Ce sarkozyste historique annonce au Monde qu’il rallie l’ancien premier ministre, jugeant qu’il est le candidat ayant « le mieux travaillé son programme ».
Dans la troisième et dernière version annoncée mercredi par le premier ministre, un Français doté d’une seule nationalité pourra aussi être déchu. La loi d’application ne le protégera plus de l’apatridie.
Le « projet » évoqué par Manuel Valls, vendredi, devant les députés, consiste en deux vidéos découvertes lors d’une enquête sur un Tchétchène de 27 ans, mis en examen en décembre 2015.
Certaines sources font état d’un compromis qui aurait déjà été adressé à Myriam El Khomri. La ministre de l’emploi a jusqu’au 9 mars, date où elle doit présenter son projet de loi sur le travail, pour trancher.
Le premier ministre défend devant des députés divisés le projet de loi constitutionnelle de « protection de la Nation » et ses deux articles sur l’état d’urgence et la déchéance de nationalité.
Le criminologue fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la République dominicaine pour avoir organisé l’évasion de deux pilotes français condamnés dans une affaire de trafic de drogue.
Selon l’enquête annuelle de TNS Sofres, pour France Info, « Le Monde » et Canal+, 56 % des Français estiment que le FN représente un danger pour la démocratie. Ils étaient 54 % en 2014.
Invité de l’émission « Des Paroles et des actes », l’ex-chef de l’Etat est revenu sur la sortie de son livre et sur son éventuelle participation à la primaire de la droite pour 2017.
A droite ou à gauche, personne n’aura encore réussi à appâter avec un ministère le très populaire champion de l’environnement en France, qui vient de refuser de rejoindre le gouvernement.
En présentant seul le projet de révision constitutionnelle devant le Parlement, le premier ministre envoie un message clair, selon Nicolas Chapuis, journaliste au service politique du « Monde ».
Manuel Valls, présent le 12 janvier à l’ouverture des travaux du Conseil économique, social et environnemental, s’est montré ouvert à une saisine conjointe du CESE et de la Cour des comptes sur l’évaluation des politiques publiques.
Au lendemain de l’agression à la machette d’un professeur juif, la ministre de la justice a rappelé qu’une « république laïque reconnaît la liberté de croyance ».
Alors que le chef de l’Etat a annoncé un nouveau plan de formation pour 500 000 demandeurs d’emploi, Lui Président revient sur son bilan dans ce domaine.