Szijjártó Péter külgazdasági és külügyminiszter szerint Werner Faymann osztrák kancellár nem látja a különbséget a szolidaritás és az ostobaság között. A cikk folytatása …
A bustyaházai Alina Pas a harmadik helyen zárta a versenyt az ukrajnai X-Faktor színpadán, így sajnos nem jutott be a műsor fináléjába. A tehetséges fiatal mentora Nino Katamadze grúz énekesnő volt.
A nézők szavazatai alapján december 26-án Bohdan Szovik és Kosztya Bocsarov vehet majd részt a végső megmérettetésen.
Alina Jessie J Flashlight című dalával búcsúzott a közönségtől.
Kárpátalja.ma
Szijjártó Péter külgazdasági és külügyminiszter szerint Werner Faymann osztrák kancellár nem látja a különbséget a szolidaritás és az ostobaság között. A tárcavezető ezt annak kapcsán közölte az MTI-vel, hogy Werner Fayman az ORF politikai vitaműsorának, illetve az Österreich című ingyenes napilapnak adott interjút a migrációval kapcsolatban.
Srpska vlada je prihvatila amandmane Saveza vojvođanskih Mađara za nacrt novog zakona o izvršenju u javnom beležništvu, tako da je skupština Srbije ove amandmane izglasala kao delove navedenih nacrta zakona. Sva tri amandmana se odnose na proporcionalno zapošljavanje.
December 20, 2015 (KHARTOUM) - The director of Sudan's National Intelligence and Security Services (NISS) Mohamed Atta has held the newspapers responsible for the exceptional measures taken against the press by his agency.
In an interview with Al-Sudani newspaper Sunday, Atta said that the measures taken against newspapers are not “arbitrary” but based upon the law, noting they are forced to take those measures.
He accused the Sudanese press of using sensationalism and exaggeration to attract readers, citing newspapers reports on child abuse incidents in school buses.
Last May, the NISS seized copies of 10 newspapers and suspended four of them indefinitely. The move was a reaction to reports published by those newspapers on incidents of sexual harassment and child rape taking place inside school buses.
“Sometimes we are forced to take an action against a major violation [by the newspapers] but strangely, when we suspended ten newspapers for one day for reporting the child abuse incidents, the issue was not directed against the NISS or its personnel but rather the whole [Sudanese] society,” he said.
“That is a sort of mistakes that newspapers commit on daily bases, we wish to reach a point where we aren't forced to take any action [against the newspapers]”, he added.
The spy chief defended his agency's move to suspend the ten newspapers, describing the child abuse story as “untrue, exaggerated and unfounded lie”.
He acknowledged that seizure and suspension of the newspapers could distort the image of the freedoms in Sudan, accusing the journalists of being responsible for that distortion.
It is noteworthy that NISS seized copies of al-Tayyar newspapers in the early hours of last Monday from the printing house without giving reasons. On Tuesday, the newspaper was suspended indefinitely.
Sudan's constitution guarantees freedom of expression but laws subordinate to the constitution such as the National Security Forces Act of 2010 contains articles that can be potentially used to curtail press freedom and instigate legal proceedings against newspapers and individual journalists.
Sudanese journalists work under tight daily censorship controls exercised by the NISS.
Journalists say that NISS uses seizures of print copies of newspapers, not only to censor the media but also to weaken them economically.
(ST)
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu dimanche à Alger le diplomate algérien et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi.
Dans une déclaration à la presse à l’issue de l’audience, M. Brahimi a indiqué avoir eu un entretien « privé » avec le chef de l’Etat et abordé des questions « locales, régionales et internationales ».
Tout en précisant qu’il n’occupait actuellement aucun poste et qu’il n’avait aucune position sur « ce qui se passe en Algérie et à l’étranger », M. Brahimi a indiqué qu’il se trouvait en Algérie dans le cadre du 3ème séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique qui se tient à Oran.
Le dernier poste occupé par M. Brahimi était celui d’envoyé des Nations unies et de la Ligue arabe pour la Syrie, duquel il avait démissionné le 31 mai 2014.
Mađarska vlada je pre mesec dana najavila da pokreće program razvoja privrede u Vojvodini vredan pedeset milijardi forinti. Veći deo ovog projekta čini program kredita sa oko 30 milijardi forinti, a ostalih 20 milijardi čini nepovratna državna pomoć. Ovaj program ostvaruje mađarska vlada zajedno sa Savezom vojvođanskih Mađara. Detalje strategije A cikk folytatása …
Tovább….: http://www.magyarszo.com/hu/2925/Vesti_na_srpkom/137883/Ostati-na-nogama.htm
Les deux conventions portant sur la coopération judiciaire et l’extradition entre la France et l’Algérie seront actualisées, a indiqué dimanche à Alger le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh.
« La coopération dans les domaines judiciaire et institutionnel est appelée à se développer davantage entre la France et l’Algérie car il y a une volonté politique forte dans ce domaine. Cette coopération aboutira l’actualisation d’anciennes conventions judiciaires liant les deux pays », a indiqué M. Louh à la presse au terme de ses entretiens avec son homologue française, Christiane Taubira, en visite de travail en Algérie.
Il a précisé qu’un groupe d’experts des deux pays travaille dans ce sens pour parvenir à l’actualisation de ces deux conventions et faire ainsi face aux « défis » auxquels sont confrontés les deux pays.
En outre, M. Louh a indiqué avoir évoqué avec son homologue française d’autres sujets relatifs à la coopération judiciaire qui connaissent des « avancées » dans la mesure où, a-t-il dit, des résultats « satisfaisants » ont été enregistrés notamment dans le domaine de la formation et l’échange d’expériences ente les deux ministères
Cette coopération va dans le sens de faire de la justice « une autorité forte et garante des libertés et des droits », a ajouté le ministre.
Par ailleurs, M. Louh a relevé que les deux pays, à l’instar de la communauté internationale, font face à des défis, à leur tête la lutte antiterroriste et l’extrémisme, soulignant à ce propos « l’importance de la coopération judiciaire ».
Il a également rappelé que la visite de Mme Taubira entre dans le cadre du renforcement des relations « fortes » qui unissent les deux pays.
De son côté, Mme Taubira a mis l’accent sur la coopération judiciaire que « l’Algérie et la France développent, entretiennent et intensifient ».
« Nous regardons vers l’avenir et nous sommes soucieux d’actualiser les conventions qui lient nos deux pays, lesquelles méritent aujourd’hui d’être retravaillées », a-t-elle dit, ajoutant à ce propos que « l’Algérie et la France n’ont pas de points de désaccord ».
« Deux points semblaient faire obstacle et étaient liés à des malentendus entre nos administrations » en ce qui concerne les conventions qui vont être actualisées, a expliqué Mme Taubira.
« Il n’y aura pas de difficultés pour actualiser ces conventions qui concernent la coopération judiciaire et l’extradition entre nos deux pays car notre perception est convergente », a encore assuré Mme Taubira.
En ce qui concerne la « justice civile », elle a relevé que les deux pays sont « très sensibles à une bonne coopération dans ce domaine, notamment la justice familiale », car il s’agit, a-t-elle dit, de « questions douloureuses et difficiles ».
« Nous accordons une très grande attention à la résolution de ces sujets », a affirmé le ministre.
« Pour le reste, nous avons une coopération juridique et technique de très grande qualité et une coopération institutionnelle avec des jumelages entre nos institutions », a ajouté Mme Taubira, soulignant en outre qu’ »il y a des efforts en matière de formation ».
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a affirmé, dimanche à Oran, que l’Algérie ne ménagera aucun effort pour appuyer les efforts du Secrétaire général de l’ONU en vue du règlement du conflit au Sahara occidental.
« Nous formons le v£u que la visite prochaine dans la région du Secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon soit l’occasion pour ramener les deux parties à la table des négociations en vue de la relance du processus de paix », a souligné M. Lamamra lors de l’ouverture du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique.
Le ministre d’Etat a assuré que « l’Algérie, en ce qui la concerne, ne ménagera aucun effort pour appuyer les efforts du SG de l’ONU et de son envoyé personnel, pour l’avènement d’un règlement définitif de ce conflit à travers la tenue du referendum d’autodétermination ».
« Au Sahara occidental, le processus de règlement mené par les Nations unies depuis 1990 est dans l’impasse », a-t-il fait observer, tout en estimant que « les propositions de règlement communiquées en 2007 par les deux parties, le Maroc et le Front Polisario, n’ont pas permis la relance des négociations et aucun progrès n’a pu être enregistré depuis lors ».
Tout en relevant les difficultés rencontrées par l’envoyé personnel du SG de l’ONU, l’Ambassadeur Christopher Ross et Mme Kim Bolduk, sa représentante spéciale et chef de la Minurso, M. Lamamra a déploré l’attitude affichée par le Maroc.
« Au lieu de s’engager dans la recherche et la mise en £uvre d’un règlement de ce différend, comme l’y appellent les résolutions pertinentes de l’Union africaine et des Nations unies, le Maroc a malheureusement multiplié, tout au long de ces 40 années d’occupation, les man£uvres dilatoires », a-t-il déclaré, tout en appelant les Nations unies, et singulièrement le Conseil de sécurité, à « assumer leurs responsabilités pour hâter l’avènement d’une solution conforme à la légalité internationale et mettre ainsi fin au calvaire qu’endure le peuple sahraoui sous l’occupation, dans son propre territoire, et dans les épreuves de l’exil ».
D’autre part, au sujet de la situation au Mali, le Chef de la diplomatie algérienne a souligné la nécessité de demeurer vigilants et mobilisés afin de préserver le processus de paix et de réconciliation nationale engagé dans ce pays.
« La dernière tentative désespérée des groupes terroristes visant à saper la sécurité et la stabilité du Mali, à travers la tentative de prise d’otages de l’hôtel Radisson Blue, est venue nous rappeler la nécessité de demeurer vigilants et mobilisés afin de préserver le processus de paix et de réconciliation nationale engagé dans ce pays », a-t-il soutenu.
Dans ce registre, en sa qualité de Président du Groupe international de suivi de la mise en £uvre de l’Accord d’Alger, le ministre d’Etat a assuré que « les autorités, les partis politiques et le peuple maliens demeurent engagés pour la réussite et l’aboutissement du processus politique engagé dans leur pays ».
Evoquant la situation prévalant en Libye, M. Lamamra a estimé que « la montée en puissance de la nébuleuse terroriste Daesh dans ce pays, et à nos frontières, représente une menace d’envergure, non seulement pour la paix et la sécurité de la Libye, de ses pays voisins et de l’Afrique, mais aussi pour le monde entier ».
A ce titre, le ministre d’ Etat a indiqué que les efforts visant à trouver une solution politique à la crise libyenne « ne doivent pas nous empêcher d’attirer l’attention sur les effets contre-productifs et les risques avérés que pourraient constituer le choix ou l’option militaire étrangères dans ce pays ».
December 20, 2015 (ADDIS ABABA) – The long-awaited arrival to the South Sudanese capital, Juba, of the advance team of the armed opposition faction of the Sudan People's Liberation Movement (SPLM-IO) under the leadership of former vice-president, Riek Machar, will happen on Monday, officials have confirmed.
The first group of the advance team will leave Pagak to Juba through the airport in Gambella town, the regional capital of the western Gambella region of the neighbouring Ethiopia, from where they will be airlifted.
“The first group of the advance team of SPLM/SPLA (IO) comprising 150 cadres will arrive in Juba on Monday, December 21,” confirmed James Gatdet Dak, official spokesman of the opposition leader, Riek Machar, in a statement to the media on Sunday.
“They will be led by the Chief Negotiator, General Taban Deng Gai,” he said.
He said a remaining number of 459 to make a total of 609 will follow on different dates before the end of the year.
Dak said the first group that will arrive in Juba on Monday will mainly compose of members who will be participating in meetings of various institutions established under the peace agreement, including their support staff.
He also said a number of senior military generals from the military council of the opposition army will also be among the first group that will arrive on Monday.
In Juba, Akol Paul Kordit, who is the spokesman of the national committee set up by the government to receive and accommodate the advance team also confirmed that the team will arrive on Monday.
The government's national committee for the reception of the advance team is chaired by the minister of finance and economic planning, David Deng Athorbei.
The arrival of the team had been cancelled many times in the past due to disagreements between the government and the opposition faction.
While the SPLM-IO wanted the over 600 to return to Juba and other states in order to mobilize the populations in support to the full implementation of the peace deal, the government wanted less than 50 of them, saying the “huge number” constituted a security risk, resulting to the delays.
However, with this week's intervention of the chairman of the Joint Monitoring and Evaluation Commission (JMEC), Festus Mogae, former president of Botswana, who is tasked with the responsibility to oversee the implementation of the peace agreement, the government finally accepted to receive the number.
Upon arrival at Juba airport at around 1:30pm, the team will hold a press conference at the airport in Juba, then move to the mausoleum of late Dr. John Garang to pay respect, and then visit the SPLM House before finally going to their hotels where they will be accommodated.
The parties are now expected to jump-start the implementation of the first phases of the peace agreement including deployment of joint integrated forces in Juba, constitutional amendment, selections of ministerial portfolios and designated ministers and additional members to the national parliament as well as formation of a transitional government of national unity by 22 January 2016.
(ST)
Notre confrère Clément Dognon du journal « Le Matinal » nous a tragiquement quittés le 09 décembre dernier. Depuis samedi dernier, il repose en paix.
Il s'appelait Clément Dognon et exerçait à Parakou avec excellence pour le journal Le « Matinal », Bureau régional Borgou-Alibori. Le mercredi dernier, alors que le Bénin et le monde entier s'apprêtaient à commencer les obsèques du regretté président Mathieu Kérékou, des individus sans foi ni loi l'ont lâchement fait perdre la vie. Mettant ainsi la presse (...)
DAKHLA (Camps de réfugiés sahraouis) – Le représentant du Front Polisario à l’ONU, M’hamed Khadad, a estimé dimanche à Dakhla que la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) n’avait réalisé aucun progrès en matière des droits de l’Homme au Sahara Occidental occupé.
Dans une déclaration à l’APS en marge des travaux du 14e Congrès du Front Polisario, M. Khadad a imputé cette situation au « soutien français au Maroc au niveau du Conseil de sécurité », ce qui entrave, a-t-il dit « le règlement de cette question ».
L’agenda français depuis 1975 « favorise la tension et la division au Maghreb arabe et entrave les efforts en faveur d’une solution démocratique et juste au conflit au Sahara Occidental qui relève de la décolonisation et l’édification maghrébine », a soutenu le responsable sahraoui.
M. Khadad a, par ailleurs, relevé des « percées » pour les Sahraouis, citant « la décision d’annulation par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), le 10 décembre 2015, de l’accord agricole entre l’UE et le Maroc, dans laquelle elle reconnaît que le Front Polisario est le représentant légitime du peuple sahraoui et que le Maroc n’a aucune souveraineté sur les territoires sahraouis occupés ».
Selon lui, ces développements positifs montrent que « la politique européenne au cours des quarante dernières années était erronée et qu’il convient de la revoir car on ne fonde pas de politique sur l’injustice et le mépris des lois et de la légalité internationale ».
M. Khadad s’est également félicité de l’adoption par le Parlement européen, le 17 décembre 2015, de son rapport sur les droits de l’homme, dans lequel il a notamment demandé l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental et appelé au respect des droits fondamentaux des Sahraouis, notamment leur liberté d’association et d’expression, souhaitant que les Nations unies « prennent cela en considération ».
S’agissant de la visite du Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, prévue dans la région en janvier 2016, le responsable sahraoui a estimé qu’elle s’inscrivait dans le cadre de ces développements positifs.
Pour M. Khadad, « la responsabilité de l’impasse incombe au Maroc et à la France », rappelant qu' »excepté le soutien apporté par la Jordanie, la France était isolée lors des débats au Conseil de sécurité le 8 décembre dernier ».
Pas moins de treize (13) Etats dont quatre (4) membres permanents du Conseil de sécurité avaient appelé à la reprise des négociations directes, à l’instar du secrétaire général de l’ONU qui avait affirmé dans sa déclaration du 4 novembre que l’option marocaine d’autonomie entravait le règlement de cette question, a souligné M. Khadad.
Soulignant que le Conseil de sécurité avait apporté son soutien à l’envoyé personnel du SG de l’ONU dans la région, Christopher Ross, et aux efforts de Ban Ki-moon, le responsable sahraoui a souhaité que la visite de ce dernier dans la région facilite le règlement du conflit au Sahara occidental et permette d’aller vers la décolonisation de cette dernière colonie en Afrique.
Une feuille de route visant notamment le « renforcement » et l’ »accompagnement » du mouvement associatif à l’horizon 2017, a été présentée dimanche à Alger, pour débat et adoption, par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine, en présence de représentants de la société civile.
Activant dans les différents aspects de la vie quotidienne du citoyen, les participants à la rencontre nationale sur « le mouvement associatif à caractère social et humanitaire », devaient débattre pour enrichissement puis adoption, de la feuille de route initiée par la tutelle et contenant une série de mesures.
Entre autres actions contenues dans le document, figure en priorité, le « renforcement » des capacités du mouvement associatif, à travers la formation continue au profit des cadres le représentant. Cet aspect étant considéré comme un processus menant vers le « renouvellement » et l’esprit d' »initiative » .
La stratégie de la tutelle à l’horizon 2017 stipule, en outre, « l’accompagnement » et le « soutien » de la société civile locale, considérée comme étant le « socle de l’activisme associatif et de la participation sociale ».
Elle préconise également l’investissement par les associations dans « l’élément humain » ainsi que l’adhésion de ces dernières dans des réseaux spécialisés « équivalents » afin d’éviter le « doublage » des prérogatives ainsi que pour la création d’un « espace d’échanges ».
Les concepteurs de la feuille de route insistent, par ailleurs, sur l’importance de « l’implication » de la jeunesse dans les actions de bénévolat, tout autant que sur la « mobilisation » citoyenne autour de projets de développement d’intérêt public.
Le rôle des médias et de la communication dans l’accomplissement du travail associatif n’est pas en reste dans le document tracé par la tutelle, qui préconise, par ailleurs, une « consolidation » de la place de la femme dans l’activisme humanitaire et l’acte de solidarité.
Le ministère de la Solidarité nationale prévoit, enfin, de « valoriser » le concept de « solidarité » comme étant un héritage culturel puisé des valeurs de la société algérienne et renforçant les assises de celle-ci.
Mme Meslem insiste sur la rationalisation des budgets destinés aux associations
La crise économique engendrée par la chute des cours du pétrole impose une rationalisation des budgets destinés au mouvement associatif, a indiqué dimanche à Alger la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, appelant à investir dans la ressource humaine.
« Nous devons adopter une feuille de route rationnelle s’agissant de l’utilisation des enveloppes financières glanées par l’Etat en faveur du mouvement associatif porteur de projets viables et profitant au citoyen, tout en préservant l’environnement de celui-ci », a souligné la ministre à l’ouverture de la rencontre nationale avec le mouvement associatif à caractère social et humanitaire.
Rappelant l’existence d’une crise financière mondiale induite par les fluctuations du marché pétrolier, Mme Meslem a qualifié l’économie dans les dépenses d' »attitude honnête » à l’égard de la nation et pouvant donner lieu à des expériences « réussies à moindre coût », lesquelles doivent être « généralisées ».
Elle a estimé, à ce propos, que la préservation des deniers publics devrait être un élément essentiel de la « future feuille de route » du secteur, assurant que l’Algérie a la capacité de faire face à la conjoncture économique actuelle.
Cette feuille de route intègre le critère de l’égalité des chances qui doit être appliqué à l’échelle nationale pour ne plus être un concept « creux », a précisé la ministre, notant que l’investissement sur le citoyen constitue la « véritable ressource ».
Mme Meslem a, en outre, salué le rôle des associations qui ont contribué, a-t-elle dit, à « l’édification de l’Etat et à la préservation de la République », les qualifiant de « partenaires sociaux d’excellence et privilégiés » des pouvoirs publics.
« Les associations sont en contact direct avec la société civile et constituent le trait d’union avec les autorités », a observé Mme Meslem, relevant la « pertinence » des propositions et des initiatives émanant de ces associations, s’agissant de la mise en oeuvre des programmes de développement locaux et nationaux.
La ministre a passé en revue l’évolution du cadre juridique régissant le mouvement associatif depuis 1990, se félicitant de la « maturité » contenue dans le texte réglementaire de 2012 ayant contribué à « renforcer la place de la famille et consacré le statut central de la femme ».
Mme Meslem a, par ailleurs, insisté sur la nécessité d’une approche « participative », à même de permettre l’élaboration de projets d’utilité publique, réaffirmant la « conviction » du gouvernement quant à l’apport des associations à caractère social et humanitaire dans la réussite des programmes de développement.
En plus de participer au développement du pays, le mouvement associatif est convié à oeuvrer à la préservation de la cohésion sociale et à la stabilité nationale, a conclu la ministre, considérant que « le destin de la nation est intimement lié à celui de ses citoyens ».
Une cérémonie de reconnaissance et de remerciements aux efforts déployés par l’Armé Nationale Populaire (ANP), pour le rétablissement de la quiétude, de la sécurité et de l’ordre public à Ghardaïa, a été organisée dimanche au siège de la wilaya.
Initiée par les membres de la société civile, des notables et autres acteurs sociaux, cette cérémonie s’est déroulée en présence du commandant de la 4ème région militaire, le Général Major, Chérif Abderrezak, du wali de Ghardaïa, Azzedine Mechri, et des autorités civiles et militaires ainsi que les élus locaux.
S’exprimant à l’issue de cette cérémonie, le commandant de la 4ème région militaire, a rappelé que l’ANP demeure la garante de la sécurité de l’Algérie et la préservatrice de l’Unité nationale dans l’intérêt suprême de la patrie.
L’ANP n’a fait que son devoir pour préserver l’unité nationale et le rétablissement de l’ordre public, a-t-il souligné, précisant que « l’ANP est issue du peuple, elle est à son service et au service de la patrie ».
Le chef de la 4ème région a exhorté à cette occasion les habitants de Ghardaïa à fédérer leurs efforts pour effacer les stigmates des malheureux événements et tourner définitivement la page pour permettre à la région de retrouver son développement, sa solidarité et sa cohésion sociale.
De leur côté les notables et les représentants des différents acteurs de la société civile ont exprimé leur reconnaissance et gratitude envers les forces de sécurité (ANP, Gendarmerie, Police) et la protection civile pour leur dévouement et leur professionnalisme dans la gestion des événements malheureux qu’a connue la région de Ghardaïa.
Les représentants des rites « Malikite » et « Ibadite » de Ghardaïa respectivement Brahim Brik et Doudou Bahman ont souligné leur reconnaissance pour l’intérêt accordé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika à la région, en lui souhaitant un bon rétablissement, ainsi que par les services de sécurité chargés de rétablir la paix, la sécurité dans la région.
Les représentants des deux communautés ont mis en exergue le rôle de l’ANP et des forces de sécurité dans la restauration de la sécurité, la paix et la cohésion sociale palpable dans la région de Ghardaïa et ont appelé les habitants de Ghardaïa à bannir la violence, la haine et à cohabiter dans le respect de l’Autre.
« La sécurité dans la région de Ghardaïa est l’affaire de tous, il faut militer pour la cohésion sociale et le renforcement des liens de fraternité entre les différentes composantes du tissu social de la région afin que la région redevienne un exemple de cohésion sociale qui faisait la fierté de l’Algérie », ont-ils précisé .
Lors de cette cérémonie, plusieurs présents en signe de reconnaissance aux efforts déployés par l’ANP ont été remis au chef de la 4ème chargé par le président de la République de « superviser l’action des services de sécurité et des autorités locales pour rétablir l’ordre public et préserver la sécurité des personnes et leurs biens à travers la wilaya de Ghardaïa ».
Le président de la République Abdelaziz Bouteflika avait chargé lors de la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal à Ghardaïa au début du mois de juillet dernier le commandant de la 4ème région militaire de « superviser l’action des services de sécurité et des autorités locales pour rétablir l’ordre public et préserver la sécurité des personnes et leurs biens à travers la wilaya de Ghardaïa ».
Gyorsítaná a menekültstátussal nem rendelkező illegális bevándorlók visszaküldését az osztrák kancellár egy vasárnap megjelent lapinterjú szerint. A cikk folytatása …