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Salon: 80 baptêmes de l’air pour des associations solidaires

Samedi 23 avril 2016, la troisième édition de la journée «Tous unis pour donner des ailes» s’est déroulée sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence.
Categories: Défense

Le Jaguar n'a que 2 MMP : la faute à la... SNCF

Le mamouth (Blog) - Wed, 27/04/2016 - 15:15
Avec quelques enjeux budgétaires en vue, la communication sur le Jaguar et le Griffon, deux des
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Categories: Défense

Schuman Report on Europe with a contribution by Dr Thanos Dokos

ELIAMEP - Wed, 27/04/2016 - 15:04

The Schuman Report on Europe, State of the Union 2016 was published in the end of April 2016 by the Foundation Robert Schuman. The book attempts to answer the question how Europe could remain united.  It, inter alia, contains a chapter written by Director General of ELIAMEP, Dr Thanos Dokos, on ‘the limited geopolitical awareness of the European Union in the context of the Greek, Cypriot and Ukrainian crisis’.

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La Tunisie va émettre un eurobond de 500 millions de dollars

Jeune Afrique / Finance - Wed, 27/04/2016 - 14:57

Le gouvernement tunisien compte émettre un emprunt obligataire international de 500 millions de dollars avant la mi-juin, après avoir obtenu une garantie américaine. L'émission d'un eurobond de 1 milliard d'euros, prévue ce mois-ci, a été en revanche repoussée au semestre prochain.

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Categories: Afrique

Cameroun : un nouveau métier attire les chômeurs

BBC Afrique - Wed, 27/04/2016 - 14:52
Au Cameroun le chômage a poussé certains jeunes de la capitale économique Douala à se lancer dans une activité plutôt récente. Il s'agit de celle de "designer d'objets".
Categories: Afrique

Article - Terry Reintke : lutter contre les violences en ligne à l'égard des femmes

Parlement européen (Nouvelles) - Wed, 27/04/2016 - 14:23
Séance plénière : Mercredi 27 avril, les députés réunis en plénière à Bruxelles débattront de la question de l’égalité des genres et de l’émancipation des femmes à l’ère du numérique. Le vote aura lieu le lendemain. Nous avons rencontré l’auteur du rapport, la députée verte allemande Terry Reintke, pour en savoir plus sur les raisons de la sous-représentation des femmes dans le domaine des nouvelles technologies et les risques de la violence en ligne envers les femmes.

Source : © Union européenne, 2016 - PE
Categories: Union européenne

Nem tartanak eurócsúcsot Ciprasz kedvéért

Bruxinfo - Wed, 27/04/2016 - 14:18
Kosarat kapott a görög miniszterelnök Donald Tusktól, az Európai Tanács elnökétől, aki nem tartja alkalmasnak az időt egy eurócsúcs összehívására, ahol Ciprasz kívánsága szerint legmagasabb politikai szintre vinnék a görög program felülvizsgálatáról folyó vitát. A tárgyalások tovább folynak Athén és az intézmények között az utóbbiak által kért puffercsomagról.

Mi-28UB helikoptereket rendelt Oroszország

JetFly - Wed, 27/04/2016 - 14:12
Oroszország 28 darabot rendelt a kétkormányos változatból.
Categories: Biztonságpolitika

Premier échange franco-suisse entre sous-officiers

« On apprend […] en réseau avec les savoirs des autres » (Claire Héber-Suffrin, docteur en psychosociologie et initiatrice des réseaux d’échanges réciproques de savoirs.). Les armées de Terre suisse et française ont mis en application cet adage puisque 17 stagiaires de l’école des sous-officiers de carrière de l’armée suisse (ESCA) ont vécu en immersion au sein d’une promotion d’engagés volontaires sous-officiers (EVSO) français du 17 au 22 avril dernier.
Categories: Défense

Dr Eleni Panagiotarea participated in IFRI project on national perspectives on the EU

ELIAMEP - Wed, 27/04/2016 - 14:06

Research Fellow of ELIAMEP Dr Eleni Panagiotarea participated in the ‘Building Bridges between National Perspectives on the European Union’ two-year project, co-ordinated by the French Institute of International Relations (IFRI) with three major partners: the Polish Institute of International Affairs (PISM), Real Instituto Elcano and EUROPEUM—European Institute for European Policy, and supported by the “Europe for Citizens” programme of the European Union. Through workshops in Warsaw, Madrid, Paris, and Brussels, ‘Building Bridges’ sought to engage national experts and local citizens in a fruitful debate on the relationship between their member state and the EU and on the future of the Union.

Dr Panagiotarea presented the Greek report, ‘Perspectives of Adjustment, Prospects of Reform’ in a conference in Prague on 16 March.

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Obama à Londres : un véritable encouragement au maintien du Royaume Uni en Europe ou le début de la fin de la ‘relation spéciale’ ?

EU-Logos Blog - Wed, 27/04/2016 - 13:44

La récente visite du Président Obama en Angleterre, dans le cadre du tour officiel qui a lieu autour de l’Europe et du Moyen-Orient, a soulevé la question géopolitique de l’importance des conséquences de l’après referendum du 23 Juin. Jeudi dernier le président Américain, rentrant à Londres après sa visite officielle de l’Arabie Saoudite, a déclaré explicitement qu’il était de l’intérêt des Etats-Unis que le Royaume-Uni reste au sein de l’Union européenne à 28, tout en ajoutant que les électeurs britanniques étaient libres de leur choix.

« Je crois qu’un poète britannique a dit: ‘Personne n’est une île’, même une île tellement belle comme celle-ci » a déclaré le Président, faisant référence au poème de John Donne, écrivain contemporain de Shakespeare. Avec les limites imposées par la tradition présidentielle de ne pas donner des déclarations trop intrusives dans les affaires internes des autres pays, Barak Obama a donné celle qui a été définie par son staff comme une ‘simple déclaration d’opinion à la presse’. Et pourtant, cette simple déclaration n’a certainement pas été reçue comme telle par les politiciens britanniques, à l’exception de David Cameron. De son coté, le premier ministre et partisan du maintien de son Pays dans l’UE, a bien su rallier le charismatique Obama dans le camp de « Britain Stronger in Europe ». Le Président américain a bien confirmé sa position en faveur du maintien du Royaume Uni dans l’Union, non seulement dans l’intérêt des citoyens britanniques et européens, mais aussi pour préserver l’ordre global, particulièrement fragile de nos jours.

Samedi, lors de la conférence conjointe avec le premier ministre britannique, Obama a essayé d’atténuer sa déclaration précédente, en précisant que: « Les électeurs britanniques doivent décider pour eux-mêmes, mais, en tant que partie de notre ‘relation spéciale’ et de notre amitié, je vais être honnête et vous communiquer ce que je pense ». Selon Ben Rhodes, le conseiller à la sécurité nationale adjoint de la Maison Blanche, le souhait présidentiel d’une Europe unie doit être regardé dans le cadre « des expressions amicales » adressées de Washington à Londres. Mais elles ont étés reçues différemment dans la capitale britannique, à l’exception des formalités échangées avec la royauté anglaise, comme souligné par l’éditeur en chef du journal Majesty, Joe Little : « Ces [deux rencontres] sont des réunions entre amis de longue date ». Disons que les apparences ont été préservées avec une bonne dose de flatterie, d’ailleurs Obama est allé jusqu’à argumenter que le détachement de la Grande Bretagne de l’UE serait nocif, pas seulement pour les citoyens britanniques, mais aussi pour les américains, car « la sortie du Royaume-Uni serait contraire aux intérêts nationaux des Etats-Unis, en menaçant la stabilité et la prospérité de l’Occident en ce moment d’inquiétudes». En reconnaissant que rendre sa position manifeste constitue un exercice de démocratie, et non pas une menace d’intrusion dans la politique britannique, il a remercié la reine Elizabeth II pour être une ‘source d’inspiration’.

S’il est vrai que le charisme du Président a beaucoup d’effet parmi les ‘millenials’, il n’est pas autant le cas pour la société anglaise considérée dans sa globalité. Selon un sondage réalisé par YouGov pour le site de droite CapX / UK, la plupart (51%) des britanniques pensent que l’intervention anti-Brexit d’Obama a comme but de faciliter les relations extérieures des Etats-Unis avec un seul bloc européen. Notons encore, les 24% croient que le Président a comme intérêt la stabilité globale, alors que les 14% estiment qu’il s’agit d’une stratégie dans l’intérêt de Cameron. Seulement 4% des britanniques voient dans la position d’Obama un vrai souci pour le destin et le bien-être du Royaume. Sur le même site, le récit du week-end a été titré comme « Time for America to lead again in Europe », tout en soulignant l’imposant rôle américain, d’une façon similaire au reste de la presse tabloïd anglaise. Il semblerait qu’on assiste au coucher de soleil sur la ‘relation spéciale’ transatlantique, même si les deux représentants poursuivent la vielle narration des faits. Si Obama a déclaré vouloir à son coté le premier ministre britannique dans les discussions des décisions capitales, surtout en ce qui concerne la sécurité globale et dans le cadre de l’OTAN, mais il est très clair qu’en dehors de l’UE, la Grande-Bretagne ne sera plus dans une position privilégiée. « Le Royaume Uni va être le dernier de la queue » a-t-il précisé, « Je pense que l’on peut envisager un accord commercial US-UK, mais il ne verra pas le jour de si tôt ».

L’idée de l’existence d’une relation spéciale entre la Grande Bretagne et les États Unis existe depuis l’entre deux guerres et a été renforcée dans l’esprit de ceux qui étudiaient les relations internationales et de ceux qui en faisaient leur métier. A vrai dire le début du processus d’intégration européenne, l’existence d’une telle préférence a toujours était mise en avant par le Royaume-Uni comme la « limite naturelle » du potentiel d’engagement dans la cohésion autour du projet européen. Selon Winston Churchill, la vision globale des relations externes de son pays était organisée par cercles concentriques, au centre desquels on trouva le gouvernement de la Grande-Bretagne. Autour de l’île, on avait d’abord le petit cercle des relations à l’intérieur du Commonwealth, à suivre la bonne entente avec les Etats-Unis, et, seulement à la fin, le cercle des relations avec le continent européen.

La visite d’Obama a pourtant fait un grand bruit dans les medias, surtout en raison de la féroce critique des eurosceptiques pro-Brexit, accompagnée à la fois d’une contrariété plus mitigée des partisans du maintien, qui n’ont pas digéré l’intrusion dans les affaires internes. En pole position on trouve le maire de Londres et leader du mouvement « Vote Leave », Boris Johnson, qui, depuis les colonnes du The Sun, a attaqué le président américain, qui, dans son opinion, n’aurait jamais eu à cœur la GrandeBretagne. Selon Johnson, l’intérêt purement américain d’Obama est visible dans le fait qu’il a déplacé le buste de Churchill du Bureau Ovale. Bien qu’Obama aie toujours répondu a ce sujet en tant que premier président afro-américain, il l’avait substitué avec le buste de l’activiste des droits civils Martin Luther King (et que le buste de Churchill a été déplacé en face de son bureau personnel dans la résidence de la Maison Blanche), Johnson a insisté sur cette saga jusqu’à affirmer que l’attitude du Président à l’égard de la Grande-Bretagne se fonde sur la partie Kényanne des origines du Président et sur son ‘aversion ancestrale à l’Empire Britannique’.

Dans l’incertitude qui concerne le referendum du 23 juin, à l’heure actuelle on peut estimer que, même si les sondages voient encore les deux positions du « rester dans l’Union » ou « sortir de l’Union » au coude à coude, l’opposition manifeste de l’administration Obama va jouer un rôle important, dans la mesure où on ne pourrait plus imaginer une relation spéciale au lendemain d’un Brexit éventuel. Dans la campagne pro-Brexit, un des points majeurs a toujours été la vision d’un accord commercial pour surmonter les pertes à la suite de l’abandon du Marché Unique, un scénario qui n’est clairement plus envisageable. Et encore, l’idée de jouer un rôle de pivot dans la coopération transatlantique n’est pas probable, surtout à la suite des critiques américaines envers Cameron pour l’absence d’un engagement majeur dans la gestion des flux migratoires, sans oublier le fait que, selon la vision américaine, en tant que membre de l’OTAN, Cameron a tourné son regard ailleurs après l’intervention de l’OTAN en Libye en 2011.

Dans une concertation à deux chez Cameron, au 10 de Downing Street, le principe d’une future entente a été convenu au sujet d’un plan commun pour la libération de Mossoul, dans l’Iraq du Nord, où Daech est en contrôle depuis deux ans, mais cela reste une initiative limitée dans la stratégie d’Obama, à évaluer après le prochaines rencontres officielles que le président a prévu pour l’étape allemande de son tour. Le Président sera réuni auprès des leaders européens tels que la Chancelière allemande Angela Merkel, le Premier Ministre italien Matteo Renzi et le Président français François Hollande. Cameron, étant également partie de ce sommet, aura encore une fois en charge la défense de son mandat de renforcement de la position britannique dans le consortium international, pour montrer, encore une fois, qu’ en dehors de l’Union il y aura peu de « spécialité » dans l’échiquier global.

Francesca Sanna

Pour en savoir plus:

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, Fonctionnement des institutions, QUESTIONS INSTITUTIONNELLES ET BUDGETAIRES
Categories: Union européenne

Kulturális oktatási konferencia Bordeaux-ban

Kultúrpont - Wed, 27/04/2016 - 13:33
Találkozót szerveznek 2016 nyarán Franciaországban A művészeti és kulturális oktatás új kihívása / sokféleség és párbeszéd Európában címmel.
Categories: Pályázatok

Remarks by President Donald Tusk after his meeting with President of Albania Bujar Nishani

European Council - Wed, 27/04/2016 - 12:44

Good afternoon. I was pleased to welcome President Bujar Nishani in Brussels today.

The migration crisis has brought the Western Balkans region and the European Union even closer. The crisis has demonstrated, once again, that our destinies are truly linked. Today was a chance to reiterate the central role of the Balkan countries in the Union's strategy of how to respond the migratory flows. Getting back to Schengen and the closure of the Western Balkan route is one of three building blocks of the Union's comprehensive response to current migration crisis.

The European Union stands ready to support Albania should an alternative route develop. I was satisfied with your information that Albania is not an attractive route for irregular migrants We agreed to monitor the situation closely and I encouraged Albania to share with us its needs assessment.

Albania has made important progress in recent years toward achieving its European integration aims. With overwhelming public support to underlying reforms, I am confident that Albania can stay the course and adopt those agreed reforms that are still outstanding.

At this crucial moment, when Albania is undertaking an ambitious and comprehensive reform of its judiciary, I emphasized - as I did last November to Prime Minister Rama, that cross-party cooperation and dialogue are indispensable to advance in the country's European ambitions.

Establishing a track record of proactive investigations, prosecutions and convictions in the fight against organized crime and corruption is also an important challenge.

Finally, we discussed Albania's unequivocal commitment to regional cooperation and good neighbourly relations. The European Union appreciates your country's full support to common values on the international stage. This includes not least our joint response to Russia's violation of Ukraine's sovereignty, territorial integrity and independence. We also discussed the need to strengthen EU-NATO cooperation in light of current hybrid threats in Europe.

This is also a clear signal that Albania is a reliable partner for the European Union. I am personally convinced that there is no alternative to the European path for the region. And I am convinced that with enduring political will to reform and with strong public support, Albania will achieve it.

Let me make a final point on Greece and the ongoing review of the Greek adjustment programme. I consult closely with the Presidents of the Eurogroup and of the European Commission. And earlier today I talked to Prime Minister Tsipras. I am convinced that there is still more work to be done by the ministers of finance. We have to avoid a situation of renewed uncertainty for Greece. Therefore we need a specific date for the new Eurogroup meeting in the not distant future, and I am not talking about weeks but about days. Thank you. 

Categories: European Union

Artikel - Interview mit Terry Reintke über geschlechtsspezifische Gewalt im Online-Umfeld

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Wed, 27/04/2016 - 12:42
Plenartagung : Wie kann das Potenzial, das Internet und IKT bieten, besser ausgeschöpft werden, um die Stärkung der Frauen und Geschlechtergleichstellung voranzutreiben? Am Mittwoch (27.4.) debattiert das Plenum über einen Bericht der deutschen EU-Abgeordneten Terry Reintke (Grüne/EFA) zu diesem Thema. Die Abstimmung findet am 28.4. statt. Wir haben mit der Berichterstatterin über den geringen Frauenanteil in der IKT-Branche und die Risiken geschlechtsspezifischer Gewalt im Online-Umfeld gesprochen.

Quelle : © Europäische Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

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