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Updated: 1 day 15 hours ago

Liban : La communauté internationale mobilise 11 milliards de dollars pour l’aider

Mon, 09/04/2018 - 11:48
La communauté internationale s’est engagée ce week-end à mobiliser 11 milliards de dollars en prêts et dons en faveur du Liban, afin de moderniser l’économie du pays et renforcer sa stabilité, menacée par les crises régionales. Ces annonces, destinées à financer des projets d’investissements sur les cinq prochaines années, ont été égrenées par Etats et organisations internationales lors d’une conférence de soutien à l’économie libanaise, baptisée CEDRE, qui se tenait à Paris à un mois des législatives du 6 mai au Liban. « A l’heure où le Levant traverse sans doute un des pires moments de son histoire (…) il est plus capital que jamais de préserver un bien précieux entre tous, celui d’un Liban pacifique, divers et harmonieux, fidèle à l’engagement pluraliste qui a présidé à sa création », a déclaré le président français Emmanuel Macron, en clôturant cette rencontre.  Selon l’ambassadeur de France au Liban, Bruno Foucher, les 11 milliards de dollars promis sont constitués de prêts à hauteur de 10,2 milliards, et de 860 millions de dons. « C’est un processus qui commence pour moderniser notre économie, réhabiliter nos infrastructures et libérer le potentiel du secteur privé pour qu’il mène à une croissance durable et à la création d’emplois pour les Libanais », a assuré le Premier ministre libanais Saad Hariri. Parmi les plus gros donateurs figurent la Banque mondiale, qui s’est engagée sur quatre milliards de dollars de prêts au cours des cinq prochaines années, et l’Arabie saoudite, qui a renouvelé une ligne de crédit d’un milliard de dollars, signe de son engagement au côté du Liban malgré ses inquiétudes récurrentes sur l’influence croissante de l’Iran dans ce pays.- « Le Liban n’est pas une île » La Banque mondiale va mobiliser plus de quatre milliards de dollars au cours des cinq prochaines années pour le financement de projets d’investissement au Liban, a annoncé vendredi sur Twitter la directrice générale de l’institution, Kristalina Georgieva. Cet argent permettra de soutenir la « croissance » et les « créations d’emplois », a souligné Mme Georgieva, en marge d’une conférence internationale de soutien au Liban à Paris, sans préciser quelle forme prendrait cette aide financière. « Le Liban a fait son devoir envers le monde », a ajouté la responsable de la Banque mondiale, en référence aux efforts fournis par le pays du Cèdre pour accueillir des réfugiés syriens. « Il est temps que le monde fasse son devoir envers le Liban », a-t-elle ajouté. Ces quatre milliards de dollars viennent s’ajouter à plusieurs autres milliards de prêts et de dons annoncés depuis vendredi matin lors de cette rencontre, notamment de la part de l’Arabie saoudite, qui va renouveler une ligne de crédit d’un milliard de dollars. Côté européen, la France a promis 550 millions d’euros, les Pays-Bas 300 millions, le Royaume-Uni 130 millions et l’Italie 120 millions. L’Union européenne va apporter, elle, une contribution de 150 millions d’euros, selon Bruno Foucher. Selon M. Foucher, 800 millions d’euros ont par ailleurs été promis par la Banque européenne d’investissement (BEI), 700 millions de dollars par le Koweït, 1,1 milliard de dollars par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), et 500 millions de dollars par le Fonds Arabe FADES. Le Liban, qui vit dans la crainte d’une crise économique et financière, espérait lever entre 6 et 7 milliards de dollars en dons et prêts lors de cette conférence pour financer des infrastructures, notamment en eau, et relancer son économie. L’économie libanaise connaissait un taux de croissance annuel de 8% en moyenne avant le début du conflit syrien en 2011, qui s’est effondré à 1% à peine depuis, selon le Premier ministre libanais Saad Hariri. La croissance s’y est élevée en moyenne à 1,1% au cours des trois dernières années, contre plus de 9% à la veille de la guerre syrienne, tandis que la dette publique culmine à 150% du PIB, le troisième taux le plus élevé à l’échelle mondiale après le Japon et la Grèce. « Le Liban n’est pas une île. Il subit de plein fouet les effets des tensions régionales et de la crise syrienne. Il combat le terrorisme à ses frontières et en son sein et, avec plus d’un million de réfugiés, il a pris plus que sa part du fardeau de l’exil syrien », a rappelé le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian. « Lutter contre la corruption » Les législatives du 6 mai, les premières depuis neuf ans, doivent parachever la stabilisation politique du Liban. « Dans cet effort, le Liban ne pourra pas réussir seul », a insisté Saad Hariri, mettant en garde contre un risque d’instabilité pour l’ensemble de la région. Le plan d’investissements bâti par les autorités libanaises vise à moderniser les infrastructures du pays, qui connaît d’importants retards de développement, à commencer par l’alimentation en eau, la production d’électricité et le traitement des ordures. Les investissements nécessaires, validés vendredi, sont évalués à 10,1 milliards de dollars sur une première phase de quatre ans. Au total, les besoins identifiés par Beyrouth s’élèvent à 23 milliards sur 12 ans. En échange de l’aide internationale, Saad Harari – accompagné de cinq ministres représentant l’ensemble du spectre politique libanais – s’est engagé à « lutter contre la corruption », à moderniser le fonctionnement des marchés publics et à favoriser une meilleure « gouvernance fiscale ». « Nous serons à vos côtés pour ce travail, mais il implique je le sais beaucoup de courage, beaucoup de détermination », a insisté Emmanuel Macron. Et les engagements pris feront l’objet d’un suivi après les élections, a-t-il souligné. Le Liban a déjà bénéficié de trois conférences de soutien, notamment en 2002 et 2007 baptisées « Paris II » et « Paris III ». Mais il n’a encaissé qu’une partie des engagements financiers, après avoir failli à adopter les réformes structurelles promises. Au total, 37 Etats et 14 organisations internationales et régionales (FMI, Banque mondiale, UE…) se sont réunis pour cette conférence, organisée un mois avant les élections législatives du 6 mai au Liban. Kamel A.

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Arabie saoudite-France : Le prince héritier saoudien en visite en France

Mon, 09/04/2018 - 11:45

En pleine offensive de séduction des Occidentaux, le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, est arrivé hier pour une visite de trois jours en France, afin de vanter ses réformes et resserrer les liens avec Paris après des tensions liées aux crises régionales.

Hier a été une journée de visite privée pour le prince de 32 ans et son programme reste relativement mystérieux. Selon une source proche de la délégation saoudienne, il est possible que Mohammed ben Salmane assiste au concert de clôture du festival de Pâques de la cité méridionale d’Aix-en-Provence, où seront joués Debussy, Robert Schumann et Felix Mendelssohn. Mohammed ben Salmane est en pleine offensive de séduction des occidentaux pour projeter une image un peu plus libérale du royaume conservateur au pouvoir autoritaire. Il a déjà visité le Royaume-Uni et vient de passer trois semaines aux Etats-Unis, où le prince a courtisé les chefs d’entreprises et signé une multitude d’accords pour favoriser les investissements dans son pays qu’il veut préparer à l’après-pétrole. En France, il doit rencontrer Emmanuel Macron demain pour resserrer les liens d’une relation compliquée entre les deux pays, et alors que l’Arabie saoudite est largement impliquée dans les nombreuses crises qui secouent le Proche-Orient. A Paris, aucun contrat «mirobolant» n’est attendu. Le président Emmanuel Macron souhaite avant tout établir, selon l’Elysée, une «nouvelle coopération» avec le royaume pétrolier, qui devrait entrer dans une nouvelle phase sociale et économique avec l’arrivée au pouvoir de Mohammed ben Salmane. «Il s’agit de forger un nouveau partenariat avec la France, et pas seulement de courir après des contrats», a confirmé une source proche de la délégation saoudienne. Pour Denis Bauchard, expert du Moyen-Orient à l’Institut français des relations internationales (Ifri), «les relations bilatérales ne sont pas bonnes et Mohammed ben Salmane a eu beaucoup de mal à se laisser convaincre de venir en France». «Mohammed ben Salmane est fasciné par les Américains», alors qu’il éprouve «une certaine condescendance vis-à-vis de la France», ajoute-t-il. A Paris, l’accent sera mis sur la culture, le tourisme, les investissements d’avenir et les nouvelles technologies, avec notamment une visite aujourd’hui du prince héritier à la Station F, l’incubateur de start-up parisien. Plus d’une douzaine de protocoles d’accord dans les domaines du tourisme, de l’énergie et des transports doivent être signés, indique une autre source proche de la délégation saoudienne. Un accord de coopération pour le développement d’Al Ula, où se trouvent d’importants vestiges archéologiques, doit être aussi annoncé. Lors de la rencontre demain après-midi avec le président Macron, il sera aussi question des crises régionales: la Syrie, l’accord nucléaire iranien, la guerre au Yémen – où Riyadh intervient militairement, ou la situation au Liban. Il sera peut être aussi question du Sahel, l’Arabie saoudite étant un contributeur du G5 Sahel, la structure de développement et de sécurité de la région essentielle pour Paris. M. Macron s’était impliqué personnellement en novembre dans la crise autour du Premier ministre libanais Saad Hariri. Ce dernier, apparemment sous la pression de Mohammed ben Salmane, avait annoncé sa démission depuis Riyadh, où il était resté retenu pendant deux semaines avant de revenir sur sa décision. «Il y a eu des tensions lorsque Mohammed ben Salmane aurait tenté de contester le rôle de Macron dans l’épisode Hariri, mais Mohammed ben Salmane a dû ensuite reculer», affirme Abdullah Alaoudh, un universitaire saoudien de la faculté de droit de Yale (Etats-Unis). «Ce n’est jamais facile pour un autoritaire comme lui d’accepter cela». Paris souhaite que «le Liban soit aussi stable que possible, ce qui passe inévitablement par un certain accord» avec le Hezbollah, décrié par les Saoudiens, ajoute Denis Bauchard, alors que Riyadh et Téhéran se livrent une lutte d’influence acharnée dans toute la région. Le prince héritier mise sur le resserrement des liens avec le président américain Donald Trump, qui a menacé de se retirer de l’accord nucléaire de 2015 avec l’Iran, faute d’améliorations de ce pacte international avant le 12 mai. M. Macron devrait tenter de convaincre Mohammed ben Salmane qu’il vaut mieux tenter de sauver un accord. S’agissant du Yémen, des ONG ont l’intention de se faire entendre pendant la visite du prince héritier saoudien pour que Paris cesse ses exportations d’armes vers l’Arabie saoudite, régulièrement critiquée pour les bavures dont sont victimes les civils dans ce pays. Autre épine dans le pied des relations franco-saoudiennes, le mandat d’arrêt émis en décembre par la justice française à l’encontre de la soeur du prince héritier, Hassa, soupçonnée d’avoir donné l’ordre à son garde du corps de frapper un artisan à Paris.

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Décès du moudjahid Salah Boudjemaa

Mon, 09/04/2018 - 11:20

ALGER- Le moudjahid et ancien diplomate Salah Boudjemaa est décédé dimanche à Washington (Etats-Unis), à l’âge de 88 ans des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès des proches du défunt.

Né le 18 avril 1935 à Skikda, le défunt a rejoint très tôt les rangs de la révolution à la Wilaya II historique (Nord-constantinois) et occupé différents postes de responsabilité avant d’être désigné responsable de la 4e région à la Wilaya II. Le défunt a travaillé aux côtés du commandant de la Wilaya II, le Chahid Zighoud Youcef. 

Le défunt a participé avec plusieurs moudjahidines à la préparation des attaques du Nord Constantinois le 20 août 1955 dans la région Zemane à Skikda.

Au lendemain de l’indépendance, le défunt a poursuivi son parcours pour l’édification du pays en occupant plusieurs responsabilités au sein de l’Armée nationale populaire (ANP) avant d’être nommé ambassadeur de l’Algérie dans plusieurs pays, dont la Syrie, la Jordanie et le Liban. 

En cette douloureuse circonstance, le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a adressé un message de condoléances à la famille du défunt et à ses compagnons d’armes, dans lequel il a loué les qualité et hauts faits du défunt durant la Guerre de libération nationale et son dévouement dans le processus d’édification de l’Algérie indépendante.

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Le climat d’investissement en Algérie, en « constante » amélioration

Mon, 09/04/2018 - 11:18

AMMAN- Le Directeur général de l’Agence nationale du développement de l’investissement (ANDI), Abdelkrim Mansouri a affirmé, dimanche à Amman, que le climat d’investissement en Algérie est en « constante amélioration » au regard des « grandes » mesures prises par le gouvernement pour renforcer et faciliter l’investissement au service de l’économie nationale.

Dans une déclaration à l’APS en marge des travaux du 2ème et dernier jour du 16e Forum arabe des entreprises abrité par la Jordanie, M. Mansouri a fait état du nouveau code d’investissement le considérant « un pas important au processus des réformes économiques en vue de mettre en place un dispositif législatif stable, transparent, intégré et cohésif à même de garantir l’efficacité dans la réalisation des projets économiques ». 

A cet égard, il a rappelé du nouveau dispositif de soutien à l’investissement le qualifiant de « judicieux et bien ficelé » qui gère le domaine de l’investissement en Algérie depuis 2016, et s’appuie sur les principes d’assurer la sécurité et octroyer des garanties aux profits de l’investisseur, en général, et à l’investisseur étranger, en particulier, dont l’annulation des lois à effet rétroactif et la possibilité de cession d’actifs ainsi que la garantie du transfert des profits et de la transparence, outre la protection contre la confiscation administrative.

Ce dispositif de soutien à l’investissement accorde des incitations et avantages communes aux projets de production de services et biens dans les activités habilitées et autres incitations pour les activités prioritaires (industrie et agriculture) à travers les exonérations fiscales et parafiscales pour une durée allant jusqu’à 10 ans et des aides de financement et de soutien pour acquérir le foncier, a ajouté M. Mansouri.

S’agissant de l’impact et de l’effet d’incitations et avantages octroyés, le directeur général de l’ANDI a fait savoir que les projets d’investissement seront grandement utile et profitable, étant donné les présents moyens de production et les prix d’énergie très réduits.

Répondant à une question relative aux projets d’investissements étrangers lancés avec des opérateurs nationaux, le responsable a révélé que le nombre de ces investissements étrangers, y compris les pays arabes, s’était élevé, notamment courant 2017, passant à plus de 167 projets, soit la plus grande partie du taux total d’investissements étrangers enregistrés ainsi que de la création des emplois.    

La qualité des investissements enregistrés à l’ANDI démontre une orientation vers les secteurs de l’industrie, du tourisme et des grandes infrastructures, « conformément aux objectifs et choix prévus par le plan d’action du gouvernement et sa stratégie de développement et de diversification de l’économie nationale au vu de la conjoncture actuelle », a-t-il ajouté.

A ce propos, M. Mansouri a souligné que conformément à la nouvelle loi d’investissement, la priorité est accordée aux projets créateurs de richesse et de postes d’emploi dans les secteurs de l’industrie, de l’agriculture et du tourisme, ajoutant que « plusieurs investisseurs arabes ont exprimé, lors de l’exposition organisée en marge de cette manifestation, un vif intérêt au pavillon algérien » .

Au terme de l’exposé présenté par l’ANDI sur l’Algérie et les opportunités d’investissement, « les investisseurs arabes ont demandé plus de détails sur le climat d’affaire en Algérie ainsi que les opportunités d’investissement offertes aux investisseurs étrangers par l’Etat », a fait savoir le DG de l’ANDI, ajoutant qu' »un nombre important d’investisseurs notamment irakiens, jordaniens, syriens et égyptiens ont exprimé leur disposition pour investir en Algérie ».

Concernant la règle 49-51 adoptée par l’Etat dans les partenariats avec les étrangers, M. Mansouri a réaffirmé que ladite règle « n’entrave en aucune façon l’opération d’attirer les investissement après avoir éclairci ses dimensions réelles ». Cette règle, poursuit-t-il, « était imposée pour préserver la souveraineté du pays et protéger l’économie nationale avec ses deux secteurs,  public et privé ».

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L’effort de l’Etat se poursuivra pour raccorder les villages les plus reculés

Mon, 09/04/2018 - 11:16

TIZI-OUZOU- L’effort de l’Etat sera poursuivi pour raccorder les villages les plus reculés, a souligné dimanche, à Tizi-Ouzou, le ministre des ressources en eau, Hocine Necib.

Necib qui a entamé une visite de travail de deux jours dans cette wilaya, a rappelé que depuis le début des années 2000, les différents plans quinquennaux inscrits à l’initiative du Président de la République Abdelaziz Bouteflika, ont accordé une part importante aux projets hydrauliques structurants (Barrages, grands transferts…) afin de mobiliser la ressource et améliorer la dotation journalière des populations en eau potable tout en résorbant les déficits.

‘‘Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, caractérisée par un relief à plus de 70% montagneux, l’Etat a fourni plus d’efforts que dans d’autres régions pour faire parvenir l’eau jusqu’aux villages implantés sur les hauteurs’’, a observé le ministre. Cette contrainte naturelle est prise en compte et l’Etat poursuivra ses efforts pour développer et densifier le réseau d’alimentation en eau potable dans cette wilaya, a-t-il affirmé.

A ce propos il a observé que les localités qui enregistrent des perturbations telle que la daïra de Bouzguene alimentée principalement par des sources dont le débit baisse en été (faibles pluies en hiver et forte demande durant la saison estivale) et les localités du flanc nord de la wilaya, des projets de transfert d’eau ont été inscrits pour prendre en charge ce problème.

Lire aussi: Hocine Necib insiste à Chlef sur l’impératif de livraison des projets AEP avant l’été prochain

Il s’agit du transfert d’eau vers Bouzguène à partir du barrage de Tichy-Haff dans la wilaya de Bejaia et de celui qui alimentera les localités du littoral à partir de la station de dessalement d’eau de mer de Cap-Djinet dans la wilaya de Boumerdes, a-t-il dit en soulignant que la réalisation du barrage de Sidi-Khelifa dans la région d’Azeffoune dont les travaux seront lancés demain lundi par le ministre, permettra de régler durablement ce problème et aussi de soutenir l’activité agricole.

Ces projets rentrent dans le cadre du schéma national hydraulique qui a prévu de créer des équilibres entre les régions par des raccordements inter wilayas. En plus de ces deux transferts Tizi-Ouzou a déjà bénéficié d’un autre projet similaire qui est opérationnel pour acheminer l’eau vers les localités de sa partie sud-est à partir du barrage de Koudiet-Acerdoune dans la wilaya de Bouira, a-t-il rappelé.

En plus de ces opérations destinées à mobiliser la ressource et renforcer l’alimentation en eau potable, des projets ont été inscrits en vue de protéger cette ressource contre la pollution, a signalé le M. Necib.

« La priorité était la levée du gel sur les stations d’épuration prévues en amont du barrage de Taksebt en vue de préserver sa cuvette afin d’éliminer tous les rejets d’eaux usées qui s’y déversent’’.

Et en matière d’assainissement, le ministre a indiqué que son département a inscrit des projets visant à améliorer le taux de raccordement de la wilaya au réseau d’assainissement par notamment la densification du réseau, taux qui est actuellement de 88% soit ‘‘en deçà de la moyenne nationale’’, a-t-il observé.

Lors de cette première journée de sa visite à Tizi-Ouzou, le ministre des ressources en eau s’est rendu sur le chantier de construction du Barrage de Souk Tlata destiné à renforcer l’alimentation de 188 villages répartis sur 9 communes pour une population actuelle de 240 000 habitants. Ce projet qui a connu un retard et un arrêt de 37 mois suite à des oppositions de particuliers a pu être relancé après la levée de toutes les contraintes et affiche actuellement un taux d’avancement de 43%. Sa réception est prévue pour fin 2019, a-t-on appris sur place.

Le ministre poursuivra sa visite demain et se rendra sur le site du barrage de Taksebt, puis dans la daïra de Bouzguène qui a bénéficié du projet de transfert d’eau à partir du barrage de Tichy-Haff. L’alimentation en eau potable des communes côtières de la wilaya de Tizi-Ouzou à partir de la station de dessalement d’eau de mer (SDEM) de Cap-Djinet, et le lancement des travaux de réalisation du barrage de Sidi-Khelifa, et de réhabilitation de la station de dessalement d’eau de mer de Tigzirt sont aussi au programme.

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Energie électrique : une hausse prévue de la demande durant la période de pointe de l’été 2018

Mon, 09/04/2018 - 11:14

AIN DEFLA-La demande en matière d’énergie électrique durant la période de pointe coïncidant avec la saison estivale de l’année 2018 devrait atteindre 15800 MGW, en hausse par rapport à  la même période de l’année 2017 (14250 MGW), a indiqué dimanche à Aïn Defla, le PDG du groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab.

Cette situation exige le redoublement des efforts de la part de Sonelgaz afin de faire en sorte qu’il n y ait pas ou peu de coupures, a souligné  Arkab au cours d’une réunion de travail tenue au siège de la wilaya à la fin de sa visite de travail, faisant état du rajout, durant la période considérée, de 1500 MGW au volume de la production annuel estimé à 18 000 MGW.

Faisant remarquer que 20 à 25 % de la production annuelle d’électricité sert de réserve à laquelle il est recouru lorsque la nécessité s’impose, il a noté que la rationalisation de l’utilisation de l’électricité pourrait contribuer à économiser de grosses sommes d’argent.

D’aucuns ignorent que Sonelgaz investit quelque 3 milliards de dollars par an, un effort qui sera certainement davantage rentabilisé si le gaspillage de l’électricité n’avait pas atteint les proportions que tout un chacun connait  , a-t-il assuré.

Evoquant Aïn Defla, il a assuré que ses besoins en matière de gaz et d’électricité seront satisfaits d’ici à 2028, soulignant que le programme de distribution gaz de la wilaya sera achevé d’ici trois années.

Le taux de desserte en gaz passera à l’échéance indiquée à 100 %, a déclaré Arkab, faisant état dans ce cadre d’une enveloppe de 1,5 milliards de dinars dégagée entre Sonelgaz et les services de la wilaya de Aïn Defla en vue de mettre à exécution ce projet.

Il a indiqué que sa visite s’inscrit dans le cadre de l’inspection des ouvrages en cours de réalisation notamment ceux permettant d’améliorer la qualité des prestations durant la saison estivale où un pic de la consommation énergétique est généralement observé.

Se félicitant que le programme 2005-2009 ait été réalisé dans sa totalité, il a fait remarquer que le programme 2010- 2014 ait connu quelques perturbations au regard des difficultés de la mobilisation des fonds nécessaires découlant de la situation financière du pays.

Le même responsable a soutenu que l’effort de l’Etat visant la consolidation de l’accès à l’énergie ne va pas s’arrêter car, a-t-il dit, il s’agit d’un programme tracé par le président de la République, refusant de parler de gel des opérations mais plutôt de différé.

Il n y a ni gel ni annulation des opérations entreprises par le groupe Sonelgaz mais, en vérité, il y a lieu de parler de planning et de priorisation en vue de lancer les opérations qui ne peuvent pas attendre au regard de leur portée économique et sociale  , a-t-il expliqué, observant que l’extension du parc logement de la wilaya et l’implantation de nouvelles zones industrielles nécessitera, inévitablement, un accroissement en matière de la demande énergétique.

A la fin de cette rencontre, le PDG du groupe Sonelgaz a procédé à l’installation de M.Khellakhi Slimane au poste de directeur de l’antenne locale de la Société de Distribution de l’Electricité de l’Ouest (SDO) en remplacement de M.Rebboud Djelloul muté vers la wilaya de Mascara pour le même poste.

Auparavant, M. Arkab a mis en service le centre d’électrification rurale du douar Zeraraka (commune de Djellida), et le réseau de raccordement au gaz naturel au profit des groupements d’habitations Oued Slimane et Driricha (commune de Bir Ould Khélifa) ainsi que 435 familles au niveau de  la commune de Aïn Lechiakh.

A El Attaf, il a inspecté le projet de réalisation d’une agence commerciale de Sonelgaz avant de se rendre au transformateur électrique de haute tension (30/60 kv).

Au niveau du douar   Drabla   relevant de la commune d’El Amra, il a enfin procédé à la mise en service du réseau de gaz naturel au profit de 400 familles  .

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« La lutte contre le financement du terrorisme en Afrique » au centre d’une réunion à Alger

Mon, 09/04/2018 - 11:00

ALGER- Une réunion de Haut niveau sur « la lutte contre le financement du terrorisme en Afrique » s’ouvre lundi à Alger avec la participation des représentants des Etats africains, des organisations et des experts internationaux, qui se pencheront sur les questions d’ordre stratégique préoccupant collectivement les Etats, ainsi que sur les moyens et méthodes de lutte contre le terrorisme.

La rencntre, de deux jours, co-organisée par l’Algérie et l’Union africaine (UA), regroupera les délégués des pays membres de l’UA, de l’Organisation des Nations unies (ONU), de l’Union européenne (UE) et d’autres organisations internationales et régionales activant dans la lutte contre le terrorisme et son financement. 

Ces assises dont l’ouverture des travaux sera présidée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, verront également la participation des représentants des cinq pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU et du Canada.

La décision de tenir cette réunion à Alger a été prise en septembre 2014 par le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de paix et de sécurité de l’UA, et entérinée par un sommet » de l’Union africaine.

A cette occasion, les participants discuteront des défis réels dans la  lutte contre le financement du terrorisme, ainsi que de plusieurs thématiques d’actualité en Afrique comme l’assèchement des sources du radicalisme violent et le terrorisme, les connections entre les trafics de drogue, d’armes et des êtres humains avec le phénomène du terrorisme. 

En outre, d’une part, la réunion s’inscrit dans le cadre des efforts de l’Algérie pour lutter contre le terrorisme dans la région du Sahel et l’épuisement de ses ressources, et d’autre part, renforcer la coordination et la concertation entre les pays africains autour des questions sécuritaires, à l’instar de la lutte contre le terrorisme, la dé-radicalisation, le trafic d’êtres humains, de drogue et de la  contrebande.

Dans le cadre des efforts déployés par l’Algérie, plusieurs conférences et réunions ont été organisées, telle que la Conférence de haut niveau sur le terrorisme, co-roganisée avec l’UA à Oran en décembre dernier, avec la participation de plusieurs pays africains

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1 Man United : Deux joueurs proposés au PSG pour récupérer Neymar ?

Mon, 09/04/2018 - 10:40

Selon le Daily Star, José Mourinho souhaiterait à tout prix convaincre Neymar de rejoindre Manchester United

En effet, à en croire les informations du Daily Star, Manchester United aurait l’intention de proposer un deal faramineux au PSG. A savoir un échange qui inclurait Paul Pogba, Anthony Martial plus 50 millions d’euros contre Neymar comme le rapporte Football.

Si ces derniers mois l’avenir de Pogba s’est assombri à Old Trafford et que Martial ne joue pas vraiment les premiers rôles, c’est évidemment dans le sens inverse que ce sera plus compliqué à valider. On imagine mal, dans tous les cas, le PSGn céder sa star, peu importe le prix ou le fol échange proposé.

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0 Liverpool : Klopp entretient le flou sur la présence de Salah

Mon, 09/04/2018 - 10:38

Si Liverpool a obtenu une victoire de prestige face à Manchester City lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions (3-0), un point noir est venu gâcher la fête des Reds.

La sortie sur blessure de leur meilleur joueur, Mohamed Salah. Toute la semaine, les supporters des Reds ont retenu leur souffle concernant l’international égyptien (55 sélections, 33 buts), touché à l’adducteur.

Préservé pour lors du derby de la Mersey face à Everton (0-0), l’entraîneur Jürgen Klopp entretient toujours le flou concernant la présence de son joueur lors du match retour de la Ligue des Champions, face aux Skyblues. « Tout le monde pense qu’il sera rétabli, mais on va voir. Je n’ai pas de nouvelles toutes les 5 minutes sur son état de santé. Donc je ne sais pas », a-t-il déclaré dans des propos relayés par Sky Sports et Footmercato.net.

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Mohamed ben salmane: «bachar al assad restera au pouvoir»

Sat, 07/04/2018 - 14:32

La déclaration faite au magazine américain Time est l’indice de sa détermination à prendre ses distances avec les choix antérieurs de son oncle, le roi Abdallah, et de son père, le roi Salmane, qui ont tous deux été partie prenante dans l’intervention en Syrie.

Alors que la décantation de la situation en Syrie progresse de jour en jour et que le contrôle du territoire par le régime s’étend, voilà que le prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salmane, en visite aux Etats-Unis, a défrayé la chronique, en reconnaissant pour la première fois publiquement, la défaite de son pays dans le conflit syrien. La phrase était censée anodine, mais elle a fait l’effet d’une bombe.

Répondant au Time dans le cadre d’une interview sur son programme politique et les relations privilégiées avec le président Trump, Mohamed Ben Salmane a annoncé le décrochage de l’Arabie saoudite en Syrie, avec ce constat selon lequel «Bachar al Assad restera au pouvoir».

C’est un revirement majeur de la politique saoudienne à un moment-clé du bras de fer qui l’oppose à l’Iran, accusé de soutenir les rebelles Houthis. Mais ce revirement n’est ni le fruit d’une brusque tentative d’adaptation au contexte régional qui voit la Turquie et l’Iran jouer un rôle de plus en plus déterminant aux côtés de la Russie ni la conséquence d’une remise en cause de la doctrine wahhabite.

Mohamed Ben Salmane a un agenda extrêmement dense et sa tournée aux Etats-Unis, à l’invitation du président Trump, doit durer trois semaines compte tenu des nombreux rendez-vous diplomatiques et économiques que le prince héritier entend capitaliser, afin d’imposer sa marque personnelle à la politique du royaume et, par-là même, neutraliser les velléités de contestation, voire de résistance, auxquelles il pourrait être confronté. La déclaration faite au Time est l’indice de sa détermination à prendre ses distances avec les choix antérieurs de son oncle, le roi Abdallah, et de son père, le roi Salmane, qui ont tous deux été partie prenante dans l’intervention en Syrie.

Pour bien marquer son ère, il n’hésite pas à provoquer un cataclysme en évoquant des sujets de politique étrangère loin des alcôves du palais royal. Innocente, cette sortie impromptue? Certainement pas car l’objectif est d’affirmer les nouvelles préoccupations saoudiennes qui concernent, d’abord et surtout, le Yémen où Riyadh espère toujours gain de cause, ainsi que l’Irak où sa présence tend à s’étoffer, face à la pénétration iranienne dans une population majoritairement chiite.

Conscient d’être embourbé dans une guerre au Yémen, le Royaume saoudien ne cache pas sa détermination à en finir vite pour consacrer ses efforts à la rivalité qui l’oppose au rival iranien.

La stratégie de Mohamed Ben Salmane, telle qu’elle a été exposée au président Donald Trump, vise à «réhabiliter» le régime syrien, avec à sa tête le président Bachar al Assad, pour prévenir le risque de sa dépendance totale en faveur de Téhéran, et ce en prévision d’un conflit ouvert au Liban.

Mohamed Ben Salmane a laissé transparaître cette préoccupation dans l’entretien accordé au Time: «Je crois que Bachar a intérêt à ne pas laisser les Iraniens faire ce qu’ils veulent.» De là à dire que le prince héritier attend du chef de l’Etat syrien qu’il «travaille avec lui» pour limiter l’influence de l’Iran, c’est prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Et pour cause, Mohamed Ben Salmane n’est ni stupide ni crédule, loin de là. Son souci est de minimiser les conséquences de plusieurs années d’affrontements, tout en se débarrassant de groupes extrémistes aujourd’hui vaincus et dont l’allégeance aux Frères musulmans n’est pas pour plaire à la monarchie wahhabite.

A ce niveau, Riyadh craint tout autant la menace chiite que la contagion insurrectionnelle que pourrait porter la montée en puissance des groupes rebelles dans le sillage de l’armée turque, au nord de la Syrie. D’où la nécessité de renouer avec le président Bachar al Assad, quitte à un mea culpa discret. Pour l’instant, on n’en est pas encore là, mais les choix pourraient mûrir très vite. Autre donne qui inquiète le royaume saoudien et le prince héritier, le processus d’Astana dont les royaumes du Golfe sont évidemment absents et qui pourrait, à terme, consacrer l’avènement de l’Iran et de la Turquie comme les deux seules puissances régionales, chose dont Riyadh ne veut entendre parler à aucun prix. Comme la Syrie demeure un acteur incontournable dans la problématique libanaise face à Israël, par Hezbollah interposé vis-à-vis duquel elle a en outre une dette marquante, l’unique solution pour peser dans le contexte régional est bien de revoir en profondeur les rapports avec le président Bachar al Assad.

Trop d’erreurs ont été faites entre 2011 et 2015, période durant laquelle le Qatar agissait seul, avec l’assentiment saoudien, pour dynamiter le régime syrien par groupes extrémistes interposés. La prudence puis les réticences du président Barack Obama qui n’a jamais penché pour une intervention des Etats-Unis dans le conflit, a proprement douché les illusions de Riyadh qui s’est retrouvé isolé face aux appétits qataris et turcs dont les groupes d’obédience Frères musulmans profitaient à grande échelle.

Tandis que les factions modérées se retrouvaient marginalisées, celles qui agissaient au nom des pays rivaux de la région ont évolué dans l’opulence autant que dans la surenchère, laissant croire en leur capacité de faire de la Syrie un pays où la souveraineté deviendrait sunnite et l’alignement tributaire de la confrérie des FM. Des calculs qui n’empêcheront pas les trois instigateurs saoudien, qatari et turc de rassembler tous les groupes pour s’emparer d’Idlib en avril 2015¨, et même de menacer le fief du régime syrien, Lattaquié. Au bord de l’effondrement, Damas reprendra des couleurs avec l’intervention imprévisible de la Russie début octobre 2015, certes pour protéger la base navale de Tartous, mais aussi pour sauver un régime allié dont le rôle est indispensable à sa stratégie dans la région méditerranéenne.

Cette intervention a bouleversé les rapports et les projections des trois pays. La Turquie se détourne d’Alep-Est, reprise par l’armée syrienne, et oeuvre au rapprochement avec Moscou pour préparer la guerre contre les forces kurdes soutenues par les Etats-Unis. Le Qatar, englué dans une crise avec les autres pays du CCG, va normaliser à son tour ses relations avec l’Iran et la Turquie pour se protéger des foudres saoudiennes et émiraties, quitte à peser sur Faylak al Rahmane et Ahrar al Cham pour leur départ de la Ghouta. Autant de revirement, autant de reniements même, qui rendent la partie belle au régime syrien et au président Bachar al Assad, soutenus sans faille par l’Algérie aussi bien auprès de la Ligue arabe que dans les instances majeures de la communauté internationale.

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Afrique du Sud : les cas de listériose en hausse

Sat, 07/04/2018 - 14:25

La listériose qui a déjà coûté la vie à près de 200 personnes en Afrique du Sud se poursuit malgré le rappel des produits alimentaires contaminés, ont affirmé vendredi les autorités sanitaires.

A la date du 3 avril, le nombre de cas de listériose déclarés depuis le 1er janvier de l’année dernière et confirmés en laboratoire s’élevait à un total de 999. Sur ce nombre, 191 patients sont décédés, a indiqué l’Institut national des maladies transmissibles (NICD) dans son dernier point d’information sur ce foyer de maladie. Le 4 mars, le NICD a identifié la source de la contamination dans des produits préparés à base de viande fabriqués sur un site de production de Polokwane dans la province de Limpopo. Les produits de viande concernés ont ensuite été rappelés dans tout le pays.

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Le président Bouteflika en sortie officielle, ce lundi !

Sat, 07/04/2018 - 14:25

Le président Abdelaziz Bouteflika effectuera une visite officielle à Alger centre, lundi prochain la mi-juin, ou il devrait visiter notamment le métro d’Alger et la mosquée Ketchaoua.

Selon la même source, cette sortie officielle qui devrait avoir lieu lundi 09 avril conduira le chef de l’État notamment au métro d’Alger, à la place du 1er mai ainsi qu’à la mosquée Ketchaoua, inaugurée par le président turc Recep Tayyip Erdogan lors de sa dernière visite en Algérie il y a quelques semaines.

La même source indique également que le wali d’Alger Abdelkader Zoukh et le ministre des travaux publics et des transports Abdelghani Zaalane se sont rendus hier jeudi au métro d’Alger pour passer en revue les préparatifs de cette visite. De même, le ministre des affaires religieuses et des waqfs, Mohamed Aissa, se serait rendu de son côté à la mosquée Ketchaoua dans le même but, rapporte la même source. La présidence de la République n’a pas encore communiqué l’information.

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Soldats grecs détenus en Turquie: Tsipras hausse le ton

Sat, 07/04/2018 - 14:13

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a exigé samedi le retour de deux soldats grecs détenus en Turquie après leur entrée, par erreur selon Athènes, sur le territoire turc.

« La vie humaine et la liberté humaine ne sont pas et ne devraient pas servir de pions à des jeux de pouvoir et au chantage », a déclaré M. Tsipras dans une déclaration au journal Documento. La détention depuis un mois dans une prison turque de ces deux soldats grecs a tendu encore davantage les relations entre les deux voisins. Selon Athènes, les soldats sont entrés par erreur sur le territoire turc le 2 mars en patrouillant à la frontière gréco-turque à la faveur de mauvaises conditions météo.

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Boxe/Championnats arabes: six boxeurs algériens en finale

Sat, 07/04/2018 - 14:13

Six boxeurs de la sélection algérienne (seniors messieurs) se sont qualifiés en finale des championnats arabes des nations qui se déroulent à Khartoum au Soudan (4-7 avril).

Il s’agit de Mohamed Flissi (52 kg), Khalil Litim (56 kg), Reda Benbaaziz (60 kg), Chemsedine Kramou (64 kg), Azzouz Boudia (75 kg) et Houmri Mohamed (81 kg). Les finales auront lieu ce samedi.

La délégation algérienne est conduite par le vice-président de l’instance fédérale, Athmane Laazizi. Le staff technique national est composé des entraîneurs Ahmed Dine, Boubekri Abdelhafid et Slimane Belounis.

Outre l`Algérie et le Soudan (pays organisateur), huit autres pays prennent part aux championnats arabes : Qatar, Yémen, Palestine, Liban, Tunisie, Maroc, Irak et Jordanie.

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L’Algérie, un futur leader en cyber-sécurité !

Sat, 07/04/2018 - 14:06
Loin de s’ingérer dans la question du Sahara Occidental qui ne concerne que son peuple qui revendique sa terre, l’Algérie ne fait que soutenir  cette cause juste, revendiquant la décolonisation d’un territoire spolié. Toujours solidaire avec les peuples opprimés, l’Algérie ne peut  aujourd’hui, renier ses positions fortes connues pour les revendications légitimes du peuple sahraoui. Malheureusement, ce territoire demeure encore  revendiqué à la fois par le Maroc et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario depuis  1976,  dont l’objectif  principal demeure  l’indépendance totale du Sahara occidental, une  revendication soutenue et partagée par l’Algérie.  Depuis, ce conflit  a fini par devenir  pour  le royaume,  un enjeu global  bloquant encore et  toujours la construction de l’Union du Maghreb arabe (UMA). Malgré que la question  soit toujours d’actualité et que le Polisario s’appuie toujours  sur un « consensus écrasant parmi les Sahraouis vivant sur le territoire en faveur de l’indépendance et en opposition à l’intégration avec tout pays voisin », tel que décrit dans un rapport de l’ONU en 1975, le Maroc  continue de fonder sa revendication sur les accords de Madrid et sur la base de liens d’allégeance passés entre les tribus sahraouies et les sultans du Maroc. Pour le Polisario, le conflit du Sahara occidental est avant toute chose une question d’autodétermination des peuples. Il a toujours affirmé que sa seule et unique demande est l’application du droit international et en particulier le droit à l’autodétermination des peuples. En outre, l’ONU a, à plusieurs reprises, affirmé que la résolution 1514(XV) s’appliquait au Sahara occidental. Face à ses revendications si justes, l’Algérie ne peut que  soutenir ce peuple a acquérir son indépendance et vivre libre, et plaider toujours et encore pour l’application du processus du règlement définitif  de ce conflit, conformément aux décisions de l’ONU.

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Rabat: Grave dérapage de Mohammed VI

Sat, 07/04/2018 - 14:04

Mohammed VI a fait preuve d’une violence verbale inouïe à l’encontre de l’Algérie dans une lettre officielle transmise mercredi au secrétaire général des Nations-Unies. Le roi fait porter aux Algériens l’entière responsabilité de l’enlisement dans le dossier du Sahara Occidental. Accusations auxquelles une réponse magistrale, d’un tout autre type, a été apportée jeudi en fin de journée.

Tout a été fait, il faut le dire pour que le message transmis à Antonio Guterres par Nacer Bourita parvienne très vite aux oreilles de l’Algérie.

Mercredi, alors qu’il se trouvait en tournée diplomatique «urgente» pour parer aux dégâts occasionnés par le dernier rapport du SG de l’ONU, le MAE marocain informe des cercles bien précis qu’une offensive sans pareille se prépare contre son voisin. Bourita a pour mission de se rendre à New York, mais, chemin faisant, il s’arrête à Paris où il s’entretient avec le chef de la diplomatie française.

L’appui de Paris aux thèses développées sur la marocanité du Sahara n’est un secret pour personne. Une fois arrivé aux Etats-Unis, et alors même que se déroule une rencontre avec le SG des Nations-Unies, la presse marocaine révèle le message dont il est porteur. «L’Algérie a une responsabilité flagrante (dans le conflit du Sahara Occidental). C’est l’Algérie qui finance, c’est l’Algérie qui abrite, c’est l’Algérie qui arme, c’est l’Algérie qui soutient et qui apporte son soutien diplomatique au Polisario «Le Maroc, poursuit la lettre, demande et a toujours demandé que l’Algérie puisse participer au processus politique, que l’Algérie puisse assumer une responsabilité pleine dans la recherche de la solution et que l’Algérie puisse jouer un rôle à la hauteur de sa responsabilité dans la genèse et l’évolution de ce différend régional.»

Le ton est égal à la panique qui s’est emparée du palais royal à la lecture du rapport d’Antonio Guterres. Le document impute aux Marocains l’entière responsabilité des blocages du processus de paix et dément les manœuvres et allégations marocaines visant à incriminer la partie sahraouie. Il appelle à des négociations directes entre les deux parties. Toute la stratégie marocaine s’écroule.

Les efforts de lobbying, l’argent versé ou proposé par le Makhzen aux plumes, artistes, sportifs pour porter la voix de rabat, les largesses accordées aux puissances qui le soutiennent n’ont pu fléchir la détermination et la sincérité du Portugais en poste à l’ONU.
La constance de l’œuvre de la diplomatie algérienne et le soutien apporté par le pays en vue d’une solution juste s’en voient aussi confortés.

Les raisons de l’attaque de Mohammed VI
Les raisons du déchaînement marocain deviennent dès lors une évidence. Trois points essentiels sont donc à retenir. Le premier est lié à l’échéance fixée par le SG de l’ONU pour la reprise des négociations directes avec le Front Polisario.
Le second, lié par bien des points au précédent, a trait à la contestation sociale violente qui secoue son pays à l’heure où le roi est accusé de régner «virtuellement» en raison de ses absences prolongées hors du Maroc. Le troisième, enfin, concerne naturellement la position algérienne qui s’est toujours refusée aux différents processus de dialogue entre les deux parties estimant qu’il revient aux Sahraouis de gérer leurs affaires.

Or, le Maroc a été appelé à se prononcer sur la reprise des discussions directes avec la RASD avant la fin du mois en cours. Pour éviter de répondre directement par la négative et endosser ensuite officiellement la responsabilité du statu quo, le roi s’est lancé dans de nouvelles manœuvres destinées à détourner l’attention en accusant violemment l’Algérie d’être responsable de l’impasse dans laquelle se trouve le dossier. C’est ce qui fait aussi que les Sahraouis aient été accusés ces derniers jours d’avoir violé le cessez-le-feu dans la zone de Guerguerat en laissant ses combattants pénétrer le territoire. Mais après enquête, les Nations-Unies ont répondu que ces reproches étaient infondés et qu’aucune violation n’avait été constatée. Bien au contraire, les Nations-Unies ont réitéré leur appel au dialogue.

Ce qu’a également fait l’ambassadeur américain à Alger après sa visite inattendue dans les camps de réfugiés sahraouis, séjour qui semble avoir également fortement déplu au royaume. Mais en définitive, le Maroc vient de refuser la reprise du dialogue, déterminé à œuvrer pour une solution qui s’apparente à la mise des territoires sahraouis sous protectorat marocain.
Pour faire vrai, le roi est monté d’un cran dans ses attaques contre l’Algérie, de manière à se faire entendre également par son opinion qui lui reproche ses absences prolongées à l’étranger. La presse espagnole, qui s’intéresse de près aux évènements marocains, rapporte que Mohammed VI est rentré deux fois au pays ces six derniers mois pour présider des conseils. Or, il se trouve que la situation au Maroc n’est plus ce qu’elle était.

Des vagues de protestations de grande ampleur atteignent y compris les grandes villes et la population exige des changements de fond auquels le roi n’a pas de réponse. L’unité nationale est un sujet qui mobilise, celui sur lequel Mohammed VI escompte retrouver son image.

La réponse d’Alger
A Alger, les diplomates qui se sont toujours montrés réticents à alimenter des polémiques inutiles constatent bien la grave erreur que vient de commettre Mohammed VI.

La formule «il perd pied» revient sur toutes les lèvres. Face à la violence des propos, le pays décide de réagir officiellement. La réponse est sereine, magistrale, et renvoie le voisin aux vérités citées dans le dernier rapport de l’ONU. Dans un communiqué émanant du MAE, «l’Algérie prend acte avec satisfaction de la volonté du secrétaire général des Nations-Unies réitérée dans son rapport au Conseil de sécurité (…) de relancer le processus de négociation et de faciliter des négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables, entre les parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario».

La même source ne manque pas de relever «les graves violations des droits de l’Homme y compris le recours à la torture perpétrée contre des Sahraouis dans le Sahara Occidental occupé, ainsi que de la persistance des restrictions imposées aux visiteurs étrangers y compris les journalistes et les défenseurs des droits de l’Homme dans l’accès au territoire du Sahara Occidental, dont a fait état le secrétaire général des Nations-Unies dans le même rapport».
L’Algérie apporte également son soutien au SG de l’ONU pour «la surveillance de la situation des droits de l’Homme de manière indépendante, impartiale, complète et durable» au Sahara Occidental. Elle exprime enfin «sa préoccupation» au sujet du refus marocain «également mentionné dans le rapport du secrétaire général, de permettre à la Mission de l’Union africaine de retourner à Laâyoune et de reprendre sa collaboration avec la Minurso, alors même que l’Assemblée des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine avait, lors de sa 30e session ordinaire tenue les 28 et 29 janvier 2018 à Addis-Abéba, a appelé instamment le Maroc à permettre à ladite Mission de retourner à Laâyoune».

Naturellement pressés d’en savoir plus, des journalistes qui contactent le ministère des Affaires étrangères ont droit à une réponse d’une rare sérénité en pareille circonstance. Citant une source autorisée, l’agence gouvernementale rappelle aux Marocains que le dossier sahraoui est une question de décolonisation inscrite en tant que telle aux Nations-Unies et que le soutien aux Sahraouis est une position naturelle, l’Algérie ayant elle-même bénéficié du soutien de pays comme la Tunisie et le Maroc durant la guerre de Libération, «mais il aurait été impensable de demander à l’une des parties d’aller négocier à sa place avec les Français». La partie sahraouie se contente d’observer elle pour le moment. Le processus est encore long. Et tous attendent en fait le prochain rapport du Conseil de sécurité auquel reviendra le dernier mot. De sa décision dépendra toute la situation à venir car c’est à lui qu’incombe la charge d’officialiser ou non l’appel aux négociations directes. Les Marocains sont déjà à pied d’œuvre, Nacer Bourita s’est rendu en Israël dans le but apparent de les amener à faire pression sur les Etats-Unis pour obtenir gain de cause et sans doute «tenter d’entraver le rapprochement entre Alger et Washington», commentent des sources bien informées.

Abla Chérif

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Sovac : 7200 Seat écoulées au premier trimestre

Fri, 06/04/2018 - 22:30

La branche Seat du Groupe Sovac a livré 7200 unités de la Seat Ibiza issues de l’usine Sovac Production SPA de Relizane, révèle le bilan trimestriel du constructeur ibérique.

Avec ce volume, l’Algérie se maintient dans le top 5 des meilleurs marchés de Seat et ce avec un seul et unique modèle, la Seat Ibiza de cinquième génération et ce en attendant le lancement de la Léon, en juin, et de l’Arona au courant du dernier trimestre 2018.

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Semi-marathon de l’ANP: plus de 12.500 participants à la 12e édition

Fri, 06/04/2018 - 22:14

 Plus de 12.500 coureurs ont pris part à la 12e édition du Semi-marathon de l’Armée nationale populaire (ANP), courue vendredi  entre le Complexe olympique Mohamed-Boudiaf et le Centre de regroupement et de préparation des équipes sportives militaires (CRPESM) de Ben Aknoun (Alger).

Cette course qui a regroupé les athlètes des différents corps de l’ANP, de la Sureté nationale, de la Gendarmerie nationale, de la protection civile et des adhérents des clubs civils, a enregistré une participation record par rapport aux dernières éditions.

Dans la catégorie (18-35 ans), c’est Abdelaziz Guerzize (CRPESM) qui s’est adjugé la première place devant Hamza Yousfi (5e région) et Abdelhadi Lameche (CRPESM).

Dans la catégorie (36-49 ans), la course a été remportée par Ahmed Boutaleb (Gendarmerie nationale) qui a devancé Ahcene Boualayaz (Direction pénitentiaire) et Mohamed Amine Hazez (2e région).

Chez les plus de 50 ans, c’est Ali Almouchadjari (5e région) qui a été  sacré devant Mokhtar Djabour (Sûreté nationale) et Mohamed Athmani (Protection civile).

Chez les dames, c’est les coureuses de la Protection civile, Malika Benderbal, Nassima Sabor et Saadia Bouadjaib, qui se sont distinguées en s’adjugeant les trois places du podium.

Lors de son allocution, le Général Omar Griche, Directeur des sports au sein de l’ANP s’est félicité de la réussite de cette édition, estimant que « le semi-marathon national militaire constitue un rendez-vous profondément  ancré dans les traditions de l’ANP, qui à travers sa programmation permet  aux athlètes de se préparer au combat. »

« Cette compétition permet également de dénicher les meilleurs athlètes pour renforcer les équipes nationales militaires qui sont appelées à représenter les forces armées et l’Algérie lors des compétitions internationales », a-t-il ajouté.

La 12e édition du Semi-marathon de l’Armée nationale populaire (ANP) a été rehaussée par la présence de l’ancien champion olympique du 1500m, Noureddine Morceli, et le président du Comité olympique et sportif algérien, Mustafa Berraf.

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Sahara occidental: les funérailles de Ahmed Boukhari dimanche à Smara

Fri, 06/04/2018 - 22:10

Les funérailles de Ahmed Boukhari, représentant permanent du Front Polisario auprès de l’ONU, auront lieu dimanche prochain et son corps sera inhumé au cimetière de la wilaya de Smara (camps de refugiés sahraouis), a annoncé la commission national sahraouie chargé des funérailles.

La commission, a indiqué dans un communiqué rendu publique vendredi, qu’elle a tenu sa « première réunion au siège de la présidence de la République arabe sahraouie démocratique, pour évaluer les préparatifs nécessaires pour l’accueil de la dépouille du Martyr Boukhari Ahmed et recevoir les messages de condoléances exprimées par les parlements, les partis politiques, des syndicats, des personnalités internationales et le mouvement de solidarité avec la cause nationale ».

A cet égard, la commission a annoncé l' »organisation d’un hommage posthume, auquel assisteront toutes les entités nationales ».

« Par sa mort, le peuple sahraoui aura perdu l’un de ses hommes qui ont sacrifié leur vie pour servir la cause nationale », a indiqué la présidence sahraouie dans un communiqué à la suite de l’annonce de la disparition d’Ahmed Boukhari mardi soir des suites d’une longue maladie.

Connu pour ses compétences diplomatique et juridique, notamment, au niveau des Nations Unies, « le défunt a accompli sa mission avec patience et persévérance jusqu’au dernier souffle », a-t-elle souligné.

Un deuil national de sept jours a été décrété à partir de mercredi dernier en hommage à ce diplomate et militant invétéré de la cause sahraouie.

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Coupe de la Confédération (16es de finale bis/aller): l’USMA et le CRB en péril à Lagos et Abidjan

Fri, 06/04/2018 - 22:08

Les deux représentants algériens en Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), l’USM Alger et le CR Belouizdad, en déplacement respectivement à Lagos et Abidjan, tenteront de préserver leurs chances de passer pour la phase de poules, à l’occasion de la manche aller des 16es de finale bis de l’épreuve.

L’USM Alger, qui vient d’annoncer l’arrivée du technicien marocain Badou Zaki en vue de la saison prochaine, affrontera samedi Plateau United à Lagos (16h00, locales et algériennes) dans un match couperet pour les « Rouge et Noir », appelés à rester vigilants devant une équipe nigériane qui  carbure dans son championnat.

Plateau United reste en effet sur une victoire réalisée à domicile face à Yobe Stars (2-1) qui lui a permis de remonter à la 4e place au classement avec 21 points, à six longueurs du leader, Lobi Stars.

Le club phare de Soustara s’est déplacé mercredi à Lagos, via Casablanca, avec un effectif amoindri par l’absence de cinq joueurs : Benchikhoune et Hamzaoui pour des choix tactiques ainsi que Sayoud, Bouderbal et le Marocain Hajhouj, blessés.

Le match sera dirigé par le directeur de jeu sud-africain Victor Miguel de Freitas Gomez, assisté de ses deux compatriotes Johannes Sello Moshidi et Athenkosi Ndongeni. La seconde manche se déroulera le mardi 17 avril au stade Omar-Hamadi (ex-Bologhine).

Le CRB retourne à Abidjan : au souvenir du cauchemar de 2001 L’autre représentant algérien dans cette épreuve, le CR Belouizdad, effectuera un déplacement périlleux en Côte d’Ivoire pour croiser le fer dimanche (14h00 locales, 15h00 algériennes) avec l’Asec Mimosas à Abidjan, dans une mission délicate pour le Chabab.

Le club de Laâquiba garde un mauvais souvenir de son dernier duel avec la formation ivoirienne. En octobre 2011, le CRB, dirigé à l’époque par Nour Benzekri, s’était fait humilier à Abidjan sur le score sans appel de 7 à 0, en phase de poules de la Ligue des champions.

Dix-sept ans plus tard, les joueurs de l’entraîneur marocain Rachid Taoussi veulent laver l’affront subi par l’équipe en essayant de revenir avec un bon résultat, de quoi leur permettre d’aborder la seconde manche, prévue le mardi 17 avril au stade 20-Août-1955 (17h00), avec plus de sérénité.

« Ce match, on doit le jouer avec beaucoup d’envie si on veut vraiment espérer se qualifier », a insisté Taoussi, qui devra se passer des services de pas moins de quatre joueurs, et non des moindres : Belaïli (problème de service national), Khoudi (qui va convoler en justes noces), Draoui et Heriat (suspendus).

La rencontre sera dirigée par l’arbitre zambien Janny Sikazwe, assisté de son compatriote Jerson Emiliano Dos Santos et du Sud-africain Zakhele Thusi Siwela.

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