A nagybecskereki alapfokú ügyészség vádat emelt az 55 éves nezsényi (Neuzin) illetőségű D. A cikk folytatása …
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A német államvezetési küldöttség vasárnap ért Pekingbe, a protokolláris udvariassági tiszteletkörök lefutása után a két legerősebb árukiviteli hatalom negyedszerre ült le tárgyalni. A Deutsche Welle napilap szerint a felek több témát is érintettek, viszont olyan érzékeny fejezetek is napirendre kerültek, mint a két ország gazdasági kapcsolatai.
Nur ein «i» unterscheidet die Beiden auf dem Matchblatt: Karpaten-Messi Stanciu und Stancu. Gegen Frankreich haben sie einen gewaltigen Wirbel veranstaltet!
Auf die zwei müssen wir heute höllisch aufpassen: Nicolae Stanciu (23) von Steaua Bukarest, der kleine (1.69 Meter), junge Mittelfeldspieler mit vier Toren in seinen sechs Länderspielen seit seinem Debüt im März dieses Jahres. Und Routinier Bogdan Stancu (28) vom türkischen Klub Gencerbirligi aus Ankara, 42 Länderspiele.
Schon nach vier Minuten hätten sie die Draculas im Eröffnungsspiel gegen Frankreich in Führung schiessen müssen: Corner Stanciu, Stancu schiesst vor dem sonst leeren Tor Hugo Lloris an... Gleich nach der Pause: Wieder Stanciu auf Stancu, wieder kein Tor. Nach einer guten Stunde: Foul Evra an Stanciu – Penalty. Stancu macht das 1:1.
Vor allem Stanciu beeindruckt Frankreichs Trainer Didier Deschamps schwer: «Wenn man sieht, dass der vor diesem Match fünf Länderspiele und vier Tore hatte, und was der leistet, so zeigt das auf, wozu der in der Lage sein kann!»
Vielleicht auch deshalb darf Stanciu bei den Gelben mit der Nummer zehn ran. Eine legendäre Nummer, gehörte sie doch einst Karpaten-Maradona Georghe Hagi und später Adrian Mutu. Doch Stanciu, der sein Debüt in der höchsten Liga mit 17 feierte, lässt die Polemik kalt: «Wissen Sie, in Frankreich hat Gignac die zehn. Das ist die Nummer von Zinédine Zidane. Da gibts überhaupt keine Diskussion. Abgesehen davon habe ich nie darum gebeten, diese Nummer tragen zu dürfen.» Ohnehin hast er den Vergleich mit den beiden Grossen des rumänischen Fussballs: «Hört auf damit», fleht er. «Diese Spieler waren einzigartig in der Geschichte unserer Nationalmannschaft.»
Die grossen Klubs hatten ihn jedenfalls schon früh auf dem Radar. Bei Chelsea war er mit 17 im Probetraining. Bei Stuttgart auch, und die Schwaben (damals noch «richtig» erstklassig) wollten ihn auch holen, doch Unirea Alba Iulia, der Klub seiner Geburtsstadt, wollte zu viel Geld. Schon nach seinem ersten Auftritt gegen Frankreich ist wohl klar: Im Sommer wechselt Stanciu zu einem Grossklub. An Forderungen von Steaua wird das nicht scheitern – trotz Vertrags bis 2021.
Und dann warnt der neue Messi, so sehen ihn rumänische Journalisten bereits, indirekt die Schweiz: «Es heisst, Frankreich habe schlecht gespielt. Doch niemand fragte, ob das auch am Gegner lag.» Seine Konklusion, die er nicht äussert: Natürlich lags auch an Rumänien. Und vor allem am Duo Stanciu/Stancu.
NAAMA – Le réseau routier de la wilaya de Naâma est à 80% en bon état grâce aux multiples opérations de modernisation et de rénovation des routes, et au renforcement des ouvrages d’art et des structures de maintenance, permettant de prétendre à une impulsion et intégration de l’économie de la région.
Les diverses opérations menées par le secteur des Travaux publics ces dernières années ont permis la rénovation d’un total de 1.202 km sur un réseau global de 1.550 km, en plus de la réalisation, dans le cadre du désenclavement des zones reculées et leur raccordement aux chefs-lieux de leurs communes de rattachement, de 370 km de routes nouvelles, selon la direction des travaux publics (DTP).
Les données du secteur font état de la rénovation de 460 km de routes nationales (RN), de 240 km de chemins de wilaya (CW) et de 542 km de routes communales, en plus de l’élimination des « points noirs » constituant de réels dangers sur le réseau et ce, à travers la réalisation de 29 ouvrages d’art enjambant les grands Oueds traversant le territoire de la wilaya de Naâma, dont les oueds Hadjadj, Ghellaba, Maktaâ El-Delli, Mékalis, Tirkount, Kassou et El-Rethem, dont les crues provoquent l’isolement de plusieurs localités et communes, comme cela a été le cas lors des inondations d’octobre 2008.
Pour remédier à la situation et éviter les coupures de routes en période d’intempéries, il a été envisagé la réalisation d’un imposant pont de 200 mètres au niveau de Oued Es-Sam pour raccorder cette zone au village de Amar, puis à la RN-6, et mettre fin ainsi aux désagréments causés aux usagers de cette routes du fait de sa fermeture lors des crues.
Ceci, en plus de la réalisation d’une nouvelle route reliant la zone touristique d’Ain Ouarka à la RN-47, aux limites territoriales avec la wilaya d’El-Bayadh, via les Oasis du ksar de Boussemghoune, l’élimination des virages dangereux et la réalisation de trois routes de contournement des villes de Naâma, Mécheria et Ain-Sefra.
Fluidifier la circulation entre les hauts plateaux et le Sud
Les opérations de développement retenues pour le secteur et visant le renforcement des infrastructures de base, la fluidification et la sécurisation de la circulation sur le réseau routier de la wilaya de Naâma, ont contribué au développement de l’activité de transport dans la région, à travers l’ouverture de nouvelles dessertes reliant les régions des hauts plateaux à celles du grand Sud du pays, via les communes de la wilaya de Naâma, constituant ainsi un axe de transit névralgique en tant que prolongement de l’autoroute des Hauts-Plateaux.
Pour le DTP de Naâma, Habib Semghouni, le secteur s’assigne, à travers la programmation et la concrétisation de projets routiers, plusieurs objectifs consistant en l’exploitation du réseau routier pour le développement de l’investissement et des échanges commerciaux, notamment la commercialisation des produits issus de l’activité d’élevage, le désenclavement des zones d’élevage et de transhumance à travers la bande frontalière et la relance du tourisme.
« Autant de facteurs essentiels pour la promotion de l’économie de la région, selon une approche de développement équilibrée », a-t-il dit.
Susceptibles d’impulser l’activité économique dans cette région, ces opérations portent, entre-autres, sur un projet de tronçon routier reliant la commune frontalière d’El-Kasdir (Naâma) à celle d’El-Aricha (Sud de Tlemcen), le désenclavement des communes de ces deux wilayas limitrophes, ainsi que la réalisation d’un axe routier entre la commune de Mekmène Benamar et la localité de Mechraâ Laâlem, a signalé le même responsable.
Il est fait aussi état, dans le même cadre, de la réception d’une distance de 112 km du projet de dédoublement de la RN-6 , la réalisation de cinq ouvrages d’art, des dalots, trois échangeurs, ainsi que des voies d’accès secondaires et de substitution en période d’inondations, ainsi que l’ouverture de nouveaux axes routiers, dont la route de Founassa réduisant la distance entre les wilayas de Béchar et Naâma, et la route El-Kasdir-Laâlem pour écourter la distance entre les wilayas de Naâma, Tlemcen et Sidi Bel-Abbes.
D’autres actions de modernisation du réseau routier ont également été projetées par le secteur et consistent en l’entretien et la maintenance de trois ponts, datant de plus de 30 ans et dont l’étude technique a laissé apparaitre leur possible fragilisation par la force des crues qu’ont connues les régions de Hadjadj, El-Ogla et Hadj Mimoun.
Le secteur a enregistré, sur proposition de la population locale d’Ain-Sefra, la projection d’une opération de réalisation d’une route de contournement longue de 4 km, avec un ouvrage d’art, devant relier le CW-5 à la RN-6A.
Outre l’aménagement du CW-3 à l’entrée de la localité touristique d’Ain-Ouarka, sont menés des travaux de renforcement d’un tronçon de 20 km reliant via Tesmouline les wilayas de Naâma et El-Bayadh, le renforcement de 5 km de la route menant à la zone humide de « Oglet-Sendène », en plus de la réhabilitation de 15 km de la route reliant la commune d’Asla et la RN-6.
Inscrits au titre du programme sectoriel de développement pour 2016, les projets de développement des routes, qui portent sur le revêtement, la modernisation, la réfection et la réhabilitation de 75 km de routes nationales, dont 58 km ont été livrés, visent la réduction des accidents de circulation, l’élimination des points dangereux et l’amélioration de l’état des routes à la satisfaction de leurs usagers.
Il s’agit entre-autres actions entreprises par la direction des Travaux publics de la mise en place de signalisation, dont une opération d’installation de près de 5.000 panneaux sur un réseau routier long de 1.555 km tire à sa fin.
Le secteur a, par ailleurs, réalisé, au niveau des daïras de Naâma, Mécheria, Ain-Sefra, Mekmène Benamar et Moghrar, de cinq unités, équipées et encadrées, chargées du contrôle de l’état des routes et de l’intervention rapide le cas échéant.
A ces efforts de préservation et de protection du réseau routier, viennent s’ajouter la création de 10 maison cantonnières, d’un parc de wilaya composé de chasse-neiges et d’engins de désensablement et autres matériels d’intervention, en plus du renforcement de la ressource humaine par le recrutement, au cours des cinq dernières années, de 58 ingénieurs et techniciens chargées du contrôle, suivi et promotion des techniques d’entretien des infrastructures, a signalé le DTP de Naâma.
Pour M. Semghouni, les efforts du secteur des travaux publics sont orientés, outre le désenclavement des régions, vers la protection du réseau routier par l’entretien périodique, l’amélioration de la qualité des équipements et l’installation de signalisations.
L’objectif de cette approche est aussi l’impulsion de l’action de développement socio-économique de la région, tout en œuvrant à la préservation de l’environnement à travers des opérations de boisement des abords de chaussées, en coordination avec le secteur des forêts, estime le même responsable.
JIJEL – Le tracé d’une variante du projet de voie ferrée devant relier Jijel à Sétif a été examiné et adopté lors d’une réunion du conseil de wilaya, a-t-on appris mercredi auprès des services de la wilaya.
Sur les trois variantes présentées par l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF), le tracé de l’une d’entre elles, jugé « le mieux indiqué », a été adopté par les responsables de la wilaya en raison de plusieurs critères « favorables », a précisé la même source.
L’avantage de proximité avec la pénétrante autoroutière Djendjen-EL Eulma et le peu de contraintes observées tout au long de l’emprise du projet sont parmi les critères qui ont favorisé la choix de cette variante, a-t-on expliqué de même source.
L’étude, confiée à un groupement de bureaux d’études algériens depuis 2012, porte sur le projet de réalisation d’une liaison ferroviaire à double voie électrifiée entre Jijel et Sétif en parallèle avec la pénétrante routière faisant la jonction entre ces deux sites, dans le cadre du schéma national d’aménagement du territoire (SNAT), a-t- encore noté.
Cette future liaison ferroviaire servira au transport des voyageurs et des marchandises entre les deux villes (Jijel-Sétif) avec des vitesses de 160 km/heure pour le mode marchandise et 80 km/h pour les voyageurs.
Cette jonction sera aussi déterminante dans la mesure où elle favorisera les échanges inter-wilayas, la réduction des délais de communication et surtout avoir un débouché direct sur le port commercial de Djendjen, ont détaillé les services de la wilaya.
ALGER – Le montant cumulé des investissements directs étrangers (IDE) réalisés en Algérie dans le secteur de l’énergie a atteint 14,01 milliards de dollars (mds usd) entre 2010 et 2015, soit une moyenne annuelle de 2,3 mds usd, apprend-on auprès du ministère de l’Energie.
Sur la seule année 2015, les IDE dans le secteur de l’énergie se sont établis à 2,3 mds usd, en hausse de 45% comparativement à 2014, précise le ministère dans son dernier numéro de la revue Algérie Energie.
La répartition par branche d’activité indique que plus de 99% des IDE en énergie ont été réalisés dans celle des hydrocarbures au cours des six dernières années pour un montant de 13,9 mds usd, tandis que 112 millions usd ont été orientés vers les autres branches énergétiques et de dessalement d’eau de mer.
Il est constaté que l’activité de développement des gisements s’est accaparée de 83% des IDE réalisés dans la branche des hydrocarbures, soit 11,5 mds usd entre 2010 et 2015 dont 26% par l’Italie (ENI), suivie par les firmes américaines (14%), britannique (14%), norvégienne (14%) et canadiennes (8%).
L’activité exploration a, de son côté, attiré des flux d’investissements de l’ordre de 2,1 mds usd durant la période 2010-2015, soit une part de 15% des IDE destinés à la branche des hydrocarbures.
Ce sont les sociétés britanniques qui y occupent la première place avec une part de 28%, suivies par les compagnies espagnoles (12%), russes (10%), allemandes (10%) et chinoises (10%).
Pour l’activité aval, elle a enregistré des IDE de 300 millions usd entre 2010 et 2015, soit 2% des IDE en énergie.
Les IDE relatifs à cette filière sont globalement orientés vers le développement de l’industrie pétrochimique à travers trois projets.
Il s’agit du complexe des engrais Al Djazaïria Omania Asmida (AOA) réalisé en partenariat avec la société omanaise Suhail Bahwan, qui a mobilisé des investissements de 259 millions usd entre 2010 et 2015.
Il s’ait aussi du projet Sorfert, en partenariat avec la compagnie égyptienne Orascom (34 millions usd), et du projet de gaz industriels en association avec la société allemande Linde (6 millions usd).
10 stations de dessalement mises en service en 6 ans
Concernant la branche énergie et dessalement de l’eau de mer, les investissements mobilisés entre 2010 et 2015 (112 millions de dollars) sont surtout orientés pour la réalisation de stations de dessalement.
La tendance baissière des IDE de cette branche s’explique essentiellement par la quasi finalisation du programme national de dessalement d’eau de mer suite à la mise en production de 10 stations sur un total des 12 prévues dans le programme initial, explique la même source.
Par pays, 46% de ces IDE ont été réalisés par des compagnies espagnoles pour les stations de dessalement de Ténès, Honaine, Mostaganem et Cap Djinet.
La compagnie singapourienne Hyflux, retenue pour la réalisation des unités de dessalement Souk Tlata et de Magtaa, représente une part de 34% de ces investissements.
En outre, 19% des IDE destinés à la branche énergie et dessalement d’eau de mer sont issus du partenariat entre Sonelgaz et la firme américaine General Electric pour la réalisation d’une usine de turbines à gaz.
Une part de 1% est représenté par la société canadienne SNC Lavalin dans la réalisation de la station de dessalement de Fouka en partenariat avec la société espagnole Acciona Agua.
BERN - BE - Obwohl der längste Tag des Jahres erst am 21. Juni bevorsteht, steht bereits am (morgigen) Donnerstag der früheste Sonnenaufgang des Jahres an. Leider versperren aber wohl Wolken die Sicht.
Über den Bergen von Samnaun GR dürften mit etwas Wetterglück bereits um 5.23 Uhr die ersten Sonnenstrahlen zu erblicken sein, wie SRFMeteo am Mittwoch mitteilte. In Zürich geht die Sonne um 5.29 Uhr auf, in Genf erst um 5.43 Uhr.
Der längste Tag und damit der astronomische Sommeranfang steht erst am kommenden Dienstag bevor. Um 00.34 Uhr erreicht die Sonne den scheinbar nördlichsten Punkt ihrer jährlichen Umlaufbahn. Der 21. Juni dauert in der Schweiz knapp 16 Stunden.
Dass der früheste Sonnenaufgang nicht mit dem längsten Tag zusammenfällt, hat mit der Umlaufbahn der Erde um die Sonne zu tun, wie SRFMeteo erklärt. Die Sonne steht nicht jeden Tag zur gleichen Zeit exakt im Süden. Derzeit erreicht sie den Kulminationspunkt in Zürich um 13.26 Uhr.
Der späteste Sonnenuntergang fällt dieses Jahr auf den 25. Juni. Im Pruntruter Zipfel im Kanton Jura wird die Sonne erst um 21.32 hinter dem Horizont verschwinden.
A Szerbiai Vasutak munkájának átszervezése miatt 2500-3000 dolgozó válik munkaerő-felesleggé, jelentette ki Zorana Mihajlović, építésügyi, közlekedési és infrastrukturális miniszter. A cikk folytatása …
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Soucieux de lutter contre le jihadisme, d'élargir son influence religieuse sur le continent et de consolider la place du Maroc dans le jeu diplomatique africain, le souverain alaouite a inauguré mardi une instance de concertation entre des oulémas provenant de 31 pays.
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Lake Buena Vista – Ein zweijähriger Junge ist in Florida wahrscheinlich von einem Alligator gefressen worden. Wie die Polizei erklärte, war der Junge beim Spielen am Ufer eines Sees in einer Hotel-Anlage in Orlando von einem Reptil unter Wasser gezogen worden. Es fehle jede Spur.
Der örtliche Polizeichef Jerry Demings sagte am Mittwochmorgen vor den Medien, dass die fünfköpfige Familie aus Nebraska den Abend gemeinsam an dem See verbracht habe. Das künstlich angelegte Gewässer sei Teil des «Walt Disney World Resort», wo die Familie Urlaub machte.
Der Junge habe rund 30 Zentimeter tief im Wasser gestanden, als der Alligator angriff. Demings erklärte, der Vater des Jungen habe noch versucht seinen Sohn aus dem Maul des Tieres zu befreien - leider vergeblich.
Direkt nach dem tragischen Vorfall habe die Polizei die Suche nach dem Jungen begonnen. Nach Angaben des Polizeichefs sind zahlreiche Rettungskräfte im Einsatz, auch ein Alligator-Fänger stehe bereit.
Grosse Hoffnungen auf eine Rettung des Jungen machte sich der Polizeichef aber nicht: «Meine 35 Jahre Erfahrung als Polizist sagen mir, dass wir vor einer grossen Herausforderung stehen.» Die Beamten würden aber die Hoffnung nicht aufgeben und weiter suchen.
Eine Sprecherin der Disney-Ferienanlage sagte, man sei von dem «tragischen Unfall am Boden zerstört». Obwohl Alligatoren in Florida nichts Ungewöhnliches sind, greifen sie nur sehr selten Menschen an.
Le premier ministre français Manuels Valls,a affirmé que le couple tué lundi soir à Paris, lors d’une attaque à l’arme blanche, a été ciblé parce qu’ils étaient policiers.
Il a affirmé, à cet égard que la France ne va adopter à chaque fois qu’une attaque se produit une nouvelle.
Manuels Valls a notamment défendu mercredi l’action du renseignement et de l’antiterrorisme en France après l’assassinat d’un policier et de sa compagne lundi soir près de Paris, tout en prévenant que le pays serait frappé par de nouvelles attaques.
Le premier ministre qui a écarté l’idée de centres de rétention pour les personnes radicalisées, portée par la droite, a affirmé sur France Inter qu’il n’y avait eu ni négligence ni manque de discernement dans le suivi du tueur.
« Plusieurs fois, j’ai dit que nous étions en guerre et que ça allait être long. D’autres innocents perdront la vie, c’est très difficile à dire mais c’est l’affaire d’une génération ».
« Il faut poursuivre ce travail, il faut resserrer les mailles du filet, il faut continuer à donner tous les moyens à la police, à la gendarmerie et aux services de renseignement. Mais nous connaitrons de nouveau des attaques parce que nous faisons face à une organisation terroriste qui recule en Syrie et en Irak et qui se projette dans nos pays sous formes différentes »,a-t-il affirmé.
Caste atrocities remain an everyday reality for millions of people in India. The Dalits, who are condemned at the bottom of the heap, feel that a new “sophisticated architecture” of inequality is also in place.
As reported by The Hindustan Times, they remain under-represented in public positions. But it is not just a tale of victimhood. Dalits today are more organised and connected. They see themselves as a part of an assertive movement of social justice. They have sympathy for Dalit parties, but criticise the failures. They worry caste is getting reinforced, rather than annihilated.
From a village in Unnao, Rawat has come a long way. He recently finished his PhD on contemporary Dalit movement. In an interview with The Hindustan Times, he said: “Twenty years ago, my teacher – a Tiwari – in the village used to mock us and say even if three generations of your family come together, you will not be able to study… I credit the state for this hostel room, for a fellowship, for creating a public university which enabled me to finish a PhD.”
Rawat is quick to underscore that that does little to compensate for the persistent discrimination. The National Crime Records Bureau data shows that the number of incidents of atrocities against Scheduled Castes increased from 39,408 in 2013 to over 47,000 in 2014. In UP, there were 5,784 incidents in 2012, 6,617 incidents in 2013, and 7,577 incidents in 2014.
“I did my fieldwork and across villages in MP’s Ratlam found persistent untouchability,” said Mhow.
The statistics do not capture the more insidious forms of prejudice – separate plates at a wedding, the decision not to rent out a house as soon as the tenant is found to be a Dalit, the quiet whispers in offices that someone has come from “quota” and the insistence that one’s son or daughter cannot marry ‘below’ caste.
But it is the new forms of inequality – for instance, in access to quality education – which worry younger Dalits more.
One well-known Dalit activist in Lucknow, Ram Kumar, said: “Since children of decision-makers don’t use public education, they do little to improve it. You are depriving Dalits of skills and education to compete at this stage itself.” He argued that in the old days, upper castes used the stick and law to prevent others from getting educated. “Now it is a more sophisticated architecture.”
According to Chandrabhan Prasad, a key Dalit thinker, the English language, urbanisation and capitalism will decrease the salience of caste. A new generation of Dalit entrepreneurs has risen. Others in the movement see it as positive, but then question the exclusionary and unrepresentative nature of the private sector. They also believe that this cannot be a substitute for state welfare and social reform, reported The Hindustan Times.
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