En terre burkinabè dans le cadre des activités des afro-descendants, l'ancien président sud-africain, Jacob Zuma, a animé, avec des enseignants chercheurs de l'Université Joseph Ki-Zerbo, un panel autour de la problématique de la colonisation et des crimes orchestrés contre l'Afrique. *Il s'est agi d'un panel sur les crimes économiques orchestrés contre l'Afrique et leurs répercussions sur le développement du continent. C'était ce samedi 1er novembre 2025 à Ouagadougou.
C'est cette question qui devrait guider les actions des africains longtemps marginalisés, selon le président Zuma qui est revenu, au cours de sa présentation, sur les mouvements de libération de l'Afrique qui ont pour la plupart échoué à cause d'une classe politique souvent instrumentalisée par les occidentaux dans l'optique de servir leurs intérêts.
A titre d'exemple de ce qu'il dit, le politicien sud-africain a cité les clauses de l'indépendance négociées en défaveur de toute l'Afrique.
Pour lui, les africains ont échoué dans leur demande de la liberté qu'il qualifie de forme, laissant ainsi libre cours aux européens de dicter à tout un continent, leurs lois. L'heure est donc venue de changer la donne, a-t-il lancé aux participants.
Les africains dans leur ensemble doivent se réunir pour trouver les moyens de libérer le continent de toutes formes d'oppressions et trouver les mécanismes qui permettront de réparer les torts.
A ce propos, il dira que « L'Afrique appartient aux africains. Nous devons cesser de nous détruire mutuellement et résister aux chantages des occidentaux qui cherchent tous les moyens d'asservir le continent africain et servir leurs propres intérêts ».
La situation économique précaire que vit l'Afrique tire donc ses origines dans la conférence de Berlin qui a acté le partage et la division de l'Afrique, livrant ainsi le continent à différentes formes de prédations.
C'est l'information partagée par le Dr S. Noël Ouédraogo, maître de conférences en Histoire contemporaine à l'Université Joseph KI-ZERBO, au cours de sa communication axée sur les crimes économiques enregistrés en Afrique.
Ce sort réservé au continent a engendré l'exploitation coloniale, marquée par le pillage de toutes les ressources économiques, naturelles, culturelles, humaines entre autres, a expliqué l'enseignant en Histoire.
Pour lui, c'est cette déstabilisation « économique qui s'est muée pour donner le néocolonialisme avec une forme insidieuse de domination économique ».
A la lumière du vécu du peuple africain, Dr Ouédraogo appelle l'Afrique et sa diaspora à mettre en avant les intérêts du continent, et privilégier le principe du partenariat gagnant-gagnant, comme le font déjà les dirigeants de la Confédération AES.
Au terme dès différentes communications, les afrodescendants, par la voix de leur représentante, Dr Arikana Chihombori, se sont engagés à accompagner la dynamique de libération du continent, en contribuant à trouver les mécanismes pour une Afrique mieux représentée dans le concert des Nations.
YZ
Lefaso.net
Source : DCRP/MAECR-BE
Parmi les nominations intervenues au dernier conseil des ministres du mois d'octobre 2025 ( 30), un des promus n'est pas un inconnu du grand public burkinabè. Il s'agit du désormais ex-directeur général du fonds Faso Kuna Wili, le Pr Hamidou Sawadogo. Il est le nouveau directeur exécutif du bureau national des grands projets du Burkina (BNGP-BF).
Après plus d'une année à la tête du Fonds Faso Kuna wili, le directeur général, le Pr Hamidou Sawadogo a été promu à un autre poste, celui du bureau national des grands projets du Burkina Faso(BNGP-BF).
L'information a été rendue publique au conseil des ministres du 30 d'octobre 2025 qui l'a fait directeur exécutif.
Le Pr agrégé en économie est dans le secret des dieux avec cette nouvelle nomination.
Maître de conférences agrégé en économie, le Pr Sawadogo succède ainsi à Wendpanga Bruno Compaoré, Inspecteur du trésor, qui était à la tête de cette institution.
Avant cette nomination, le Professeur Hamidou Sawadogo dirigeait le Fonds Faso Kuna-Wili, une institution de financement placée sous la tutelle du ministère des Sports, de la Jeunesse et de l'Emploi. Il y a conduit plusieurs initiatives destinées à renforcer l'accès au crédit et à stimuler la création d'entreprises dans différentes régions du Burkina Faso.
YZ
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Romuald Sawadogo est directeur général d'une entreprise privée spécialisée dans la chaîne logistique et le transport. Il est également délégué du Haut conseil des Burkinabè de l'extérieur (HCBE) et président de la communauté burkinabè du Greater Accra au Ghana. Entre engagement économique et leadership communautaire, il incarne la vision d'une diaspora qui bâtit des ponts utiles au développement national.
Lefaso.net : Votre entreprise J&E Shipping ne se limite pas au transport de marchandises. Peut-on dire que vous contribuez physiquement à relier le Burkina Faso à ses voisins maritimes, notamment le Ghana ?
Romuald Sawadogo : Avant de répondre, je voudrais remercier Lefaso.net, une plateforme suivie par notre diaspora. J'ai aussi une pensée pour nos forces de défense et de sécurité ainsi que pour les civils tombés depuis le début des attaques terroristes. Nous sommes les VDP de la diaspora et soutenons le pays sous diverses formes.
Pour nous, la logistique n'est pas seulement un mouvement de marchandises. C'est un levier d'intégration régionale et un moteur de développement économique durable. Relier le Burkina Faso – pays enclavé – aux ports ghanéens fait pleinement partie de notre mission. Nous fluidifions le corridor Ghana–Burkina, assurant la continuité des chaînes d'approvisionnement avec les institutions du Burkina au Ghana (CCIBF, CBC, ambassade). Ce corridor est une artère vitale : il connecte entreprises, populations et économies à la sous-région et au reste du monde. Cela nécessite des investissements stratégiques de nos deux États pour réduire les délais de transit, renforcer la sécurité des cargaisons et améliorer le climat des affaires.
À travers votre rôle de délégué du HCBE, comment transformez-vous les obstacles logistiques quotidiens en actions de plaidoyer ?
Chaque difficulté que nous rencontrons sur le terrain – lenteurs douanières, contraintes de transit, infrastructures dégradées – devient une source d'expérience concrète. Nous parlons avec précision et crédibilité lorsque nous plaidons pour la simplification des procédures et une meilleure coordination sur tout le corridor. Les retards génèrent des coûts supplémentaires et fragilisent nos entreprises. Notre objectif est clair : faire de la logistique un atout pour la compétitivité du secteur privé burkinabè.
Comment optimiser la contribution de la diaspora au développement national ?
La diaspora burkinabè est une véritable chaîne d'approvisionnement en compétences et en capitaux. Elle acquiert des savoir-faire à l'étranger qu'elle peut transférer au pays, sur place ou à distance via le numérique. Concernant l'investissement, les transferts financiers, aujourd'hui centrés sur la consommation familiale, peuvent davantage soutenir des projets productifs : PME, infrastructures, éducation, plateformes logistiques… Pour cela, il faut une logistique administrative fluide, des plateformes de mise en relation et des mécanismes attractifs (incitations fiscales, fonds d'investissement dédiés). Le Forum des entrepreneurs de la diaspora, lancé en 2023, s'inscrit dans cette dynamique de mobilisation.
Votre rôle à la tête de la communauté d'Accra est-il un laboratoire d'innovation ?
Absolument. La communauté burkinabè d'Accra est un microcosme social : entrepreneurs, commerçants, étudiants, travailleurs… Il faut allier leadership, diplomatie et innovation pour répondre aux défis du terrain. Avec l'appui de notre dynamique ambassade, dirigée par Son Excellence David Kabré, nous testons et appliquons des solutions qui peuvent inspirer d'autres communautés burkinabè à l'étranger.
Vous construisez des ponts entre entreprises, institutions et communautés. Un exemple ?
Je crois que les silos sont des murs invisibles qui limitent notre potentiel collectif. Notre rôle est de les convertir en ponts. Nous avons contribué, souvent en coulisses, à l'amélioration des relations Ghana-Burkina depuis 2024. Être à l'interface du secteur privé, des institutions et de la communauté m'offre une vision panoramique des enjeux. Cela permet de comprendre les défis de manière globale et d'agir plus efficacement.
Que souhaitez-vous transmettre à la jeunesse burkinabè ?
Je ne sais pas si je suis un modèle, mais j'essaie d'être utile à mon pays dans la limite de mes moyens. Je suis convaincu qu'entrepreneuriat, citoyenneté et développement national ne s'opposent pas : ce sont les facettes d'un même projet de société. L'entrepreneur ne doit pas seulement créer de la richesse. Il doit être un acteur de transformation sociale.
Quel est le pont le plus important que vous souhaitez achever ?
Le plus important est un pont humain et institutionnel : relier durablement la diaspora, l'État et le secteur privé autour d'une même vision. Sans la confiance, les infrastructures physiques ne suffisent pas. Une diaspora unie, organisée et ambitieuse devient un moteur d'innovation et d'influence pour tout le pays.
À côté, le pont logistique – routes, corridors, flux – soutient tous les autres : sans voies sûres et efficaces, les échanges économiques et humains restent symboliques. Ces ponts interdépendants forment un héritage durable : un Burkina Faso connecté à sa diaspora, à ses voisins et à son avenir.
Entretien réalisé par Agbegnigan Yaovi
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Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a accordé une audience ce lundi 3 novembre 2025 à l'ancien président sud-africain Jacob Zuma. L'ancien compagnon de lutte de Nelson Mandela a expliqué à sa sortie d'audience être venu parler de la libération du continent africain.
Les grandes familles OUEDRAOGO et alliées,
Les grandes familles BANSE et alliées,
Les familles alliées SISSAO, KABRE GOMBRE, BELEMVIRE, DIALLO, BAMBARA ,
Monsieur OUEDRAOGO Thomas à Ouagadougou, ses enfants :
Sylvie, Hermann, Ginette, Antonine, Estelle, Léone, Carine, ainsi que ses petits-enfants,
Profondément touchés par vos nombreuses marques de compassion, d'affection et de soutien lors du rappel à Dieu, le 22 mai 2024 à Ouagadougou, de leur épouse, fille, sœur, mère, grand-mère et belle-mère,
Madame BANSE Delphine, épouse OUEDRAOGO
vous expriment leur infinie reconnaissance et vous invitent à vous unir à eux dans la prière à l'occasion des funérailles chrétiennes qui se dérouleront les 07 et 08 novembre 2025 à Ouagadougou, selon le programme suivant :
– Vendredi 07 novembre 2025 à 20h00 : Veillée de prière à la paroisse Notre Dame des Apôtres à la Patte d'Oie – Ouagadougou.
– Samedi 08 novembre 2025 à 08h00 : Messe de requiem à la paroisse Notre Dame des Apôtres à la Patte d'Oie – Ouagadougou.
« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » Jean 11 : 25-26
Koudougou/Ziniaré, octobre-novembre 2025 Le ministère de l'Enseignement secondaire et de la Formation professionnelle et technique (MESFPT) a lancé une vaste opération d'actualisation et de fiabilisation des données sur son personnel enseignant et d'encadrement. Accompagné par l'UNESCO à travers le projet, « Améliorer l'enseignement dans la région du Sahel » , financé par l'Union européenne, cette initiative marque une étape importante dans le renforcement de la gouvernance et de la gestion des ressources humaines du système éducatif burkinabè.
Répartis en deux bassins, les travaux se tiennent du 20 au 24 octobre 2025 à Koudougou puis du 29 octobre au 2 novembre 2025 à Ziniaré. Ils regroupent plus de soixante acteurs des structures centrales et déconcentrées du MESFPT et du MFPTPS. . Il s'agit notamment, des gestionnaires des ressources humaines de la DRH et des directions régionales ainsi que des informaticiens des directions des systèmes d'Information (DSI) . Objectif est clair : disposer d'une base de données fiable et complète sur les plus de 40 000 agents que compte le ministère, un préalable indispensable à toute planification efficace des recrutements, des affectations et des besoins budgétaires.
Dev gauche à droite : Mme la DRH/MESFPT, Mme la Chargée de mission représentant le Ministre et le Chef de Projet Sahel à l'ouverture des travaux du Bassin de ZiniaréSelon la Directrice des Ressources humaines du MESFPT, Mariam SAKIRA/KARANTAO, « la maîtrise des effectifs est un impératif de gouvernance, un outil de pilotage stratégique qui permettra d'optimiser la gestion du personnel et d'assurer une meilleure équité dans la répartition des ressources humaines sur le territoire ».
Les participants s'attellent à , traiter, vérifier et mettre à jour les données du personnel enseignant et d'encadrement qui seront reversées dans la plateforme de gestion des effectifs qui sera créé à cet effet.
Cette démarche vise à éliminer les doublons, corriger les anomalies et produire des statistiques fiables, gage d'une transparence accrue dans la gestion du personnel public.
Pour l'UNESCO, partenaire technique du ministère, cette opération s'inscrit dans la continuité des actions entreprises depuis 2021 pour renforcer la gouvernance éducative et la professionnalisation des enseignants dans les pays du Sahel. « Une meilleure maîtrise des effectifs, c'est aussi une meilleure planification de la formation, du recrutement et du suivi de la carrière des enseignants », souligne le Responsable national du Projet Sahel, monsieur Yves YENKONE.
Les ateliers de Koudougou et de Ziniaré devraient aboutir à la création d'une base de données consolidée, régulièrement mise à jour, qui servira de référence nationale pour la planification des ressources humaines du MESFPT. Une avancée majeure pour un ministère nouvellement créé, issu de la scission du MENAPLN, et confronté à la complexité de la gestion d'effectifs croissants dans un contexte de forte déconcentration administrative.
Avec cette opération, le Burkina Faso franchit un pas important vers une gestion modernisée, efficace et transparente de son personnel éducatif un pilier essentiel pour garantir la qualité de l'enseignement et atteindre les objectifs du développement durable à l'horizon 2030.
Étudiante passionnée et cynophile affirmée, Clémentine Sanfo consacre une attention toute particulière à ses trois compagnons à quatre pattes. Entre bains hebdomadaires, soins cosmétiques personnalisés et serviettes hygiéniques, ses chiens, dont la fidèle Lolita, bénéficient d'un rituel de bien-être digne d'un spa. Une relation faite d'amour, de tendresse et de don de soi. Vidéo.
Les travaux de la phase technique de la 11e édition se dérouleront du 05 au 07 novembre 2025 à Ramada Pearl Hôtel de Ouagadougou.
Au total, 145 textes réglementaires seront évalués ainsi que trois (03) programmes et projets pour un montant de plus de douze milliards de FCFA.
La revue réalisée en 2024 a permis de noter des avancées significatives en matière de transposition et d'application des réformes communautaires. Les performances enregistrées par le Burkina Faso en 2024 révèlent un taux moyen de mise en œuvre des réformes de 88,99 contre 86,15 en 2023, soit une hausse de 2,84%.
Pour rappel, la revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires a été instituée par Acte additionnel de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement du 24 octobre 2013.
Elle vise à favoriser l'accélération de l'application des réformes, politiques, programmes et projets communautaires au sein de l'UEMOA, dans le cadre de l'approfondissement de l'intégration régionale.
Ouagadougou, le 03 novembre 2025
La Direction de la Communication
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380, Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO - 01 BP 543 Ouagadougou 01 Burkina Faso - Tél : (226) 25 31 88 73 à 76
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Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé, ce lundi 03 novembre 2025, une audience à une délégation d'Afrodescendants conduite par la présidente de l'Institut de développement de la diaspora africaine (ADDI), Dr Arikana Chihombori.
A l'issue de l'audience, Dr Chihombori a exprimé sa gratitude envers les autorités burkinabè et l'ambassade du Burkina Faso à Washington D.C. pour avoir facilité la réalisation du voyage.
Les grandes familles BIREBA, YAMEOGO, COMPAORE, ZAGRE, NIKIEMA à Zougdou, Koudougou, Ouagadougou, Sénégal, USA.
Les familles alliées : BANCE, ZONGO, ONADJA, SONDO, SIKO, OUEDRAOGO, KABORE.
La veuve Naomie BIREBA et ses enfants : Alassane, Ousseini, Asaph, Evodie et Yannick
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès survenu le jeudi 30 octobre 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Yalgado de leur époux, père, grand-père, grand frère et oncle Ali Goama Bireba précédement à la retraite à Koudougou.
Les obsèques se dérouleront comme suit :
Mercredi 5 novembre 2025
8h 00 : Levée du corps à la morgue du CHU-BOGODOGO pour le domicile familial sis à Wemtenga.
9h 30 : Départ pour la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah de Karpala Sect. 30.
10h 00 : Discours d'encouragement.
11h 00 : Départ du cortège pour le village, à Manga Zougdou (environs 70km de Ouaga).
14h 00 : Inhumation au domicile à Zougdou.
Ce jeudi 30 octobre 2025, s'est tenu à Dédougou l'atelier de clôture du projet d'assistance multisectorielle aux populations en situation d'urgence – SAVE, une initiative qui a permis d'améliorer les conditions de vie de nombreuses familles vulnérables dans les communes de Solenzo, Sanaba, Tougan et Balavé dans les régions du Bankuy et du Sourou.
« Le projet SAVE est intervenu à un moment où nous traversions une période de soudure très difficile. Nous avons reçu des denrées alimentaires essentielles pour nos enfants et pour nous-mêmes. J'ai également été formée à la saponification et j'ai reçu un kit qui m'a permis de lancer ma propre activité de production et de vente de savon », témoigne Sita, une participante venue de Tougan pour prendre part à l'atelier de clôture du projet.
Comme elle, plusieurs personnes ont bénéficié de l'appui du projet. Plus de 30 000 personnes, dont plus de 20 000 enfants, ont été accompagnées dans le cadre de ce projet à travers des activités de nutrition, de santé, de sécurité alimentaire et de protection.
Une vue des participants à l'atelier de clôtureAu cours de la cérémonie d'ouverture de l'atelier, le Directeur des opérations de l'ONG World Vision International – Burkina Faso Richard SOME a déclaré : « Au cœur de toutes nos interventions – qu'il s'agisse de la distribution de vivres, de l'appui à la création d'activités génératrices de revenus durables, de la réhabilitation des centres de santé, ou du soutien psychosocial – se trouve la quête du bien-être de l'enfant. Les enfants sont les premières victimes des crises, mais ils sont aussi les architectes de l'avenir. »
Il a ensuite salué la mobilisation de l'ensemble des acteurs pour la réussite du projet, qui a contribué à soulager de nombreuses familles dans les régions du Bankuy et du Sourou.
Financé par le Fonds Humanitaire Régional pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre (FHRAOC) à hauteur de près de 570 millions de FCFA, ce projet s'inscrit dans le cadre d'un instrument commun de financement humanitaire (Pooled Fund) géré par le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). L'objectif principal de ce fonds est de permettre une réponse rapide, flexible et efficace aux besoins humanitaires les plus critiques et urgents dans la sous-région, notamment au Burkina Faso, au Mali et au Niger.
Distribution de vivres à 492 ménages vulnérables de la commune de Tougan dans le cadre du projet SAVELe représentant de OCHA, Simon Pierre TARAMA a, pour sa part, salué les progrès du projet SAVE, qui a réussi à apporter une assistance multisectorielle à des populations dans des zones difficiles d'accès.
Placée sous la présidence du Gouverneur de la région du Bankuy et du Sourou, représenté par la Secrétaire Générale de la Région Adjara KIENTEGA, cette rencontre a été l'occasion pour les autorités régionales de saluer l'engagement de l'ONG World Vision et ses partenaires, et de les encourager à maintenir et renforcer leur présence auprès des communautés.
La photo de famille à l'issue de la cérémonie d'ouverture de l'atelierCet atelier a réuni l'ensemble des parties prenantes qui ont reconnu l'apport considérable du projet dans l'amélioration des conditions de vie des populations touchées et formulé des recommandations au consortium dont World Vision assure le lead, afin de renforcer les acquis lors de prochaines interventions.
« Nous remercions les plus hautes autorités régionales et les ministères sectoriels au niveau déconcentré pour leur accompagnement constant. Nous sommes ici pour nous assurer que les acquis du projet continuent de transformer positivement et durablement la vie des familles », a conclu le Directeur des opérations de World Vision International-Burkina Faso.
Le service de la communication
C'est dans une ambiance bon enfant que s'est déroulée le jeudi 30 octobre 2025 la finale du tournoi maracaña (football) des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité. Ce tournoi, initié par la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité (BCLCC), en partenariat avec l'entreprise de télécommunications Orange Burkina Faso, a opposé l'équipe de la police nationale à celle du ministère en charge de la justice. Et c'est la police nationale qui s'est imposée aux tirs au but 3-1 et remporte cette première édition de la coupe des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité.
Premier du genre, ce tournoi a été organisé dans le cadre de la semaine nationale de lutte contre la cybercriminalité. L'objectif, selon le commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la justice est « de communier sur le terrain, en dehors des bureaux, en tant qu'acteurs de lutte contre la cybercriminalité ».
Commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la justice sur l'objectif de ce matchIl était 17h13 lorsque les rouges représentant la police nationale et les bleus représentant le ministère en charge de la justice ont commencé à en découdre sur le terrain de l'École nationale d'administration et de magistrature (ENAM), au rythme des crampons, dans une ambiance sportive et de fraternité.
Le match, mêlant performance et esprit de solidarité, a longtemps été dominé par les Rouges. Les spectateurs ont suivi le match dans une bonne ambiance certes, mais stérile, car jusqu'à la pause le score était de 0 but partout.
Une vue des supportersDe retour de la pause, aux alentours de 17h35, le jeu recommence avec la même intensité, sinon même avec beaucoup plus d'élan. Mais, malgré l'engagement des joueurs, le score reste inchangé. Toujours pas de buts jusqu'à la fin. Causes : occasions ratées, incompréhension lors des passes, souvent même des maladresses. Les deux équipes se sépareront par un score de 0 but à la fin du temps règlementaire.
À croire que les dieux du football n'étaient avec aucune des deux équipes. Après près d'une heure de jeu sans gagnant, place est maintenant faite pour les tirs au but. Chaque joueur essaie de donner le meilleur de lui-même pour remporter la victoire.
Les Rouges prennent l'avantage en ouvrant le score sur le tir précis du Nᵒ 4. Les Bleus réagissent aussitôt avec celui du Nᵒ 12 et égalisent. Cependant, au deuxième tour, les Bleus ratent leur tir face au gardien et donnent l'opportunité aux Rouges de concrétiser leur victoire. L'ensemble des tirs s'est soldé sur un score de 3 buts à 1 en faveur des Rouges (la police nationale).
Photos de famille avec les vainqueursPour le commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la sécurité, aucune équipe n'a démérité : « Ce soir, nous avons vu toute l'étendue de leurs talents. Le fair-play a également régné. Nous pouvons donc dire que l'objectif a été atteint », s'est-il exprimé.
Tout en manifestant leur joie, les vainqueurs ont salué l'organisation de ce tournoi qui a réuni des acteurs de divers domaines. Ainsi, Aboubacar Babayouré Sawadogo, ancien international burkinabè, buteur aux tirs au but et par ailleurs capitaine de l'équipe de la police nationale, a fait comprendre que c'est la discipline qui leur a valu cette victoire.
« La police est une entité de discipline, de courage et de bravoure. Nous avons mis toutes ces valeurs en pratique sur le terrain. Et c'est ce qui nous a vraiment valu cette victoire ce soir. »
Cette cérémonie de clôture a été marquée par la remise de médailles et de trophées, le tout dans une ambiance de fraternité. Les vainqueurs repartent donc avec des médailles, le trophée et la somme de 300 000 FCFA. Quant aux 2ᵉˢ, ils quittent la compétition avec des médailles et la somme de 200 000 FCFA.
Aboubacar Babayouré Sawadogo, ancien international burkinabè, buteur aux tirs au but et par ailleurs capitaine de l'équipe de la police nationaleÀ noter qu'au départ, ce sont au total huit équipes qui ont pris part à ce tournoi maracaña des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité. Il s'agit notamment de l'Association des journalistes sportifs du Burkina, de l'Association nationale des opérateurs de télécoms, de la police nationale, de l'Institut supérieur des technologies de Tanghin, de l'Association des réparateurs de téléphones portables au Burkina Faso, du ministère en charge de la justice, du ministère en charge de la transition digitale et de l'équipe de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité.
Muriel Dominique Ouédraogo (stagiaire)
Lefaso.net
« Innaa lillahi wa innaa ilayhi raaji'uun »
(Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons)
La grande famille BAKOUAN à Didyr (GUIWOLY),
Le patriarche Mahamoudou BAKOUAN et frères Salam, El Hadj Séni, El hadj Moctar, Issoufou à Didyr, Yayé Joseph à Ouagaduou,
Les fils El hadji Moussa, Issa, Zackaria, Hamzata, Sadikou à Ouagadougou, Ibrahim en République de Côte d'Ivoire, Mounir à Kirsi, Mohamed, Salihina à Didyr, Bachirou à Nandiala, les petits enfants Abdel Rachid, Tarif à Ouagadougou, Farid au Canada, tous les enfants de GUIWOLY au Burkina et ailleurs ont la très profonde douleur de vous annoncer le rappel à Allah de leur frère, père et grand père El Hadj Boukary BAKOUAN le dimanche 2 novembre 2025 à midi à l'âge de 81 ans.
L'inhumation suivi du douah est prévue pour le lundi 3 novembre 2025 à 9 H 30 au domicile du défunt
Que les âmes des défunts reposent en paix.
Le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), sous la tutelle du ministère de l'Administration territoriale et de la mobilité, ont tenu le huitième et dernier cadre de concertation du projet « Prévention et gestion des conflits (PREGEC) dans la région du Goulmou » les 29 et 30 octobre 2024 à Fada N'Gourma.
Mis en œuvre depuis décembre 2020 dans les communes de Fada N'Gourma, Diapangou, Diabo, Piéla et Bilanga, l'objectif du projet de Prévention et de gestion des conflits dans la région de l'Est (PREGEC) est de réduire les risques de conflits et de renforcer le processus de cohésion sociale inclusive des groupes les plus à risque dans la région.
Ce moment d'introspection sur les actions menées dans le cadre du projet est l'occasion pour les acteurs impliqués et les bénéficiaires de faire le bilan de la mise en œuvre du projet, qui arrive à son terme, tout en invitant à pérenniser les acquis du PREGEC.
Le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka OuattaraÀ l'ouverture de la session, le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka Ouattara, a souligné que les actions du projet sont visibles dans la région. « Nous disons merci au PNUD et à ses partenaires pour la mise en œuvre du projet dans notre région. Nous travaillerons à pérenniser les acquis », a-t-il rassuré.
Une visite sur le terrain a permis de constater certaines réalisations dans la ville de Fada. Le centre d'écoute et de documentation de la direction régionale en charge des droits humains est équipé de 50 chaises et de 2 ordinateurs de bureau. De plus, un magasin de stockage d'aliments pour bétail d'une capacité de 25 tonnes a été construit au secteur 2, ainsi qu'un site maraîcher d'une superficie d'un hectare (1ha) dans l'enceinte de l'INERA Fada, exploité par 30 personnes, dont 20 déplacés internes, entre autres.
Magasin de stockage d'aliments pour bétailsSelon les bénéficiaires du projet, ces réalisations ont contribué à changer des vies. « Maintenant, nous produisons dans ce site maraîcher et tout est à notre disposition pour le travail. J'étais assis sans rien faire. Grâce au projet, j'ai du travail et les jours à venir sont prometteurs », confie Soudouem Ouango.
Soudouem Ouango, bénéficiaire du projetDame Barkissa Barry, déplacée interne, souligne l'importance de l'accompagnement du projet : « J'ai reçu 6 petits ruminants et leur aliment. Je promets de travailler pour agrandir mon cheptel », rassure-t-elle.
Barkissa Barry, bénéficiaire du projetPour le coordonnateur par intérim du PREGEC, Thierry Zango, le projet a contribué à réduire les conflits liés au foncier et à la gestion des ressources naturelles, tout en renforçant les moyens d'existence des communautés par la réalisation de sites maraîchers, de biodigesteurs et de forages. Un accompagnement sur le mécanisme de prévention et de gestion des conflits a également été mis en place. « Nous avons accompagné la région à se doter d'une stratégie régionale de cohésion sociale et de consolidation de la paix, permettant à tous les acteurs d'intervenir dans ce domaine selon les orientations définies. Nous demandons aux bénéficiaires d'en faire bon usage dans l'esprit du projet, afin de renforcer la cohésion sociale entre les personnes déplacées et la communauté hôte. Que les directions prennent la relève pour assurer la durabilité et la pérennité des investissements du projet », a-t-il souhaité.
Site maraîcherLe projet PREGEC est mis en œuvre dans la région par le consortium PNUD, FAO, avec des partenaires comme OCADES Fada, Tin Tua, le RECOPA et INTERPEACE, sous le financement du Fonds de consolidation de la paix du secrétaire général des nations unies.
L. Youmandja
Lefaso.net
Le projet Accélérer les dynamiques d'innovation dans l'agriculture par le renforcement des services support à l'innovation (AcceSS) » a organisé un marché des innovations agricoles (MIA) dédié à l'agroécologie en marge de la 15 édition du FRSIT. Ce MIA s'est tenu le jeudi 23 octobre 2025 à la salle de la créativité Thomas SANKARA du SIAO. Il a permis à des porteurs de projets innovants dans le domaine de l'agroécologie d'exposer leurs besoins de partenariat à des fournisseurs de services support à l'innovation (banques, services techniques, agence Onusiennes, ONG, fonds, etc.). La journée a été rythmée par des panels, des world café et une exposition des produits.
Cet événement dédié à l'agroécologie était sous le parrainage du ministre de l'Environnement, de l'Eau et de l'Assainissement. Le Secrétaire Général dudit ministère Dr. Bouraïma KOUANDA, représentant du ministre a rappelé à l'auditoire présent que
« Ensemble, nous pouvons transformer les défis en opportunités et tracer la voie d'une agriculture plus résiliente », a laissé entendre le Délégué général du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), Dr. Emmanuel NANEMA.
Selon lui, le MIA va bien au-delà d'une simple rencontre B to B : il a favorisé la prise d'engagements forts entre porteurs de projets et partenaires techniques et financiers, ouvrant ainsi la voie à des solutions concrètes face aux défis liés à la production et à l'accès aux bio-intrants.
Le représentant du Représentant national de la FAO Dr. Pidemnewe PATO a rappelé la place importante de l'agroécologie pour une alimentation saine. Et une activité comme le MIA va permettre de booster l'agroécologie au Burkina Faso.
Pour terminer, rappelons que le projet AcceSS est mis en œuvre par un consortium de plusieurs acteurs que sont le CNRST, le Cirad, La Fabrique, le CEDRES de l'Université Thomas Sankara, Experts Synergy Consulting, Icra, Afric'innov et le Bureau de l'innovation (OIN) de la FAO à Rome.
La Société Générale d'Expertise Comptable et d'Audit (SOGECA INTERNATIONAL SARL) recrute pour le compte d'une structure de la place, les profils ci-dessous :
I. Qualification, expériences professionnelles et aptitude pour les postes à pourvoir
POSTE N° 1 : Expert international ou national en système des laboratoires et en management de qualité.
Nombre de poste à pourvoir : Un (01)
1.1 CONDITIONS ET COMPETENCES OBLIGATOIRES
L'expert international ou national doit :
– être un pharmacien biologiste ou médecin biologiste titulaire d'un diplôme d'études supérieures en biologie clinique ou médicale ;
– disposer de certificats ou attestations de formation en audit et en management de la qualité (ISO 9001, ISO 15189) au laboratoire ;
– Une expérience de terrain d'au moins dix (10) années au laboratoire ;
– Une expérience au laboratoire (management ou gestion des laboratoires, bactériologie ; virologie, parasitologie, mycologie, biochimie, hématologie, immunologie, biologie moléculaire), serait d'un grand atout ;
– Une connaissance approfondie sur les normes ISO : 9001, ISO : 15189 et ISO : 15190 ;
– Une expérience approfondie dans l'élaboration des procédures selon les normes ISO est souhaitable ;
– Une expérience en matière de gestion des stocks des matériels et équipements médicaux, et des produits chimiques ; Une expérience en planification, suivi & évaluation ;
– Une expérience en quantification des besoins des laboratoires en intrants ;
– Une bonne maitrise des outils informatiques (Word, Excel, Powerpoint) et en communication est requise ; Une expérience dans l'élaboration de documents de planification stratégique et de documents techniques ;
1.2 PRINCIPALES MISSIONS DE L'EXPERT INTERNATIONAL OU NATIONAL
– Assurer une formation sur le système national des laboratoires du Burkina Faso ;
– Elaborer une grille d'évaluation des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Assurer une formation sur l'évaluation des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Assurer une formation sur la mise en place du SMQ ;
– Générer un rapport de synthèse sur l'état actuel des systèmes QMS, y compris la participation des laboratoires à des programmes formels de tests de compétence (c'est-à-dire générer et recouper les données pour l'indicateur Lab-3 sur la participation à l'EEQ, qui fait partie du cadre de performance du Fonds mondial)
– Mettre en place un système qui lie les activités du réseau de laboratoires aux activités de l'initiative régionale WARIL pour établir une communication solide entre l'IPD, le DLMB et le LCR, et pour définir quels laboratoires participeront aux activités de l'EEQ financé sous le projet WARIL.
– Assurer une formation sur l'élaboration des plans d'amélioration continue des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Appuyer les assistants régionaux à l'élaboration des plans d'amélioration continue des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Apporter un appui technique sur l'application du manuel de sécurité dans les laboratoires de biologie médicale
– Assurer une formation sur l'exploitation des données des laboratoires ;
– Proposer un canevas de rapport détaillé du suivi des activités de laboratoires réalisées ;
– Elaborer un rapport général de mission.
POSTE N° 2 : Assistant technique régional de laboratoires.
Nombre de poste à pourvoir : Treize (13)
2.1 CONDITIONS ET COMPETENCES OBLIGATOIRES
Les assistants techniques (AT) doivent :
– être de nationalité Burkinabé ;
– être des biologistes (médecin ou pharmacien titulaire d'un diplôme d'études supérieures en biologie clinique, technologistes biomédicaux titulaires d'un master en biologie médicale) ;
– avoir fait au moins trois (03) ans au laboratoire pour les médecins et pharmaciens titulaires d'un diplôme d'étude supérieure en biologie clinique ;
– avoir au moins cinq (05) d'expérience au laboratoire pour les technologistes biomédicaux titulaires d'un Master en biologie médicale.
2.2 PRINCIPALES MISSIONS DE L'ASSISTANT TECHNIQUE
– Assurer l'accompagnement du personnel des laboratoires sur la rédaction des documents qualité ;
– Évaluer les laboratoires des CHR, des CMA et des CM au début et à la fin de l'accompagnement ;
– Élaborer des plans d'amélioration des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Appuyer techniquement pour la mise en œuvre des plans d'amélioration des laboratoires des CHR, des CMA et CM ;
– Appuyer les laboratoires dans la mise en œuvre des recommandations du Contrôle national de la qualité des analyses de biologie médicale et des autres évaluations externes de la qualité, le cas échéant ;
– Accompagner les laboratoires dans la transmission mensuelle des données relatives au suivi de disponibilité des examens traceurs, à la surveillance de la résistance aux antimicrobiens ;
– Transmettre trimestriellement les données sur la disponibilité et la fonctionnalité des équipements et la maintenance ;
– Appuyer les laboratoires dans la notification des incidents liés à l'utilisation des DMDIV ;
– Appuyer à la dissémination des différents documents normatifs dans le domaine des laboratoires ;
– Appuyer les laboratoires pour la mise du manuel de sécurité dans les laboratoires de biologie médicale,
– Appuyer la DLBM dans la gestion de stock et le suivi de la consommation des intrants de laboratoire (gestion des données logistiques laboratoires) ;
– Appuyer les structures dans la réalisation des différentes formations de renforcement de capacités des agents de laboratoire ;
– Elaborer chaque trimestre un rapport détaillé du suivi des activités de laboratoires réalisées et le transmettre à la Direction des laboratoires de biologie médicale (DLBM) ;
– Participer aux rencontres trimestrielles de suivi de l'assistance technique régionale par la Direction des laboratoires de biologie médicale.
– Appuyer les laboratoires pour la mise en œuvre du système d'information de laboratoire
– Suivre de façon particulière le fonctionnement et la disponibilité des réactifs des appareils de biologie moléculaire (automates et genexpert) pour les laboratoires de leur région.
II. Composition de dossiers
Le dossier de candidature sera composé des pièces suivantes :
• Une demande manuscrite timbrée à 200 francs CFA et adressée à Monsieur l'Associé Gérant du Cabinet SOGECA International ;
• Une copie légalisée de la CNIB ;
• Un extrait de naissance ;
• Des photocopies légalisées des diplômes demandés ;
• Une lettre de motivation de deux pages maximums ;
• Un curriculum vitae détaillé, daté et signé du candidat et faisant ressortir les expériences professionnelles du candidat ;
• Des photocopies légalisées attestations ou certificats de travail pouvant justifier l'expérience.
III. Déroulement du recrutement
Le recrutement se fera selon la procédure suivante :
• Une phase de présélection sur dossier ;
• Et une phase d'entretien oral avec les candidats retenus avec un comité en vue de la sélection définitive.
IV. Localisation du poste
Dans le cadre de leurs missions, ils auront à effectuer de fréquents déplacements à l'intérieur du pays.
V. Nature du contrat
Le personnel recruté sera soumis à un contrat à durée déterminée de douze (12) mois pour les assistants techniques régionaux de laboratoires et d'un contrat de consultance de 12 mois pour l'Expert international ou national en système des laboratoires et en management de qualité.
VI. Lieu et date de dépôt des dossiers
Les dossiers doivent parvenir au siège de SOGECA INTERNATIONAL sis à Ouagadougou, Secteur 7 Gounghin, Face à la RN N°1, 2e étage de Immeuble SANKARA Boukaré, côté Nord Est du Marché de Gounghin à côté de la pharmacie KAMIN, Tel : 25 34 34 00.
Les dépôts des dossiers sont également autorisés à l'adresse mail : infos@sogecaburkina.com, pour le poste de l'Expert international ou national au plus tard le 14 novembre 2025 à 17 H 00.
NB :
La version détaillée et complète de l'AVIS peut être consultée sur le site web du cabinet SOGECA INTERNATIONAL à l'adresse suivante : www.sogecaburkina.com
Les dossiers sont recevables du lundi au vendredi de 08h30 à 12h30 et de 14h à 17h00 ;
Les dossiers incomplets ne seront pas acceptés ;
Tous les dossiers reçus restent la propriété du Cabinet ;
Seuls les candidats présélectionnés seront contactés ;
Le cabinet se réserve le droit de ne donner suite à ce recrutement.
Pour avis
Sompagnimdi Joseph KAFANDO
Expert-comptable Diplômé
Associé Gérant de SOGECA International
– Les grandes familles : Traoré, Soura, Héma et Nikiéma à Douna, Banfora, Bobo Dioulasso, Ouagadougou et en France
– Les familles alliées : Zoungrana, Hien, Ouédraogo, Compaoré, Bassolet et Tindano à Ouagadougou et en France.
– Mme Zoungrana/Traoré Lalla Nadège ses frères et sœurs à Ouagadougou et Bobo Dioulasso
– La veuve Traoré/Nikiéma Sylvie
– Les enfants : Traoré Rachid Lionel à Bobo Dioulasso
– Traoré Nouroudine Wilfried à Ouagadougou
– Tindano née Traoré Laeticia en France
– Traoré Ange à Ouagadougou
– Les petits enfants : Traoré Kenou et Gloria à Ouagadougou
Vous remercient du fond du cœur pour vos soutiens multiformes et de compassions que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu le 27 Septembre 2025 et de l'enterrement le 02 Octobre 2025 de leur fils, frère, neveu, cousin, oncle ; époux, père, grand père, beau-frère et beau-père Mr Traoré Adjibou Hermann précédemment logisticien à la coopération Italienne à Ouagadougou.
Ils se gardent de citer des noms de peur d'en oublier. Que le seigneur vous comble de ses grâces et vous rende le centuple de vos bienfaits. Ils vous informent par ailleurs que des messes seront dites à son intention aux dates ci-après :
– Dimanche 09/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 16/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 23/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 30/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 07/12/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
UNION DE PRIERE
KAFANDO FRANÇOIS (TAMPOUY SAMAND-NAABA) NE en 1940 DCD le 20-08-2024
Je suis la résurrection et la vie
Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra,
Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais
Jean 11, 25-26
1
Le Naaba Kiiba chef de Tampouy et ses notables
La grande famille KAFANDO à Tuili (Zinikouy)
Tampouy, Bilbalgo, Nagrin, Karpala, Canada
La famille KAFANDO Tibila Daniel à Karpala
La famille du feu KAFANDO Goama Hippolyte
La famille du feu KAFANDO Tibila
Les familles alliées et belles familles
OUÉDRAOGO,TRAORE,KABORE,SOUBEIGA,
ROUAMBA,NIKIEMA,ZONGO,AKOUANDAMBOU,
COMPAORÉ et SAWADOGO
Vous réitérez leurs remerciements pour les nombreuses marques de sympathies de soutien moral spirituel et financier lors du rappel à Dieu de leur Père, grand-père, frère, ami, beau-père, oncle, arrière-grand-père KAFANDO FRANÇOIS (Tampouy Samand-Naaba) précédemment agent de la mairie de Ouagadougou à la retraite décédé le 20 AOÛT 2024 à l'âge de 84 ans.
Que Dieu tout puissant vous le rende au centuple
Par ailleurs elles vous informent que la grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes se déroulera selon le programme ci-après :
VENDREDI 07 NOVEMBRE 2025
Veillée de prière à l'Église Saint JEAN MARIE VIANNEY de Tampouy à 20H00
SAMEDI 08 NOVEMBRE 2025
Messe à l'Église Saint JEAN MARIE VIANNEY de Tampouy à 08H00
Nul ne disparait lorsque son souvenir demeure toujours dans nos cœurs
Sa majesté Naaba Kiba II chef du canton de Manga,
Le Tengsoba de Manga,
Le responsable coutumier de Gaogo,
Les grandes familles : KONDITAMDE, BOUDA, KABRE, ZAGRE, NIKIEMA, KINDA, GOUNGOUNGA, NACOULMA, ZOUNGRANA, à Gaogo, Manga et Ouagadougou ;
La famille de feu KONDITAMDE Joseph ancien maire de la commune de manga, à Manga et Ouagadougou,
KONDITAMDE Gabriel, ADJEPOUA/KONDITAMDE Louise, KONDITAMDE Paul, BOUDA Sébastien, ZAGRE Marc et Xavier, à Manga et à Ouagadougou ;
La famille de Feu KAGAMBEGA Nestor à Banfora ;
KAGAMBEGA Gérard et famille à Koudougou ;
Les familles alliées : KAGAMBEGA, YAMEOGO, RAMDE à Nayalgué, Koudougou et à Banfora, OUEDRAOGO à Koubri, ADJEPOUA à Pô et Ouagadougou, SEGUEDA à Katoulbéré /Ouargaye, Tenkodogo et Ouagadougou, DAH à Kampti et Ouagadougou, KALBAMBA à Bobo- Dioulasso et Ouagadougou, GUIGMA à Koupéla, SEMDE à Bobo-Dioulasso et Ouagadougou ;
Les enfants : Francis Éric à Manga ; Viviane épouse DAH, Landry, Nathalie épouse KABORE, Claude Joël à ouaga ;
Les beau fils et belle fille : DAH Ollo Frédéric, KONDITAMDE /SEGUEDA Z. Béatrice Félicité,
Les petits-enfants : Cédric Ben Anicet, Cécilia Leslie, Yan Anthony, Joseph Andy, Josias Emeric, Yéri Sarah Francine, Nacer Amadou, Sandrine Valérie, Joseph.
Les arrières petits-enfants : Hicham Ismaël, Awa Inaya Marceline, Jahdielle Viviane Nebnooma
Les Neveux et Nièces à Banfora, Koudougou, Ouagadougou et Pabré.
Très touchés par les nombreux témoignages de sympathie, de compassion, d'amitié, de soutiens multiples et multiformes manifestés lors du rappel à Dieu le 17 février 2025 et de l'inhumation le 20 février 2025 à Song-Naaba de leur épouse, sœur, mère, belle-mère, tante, grand-mère et arrière-grand-mère :
Mme KONDITAMDE/KARAMBEGA Marceline
Agent des services financiers à la retraite à Song-Naaba
Chevalier de l'Ordre du Mérite
Elles vous renouvellent leur profonde gratitude et leurs sincères reconnaissances, et vous convient à la grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes, qui sera célébrée à son intention, le samedi 08 Novembre 2025 à la paroisse notre Dame des Apôtres de la Patte d'oie, Ouagadougou à 8 heures 00 précédée d'une veillée de prière le Vendredi 07 Novembre 2025 à 20 heures, à la chapelle de Song Naaba.
Union de prières !!!
‘'… Venez, les bénis de mon père, recevez en partage le Royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde'' Mathieu 25,34.