessimiste quant aux possibilités d'unification politique des trois Etats, dont on sait d'ores et déjà qu'ils posséderont des régimes fort différents dans leur structure, et qui par là se trouveront inévitablement amenés à se livrer une certaine forme de concurrence.

Armand Colin, Paris, 1962.

Histoire de l'Algérie

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

Cette histoire embrasse toute la période de l'antiquité à nos jours.

Une présentation originale et de nombreuses illustrations augmentent l'attrait de cet ouvrage, réalisé avec le concours de plusieurs spécialistes éminents, dont Jean Lassus, directeur du service des antiquités d'Algérie. et Georges Marçais, membre de l'Institut, qui vient de mourir.

Les productions de Paris, Paris, 1962.

Un album sur Berlin

Le Monde Diplomatique - Fri, 02/06/2017 - 10:08

Décrire l'aspect extérieur de Berlin, et surtout révéler l'âme tragique de cette capitale par une simple collection de photographies, tel est le but de ce nouvel album des « Richesses du monde qui vient de paraître.

L'entreprise était difficile, mais on peut en féliciter les auteurs, car c'est une réussite. Les photographies ne sont pas seulement belles et techniquement irréprochables. Elles sont aussi parlantes et elles évoquent à la fois. par des images bien choisies, le passé artistique de Berlin et son prodigieux épanouissement d'aujourd'hui, Il faut feuilleter cet album pour se rendre compte du miracle berlinois, c'est-à-dire de la rapidité avec laquelle la capitale déchue de l'Allemagne s'est relevée de ses ruines. Le bourgmestre de Berlin-Ouest, Willy Brandt, qui a préfacé le volume, a raison de dire qu' « aucune autre ville d'Europe n'a autant que celle-ci dû modifier sa physionomie en raison des faits politiques ».

Editions Elsevier, Paris, 1962.

Reformációs Családi Napok Tiszakeresztúrban

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 02/06/2017 - 10:05

„E földi vándorúton ama bizonyos hamuba sült pogácsa a család. Jó szava, szelleme, védőszentje a mesebeli hősnek. Aki nélküle indul, nagyobb veszedelmek közé kerül, sebezhetőbb minden tekintetben. Némelykor épp legutolsó menedék… A család az, ahol zúzmarás időkben titkon ünnepelhető a titok: az együvé tartozás tudata.”
/Sütő András: A megtartó család dícsérete/

A reformáció 500. évfordulója alkalmából május 29–31. között Sipos József lelkipásztor és a helyi református gyülekezet szervezésében családi napokat tartottak a nagyszőlősi járási Tiszakeresztúrban. A háromnapos programsorozatot a Reformáció Emlékbizottság és az Emberi Erőforrások Minisztériuma támogatatta.

A család a legkisebb társadalmi egység, amelynek különös helye van egy nemzet, egy kultúra fenntartásában és továbbadásában. A család fontos szerepet tölt be a gyülekezet, az egyház életében is. Ők a gyülekezet alkotóelemei. Szükség van az új generációra, akik majd továbbadják református hitünket. Ezt szem előtt tartva rendezték meg a családokat megszólító alkalmat.

A rendezvény mindhárom napjának programja hasonlóan épült fel. A gyülekezet tagjai délelőtt tíz órakor közös áhítattal kezdhették a napot az Úr házában. Isten üzenetét Máramaros-Ugocsa Egyházmegye vezetői: Homoki Tibor, fertősalmási lelkipásztor, egyházmegyénk lelkészi jegyzője; Hunyadi Attila esperes, péterfalvai és tiszabökényi lelkész; Seres János, tivadarfalvi lelkipásztor, tiszteletbeli esperes tolmácsolták és magyarázták a jelenlévők felé. Az áhítatok alapjául a református Bibliaolvasó Kalauz szerinti napi igék szolgáltak (ApCsel 14–28).

A reggeli lelki táplálék után következett az előadás. Hétfőn Bernát Tamás, kisdobronyi lelkipásztor a reformáció házasságban betöltött szerepéről beszélt. A családban is meg kell élnünk a reformáció igazságait: meg kell tanulnunk, hogy egyedül Krisztus az, aki megtart minket, egyedül a Szentírás az, ami az életünknek az alapja lehet, egyedül kegyelemből vagyok az, aki vagyok, és kaptam azt, amit kaptam, egyedül hit által – a hit az, ami nem csak elvezet bennünket a mennyek országába, de ahhoz is szükséges, hogy kimondjuk „holtomiglan és holtáiglan”. Mindezekért pedig egyedül Istené a dicsőség.

A keddi napon Kacsó Géza, bátyúi lelkipásztortól hallottunk az 500 évvel ezelőtti reformáció mikéntjéről, történelmi hátteréről és arról, hogy miért kellett mindennek bekövetkeznie.

Szerdán a reformáció mai távlatairól beszélt Szimkovics Tibor, ráti lelkész. Az előadásának a Reformáció a digitális táradalomban címet adta. Kezünkben van az ige, a református tanításaink, erkölcsi pilléreink. Isten kész volt a csillag által odavezetni a betlehemi jászolhoz a bölcseket, kész volt reformátor őseinknek a kezébe adni a könyvnyomtatást, és kész a mai napon is sok olyan eszközt adni, ami által embereket érhetünk el, lelkeket menthetünk meg. Isten adta a kezünkbe az elektronikus média eszközeit is. Lehetőségként, erőforrásként kell élnünk velük.

Az előadásokkal egy időben a gyerekek számára külön alkalmat szerveztek a Református Otthon épületében. Az első napon a GYEK (Gyermek–Evangelizációs Közösség) munkatársai tanították a legfiatalabb generáció képviselőit, kedden a tiszapéterfalvai Kokas Banda hagyományőrző népzenei és néptáncegyüttes mozgatta meg őket, szerdán pedig játékos foglalkozásokra került sor.

A közösen elfogyasztott ebéd és a négy órakor kezdődő evangelizáció közötti időben a gyerekek kézműves foglalkozásokon vehettek részt (gipszfestés, gyöngyfűzés, bőrdíszmű), de a lovaglást, az íjászatot, az ugrálóvárat és a körhintát is kipróbálhatták. A felnőttek megtekinthettek egy Luther Mártonról szóló dokumentumfilmet, a Kokas Banda előadását, valamint meghallgathatták Nagy Zita és férje, Barna bizonyságtételét. Nagy Zita, a Kárpátaljai Református Egyház Reformáció Gyermekei programjának a Máramaros-Ugocsa egyházmegyei nagykövete személyes bizonyságtétellel arra buzdította a fiatal családokat, hogy gyermekvállalással ünnepeljék a reformáció 500. évét, letéve így voksukat nemcsak a múlt és a jelen, hanem a jövő mellett is.

Délutánonként Szanyi György, borzsovai lelkipásztor evangelizált. A pünkösd ünnepének közeledtével Kornéliusz és Péter történetét hozta közénk az Apostolok Cselekedetei tizedik részéből. Az ő történetükön keresztül szólt a hallgatókhoz. Vannak olyan dolgok az életünkben, melyeket kezdetben nem értünk. Így történt ez Péterrel és Kornéliusszal is. Egymástól több száz kilométerre Isten mindkettőjüket megszólította. Mindketten másképp reagálnak Isten hívására. Kornéliusz, aki pogány volt, de próbált Isten felé közeledni, azonnal igent mond. Péter pedig a tipikus keményfejű keresztyén: háromszor rákérdez, mielőtt cselekszik. Menni kell, ha Isten küld! Kornéliusz története által azt is megtanulhattuk, hogy nem szabad a másik embertől várni a megoldást. Nem szabad sem felmagasztalni, sem lenézni valakit. Az emberi lét korlátoltságot is jelent: elfáradtak, esendőek és nyomorultak vagyunk. Péter azt mondja Kornéliusznak: „Állj fel, én is ember vagyok!” (ApCsel 10:26b). Állj a másik mellé, légy az embere, azért, hogy majd elmondhassa, hogy neki is van Istene! Isten nem személyválogató. Csak akkor tanúskodhatunk Róla, ha már találkoztunk az élő Krisztussal. Ha nem csak arról beszélünk, amit a Biblia mond, hanem arról, amit személyesen velünk tett az Isten.

A családi alkalom egy-egy napja a Hozsánna és a KRISZ-együttesek, valamint a Trinitas band fellépésével ért véget.

 

Héder Zsuzsanna

Kárpátalja.ma

Tombura county commissioner sacked

Sudan Tribune - Fri, 02/06/2017 - 10:01

June 1, 2017 (YAMBIO) – The Commissioner of Tombura county in South Sudan's newly-created state of Tombura has been sacked by the governor.

Governor Patrick Zamoi, in a decree read on Yambio FM, relieved Babiro Charles Gbamisi, but gave no reason for his sudden decision.

The former county commissioner was appointed in July last year.

In a separate decree, Zamoi appointed Deric Zioin Sasa as the new commissioner for Tombura county, replacing Bibiro Charles Gbamisi.

(ST)

Categories: Africa

Csak két turistával találkoztunk Malawiban – azok is magyarok voltak

Afrikai Magyar Egyesület - Fri, 02/06/2017 - 10:00

www.globoport.hu

Erről az AHU 15 orvosmissziójának tagjai meséltek, már itthon, Budapesten.

Tovább a cikkre

 

A Magyar Afrika Társaság 15. orvosi missziójának kiemelt együttműködő partnere a Victofon Hallásjavító Kft.
További támogatóink: Erdős és Fiai Cukrászda, Heinz Kurtz GmbH Medizintechnik, Pécsi Tudományegyetem.
Ezúton is minden támogatónak köszönjük a misszióhoz nyújtott segítséget!

Categories: Afrika

Megérkezett az 5. norvég F-35A a Luke légibázisra

JetFly - Fri, 02/06/2017 - 09:56
Az Egyesült Államok légierejének parancsnoksága a napokban megerősítette, hogy 2017. május 25-én megérkezett az ötödik (AM-5 jelzésű) norvég F-35A az arizonai Luke légibázisra.
Categories: Biztonságpolitika

En Ethiopie, le gouvernement bloque l’Internet mobile

LeMonde / Afrique - Fri, 02/06/2017 - 09:53
Les internautes éthiopiens sont privés de connexion depuis mardi 30 mai. Les autorités assurent qu’il s’agit d’éviter les fuites de sujets en cette période d’examens.
Categories: Afrique

Pages