Le Monde / Politique

La Mairie de Paris a affirmé, jeudi matin, que des solutions d’hébergement avaient été trouvées pour les personnes qui se sont réfugiées dans un jardin collectif du 18e arrondissement de Paris.

Le président du MoDem accuse Nicolas Sarkozy de « porter sa rivalité avec le FN » sur le terrain même du FN.

L’association qui gère ce jardin partagé en appelle aux pouvoirs publics. Jeudi, la Mairie de Paris a annoncé que les migrants seront hébergés dans différents centres.

Les députés ont maintenu un amendement adopté début mai par le Sénat, qui assouplit la loi de 1991 encadrant la publicité pour l'alcool.

Suspendu de sa qualité d’adhérent depuis le 4 mai, le cofondateur du FN conteste en justice cette décision qu’il estime irrégulière.

Le premier ministre a esquissé jeudi matin un mea culpa après la polémique déclenchée par son aller-retour à Berlin ce week-end : « Si c'était à refaire, je ne le referais pas ».

Le démantèlement d’un camp de migrants à Paris, lundi, continue de susciter des polémiques à gauche.

Le texte, soutenu par tous les groupes de gauche à l’Assemblée, doit désormais être approuvé au Sénat.

Le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale récuse fermement la charge de Cécile Duflot sur l’accueil des migrants.

De nombreux médias avaient relevé sur les réseaux sociaux des propos xénophobes, islamophobes, antisémites ou homophobes tenus par ces candidats lors de la campagne en mars.

Un ex-responsable départemental Front national de Seine-et-Marne a été placé en détention provisoire mercredi. Cinq autres militants seront jugés avec lui à Meaux.

Le président de l’UEFA a bien vu le premier ministre lors de son voyage en Allemagne, alors que l'escapade en jet privé de M. Valls lors de la finale de la Ligue des champions fait polémique depuis samedi.

Editorial. L’escapade berlinoise de Manuel Valls va alimenter la défiance de plus en plus lourde à l’encontre des responsables politiques.

Dans un projet de circulaire que « Le Monde » a consulté, le ministère a tenté de donner des gages aux opposants. Jeudi matin, 11,9 % des professeurs suivaient le mouvement.