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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 3 days 13 hours ago

Le soutien de l’Algérie à la lutte du peuple sahraoui émane des principes immuables de sa politique extérieure (Ould khelifa)

Wed, 27/07/2016 - 01:00

Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, a affirmé mardi que la position de l’Algérie en faveur de la lutte du peuple sahraoui « émane des principes immuables de sa politique extérieur, basée sur le soutien aux causes justes ».

« La position de l’Algérie en faveur de la lutte du peuple sahraoui émane des principes immuables de sa politique extérieure, basée sur le soutien aux causes justes », a souligné M. Ould Khelifa qui a reçu une délégation sahraouie conduite par le wali d’El Ayoun, Mohamed Yeslem Beïssat, précisant que la cause du Sahara Occidental « est une question de décolonisation, conformément aux résolutions onusiennes et décisions internationales ».

« L’Algérie qui a souffert des affres du colonialisme soutient le droit des peuples à l’autodétermination », a rappelé M. Ould Khelifa, soulignant que cette position ferme « repose sur la déclaration du 1er novembre qui consacre la libération des peules du joug colonial ».

Il a réaffirmé « l’appui des dirigeants algériens, notamment président de la République, Abdelaziz Bouteflika et toutes les formations politiques à la cause sahraouie et son soutien lors des fora internationaux et régionaux ».

M. Ould Khelifa a félicité Ibrahim Ghali à l’occasion de son élection au poste de Secrétaire général du front Polisario et président de la République sahraouie et « le succès du congrès extraordinaire du front Polisario » qui s’est déroulé, selon lui, dans « une ambiance sereine et dans un cadre démocratique qui a prouvé au monde entier la cohésion du peuple sahraoui ».

Après avoir salué la « lutte du peuple sahraoui, M. Ould Khelifa a mis l’accent sur l' »importance de son unité nationale qui fait la force de sa résistance ».

Il a de ce fait exprimé son soutien à l’initiative de la commune d’Alger centre qui vise le renforcement des liens fraternels entre les représentants des deux peuples et l’échange d’expériences et de points de vues en matière de gestion local ».

Pour sa part, le wali d’El-Ayoun a souligné que « le soutien permanent de l’Algérie en faveur de la cause palestinienne est source de fierté pour le peuple sahraoui », exprimant la reconnaissance du peuple et du gouvernement sahraouis au président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Les développements politiques et diplomatiques décisifs de la cause sahraouie au double plan africain et international ainsi que les résultats de la réunion d’aujourd’hui du Conseil de Sécurité concernant la reprise de la composante politique de la Minurso de ses fonctions, sont le résultat de la lutte continue du peuple sahraoui pour la reconnaissance internationale de son droit à l’autodétermination, a-t-il indiqué.

La rencontre a été marquée par la présence de la présidente du groupe parlementaire d’amitié et de fraternité Algérie-Sahara Occidental, Saida Ibrahim Bounab, et l’ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Hamoudi Bouchraya Beyoun.

Categories: Afrique

Ooredoo couvre les 48 wilayas en 3g et la 4g bientôt disponible

Wed, 27/07/2016 - 00:50

Plus de 90% de la population algérienne couverte en 3G dans les 48 wilayas

Ooredoo parachève l’extension de son réseau de téléphonie mobile de 3ème génération (3G) dans les délais et annonce la couverture totale de 48 wilayas d’Algérie avec la nouvelle extension du réseau aux wilayas de Tissemssilt, Khenchela et Tindouf.

Ooredoo assure désormais une couverture 3G pour plus de 90% de la population algérienne à travers 48 wilayas.
Ainsi, partout en Algérie, les Algériens peuvent profiter des meilleurs services 3G mis à leur disposition par Ooredoo et vivre une expérience unique de l’Internet haut débit en mobilité.
Avec cet élargissement de son réseau, Ooredoo assure ainsi la couverture 3G de 48 wilayas à savoir : Alger, Constantine, Oran, Ouargla, Sétif, Djelfa, Béjaia, Chlef, Bouira, Ghardaïa, Boumerdès, Blida, Tipasa, Tlemcen, Sidi Bel Abbès, Aïn Defla, Biskra, El Oued, Médéa, Annaba, Aïn Témouchent, Batna, El Bayedh, Guelma, Laghouat, Naâma, El Tarf, Tizi-Ouzou, Mascara, Oum El Bouaghi, Tiaret, Relizane, Bordj Bou Arreridj, Jijel, Tébessa, Adrar, Illizi, Tamanrasset, Mila, M’sila, Skikda, Souk-Ahras, Béchar, Mostaganem, Saïda, Tissemssilt, Khenchela et Tindouf.

Depuis l’avènement de la 3G, Ooredoo a contribué fortement à la démocratisation de l’Internet haut débit mobile en Algérie au travers d’offres Internet inédites, pratiques et adaptées aux besoins du consommateur algérien. Ooredoo s’est engagé, en outre, dans le développement du contenu mobile « Made in Algeria » qui est un point important dans l’essor du secteur de la téléphonie mobile.
Après l’attribution provisoire de sa licence 4G et la réussite de tous les tests réalisés, Ooredoo est également prêt à offrir rapidement le meilleur de la 4G sur tout le territoire national.

Categories: Afrique

Moscou dénonce l’utilisation « maniaque » du repoussoir russe

Wed, 27/07/2016 - 00:42

Le Kremlin a démenti hier toute implication dans le piratage informatique des comptes de responsables du Parti démocrate américain et fustigé l’utilisation « maniaque » de la Russie comme repoussoir dans la campagne électorale américaine.

Le démenti ferme du Kremlin intervient alors que la Russie, et plus spécifiquement la question de la communauté de vues entre Vladimir Poutine et le candidat républicain Donald Trump, ont fait irruption dans la campagne présidentielle américaine.

Interrogé sur les accusations de piratage par des hackers pilotés par Moscou, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a parlé d’« informations absurdes » et fustigé les « tentatives maniaques d’utiliser la Russie dans la campagne électorale aux Etats-Unis ».
Vendredi, trois jours avant l’ouverture de la convention démocrate, WikiLeaks a publié près de 20.000 messages piratés des comptes de sept responsables du parti démocrate, et échangés de janvier 2015 à mai 2016.

Après leur publication, Moscou a été accusé par des responsables du parti d’avoir cherché à influencer la campagne électorale américaine en faveur de Donald Trump en orchestrant cette fuite.
« Malheureusement, on utilise la Russie dans la campagne électorale. Malheureusement, de telles farces continuent.
Nous pensons que ce n’est pas très bon pour nos relations bilatérales mais nous comprenons qu’il faut en passer par cette mauvaise période », a souligné Dmitri Peskov.

Comme exemple, le porte-parole a évoqué une rencontre entre Carter Page, un conseiller de Donald Trump, et le chef de l’administration présidentielle Sergueï Ivanov, évoquée par la presse mais qui n’a pas eu lieu selon lui.

Auparavant, en visite à Vientiane, au Laos, où il a rencontré son homologue américain John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait déjà semblé excédé en balayant les accusations du Parti démocrate.

« Je ne veux pas employer les mots à quatre lettres », a déclaré Sergueï Lavrov en anglais au moment de serrer la main de John Kerry, en marge des réunions annuelles de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (Asean) élargies aux grandes puissances.

Ce n’est pas la première fois que Moscou est accusé de chercher à influencer la politique intérieure de pays occidentaux. En juin, lors de la campagne pour le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE, l’ancien Premier ministre britannique David Cameron avait ainsi estimé que Vladimir Poutine « serait content » d’une victoire du Brexit.

Le président russe avait plus tard répliqué en expliquant que le Brexit était « le choix des citoyens britanniques » et que la Russie « n’a pas à interférer et n’interférera pas dans ce choix ».
Le Kremlin est également régulièrement accusé de financer ou de soutenir des partis politiques populistes ou d’extrême-droite en Europe, généralement favorables à la politique de Vladimir Poutine en opposition à ce qu’ils décrivent souvent comme l’impérialisme américain.

Les courriels publiés vendredi par WikiLeaks montrent notamment la méfiance et le mépris de responsables du parti pour Bernie Sanders, l’ex-rival de Mme Clinton pour la primaire démocrate.
Furieuse de cette publication qui jette une ombre sur le début de la convention démocrate à Philadelphie, l’équipe Clinton avait contre-attaqué en laissant entendre que la Russie pourrait être à l’origine de ces fuites de courriels volés par des pirates soupçonnés d’être liés aux autorités russes. But de la manœuvre, selon le clan Clinton : favoriser la campagne de Donald Trump, plus critique vis-à-vis de l’Otan que sa rivale démocrate.

A l’appui des accusations de l’équipe Clinton, le fait que le parti démocrate a été victime d’un piratage informatique mené par deux groupes de hackers réputés proches des autorités russes, « Cozy Bear » et « Fancy Bear ».

Mais « il n’y a aucune preuve à l’appui » de ces accusations, a par ailleurs assuré le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, dans une interview diffusée par la chaîne américaine NBC, dénonçant une « manœuvre de diversion de l’équipe Clinton ».

Le FBI a annoncé avant-hier enquêter sur ce piratage, sans donner de précisions sur l’identité présumée des pirates, ni sur un éventuel lien avec la publication d’emails par WikiLeaks.

Categories: Afrique

Les adjoints de l’éducation réclament leur participation

Wed, 27/07/2016 - 00:27

Le comité national des adjoints et superviseurs de l’éducation nationale, affilié à l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (UNPEF), a appelé Nouria Benghebrit à permettre à tous les adjoints de l’éducation de participer à l’examen professionnel qui aura lieu prochainement. 

Les adjoints et les superviseurs de l’éducation nationale qui dénoncent la marginalisation dont ils font l’objet, ont déploré « la lenteur » et « l’indifférence » du ministère de tutelle quant à la prise en charge de leurs revendications.

Dans un communiqué rendu public, hier, le comité national des adjoints et superviseurs de l’éducation nationale regrette « la politique de bricolage exercée par le ministère de l’Education nationale ».

Ledit comité déplore le fait que le ministère de l’Education s’engage à mettre fin aux postes en voie de distinction, mais en revanche « sur le terrain, il a mis plusieurs obstacles », a ajouté le même document. La ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghebrit, faut-t-il le souligner, a estimé à maintes reprises que le dossier des adjoints de l’éducation est « clos », après avoir pris une série de décisions qualifiées de « positives » par la tutelle.

Les adjoints de l’éducation, pour leur part, estiment que la réponse de Mme Benghebrit, est « insuffisante ». Face à cet état de fait, ledit comité s’est dit attaché à sa plate-forme de revendications. « Nous sommes prêts à prendre toutes les procédures légales pour faire aboutir nos revendications », a-t-il assuré.

Ladite organisation syndicale demande au département de Benghebrit de permettre à tous les adjoints de l’éducation de participer à l’examen professionnel qui aura lieu prochainement, « pour supprimer définitivement les postes en voie de distinction », a indiqué la même source. Les revendications des adjoints de l’éduction s’articulent autour de plusieurs points.

Il s’agit, entre autres, de la régularisation de la situation des adjoints, ainsi que des adjoints principaux de l’éducation à travers leurs promotions de grades de base à superviseur de l’éducation en laissant le soin au ministère de trouver la meilleure formule, et ce dans le but de mettre fin définitivement au système actuel de grades.

L’organisation a soulevé, également, la nécessité d’annuler le contenu de la circulaire 003 qui concerne le grade de superviseur de l’éducation, et ce en revalorisant l’expérience professionnelle sur la base de 10 ans et de 20 ans afin de prétendre au grade de conseiller de l’éducation.

Ils réclament également le calcul de 10 ans d’expérience dans la promotion au poste de conseiller principal de l’éducation et la promotion des adjoints de l’éducation qui sont actuellement dans les catégories 7 et 8 à la 11e catégorie, la valorisation de l’ancienneté professionnelle des adjoints de l’éducation et son introduction dans la comptabilité des années de la retraite.

Categories: Afrique

Tizi ouzou : terre agricole pour projets industriels

Wed, 27/07/2016 - 00:12

En cette fin de mois de juillet 2016, on enregistre une abondance de produits agricoles dans les plaines de Souamâa, notamment sur des terres que certains ont voulu destiner à l’implantation d’une zone industrielle.

D’une superficie totale de 350 ha, ces terres renferment des cultures de blé dur, d’orge, de pomme de terre, de sorgho et d’avoine.

Pas le moindre centimètre carré n’est laissé en jachère par les propriétaires dont l’activité agricole se pratique de génération en génération. Selon le porte-parole de l’Association des propriétaires des terres agricoles d’Aït Zellal (Souamâa), Akli Bousnadji, 50 à 60 ha ont été consacrés à la culture de blé dur et autant à celle de l’orge, soit une production d’environ 1 800 quintaux de blé dur et autant d’orge.

Selon Sid-Ali Chebah, cadre dirigeant à la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Tizi Ouzou, la moyenne de production est de 25 à 30 quintaux de céréales à l’hectare.

Le reste des terres a été consacré, à la culture de la pastèque, de la pomme de terre, du sorgho et de l’avoine. Ces terres, que certains sous prétexte d’encourager l’industrie ont voulu s’approprier, sont en cette saison agricole – comme les précédentes d’ailleurs – très rentables.

Au-delà de l’intérêt économique, la vue de ces vastes plaines où le jaune brun du blé et de l’orge côtoie le vert de la pastèque, mais aussi la pomme de terre et le sorgho, est un paysage sublime.

Pour un amoureux de la nature, il suffit juste d’emprunter le chemin non encore classé reliant Boubhir à partir de la RN 12 à Illoula Oumalou. Dans les pays développés, des terres agricoles comme celles de Souamâa auraient même encouragé l’ »agritourisme », c’est-à-dire l’activité touristique en rapport avec l’agriculture.

Autrement dit, deux activités à essence économique dans un seul secteur. Il convient de noter que l’ »agritourisme » ne nécessite pas d’énormes investissements. Il suffit juste d’une réflexion relevant du rationnel.

Categories: Afrique

Retraite à 60 ans : les règles des départs anticipés ou retardés fixées

Tue, 26/07/2016 - 23:50

L’avant-projet de loi « rétablissant l’obligation d’un âge minimal » de retraite à 60 ans pour les hommes et 55 pour les femmes, prévoit des départs anticipés pour les travailleurs « en poste de haute pénibilité », et différés de cinq ans sous conditions pour certaines catégories à haute expertise ou déficitaires.

Le texte adopté mardi par le Conseil des ministres, dont l’entrée en vigueur est fixée au 1er janvier 2017, énonce notamment le « rétablissement de l’obligation d’un âge de départ en retraite de 60 ans (55 pour les femmes) avec un minimum de 15 ans de travail » et la « possibilité » pour le travailleur d' »exercer cinq années supplémentaires avec l’accord de l’employeur ».

Le texte donne aussi la possibilité aux « travailleurs exerçant dans des métiers hautement qualifiés ou déficitaires (qui seront définis par voie réglementaire) d’exercer au-delà de l’âge de la retraite », précise le communiqué publié au terme de la réunion du conseil, présidée par le Président Abdelaziz Bouteflika.

Il énonce aussi la possibilité pour les travailleurs en poste de haute pénibilité (qui seront définis par voie réglementaire) de bénéficier d’une retraite avant l’âge de 60 ans.

Cet avant-projet vise également à « préserve également l’avenir de la Caisse nationale des retraites (CNR) et les intérêts des retraités » et « tient compte » aussi des préoccupations exprimées par les représentants des travailleurs.

Pour ce qui est du départ à la retraite sans condition d’âge, l’ordonnance 97-13 du 31 mai 1997 reste en vigueur jusqu’à la fin de l’année en cours.

La CNR continue, de ce fait, de recevoir et de traiter les dossiers liés à la demande de départ à la retraite proportionnelle et sans conditions d’âge, avait-on précisé auprès de la Caisse.

Préserver le système national de retraite

Cette révision est destinée à « sauvegarder la Caisse nationale des retraites (CNR) qui fait face à une forte augmentation des départs en retraite sans conditions d’âge ou en retraite proportionnelle, deux dispositifs mis en place dans les années quatre-vingt dix, à titre exceptionnel et transitoire, alors que le pays était confronté à d’importantes vagues de dissolutions d’entreprises et de compression des salariés », a noté le communiqué du Conseil des ministres.

La décision de rétablir le départ à la retraite à 60 ans a fait l’objet de concertation lors de la réunion de la tripartite de juin dernier dans « le souci de préserver et consolider le système national de retraite, d’autant plus que les conditions actuelles ne permettent plus le maintien du dispositif de départ à la retraite sans condition d’âge ».

L’ordonnance de 1997 donnait la possibilité aux travailleurs de faire valoir leurs droits à la retraite à partir de l’âge de 50 ans et après 32 années de cotisations  cumulées.

Le maintien actuel de ce dispositif entraîne « des conséquences dommageables » aussi bien aux équilibres financiers de la CNR qu’à l’outil de production qui enregistre chaque année d’importantes déperditions au niveau de ses ressources humaines, notamment les plus qualifiées « dans un dispositif qui s’est avéré souvent inégalitaire », a-t-on précisé lors de la dernière tripartite.

Une étude du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD), avait révélé qu’un grand nombre de postulants à la retraite sans conditions d’âge pouvaient encore être très utiles à leurs entreprises grâce à leur savoir-faire et leur expérience.

Pour les pouvoirs publics, le départ à la retraite sans condition d’âge a favorisé le départ en masse de cadres compétents et d’une main d’£uvre qualifiée des entreprises nationales vers les sociétés étrangères.

Le départ à la retraite sans condition d’âge est une mesure transitoire qui était destinée à atténuer les effets du Plan d’ajustement structurel (PAS) de 1994, mais qu’il n’est plus possible aujourd’hui de maintenir sous peine de porter préjudice aux équilibres financiers de la CNR.

Il s’agissait pour les pouvoirs publics, dans le sillage de la mise en œuvre du PAS, d’atténuer les effets induits par les fermetures d’entreprises et les compressions d’effectifs.

L’Algérie s’était engagée à appliquer le PAS dans le cadre d’un accord signé avec le Fonds monétaire international (FMI) pour le rééchelonnement de sa dette extérieure dont le service avait atteint le taux record de 86% des recettes d’exportations en 1993.

L’objectif était également de libérer des postes de travail pour les jeunes arrivant sur le marché du travail.

Toutefois, ce dispositif s’est révélé, dans la durée, doublement pénalisant pour la CNR : elle verse des pensions à des travailleurs partis en retraite avant l’âge légal, c’est-à-dire 60 ans, tout en ne percevant plus leurs cotisations.

Categories: Afrique

Nécessité de veiller au strict respect des règles d’urbanismes et de sécurité des immeubles

Tue, 26/07/2016 - 23:39

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé mardi les autorités concernées, centrales ou locales, à la nécessité de veiller au strict respect de l’ensemble des règles relatives à l’urbanisme, à la construction ainsi qu’à la sécurité des immeubles, y compris contre les incendies et les séismes.

Intervenant lors de la réunion du Conseil des ministres qui a examiné et approuvé un avant-projet de loi relatif aux règles générales de prévention des risques d’incendie et de panique, le chef de l’Etat a rappelé les efforts « colossaux » investis par l’Etat en vue d’améliorer les conditions de vie des citoyens dans les campagnes et dans les villes, y compris par l’éradication des bidonvilles et de l’habitat précaire.

Le président de la République a relevé qu' »il serait irresponsable de laisser ces efforts et leurs fruits remis en cause par des violations des lois et règlements relatifs à l’habitat, à l’urbanisme ou aux normes de sécurité sismiques ou contre les incendies ».

Le texte approuvé par le Conseil des ministres « vient mettre à jour les normes en vigueur en matière de prévention et de sécurité contre les risques d’incendie, dans les locaux accueillant le public ainsi que dans les bâtiments à usage d’habitation ».

Il édicte également « des obligations aux personnes physiques et morales concernées pour la vérification des installations de détection et de lutte contre les incendies, ainsi que de la mise en place de facilités d’évacuation des occupants en cas de sinistres ».

Par ailleurs, le projet de loi propose d’octroyer aux officiers de la Protection civile la qualité d’agents de police judiciaire pour les constats des infractions.

Il propose également « des sanctions plus sévères pour les contrevenants aux dispositions de cette législation et fixe enfin, un délai pour la mise en conformité des établissements et immeubles existants ».

Pour rappel, l’Algérie, qui se situe dans une région à forte activité sismiqie, a été touchée ces 15 dernières années par plusieurs tremblements de terres dont le plus important avait ébranlé la wilaya de Boumerdès le 21 mai 2003 avec 6,8 degrès sur l’échelle de Richter ayant fait plus de 3.000 morts et causant de nombreux dégâts matériels.

Rien que depuis janvier 2016, de nombreux séismes se situant entre 3 et 5,5 degrès ont été enregistrés notamment dans les régions de Boumerdès, Bouira, Médéa et Alger.

Categories: Afrique

Avant-projet de loi pour faciliter les corrections des actes d’état civil

Tue, 26/07/2016 - 23:37

Un avant-projet de loi relatif à l’état civil, visant à faciliter aux citoyens les démarches auprès des juridictions pour la rectification, le remplacement ou l’annulation d’actes d’état civil, a été adopté mardi en Conseil des ministres.

Cette modification permettra aux citoyens résidant en Algérie ou établi à l’étranger d’introduire leurs demandes de correction des actes d’état civil auprès de toute juridiction à travers le territoire, sans considération du lieu d’établissement ou de transcription de l’acte d’état civil objet de la démarche, selon le communiqué publié à l’issue de la réunion du Conseil des ministres.

Les demandes de correction pourront être introduites par voie électronique aussi, en vertu de cette modification de l’ordonnance n°70-20 du 19 février 1970, qui participe de la réforme de la justice.

Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, avait annoncé en juin 2015, un amendement des dispositions du code de l’état civil relatives aux rectifications administratives des erreurs des actes d’état civil.

Il avait expliqué que les dispositions relatives aux rectifications des actes contenant des erreurs remontaient à 1970, « d’où la nécessité de les amender ».

Ces dispositions constituent une contrainte pour le citoyen, avait relevé le ministre qui avait annoncé l’installation d’une commission ayant pour mission d’examiner l’amendement des dispositions suscitées en vue d’élargir l’opération de rectification des erreurs administratives des actes d’état civil à toutes les régions du pays.

L’amendement concernera également la signature électronique, avait ajouté le ministre, précisant que « cela permettra d’adresser des demandes de rectification aux représentations diplomatiques et consulaires et fera bénéficier les membres de la communauté algérienne établie à l’étranger de cette mesure qui leur évitera le déplacement ».

Près d’un (1) million de demandes de rectification d’erreurs matérielles sur des actes d’état civil ont été enregistrées en 2015, selon le ministère de la Justice.

La stratégie du gouvernement repose sur le traitement des facteurs à l’origine de l’accumulation des erreurs administratives avant d’envisager la procédure de rectification par la justice, avait soutenu M. Louh, rappelant les mesures adoptées pour la modernisation du secteur de la justice, notamment en matière de retrait de certains documents par voie électronique, de lutte contre la bureaucratie et de promotion du service public.

Categories: Afrique

Un marché de modernisation d’une voie ferrée minière de plus de 50 milliards DA confiée à des entreprises publiques

Tue, 26/07/2016 - 23:32

Le Conseil des ministres a approuvé mardi la conclusion d’un marché en « gré à gré » pour la première tranche de dédoublement de la voie ferrée minière de 177 kms à l’Est du pays d’un montant de 50,6 milliards de DA, confié à un groupement d’entreprises publiques.

Il s’agit d’un accord conclu entre l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF) et un Groupement d’entreprises publiques nationales conduit par la société Cosider.

Ce projet, qui sera réalisé dans un délai de 48 mois, porte sur les travaux de dédoublement et de modernisation d’un tronçon de 177 kms de voie ferrée reliant Oued Kebir, Tébessa et Djebel Onk.

A l’horizon 2020, la voie ferrée minière de l’Est assurera le transport de près de 26 millions de tonnes de minerai de phosphates et dérivés ainsi que de minerai de fer.

La mise à niveau de cette voie ferrée sera effectuée parallèlement à la réalisation d’autres investissements en partenariat que l’Algérie a conclus récemment pour une plus grande valorisation des gisements de phosphates dans cette région du pays.

Pour rappel, trois accords d’investissements algéro-indonésiens d’un montant global de 4,5 milliards de dollars ont été signés, la semaine dernière, entre deux entreprises publiques nationales (Asmidal et Manal) et le groupe indonésien industriel Indorama Corporation, portant sur le développement et l’exploitation de la nouvelle mine de phosphate de Bled EL Hadba (Tebessa), sur la transformation des phosphates pour la production de l’acide phosphorique et de diammonium phosphate à Souk Ahras et sur la transformation du gaz naturel pour la production d’ammoniac, de nitrate d’ammonium technique et du calcium ammonium nitrate à Skikda.

La production issue de ces plates-formes industrielles devra couvrir les besoins du secteur agricole en différents produits fertilisants et permettra l’exportation de l’excédent qui sera dégagé vers les marchés internationaux.

A travers ces investissements, il s’agira d’assurer la transformation de cinq (5) millions de tonnes de phosphates marchands en engrais phosphatés et la production d’un (1) million de tonnes d’ammoniac et de 800.000 tonnes de calcium ammonium nitrate.

Ces projets permettront la création de près de 16.000 emplois avec 12.000 en phase de construction et 4.000 en exploitation.

A travers ce genre de partenariats, l’Algérie entend exploiter pleinement son potentiel minier dans le cadre de la volonté du gouvernement de transformer toute la région Est du pays en un hub minier régional pour l’Afrique et le pourtour méditerranéen.

Par ailleurs, sur le plan de transport de minerais par voie ferroviaire, d’autres projets sont en cours d’élaboration à l’instar des études pour le raccordement, par voie ferroviaire, du site de fer de Gara-Djebilet (Tindouf) vers Abadla (Bechar) sur un tracé de 950 kms.

Ces études menées prévoient le transport des minerais extraits de ce gisement vers un port minier, à concrétiser concomitamment avec le projet de la voie ferrée, avant leur acheminement vers les complexes sidérurgiques d’Oran, de Jijel et d’Annaba à des fins de transformation industrielle.

Categories: Afrique

Adoption d’un avant-projet de loi renforçant la prévention et les sanctions des délits routiers

Tue, 26/07/2016 - 23:30

La législation régissant la circulation routière marquée par le « fléau des accidents » mortels, sera renforcée en amont par des mesures préventives et en aval par le durcissement des sanctions, selon les termes d’un avant-projet de loi adopté mardi lors du Conseil des ministres.

Ainsi, au titre des mesures préventives, il est, notamment proposé « le renforcement de la formation et de la qualification des conducteurs, en particulier les conducteurs professionnels, l’amélioration du contrôle technique et de sécurité routière, et la mise en place d’Organes nationaux de prévention et de coordination dans le domaine de la sécurité routière », note le communiqué du Conseil des ministres.

Au titre des mesures répressives des délits et contraventions liées à la circulation routière, il est proposé « le durcissement des classifications et des sanctions des délits et contraventions, ainsi que l’introduction du système de permis de conduire à points permettant le traitement instantané des infractions ».

« La persistance d’un grand nombre d’accidents de la route avec leur lourd bilan notamment en vies humaines est à l’origine de cette proposition de révision de la législation organisant la sécurité routière », précise la même source.

Le président Bouteflika, intervenant après l’adoption de ce texte, a notamment enjoint les services de sécurité routière à « redoubler d’efforts notamment durant cette saison estivale, pour appliquer avec rigueur la législation pertinente, dans le but de faire reculer le fléau des accidents de la route ».

Le chef de l’Etat a, également, « appelé l’ensemble de autorités concernées à diligenter l’application de ce projet de loi dès son adoption par le Parlement ».

Durant le seul premier semestre 2016, rappelle-t-on, les accidents de la route ont fait 1.919 morts et 21.290 blessés, selon le Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR).

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui avait indiqué que les accidents de la route coûtaient à l’Etat 100 milliards de dinars (un milliard de dollars environ) par an et que les nouvelles dispositions adoptées dans le cadre de la révision du code de la route visaient essentiellement à réduire l’intervention humaine dans le processus de constat des infractions.

Pour ce faire, il avait souligné l’importance de « l’introduction de nouvelles dispositions dans le code de la route, notamment l’augmentation des amendes forfaitaires aux infractions de la route à l’origine des accidents de la circulation et la mise en place du permis à points ».

Le projet de loi prévoit des augmentations de la valeur des amendes aux infractions à l’origine des accidents, notamment celles classées au 4ème degré. L’amende est fixée entre 5.000 DA et 7.000 DA.

Une nouvelle mesure a également été adoptée. Il s’agit du système de permis à points qui permettra d’une part de réduire l’intervention de l’élément humain dans le processus de constat des infractions et d’autre part de mettre un terme à toutes formes d’indulgence à l’égard des contrevenants.

Dans le même cadre, la Délégation nationale à la sécurité routière qui sera mise en place en remplacement du Centre national de prévention et la sécurité routière (CNPSR), d’ici fin 2016, aura pour mission d’appliquer les décisions du gouvernement pour endiguer le « terrorisme routier ».

Cette délégation, composée de spécialistes des différents secteurs concernés, aura pour mission la « mise en oeuvre des orientations stratégiques du gouvernement dans le domaine de la sécurité routière », avait précisé le président du CNPSR, Ahmed Naït El Hocine.

L’objectif est aussi de « garantir l’efficacité de la politique routière à travers l’implication de l’ensemble acteurs concernés par la sécurité sur les routes », a relevé M. Naït El Hocine, précisant que la délégation « sera généralisée au niveau local pour activer la politique de sécurité routière dans les différentes régions du pays ».

Categories: Afrique

Avant-projet de loi sur la PME: « Soutien modulé » et appui aux investissements

Tue, 26/07/2016 - 23:28

Les petites et moyennes entreprises (PME) bénéficieront, aux termes d’un avant-projet de loi adopté mardi en Conseil des ministres, d’un « soutien modulé » notamment dans les filières prioritaires, ainsi que d’un appui aux investissements dans les domaines de la recherche, de l’innovation et de la sous-traitance.

Cet avant-projet de loi d’orientation sur le développement des PME encourage également « l’émergence d’associations et de groupements professionnels des PME, ce qui favorisera le développement des synergies de filières ».

L’avant-projet, selon le communiqué publié au terme du Conseil des ministres présidé par le Président Abdelaziz Bouteflika,  propose aussi « un dispositif public rénové pour le suivi et l’encouragement des PME, à travers l’Agence nationale de développement de la PME (Andpme) et ses démembrements locaux ».

Cette mise à jour législative « reflète l’importance grandissante des PME pour réaliser, dans notre pays, la croissance, la création d’emplois et la diversification de l’économie nationale », ajoute-t-on de même source.

Renforcer la mise à niveau et réduire le taux de mortalité des PME

Ce projet de texte, deuxième grand dossier législatif après celui du code des investissements adopté récemment par le Parlement, vient modifier et compléter la loi de 2001.

L’élaboration de cette nouvelle loi intervient après les résultats « mitigés » de l’opération de mise à niveau des PME, lancée effectivement en 2012 mais qui n’a pas atteint tous  ses objectifs.

Dotée d’une enveloppe financière de près 386 milliards de DA, l’opération de mise à niveau visait 20.000 PME jusqu’à fin 2014.

Cependant, seulement 5.000 PME avaient adhéré à ce programme, soit 25% du programme, selon les chiffes de l’ANDPME.

Dans ce cadre, le nouveau texte prévoit une réforme du dispositif de soutien des PME sur les plans législatif et institutionnel ainsi que des institutions qui auront à mettre en place ce dispositif.

A travers la nouvelle loi, chaque entreprise sera soutenue selon ses propres besoins au lieu d’une démarche standard, et ce, pour prendre en charge es besoins différents et spécifiques de chaque entreprise.

Elle prévoit, entre autres, la création d’un Fonds d’amorçage destiné à accompagner financièrement les jeunes entreprises dans leurs premiers pas. Il s’agit aussi de protéger les PME et de réduire leur taux de mortalité estimé actuellement à 8%.

Selon les chiffres du ministère de l’Industrie et des mines, un peu plus de 900.000 PME opèrent actuellement en Algérie, un chiffre qualifié de « très faible » par rapport au potentiel du pays et aux objectifs du secteur.

Dans cette optique, le plan d’action du gouvernement vise la création d’un (1) million de nouvelles PME durant le quinquennat 2015-2019.

Outre la loi d’orientation pour le développement des PME, le dispositif de soutien aux entreprises sera également renforcé par d’autres textes de lois comme ceux de la normalisation, adopté récemment par le Parlement, et de la métrologie actuellement en cours d’élaboration.

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Le Président Bouteflika exprime à François Hollande la condamnation par l’Algérie de l’attaque de Saint-Etienne-du-Rouvray

Tue, 26/07/2016 - 23:22

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a exprimé mardi la condamnation par l’Algérie de l’attaque terroriste perpétrée dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray et sa solidarité avec la France en cette tragique circonstance, dans un message adressé au président François Hollande.

« C’est avec une vive émotion que j’ai appris l’horrible nouvelle de l’attaque terroriste perpétrée dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray au cours de laquelle un homme de culte a perdu la vie de la manière la plus atroce alors qu’une autre personne a été blessée », a écrit le Président Bouteflika dans son message.

« En cette douloureuse circonstance et devant un acte aussi inadmissible commis dans un lieu sacré, je vous exprime, au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel, nos condoléances les plus attristées et nos sentiments de compassion », a affirmé le chef de l’Etat.

« L’Algérie, profondément choquée, condamne dans les termes les plus forts cet acte qu’aucune cause ne peut justifier. L’Islam qui sacralise la vie humaine et anoblit les autres religions du livre ne peut aucunement être souillé par un tel crime barbare », a souligné le président de la République.

« En vous réitérant l’assurance de ma pleine communion dans votre endurance personnelle et celle de votre peuple face aux épreuves affectant la quiétude publique dans votre pays, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président et cher ami, l’expression de ma très haute considération et de mon estime cordiale », a conclu le chef de l’Etat.

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Approbation d’un marché en gré à gré pour la réalisation de 4400 logements sociaux à Meftah (W. Blida)

Tue, 26/07/2016 - 23:14

Le Conseil des ministres a approuvé mardi la conclusion d’un marché de gré à gré au profit de l’Office de promotion et de gestion de l’immobilier (OPGI) de la wilaya de Blida pour la réalisation de 4.400 logements sociaux dans la commune de Meftah (Blida).

Le coût du marché conclu entre l’OPGI de la wilaya de Blida et l’entreprise « Atlas génie civil Company »,  un groupement spécialisé dans les études et réalisations dans le BTPH,  est de 12 milliards de dinars et le délai de réalisation est arrêté à quatre (4) années, selon le communiqué publié à l’issue du Conseil.

Le lancement de ce projet, à l’arrêt depuis près de 10 ans, est prévu au cours du second semestre 2016.

Le retard accusé par ce projet s’explique notamment par le problème de rareté du foncier, considéré comme l’une des principales entraves dans le programme de logement de la wilaya de Blida.

Ce projet figurait parmi ceux programmés dans 15 communes de cette wilaya mais mis à l’arrêt pendant des années pour manque d’assiettes foncières conformes.

Pour rappel, les logements sociaux s’inscrivent dans la poursuite du programme sectoriel de l’Habitat qui vise globalement à réaliser 1.787.139 logements publics, toutes formules confondues.

Ce programme important comprend 724.090 logements de type public locatif (LPL), connu sous l’appellation de logement social, soit une part de 40% du volume global des réalisations prévues par le secteur.

Cette formule, destinée aux catégories sociales défavorisées et dépourvues de logement ou logeant dans des conditions précaires ou insalubres, a enregistré une consommation financière de près de 42,23 milliards de dinars durant le premier trimestre 2016, selon les chiffres du ministère de l’Habitat et de l’urbanisme.

Ces efforts permettent d’améliorer le cadre de vie des citoyens et d’éradiquer progressivement l’habitat précaire en Algérie qui ambitionne de devenir un pays exempt de bidonvilles.

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Le Président Bouteflika condamne « avec force » l’attaque d’un centre pour handicapés mentaux au Japon

Tue, 26/07/2016 - 23:10

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a adressé mardi un message de condoléances à l’Empereur du Japon Akihito, dans lequel il a condamné « avec force » l’attaque « barbare » qui a ciblé un centre pour handicapés mentaux à Sagamihara (Kanagawa), faisant 19 morts et 25 blessés.

« J’ai reçu avec une profonde affliction la nouvelle de l’attaque barbare qui a ciblé un centre pour handicapés mentaux à Sagamihara (Kanagawa), faisant 19 morts et 25 blessés », a écrit le président de la République dans son message.

« Tout en condamnant avec force cet acte vil, je vous présente au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel mes condoléances les plus attristées et adresse aux familles des victimes l’expression de ma profonde compassion en cette douloureuse épreuve, souhaitant un prompt rétablissement aux blessés », a conclu le Chef de l’Etat.

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La taille moyenne des hommes algériens a baissé de plus de 2 centimètres en 30 ans

Tue, 26/07/2016 - 23:02

Les Algériens étaient plus grands avant. Littéralement. La taille moyenne des Algériens a poursuivi un déclin enclenché il y a près de 30 ans, dû à des facteurs alimentaires et environnementaux, selon une étude publiée mardi 26 juillet.

L’étude a été effectuée par des chercheurs de l’université britannique Imperial College London en analysant la taille moyenne des jeunes adultes entre 1914 et 2014 dans plus de 200 pays et territoires. Elle démontre que, à l’inverse de la tendance mondiale, la stature moyenne a baissé dans de nombreux pays de l’Afrique du Nord, de l’Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient.

En Algérie, la taille des hommes adultes est passée de 172,3 centimètres en 1987 à 170,1 cm en 2014, soit une baisse de 2,2 cm. Bien que moins importante, cette baisse a également touché les femmes algériennes dont la taille moyenne a atteint 159,1 cm en 2014 alors qu’elle était de 159,7 cm en 1987.

Dans certains des pays les plus pauvres au monde, comme la Sierra Leone, l’Ouganda ou le Rwanda, la baisse de la hauteur moyenne des habitants a atteint jusqu’à 5 cm sur les décennies récentes.

« Cette recherche nous donne une idée sur la santé des populations au cours du siècle précédent. Elle révèle que la hauteur de certaines populations a même baissé tandis que d’autres continuent d’augmenter », a indiqué Majid Ezzati, professeur à l’école de santé publique du Imperial College London.

« Elle confirme que nous devons en urgence améliorer l’environnement et la nutrition des enfants et des adolescents sur une échelle mondiale, et nous assurer de donner le meilleur départ dans la vie aux enfants du monde », a-t-il ajouté.

L’étude a par ailleurs trouvé que les hommes aux Pays-Bas (182.5 cm en moyenne) et les femmes en Lettonie (170 cm) étaient les plus grands au monde en 2014.

Les dix populations les plus grandes se trouvent toutes en Europe.

Les hommes du Timor oriental sont par ailleurs les plus petits au monde avec 160 centimètres en moyenne, alors que les femmes au Guatemala, avec 149 cm, sont les plus petites.

Les femmes sud-coréennes ainsi les hommes iraniens ont enregistré la plus grande progression sur 100 ans, respectivement 16,5 et 20,2 cm, a aussi indiqué cette étude.

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Arabes banque va s’installer à Mostaganem

Tue, 26/07/2016 - 22:55

Nous avons appris que le directeur général Arabes Banque Algérie a été reçu hier par monsieur le wali de Mostaganem dans le cadre d’une réunion de travail pour booster l’investissement économique.

Le PDG, s’est engagé à ouvrir un siège à Mostaganem pour le fameux organisme international leadeur dans le finance investissement ‘’Arabes Banque’’. Selon des sources, le PDG s’est engagé a livré cette banque dans un délai de réalisation de 6 mois. La banque arabe est spécialisée dans le financement d’investissements.

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Multiplication des parkings anarchiques : Le wali recommande une réglementation urgente

Tue, 26/07/2016 - 22:49

Se posant avec acuité, la multiplication des parkings anarchiques en ville et aux stations balnéaires de ‘’Sablettes’’ et de la Salamandre, a fini par faire réagir vivement les autorités, dont le wali, M. Abdelwahid Temmar, qui recommande de mettre un terme dans les meilleurs délais à cette inextricable situation de la gestion de ces lieux sensibles, qui perdure depuis si longtemps.

Devenus de véritables sources de gain d’argent facile, les parkings clandestins se sont multipliés pour en faire de Mostaganem, une vaste aire de stationnement à ciel ouvert où le moindre mètre carré se facture en dizaines de dinars sous la menace de gourdins.

Fortement décriée les conducteurs , cette pratique contraint  tout automobiliste a payer le prix fort pour le stationnement de quelques minutes, et malheur à celui qui ose réclamer, il verra sans trop de discussion, son pare-brise voler en éclats, et risquera fort de se faire bastonner. Face à cet état de fait, le wali vient de prendre de fermes décisions en coordination avec ses collaborateurs concernés de plus près par le problème, dont le chef de la daïra et le président de l’A.P.C.

Le wali tient à régler définitivement cette anarchie, qui caractérise le stationnement en ville. En ce sens, il désire en faire de Mostaganem, une ville-pilote dans la gestion des parkings, il a déclaré qu’il ne peut plus voir ces personnes avec des gourdins n’hésitant point à insulter les automobilistes pour quelques dinars.  A ce titre, il a fixé une réunion pour le jeudi prochain  sur la question des parkings, en exigeant  la présence des partenaires  concernés par le sujet. Le stationnement en ville frôle l’intolérable et la situation ne peut plus perdurer.

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M’sila : saisie de 1.600 quintaux de blé détournés

Tue, 26/07/2016 - 22:42

Une quantité de 1.697 quintaux de blé dur détournée pour être vendue comme aliment du bétail a été saisie dans la commune d’Ain El Melh dans la wilaya de M’sila a-t-on appris mardi auprès de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.

La même source a précisé que la saisie a été effectuée suite à un contrôle de police de la daïra d’Ain El Melh sur un axe routier de la route nationale (RN) n°70, détaillant que les céréales saisies étaient transportées dans six (6) camions.  Après audition des chauffeurs de ces camions, il s’est avéré que ces céréales devaient être acheminées vers les wilayas limitrophes, pour être transformées en aliment de bétail et vendues aux éleveurs à des prix excessivement élevés.

Les enquêteurs ont procédé à la saisie des camions et de la marchandise, a-t-on noté ajoutant que les personnes impliquées dans cette affaire de trafic et détournement de produits soutenus par l’Etat ont été soumises à la citation directe.

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Le nouveau modèle de croissance économique  » débattu  » et  » adopté  » en conseil des ministres

Tue, 26/07/2016 - 22:14

Le « nouveau modèle de croissance économique »,  » débattu  » et  » adopté  » mardi en conseil des ministres, se fonde sur une politique budgétaire « rénovée » avec l’amélioration de la fiscalité ordinaire et une mobilisation de ressources financières supplémentaires tout en privilégiant l’investissement à forte valeur ajoutée.

Ce nouveau modèle débattu par le Conseil des ministres s’appuie, selon le communiqué publié au terme de Conseil des ministres, sur une politique budgétaire rénovée soutenue par une amélioration des recettes de la fiscalité ordinaire de sorte qu’elle puisse couvrir, à l’horizon 2019, les dépenses de fonctionnement ainsi que les dépenses « incompressibles » d’équipements publics.

En outre, la nouvelle politique budgétaire repose sur une « réduction sensible » du déficit du Trésor à l’horizon 2019 et sur une mobilisation de ressources additionnelles sur le marché financier local, à l’image de l’emprunt obligataire, lancé en avril dernier, « dont les résultats appréciables témoignent de la confiance des participants dans les perspectives prometteuses de l’économie nationale », selon les termes du communiqué.

Concernant les objectifs du nouveau modèle de croissance économique, ils consistent notamment à privilégier, pour les investissements publics, ceux destinés aux infrastructures générant un effet d’entraînement sur les capacités productives du pays, avance le Conseil des ministres dans son communiqué.

Il s’agit également d’investir essentiellement dans les secteurs à forte valeur ajoutée tels que les énergies renouvelables, l’agro-industrie, les services, l’économie numérique et celle du savoir, l’industrie en aval des hydrocarbures et les mines.

Le nouveau modèle de croissance repose aussi sur la reprise de la production des hydrocarbures, une stimulation de la création d’entreprises par la poursuite de l’amélioration du climat des affaires et l’ouverture des secteurs non stratégiques à l’investissement privé et public ainsi que la promotion des exportations hors hydrocarbures, détaille le communiqué.

Ce faisant, cette démarche générera une croissance économique plus soutenue de 3,5% en 2016 et de 4% en 2017, selon la présentation faite au Conseil par le ministre des Finances, M. Hadji Babaammi.

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Mots pour maux : Les propres ne se lavent jamais

Tue, 26/07/2016 - 22:11

Nul besoin de s’enfoncer dans la religion musulmane et nos traditions et coutumes pour savoir que la propreté de nos quartiers et nos ruelles est un devoir de tout musulman et un acte de civisme.

Beaucoup d’exemples et des questions nous interpellent à chercher le fond de ce mal, mais limitons-nous plutôt aux faits que nombreux sont ceux qui ne réagissent pas, comme s’ils avaient perdus la valeur d’exister où ils se sont habitués à vivre dans la saleté.

Les partisans du moindre effort se plaignent toujours  des autorités qui les tarabustent à longueur d’année de bien vouloir nettoyer auprès de leur pas de maison, mais ces derniers se défendent avec fermeté pour dire que cette tache ne leur incombe pas et c’est aux autres de le faire car  ils sont propres de naissance et que selon eux les propres ne se lavent jamais et que ceci relève du rôle des pouvoirs publics et plus précisément des collectivités locales. Mais malheureusement c’est leur culture Allah Ghaleb!

C’est honteux, frustrant et désolant de voir que ces rurbains puissent avoir une telle culture et   que notre pays  après plus d’un demi siècle d’indépendance et des caisses pleines à craquer,  ne puisse pas jusqu’à l’heure actuelle trouver une solution radicale  et adéquate à ce problème très grave  qui est le manque d’hygiène qui asphyxie nos villes  par ces décharges à ciel ouvert dans toutes les villes d’Algérie sans exception   et même la capitale Alger qui jadis était surnommée « Alger la blanche » soit noircit  par la pollution.  Mais qui peut-on incriminer dans ce cas : le peuple ou l’Etat ?  Nous dirons que les deux sont coupables en même temps à savoir que le peuple l’est par son incivisme et son laxisme  qui vu sa maturité, est responsable  et ne pourra être plus discipliné que par un Etat fort usant de toute son autorité sur les récalcitrants.

Par ailleurs, l’Etat ayant tout le pouvoir de décisions pourrait au lieu de dépenser des sommes colossales pour ramener des stars qui ne sont d’aucune utilité publique investir une part de cet argent pour doter les A.P.C   de matériels de dernière  génération et valorisé l’éboueur en le rémunérant en conséquence car ce métier est avilissant  comme cela se fait dans les pays occidentaux où l’éboueur  est le mieux rémunéré  et étant motivé financièrement pourra faire un travail de qualité  tout en  n’oubliant pas de procéder à des campagnes de sensibilisation  et par la même sanctionner tout contrevenant à l’exemple de la Turquie  qui lorsque  Ordogan  prit le pouvoir  commença tout d’abord par nettoyer les villes turques  en priorité  et c’est ce que nous devons faire  en premier car dans l’état actuel de nos villes, nous ne sommes pas prêts de recevoir des touristes de sitôt.

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