Arrivé à Bamako depuis 15 jours pour des congés d'un mois, le Colonel Sadio Camara est désormais le nouvel homme fort du Mali. Âgé de 41ans, il est un pur produit de l'Ecole militaire inter armes de Koulikoro EMIA.
Le colonel Camara est sorti major de sa promotion avant de regagner le grand Nord aux côtés du Général El Hadj Gamou jusqu'en 2012.
Encadreur chevronné de la garde nationale, il est apprécié par ses frères d'armes pour sa rigueur et son sérieux.
Il faut également signaler qu'il fut directeur général du prytanée militaire de Kati avant de s'envoler en Janvier dernier pour une formation militaire en Russie.
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Au terme d'une journée folle et à rebondissements multiples, le Mali ouvre depuis hier soir, une nouvelle page de son Histoire. La mutinerie partie, comme toujours, du camp Soundiata Keïta de Kati, a finalement eu raison de l'entêtement du désormais ex-président Ibrahim Boubacar Keita. Fair-play ou plutôt contraint et forcé, celui qui incarnait jusqu'à une période récente le renouveau démocratique du Mali a annoncé sa démission, ainsi que la dissolution de l'Assemblée nationale et celle du gouvernement, assumant selon ses propres mots, « toutes les conséquences de droit ». Rebelote serait-on tenté de dire en raison de la fréquence des coups d'État militaires qui ont jalonné, en 60 ans d'indépendance, l'ancien Soudan français.
Le mardi 19 novembre 1968, des officiers de l'armée malienne mettent fin au régime socialiste du président Modibo Keita qui avait mené le pays à la souveraineté internationale. Un Comité militaire de libération nationale (CMLN) dirigé par un jeune lieutenant, Moussa Traoré, est mis sur pied et devient l'organe suprême du pays. Le nouvel homme fort promet au peuple malien l'instauration d'un régime démocratique, le multipartisme, le respect des libertés individuelles, des élections libres, etc. Promesses qui ne seront, hélas, jamais tenues.
À la tête de l'État malien, Moussa Traoré change de registre. Un seul parti politique est autorisé, le sien : l'Union démocratique du peuple malien (UDPM). Commence alors une longue période de dictature et de répression, jusqu'à sa destitution en mars 1991.
Les putschistes menés par le général Amadou Toumani Touré (ATT) mettent en place un Comité transitoire pour le salut du peuple (CTSP). L'UDPM est dissoute. La transition militaire prend fin en avril 1992 avec l'élection, au second tour de l'élection présidentielle, du président Alpha Oumar Konaré, candidat de l'Alliance pour la démocratie du Mali - Parti africain pour la solidarité et la justice (ADM). Le Mali inaugure alors une ère démocratique sous Konaré qui sera réélu pour un second mandat en 1997. Le 21 mars 2012, ATT, au pouvoir depuis juin 2002, est renversé par une mutinerie menée à partir de Kati.
Parmi les griefs des mutins : Une trop grande passivité du chef de l'État, au moment où la rébellion touarègue met le Nord du pays sens dessus-dessous. Sans grands moyens de riposte face à la puissance de feu des insurgés, la troupe, exaspérée, a fini par se révolter. Aux commandes, le chef de la junte, le capitaine Amadou Haya Sanogo. Les institutions sont dissoutes et un Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'État (CNRDR) instauré.
Il y a des similitudes évidentes entre le coup d'État du 18 août 2020 et celui qui avait mis fin au pouvoir d'Amadou Toumani Touré en mars 2012. Des mutineries destinées à faire entendre raison à l'Exécutif qui muent très vite en prise du pouvoir. Même stratégie, même méthode. Comme en 2012, un Comité national pour le salut du peuple est mis en place, et une transition politique civile, conduisant à des élections « dans un délai raisonnable », annoncée. Après l'euphorie des premiers instants d'exercice du pouvoir, que restera-t-il de cet engagement ? L'exemple de la junte gambienne qui renversa le président Dawda Kairaba Jawara est encore frais dans nos mémoires.
À la tête du Conseil provisoire de gouvernement des forces armées, le jeune lieutenant Yahya Jammeh s'était engagé à rendre le pouvoir aux civils en 1998. Ce n'est qu'en janvier 2017 qu'il quittera le pouvoir, 23 ans après son putsch ! Malgré des tentatives désespérées de contester les résultats du scrutin présidentiel qui avaient plébiscité son challenger Adama Barrow et, surtout, sous la menace d'une intervention militaire de la CEDEAO.
Auparavant, la transition militaire conduite en Guinée par le Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD) entre décembre 2008 et décembre 2010 aura connu des fortunes diverses. Dirigée d'abord par le capitaine Moussa Dadis Camara, puis par le général Sékouba Konaté, la junte militaire se retira des affaires avec l'avènement du Pr Alpha Condé.
Au moment où ce dernier lorgne sur un 3è mandat, les ingrédients d'une poussée d'adrénaline sont réunis dans un pays où la contestation populaire, comme au Mali, ne faiblit toujours pas. Le nombre de victimes des manifestations encore moins. Comme lors du coup d'État du 23 mars 2012, les condamnations affluent. La CEDEAO, puis l'Union africaine (UA), la France ou les États-Unis expriment leur courroux.… Certains exigent le retour à l'ordre constitutionnel.
La démission officielle du président IBK clôt ce chapitre. D'autres, le secrétaire général de l'ONU notamment, demande même « le rétablissement du gouvernement démocratiquement élu ». Peine perdue. Cet élan réprobateur observé auparavant lors des coups de force du général Robert Gueï en Côte d'Ivoire, de Moussa Dadis Camara en Guinée ou de Amadou Haya Sanogo au Mali, avant celui d'aujourd'hui, peut, bien entendu, rendre plus ardue la mission que s'est assignée la junte. En l'absence d'un engagement formel à ne pas s'éterniser au pouvoir, elle sera forcément isolée.
Face aux menaces sécuritaires et à l'investissement important de la communauté internationale pour sauver le Mali, l'urgence est de rétablir les équilibres en appelant tous les acteurs politiques, du pouvoir défait comme de l'opposition, à entreprendre le dialogue inclusif qu'ils refusaient jusqu'ici. En vérité, cet énième coup d'État au Mali semble être un moindre mal au regard de la crispation notée ces derniers mois et au raidissement des positions des uns et des autres. Maintenant que les militaires ont sonné, une fois de plus, la fin de la récréation, au peuple malien uni et libéré de ses peurs de se retrouver pour tracer les nouveaux sillons de son avenir.
Bonne semaine à tous !
Karim DIAKHATÉ
Directeur de Publication du magazine LE PANAFRICAIN
Coordonnateur de la Rédaction du magazine AFRIQUE DÉMOCRATIE
"l'Elan de solidarité lancé par la Communauté Burkina vivant en France sur les Réseaux Sociaux et publié sur le site lefaso.net n'était en aucun cas une demande d'aide de la famille TAPSOBA mais plutôt une chaîne de solidarité mise en place à l'initiative de la communauté Burkinabé vivant en France comme cela se fait d'habitudes.
La famille
19 août 2017-19 août 2020. Voilà 3 ans que l'ancien président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) et président de l'Assemblée nationale a été arraché à l'affection de ses proches. A l'occasion de ce triste anniversaire, le parti a livré le message ci-après.
MESSAGE DU PARTI A L'OCCASION TROISIEME ANNIVERSAIRE DU DECES DU Dr SALIFOU DIALLO, ANCIEN PRESIDENT DU MPP
Le Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP) rend hommage ce 19 août 2020 à feu Dr Salifou Diallo ci-devant président du parti et président de l'Assemblée nationale arraché à l'affection de sa famille, du MPP et des Burkinabè voici maintenant trois ans.
Ce jour 19 août 2020, le MPP commémore la disparition d'un homme d'Etat hors du commun, un guide expérimenté et une référence pour beaucoup de femmes, de jeunes et d'hommes politiques de notre pays. Sa famille politique le MPP se souvient encore de son engagement et de son implication à faire triompher la démocratie et la liberté au cours des six dernières années de bouillonnement politique au Burkina Faso.
En ce jour du souvenir, la direction politique du MPP invite tous les camarades à avoir une pensée pieuse pour ce vaillant combattant des causes justes. Que son souvenir rassemble davantage la famille orange en cette année de compétition politique où feu Dr Salifou se serait engagé corps et âme pour le triomphe du MPP et du peuple burkinabè.
Pensées éternelles à feu Dr Salifou Diallo. Le MPP n'oubliera pas.
DEMOCRATIE - EGALITE - PROGRES
Dr Ouoba Bindi
Porte-parole du parti
Dans cette lettre en date du 17 août 2020, Dr Salam Dermé, membre du bureau exécutif national du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), a annoncé au président Eddie Komboïgo, sa démission du parti.
Ceci est le message de l'Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS), à l'occasion du 3e anniversaire du décès de Dr Salifou Diallo dit Gorba, ancien président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP).
La direction générale de GTAH et l'ensemble de son personnel,
La famille Touré au Burkina Faso, Mali, Togo, Niger, Ghana, Arabie Saoudite et France
La famille Arbi au Burkina Faso et Mali,
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de
El hadj Touré Souleymane Abdoulkader,
précédemment directeur général du bureau d'études GTAH, ce jour 19 août 2020.
Le jour et le lieu de l'enterrement vous sont communiqués ultérieurement
Le Centre Parlementaire Panafricain (CPPA) et le cabinet Africa Consult & Performances (AC&P), organisent trois séminaires jumelés, de formation sur :
la rédaction administrative ;
la légistique ;
l'observation des scrutins électoraux.
Dates : 14 – 22 septembre 2020.
Lieu : Banfora, province de la Comoé, région des Cascades.
Pendant le séminaire, les samedi 19 et dimanche 20 septembre, des visites touristiques gratuites, seront organisées pour les participants, pour :
l'escalade des pics de Sindou ;
les cascades de Banfora, Tourni, et Nionfila ;
l'excursion du mont Ténakourou, le plus haut sommet du Burkina Faso.
10 BP : 13512 Ouaga 10
Tél. : 25 37 09 00
: 70 20 01 09 - 76 08 61 71
E-mail : cppa.afrique@gmail.com
kablekonon@gmail.com
akeza@fasonet.bf
‘'Initiative sur le Bouillon en Afrique de l'Ouest''
1. Fondée en 1915, Helen Keller Intl est une organisation internationale non-gouvernementale (ONG) dédiée à améliorer la vie des populations vulnérables du monde en luttant contre les causes et les conséquences de la cécité, et la malnutrition à travers le monde. Helen Keller Intl, dont le siège social est situé à New York, exécute actuellement plus de 120 programmes dans 21 pays d'Afrique et d'Asie, ainsi qu'en Amérique.
2. Helen Keller Intl met en œuvre un ensemble intégré d'interventions qui ont fait leurs preuves afin d'améliorer la nutrition de la mère et de l'enfant. Helen Keller Intl soutient les politiques et programmes relatifs à l'enrichissement des aliments, à la supplémentation en vitamine A, à l'alimentation du nourrisson et du jeune enfant, à une agriculture sensible à la nutrition, à la gestion communautaire de la malnutrition aiguë et à la prévention, et au traitement des maladies tropicales négligées. Le plaidoyer et la communication pour le changement de comportement social auprès de différents acteurs sont au cœur des programmes de Helen Keller Intl qui entreprend également à mettre en œuvre des recherches de pointe pour influencer les décisions politiques et informer sur la qualité des programmes.
3. Le bureau régional de Helen Keller Intl-AFRO a obtenu des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) afin de faciliter un dialogue éclairé et constructif sur la fabrication des bouillons, en se focalisant davantage sur la production d'évidences scientifiques pour faciliter les prises de décisions politiques en Afrique de l'Ouest. À la suite de ce travail, Helen Keller Intl apportera son soutien aux gouvernements pour l'élaboration de directives techniques visant à encadrer la pratique actuelle d'enrichissement volontaire du bouillon par les industriels.
4. Les pays initialement ciblés pour la mise en œuvre de cette initiative sur le bouillon, sont le Burkina Faso, le Nigéria et le Sénégal. Des initiatives au niveau régional (UEMOA, CEDEAO) seront également soutenues, pendant la période de mise en œuvre, soit de 2020 à 2023.
5. Dans le cadre de la mise en œuvre de cette initiative sur le bouillon, une stratégie de communication a été élaborée pour une meilleure adhésion des parties prenantes aux objectifs visés par cette initiative, au niveau national et régional. Les services d'une agence de communication et de plaidoyer sont sollicités afin de mener une série de sessions de renforcement de capacités en communication, liées à la mise en œuvre du projet.
6. Helen Keller Intl -AFRO recherche une agence de communication et de plaidoyer ayant une représentation régionale travaillant dans les pays de la sous-région (Afrique de l'Ouest) dont le Burkina Faso, le Nigéria et le Sénégal.
7. Il est attendu de l'agence de communication et de plaidoyer :
D'organiser et de conduire des sessions de renforcement de capacités sur les techniques de communication appropriées autour de l'initiative sur le bouillon en Afrique de l'Ouest, auprès du staff de Helen Keller Intl-AFRO, des Groupes Nationaux de Travail (GNT), des journalistes, des associations de consommateurs principalement.
De traduire les résultats des différentes recherches scientifiques menées dans le cadre de cette initiative, en messages de plaidoyer et de communication pour les différentes cibles.
De développer et d'adapter les messages de communication clés pour les différentes cibles (gouvernement, secteur privé, associations de consommateurs et professionnelles) destinées à adresser les questions liées à la mise en œuvre du projet.
8. Les agences de communication et de plaidoyer éligibles devront avoir une expérience avérée et justifiée dans la conduite et l'organisation de sessions de renforcement de capacités au niveau régional, pour différents acteurs surtout les entités gouvernementales, et celles évoluant dans le domaine de la santé.
9. L'agence de communication et de plaidoyer choisie devra impérativement avoir une représentation dans les pays de la sous-région (Afrique de l'ouest – dont le Sénégal, le Nigéria et/ou le Burina Faso) et devra être capable de développer des outils de formation et de dispenser des sessions de formation en français et anglais, selon l'audience.
10. Le bureau régional de Helen Keller Intl-AFRO, invite les agences de communication et plaidoyer éligibles et compétentes, à manifester leur intérêt pour la fourniture des services décrits ci-dessus.
11. Les agences de communication et de plaidoyer intéressées devront déposer :
Un document de présentation de l'agence (indiquant entre autres le nombre d'années d'existence, les pays de représentation dans la sous -région, etc.) ;
La liste des membres de l'agence et les CV détaillés des membres de l'équipe ;
Un document de présentation des activités menées par l'agence (en version Word – maximum de 15 pages), en relation aux taches ci-dessus citées. Le document de présentation des activités devra détailler de façon très objective : La zone de couverture des activités, le nombre de participants, le type de sessions de formations, le budget des activités, et tout autre élément pertinent ;
Une lettre de manifestation d'intérêt dument signée ;
Une documentation attestant de leur représentation et leur présence dans la sous-région dont les pays ci -dessus cités.
Les manifestations d'intérêt doivent être envoyées au plus tard le 30 Aout 2020 à 12h.
Les documents sont à envoyer par e-mail à : bf-procurement@hki.org en copie à Tsamba@hki.org
Les documents devront aussi être déposés physiquement en format papier à l'adresse :
Rue Ganga porte 330, Zone du bois - 06 BP 9515 Ouagadougou 06 ; tel +226 25 36 00 23/30
Seules les candidatures envoyées par email et déposées physiquement en version papier aux adresses indiquées, seront considérées comme étant complètes, et acceptées.
Les documents complémentaires seront envoyés aux candidats retenus, après sélection sur la base des réponses de l'appel à manifestations.
Deuxième édition des orientations universitaires en collaboration avec le CIOSPB et la direction provinciale en charge de l'enseignement supérieur du Nayala.
Date : samedi 22 août
Lieu : salle polyvalente de Toma
Heure : 8h00
Au programme :
➡Informations sur les filières dans l'ensemble des universités ;
➡Informations sur les œuvres universitaires du CENOU (cités, bourses, aides, prêt FONER) ;
➡Partage d'expériences avec les aînés ;
Félicitations à tous les nouveaux bacheliers.
Nota Bene :
• PORT DE CACHE-NEZ OBLIGATOIRE POUR ACCÉDER À LA SALLE
• Cette session est ouverte également aux élèves des classes de terminale
Les grandes familles : TOÉ à Niemien, Toma, Tougan, Banfora et Ouagadougou,
Les grandes familles : KY, DRABO, GARANÉ, ZERBO, BONANÉ à Ouagadougou, Tougan, Koudougou, Toma, Kouy,
Les familles alliées : TRAORE, OUEDRAOGO, DRABO à Banfora, Ouagadougou et Tougan
Les grandes familles : YORWAR à Niégo, Diébougou, Bobo Dioulasso, Ouagadougou et Abengourou(RCI),
Les grandes familles KPAGNANÉ, BIMBILÉ ET BIFUORÉ à Niégo, Ouagadougou, Banfora,
Les familles alliées BEKOUENIN, BIMBILE, LOMPO et GADIAGA
Messieurs
TOÉ Dikie Robert, Inspecteur de l'enseignement de base et famille à Tougan,
TOÉ Fabrice Diélawaléa, et enfants Toé Daniella et Toé Jonathan à Ouagadougou,
GARANÉ Issa, conseiller d'intendance universitaire et scolaire à Ouagadougou,
DRABO Idrissa, Inspecteur des impôts à Ouagadougou,
Le Colonel John Martial BONANE, colonel à Ouagadougou,
Mr Ouédraogo Alain à Ouagadougou,
Monsieur SOMÉ Maniko Victor inspecteur du travail en retraite à Ouagadougou et famille,
son épouse SOMDA dessuo Antoinette,
ses enfants SOMÉ Kudon Clémence, épouse LOMPO, professeur au lycée municipale de Pabré
SOMÉ Bengnime Rachelle élève-fonctionnaire au cycle A de l'école Nationale d'administration et de la magistrature(ENAM),
SOMÉ Winbanfo Linda, épouse GADIAGA, conseillère d'éducation à Manga,
SOMÉ Bèberti Brice Marie, épouse PODA, étudiante à l'ISSP université Pr Joseph Ki Zerbo de Ouagadougou,
Sa majesté TAMAO II Poda Dometour chef de Niégo,
Sa majesté TOLOB II chef de Ouessa,
Messieurs
SOMDA Domènon Simon Pierre fonctionnaire en retraite à Diébougou et famille,
SOMÉ Bahozaol Bertrand à COOPEC Gallor Diébougou et famille,
SOMDA André et famille à Ouagadougou,
SOMDA Ibeviel Bertin travailleur en retraite à Ouagadougou et famille,
DABIRÉ Vincent à Ouagadougou et famille,
SOMDA Marc fonctionnaire en retraite à Ouagadougou et famille,
MEDA Winsan Timothée et famille,
PODA Roger au CMA de Ouargaye et famille,
MEDA Moise et famille à Ouagadougou,
réitèrent leurs remerciements aux parents, amis, voisins, collègues, et connaissances, pour les nombreuses marques de solidarité et de soutien multiformes lors du rappel à Dieu le 25 juillet 2020 à Ouagadougou au Centre Hospitalier National Yalgado Ouédraogo et de l'inhumation le même jour au cimetière municipal de Gounghin de leur belle fille ; fille ; épouse ; mère ; sœur ; belle-sœur ; cousine et petite fille :
SOMÉ NAWIEME PRUDENCE épouse TOÉ ;
étudiante en Master2 de Géographie à l'université Pr Joseph Ki Zerbo de Ouagadougou.
La famille se réserve de citer des noms de peur d'en oublier. Que le Seigneur Tout Puissant, rende à chacun le centuple de ses bienfaits.
Par ailleurs, elles vous informent que des messes seront dites pour le repos de son âme selon le programme suivant :
Le 16 Aout à la paroisse de Niego,
Le 23 août à la paroisse de Tampouy à 5h,7h et 9h
Le 30 août à la paroisse Tampouy à 7h et 9H
Le 30 août à la paroisse de Diébougou à
à la paroisse de Kologh Naaba à 9h
Le 30 à la Paroisse de Tanghin à 9h ,à la Maison Don Orione à 8h15, à la paroisse de Dassasgho, à 9h, à la cathédrale à 9h, à la paroisse de Saint Camille à 9h,à la paroisse de bissighin à 9h
Le 20 septembre à la paroisse de Tampouy à 9h
Le 20 octobre 2020 à la paroisse de Tampouy à 9h
Le 01 novembre 2020 à la paroisse de Tampouy à 9h, à la paroisse notre Dame de la délivrance de Ouahigouya à 9h
Le 05 décembre 2020 à Nièmien
Que par la miséricorde de Dieu, l'âme de Prudence repose en Paix. Amen
La grande famille SEMDE à Palogo, Koudougou, Ouagadougou, Bobo Dioulasso,
SEMDE Jean Baptiste à Koudougou
El Hadj SEMDE N. Boukary à koudougou
SEMDE Jules à Koudougou
SEMDE Adama à Bobo Dioulasso
El Hadj SEMDE Issa à Koudougou
SEMDE S. Felix à Koudougou
El Hadj SEMDE Boureima à Nonsin Ouaga
SIEMDE Boureima à la Direction Générale des Impôts Ouaga
SEMDE Issa enseignant à Ziniaré et freres et sœurs à Ouaga
El Hadj Nabi Hamado à Koudougou
La famille YAMEOGO à Peyiri Palogo
YAMEOGO Augustin et freres
Mme SEMDE née DAMA Bibata,
Les enfants SEMDE Fadila, Issaka, Moumouni, Amal
La grande famille DAMA à Denbo, Ouagadougou,
La famille Tamboura à Ouagadougou
La famille DAO à Ouagadougou
Réitèrent leurs sincères remerciements et leur profonde gratitude à tous ceux et à toutes celles qui de près ou de loin les ont soutenus spirituellement, moralement, matériellement et financièrement lors du rappel à Dieu le 29 juillet 2020 et de l'inhumation le 30 juillet 2020 à Ouagadougou de leur fils, frères, père, époux, neveu, beau-frère, SEMDE Moustapha précédemment 2ème adjoint au maire de la commune de Ouagadougou, Président du Conseil d'Administration de l'Agence du Développement Economique Urbain, et chargé de mission auprès du Président de l'Assemblée Nationale.
Ces remerciements s'adressent particulièrement
Au Président du Faso
Au président de l'Assemblée Nationale
Au Ministre de la Défense et des anciens combattants
Au Ministre de l'Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Cohésion Sociale
Au Maire de la Commune de Ouagadougou et au conseil municipal
A Monsieur Simon COMPAORE Président du Mouvement du Peuple pour le Progrès et sa délégation
Au Directeur Général et au personnel de l'Agence du Développement Economique Urbain (ADEU)
A la fédération Burkinabé de Football
Aux agents de la commune de Ouagadougou
Au personnel de L'ENAM
Aux autorités religieuses et aux voisins des quartiers Nonsin et Signoghin
Les jeunes des quartiers Nemnin, Sankariaré, Ouidi et Kolog-Naba.
A tous ses camarades politiques
Aux commerçants des marchés et yaars
Aux généreux bienfaiteurs et donateurs
Aux parents amis et connaissances
Elle s'excuse au prêt de tous ceux dont les noms n'ont pu être cités.
Que le tout puissant rende à chacun ses bienfaits au centuple.
Union de prières
Dans une courte vidéo diffusée sur la télévision nationale, ce mercredi 19 août 2020 à 00 heure, le président du Mali, Ibrahim Boubakar Keïta, a annoncé sa démission.
Vêtu d'un boubou blanc avec son cache-nez, IBK dit avoir pris cette décision pour préserver la paix au Mali. « car je ne souhaite qu'aucun sang ne puisse verser à cause de son maintien aux affaires », a-t-il déclaré.
Le président malien a annoncé également la dissolution de l'assemblée nationale.
Élu président de la république en 2013 puis en 2018, le locataire du palais de Koulouba, IBK, vient de mettre d'écourter son second mandat. Et ce, suite à une journée du mardi 18 août 2020 très mouvementée à Bamako, la capitale.
Après plusieurs manifestations exigeant sa démission et celle de son gouvernement, finalement, c'est une partie de l'armée qui a eu raison de lui.
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Ce sont huit candidats à la présidentielle (de partis politiques et indépendants) et 22 partis politiques qui décident ainsi de mutualiser les forces pour, disent-ils, sauver le Burkina. La signature de l'accord, qualifié d' "historique" par les parties, est intervenue ce mardi, 18 août 2020 à Ouagadougou dans une grande mobilisation des partisans vêtus, chacun, à l'effigie de son candidat et/ou de son parti.
Cette entente se veut une convergence de vues et de valeurs. Par cet acte, les parties décident donc de soutenir celui des leurs qui arriverait au second tour(à la présidentielle). Au cas où deux candidats signataires se retrouvent au second tour, chaque partie est libre de soutenir celui de son choix.
Dans cet esprit également, si un candidat issu de cet accord est élu à la présidence, il s'oblige à gérer le pouvoir d'État avec les autres forces ayant concouru à son élection. L'accord comporte également des instances et organes pour veiller à la mise en œuvre effective des termes de l'accord. Précisons que deux candidats (des huit) n'ont pas pu poser leur signature, car absents du pays tandis que la liste de départ s'est allongée avec l'arrivée à la dernière minute d'un autre candidat.
Les responsables de l'Office national de l'eau et de l'assainissement (ONEA) étaient, mardi 18 août 2020, face aux délégataires de service d'eau, ces opérateurs privés chargés d'assurer l'exploitation technique et commerciale des installations d'alimentation en eau en zone périphérique. Sans langue de bois, les deux parties ont échangé sur le respect des obligations contractuelles dans la distribution de l'eau potable dans les zones non-loties.
C'est connu, l'Office national de l'eau et de l'assainissement (ONEA) n'intervient pas directement dans les secteurs non-structurés, couramment appelés zones non-loties. La société recrute des opérateurs privés, les délégataires. Ces derniers achètent l'eau avec l'ONEA qu'ils revendent aux résidents de ces zones. Un contrat lie donc les deux parties. Et pour une meilleure prise en charge des préoccupations des usagers, la nationale de l'eau a rencontré les délégataires pour échanger sur leurs difficultés mais aussi mettre les points sur les i.
Difficultés des délégataires
Extension du réseau, manque de matériel de branchement, assainissement, faible pression de l'eau. Ce sont entre autres les difficultés soulevées par les délégataires au nombre de sept à cette rencontre dirigée par le secrétaire général de l'ONEA, Lassina Sanou, assisté de Moussa Siemdé, le directeur clientèle. Tout en prenant note des préoccupations posées, le secrétaire général a indiqué que l'ONEA ne fabrique pas de matériel de branchement et fait recours à des fournisseurs qui, souvent, accusent des retards dans la livraison du matériel.
« Vos clients sont nos clients »
Pour pallier ce problème, l'Office, foi de Lassina Sanou, a changé de stratégie de commande en diversifiant le nombre de fournisseurs et en diminuant les quantités à livrer par chaque fournisseur. Cette approche a été éprouvée par le Covid-19 qui a freiné les activités des fournisseurs de façon globale, même si certains ont réussi à livrer leurs commandes. « Si tout va bien, dans les semaines à venir, la situation va se normaliser. Nous n'avons pas intérêt à ne pas vous donner le matériel. On ne s'oppose pas du tout à remettre du matériel à un délégataire tant qu'il y a ce matériel dans nos magasins. Vos clients sont nos clients d'une manière ou d'une autre », rassure le SG de l'ONEA.
20 000 branchements en zone non-lotie
Pour ce qui est de l'extension du réseau, le directeur clientèle a noté qu'il s'agit d'un processus et que l'ONEA dispose d'un planning pour l'alimentation en eau des zones non-loties. « On est parti de 2009 avec zéro abonné dans les zones non-loties. Aujourd'hui, nous sommes à 20 000 branchements. En dehors de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso, il n'y a pas une ville au Burkina qui a autant d'abonnés que les zones non-loties de la ville de Ouagadougou. Ce n'est pas suffisant et cela demande beaucoup de ressources que nous mobilisons progressivement », a déclaré Moussa Siemdé.
Des sanctions prévues en cas de faute
Cette rencontre a été également l'occasion pour le secrétaire général de rappeler que les délégataires doivent 200 millions de francs CFA à l'ONEA. Il a profité de l'occasion pour mettre en garde les délégataires qui ne respectent pas les clauses du contrat. A l'en croire, il revient régulièrement aux équipes de l'ONEA que certains délégataires ne respectent pas les tarifs dans les zones non-loties. Pourtant le contrat est clair : le coût de vente du m3 d'eau dans les zones de délégation, selon les tranches, est le même dans les zones structurées.
Il revient également que le coût des branchements faits par ces délégataires est par moments plus élevé que le coût appliqué par l'ONEA, c'est-à-dire 30 500 F CFA. « C'est vraiment que nous n'avons pas d'éléments tangibles pour attester ces propos mais mieux vaut en parler avant que ça ne prenne de l'ampleur », a indiqué Moussa Siemdé, directeur clientèle de l'ONEA, pour qui c'est « inhumain » de soutirer de l'argent aux pauvres usagers. A ces derniers, il leur a demandé de toujours exiger une quittance pour les services payants effectués par l'Office. Qu'à cela ne tienne, l'ONEA annonce que des investigations seront menées et les contrevenants verront leur contrat résilié.
Satisfaction totale pour Irène Nikièma, responsable de la société ACD/SOCOGES SARL, au sortir de cette rencontre. Selon elle, les problèmes soulevés par les délégataires ont été notés par les responsables de l'ONEA, et elle a foi de voir des changements s'opérer au niveau de sa zone de délégation dans les jours à venir. Tout comme elle, les autres participants se sont engagés, conformément aux clauses du contrat, à transmettre chaque mois leurs rapports.
Herman Frédéric Bassolé
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Le 8 mars 2020, à 8 heures temps universel, quand Issouf Ouédraogo, 12 ans et Abdul Gani Sawadogo, 8 ans ; écoliers au CEI, partaient à l'école, ils ne s'attendaient pas au pire. Malheureusement pour eux, deux heures plus tard, leurs vies basculent. Victimes d'explosion d'une grenade, ils seront borgnes à jamais. Ceci, sans compter les blessures dues à l'impact de l'explosion sur leurs corps.
Huit (8) mois après l'explosion dans une salle de classe à Pazaani, au secteur 38 de l'arrondissement 9 de Ouagadougou, les deux écoliers vivent dans l'incertitude, y compris leurs familles : « pourquoi nous ? » s'interrogent-ils.
Entre la lutte pour la résilience pour surmonter l'infirmité, s'ajoutent la précarité de la famille, l'absence des verres correcteurs et la réinvention d'une nouvelle vie. Leurs cris du cœur « trouver une école adaptée à la situation d'infirmité, bénéficier d'un soutien financier pour sortir du traumatisme ». VIDEO
Réalisation : Edouard Samboué
Montage : Adjaratou Tall (stagiaire)
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