A priori, la pédagogie du droit des sanctions de la CEDEAO n’est pas antinomique du maintien de liens fonctionnels avec l’Etat sanctionné qu’on doit aider à renouer avec ses obligations d’Etat membre.
Sans nier à cet égard, l’existence de motifs éventuels susceptibles de faire pencher la balance dans le sens du voyage pour le sommet , nous versons ici au débat sur la question, deux facteurs qui paraissent en revanche défavorables à la participation du Président de la Transition à ce qui a tout l’air d’une convocation instruite depuis Paris, aux Chefs d’Etats vassalisés de la CEDEAO, par un Président Macron revanchard, décidé à punir le Mali pour sa soif légitime d’affranchissement de ses liens d’allégeance à la France.
Ces deux facteurs se résument à l’illicéité des sanctions illégitimes infligées au Mali et à l’élément d’extranéité des ingérences intempestives inappropriées du Président Macron dans la gouvernance de la CEDEAO.
L’ILLICEITE DES SANCTIONS ILLEGITIMES INFLIGEES AU MALI
Les sanctions qui frappent le Mali ne sont ni plus ni moins que des actes de banditisme juridique de grand chemin de la part d’une organisation sous-régionale qui dysfonctionnent comme une marionnette institutionnelle sans foi ni loi, instrumentalisées par la France du Président Macron.
Il s’agit non seulement de sanctions non prévues par le droit communautaire, mais aussi de sanctions viciées par le non-respect des procédures communautaires applicables en la matière.
Dès lors que le Mali, à juste titre, remet en cause la licéité même, voire la légitimité des sanctions que le frappent, pourquoi le Président de la Transition Assimi GOITA se rendrait-il personnellement à ce sommet d’Accra ?
Comment pourrait-il le faire, sans cautionner de facto le forfait de ses pairs de la CEDEAO n’ayant eu que mépris, autant pour les textes fondateurs de l’Organisation que pour les peuples souverains des Etats membres au nom desquels ils prétendent agir.
Le discrédit qui frappe la CEDEAO et ses Chefs d’Etats irrespectueux du droit communautaire, les disqualifie pour exiger du Mali la moindre attitude de considération pour l’Organisation. C’est à la CEDEAO de se racheter vis-à-vis du Mali victime d’abus de ses Chefs d’État vassalisés par la France avec les ingérences intempestives de son Président Macron.
L’ELEMENT D’EXTRANEITE DES INGERENCES INTEMPESTIVES DU PRESIDENT MACRON
Dans quelle mesure le Mali serait-il conventionnellement engagé par les obligations d’une Organisation sous-régionale-marionnette dont les ficelles institutionnelles sont manipulées depuis les Champs Élysées par le Président Macron ?
De quelle crédibilité la CEDEAO pourrait-elle encore se prévaloir, capable à la fois de banditisme juridique inqualifiable et de docilité humiliante devant la France et son arrogant Président Macron ?
Une CEDEAO qui s’acharne sur le Mali, tout en se contentant de prendre acte des trois ans de la Transition burkinabe et de la durée inconnue de la Transition guinéenne.
Parce que la France le veut ainsi. Pour ses seuls intérêts!
Chacun aura remarqué le silence de mort des Chefs d’Etat de la CEDEAO face à l’affront de l’indécente instruction qui leur a été donnée en live par le Président Macron, dans la pure tradition impérialiste de la françafrique.
Aucun des Chefs d’Etat de la CEDEAO, y compris Nana Akufo-ADO personnellement interpellé au mépris de toutes les convenances diplomatiques, n’aura eu le culot d’appeler l’arrogance française à de la retenue.
Il n’appartient point à l’Etat extra régional français de dicter à la CEDEAO la conduite à tenir à l’endroit de l’un de ses membres. Sauf à reconnaître enfin, que la CEDEAO n’est que pantin entre les mains du Président Macron. Ce que confirme le silence assourdissant de nos valets de Chefs d’Etats incapables de répliquer, ne serait-ce que pour leur dignité et leur honneur propre, au Président Macron.
L’élément d’extranéité des ingérences intempestives du Président Macron dans la gouvernance de la CEDEAO, ajouté à la couardise des Chefs d’Etats publiquement ridiculisés et humiliés, achève définitivement de faire de la CEDEAO, un monstre institutionnel au service de la France et de ses intérêts impérialistes, sous des décors d’organisation sous-régionale africaine.
Il est clair aux yeux de tous que le sommet programmé pour le 25 mars 2022 n’est qu’une matérialisation de plus des dernières instructions publiquement données par le Président Macron à ses valets de chefs d’Etats de la CEDEAO. Les intransigeances mesquines de la Médiation Goodluck lors des derniers rounds de négociation à Bamako, témoignent éloquemment des manœuvres de la punition ordonnée le 17 mars 2022 par le Président Macron contre le Mali.
Et si le sommet d’Accra du 25 mars 2022 s’inscrivait dans la même veine ?
Et si le sommet du 25 mars 2022 n’était qu’un prétexte pour nos valets de chefs d’Etats de la CEDEAO de donner davantage de gage à la soif de revanche maladive du Président Macron ?
Le voyage du Président de la Transition à Accra se doit de considérer ces deux facteurs qui ne paraissent pas militer en faveur de sa présence physique au sommet d’Accra du 25 mars 2022.
Dr Brahima FOMBA, Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako (USJPB)
À Saint-Étienne depuis janvier et son arrivée du Vitória Guimarães (Portugal), Falaye Sacko ne rejouera plus de la saison avec les Verts. Le défenseur international malien (26 ans, 24 sélections) a passé des examens mercredi. Ils ont révélé « une blessure au genou qui le contraint à stopper sa saison prématurément », indique l’ASSE. Il était sorti dès la 10e minute de la rencontre contre Troyes (1-1) vendredi.
Par ailleurs, Wahbi Khazri est « atteint musculairement ». Il n’a donc pas rejoint la sélection tunisienne, qui affronte le Mali samedi (aller) et mardi 29 mars (retour) dans le cadre des éliminatoires pour la Coupe du monde 2022.
SOURCE : L’Equipe
Les géants européens que sont l’Italie et le Portugal risquent de manquer le rendez-vous incontournable du football international. Le Sénégal, vainqueur de la Coupe d’Afrique, n’a pas non plus de certitude d’aller au Qatar. Le point sur les enjeux de ces barrages.
Quinze pays se sont déjà qualifiés pour la Coupe du monde qui se déroulera au Qatar à la fin de l’année 2022. Ce sont la Belgique, l’Allemagne, le Danemark, le Brésil, la France, les Pays-Bas, la Croatie, l’Espagne, la Serbie, l’Angleterre, la Suisse, l’Argentine, l’Iran, la Corée du Sud et le pays hôte, le Qatar. Les 17 places restantes n’ont pas encore été pourvues.
EuropeTrois billets pour onze pays (la Russie étant exclue). Chaque faux pas sera puni à ce stade. Les matchs de barrages détermineront les trois nations européennes qui iront au Qatar. L’Italie, championne d’Europe, affrontera la Macédoine du Nord à Palerme. Le vainqueur de ce match jouera contre le vainqueur de Portugal-Turquie. Il est donc certain que l’Italie et/ou le Portugal seront absents du Qatar. Vers un Mondial sans CR7?
L’exclusion de la Russie permet à la Pologne de passer directement au tour suivant, où Lewandowski et ses coéquipiers rencontreront le vainqueur de Suède-République tchèque. Il y a aussi Pays de Galles-Autriche et Écosse-Ukraine. Ce dernier ne sera toutefois pas joué avant le mois de juin en raison de la guerre en Ukraine. Le vainqueur de Galles-Autriche devra donc patienter encore un peu.
Ecosse – Ukraine (juin)
Pays de Galles – Autriche (24 mars)
Ecosse/Ukraine – Pays de Galles/Autriche (juin)
Pologne – Russie (Pologne qualifiée à la suite de la suspension de la Russie)
Suède – République tchèque (24 mars)
Pologne – Suède/République tchèque (29 mars)
Portugal – Turquie (24 mars)
Italie – Macédoine du Nord (24 maart)
Portugal/Turquie – Italie/Macédoine du Nord (29 mars)
Sur le continent africain également, il y aura des matchs de barrages. Les dix vainqueurs de la phase de groupes qualificative y participeront, ce qui donne forcément lieu à de belles affiches. La République démocratique du Congo jouera le Maroc, un choc opposera le Cameroun et l’Algérie, tandis que le Ghana jouera sa place face au Nigeria. Mais tous les regards seront tournés vers une nouvelle confrontation entre l’Égypte et le Sénégal, soit Mohamed Salah contre Sadio Mané. Début février, les deux attaquants de Liverpool se sont rencontrés en finale de la Coupe d’Afrique. Après les tirs au but, le Sénégal avait été couronné champion d’Afrique. Ce barrage est une occasion rêvée pour l’Egypte de prendre sa revanche.
Match aller (25 mars)
RD Congo – Maroc
Mali – Tunisie
Cameroun – Algérie
Ghana – Nigeria
Egypte – Senegal
Match retour (29 mars)
Maroc – RD Congo
Tunisie – Mali
Algérie – Cameroun
Nigeria – Ghana
Senegal – Egypte
En Amérique du Nord et centrale, les cartes de la Coupe du monde semblent être largement rebattues, avec trois matchs encore à jouer. Les trois premiers seront directement qualifiés pour la Coupe du monde. Actuellement, le Canada, les États-Unis et le Mexique occupent ces places. Le Canada, en particulier, semble ne plus avoir à s’inquiéter. Avec huit points d’avance sur le quatrième, le Panama, l’avance est rassurante. Il serait également surprenant que les États-Unis et/ou le Mexique quittent le trio de tête. Ces deux pays comptent quatre unités de plus que le Panama. En principe, cela devrait passer pour eux aussi.
La lutte pour la quatrième place est encore plus passionnante, car elle donne droit à un match de barrage contre un pays d’Océanie en juin. Le Costa Rica a actuellement un point de moins que le Panama. À trois matchs de la fin, ce retard peut encore être comblé.
Jamaïque – Salvador (25 mars)
Panama – Honduras (25 mars)
Mexique – Etats-Unis (25 mars)
Costa Rica – Canada (25 mars)
Canada – Jamaïque (27 mars)
Salvador – Costa Rica (27 mars)
Etats-Unis – Panama (28 mars)
Honduras – Mexique (28 mars)
Panama – Canada (30 mars)
Jamaïque – Honduras (30 mars)
Mexique – Salvador (30 mars)
Costa Rica – Etats-Unis (30 mars)
Dans la campagne de qualification sud-américaine, le Brésil et l’Argentine sont déjà sûrs d’aller au Qatar. Les deux places restantes, qui offrent une qualification directe, sont actuellement occupées par l’Équateur et l’Uruguay. Le Pérou occupe la cinquième place et, sans changement, jouera un match de barrage contre un pays asiatique en juin. Le Chili et la Colombie doivent faire un sans faute lors des deux dernières journées s’ils veulent encore croire au Qatar. La Bolivie a besoin d’un miracle. Le Paraguay et le Venezuela ont dit adieu à leur rêve de Coupe du monde.
Uruguay – Pérou (25 mars)
Brésil – Chili (25 mars)
Colombie – Bolivie (25 mars)
Paraguay – Equateur (25 mars)
Argentine – Venezuela (26 mars)
Bolivie – Brésil (30 mars)
Venezuela – Colombie (30 mars)
Equateur – Argentine (30 mars)
Chili – Uruguay (30 mars)
Pérou – Paraguay (30 mars)
Sur le continent asiatique, l’Iran et la Corée du Sud, dans le groupe A, ont déjà la certitude mathématique de se qualifier pour la Coupe du monde. La bataille pour la troisième place est plus passionnante. À deux journées de la fin, les Émirats arabes unis ont actuellement une avance de trois points sur le Liban et de quatre sur l’Irak. Le pays classé troisième devra encore disputer un match de barrage contre le pays classé troisième du groupe B.
Corée du Sud – Iran (24 mars)
Liban – Syrie (24 mars)
Irak – Émirats arabes unis (24 mars)
Iran – Liban (29 mars)
Émirats arabes unis – Corée du Sud (29 mars)
Syrie – Irak (29 mars)
Dans le groupe B, l’Arabie saoudite, le Japon et l’Australie décideront entre eux des pays qui se qualifieront directement et de celui qui sera condamné à disputer un match de barrage contre le troisième du groupe A. Les chocs entre l’Australie et le Japon et entre l’Arabie saoudite et l’Australie devraient être décisifs.
Australie – Japon (24 mars)
Vietnam – Oman (24 mars)
Chine – Arabie saoudite (24 mars)
Japon – Vietnam (29 mars)
Oman – Chine (29 mars)
Arabie saoudite – Australie (29 mars)
En Océanie, en raison de la pandémie, la campagne de qualification pour le Qatar n’a commencé que la semaine dernière, sans le Vanuatu et les îles Cook. En conséquence, il n’y a que deux pays dans le groupe A, les îles Salomon et Tahiti. Tous deux se qualifient pour un tournoi final où ils affronteront les deux premiers du groupe B, composé de quatre pays. La Nouvelle-Zélande a commencé avec un 6 sur 6 et peut déjà se préparer pour le tournoi final. La Papouasie-Nouvelle-Guinée et les Fidji décideront dans un match direct qui rejoindra la Nouvelle-Zélande. Le vainqueur du tournoi affrontera la quatrième tête de série d’Amérique du Nord et centrale en juin.
Nouvelle-Zélande – Nouvelle-Calédonie (24 mars)
Fidji – Papouasie-Nouvelle-Guinée (24 mars)
Îles Salomon – Tahiti (24 mars)
Il est la cause directe de multiples accidents et de la mort de paisibles citadins, qui vaquaient simplement à leurs besoins. Face à la multiplication des drames de la circulation, provoqués par » les motards acrobates « , des citoyens s’étaient émus et indignés du silence des autorités en charge de l’administration de Bamako.
Mieux vaut tard que jamais, dans un communiqué, daté du 22 mars, le Gouverneur du district Abdoulaye Coulibaly a enfin pris ses responsabilités en mettant en garde » les individus et groupes de jeunes motocyclistes, se livrant à des spectacles acrobatiques, que cette pratique est constitutive d’infraction de trouble à l’ordre public. Par conséquent, tout individu qui se livrerait à cette pratique dangereuse sera interpellé et traduit devant les autorités compétentes. «
Mesurant la dangerosité et les risques de propagation du phénomène au sein d’une jeunesse généralement désoeuvrée, le Gouverneur du district a aussi sollicité l’implication des autorités communales, des responsables communautaires et leaders d’opinion par la sensibilisation de la frange juvénile, largement majoritaire de la population, à abandonner cette pratique » qui met en danger, non seulement ceux qui s’y adonnent mais aussi de paisibles citoyens « .
Hari Moussa Maiga, Stagiaire
Source: l’Indépendant
La Stratégie « Soins Essentiels dans la Communauté » adopté par le Gouvernement vise pour apporter une solution à ces difficultés en faisant administrer aux populations les soins et services de santé par des Agents de Santé Communautaire.
Le projet de décret est initié pour prendre en compte les évolutions constatées dans le secteur afin de pérenniser les acquis de la mise en œuvre de la Stratégie «Soins Essentiels dans la Communauté ».
Les innovations apportées sont entre autres :
Le Conseil des Ministres a procédé aux nominations suivantes :
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TERRITORIALE ET DE LA DECENTRALISATION
Premier Adjoint au Préfet du Cercle de Kayes :
Monsieur Hamadou KASSOGUE, Administrateur civil, Membre du Corps préfectoral.
Le groupe Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS) encore appelé Daesh est l’un des groupes terroristes qui sévissent au Mali. Le groupe formé essentiellement par des étrangers multiplie les attaques contre les positions des Famas depuis plusieurs années. Les offensives criminelles contre les positions des Fama se sont accentuées depuis l’annonce du départ des Forces étrangères françaises . L’architecture des mouvements du groupe sur le territoire national laisse penser que le secteur de Tessit intéresse particulièrement daesh qui (…)
Par MAHAMANE TOURÉ – NOUVEL HORIZON
C’est un camion en provenance de Koulikoro pour Bamako, qui est entré en collision avec une SOTRAMA roulant dans le sens inverse. Bilan : 7 victimes avec des poly fractures, traumatismes crâniens et bucco-dentaires. » Les victimes ont été évacuées sur l’Hôpital Gabriel Touré « , a conclu le communiqué.
Source : L’INDEPENDANT
Depuis le congrès extraordinaire du dimanche 16 janvier 2022, le camp Salikou Sanogo est aux trousses de celui piloté par Gouagnon Coulibaly. Dans ce cadre, le camp Salikou Sanogo a saisi les autorités compétentes à travers une plainte de faux et usage de faux. Ainsi, après le Camp I de la Gendarmerie de Bamako, les héritiers du président fondateur du parti de la poignée de mains, feu Soumaïla Cissé sont devant le Pôle Economique et Financier où Gouagnon Coulibaly qui a été désigné président du parti lors du congrès extraordinaire du dimanche 16 janvier 2022, Mme Coulibaly Kadiatou Samaké, Kalilou Samaké, Aly Bazzi et Mohamed N. Maïga sont sous contrôle judiciaire depuis le vendredi 11 mars 2022, pour (…)
TOUGOUNA A. TRAORE – NOUVEL HORIZON
Pour rappel, la Division des droits de l’homme et de la protection de la Mission de l’ONU au Mali (MINUSMA) a enregistré 617 atteintes aux droits de l’homme, commises par des groupes armés, entre janvier et juin 2021, dont 165 homicides. Cela représente une augmentation de quelque 37 % par rapport aux 449 atteintes aux droits de l’homme, dont 121 homicides, documentés d’août à décembre 2020. C’est au regard de cette situation que l’AMDH, avec le soutien financier du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a initié cet atelier.
A l’ouverture des travaux, le Secrétaire aux affaires juridiques et judiciaires de l’AMDH, Brahima Konaté, a informé que l’objectif de cet atelier est de former les points focaux et les organisations partenaires locaux en matière de technique de documentation, surveillance et rapportage sur des cas de violations des droits de l’Homme et des cas de corruption. L’exercice concernera les zones du projet, qui sont les régions de Ségou, Mopti, Bandiagara, Douentza Gao, Ménaka, Nara et Sikasso.
Il a toutefois invité la population à rester en veille et à remonter toute l’information en lien avec les cas de corruption et de violation des droits de l’homme à l’AMDH, » Nous allons travailler avec la Fondation Tuwindi, qui a développé une plateforme à partir de laquelle les gens peuvent dénoncer les cas. Et ces informations vont être traitées et transmises à qui de droit « , a-t-il fait remarquer.
O B
Source: l’Indépendant
Chaque être humain est destiné à mourir un jour, cela peu importe les circonstances. Aussi , s’il est admis que seul Dieu a le pouvoir de donner ou d’ôter la vie , il y a des situations dans laquelle, il est fait fit de ce pouvoir . Ce constat est fait lorsqu’on commet un meurtre ou lorsqu’on se suicide. Dans ces deux cas, l’on oublie que c’est avant tout Dieu qui a décidé de la survenue de la mort car l’on peut survivre avec une balle dans la tête comme mourir avec un simple mal de tête. Pour des proches de Soumeylou Boubeye Maïga , la mort de l’ancien Premier ministre est liée au fait que l’Etat a refusé d’ordonner son (…)
Par MAHAMANE TOURÉ – NOUVEL HORIZON
S’exprimant sur le sujet, la Directrice de la Fondation Salif Kéita, Assétou Diallo, a indiqué que le rôle de leur Fondation est de se battre contre les fausses idées et pratiques sur les albinos, » On ne peut pas accepter qu’une personnalité politique et publique puisse tenir de tels propos sur une radio. Il doit être responsable de ses propos « , s’est-elle indignée. Ainsi, elle a rappelé que la Fondation a enregistré plusieurs cas d’assassinats, qui ne sont pas encore élucidés. » On sait quelle a été la portée de ces propos tenus par Gassama puisqu’on a reçu des réactions des parents dont les enfants ont été victimes d’assassinat », a-t-elle fait remarquer. Avant de déplorer que » l’animateur, censé également recadrer son invité, a éclaté de rire « . Face à ce comportement, la Dame, Assétou Diallo, engagée pour la cause des albinos, a expliqué que la Fondation Salif Kéita a décidé de porter plainte contre Mamadou Hawa Gassama. » On attend les autres organisations qui discutent avec leurs membres pour l’introduction de la plainte « , a-t-elle indiqué.
O B
Source: l’Indépendant
En plein chantier, les locaux de la nouvelle Direction Générale des Douanes a reçu des visiteurs en fin de semaine dernière. Il s’agit du Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousséni Sanou accompagné du Directeur Général des douanes, M. Amadou Konaté et plusieurs cadres de l’administration générale de la douane. L’objet de cette visite était dans le cadre de la collecte de renseignements sur l’état d’avancement des travaux de cette prochaine base de la douane du Mali en chantier depuis 2017. A l’issue de la visite, le Ministre Sanou s’est montré satisfait par rapport au déroulement des travaux.
Ces nouveaux locaux qui abriteront la douane malienne sont situés dans la commune de Mandé, précisément à Samanko avec une superficie de 30 hectares. Elle a fait l’objet d’une visite du Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousseni Sanou et des hauts cadres de la douane. La construction de cette nouvelle base de la douane malienne est une initiative des autorités du pays afin d’offrir une meilleure condition de travail à cette administration chargée de percevoir aux frontières du Mali les droits imposés sur l’entrée et la sortie des marchandises et de veiller à ce que les importations ou les exportations prohibées n’aient pas d’accès. Cette structure qui dispose des ressources les plus importantes, voire indispensables du pays, sera bientôt dans son confort pour vaquer à ses occupations sans difficulté et sans problème dans ses tâches.
Le projet d’équipement de l’administration de cette nouvelle base de la douane comprend : la construction de la direction générale des Douanes, le terrassement de la plateforme devant abriter le bâtiment et sa clôture ; la construction d’annexes (guérites, local groupe et local transformateur) ; les voiries et réseaux sociaux divers (VRD) ; l’aménagement de la cour et d’un parking.
Cette nouvelle installation implantée au cœur d’un domaine de 30 hectares qui servira à un bâtiment principal qui fera office de siège de la future Direction Générale de la Douane, est de niveau R+4.
La surface bâtie est de 5.669,87m2. Elle sera occupée avec 152 bureaux de services, notamment des services centraux a savoir , « la direction de renseignements et d’enquêtes douanières, la direction de contrôle après dédouanement, la direction facilitation et partenariat avec les entreprises, la direction des ressources humaines des finances et du matériel, la direction informatique et statistique, la direction de la réglementation du contentieux et des relations internationales et la direction recettes, planification et programme de vérification ».
Dans son entretien avec le Ministre de l’Economie et des Finances M. Alousséni Sanou, le responsable de l’entreprise chargée de la construction a souligné que tous les moyens sont mis en place pour finir les travaux à la date prévisionnelle de la fin des travaux fixée au 30 mai 2022 et a également assuré que l’état d’avancement des travaux est évalué à 93%.
Le Ministre de l’Economie et des Finances, M. Alousseni Sanou n’a pas caché sa satisfaction par rapport au déroulement des travaux. Il s’est dit satisfait quant aux avancements des travaux et a exhorté l’entreprise au respect des délais afin que l’administration douanière puisse mieux répondre aux attentes des plus hautes autorités du pays et des usagers.
A noter que le site abrite déjà le centre de formation des Douanes, le bureau du guichet unique pour le dédouanement des véhicules. Il accueillera également le Centre d’Expertise Technique (CET) afin d’en faire une plateforme complète de la douane Malienne.
Par MAMADOU SEKOU TRAORE – NOUVEL HORIZON
Une occasion pour notre compatriote Malamine Koné, fondateur de Airness, d’augmenter son chiffre d’affaires. Mr Koné en a profité pour indiquer que : « C’est quelque chose qu’on attendait depuis des années : l’ouverture de la boutique, ma boutique enfin ça voit le jour ». Cette inauguration était co-présidée par le Président de la Fédération Malienne de Football, Mr Mamoutou TOURÉ Alias Bavieux et le PDG de Airness, Mr Malamine Koné. Elle a enregistré la présence de plusieurs personnalités du domaine footballistique.
L’ouverture de la boutique AIRNESS à Bamako intervient deux jours avant la tenue du match Mali-Tunisie au compte des matchs du barrage de la (…)
ALPHA C. SOW – NOUVEL HORIZON
Arrêté et maintenu en détention en Août 2021 pour une affaire relative à l’achat de l’avion présidentiel, Soumeylou Boubeye Maïga avait déclaré ne pas vouloir fuir car ayant confiance en la justice Malienne. Très vite, sa détention s’est éternisée et sa situation sanitaire s’est gravement détériorée au point de devoir être évacué dans une clinique de la place. Malgré les multiples alertes de ses proches, de sa famille politique et de ses avocats, SBM a été maintenu dans un état de santé critique auquel il a fini par succomber semble-t-il.
Cet acte qui en a choqué plus d’un, au sein de l’opinion nationale, même les détracteurs du désormais défunt ancien premier ministre, laisse planer un doute chez ceux qui jusqu’à aujourd’hui on tenu à exprimer haut et fort leur (…)
DEMBA KONTÉ
Source: NOUVEL HORIZON